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Courriel du 29 janvier 2016 à SAI SSS les dames Impératrices Christine... Lang
Ma Titine,
Petit message de ce matin: un premier jet - donc un brouillon
(celui qui suit cette introduction) que j'aurais à relire et à
travailler - quelques idées sur lesquelles tu peux
réfléchir comme me répondre - des fois que malgré le malheur
incommensurablissîme qui nous a tous les deux touché depuis 1965
et 1975 et de nouveau depuis 2005 -[(bien que pour moi cela a
été vraiment en partie merveilleux (du moins au début avant que
cela n’ait remuer le couteau dans cette plaie ancienne)]- de
retrouver ma mémoire comme mon état de bouddha et surtout la
chronologie des faits oubliés (ce qui a permis de me soigner: la
Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale et cette Méga
Dictée, à travers le temps ayant aussi eu l'aspect
auto-psychanalyse que tu avais entendue dès 1975, à l'occasion
de mon apparition au-dessus du ciel de Rome, en ayant à faire en
plus de celle qui concernerait la période 1977-2005 celle de ce
faune qui était enfin redevenu bouddha depuis peu là-bas (en
75) et que tu venais/allais [d’] embrasser), tu trouves enfin un
peu de force dans la souffrance absolue qui fut la nôtre -[(la
perte de nos enfants attendus 10 ans et le fait que j'eus à être
infiniment plus que crucifié à chacune des fractions de seconde
durant toute mon amnésie canonique (de 1977 à 2005 en plus de ce
qui s’était passé de 1965 à 1975) et l'objet des pires
sacrilèges [envers ma semence sacrée [de bouddha]] - donc ces
enfants attendus avec toi en Immaculée Conception depuis 1965 à
1975-77)]- et que j'ai eu à redécouvrir depuis 2005 (après la
parenthèse de l'amnésie nécessaire pour éviter de faire couler
le sang de profanes - comme d'éviter la repris de la seconde
guerre mondiale qui sinon aurait été, mais aussi d’éviter
l’explosion du soleil à pétrole autour de 10 à 11 dollars, grâce
à ma/nôtre Méga Dictée de la Nouvelle Nouvelle Donne
Internationale Mondiale [NNDIM] à laquelle tu as assisté entre
moi-même et moi-même (il y en avait au moins 25 par seconde dans
les deux époques, mais/et synchro) ayant trente ans de plus et
qui était alors une virtualité intervenant du ciel situé trente
année lumière plus loin, donc d’avance – l’époque n’existant pas
encore car c’est la Dictée que je fis et que je notai qui a
permis de la créer aussi exactement qu’elle advînt de nouveau
mathématiquement (en légitime défense de nos Annô (1965, 1975 et
2005) d’autant plus que j’avais à défendre nôtre anneau et le
Sacrifice que nous venions de faire de 1965 à 1975-1977 et avec
cet anneau le nouvel empire de [R]Ôz[eau/… /w/y/s]
(qui est passé par la phase [eau/ … i/s] avant - o hisse !
forcément, c’est logique) qui était le mien, depuis 1965, quand
j’étais devenu une seconde fois bouddha mais/et l’empereur
suivant mon père qui avait été confirmé à cette date-là à son
poste par moi-même du ciel intervenant ce à quoi nous assistâmes
une autre fois à partir de 1975 tous les deux avec les autres
témoins, les élèves du Lycée français Châteaubriand de Rome à la
Villa Strohl fern, mais aussi les habitants de la ville de Rome
et les membres de l’éEtat du Vatican comme les touristes de
passage, dont les personnalités politiques étrangères (donc
François Mitterrand) puisque cette ville est capitale de
l’Italie, donc avec pour témoin le personnel des ambassades
étrangères dont tes parents – cela avait rendu officielles nos
fiançailles comme ce Sacrifice dont nous découvrions qu’il avait
eu lieu de 1965 à 1975 et qu’il serait à réitérer jusqu’à 2005
au moins, date de mon apparition dans le ciel du passé si on
refusait de faire ma volonté sur place – donc de baisser le prix
du baril de pétrole et la solution élégante des deux épouses au
moins dont celle de Strasbourg à laquelle j’avais droit pas
seulement en tant que futur empereur mais aussi en tant que
bouddha !).
