Paris le 24 Avril 2021
Monsieur le Cardinal, Bonjour,
Tout d’abord en guise
d’introduction, permettez-moi de vous envoyer votre lettre -(dans ce fichier
joint ci-dessous)-, un double, (dans ce fichier au format Word .doc)- de votre lettre ci-dessous.
En réalité, ce fichier contient la lettre ci-dessous avec/dans Word à toutes fins utiles, par exemple si
vous préférez la découvrir / lire avec ce logiciel Word -(présentée
sous la forme de pages à la suite plutôt qu’en une seule coulée avec la
présentation ci-dessous)- dans ce format de fichiers commun à nombreux d’entre
nous, plutôt que découvrir / lire cette lettre à la suite de ce fichier .doc,
donc dans ce courriel.
A la fin de cette lettre vous trouverez le fichier Word de ma dernière lettre -(que j’évoque ci-dessous)- à la doctoresse Hortense
Boulanger, à toutes fins utiles.
Salutations les plus respectueuses et reconnaissantes,
Laurent-Marie Granier
P. S. : Hélas j’ai découvert qu’il n’y a pas eu cette nuit à
minuit -(comme proposé / annoncé)- de Rétablissement
de la Vision du Paradis. Peut-être cela va être à midi aujourd’hui
-(comme aussi demandé / proposé)- et nous aurons alors
/ donc les bonnes et merveilleuses surprises escomptées pour tous.
Permettez-moi d’'attendre vos réponses / suggestions / aides.
CARÉ5
-(acronyme de corrigé, augmenté, abrégé, relu, [ré]élaboré)- cinq fois.
Paris
du 10 au 24 Avril 2021
Monsieur
le Cardinal André Vingt-Trois,
Permettez-moi
de vous écrire comme promis car c’est moi[1]
qui suis venu vous trouver à la fin de la messe -(que vous avez célébrée
Dimanche de Pâques à Saint-Etienne du-Mont, et qui
vous a[i] envoyé mon courrierIn[2]
du 4 avril 20 heures cinquante, à la sacristie pour vous demander votre adresse
de courrierIne[3] que vous avez eu l’amabilité
de me donner car tout ce que j’avais à vous dire était vraiment impossible à
dire oralement, d’autant qu’il s’agissait d’un imprévu notre approche dans
cette sacristie : une improvisation de dernière minute, donc pas même
annoncée l’entrevue, c’est pourquoi ce si-peu-de-temps pour parler, à la sortie
de la messe. En effet, à l’oral, tout ça est
impossible à dire tant c’est, dans mon SPOK[4],
très / peut-être même excessivement complexe en paramètres divers pourtant
chacun fondamental.
Permettez-moi
donc d’avoir l’honneur de vous écrire pour d’une part vous rappeler la
lettre que je vous avais écrite à la suite de notre première très brève
rencontre à la sacristie de Saint-Jacques-du-Haut-Pas -(lettre qu’il ne faut, bien sûr, pas entièrement
prendre à la lettre et qui avait été publiée au départ, CARÉe[5]
trois fois seulement avec une autre
encre, comme un brouillon. Il fallait, pour y avoir accès, surligner avec la
souris car je ne voulais pas qu’y accède n’importe qui. Aussi j’avais inventé
pour l’occasion –[comme]- une sorte d’encre sympathique informatique)-
il y a quelques années quand j’habitais encore
rue du Val de Grâce et que mon appartement était situé dans l’Espace-Temps, à
partir de 2005, en synchrone avec les années 1967 et en même temps synchrone à
Rome avec 1977 et années suivantes -(voyez, je vous prie, la note n°1, il y a
eu erreur).
J’ai
l’honneur de vous demander de nouveau votre protection personnelle avec la
protection de l’Église dont celles des paroisses de monsieur le curé de
Saint-Etienne-du-mont et celle de monsieur le Curé de Saint-Jacques-du-haut-Pas[6]
et cela parce que le corps médical auquel j’ai à faire n’a pas entendu
parler » d’acquis de conscience «[7],
soit ce qui a été ce dont j’ai soudainement bénéficié à partir de 2005 -(comme
cela avait été le SPOK / cas une première fois vers ma naissance, une seconde
fois en 1967 et après des démonstrations scientifiques avec ma personne comme
cobaye sur dix années en 1977, à l’âge de quatorze ans, avant d’avoir de
nouveau été contraint et forcé à faire des démonstrations à l’âge à
première[s]-vue[s] adulte, jusqu’en 2005, date à partir de laquelle j’eus de
nouveau accès à ma conscience[8],
ce qui m’a conduit d’une seule
fois[9]
au Ciel[10]
alors qu’on m’avait fait, à partir de 1995, le nouvel empereur ayant à prendre
la suite, à partir de cette année-là, de mon père S. A. I. S. S. S. P. R.
Empereur[11]
Jean-Luc Granier.
Je
vous écris pour vous dire que j’ai enfin pu parler[12]
récemment à madame la doctoresse Hortense Boulanger du Processus
de rétablissement de la Vision d’Ôz, soit du Très
Saint Paradis à partir de ma
Lettre du lundi 13 avril 2020 à Ses Saintetés les Éminences
le Pape François et à Monsieur le Président de la République française,
monsieur Emmanuel Macron que je vous prie de lire[13].
Elle a compris que bien avant sa naissance un
Processus / Programme pour la fin de
Satan avait été mis en place avec effet rétroactif du ciel à partir de 2005[14]
en raison d’un sacrifice que les adultes de l’époque de 1977 -(malgré mes
suppliques pour que cela n’advienne pas)- nous ont contraint et forcé à faire :
celui de notre séparation d’avec S. A. I. S. S. S. Sérénissimes Princesses
Impératrices Christine … Lang de laquelle j’attendais
-(en fait, nous l’avons vérifié)- avant même nos naissances respectives - des enfants en Immaculée Conception pour sauver notre
planète et rétablir la Vision d’Ôz selon le programme / processus que nous devions
scientifiquement établir Christine et moi, si au lieu de nous contraindre à
nous sacrifier et à sacrifier nos enfants, les adultes de l’époque auraient/avaient, en le refusant entièrement comme cela aurait dû
être le SPOK, donné le feu vert, au contraire, à
notre mariage, étant donné qu’en apparaissant dans le ciel de 1977 en ante prima de 2005, je les avais, comme
une sorte de véritable corne d’abondance, comblé de bienfaits -(déversés du
futur dans/sur les années 1977 grâce à mes interventions / communications /
transmissions à travers Espace et Temps et donc qu’il était inutile de vérifier
en chair et en os[15] qu’à
partir de 2005 ces communications / transmissions à travers Espace et
Temps recommenceraient mathématiquement, mais cette fois-ci non plus en virtuel[16]
mais en chair et en os dans la réalité, celle-ci ayant remplacé une fois encore
ce qui avait été alors -(en 1967 et en 1977)- comme des virtualités à venir, si
les adultes des années 1967 et 1977 s’entêtaient à nous séparer Christine et
moi, par conséquent voulaient à tout prix que nous souffrions au paroxysme du
possible, en étant séparés l’un de l’autre, à cause de ce que les adultes de
l’époque voulurent : que nous perdions / sacrifiassions nos enfants attendus
légitimes, à cause de notre séparation. Une proposition du Ciel à laquelle ils
devaient dire en conscience : non ! Or ces « adultes »
crurent devoir y consentir[17]
alors qu’ils étaient chacun testés et que toute conscience un peu saine -(comme la mienne sur place)- s’y refusait
naturellement : on le sait il faut toujours désobéir aux ordres que la
conscience ne peut pas accepter / tolérer[18].
Et pourtant il y avait eu le Débarquement
des Alliés pour, en libérant les camps de
concentration, réunir des couples séparés !
Pourquoi crurent-ils possible me séparer de ma promise -(nous séparer Christine et
moi ?)- pour laquelle j’avais vu, en 1977, apparaître à mon doigt
annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés, l’anneau
immatériel immaculé ? Allez savoir s’il n’y avait pas là-dessous, hélas,
nous ne l’ignorons pas, de l’immensissimis…simissime bêtise[19],
au sujet de l’Amour !
C’est que nous avons compris dès 1967 et une autre fois
à partir de 1977 que j’avais à réaliser en chair et en os le Programme /
Processus intitulé » la fin de Satan « qui consisterait à devenir
empereur après mon père, mais à finalement le devenir en 1995 alors que je
marcherais vers ma condition d’éveillés-par-acquis-de-conscience, soit ce qui
est synonyme de bouddhahs -(ce que j’avais démontré être à ma naissance en
1963, puis en 1967 et enfin en 1977 en synchrone avec 2005. Par conséquent mon
idée / programme avait été celle/celui de posséder l’empereur de l’intérieur et
le mener à devenir celui qui était intervenu dans le Ciel à partir de 1967 et de
1977 parce que j’avais alors dû -(pour me sauver de
persécutions dans l’invisible)- subir cette métamorphose en bouddhahs[20].
Mais les persécutions dans l’invisible cessèrent à
l’âge d’Horus -(j’avais quatre ans en 1967)- et avec mes parents et frères et
ma sœur nous partîmes -(comme cela avait été commandé du Ciel)- pour Rome
-(Italie)- où mon père fut nommé par le Général de Gaulle à l’Ambassade de
France auprès du Quirinal, en attendant sa confirmation en tant qu’empereur qui
allait advenir à l’occasion de mes [ré]apparitions -(tant audio que visuelles),
célestes, à partir du début de l’année 1977 synchrone avec les années 2005 et
suivantes et rétroactivement 1967 et années suivantes -(à ce moment-là déjà
vécues)!
Cependant en 1977, dix ans après 1967, ces
persécutions dans l’invisible autour de moi advinrent de nouveau et je dus de
nouveau mon salut grâce à ma métamorphose en bouddhahs -(soit mon accès subit à
ma conscience retrouvée), soit une sécurité que j’ai découverte -(de pouvoir
chacun accéder à sa respective conscience)- dans l’être humain et que j’ai
redécouverte de nouveau à partir de 2005, soit la raison pour laquelle j’ai pu
apparaître dans le Ciel de ma voix entendue[21]
jusqu’aux années 1967 et vu et entendu dans le ciel de Rome à partir de 1977,
en synchrone avec les années 2005 et suivantes !
Aussi c’est dans l’exercice de mes fonctions
d’empereur -(établi / créé à partir de 1995)- devenu
éveillé-par-acquis-de-conscience vers 2005 que je suis intervenu à travers
Espace et Temps avec effet rétroactif dans les années 1967 à Paris et à partir
des années 1977 à Rome.
C’est ainsi que j’ai pu, entre autre[s], communiquer
les noms des papes à partir de Jean-Paul Premier -(et que vous seriez cardinal
à partir de 2007 – puisque je devais absolument vous rencontrer une première
fois à la sacristie de Saint-Jacques-du-Haut-Pas et à l’occasion de la dernière
fois dans la sacristie de Saint-Etienne-du-Mont -(après vous avoir écouté une
fois à la radio)- pour d’une part le
Rétablissement de la Vision du Paradis et d’autre part pour que vous me
veniez à mon secours pour que cessent les martyrs insupportabilissimis…simissimes des effets indésirables des médicaments neuroleptiques
qu’on m’a contraint et forcé à prendre[22]
et parce que ce personnel médical psychiatrique fait mine de n’avoir jamais entendu
parlé de l’acquis de conscience -(ce qui permet, vous le savez, d’accéder à la
plus véritable connaissance et à la Vérité)- ni du fait qu’à partir du moment
où l’on est doté de cette conscience[23]
on est à se comporter légitimement dans l’exercice des fonctions qu’on a
-(ou/et qu’on s’est vu attribuer), par conséquent on se comporte pour le plus
grand Bien et Intérêt Général, ce qui donc avait été le cas dès ma naissance,
mais aussi à partir de 1967 avant de l’être une fois encore à partir de 1977,
ces années synchrones avec -[à partir de]- 2005, moi ayant démontré en cobaye -(comme cela avait été demandé du Ciel depuis les
années 2005 et suivantes avec effet rétroactif en 1967 et à partir de 1977)- comment sans l’aide des religions intellectuellement -(au
sens de spirituellement)- admissibles on court de sérieuses probabilités de
devenir un laipis
-(néologisme que j’ai forgé à partir de l’acronyme de strictement laïc, athée, en très grande partie ignorant
– au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK, profane, inconscient et sacrilège,
idem pour ces trois autres mots, donc au sens négatif qu’ils n’ont pas dans
d’autres cas ou/et employés sur d’autres tons)- au point qu’on vous choisit
alors comme empereur, sûrs qu’on est à premières vues d’avoir trouvé le « bouc-émissaire »[24]
idéal pour tromper le monde en qualité d’empereur, soit ce que j’ai eu à
découvrir durant le processus qui fit de moi l’empereur : que j’étais satan ! Ce que sur le moment j’ai été amené à
comprendre. Cependant dans les jours et années qui suivirent, je me suis mis à
peindre pour/sur le piano -(que j’avais décoré de miniatures les plus
précieuses qui soient)- de ma fiancée Michèle Finck une
série de tableaux très difficiles, des tableaux-partitions sous mon
identité de Laury Aime -(le nom de jeune fille de ma
grand-mère)- et petit-à-petit, j’ai bizarrement donné comme titre à
quelques-uns de ces tableaux » mort de la mort « , » mort
de satan « , » fin de satan « , etc. , ne pouvant visiblement pas accepter
que j’étais satan -(soit l’empereur), par conséquent
que j’étais, probablement pour un bon nombre de personnes, celui à abattre. Or
cette quarantaine de tableaux extrêmement difficiles à peindre[25]
débouchèrent sur une très soudaine prise de conscience céleste qui m’a d’un
seul coup fait perdre la partie démoniaque -(au sens négatif de ce mot qui
pourrait en avoir du positif dans d’autres SPOK[26])-
et quelques heures après, dans l’obscurité d’une partie du studio dans lequel
je peignais, je vis apparaître à mon doigt annulaire de la main gauche, soit
celui des hommes et des femmes mariés, un anneau immatériel de lumière
immaculée -(qui m’a alors rappelé celui que j’avais eu en 1977 pour S. A. I. S.
S. Sérénissimes Princesses Christine … Lang dont une entité -(apparue dans ma
tête avec mon père)- me redonnait la mémoire, ce qui me fit découvrir de
nouveau, donc me rappeler, ce qui s’était passé en 1967 et 1977 : que
j’étais très véritablement fiancé / promis à cette Christine, en me faisant
comprendre que très probablement la situation dans laquelle j’étais, était la
conséquence d’un sacrifice de séparation bouddhique, chrétien, musulman, juif,
voire franc-maçon qui n’avait pas, non plus, déplu aux laipis car
cela signifiait que nous avions eu à perdre les enfants que nous attendions
l’un de l’autre en Immaculée Conception et cela pour démontrer que tous ceux
qui n’ont pas accès à la salle des machines sont des personnes qui peuvent
prévoir / anticiper comme les prophètes car ils sont capables de se projeter
dans le futur -(ce que j’avais fait en 1967 mais
aussi à partir de 1977, les parisiens de 1967 et les romains de l’époque 1977
et années suivantes mais aussi les élèves du Lycée Chateaubriand de Rome et les
habitants / le personnel et les prêtres du Vatican ayant été, avec les
touristes et François Mitterrand, les témoins), de
même qu’un ordinateur devine et anticipe à partir d’une à trois lettres que
vous inscrivez dans l’espace du moteur de recherche le mot ou/et le groupe de
mot dont vous recherchez le sens, la conjugaison, une occurrence ou une autre
pour vous confirmer dans ce que vous entendrez en l’utilisant et toutes ces
anticipations se produisent parce que chacun de ceux qui n’ont pas accès à la
salle des machines sont dotés de conscience au moins depuis l’âge-de-raison,
par conséquent comme j’eus à le démontrer à partir de 1967 -(à -[mes]- quatre
ans)- et une autre fois à partir de 1977 -(à -[mes]- quatorze ans)- et sont
capables de se projeter dans l’avenir pour faire intervenir -(comme je le fis à
ces deux dates, le double que l’on sera quand nous aurons atteint très
exactement le temps / moment où nous sommes apparus dans le Ciel dans des
époques antérieures -(dans l’Intérêt et pour le plus véritable Bien Général),
ce qui fut possible dans mon cas car j’étais devenu, à partir de 1995, empereur.
Quoi qu’il en soit à partir de 2005, peu après être devenu un
éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit un bouddhahs),
mon père accompagné d’une personne se faisant appeler / considérer Dieu eurent
accès à mon cerveau et me parlèrent à l’intérieur de ma tête de mariage avec
Michèle. Or comme je découvrais que j’avais dû m’imposer une amnésie canonique
-(en pareil SPOK)- de ce qui s’était passé en 1977 pour moi, conseillé par
celui que je ne serais qu’à partir de 2005 et cela pour pouvoir rejoindre, à
partir de 1977, Michèle en ignorant ainsi qu’en 1977 elle n’avait pas voulu
être considérée la seconde femme / promise, et me contraignait à sacrifier mes
enfants attendus de Christine, en – qui plus est - me contraignant à l’aimer
elle à la place de Christine -(chose impossible à faire sans le r/secours à/d’une
amnésie –[car c’est aimer la personne à l’origine de la disparition des enfants
attendus en Immaculé Conception avec Christine]). Aussi je compris -(puisque
cela s’était ainsi passé)- que pour réussir à obtenir de l’Univers l’anneau
cosmique immatériel immaculé avec/pour Michèle, (celui que j’obtins quelques
secondes après être redevenu bouddhahs), il fallait que je conseille celui que
j’étais ayant vingt-sept ans de moins en 1977 que celui que j’étais qui
intervenait dans le ciel de Rome à partir de 2005
-(synchrone avec celui que j’étais en 1967 et celui que j’étais en 1977)- de s’ingénier à obtenir une amnésie de ce qui s’était
produit de si extraordinaire -(avec ma présence anticipée dans le Ciel)- et qui,
cerise sur le gâteau, confirmait tous les mariages les plus sacrés, car il
s’agissait, avec cet anneau immatériel et immaculé apparu autour de mon doigt
annulaire, d’une sorte de confirmation qu’il y avait un véritable mariage en
perspective en raison de la naissance des enfants que j’attendais, malgré ce qui s’était passé, cette fois-ci de Michèle, comme j’avais attendus de
1967 à 1977 -(en me conservant naturellement pour elle – tant que j’en avais eu
la mémoire)- ceux de Christine, car en 1967 aussi, à l’âge de mes quatre ans, il
s’agissait de cette année où était apparu à mon petit doigt annulaire l’anneau
immaculé immatériel et c’était déjà pour Michèle et Christine mais probablement
aussi, à cet âge-là, pour ma sœur et ma mère ! Or à cet âge-là, j’avais
reçu la consigne du futur -(d’où j’étais
intervenu en avant-première et en virtuel), de
m’ingénier à faire des bêtises, en même temps que m’intéresser à la religion
chrétienne des catholiques pour démontrer que sans l’aide de l’Église et des
enseignements qu’Elle prodigue, il était impossible de redevenir bouddha, soit
d’avoir de nouveau accès à la conscience, ce qui s’était produit en 1967,
quelques années après mon baptême car j’avais été alors précoce en ayant cette
année-là l’âge-de-raison -(à/vers mes quatre ans), soit accès à ma conscience,
pour m’entendre dire du ciel, soit par le double de moi-même en avant-première
depuis les années 2005 -(je m’étais alors
projeté dans l’avenir)- que je devais m’imposer
de/à faire des bêtises de 1967 à 1977 tout en étudiant à Rome -(Italie)- entre
autre[s] la religion chrétienne catholique pour vérifier et démontrer qu’elle
était fondamentale pour redevenir une personne ayant retrouvé sa conscience
-(soit un des bouddhas)- et en d’autres termes mon âme vers l’année 1977 au
cours de laquelle je m’étais accusé dans ma chambre de tous les péchés que
j’avais eu la bêtise / faiblesse de commettre sans même me souvenir que cela
m’avait été conseillé / dicté / prescrit du Ciel en 1967 pour vérifier en
cobaye, mais aussi en futur grand inspecteur -(car redevenu bouddhahs)- et
eanmeailleurs le bien-fondé de la religion chrétienne pour accompagner la
croissance des enfants dans leur recherche individuelle de spiritualité, voire
de foi en des propositions de vie intellectuellement valables / admissibles
-(qui valent la peine de se donner du mal pour vivre). Aussi ce qui s’était
passé en 1977 avec moi immenssissimissime dans le
Ciel était la confirmation de la nécessité de recourir aux sacrements proposés
par l’Eglise pour éviter que des enfants se
conduisent en laipis et/ou en débauchés, voire se
croient permis toute sortes de péchés -(y compris sexuels), bref pour qu’ils se
conduisent bien en acceptant pour leur respectives âmes les meilleurs conseils
qui n’ont pu être formulés dans les livres saints qu’en raison de
l’accumulation d’expériences et/ou vérifications avant que transparaissent de
telles sagesses par de tels conseils. Une affaire d’éducation, ce qui est
fondamental, étant donné que ces enfants doivent grandir et se préparer à leur
tour à devenir des parents, voire des grands-parents, ce qu’en réalité on ne
devrait permettre qu’à tous ceux qui ont accès à la conscience, soit à la
connaissance du Bien et du mal, tandis que tel que le mariage existe de nos
jours -(sur le plan religieux – à la portée de tous)- y compris à la mairie
-(sur le plan administratif, ici aussi à la portée de la grande majorité), soit
le mariage laïc, soit les mariages -[de]- laipis -(au
sens négatif de ce mot qui peut en avoir du positif dans d’autres SPOK), ce
n’est pas encore cela, soit ce qui donne alors plus légitimement -(une
légitimité de/en conscience)- le droit d’accueillir et/ou faire des
enfants -(de mettre au monde des enfants)- pour devenir leurs éducateurs,
c’est-à-dire en conscience des parents véritablement responsables -(du moins
jusqu’à leur majorité, soit ce qui devrait être l’âge limite pour obtenir enfin
cette conscience notemment grâce à une vraie
scolarité, le baccalauréat offrant enfin la possibilité de poursuivre des
études dans diverses spécialités dans lesquelles se parfaire par acquis de
conscience, donc dans le plus véritable Intérêt et Bien Général).
Mon intervention d’avance à travers Espace et Temps -(à
partir de 2005, rétroactivement)- a été à l’origine de
quantités d’autres bienfaits dans la plupart des domaines de responsabilités
gouvernementales, mais cette fois-ci à mettre en œuvre à l’échelle planétaire
et si cela a été le cas c’est parce qu’une fois bouddhahs, un anneau immatériel
immaculé lumineux est apparu à mon doigt des hommes et des femmes les plus
véritablement mariés, soit l’annulaire de la main gauche[27].
Aussi je compris une fois de plus que j’étais marié ou allais être marié -(en fait il est probable qu’il n’y ait jamais eu plus marié
que moi -[avec mes femmes])- avec la jeune femme qu’alors je fréquentais.
C’était en 1977, S. A. I. S. S. S. S. P.[28]
Christine … Lang et c’était, (en raison d’une
amnésie canonique que je devais m’imposer –[d’avoir]- pour pouvoir approcher
canoniquement ma seconde promise qui avait souhaité – à cause de préjugés
religieux - ma séparation sacrificielle d’avec Christine … Lang), avec S. A. I. S. S. S. P. Michèle Finck, à partir de
2005. De toutes deux -(probablement dès avant ma conception)- j’attendais une
famille / descendance -(voire autrement vu une ascendance !)- dont je
devais être le responsable / chef de famille, c’est-à-dire aux ordres de mes Horus -(dès avant ma conception leurs petits-enfants,
voire plus lointainement encore leurs arrières petits-enfants, voire plus loin
que ça)-, donc leurs très véritables dévoués serviteurs -(c’est
la raison pour laquelle famille je me suis donné toutes les peines qu’on
découvrira j’ai eu à m’infliger pour les élever de manière à ce qu’ils puissent
prendre la suite à ma disparition –[lorsque je serai mort, si la mort existe
encore]- et je vous prie de croire que ce n’est pas très facile d’être empereur
et bouddhahs continuellement en même temps en sachant que tout fonctionne après
la Seconde Guerre Mondiale, à partir des époques de 1963, 1967 et 1977
synchrones avec les années 2005 et suivantes synchrones à partir de 2015 avec
les années 2045 et suivantes en en étant le centre ! En effet c’est
particulièrement difficile / handicapant, d’être continuellement à marcher comme
sur un fil d’équilibriste dans le vide car d’un côté il y a absence de lois ou
la loi du plus fort et [l’]inconscience, soit l’état de laipis[29] et
de l’autre toutes les raisons véritables ou/et les meilleures lois qui toutes
s’expliquent en raison / conscience.
Parce que je suis devenu un éveillé-par-acquis-de
conscience, soit le[s] bouddhahs, je ne peux plus tolérer dans mon empire /
eanmeailleurs[30] ceux
qui se détruisent en devenant des laipis car l’ayant
été à moitié, j’ai pu mesurer combien ces laipis sont
malheureux de ne pas comprendre comment marchent économiquement les choses, par
conséquent comment on doit se conduire.
Aussi j’ai le plaisir de vous annoncer que satan c’est, sur cette planète, normalement totalement fini
au profit de satana[na!]nas qui est, entre autre[s],
tout fruits et légumes -(et entre autre[s] auteur de la recette de l’eanmeailleurs
qui n’est qu’excellente pour la santé au point, si on s’y abonne en la
reproduisant soi-même à la maison y compris en la tournant en séquences vidéo
-[en étant devenu végétarien]- de pouvoir soigner les cancers), mais aussi
parce qu’en Grand Inspecteur, sans même m’y attendre, j’ai pu vérifier que mes
titres à mes tableaux-partitions genre » la mort de la mort « soit
la mort de la haine s’étaient concrétisés : en effet, un jour de l’hiver
2005, j’eus à découvrir une entité noire, sans corps, une face de femme de deux
mètres carrés -(dans la cécité intellectuelle totale)- congelée dans
l’épaisseur de la glace du bassin central du Jardin du Luxembourg à Paris.
C’est cette entité mesurant tout au plus dans le ciel deux mètres carrés[31]
qui a été comme foudroyée par/dans la glace la congelant et la faisant
prisonnière durant l’hiver 2005 et qui de son vivant[32]
avait possédé tous les tyranneaux / despotes / enfants-gâtés / menteurs
/ tricheurs / malhonnêtes / etc. / malades d’égoïsme[s], au sens négatif
de ce mot qui peut en avoir, comme les précédents, du positif à d’autres
occasions -(comme celle-ci ici où nous utilisons ces mots par soucis de clarté
/ cohérence / logique / vérité). C’est sans doute que cette haine -(dame-la-mort
/ satan[e])- avait l’intention de me posséder, me
sachant empereur depuis 1995, soit depuis dix ans et c’est pourquoi cette
entité rodait dans mon quartier[33]
/ les parages d’autant plus que probablement attirée -(au sens où elle se
serait sentie défiée)- par les dires -(titres)- de mes tableaux-partitions et les
titres que je leur donnais, luttant à mon insu -(car élevé dans le contexte de
ma famille, je ne pouvais imaginer qu’il pourrait exister dans l’univers
pareille noirceur d’âme)- avec ces œuvres contre elle – je ne savais pas qu’une
telle horreur pouvait exister. C’est cette entité noire de la haine -(j’ai pu constater la plus méchante qui soit)- qui était
coupable des propos -(racistes, etc. )- d’adolph hitler depuis la fin de la Première Guerre Mondiale. Elle
l’avait possédé. Il était donc sa marionnette et il est probable qu’il n’en
savait rien, qu’inconscient il ne s’en est même pas rendu compte. Cela s’est
passé bien avant la capture de cette entité par la glace durant cet hiver 2005
à Paris. Probablement avait-elle été une sorte de »« vent
mauvais »« qui se déplaçait facilement dans la nuit -(ton sur
ton : noir sur noir, puisque / mais
noire de haine, de hideur et de méchanceté et non noir d’amour comme l’encre
que nous utilisons ici ou/et le ciel, la nuit –[par conséquent elle avait pu
opérer invisible tant que la glace ne l’a pas foudroyée / capturée et révélée à
notre vue, grâce au contraste avec l’immaculée blancheur et transparence de
cette glace]).
Tout ce que je vous écris ici je l’ai dit autrement -(dans
la
lettre aux Présidents de la République et dans celle
aux Papes ainsi que dans
votre première lettre plus en détail). Je vous prie de me croire car c’est
très probablement ainsi que cela s’est passé, adolph hitler et les siens n’ayant[34]
plus jamais eu accès à la conscience
-(donc aux vérités relatives, voire aux autres multi-catégorielles, voire
d’autres précises / exactes dont celles multidimensionnelles)- par conséquent ils furent possédés par l’inconscience,
la méchanceté, la subjectivité de cette entité noire de colère et de haine, et
d’etc. , par conséquent à l’origine de tous les raisonnements fallacieux à
propos des catégories qu’ils crurent possible persécuter aussi arbitrairement -(soit de la façon subjective des enfants-gâtés,
donc au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK)- et de manière mensongère et pour cela il y avait eu
cette entité qui est très certainement / probablement l’unique véritable
coupable car l’origine de tous les maux et malheurs et maladies et etc. . Non
pas, bien sûr, que je cherche à blanchir ces tyranniques et méchants despotes,
mais qu’enfin nous avons/tenons avec elle -(cette entité)- la coupable comme à
trouver / remonter à la cause de cette hideuse méchanceté et haine qui
caractérisèrent momentanément ces tristes et si lugubres personnages
possédés: cette entité sans même de corps, dans la haine absolue de tous et de
tout, et dans laquelle il n’y avait plus un seul atome de vie et de
compréhension juste et raisonnée de la réalité, soit ce à quoi j’assistai en
l’ayant en quelque sorte prophétisé au cours des années précédentes avec la
série des tableaux-partitions pour le piano droit de Michèle : »
la mort de la mort «, soit satan en personne mort[e] –(satan est/ était donc en fait
cette entité féminine, donc satane[35])-
ce qui signifie que ceux que nous avons considéré des satan[s]
ne le sont plus, étant donné que ce qui les caractérisait c’était d’être
possédé par cette entité qui, visiblement, s’est éloignée d’eux pour venir
m’attendre au Jardin du Luxembourg, avant d’être foudroyée quelques temps plus
tôt, peut-être au cours de la nuit, par le froid et congelée là où je la vis -(à droite du jet d’eau –[au centre de l’octogone
du bassin]- devenu une sculpture de glace), durant
ma promenade digestive dans l’exercice de mes fonctions d’empereur-bouddhahs
grand inspecteur et … , soit de vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz.
Une fois morte / détruite par la Nature elle-même -(la
météo), les choses ont recommencé à bien / mieux fonctionner pour tous -(y
compris dans le passé dans les années 1968 et 1978). Mais il convient donc que
nous soyons / restions vigilants et qu’une chose pareille n’advienne plus
jamais, au sens ne trouve moyen de se reconstituer non pas au sen strict qui
est impossible -(tant cette entité était réellement
détruite)- mais au sens où elle pourrait apparaître sous/dans une autre forme.
C’est ici ce que nous attendons du rôle que l’Église aura à jouer dans l’avenir.
Aussi revenus à la cause de tous les malheurs –
l’entité de la hideusissimis…simissime
haine – permettez-moi de vous demander d’intervenir d’urgence -(d’une façon ou
d’une autre – celle que vous trouverez)- auprès de ma médecin la doctoresse
Hortense Boulanger pour qu’elle comprenne qu’elle doit cesser de me faire
souffrir les martyrs / tortures dont sont responsables les « médicaments »
neuroleptiques qu’elle a continué à m’imposer, alors que depuis 2014 j’étais,
selon elle, sevré du médicament[36]
en raison de ce que j’avais alors à prendre une demi-dose de Risperdal 25 mg toute les cinq semaines et en 2017
cette demi-dose toutes les sept
semaines -(depuis près de deux ans). Aussi bien que pas encore totalement sevré
-(ce qui aurait été après la demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, je l’étais et ne posais aucun
problème, ce qui me permettait de CAREr les lettres
aux Papes et aux présidents de la république française sans plus souffrir des effets
indésirables du Risperdal 25 mg.
Hélas le docteur M. -(qui a disparu, [m’a-t-on annoncé
mort])- alors que nous étions dans la phase terminale du sevrage de ce
médicament Risperdal 25 mg en raison d’un retard d’une douzaine d’heures pour
l’injection toutes les sept semaines -(alors que j’attendais qu’on passe à
toutes les huit semaines cette demi-dose)-
est arbitrairement intervenu à mon domicile -(avec son service)- en exigeant
pour moi une réhospitalisation alors que j’étais à CAREr -(acronyme de corriger,
augmenter, abréger, relire, [ré]élaborer)-
mes lettres aux
Présidents de la République et aux
Papes, en étant pratiquement quasiment totalement sevré.