Je t'embrasse, si tu me le permets sur tes lèvres, sur ton bout
du nez, sur ton front, sur ta tempe droite et sur ta main et où
tu voudras (tu as tous les droits y compris de tromper ton Jules
en pensée, par action ou/et par omission (comme de m’aimer à
distance comme autrefois), car dans ce cas particulier, tu ne
trompes pas du tout ton « mari » (c’est même un devoir), si tu
devais aspirer à mes baisers plutôt que les siens (mais fait
attention à n'en pas chercher ailleurs (à moins qu’ils vaillent
le coup – toi seule est ici juge – et cela pour le faire
enrager, si tu avais à te plaindre de lui) , car sinon tu cours
le danger d'obtenir une réincarnation minable ou malheureuse, ce
que je souhaite t'éviter). En effet, tu comprendras qu'en
m'obéissant pour te « marier » (alors que ma femme), il
s'agissait d'un cas de force majeure: d'assurer ta protection à
partir des années 2005 à 2007-2008 (pendant lesquelles années
j'aurais à revivre ce qui s'était passé en 1975-78, donc la Méga
Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne Impériale
Mondiale - NNDIM) où on risquait de te prendre quelques temps
(de nouveau comme cela avait été le cas en 1965 et 1975) pour la
Sainte Vierge et te faire du mal (les ignorants, les profanes,
les laïcs, les athées ; les sacrilèges au mauvais sens de ce mot
et non au bon) - je ne pouvais pas te faire courir ce danger et
c'est pourquoi j'ai demandé à 1977 depuis l'année 2007 où je me
trouvais dans le ciel de 1977 (au-dessus de Rome, comme tu en as
été le/a témoin avec les élèves du Lycée Châteaubriand de Rome,
mais aussi la ville entière et l’éEtat du Vatican, comme les
touristes de passage) que tu trouves un "mari" - ce que de
nombreux "russesses" se sont ingéniées à trouver en Occident
(des étudiants occidentaux apprenant le russe sur place), par
exemple pour fuir l'union soviétique en Occident durant les
années les plus sombres du communisme, en étant d'avance dans la
légalité (celle de la conscience et non pas celle de faux éEtats,
en pareils cas qui l'auraient reproché en Eétat ou Eé.euh.tat
ou/et/voire interdit - chacun des fonctionnaires ayant
fait ici de l'obstruction à ces "mariages" ayant obtenu -[(c’est
bien juste et normal, comme tous ceux qui en Lontarin agissent)
la pire des réincarnations (roquets ou/et autres hontes de cet
ordre) pour leur âme - car c'était un devoir de quitter pareille
engeance de criminels contre l'humanité et de convoler en juste
noces - en pareil cas particuliers - vers d'autres cieux
composés par moins de microbes ou minables despotes et
tyranniques roquets de pacotille plus ou moins débiles et
« pétants plus haut que leur cul (selon l’expression de Jean
d’Ormesson de l’Académie française) se mêlant de politique ou
d’Economie en incompétents mais surtout comme ils le firent
durant ces révolutions sanguinaires, en obtenant alors chacun
ces réincarnations malheureuses - soit l'incapacité même de
penser juste: le faux ou l'archi-faux en quasiment tout, la
bêtise (au mauvais sens de ce mot) à l'état la moins pure qui
soit, celle de chacun de ces futurs animaux les plus voraces,
les plus néfastes, les plus inutiles, donc bien sûr inférieurs
aux au contraire les plus utiles dans cette utilité qu’ils ont
par conséquent dans la hiérarchie liée aux interaction[s] avec
les besoins de l’espèce humaine ayant permis cette
classification valorisante ou défavorisant ces espèces
offensives pour favoriser les espèces inoffensives et pacifiques
desquels des bienfaits nombreux découlent qui sont
quotidiennement des besoins essentiels sur les marchés – en
réalité évaluées en CFPM commerciaux – il y a donc les espèces
animales inférieures et les espèces animales supérieures, du
point de vue de l’intérêt commercial qu’elles offrent – donc du
Bien (des biens) et de l’Intérêt Général, puisqu’il n’y a rien
de ce qui concerne les êtres humains qui ne soient des échanges
[commerciaux])]- de le faire en pareille situation y compris
tous ceux qui l'ont permis en trouvant en Union Soviétique ces
personnes avec lesquelles se marier officiellement - donc à
aider à quitter comme Marina Vlady (par exemple) l'enfer d'une
région qui était devenue l'exemple même de l'anti-Etat, étant
donné que l'individu avait été nié comme ses multiples et
innombrables droits y compris ceux d'entreprendre, donc d'avoir
le droit de s'enrichir honnêtement en appliquant les règles, le
droit, et les lois commerciales de toujours - elles s'apprennent
comme leurs mécanismes et cela permet de s’enrichir très
honnêtement (il n’y a qu’à appliquer les règles trouvées comme
d’habitude par bouddha ayant eu accès au Saint-Esprit) - aussi
la révolution russe ne fut menée que par les plus sombres
ignorants, au mauvais sens de ce mot, comme tu pourras le
comprendre dans mes textes - ce fut pareil pour chacune des
révolutions dites communistes y compris en Chine qui devînt
durant cette période la chine comme l’union-soviétique et
d’autres états comme cuba avant que j’eus (nous eûmes toi et
moi) à la faire redevenir la Russie et qui sait Cuba quand le
pont (pour le train et les automobile) entre la Floride et nôtre
île sera construit – j’ai dessiné quelques idées pour ce pont et
assurer périodiquement le passages des pétroliers à divers
endroits).