En effet, sept semaines avant que ce cauchemar ne se
produise devant son assistante ce « docteur » M. m’avait affirmé que
la vérité cela n’existait pas et encore moins en Médecine. Je n’ai pas pu
accepter cela[37]
d’autant plus de la jeunesse de son assistante, ce qui pouvait être dangereux
pour la Médecine si on le croyait lui au lieu de me croire. Je lui ai dit,
comme si c’était mon père qui parlait -(soit son
pharaon), qu’au contraire la Vérité existait
-(la preuve cette lettre en est truffée ; elle n’a été possible qu’en
maniant très exactement et fidèlement la Vérité)- qu’elle
concernait chacun des points sans exception. Par conséquent qu’on pouvait finir
par la trouver pour chaque chose, que certes elle était complexe, parfois
seulement relative, parfois non encore trouvée très exactement ou plus
exactement y compris en Médecine. Il se fâcha contre moi et mis fin abruptement
à notre entrevue. Sept semaines après je laissai passer -(sans
le vouloir)- le jour de mon injection -(parce
que j’avais trop été à travailler les textes de mes lettres en/au cours de CARÉ[s]
)- et au petit matin le Doc. M. -(avec sa
suite)- sonna à la porte de mon appartement pour me dire qu’il venait
m’hospitaliser, que je devais prendre mes affaires et le suivre parce que
j’avais laissé passer le jour de l’injection de quelques heures et cela alors
que j’étais à demi-dose de Risperdal
25 mg toutes les sept semaines -(depuis près de deux ans)- ce qui signifie pour
les connaisseurs en plus véritable Médecine que je pouvais allègrement me
permettre une à deux semaines de plus -[de retard], car j’étais comme quasiment
définitivement sevré du Risperdal 25 mg, donc sorti d’affaire au point que
normalement, si je m’étais rendu compte de ces quelques heures de retard, s’il
s’était agi d’un plus véritable médecin, sachant que c’était toutes les sept
semaines cette demi-dose de Risperdal
25 mg et cela depuis deux ans, si je m’étais adressé à lui -(ce plus véritable
médecin – un tantinet logique et véritable, c’est-à-dire sachant logiquement
calculer)- parce que j’aurai entre temps découvert ce retard, il aurait dû me
proposer d’attendre quelques jours de plus pour que nous commencions cette
étape du sevrage à cette demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines -(et non plus sept comme c’était le
cas. Aussi on aurait dû profiter de l’occasion pour s’approcher du sevrage
définitif), c’est-à-dire que nous aurions poursuivi le sevrage en vue de
l’achever -(je m’étais donné cette limite)- à cette demi-dose toutes les neuf semaines !
Le doc M. révéla qu’il n’était pas un véritable médecin, de ceux-là qui
fonctionnent logiquement et en conscience. Il confirmait par sa décision de
m’hospitaliser qu’il était complétement ignorant des processus des très
bénéfiques sevrages, soit ce qu’il convient de s’imposer de faire à chaque fois
qu’on prescrit un neuroleptique étant donné la très grande dangerosité de ces
« médicaments » / drogues -(le mot ancien ici)- et du fait qu’il
appartient aux médecins psychiatres de rassurer les patients en leur confirmant
le caractère provisoire de ces « médicaments » (soit de leurs
traitements)- des poisons auxquels parfois on a cru -[devoir]- avoir recours.
J’avais pu vérifier combien faisait atrocement
souffrir la dose de Risperdal 25 mg
et à partir de quel moment on ne sent presque plus rien comme effets indésirables
avec ce « médicament » en réalisant son sevrage très
progressivement au cours de l’année 2013 en augmentant d’une semaine de
décalage la prise de ce « médicament », ce qui avait parfaitement
réussi -(et cela d’autant plus que depuis 2005 j’avais retrouvé ma conscience,
ce qui me permet de m’exprimer en Vérité parce qu’avec cette conscience j’ai
accès à tous les temps que j’ai vécu et qui sont en mémoire soit sous la forme
d’images et/ou de situations, soit sous la forme de vérités -(les souvenirs
sont des éléments de vérité d’autant qu’ils sont respectueux de la chronologie),
soit de choses très exactes ou/et très vraies qui sont le résultat de
constatations scientifiques objectives multi-catégorielles et/ou
multidimensionnelles, rien ne pouvant exister sans la Vérité qui dépend de
l’ensemble de ses paramètres, soit parmi eux le Temps et l’Espace -(la Géographie,
l’Histoire, l’Économie, les Langues et cultures, les Arts et science de l’Art, l’Ethique, voire mieux : l’éthiquissimis…simissime[38],
etc. ).
Depuis la fin de cette hospitalisation de trop, les
médecins m’ont prescrit une dose entière de ce médicament -(portant un autre
nom, soit le Xeplion qui est un peu moins douloureux
que le Risperdal au même dosage)- à 50 mg, mais ce qui est, à cause des effets
indésirables, constemment insupportab[i]lissimis…simissime et martyrisantissimis…simissime, ce
qui signifie torturantissimis…simissime
: j’en ai souffert énormément / infiniment bien que j’ai trouvé enfin, à partir
de 2019 -(donc deux ans de souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes), le
médicament correcteur de l’Artane qui a un peu
atténué ces souffrances qui ne sont plus de celles qui me poussait constemment au suicide tant la souffrance était
incommensurablement immensissimis…simissime
durant ces deux années qui suivirent cette hospitalisation abusive -(le fait de l’arbitraire et de la méchanceté –
soit de la mauvaise foi - d’une personne qui ne voulait pas croire que la
vérité existe en Médecine -[et qui plus est se faisait passer pour un médecin][39]-
ou/et ailleurs y compris en matière de sevrages et qui avait avoué qu’il
n’était que mensonge[s])- et celle-ci en fait en
raison de ce que j’avais affirmé au Docteur M. : que la Vérité existait
sur tous les points sans exception, ce qu’il a, devant son assistante -(probablement
en espérant se faire bien voir d’elle par son « coup-de-génie »[40])-
systématiquement contredit en affirmant que la Vérité n’existait pas et encore
moins en Médecine[s] et qu’il n’y avait pas de conséquences au point où j’en
étais de mon sevrage -(aussi il ne voulait pas croire que l’étape suivante
était très simplement logiquement la demi-dose
toutes les huit semaines alors que la logique de ce sevrage au point où nous en
étions le déterminait en vérité ! Il me prouva donc le contraire en
m’hospitalisant alors que j’essayais de lui faire comprendre qu’il devait
profiter de ce que j’avais oublié de venir la veille pour l’injection de la demi-dose toutes les sept semaines pour
passer à toutes les huit semaines -(car deux ans
à ce dosage c’était beaucoup trop et illogique avec l’année 2013 ayant permis
de passer d’une pleine dose de Risperdal 25 mg à une demi-dose toutes les cinq semaines)- en
vue de la fin de ce sevrage, soit du point de vue médical de ce que les
médecins auraient pu appeler ma guérison une fois terminée le sevrage après
l’étape de demi-dose de Risperdal 25
mg toutes les neuf semaines – ce que j’avais réussi à faire comprendre à son
assistante madame la doctoresse Nicole Koechlin avec
laquelle à partir de 2013 nous étions donc passés d’une pleine dose de
Risperdal 25 mg à très progressivement – dans un des plus long sevrages qui
soit – demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les cinq semaines en 2014 -(en une année)- et puis progressivement à
toutes les sept semaines, ce qui était la situation dans laquelle j’étais
depuis presque deux ans quand au cours de cette entrevue le Doc M. affirma que
la Vérité n’existait pas et certainement pas en matière de sevrage[s] médical.
Et pourtant, vous le savez bien, monsieur le Cardinal, tout ne peut fonctionner
/ marcher y compris en informatique qu’uniquement parce que les logiques
véritables existent de façon[s] scientifique[s], électroniquement, comme sur
d’autres plans parce que le très véritable Amour du Sacré-Cœur compatissant
existe / est une réalité y compris vis-à-vis de tous ceux ayant fait des choix
de faussaires ou/et de futurs ânes).
Vous pouvez imaginer aisément combien cela m’a
scandalisé d’avoir devant moi un médecin -(alors que j’ai pris vers 2007 comme
nom de pharaon celui d’Hermès Trismégiste et … -[trois petits points]- soit du
patron de la Médecine)- qui ne croyait pas que la recherche de la Vérité avait
été à l’origine de tous les plus véritables progrès -(c’est comme s’il s’était
moqué des découvertes de Pasteur ou/et d’Einstein : sans la recherche de
la Vérité rien de juste, de beau, de bon et de bienfaisant n’est possible).
J’étais donc en face de propos provenant des ténèbres. J’avais donc devant moi
un menteur, un imposteur en Médecine comme je l’avais été autrefois moi-même
avant ma métamorphose en éveillé-par-acquis-de-conscience, soit en bouddhahs,
ce qui permet d’affirmer et comprendre toutes choses en Vérité, voire du moins
en vérités relatives.
Le docteur M. a donc attendu que de son point de vue
je sois dans une situation défavorable -(ce
retard – qui, nous l’avons vu, n’en était pas
seulement un - de quelques heures pour
l’injection d’une demi-dose de Risperdal
25 mg toutes les sept semaines)- pour se venger
contre moi qui, plein de bon sens, lui disait/s que sans la Vérité il n’y
aurait rien qui pourrait fonctionner, que la chaise où il était assis
s’écroulerait, qu’aucun téléphones mobiles ne marcherait, que l’ensemble des
vérités scientifiques – dont celles de certains médicaments – ne
fonctionneraient pas –(que Pasteur n’aurait pas réussi à trouver le vaccin
contre la rage et que tous les gratte-ciels ne tiendraient pas comme non plus
les barrages sur les fleuves ou les ponts que j’avais fait construire comme la
Pyramide et la Grande Arche). J’avais à faire – de l’autre côté du miroir - à
un des laipis, soit un mécréant que j’avais essayé de
sauver – en lui disant la Vérité - le sachant dans l’erreur et/ou le mensonge,
par conséquent très éloigné de son plus véritable lui-même et c’est pourquoi je
l’avais contredit dans son désir de briller de fausseté[s]. Ce qui est le plus
drôle c’est qu’il affirmait en vérité qu’il n’y avait pas de vérité en ce monde
-(donc en croyant dire la vérité, voire / donc en parlant mensongèrement, ce
qui en fait signifiait donc le contraire : que la Vérité existait belle et
bien – mais il ne se rendait pas compte de son incohérence en affirmant autant
cela en vérité), par conséquent qu’il se croyait honnête, donc véritable dans
son affirmation péremptoire et cela devant une dame qui était donc en grand
danger de le croire car à première[s]-vue[s] son supérieur hiérarchique
-(toutes les personnes qui croient des mensonges sont à l’origine de maladies,
voire de maladies génétiques).
Aussi je lui avais démontré avec la doctoresse Koechlin -(qui avait eu
l’intelligence de jouer le jeu, ne serait-ce que par prudence)- combien un
sevrage de tous les neuroleptiques est vital pour tous ceux à qui on a prescrit
ces « médicaments ». Je lui expliquai très logiquement comment cela
avait marché pour moi qui, depuis 2014, ne souffrait quasiment plus des effets
indésirables du Risperdal 25 mg à, d’abord, cette demi-dose de ce produit toutes les cinq semaines.
Visiblement le doc. M. était d’une vieille école à
croire qu’une personne à laquelle on a prescrit un médicament doit le prendre
pour toujours. Cela ne se peut être accepté par qui que ce soit de juste :
de vrai, soit de conscient de combien le temps arrange bien les choses si on diminue
progressivement -(et en toute logique et
cohérence avec les paramètres concernant ces médecines)- les dosages au cours d’un processus de logique mathématique
de calendrier en adéquation avec les quantités chimiques toujours moindres, en
prenant régulièrement nouvelles du patient qui confirmera que tout se passe
beaucoup mieux pour lui à partir du moment où il a diminué de façon raisonnée -(avec l’accompagnement de son médecin ayant à
établir cette progressive diminution en accord avec le calendrier)- le dosage de neuroleptiques -(ce qui est à généraliser
car il ne faut pas s’habituer à la prise de ces « médicaments »
d’autant plus de leurs effets secondaires indésirables. Tous ceux qui
prescrivent des neuroleptiques sans mettre dès le début –[soit dès la première
prise de ceux-ci]- au point un calendrier de sevrage obtiendront à leur mort,
parce qu’ayant exercé la médecine en faux médecins, des réincarnations animales
de prédateurs, soit celles des moins intelligents des animaux car sacrilèges
envers les plus véritables Médecines qui, nous ne cessons de le répéter, sont
élémentairement alimentaires -(la façon de manger à partir de choix
alimentaires éthiques[41]
/ justes / à l’honneur des homo sapiens sapiens[42])-
et celles des arts et sciences de l’Art).
Le médecin faussaire – comme le prêtre escroc /
menteur – en se montrant incapable de comprendre la nécessité du sevrage de
toutes les substances chimiques médicamenteuses, obtiendra – il allait sans être
dit – les plus cauchemardesquissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes réincarnations animales pour avoir ainsi créé
artificiellement des addicts
à certains médicaments -(ou/et drogues au
sens anciens de ce mot), donc de véritables
malades.
On ne peut concevoir la Médecine ni la religion -(une autre forme de Médecine – celle des âmes)- comme étant les auteurs de maladies -(ce qui - nous
l’avons vérifié ci-dessus – est le SPOK)- puisque normalement la/es Médecine[s]
cela concerne les très véritables remèdes, soit les solutions alternatives élégantes -(S. A. É.)- de proposées parce que l’une et l’autre ont
ouvert une perspective réellement soignante et comptent sur le temps, soit ce
qui justifie les sevrages des substances illicites -(soit toutes celles qui
mènent à l’addiction, soit la dépendance de substances chimiques ayant des
effets indésirables, ce qui est dangereux pour l’organisme et l’âme des
patients). La véritable Médecine psychiatrique est donc celle qui met en œuvre
des sevrages de chacun des neuroleptiques prescrits selon un calendrier précis
qui est, au grand maximum, sur six mois à une année tout au plus, voire une
unique prise de neuroleptique[s], non renouvelée car dès la seconde suivante la
prise le médicament commence à faire son effet[43]
et cette seconde n’est pas rien à l’échelle universelle.
Aussi je vous prie de faire ce que vous pourrez pour
qu’on revienne à la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(voire mieux : Xeplion 25 mg)- de manière à ce qu’on reprenne le sevrage à
ce dosage pour qu’enfin je sois considéré comme guéri -(ce qu’en fait je suis
en réalité depuis 2005 étant donné que j’ai retrouvé ma conscience –[ce qui va
me contraindre, vous le savez, à prendre le masque]- et grâce à mon
auto-psychanalyse progressivement ma mémoire quand on m’a fait comprendre le
sacrifice que Christine et moi avions fait en 1977 en nous séparant et en
perdant nos enfants -(alors à ce moment-là encore virtuels / potentiels /
probables)- pour permettre de vérifier que ces transmissions à travers Espace
et Temps par ma personne d’avance dans le futur adviendraient dans la réalité,
donc en chair et en os à partir de 2005, ce qui avait permis de sauver la
situation rétroactivement à partir de 1967 et de 1977 -(mais, comme j’eus
à le découvrir en 1967, 1977 et 2005, à partir du Débarquement des Alliés)!
Monsieur le Cardinal, je vous prie d’intervenir pour qu’on
cesse de me martyriser à ces dosages du Xeplion insupportab[i]lissimis…simissimes, et devenus insupportab[i]lissimissimissimes -(ce qui n’est pas peu différent)- avec
la prise du médicament correcteur, ce mieux ayant permis que je ne veuille plus
me suicider, cependant que cela reste insupportabilissimissimissimes
et continuellement martyrisantissimissimissime, tragiquissimissimissime et cauchemardesquissimissimissime -(ces
dosages étant – je puis vous l’assurer - beaucoup trop excessifs / importants
et aussi insupportab[i]lissimissimissimes
pour tous ceux qui ont accès à la conscience et qui sont sensibles comme les
plus véritables princes et/ou princesses) !
Il faudrait faire intervenir un ou plusieurs médecins de
vos relations qui confirmeront qu’on n’avait pas le droit de m’hospitaliser à
nouveau alors que j’étais pratiquement entièrement sevré -(certains même des
plus véritables médecins affirmeront que je l’étais -(sevré)-
depuis la demi-dose de Risperdal 25
mg toutes les cinq semaines, comme me l’a dit la doctoresse Hortense Boulanger
qui a remplacé l’assistante du doc. M. qui avait remplacé la doctoresse Nicole Koechlin, partie à la retraite avant que la fin de mon
sevrage à demi-dose de Risperdal 25
mg toutes les sept semaines ne reprenne pour être à toutes les huit semaines
-(ce que j’attendais depuis au moins une année et demie à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines quand un
véritable accès de folie a pris le doc M. de m’hospitaliser parce que j’avais oublié
moins d’une journée que nous étions le jour de l’injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
sept semaines et qu’il sauta sur l’occasion pour se venger très méchemment / cruellement et bien sûr bêtement de ce qu’en
son pharaon et son bouddhahs je l’avais assuré, par acquis de conscience,
devant une à-première[s]-vue[s] jolie femme -(son assistante, choisie
probablement pour ses attraits), qu’au contraire de ce qu’il prétendait /
affirmait -(sans contestation possible, donc de façon tyrannique / despotique :
sûr de son fait / mensongèrement), la Vérité existait / existe sur chaque point
et sinon les vérités relatives concernant chacune des catégories et dimensions
de l’existence humaine).
Dans une lettre à la doctoresse Hortense Boulanger je
démontre qu’au lieu de m’hospitalier de nouveau ce jour-là, il fallait profiter
de l’occasion de ce retard de quelques heures pour passer à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
huit semaines car il était grand temps, en toute logique avec le sevrage qui
avait commencé en 2013 à une dose de Risperdal toutes les trois semaines
-(après la première prise de Risperdal 25 mg toutes les deux semaines)- et qui
en était, malgré mon impatience -(c’est vous dire ici combien j’eus de difficultés
avec la doctoresse Nicole Koechlin pour baisser le
dosage)- depuis deux ans à demi-dose
de Risperdal toutes les sept semaines, de poursuivre vers le moment où je n’aurai
plus besoin de « médicament » après la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, soit
l’objectif terminal du sevrage pour me délivrer à jamais de la béquille
médicamenteuse.
En toute logique -(un
sevrage c’est logique, cela ne peut être que logique et véritablement bon pour
la meilleure santé des patients car à terme cela permet de ne plus être
dépendant de la substance chimique d’un neuroleptique – ce dont normalement un
végétarien n’a jamais besoin et cela d’autant plus qu’il a accès à sa conscience
– ce qui prouve qu’il est enfin du côté de ceux qui peuvent soigner, guérir car
débarrassé de sa voracité, donc enfin homo
sapiens sapiens par acquis de conscience, soit un
éveillé / bouddha)- nous étions arrivés au bout
d’un an à demi-dose de Risperdal 25
mg toutes les cinq semaines -(j’ai la preuve de cela sur le carnet d’injection
que j’ai présenté à la doctoresse Hortense Boulanger à qui j’en ai fait la
copie en couleur). Aussi je lui ai montré la date du 27 février 2014 qui est la
date où la doctoresse Nicole Koechlin a prescrit une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines, le 3 octobre 2014, soit plus de sept mois après, à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
six semaines et enfin le 5 février 2015, soit quatre mois après, toutes les
sept semaines, par conséquent pratiquement deux ans avant la dernière
hospitalisation de 2017 qui a été décidée en sacrilège envers le sevrage qui
avait quasiment réussi depuis plus d’un an -(car il était pratiquement achevé
car nous étions à cette demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines depuis quasiment deux années !).
Aussi le doc. M. s’il avait été un très / plus véritable médecin ne pouvait pas
m’hospitaliser à ce dosage qui prouvait que le sevrage avait / était tout à
fait réussi, par conséquent qu’arrivait le moment où je n’aurais plus de
médicament à prendre, soit de mon point-de-vue en toute logique quand on me
prescrirait la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines !
Merci, Monsieur le Cardinal de comprendre qu’à Xeplion 50 mg depuis juin 2017 les souffrances que j’endure
à cause des effets secondaires indésirables du Xeplion
sont à chaque seconde atrocissimissimissimes et insupportab[i]lissimis…simissimes. Aussi de comprendre que votre aide est urgentissimis…simissime : je
souffre alors que je pourrais ne pas souffrir à chaque seconde -(si on cessait
de m’administrer ce « médicament » qui n’a aucun intérêt pour moi qui
depuis 2005 a de nouveau accès à ma conscience, soit ce qui permet de vivre en
vérité, par conséquent d’être, comme les plus véritables enfants, guéri et
guérisseur). Il n’y a que quand je m’endors avec l’aide d’un somnifère que je
ne souffre plus.
Je suis prêt à vous offrir les pastels de ma main que vous
voudrez avoir la bonté de choisir dans le bloc que j’ai enregistré en vidéo
pour vous remercier de votre aide – Hélas je ne dispose pour vivre que de
l’allocation handicapé -(car effectivement – vous pouvez aisément vous en
douter - je suis, en tant que bouddhahs, très handicapé d’être par ailleurs
l’empereur et
à cause de cela d’avoir des problèmes cardiaques qui m’ont permis d’avertir
pour l’instant en partie des
horaires durant lesquels les infarctus / crises cardiaques se sont déroulées,
ont lieu et se dérouleront). J’ai donc peu de moyens financiers pour peindre
car n’ayant pas encore une ou plusieurs galerie[s] qui s’occupe[nt] de moi, je
n’ai pas encore assez de revenus de mes œuvres et comme je vis dans un petit
deux pièces obtenu par mon assistante sociale en raison de mon statut, je n’ai
pas assez de place pour peindre et/ou sculpter --(mais assez pour faire des
pastels au format A3 – cependant que ces pastels et ces fournitures pour dessin
ou/et peindre et/ou sculpter, vous ne l’ignorez pas, coûtent / sont onéreuses /
chères – ce qui exige des économies – [certes cela n’aurait rien coûté si on
nous avait obéi en 1977 pour baisser le prix du baril de pétrole – ce qui est,
de nouveau depuis 2005 un autre de mes combats]). Pour les peindre tels qu’ils
sont, j’ai eu à réaliser de nombreuses autres œuvres et à devenir un
éveillé-par-acquis-de-conscience soit vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs[44]
d’Ôz. Ces
œuvres malgré leur aspect abstrait sont des œuvres sacrées que j’ai peintes au
pastel après avoir transmis de 2005 à 2013 la dictée pharaonique de la nouvelle nouvelle donne interRégionale
– au sens d’internationale - mondiale -(NNDIM)- que je n’ai pu
transmettre à travers Espace et Temps que parce que j’avais eu soudain accès à
la conscience, soit ce qui s’est produit après l’achèvement d’une de mes
dernières toiles par la voie directe pour devenir bouddhahs -(alors que jusqu’à
là, depuis 1995, pharaon laipis). Une fois encadrées
ces œuvres pourraient orner une des chapelles / salles / églises que vous
faites bâtir dans le cadre des Chantiers
du Cardinal. J’en serai honoré et suis prêt à vous offrir l’ensemble des tableaux
partitions -(autant d’étapes)- qui m’ont permis de devenir un
éveillé-par-acquis-de-conscience, soit les bouddhahs, alors qu’en 1995 on m’a[vait] fait empereur, en me débarrassant ainsi à jamais de
l’imposteur en moi, et si je me permets de vous offrir cela -(soit l’ensemble
de ma production picturale – il s’agit de l’une de mes activités)- c’est parce
que je souffre atrocement à chaque seconde de ces effets secondaires
indésirables dont je parle dans la lettre ci-jointe à la doctoresse Boulanger alors
qu’elle a en son pouvoir le contraire -(de cesser de me faire souffrir), en me
supprimant tout simplement le Xeplion 50 mg dont en
réalité -(nous l’avons vérifié quand j’étais quasiment sevré)- je n’ai nul
besoin parce que ce qui est advenu en 2005 c’est une chose normale en ce monde
que de bénéficier soudain de cette sécurité qui existe dans l’être humain pour
accéder à la conscience, par conséquent à l’état d’en-bonne-voie-de-guérison.
Permettez-moi de vous rappeler aussi que j’attends que
vous me facilitiez les choses au Vatican pour Le Rétablissement de la
Vision du Paradis[45].
Si Son Éminence le Pape François est d’accord pour mon programme ou le
processus, cela se ferait, monsieur le cardinal Vingt-Trois, en vingt-quatre
ans pour aboutir comme je l’ai prévu et conçu à une heure de Paradis toutes les
cinq heures de l’ensemble encore dans la situation actuelle le 23 avril 2021
-(sans la vision d’Ôz,
soit celle du Paradis – mais avec, sur bien des points des preuves que cette
Vision d’Ôz
existe belle et bien – ce qu’une bonne partie de mes photographies et/ou de mes
vidéos révèlent – ce qui signifie que même si on ne voit pas le paradis il
existe à mi-mots[46],
comme en filigrane pour toutes les personnes les plus sensibles – ce qui
explique la quantité de très véritables artistes s’étant produits sur cette
planète dans chacune des disciplines très véritablement artistiques : ils
avaient des preuves qu’on cherchait à leur cacher la Vision / l’existence du
Paradis et ont prouvé à travers leurs arts qu’il existait en ouvrant des
fenêtres / voies en témoignant même si à première[s]-vue[s] invisible /
difficilement visible comme si cette sécurité qui permet de le faire disparaître -(si des ovnis arrivaient d’autres systèmes
solaires, soit d’autres exoplanètes – ce qui contraindrait à tirer le signal
d’alarme en faisant disparaître la Vision du Paradis)- avait
d’avance tenu compte d’une malhonnêteté sur place qui pourrait avoir lieu au
point d’y recourir pour cacher la Vision du Paradis, soit autrement dit celle
d’Ôz, ce
qui a été en réalité le commencement de l’histoire
de l’aventure humaine -[H. A. H.]- nous ayant mené jusqu’à nos jours où enfin
cela semble enfin possible de rétablir
la Vision d’Ôz, soit celle du Paradis et de ces quasi synonymes
comme Arcadie, Atlantide, Eden, etc. dont Schtroumpf, parce que nous bénéficions
enfin des instruments pour communiquer en vérité à l’écrit en tenant compte de
la complexité de chacun des problèmes à résoudre – il y a donc la Vérité n’en
déplaise au doc. M. qui d’ailleurs, m’a-t-on dit – l’un de ses infirmiers
confirmé par la doctoresse Hortense Boulanger - est entre temps mort – à chaque
fois qu’il m’a fait hospitaliser à partir de 2008 il a fait perdre des
milliards d’euros -(et je minimise car ces milliards ce fut à chaque seconde y
compris depuis que j’ai eu, après mon déménagement à mon adresse rue de l’Ecole Polytechnique, à cesser d’intervenir à travers Espace
et Temps)- à tous en raison de mes communications à travers Espace et Temps
qu’il interrompait ne voulant pas comprendre ce qui se passait d’exceptionnel
pour tous en raison de ce qu’à partir de 2005 j’avais enfin eu de nouveau accès
à ma conscience, comme en 1967 et 1977 – CQFD – soit qu’il existe bel et bien
dans l’être humain la sécurité qui permet d’accéder à la conscience, celle-ci
en l’être humain étant bien la preuve de l’existence de Dieu, par conséquent de
la sacralité des langues maternelles et des pensées les plus scientifiquement
exactes mais aussi des sacrements dispensés par chacune des religions et les
vérités plus ou moins relatives ou/et vraies qu’elles offrent comme garantie[s]
/ approche[s] à/de l’existence de la Vérité).
Probablement pour cela il faudra que l’Église trouve
un terrain d’entente avec ceux qui ont hérité de l’accès à la salle des
machines -(soit tous ceux qui étaient du côté de satan –[soit comme je le vis de la plus ou moins totale
cécité intellectuelle]- avant qu’en fait celle-ci, satane –[soit la haine et
ses corolaires de colère[s] noire[s]], ne finisse - comme je vous l’ai dit plus
haut, [comme]- foudroyée congelée). Au préalable, ils confirmeront -(pour en faire bénéficier
à l’ensemble de leur respective âme)- leur
dessein de rétablir progressivement comme au cours d’un sevrage inversé – soit
une prise chaque année de plus en plus longue - de la « drogue » de
la plus qu’admirab[i]lissimis…simissime beauté du Paradis, ce qui devrait -(comme la beauté / bonté et bienfaisance en ont
toujours été les auteurs)- en guérir plus qu’un.
Monsieur le Cardinal, arrivant au terme de cette
missive, je vous prie de croire en ma reconnaissance pour/de m’avoir lu et en
mes sentiments les plus respectueux les meilleurs comme en ma renouvelée
reconnaissance éternelle -(en attestent les œuvres de moi que vous me ferez l’honneur
de vouloir / choisir – voire toutes - pour l’Église)- si vous parvenez à ce qu’on
cesse de me martyriser à chacune des secondes de ma vie comme c’est hélas,
infiniment hélas, le cas depuis 2017, en confirmant à madame la doctoresse Hortense
Boulanger du C. M. P. Saint-Jacques, 24 A Rue des Fossés Saint-Jacques, Paris
Cinquième Arrondissement, tel : 01 45 65 61 03 - que l’acquis de conscience -(soit l’état de ciel ou/et d’éveillé-par-acquis-de-conscience,
soit de bouddha, ce que je suis redevenu)- est bien une caractéristique essentielle
-(le centre générateur / l’axe central)- de toute évolution humaine -(inhérente
des/aux homo sapiens sapiens
qui ont ainsi accès à la lumière en eux)- que cela met à l’abri de la
plupart des maladies psychiques – voire de toutes - car c’est à cette occasion
où cela se déroule / advient une sorte de grand nettoyage de l’âme et bien la
sécurité en l’être humain qui peut mener au cours de l’étape suivante à la
connaissance et/ou compréhension / approche du Saint-Esprit de la Sainte Église
Chrétienne Catholique Apostolique et de ses sacrements, caractéristique, la
conscience, que j’ai décrite et prouvée avoir retrouvée -(ce texte dont vous savez
qu’elle a copie l’attestant sans l’ombre d’un doute car il nous fallait prouver
/ vérifier le bien-fondé des sacrements dans cette perspective à l’occasion de
ma Confirmation au Panthéon de Rome dans les années 70, mais cette fois-ci, à
partir de 2005, grâce au sacrement du/e Mariage que les précédents sacrements
de la religion chrétienne catholique -(Baptêmes et Confirmation)- garantissent
contre les sataneries de tous ordres / poils, CQFD et
vérifier avant d’avoir à assumer les rôles de père et de mère d’un enfant auquel
rôles le très véritable Mariage religieux donne accès –(par, justement, cet acquis
de conscience).
Vous lui direz, si vous le croyez nécessaire, que
l’Eglise est au courant depuis ma naissance de ces démonstrations
et vérifications scientifiques concernant la multi-dimensionnalité de Ses
sacrements comme leur nécessité à/d’être en ce monde les très véritables appuis
/ socles / fondations qu’ils sont / représentent. Cela a donc été prouvé par toutes
c/mes démonstrations annoncées autrefois du futur -(depuis 1967 et de nouveau à
partir / depuis 1977), par conséquent que je vous parais raisonner très
logiquement, justement et véritablement, soit sainement –(malgré l’exceptionnalité
de mon cas)- grâce à cette conscience retrouvée : guéri, cependant que
vous vous inquiétez de ce que je souffre autant des effets secondaires
indésirables des médicaments dont, depuis 2005 je n’ai nul besoin étant donné
que précisément l’acquis de conscience survenu à cette date est la solution
miracle -(le remède dans l’être humain)- à toute forme de schizophrénie car à
la suite de la restauration de la conscience dans l’être humain il n’existe
plus de malin en nous au sens négatif -(par ex. dans l’expression » faire
le malin «)- de ce mot qui en a du positif -(par ex. : » c’est
pas bien malin «, » soit malin «, » ici, il faut être malin «)- dans
d’autres SPOK / cas particuliers, par conséquent qu’il est tout à fait inutile
de contraindre une personne qui s’est délivrée à jamais du mal[in] par acquis
de conscience à être soignée comme schizophrène, ces « soins » étant
tout à fait inutiles à prodiguer en pareil cas qui décide souvent / est l’étape
au préalable d’un engagement plus approfondi de celui qui en a bénéficié dans les
ordres : il n’est pas rare que la personne ayant bénéficié de cet acquis
de conscience devienne prêtre, (ce qui probablement vous est arrivé cher
Cardinal Vingt-Trois, ce que vous pourrez lui ajouter / dire pour qu’elle
comprenne qu’il s’agit d’une étape normale d’une évolution individuelle particulière
/ précise : l’ouverture de l’esprit).
Je vous remercie aussi d’avance pour l’aide que
vous apporterez pour que nous parvenions à rétablir
en vingt-quatre ans la Vision du Paradis selon notre programme grâce à
votre aide, à celle du Saint-Père -(et de Jésus Christ et saint Pierre, comme
de la Vierge Marie)- que je vous prie de tenir au courant y compris des
éléments qui dans cette missive plus haut le concernait, le concerne et le
concernera très/plus particulièrement -(merci de lui envoyer la copie de ce courrierIn[e]).
Vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz
Laurent-Marie Granier …
Lang d’Ôz.
[1] Petit rappel de nos relations passées avec,
entre autres, ma
lettre à votre égard que je vous avais promise quand nous nous
sommes vus la première fois très rapidement dans la sacristie de
Saint-Jacques-du-Haut-Pas à la suite d’une eucharistie que vous étiez venu
célébrer. Il s’agissait alors des journées durant lesquelles je transmettais /
communiquais -(depuis le studio que j’habitais rue du Val de Grâce)-
aux années 1977 et suivantes, découvertes de façon surprenante synchrones -(à
ce sujet, il y a une erreur dans la lettre à monsieur le Président Emmanuel
Macron joignable ci-dessous : il faut lire 1977 et non 1975 et ce n’est
pas trente ans mais vingt-sept années. Détails que j’ai pu finir par déterminer
très exactement en poursuivant dans ce studio de la rue du Val de Grâce -(que mes parents avaient loué pour moi)- mon
auto-psychanalyse.
Quand j’aurais le temps, je ferai les corrections. Je vous prie donc
d’excuser ces à premières-vues non exactitudes dont vous prendrez connaissance
dans la
lettre résumée à Monsieur de président de la République Monsieur Emmanuel
Macron – c’est la lettre dont il est question ci-dessus).
Peut-être vous aurez la gentillesse de vous rappeler que je vous
avais dit, à l’occasion de cette première espèce d’entrevue -(elle a été la cause de ce qui m’a permis de
dicter à travers Espace et Temps aux années 1977 et suivantes que vous seriez
cardinal autour des années 2005, puisque je devais vous rencontrer à
Saint-Jacques à l’occasion décrite ci-dessus. Il fallait bien que cela
advienne, donc il fallait, avec effets rétroactifs, que je dicte du Ciel aux
années 1977 et suivantes -(synchrones avec celles des années 2005 et suivantes
mais aussi avec celles de 1967 et suivantes)- votre élection au poste de
cardinal)- que j’écrivais une
lettre au Pape que j’espérais / je comptais -[que]- vous lui fassiez
parvenir. Au sujet des transmissions qui concerne l’Eglise,
j’ai pu transmettre entre autre[s] la chronologie des successions des papes à
partir de l’année 1977 jusqu’à nos jours, y compris l’éméritat de S. E. le
Papes Benoît XVI par précaution, en raison de la
liste des horaires des fossés-douves à crises cardiaques, ce qui a
signifié pour moi de protéger la vieillesse de ce Pape allemand en raison, vous
vous en rendrez compte -(si vous vous donnez la peine de lire le document dont
le lien hypertexte est just’avant cette parenthèse),
des trop nombreux dangers d’être fauché aux horaires signalés.
A ce sujet, comme le Pape François n’a pas su pourquoi son
prédécesseur lui laissait le champ libre en raison que je l’avais demandé du
Ciel pour lui éviter des probabilités d’être concerné par ces fossés-douves à
infarctus, je vous prie de tenir au courant Sa Sainteté le Pape François, en
lui conseillant de devenir émérite à son tour pour -[lui]- éviter le
pire : de tomber, à l’occasion d’un de ces horaires scrupuleusement notés
par mes soins -(il en reste encore quelques-uns
à noter / inscrire, ce que je ferai quand j’aurais le temps)- dans la masse de ceux qui seront fauchés au cours de
ces moments que j’ai osé appelé » fossés-douves à crises cardiaques «.
Une fois émérite, le Pape suivant sera, si vous voulez bien,
asiatique ou africain. Ici comme vous voulez pour le meilleur bien de l’Eglise et/ou de Jésus-Christ. C’est vous qui, avec le Pape
François, choisirez. Il portera le nom de Florent … (les trois petits points
sont ici pour le chiffre romain dans le cas où il y a déjà eu un pape Florent,
sinon ces trois petits points porteront le chiffre I -(un,
soit dit et lu » premier « )- romain. S’il vous plait vous le mettrez
au courant de mon existence et de ces horaires détestables mais pour tous une
réalité à affronter -(une chance que nous les ayons), ce qui limitera à son
tour la durée du pontificat de Florent de façon à, à son tour, comme les papes
François et Benoît devenir émérite vers les soixante-quinze ans et nommer un
successeur -(qui portera alors, après le pape Florent le nom de Laurent …)-
qui, si le précédent était asiatique sera africain et si le prochain africain
alors asiatique. La nationalité d’origine des papes est un paramètre important
pour construire Ôz,
soit le futur gouvernement mondial issu de la civilisation de la mondialisation
des échanges -(C.
M. É.)- des solutions alternatives élégantes -(SAÉ)-, et etc. autour de la réalisation concrète
de la Monnaie de l’Ôz
qui ne va pas se substituer aux autres monnaies -(qui pourront localement
continuer à circuler), mais qui va faciliter les commerces / échanges interRégionaux, au sens d’Internationaux et/ou mondiaux).
En vous rencontrant ce jour-là à Saint-Jacques, je vous avais dit
alors qu’à mes moments perdus –(je n’avais pas pu vous
dire que j’étais vu et entendu dans le ciel des années 1977 et suivantes
synchrones avec les années 2005 et suivantes, d’où j’intervenais de façon
rétroactive -(soit une autre fois dans le passé des années 1967 et 1977). Cela
de mon avis était/serait trop difficile à vous apprendre et à vous faire comprendre
oralement -(ainsi sans préparation ou/et sans que vous
disposiez au préalable de paramètres pour le croire). Aussi je vous l’avais
alors tu me sachant devant vous visible et audible dans le ciel, probablement
d’une autre époque passée car ce dont je me savais dans le ciel de Rome en 1977
concernait en 2005 l’emplacement géographique précis de mon studio au cinquième
étage, porte face ascenseur légèrement à gauche en en sortant au 12 bis de la
rue du Val de Grâce, 75 005 Paris qui est situé au-dessus de la villa Strohl-Fern à Rome 1977 synchrone avec 2005 à Paris et avec
1967 à Paris, cependant que de la sacristie de Saint Jacques-du-Haut-Pas je ne
savais pas où, dans le passé, on me voyait comme c’est le cas à ma nouvelle
adresse de la rue de l’Ecole Polytechnique depuis mon
dernier déménagement autour de 2013).
Aussi à mes moments de repos dans ces communications à travers
espace et temps, j’écrivais au Pape Benoît que je voulais passer par vous pour
lui adresser ma lettre que finalement
j’ai publiée sur mon site dans la rubrique des » lettres envoyées « et
cela malgré l’état de trois seules relectures/corrections, soit en
toute transparence de, probablement, innombrables maladresses et/ou imperfections -(d’autant qu’alors je recommençai seulement à
écrire, donc je débutai), ce dont je vous prie
de m’excuser car évidemment ce qui n’est pas assez corrigé augmenté, abrégé, et relu et [ré]élaboré, bref C.A.R.É. n’est pas
normalement publiable, mais vous m’aviez dit de vous envoyer cette lettre
-(quand elle serait prête – je pensai alors dans la semaine, voire la semaine
suivante - et que vous feriez alors le nécessaire), ce que je fis à une adresse
Internet que vous aviez eu la bonté de me confirmer -(que, si je me souviens
bien, commence par cavalle@diocese-Paris.net –
j’ai – entre temps – retrouvé la fin de cette adresse dans ma messagerie).
Alors que j’étais aux prises avec une réalité difficile à croire / à
admettre mais pourtant vraie, j’ai
aussi écrit aux présidents de la République en exercice car
l’occasion était trop belle pour que je poursuive / continue mes transmissions
à travers Espace et Temps sur les années 1977 et suivantes depuis les années
2005 et suivantes, synchrones ces deux époques avec celle de 1967 et années
suivantes, de manière à transmettre, entre autre[s], la plupart des formules de
médicaments trouvées durant l’époque de 1977 à celle des années 2005 et suivantes
pour qu’on les mette au point dès ces années-là selon les formules chimiques que j’avais
transmises, mais aussi pour pouvoir continuer à dicter le restant des
géolocalisations des réserves de pétrole pour éviter que le prix du baril de
pétrole n’augmente trop en raison de la très grande
quantité que j’ai eu, à partir des listes que j’ai trouvées sur Internet, à
apporter sur les marchés -(plus de 50 % des réserves actuelles)- ce
qui pouvait facilement / amplement financer la reconversion vers les énergies
dites » propres « qu’il fallait mettre en chantier à partir de ces
années 1977 et suivantes, comme quantité d’autres choses j’ai pu transmettre à
raison de quinze heures par jour -(quand j’étais chez moi et non hospitalisé,
comme ce fut hélas le cas jusqu’à mon déménagement de 2013 pour mon adresse
actuelle de la rue de l’Ecole Polytechnique).
C’est ce
qui a retardé l’écriture de votre lettre -(celle que je vous ai
adressée – dont évidemment il ne faut pas tout croire car j’y porte parfois le
masque – ce qui vous permettra de découvrir où)- de quelques mois alors que je
vous l’avez promise pour les jours qui suivraient notre très brève rencontre.
Effectivement cela a été beaucoup plus long que j’espérai à cause d’un
internement psychiatrique de trois semaines, mais à cause de mon déménagement
comme d’un médicament dont on m’a heureusement sevré -(sous ma direction)- car
j’ai eu à découvrir une chose pour moi incroyable / impensable /
inconcevable : les psychiatres parisiens n’ont pas encore pris l’habitude
de sevrer dès la première dose des médicaments neuroleptiques qu’ils prescrivent
-(une cause pour laquelle il va falloir se battre et qu’il va falloir gagner
tant la situation actuelle est dangereuse pour tous et dans certains cas, hélas
comme ce fut le cas pour moi, insupportab[i]lissimis…simissime en matière d’injustissimis…simissimes souffrances).
Vous le savez, ces sevrages doivent devenir obligatoires, en raison de ce que
le temps qui passe répare bien mieux chacun s’il s’impose au préalable de devenir
végétarien : le remède à plus ou moins long terme pour la grande majorité
des maladies psychiques car la plupart des maux proviennent d’une inadéquate
alimentation – c’était élémentairement alimentaire à vérifier comme j’eus à le
prouver à partir de 1977 à nos jours). Hélas, ces « médecins » n’ont
pas encore appris à sevrer, ce qui les fait prescrire continuellement le même
médicament neuroleptique avec lequel ils ont cru / croient avoir la paix. Mais
c’est alors empoisonnant pour le patient qui a de nombreuses probabilités de
subir les effets secondaires indésirables de ces « médicaments ». Ce
qui se déroule alors est cauchemardesque, inhumain : des souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes dont sont l’objet certains des patients
contraints de recourir au suicide tant c’est horribilissimis…simissime à vivre. Nous avons donc, monsieur le cardinal,
un combat à mener : une nouvelle cause pour laquelle nous devons tous nous
battre : l’obligation que pour tout « médicament » neuroleptique
prescrit à 25 mg -(tout ce qui est plus de 25 mg étant absolument interdit à
administrer car 25 mg de Risperdal ou de Xeplion est
la dose maximal insupportab[i]lissimis…simissime à supporter, celle pour laquelle un sevrage doit
aussitôt être prescrit / proposé sur, au grand maximum, un an, et pour cela il
faut revoir tous les dosages car tels qu’ils sont prescrits ce sont d’abominab[i]lissimis…simissimes martyrissimis…simissimes, c’est-à-dire torturantissimis…simissimes -(alors que la torture a été abolie)- dont les
personnes conduites dans les hôpitaux sont victimes leur conscience ayant été
abusée.
C’est en éveillé-par-acquis-de-conscience, c’est-à-dire ce qui
signifie bouddhahs que j’ai donc pu inspecter avec moi-même en cobaye
volontaire la situation psychiatrique française. C’est au paroxysme du
scandaleux : les psychiatres peinent à comprendre comment mettre au point
un sevrage ce qui signifie qu’ils ne pensent qu’à prescrire ces médicaments et
ne jamais en délivrer les patients, ce qui signifie qu’ils font devenir
artificiellement malade par abus de confiance en contraignant ces malades -(lorsqu’ils sont hospitalisés à la demande d’un tiers)- à
souffrir des effets secondaires indésirables. Aussi ils continuent à prescrire
ce qui, je l’ai dit, rend artificiellement malade de souffrances incommensurables -(mais vous découvrirez
dans mes divers écrits que j’ai trouvé le moyen de mesurer cette souffrance
pour tous ceux qui sont sourds et muets mais qui savent lire et écrire. Cela
fait partie d’une lettre à ma psychiatre H. B. que je vais un de ces jours publier)- et insupportabilissimis…simissimes.
Le plus tragique est ce qui concerne chacun de ces médecins soi-disant
psychiatres : comme ils deviennent coupables de prescrire des médicaments
neuroleptiques aux effets dévastateurs insupportab[i]lissimis…simissimes, ils
obtiennent pour eux-mêmes après leur mort les plus tragiquissimis…simissimes -(car il y a eu
de leur part abus de confiance, tromperie de leurs patients car ils les ont
fait souffrir ces effets indésirables martyrisantissimis…simissimes)- cauchemardesquissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes et etc. réincarnation[s], car ne sachant pas
établir un sevrage -(ce qui n’est pourtant pas
difficile)- au moment où ils prescrivent la première dose d’un médicament
neuroleptique – ce qui devrait être rendu
obligatoire ne serait-ce que pour rassurer les patients. Ces
« psychiatres » ne sont en réalité que des charlatans qui ont cru des
inscriptions / écrits à propos des effets des médicaments qu’ils ont, malgré
cela et à cause de cela, cru pouvoir prescrire !
Mais si découvert une nouvelle cause pour laquelle il vaut la peine
de vivre pour améliorer les choses dans/sur ce créneau, permettez-moi de vous
écrire pour vous demander votre protection et celle de l’Eglise
comme celle du Pape François et des suivants, une fois que le Pape François
comprendra qu’en raison de ces douves à crises cardiaques / infarctus, il vaut
mieux se conduire de façon prudente et devenir émérite à son tour pour ne pas
en faire trop à partir d’un âge avancé. C’est valable aussi pour vous dont pour
l’instant j’ignore l’âge. En effet, en raison de ce que de nombreux médecins
appartiennent à la catégorie des laipis -(acronyme pour strictement laïcs, athées, ignorants, au sens négatif de ce mot
qui en a du positif dans d’autres SPOK – situations
précises, occasions, cas particuliers -[car ici c de cas et p de particuliers = K de SPOK]),
profanes, inconscients -(au sens négatif de ces mots qui en ont du positif
dans d’autres SPOK)- et sacrilèges
-(parfois sans même s’en rendre compte, donc par omission de certains
paramètres), ils n’ont plus accès aux dimensions spirituelles, comme à la
sphère métaphysique, et encore moins à celle de la conscience, soit cette
sécurité qui existe dans/pour l’être humain d’atteindre l’Éveil, soit ce que
j’ai eu à démontrer entre ma naissance et mes quatre ans
-(quand j’ai eu à me projeter dans l’avenir et suis intervenu du futur en 2005
sur les années 1967 et suivantes, synchrones avec celles de 1977 et suivantes)-
et
entre mes quatre ans et mes quatorze ans -(à Rome - Italie – en 1977,
quand je suis intervenu audible et visible, immense dans le Ciel –[mesurant au moins six mille cinq cents mètres de
hauteur], d’avance depuis les années 2005
synchrones avec les années 1977 et suivantes à tel point que comme du ciel
j’annonçai les années Mitterrand, François Mitterrand a fait le déplacement à
Rome auprès de mon père pour me rencontrer alors que je faisais en chair et en
os du vélo dans le jardin du Colle Oppio, non loin de chez moi alors via Mecenate 22, tandis que depuis le début de l’année 1977 je
faisais intervenir quotidiennement mon double d’avance dans le ciel, d’avance
synchrone avec moi-même dans les époques de 1967 et 1977, en transmettant /
communiquant quotidiennement les informations pour bâtir à partir des années
1977 les années 2005 et suivantes. Malgré les films de sciences fiction qui ont
habitué les habitants de notre planète aux choses les plus incroyables mais vraies, certains de
ces « médecins » n’ont pas la soif de comprendre mon cas, au
point d’avoir dédaigné la lecture des explications que j’ai données dans ma
lettre aux présidents de la République française et dans celles
aux Papes Benoît XVI et François, comme dans
la vôtre ainsi qu’un
avertissement pour l’Union Européenne. Aussi au lieu de comprendre que
cette sécurité de l’accès à la conscience est bien naturelle, ne comprenant pas
pourquoi je soliloquai au 12 bis rue du Val de Grâce chez moi en raison de ce
que je me savais vu et entendu vingt-sept ans avant, à partir de 1977, dans le
ciel de Rome et trente-sept ans avant, à partir de 1967 à Paris, donc en
exerçant pour la première fois dans l’histoire
de l’aventure humaine (H.A.H.) la fonction d’empereur en étant bouddhahs -(ce à
quoi j’ai donné le nom commun d’eanmeailleurs), soit éveillé-par-acquis-de-conscience,
par conséquent dans l’exercice de mes fonctions et dans le plus véritable
intérêt / bien général, ils ont cru pouvoir interrompre ces soliloques, la
plupart du temps de lectures à voix haute devant / depuis mon ordinateur relié
à Internet de données précises transmises à travers Espace et Temps dans
l’époque des années 1977 et années suivantes, parfois dans l’époque des années
1967 et années suivantes où effectivement je m’étais entendu -(et non vu comme
ce fut le SPOK à partir de 1977 à Rome)- dans le Ciel, et cela parce qu’il y
avait eu quelques plaintes de la part du voisinage en raison de ma voix -(car elle est celle de la Vérité qui pré-existe sur toutes choses, par conséquent qui est celle
d’une personne qui anticipe, très véritable prophète, par exemple à partir des
données statistiques), sans même l’assistance de
micro qui atteignait ces années alors passées depuis longtemps, mais qui,
lorsqu’elles s’étaient concrétisées en ma présence, m’avait en effet fait
remarquer qu’effectivement il y avait bien eu des communications /
transmissions exceptionnelles de données très importantes pour les adultes de
ces époques des années 1967 et années suivantes et des années 1977 et des
années suivantes !
Comme à première vue en rentrant chez moi en ces temps-là des années 2005 à 2013 au cinquième étage du
12 bis rue du Val de Grâce j’étais tout seul -(bien entendu avec mes esprits
–[on le sait le matin il convient de retrouver ses esprits – une sorte de
parlement intérieur comme l’a décrit, parait-il – (Michèle Finck me l’a dit),
Alexandra David Neel])- parce qu’il n’y avait que mon
studio autour de moi contenant les affaires de mon déménagement d’un studio que
j’avais habité non loin dans la rue Pierre Nicole au 32, ils ont alors estimé
qu’ils devaient m’hospitaliser au lieu de me poser des questions pour que je
leur donne des explications, ce qui m’était très difficile oralement tant mon
cas me paraissait, depuis 2005, extrêmement complexe, étant donné que j’avais
enfin la preuve que j’étais au même moment dans au moins trois époques
distantes de trente-sept ans -(1967)- et vingt-sept ans -(1977)- en même temps
que depuis 2005 à cette nouvelle adresse dont j’avais pu vérifier vingt-sept
ans avant qu’elle se trouvait en fait au-dessus de Rome 1977 et années
suivantes synchrone[s] avec 2005 et années suivantes, cela ayant été vérifié
par ma fiancée S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et les élèves du Lycée
Chateaubriand à Rome comme par mes parents et les habitants de Rome et du
Vatican et comme je l’ai dit par Monsieur François Mitterrand qui avait voulu
voir pour croire -(une fois encore : il
était venu à Rome pour s’assurer lui-même que les bruits qui couraient à son
sujet étaient vrais car ses deux septennats étaient annoncés –[comme la
composition détaillée de ses divers gouvernements]- par l’immensité que j’étais
-[alors dans le ciel]- constitué de nuages)- et
auquel j’ai transmis la plupart des étapes importantes de ses deux septennats
pour lui faciliter la tâche mais aussi parce que dans ce cas de figure de la
Création, au sens rénaisienne du terme – (voir les
films Smoking : No smoking de S. A. I. S. S. S. L. P.
Alain Resnais, c’est parce que j’ai pu transmettre la feuille de route aux
années 1977 et suivantes que nous avons pu revenir exactement aux années 2005
et suivantes d’où j’étais intervenu en 1967 et années suivantes et sur les
années 1977 et années suivantes. Vous pouvez bien imaginer aisément combien
j’ai alors su profiter -(dans l’exercice de mes
fonctions d’empereur-bouddhahs, c’est-à-dire d’éveillé par acquis de
conscience), de l’opportunité qui s’était
offerte à nous tous de ce que je transmette à raison d’au moins huit heures par
jour sept jours sur sept dans tous les domaines possibles, de façon à faciliter
de travail de mon père que j’avais imposé du ciel, par l’opération du
Saint-Esprit – du moins en conscience - comme nouvel empereur après le
précédent dont j’avais pu vérifier qu’il n’avait jamais accédé à la conscience,
par conséquent qu’il ne s’était comporté que d’une façon subjective et non
objective, donc arbitraire et non multi-catégoriellement,
voire multi-dimensionnellement comme
c’est le cas une fois qu’on accède à cette sécurité de la conscience qui peut
déboucher, dans certains cas, à l’intérêt que représente alors les religions,
dont la religion chrétienne catholique, au point de réussir à comprendre
l’intérêt qu’elle a / revêt, notemment grâce aux
nombreux sacrements qu’elle dispense, par conséquent de réussir à comprendre ce
que peut-être le Saint-Esprit, voire le Saint-Sacrement –(c’est souvent la
prise de conscience d’une personnalité qui est à l’origine d’une religion
nouvelle, voire mots et/ou catégories nouvelles parce qu’on accède à la Parole,
soit la possibilité de nommer / écrire, soit enfin penser justement au cas par
cas). C’est d’ailleurs parce que je n'avais pas triché dans mes démonstrations
à partir de 1977 en me préparant pour devenir père de famille –(en fait pour me marier de
façon religieuse, par conséquent dans le respect du sacrement du mariage)- que j’ai eu accès à ma conscience comme cela avait été
le cas en 1967 à l’âge de mes quatre ans -(soit l’âge-de-raison, précoce dans
mon cas)- et en 1977 pour Christine à l’âge de mes quatorze ans. Mais cette
fois-ci c’était à quarante-deux ans pour S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck
qui n’avait pas voulu, en 1977 de ma solution alternative élégante des deux
épouses, par conséquent qui nous avait contraint Christine et moi à nous éparer
et à perdre les enfants que nous attendions en immaculée conception étant donné
que nous nous étions réservé l’un pour l’autre chastement, sa virginité
physique ayant fait l’objet d’une vérification par l’Église quand j’étais
apparu dans le Ciel de Rome à partir de 1977, cependant que sa virginité
intellectuelle / spirituelle était indubitable pour tous, par conséquent
qu’elle était à nos yeux Isis elle-même, soit la très sainte Vierge Marie des
années 1967 /1977 et 2005 et suivante ! Mais Michèle Finck de
Strasbourg à 17 ans en 1977, (même pas majeure), jugea qu’elle était la seule
impératrice possible et refusa la solution des deux épouses qui permettait
d’éviter, rétroactivement, la Crucifixion de Jésus Christ et qui donnait
une chance à tous les morts de chacun des conflits militaires dans le passé de
ne pas tomber sur les champs de bataille. Cependant j’ai pu finalement vérifier
que Michèle Finck ne pouvait comprendre. Sa situation de provinciale mais aussi
familiale lui avait fait croire au mariage tel que l’Eglise
Catholique Romaine le proposait. Elle ne comprenait pas qu’elle avait en 1977
au téléphone le bouddhahs lui-même, celui qui intervenait par acquis de
conscience d’avance dans le futur, à partir des années 2005 et suivantes qui
étaient pour lui, (devenu empereur à partir de 1995), synchrones avec ces
années de 1967 et 1977 ! Il avait -(j’avais donc)- toute la légitimité
requise pour proposer ce double mariage car une fois bouddhahs – s’écrit
ainsi : bouddhahs quand il s’agit de l’empereur qui a accès à la
conscience, soit à l’éveil et à la bouddhéité, ce qui est très rare, voire avec
moi une première dans l’H. A. H. -(histoire de l’aventure humaine)- mais
m’a concerné avant même ma conception / ma naissance car j’ai appris dans les
années 2005 et suivantes, de ma mère, qu’elle m’avait entendu dans le ciel
avant ma naissance, aussi mes interventions –
sans même l’aide d’un micro, ont eu lieu
probablement dans une dimension extraordinaire, voire peut-être avant même la
Création quand elles n’étaient alors que du virtuel et pas encore du réel, ce
qu’elles -(ces interventions)- sont devenues à partir de 2005, en démontrant
qu’il y a un temps qui existe bel et bien entre une chose virtuelle et la
réalité de cette chose qui était virtuelle comme sont toutes les choses
prévues : mes communications entendues à partir de 1967 et 1977 ne se
dérouleraient dans la réalité qu’à partir de 2005 si tout ce que décrit / dicté
du ciel par vos dévoués serviteurs vos eanmeailleurs -(un pharaon devenu
bouddhahs)- à partir de 1967, 1977 et 2005 était mis en chantier / advenait
dans la réalité, une réalité virtuelle à partir des années après la Seconde
Guerre Mondiale si et seulement si on refusait ma solution alternative élégante
des deux épouses-promises, ce qui me donnait le droit de créer deux familles,
l’une à partir de 1977, dès l’âge de mes quatorze ans avec Christine, et
quelques années après avec Michèle, ce qui permettait de baisser le prix du
baril de pétrole et de
restaurer la Vision du Paradis. En effet, c’était l’empereur
lui-même, devenu bouddhahs en 1967 et à partir de 1977 de nouveau qui
intervenait du ciel après avoir démontré de 1967 à 1977 combien étaient
essentielles les religions dans l’éducation d’un enfant pour qu’il ne tourne
pas mal et qu’il puisse devenir l’un des bouddhas, soit des éveillés par acquis
de conscience, ce qu’effectivement j’ai démontré en devenant un enfant qui
avait fait sa Première Communion pas entièrement honnête avant, au contraire,
de me préparer à ma Confirmation de façon honnête au point de confirmer une
fois devenu bouddhahs – soit éveillé par acquis de conscience – les différentes
religions intellectuellement admissibles mais surtout la chrétienne catholique
en ayant eu à faire cette Confirmation dans l’Église du très Saint Panthéon de
Rome, celle -(cette Confirmation)- qui devait avoir lieu à
Saint-Louis-des-Français ayant été annulée au dernier moment pour l’effectuer
au Panthéon, en raison de ma conduite irréprochable durant la retraite ayant eu
lieu à la Trinité des Monts).
Aussi mon frère aîné
était venu de Paris pour être mon parrain au cours de cette Confirmation, tous
les sacrements ayant été confirmés et bien sûr aussi celui du mariage, ce qui a
permis à la génération de mes frères ainés de se marier et d’attendre les
enfants qu’un bon nombre d’entre eux ne savait pas qu’ils attendaient. C’est
alors que j’ai compris que de façon exceptionnelle je pouvais avoir droit à
deux épouses sans trahir la religion chrétienne catholique, donc en demeurant
dans l’Eglise. Cependant le mal était fait en
Alsace : Michèle s’était mis un préjugé en tête à propos du mariage au
point de croire possible que Christine et moi nous sacrifiçassions / sacrifiassions / sacrifiions
-(bon Dieu comment l’écrire ce mot !)- notre amour et nos enfants pour
elle, ce que la génération des adultes a cru elle aussi, alors qu’il y avait eu
le Débarquement des Alliés pour réunir des êtres humains ayant été séparés par
des personnes ne croyant pas à la sacralité des mariages devant Dieu, soit
devant la conscience – soit en conscience ! Pire, ils crurent possible
nous imposer, à Christine et à moi, cette séparation alors que dans le Ciel,
immense -(car mesurant environ six mille cinq cent mètres constitués de nuages),
j’intervenais à cause de la crise du pétrole pour sauver la situation
rétroactivement en proposant la nouvelle
nouvelle donne interRégionale -(au sens d’internationale)- mondiale -(NNDIM)- au cours de la Dictée Pharaonique que vous savez
dont les détails ne pouvaient avoir lieu – j’avais été clair avec mon père en
1977 – que si et seulement si ils étaient acceptables en conscience.
De toute manière j’étais en légitime défense de l’anneau de mariage de mes
parents comme de celui que j’avais avec Christine mais d’avance celui que
j’aurais avec Michèle si et seulement si j’obtenais de ma personne une amnésie
-(canonique – [ce qui signifie qu’on peut – en conscience - y recourir]- en
pareil SPOK / [cas particulier, etc.])- car ce qu’elle me demanda au téléphone
ne pouvait avoir lieu –(confirmé par celui que
je serais et qui intervenais dans le Ciel de Rome depuis le début de l’années
1977)- sans
cette amnésie : Michèle me demandait de l’aimer elle alors qu’[elle
était]- à l’origine du sacrifice de séparation et de la perte des enfants que
j’attendais de Christine ! Pour cela je ne pourrais rencontrer Michèle
qu’une fois devenu, grâce à l’amnésie, profane : un des laipis !
On peut ici être certain que ce fut dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A.
H.)- la naissance même de la Tragédie : pour
tous, Christine et moi devions nous séparer jusqu’à 2005 et perdre nos enfants
-[qui s’étaient]– annoncés par la présence autour de mon doigt annulaire -(de la main gauche)- des hommes et des femmes les
plus véritablement mariés, de l’anneau immatériel immaculé qui réapparu à
partir de 2005 à mon annulaire pour Michèle.
Mais, je m’aperçois, mon cher cardinal Vingt-Trois que
j’anticipe sur vos lectures si elles n’ont pas déjà eu lieu avec les textes de
votre lettre, celle aux
présidents de la République et celle
aux papes -(si vous deviez ne pas avoir eu le temps d’en prendre connaissance).
Je vous prie vous me direz ce que l’Église compte faire –(d’autant qu’à la
demande de Christine j’ai eu à demander au Pape, vers 2015, l’annulation du
mariage de Christine): j’ai pu vérifier en chair et en os ce qui était en 1977
du virtuel avec celui de mes moi-mêmes qui était
intervenu en 1967 et en 1977 -(comme parait-il avant ma naissance en 1963)-
n’avait aucunement menti en nous disant que j’avais le droit à deux promises /
fiancées / femmes ! L’anneau immaculé immatériel est bel et bien apparu à
mon doigt en 1967, 1977 et à partir de 2005, ce qui signifie que j’étais très
véritablement marié avec Michèle et Christine dans ce cas de figure de la
Création dans laquelle j’ai compris que je devais, en bouddhahs, reconnaître le
bien-fondé de la religion chrétienne catholique et cela malgré le fait que
cette religion tient autant que cela à la monogamie, alors que chacun de nous a
vu augmenter son espérance de vie au point d’avoir – je le crois – le droit de
se marier avec chacune des personnes pour lesquelles cet anneau immatériel
immaculé apparait au doigt annulaire des hommes et des femmes les plus
véritablement mariés – soit cosmiquement mariés –
soit universellement mariés car reconnus d’avance par leur descendance se
manifestant de la sorte -(par l’apparition de l’anneau immatériel immaculé)- pour
annoncer la réincarnation dont ils seront l’objet !
Oui, cher cardinal Vingt-Trois, le mariage est en tout cas un
sacrement quand il n’est pas / plus l’un de ceux des laipis.
Dites-moi, je vous prie, votre sentiment sur tout cela et surtout œuvrez, je
vous prie pour qu’on cesse de me martyriser atrocement et de façon insuportab[i]lissimis…simissimes avec des poisons trop grandement -(au sens de
trop fortement)- dosés parce qu’on a voulu se faire passer pour des
« médecins » trop peu soucieux des bienfaits d’une psychanalyse accomplie
/ terminée –(la parole -[sur soi-même donnant
accès aux meilleurs soins avec la beauté, bonté et bienfaisance comme les arts
et les sciences de l’art], est l’un des plus véritables remèdes avec la
confession et la repentance véritable / honnête)- comme
sourds à l’existence de cette sécurité qui existe
-(et dont parle S. A. I. S. S. S. P. B. le Quatorzienne
Dalaï Lama qui n’a pas menti -[car j’ai pu vérifier
et démontrer que cela se produit ainsi qu’Il l’a dit]- et l’appelle la voie
directe)- dans/pour tous les hommes et les
femmes de bonne volonté, soit un processus qui permet d’accéder de nouveau en
soi à la conscience, soit à la lumière en soi, ce qui mène -[parfois]- plus
loin : à la découverte du Saint-Esprit, notemment
dans la religion chrétienne catholique, comme à la compréhension de la
virginité chez les femmes -(ce que j’ai vérifié il est impossible de
comprendre, hélas infiniment hélas - comme de
nombreuses autres choses relevant du sacré - à
l’état de laipis, voire même de trop fraîchement
conscient).
[2] – (variante pour courriel)–
[3] -(aussi variante, mais
cette fois féminine, pour » courriel «, soit courrier Internet ; en
masculin : courrierIn)-
[4] -(acronyme pour situation[s] précise[s], occasion[s],
cas particulier[s} -[car ici c de cas et p de particulier[s] = K de SPOK])-
[5] Acronyme de » corrigée, augmentée, abrégée, résumée, relue, [ré]élaborée
… [sur ces trois petits points le nombre d’yxe fois
CARÉ(e)].
[6] -(église que vous avez
remarqué je fréquente parfois, en raison qu’elle est proche du domicile de S.
A. I. S. S. S. Sérénissimes Reines Impératrices ma mère Itala-France
Granier-Joussin d’Aime de Coni, habitant à Paris rue
des Feuillantines dans le Cinquième arrondissement)-
[7] -(voire même – il se
peut -[et c’est ça le pire] : de l’âge de raison. Probablement de leur
point-de-vue[s] un galimatias qui n’était pas dans leur corde avant que j’en
parle)
[8] -(retrouvée en grande
partie en raison du Sacrement du Mariage que je n’ai pas voulu faire semblant
de mériter)
[9] -(la voie directe comme -[le]- dit le Dalaï Lama dans un de ses livres, -[peut-être
est-ce celui que j’ai sous la main, La
Force du Bouddhisme, Mieux vivre dans le monde d’aujourd’hui[9], à
moins que cela soit dans l’auto-biographie de Sa
Sainteté le Dalaï-Lama que j’ai lu dans les années 2000])-
[10] -(soit dans ce que
nomment les bouddhistes le nirvana,
car sorti d’un seul coup du samsara,
soit ce qui peut être traduit par la notion d’enfer)-
[11] Son Altesse Impériale Sa Sainteté Satana[na!]nas les Lordissimes
Prince Roi Empereur
[12] -(depuis la
lettre à Sa Sainteté le Pape François et adressée aussi au Président Emmanuel
Macron)-
[13] -(et tout spécialement la note 14 où vous trouverez
les détails du Programme / Processus le meilleur pour le Rétablissement de la Vision d’Ôz, soit celle du Paradis)
[14] -(d’où j’étais intervenu sur la ville de Rome vers les
années 1967 -(ici sur Paris)- et 1977 synchrones avec
les années 2005 et suivantes, par conséquent en légitime défense de l’anneau
immatériel immaculé qui était apparu à mon doigt annulaire de la main gauche)-
[15] -(ce » ou bien « rénaisien
-(Alain Resnais)- de la Création qui change, comme
dans ses films Smoking ; No smoking en fonction de paramètres de
départ différents)- donc selon le cas de figure de la Création qui impliquerait
que je m’impose une amnésie canonique de ce qui était advenu dans le Ciel de
Rome à partir de 1977)-
[16] -(ce qui avait été une première fois en ma présence
sur Terre à partir de 1967 et une seconde fois à partir de 1977)-
[17] -(soit obéir alors que bien entendu, il s’agissait, en
conscience, d’un sacrilège à s’interdire totalement –[celui de la perte de mes
enfants de Christine]- et bien sûr à refuser en conscience)-
[18] C’est ce dont il a été question au cours de ces
communications / transmissions du ciel au point que nous en avons profité pour
instaurer, sur le plan militaire, l’objection de conscience, ce qui fut réalisé
sous François Mitterrand à qui je l’ai demandé du ciel. On comprenait avoir le
droit d’objecter en conscience sur d’autres points et cela, par exemple, par
soucis de cohérence avec des principes comme l’interdit de tuer, voire des Dix Commandements
si on veut être de ceux qui les appliquent.
[19] (au sens négatif de ce mot
qui peut en avoir du positif dans d’autres SPOK)
[20] -(s’écrit ainsi avec le h supplémentaire et le s
indicatif du pluriel quand il s’agit de l’empereur qui devient bouddha :
bouddhahs – soit un éveillé-par-acquis-de-conscience – avec moi une première
dans l’histoire de l’aventure humaine)
[21] -(sans même l’usage d’un micro, tant elle est juste et vraie)-
[22] -(par ce que j’ai, depuis ma première hospitalisation
à partir de 2007 le statut d’» hospitalisé à la demande d’un tiers « (le
fils d’un ami de mon père à qui mon père a demandé de proposer cela au centre médical psychologique
-(C. M. P.), donc d’être le tiers, parce qu’en raison de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale
Mondiale à travers Espace et Temps que je faisais depuis le studio de la rue du
Val-de-Grâce dans lequel je vivais à mon domicile principal, je n’avais pas eu
le temps de payer une facture à un organisme nommé Organic qui m’avait plusieurs
fois relancé. Cependant, vous comprendrez aisément qu’il y avait une priorité
pour moi qui me savai[t]s vu et entendu dans le passé
et dont il fallait profiter pour le Bien et l’Intérêt Général, grâce à mes
communications auxquelles j’étais contraint -(me sachant avec mes proches de ma
famille en difficulté dans les années 1967 et 1977, auxquelles années
heureusement ma voix – depuis si loin –[2005] - avait cependant en légitime
défense accès)- et puis dans les années 2000, j’avais écrit une lettre au
responsable d’Organic pour leur dire d’attendre que
je trouve un associé de façon à ce que je n’ai pas/plus à payer la taxe en
question. Mais le temps passait vite durant ces communications à travers Espace
et Temps et je ne trouvai pas le temps de régler ce problème -(puisque j’avais
dû arrêter la plupart de mes activités pour sauver avec effet rétroactif notre
planète)- en trouvant un associé -(car
j’étais rivé à ces transmissions à travers Espace te Temps)- au point que
j’oubliai le dossier d’Organic
dont eu vent mon père qui me voyant ne plus m’occuper de ma société Lorimage -(que
j’avais entre autre créée pour réaliser, produire et distribuer mon film La Momie à mi-mots)- demanda, à cause de cette dette -(qu’il
chargea monsieur Philippe Maraval d’honorer)-
qu’on m’hospitalise par le truchement du fils de son ami qui fit donc la
demande d’hospitalisation à sa place, donc » à la demande d’un tiers
« et du coup je n’eus pas/plus le droit de refuser le traitement médical
du Risperdal 25 mg qu’on m’infligea arbitrairement -(alors que je n’avais rien
fait de mal ni même n’étais coupable de ce retard de paiement puisque j’avais
contesté avec des arguments valables cette demande de participation financière
/ taxe à cause du peu de moyens financiers dont je disposai et de ce qu’avec ce
film d’art et d’essai je n’étais pas revenu dans mes frais), si ce n’est que je
réussis à convaincre ma psychiatre Nicole Koechlin de
réaliser le progressif sevrage de ce produit / « médicament »)- En
fait mon père avait estimé que parce que j’avais cette dette à Organic -(que je cherchai à éviter de payer)- je n’allais
pas bien et donc qu’il fallait m’hospitaliser car il ne voulait pas que je
commence à faire des dettes. C’était là tout mon crime, une dette de cent
cinquante euros -(qui en raison que j’avais refusé de la payer – pour des
raisons précises et justes que j’ai données - avait été chaque année augmentée,
soit avec ce montant de départ de cent cinquante euros, environ tout ce que
j’avais gagné après la sortie de mon film au Cinéma et cela après dix années de
travaux et d’investissements financiers de toute[s] nature[s] pour réaliser ce
film !)- Et à cause de cela les souffrances les plus insupportab[i]lissimis…simissimes des effets
indésirables du Risperdal dosé à mon admission à Sainte Anne infiniment trop,
même quand il me fut finalement -(à la sortie de Sainte-Anne, soit à mon retour
chez moi)- administré à 25 mg !
En 2017 le psychiatre doc. M.
-(alors que la dette avait été payée par mon tuteur
–[soit le fils de cet ami de mon père, Monsieur Philippe Maraval, avec un reste
d’argent -(de mes parents)- sur mon compte à la Caisse d’Epargne,
mais aussi en me réduisant hebdomadairement l’argent que j’avais pour vivre,
grâce à l’allocation adulte handicapé que mon assistante sociale et ma psychiatre avaient
obtenu pour moi] – Philippe Maraval, celui-ci
avait, parait-il -(c’est du moins ce qu’il m’a dit lorsqu’il était mon tuteur)-
fermé / clôturé / mis un terme à la société Lorimage que j’avais mis des
années à utiliser, une fois mon film sorti en salle, pour me permettre enfin de
facturer mes services -(ce qui était arrivé finalement une fois : demander
/ recevoir de l’argent en échange de mon travail / mes talents de vidéaste /
cinéaste au sein de cette entité commerciale pour deux courtes vidéo que je fis
pour une galerie d’art parisienne)- qui m’a
hospitalisé de force en prenant appui – (en prétextant)- sur le fait que
j’avais laissé passer de quelques heures l’injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, eut recours
à Monsieur Philippe Maraval pour lui demander d’être celui qui demandait pour
moi une hospitalisation « à la demande d’un tiers » de ma personne,
ce qu’à l’époque ce tuteur accepta de faire, abusé dans sa confiance -(car
cette hospitalisation était une vengeance / méchanceté du doc M. parce que je lui avais dit que la vérité
existait sur tous les points sans exception y compris en Médecine et tout
spécialement pour établir des sevrages exactes / fonctionnels et que lui
m’avait assuré du contraire : qu’il n’y avait aucune vérité en ce monde et
encore moins en Médecine et d’aucune façon en matière de sevrage – [permettez-moi ici d’ouvrir une parenthèse :
mon
plan pour le Rétablissement de la Vision d’Ôz est conçu comme un sevrage
inversé soit une prise progressive de plus en plus importante -(sur vingt-quatre
ans)- de la Vision d’Ôz,
soit celle du Paradis, par conséquent la vérité existe en matière de sevrage de
drogues et/ou de médicaments puisque le contraire existe : la prise
progressive de plus en plus importante de visions de beauté, comme je l’ai
inscrit en toute logique)], en devenant – ce
« tuteur » le responsable de toutes mes souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes des effets indésirables des
« médicaments » et cela alors que j’étais quasiment entièrement sevré
de ce « médicament » de Risperdal 25 mg !
Je vais demander, Monsieur le Cardinal, à cet ex-tuteur -(qui a finalement été destitué par madame la juge
des Tutelles du Tribunal d’Instance de Paris pour avoir eu un jour de retard
dans la communication de documents qu’elle attendait et cette destitution au
profit d’un curateur plus officiellement établi car mandataire judiciaire)- de retirer à
mon sujet sa demande d’hospitalisation « à la demande d’un tiers »
qui a eu pour effet de me confiner chez moi à écrire au sujet de ce plus qu’extraordinaire
advenu pour nous tous à partir de 2005 en synchrone avec 1967 et 1977, années
durant lesquelles -(en raison que la Vérité existe)- j’eus l’honneur de
communiquer quotidiennement toutes sortes de solutions alternatives élégantes à
travers Espace et Temps puisque la mémoire m’étant progressivement revenue, je
me souvins qu’effectivement, en 1977, avec les élèves de ma classe au Lycée
Chateaubriand, (le lycée français de Rome), mais aussi avec l’ensemble des
habitants de Rome et les touristes -(dont François Mitterrand venu vérifier à
Rome ma présence dans le ciel lui annonçant sa victoire en mai 1981), j’étais
apparu dans le ciel sous la forme d’une immensité constituée de nuages qui [me]
demanda de le/me seconder -(alors que sur place en 1977 âgé de quatorze ans)-
pour prendre par écrit en notes tout ce que j’avais à transmettre sur place à
mon père -(que cette immensité avait du Ciel imposé comme nouvel empereur
-(ou/et empereur confirmé)- chronologiquement dans l’Histoire avant moi qui
annonçait-on ne prendrait la relève qu’à partir de 1995, puisque j’aurais à
rejoindre en chair et en os l’année 2005 -(d’où les émissions célestes de ma
personne avaient / auraient / ont eu lieu en raison de l’obtention que j’avais
eu d’un anneau immatériel immaculé quelques heures après avoir retrouvé
entièrement ma conscience -(soit d’un seul coup être – dans ma tête – [comme]-
monté au Ciel)- après m’être débarrassé à jamais de ma part d’ombre, soit de la
partie démoniaque / aliénée / satanique au sens de diabolique au sens de
malfaisante d’inconscience -(comme dans La
Belle et la Bête quand à la fin le protagoniste
devient un très véritable prince)- qui n’avait pu apparaître en moi qu’à partir
du moment où, dans les années 1977 et suivantes, j’eus à m’ingénier à
contracter une amnésie de tout ce qui s’était passé dans le ciel de Rome en
1977 pour mon père et moi, et cette amnésie parce que nous avions été
contraints de choisir Michèle Finck comme impératrice, celle-ci ayant refusé la
solution alternative élégante des deux épouses / impératrices que je lui avais
proposé au téléphone -(entre Rome où j’étais âgé de quatorze ans et Strasbourg
où elle était âgée de dix-sept ans), ce qui aurait pour effet de me contraindre
à me séparer sacrificiellement de l’impératrice
Christine … Lang et de nous faire perdre les enfants que nous attendions l’un
de l’autre en raison de l’anneau immatériel immaculé étant apparu pour elle à
mon doigt annulaire des enfants ou/et adultes les plus véritablement mariés.
Aussi la volonté de Michèle signifiait que je devais créer les conditions pour
rendre possible mon amour pour elle, ce qui ne pourrait être / advenir
qu’uniquement si j’oubliai qu’elle était à l’origine de ma séparation d’avec
Christine y compris de la perte de mes enfants d’avec Christine car bien
évidemment sinon – avec la mémoire de ce qui venait de se passer dans le ciel
de Rome en 1977, je ne pourrai jamais aimer Michèle d’amour véritable étant
donné qu’elle avait refusé la seule solution -(les deux promises épousées)- qui
nous aurait permis de rétablir la Vision du Paradis pour 1995-2000, voire plus
tôt. Aussi à cause de l’amnésie artificiellement contractée et ses conséquences
dramatiques et tragiques, je pus approcher de Michèle en étant devenu à 50% laipis, c’est-à-dire l’acronyme de laïc, athée, ignorant, profane, inconscient
et/ou sacrilège, au sens négatif de
ces six mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK – (j’eus de 1977 à 1995 à
faire l’antithèse des bouddhahs que j’avais été, au point qu’en 1995 on me fit
empereur avec l’autorisation de l’Architecte de l’Univers). C’est ainsi qu’une
partie de mon âme d’éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit de bouddhahs) – ce
que j’avais démontré être à ma naissance, mais aussi en 1967 et 1977 années
synchrones avec 2005 – soit les très véritables bouddhahs - était devenue sur
quelques points importants mensongère à cause de tout ce que je m’étais
autorisé sur le plan sentimental en ayant eu à m’ingénier -(comme requis /
proposé d’avance du Ciel par mes soins)- à oublier mon engagement -[éternel]-
avec Christine, (soit ce qui avait fait apparaître cet anneau immatériel
immaculé à mon doigt annulaire des êtres les plus véritablement mariés). Or en
2005 ce qui s’était produit en 1967 et une autrefois en 1977 se reproduisit : je
redevins mathématiquement bouddhahs, soit -[un]-
éveillé-par-acquis-de-conscience grâce à la sécurité qui existe pour ça dans
l’être humain. Sauf que depuis 1995 j’avais été fait empereur -(aussi cela changeait tout, car c’était la première fois
dans l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- que le pharaon devenait bouddhahs, soit
éveillé-par-acquis-de-conscience !). Aussi j’étais celui qui accédait à la
conscience, soit à la Vérité au cas par cas, mais aussi aux vérités relatives
-(quand par exemple la Vérité sur un sujet n’est pas connue)- c’était
l’empereur lui-même, soit ce que je n’avais pas
encore compris qu’on avait cru que j’étais : satan
-(soit ici de mon point-de-vue d’eanmeailleurs – [mot que nous avons forgé pour
dire empereur-bouddhahs] - la fin de satan, soit quand satan
retrouve enfin la conscience donc enfin comprend que la vérité existe sur tous
les points sans exception[s], grâce à la lumière de bouddhahs enfin descendue
en lui)- qui apparaissait cette fois-ci en chair
et en os dans celui que j’avais été en 1977 virtuel dans le ciel de Rome.
Aussi, petit à petit, grâce à l’auto-psychanalyse que j’effectuai publiquement -(puisque audible, immense, dans le ciel)- au-dessus de Rome à
partir de début 1977, je retrouvai à partir de 2005
-(synchrone avec 1967 et 1977)- progressivement
ma mémoire. Celle qui concernait ces années 1977 -(que j’avais dû -[canonique en pareil SPOK]- trouver moyen d’oublier pour
approcher Michèle)- durant laquelle année -(1977)- Christine et moi nous étions
engagés l’un pour l’autre dans un amour célébré officiellement dans le Ciel par
le pharaon-bouddhahs, soit l’eanmeailleurs lui-même, soit celui que j’étais
devenu à partir de 2005 une nouvelle fois en synchrone avec 1967 et 1977.
Cependant vers la fin juin 1977 nous avions assisté à une chose très triste
quand celui qui était immense dans le ciel s’adressant à Christine -(qui
entendait cela avec moi à Rome)- fut avertie qu’elle
allait se marier entre 1977 et 2005 avec une autre personne que moi ! Cela
évidemment me brisa le cœur au point que jamais je ne pourrais trouver de
consolation à pareille injustice car celle-ci, Christine, devant moi, au lieu
de refuser -(pour me demeurer fidèle – ce que j’attendais comme refus de sa
part)- crut devoir y consentir en obéissant à celui que je serai à partir de
2005 et qui intervenait dans le ciel des années 1977 et suivantes, ce qui,
évidemment, me mis au désespoir -(d’autant que
nous avions entendu par cette immensité que j’allais devenir qu’il faut
toujours désobéir aux ordres que la conscience juge inadmissibles, soit ce que
je trouvais être le cas avec l’annonce du mariage de Christine et sa réaction
qui ne tenait pas compte de ce qu’il faut toujours désobéir aux ordres
inacceptables)- étant donné que je savais
d’avance que celui que j’allais être à partir de 2005
-(où tout recommencerait une autre fois, mais cette fois-ci en chair et en os
et non en virtualité comme c’était le SPOK en 1977)- en
retrouvant ma mémoire, testait Christine de manière à ce que je comprenne sur
place que je ne pouvais pas compter sur la fidélité de Christine, puisqu’elle
avait eu la réaction à laquelle j’avais assisté horrifié de trouver cette
injustice et cette infidélité à notre très véritable anneau / Amour !
Cette prophétie entendue dans le ciel par mon double d’avance en 2005
concernait donc la vie privée de Christine dans l’avenir, alors qu’elle voyait
bien comme moi qu’à partir de 2005 nous avions enfin la possibilité de nous
réunir après vingt-sept ans de séparation[s] et/mais la perte de nos enfants,
moi ayant progressivement retrouvé toute ma mémoire en 2017 -(grâce à la pratique d’une auto-psychanalyse
-[continuelle]- maison, ce qui signifiait publique dans le ciel des années 1977
et suivantes synchrones avec les années 2005 et suivantes)- et ayant, depuis 2005, totalement évacué le malhonnête
en moi, soit satan. Au point, dans le ciel de Rome en
1978 -(synchrone avec/depuis 2006)- de l’avoir, satan, physiquement totalement détruit de façon sacrée et
en public -(car immense dans le ciel de Rome)-
N. B. : suite après la fin du paragraphe suivant
ci-dessous :
–[(ce que je fis dans le ciel de Rome comme
avertissement à l’aide d’un masque de diablada
- d’une cérémonie rituelle annuelle ayant lieu à Puno sur le lac Titicaca - que
j’avais acheté, malgré son poids et son encombrement, avec des revenus financiers propres et mérités de droit -(des RFPMD)- à Cuzco au Pérou quand, en 1980, je gagnai le
concours bourse-de-voyage-Beck à la fin de ma Première, l’année avant la
Terminale, au Lycée Xavier Marmier de Pontarlier.
Masque que S. A. I. S. S. S. S. P.
Carolyn Carlson avait porté vers la fin de mon film La Momie à mi-mots, par conséquent moi intervenant dans le
ciel en exorciste avec ce masque imposant dont je me débarrassai en le
détruisant / l’anéantissant complètement -(aux yeux et aux sus de tous les
romains de 1978, qui, en spectateurs, avaient les yeux levés au ciel sur moi
immense.
Satan c’était fini ! Soit au ciel on rejouait une
des fins de satan : une sorte de très grand
masque – le diable - enfin à jamais détruit. (Satan et les siens vérifiés
avertis depuis 1967 et 1977 synchrones avec 2005), masque sacrifié malgré sa
valeur financière devenue très importante -(d’autant
plus qu’utilisé par Carolyn Carlson elle-même dans le film)]-
en raison du souvenir qui m’était revenu en 2005 de ce
que je m’étais vu dans le ciel durant une bonne partie de l’année scolaire
-[en]- 1976-77 à cause de l’anneau immaculé immatériel pour Michèle qui
coïncidait donc parfaitement avec celui que j’avais eu en 1977 par amour pour
Christine -(et très probablement qui coïncidait avec tous les autres anneaux)-
et celui que j’avais eu dix ans auparavant en 1967 à l’âge de quatre ans à la
fois pour Michèle et pour Christine, mais probablement aussi pour toutes les
femmes de ma vie, soit alors certainement pour ma sœur et ma mère.
[23] -(soit un mot qui a été aussi à l’origine de la notion
de conscience professionnelle)-
[24] -(si j’ose dire de façon paradoxale, car ici,
normalement, avec l’empereur, il s’agit d’un prédateur et non d’un apik – animal pacifique inoffensif herbivore quadrupède, soit APIHQ, dit APIK -[car
h de herbivore et q de quadrupède = k de APIK])-
[25] -(comme si chacun des traits avait été faits / peints
par une sorte de maître haltérophile)-
[26] – (acronyme de situations
précises, occasions, cas particulier, [car ici c de cas et p de particuliers = K de SPOK])-
[27] Rappelons qu’en 1995, au moment où fut prise la
décision -(collective - avec à la tête une entité qui
se faisait passer pour l’Architecte de l’Univers)- de me faire empereur,
j’avais eu l’apparition d’un anneau au sommet du crâne alors que j’étais en
prière à la façon des musulmans, mais nu sur une des pelouses du jardin Colle Oppio le jardin où j’ai passé une grande partie de mon
enfance -(soit au-dessus de la maison de Néron)- à Rome.
[28] Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Sérénissimes
Princesses
[29] -(acronyme de strictement laïc, athée, le plus
souvent inconscient, profane, ignorant et par moments sacrilège
-[sans même s’en rendre compte en raison de trop importante inconscience]- donc
au sens négatif de ces six mots qui en ont du positif dans d’autres
situations)-
[30] Se dit d’un empire dont le pharaon est devenu
l’un des bouddhas, soit un bouddhahs -(ce qui s’écrit
ainsi avec ce » h « en plus et la marque du pluriel parce qu’il
s’agit d’un très véritable empereur devenu bouddha, donc bouddhahs)
[31] -(ce qui, en définitive, à la réflexion faite en raison
des paramètres qui concernent ma taille vue dans les époques passées aussi
immense dans le ciel, n’est pas aussi peu que nous l’avons d’abord pensé et
écrit – cela ferait environ dix mille mètres)-
[32] -(soit quelques heures avant ma découverte la concernant
morte)-
[33] -(bien que j’habite la rue de l’Ecole
Polytechnique j’essaie dès que possible de me promener dans le jardin du Luxembourg
lors des récréations que je m’accorde comme c’était déjà le cas en 2005 depuis
mon logement de la rue du Val-de-Grâce)
[34] -(à partir du moment où il perdirent chacun leur
respective conscience – se soutenant les uns les autres en raison de qui se
ressemble s’assemble)-
[35] Je n’ai pas pu résister : -[satane]- sans
soutane !!! -(d’autant que j’écris à un Cardinal-
Ah ! Ah !) car, nous l’avons dit, pas même de corps : qu’une
tête aplatie -(comme étalée par le rouleau froid de la
météo hivernale ayant été passé sur cette tête de ce fait aplatie sur deux
mètres carrés tout au plus, déformée par d’innombrables expressions de haine et
de colère, capturée dans l’épaisseur de cette glace dans le bassin central du
Jardin du Luxembourg à Paris, [France]).
[36] On dirait qu’elle a des difficultés de suivre
des patients qui ne seraient pas sans une prescription médicale. Cela est ici
incroyable mais vrai. A partir du moment où vous êtes devant elle et considéré
malade par les médecins la précédent -(soit pour elle une forme de hiérarchie
qui ne peut avoir commis des erreurs d’appréciation – ce qui a été hélas le cas
pour moi)- vous êtes censé être à une dose importante de l’un des médicaments
neuroleptiques comme si le sevrage advenu grâce au temps qui a passé depuis
2013, en arrangeant les choses, n’avait aucune signification, alors que pour le
patient cela fait la différence et prouve depuis 2014 qu’il peut se débrouiller
sans être sous médicaments en raison de ce que le dosage a été réduit très
fortement, car le temps et les activités auxquels il s’est consacré ont arrangé
les choses en lui permettant de réfléchir / créer, malgré les insupportabilissimis…simissimes
souffrances endurées. Il faudrait que cette doctoresse cesse de croire que les
gens sont malades pour toujours. Qu’elle comprenne qu’un patient a le droit à
la convalescence et au sevrage comme à poursuivre son évolution, changement, sa
progression, voire continue de seconde en seconde à grandir spirituellement
-(grâce à l’acquis de conscience)- et de se métamorphoser surtout s’il s’agit
d’une personne ayant acquis / retrouvé sa conscience, ce qui prouve qu’il est
enfin dans le monde de la Vérité, de ce qui est juste et bon, beau et
bienfaisant, comme l’est ma recette
de l’eanmeailleurs qui n’a que très peu à voir, voire rien à voir -(cependant que cela m’occupe comme mes vidéo-nuages-diaporamas,
cheesOmeletArts et butterArts
et mes photos publiées sur Instagram sous le nom de lauriegranier)- avec mes
communications / transmissions à travers Espace et Temps de 2005 à 2013 !
Cela fait longtemps – de très nombreuses éternités - qu’on a tourné la page
-(en fait depuis mon déménagement à cette adresse rue de l’Ecole
Polytechnique), par conséquent on est très loin de ces moments où je ne
renonçais pas, pour le Bien et l’Intérêt Général, à transmettre / communiquer
-(car on me voyait dans le ciel de Rome 1977 synchrone avec Paris 1967 et Paris
2005)- à travers Espace et Temps -(une affaire terminée depuis 2012-2013 – soit
un très grand nombre d’années s’il n’y avait pas eu la méchanceté du doc. M. à
vouloir se venger de l’avoir contredit quand il affirmait qu’il n’y avait
aucune vérité en Médecine comme dans tout, en utilisant la médecine à des fins
égoïstes / personnelles au lieu de la servir comme on sert la Vérité – soit
qu’on l’utilise en toute transparence pour le meilleur bien de l’autre qui est souvent,
heureusement, au service de la Vérité et du sacré, soit du bon, du beau et du
bienfaisant, généreusement.
[37] D’autant plus de mes constants efforts -(de
vérité)- pour trouver la Vérité en l’employant dans mes textes aux Papes et aux
présidents de la République, comme dans votre lettre et ici, de nouveau avec
vous, en toute transparence, l’acquis de conscience – cette sécurité qui est
dans l’être humain - m’ayant donné effectivement accès à la Vérité qui certes est
souvent relative, voire des plus complexes, cependant que tout n’existe que
parce que la Vérité existe très exactement sur tous les points sans exception,
sauf hélas – je l’ai vérifié – pour ceux qui sont devenus des menteurs /
tricheurs -(ce qui est triste, car en raison de cela ils finissent par obtenir
pour leur âme des réincarnations animales en proportion de leurs péchés /
mensonges).
[38] Cette éthiquissimis…simissime ne peut exister que pour ceux qui savent que l’Ethique existe. Aussi il convient d’arriver à comprendre ce
qui est éthique avant de se permettre de comprendre qu’il y a bien plus que
cette dernière avec l’infiniment éthique, soit encore mieux avec l’éthiquissimis…simissime qui a été
probablement le choix de Dieu en conscience comme socle ou fondation à »
sa « / la Création.
[39] Pas très logique notre bonhomme
« médecin » !
[40] Ne pas oublier de mettre toute l’ironie possible
dans cette expression mise entre-guillemet à cette fin avec les guillemets 4.
[41] Nous avons remarqué plus haut que l’éthiquissimis…simissime -(et pas seulement l’éthique)- ait prévalue comme l’un des facteurs
principaux à l’origine de la Création avec la beauté, la bonté et la
bienfaisance, soit l’Amour -(ce qu’a découvert, entre autre[s] Jésus Christ et
ce que j’eus à prouver avec Christine en nous séparant et en perdant nos
enfants pour Michèle).
[42] Qui, par le choix végétarien, prouvent qu’il est
possible de vivre sans jamais faire de mal autour de soi par conséquent non
plus aux APIK -(soit A. P. I. H. Q., acronyme d’animaux pacifiques inoffensifs herbivores quadrupèdes -[car ici » h « d’herbivores + » q « de quadrupède = » k « de APIK])
[43] –(qui, malheureusement, avec le Risperdal 25 mg et/ou le
Xeplion 25 mg –[un peu moins pour ce dernier par
rapport au précédent]- fait insupportablement souffrir, ce qu’on n’a pas le
droit d’imposer à quiconque en raison que nous nous devons tous d’être cohérent
avec l’interdiction de la torture)
[44] Eanmeailleurs se dit d’un très véritable
empereur devenu bouddhahs – c’est un néologisme que j’ai créé pour parler aussi
d’un empire dont le pharaon est devenu bouddhahs -(nous habitons donc
l’eanmeailleurs d’Ôz),
mais aussi de la recette de
l’eanmeailleurs dont j’ai eu l’idée, que j’ai réalisée et que vous pouvez
découvrir sur Internet un jour avec nombreuses autres variantes déjà
tournées (qui vont être montées par mes soins et proposées comme l’eanmeaillleurs III à découvrir, voire à copier d’après ces
approches originales / prototypes / essais / affinages pour s’en nourrir avec
une légitime gourmandise -(qui n’existe plus beaucoup, voire beaucoup moins, ce
péché, une fois végétarien[s] – mais j’avais pris le masque).
[45] En effet si le vingt-quatre avril 2021 -(c’est-à-dire
ce soir)- nous n’assistons pas au Rétablissement de la Vision du Paradis comme
je l’avais fixé, nous avons à attendre que le président de la République
française veuille bien se donner la peine lui-même de fixer la date des
premiers tests de deux fois cinq minutes pour le Programme / Processus de
Rétablissement de la Vision d’Ôz, peut-être le vingt-quatre septembre 2021, voire le
vingt-quatre décembre, la veille de Noël, voire le 24 avril 2022 et il y aura
alors du pain sur la planche pour que tous sans exception, habitants de cette
planète, soyons avertis à temps de la journée et de l’heure durant laquelle ce
Rétablissement de la Vision d’Ôz, soit du Paradis, adviendra. Nous aurons, entre temps,
vous le savez, à avertir chacun des responsables homologues de notre président
pour chacune des rRégions -(au sens de nations /
pays)- du globe de manière à ce qu’avec les ministres de leur gouvernement et
les média radio-télévision-Internet, quotidiens et hebdomadaires, etc. tous
soient avertis à temps pour que personne ne soit pris-de-court lors de ce test
avant de lancer / démarrer le Programme
-(en note 14)- sur vingt-quatre années. Nous attendons que l’Église qui est
en liaison avec les responsables de l’ensemble des autres religions
intellectuellement / spirituellement admissibles introduise notre Programme
auprès de ces responsables pour qu’ils avertissent à temps leurs ouailles, par
conséquent confirment sur le plan spirituel / religieux la prochaine révélation
/ réapparition du Paradis, soit d’Ôz d’avant la très grande catastrophe, soit la Vision qui m’a
été dévoilée en 1995 au moins cinq secondes quand on m’a fait officiellement
l’empereur suivant mon père, Jean-Luc Granier.
[46] https://youtu.be/B5-6MekG9Nk