Laurie.
"Jamais
sans l’amnésie je n’aurais (alors que j’étais [re]devenu
bouddha – omniscient en 1975-77) pu embrasser une jeune fille
(fille ou
une femme) autre que Christine que/dont du ciel on me
disait possible de se séparer en Sacrifice (bouddhico-judaïco-christique
ne déplaisant pas aux membres des autres religions et /ou aux
gens d’Islam ni aux profanes, aux sacrilèges, aux laïcs, aux
athées et aux ignorants au mauvais sens de ce mot comme au bon)
uniquement si je parvenais à contracter cette
amnésie (comme la première de 1973 à 1975 au cours des
Démonstrations … nommées « Après-midi d’un faune » en hommage au
compositeur) . En effet, un bouddha sait qu’il faut disposer de Moyens Financiers Propres
et Mérités
(MFPM) obtenus de droit pour se permettre de passer
du temps avec une jeune fille, du moins pour ne pas peser sur
elle financièrement, donc en "tout
bien tout honneur" à moins que celle-ci ne l’assure
d’avoir des revenus pour deux de même nature (donc des Crédits
Financiers Propres et Mérités (des CFPM).
(En général cela est possible grâce à la fortune des parents, si
[elle est] légitime, qui financent les amitiés d'enfants devenus
bouddhas - donc rien ne se fait alors à l'insu ou alors tout
doit se faire à l'insu, s'il s'agit de parents profanes, n'ayant
aucun d'eux eu accès à la bouddhéité qu’il convient alors de
tromper dans leur intérêt – puisqu’il ne s’agissait que de faux
parents qui ne l’étaient devenus qu’en profanes, donc en
faussaires).
Ce serait
donc grâce à l’amnésie (qui démontrerait comment les don Juan
sont devenus des don Juan (donc des faussaires) – par conséquent
qu’il s’agissait bien d’une maladie causée par l’oubli de
paramètres (hélas
nombreux) essentiels,
que je pourrais me profaner et donc croire possible même vivre
(si longtemps) des moments sans être marié
(officiellement) avec une
autre jeune fille
que ma promise (ma fiancée, ma femme, la mère de mes enfants
perdus, etc. + ... :
Toi) – donc faire scandale chez mes parents (mais
j’avais averti du ciel – cependant que cela ne serait pas
possible sans s’ingénier à contracter cette amnésie).
En effet,
dès 1965, (date d’accès à ma seconde bouddhéité, la première
ayant eu lieu à l’occasion de ma naissance) le Droit et le
Canonique (donc au cas par cas) n’avait plus aucun secret pour
moi (j'étais
alors devenu le bouddha) qui venait de vérifier que « nul
n’est scensé ignorer la loi » (sensé + censé = scensé ou
scenscé) était une phrase vraie pour ceux qui effectivement sont
devenus ou même nés (comme je l’avais été avant une première
amnésie – il s’agit de celle de nombreux bébés qui naissent
bouddha et donc qui courent souvent le danger, durant ces
premières années d’involuer, de régresser et de devenir profanes
- jusqu’à 1965) des bouddhas.
On sait
alors ce qu’on doit faire dans chacune des situations qui
adviennent – et il y a même des enfants bouddha qui ont
accepté/cru préférable [de] mourir (plutôt que se profaner),
ce qui alors transforme aussitôt le meurtrier aussitôt en une
future réincarnation qui le fera naître dans le passé de cette
planète parfois à des milliards d’années de là où nous sommes
dans le froids et les malheurs qui concernent "l'enfer vert" un
peu décrits dans "Jurassic Park", (sauf qu'au lieu de ne durer
que deux heures ça dure des années), étant donné qu’en se
permettant de tuer un enfant
(ou d’être le responsable de sa mort/comme de
le battre), l’avoir causée, il s’agit donc d’un cerveau d'un
animal qui a régressé au maximum du maximum, donc qui n’a
plus rien de celui d’un être humain
véritable (on le sait les enfants abandonnés furent
recueillis par un organisme de charité public qui fut fondé en
Occident par l’Eglise (puis
continué/poursuivi par l’ éEtat laïc)– voilà l’humanité
consciente des devoirs qu’elle a envers des êtres humains qui
s’ils sont abandonnés ou meurent prématurément font obtenir à
leurs auteurs les pires malheurs : ces réincarnations à venir,
de même que les femmes (couples) qui avortent sans avoir obtenu
l’accord pour cela de la part d’un des médecins devenus bouddhas
– ce qui s’obtient dans certains cas particuliers uniquement,
connus de ces responsables – ici cependant cela concerne la
réincarnation des femmes, une chose complexe qui parfois leur
permet de se réincarner en bouddhas hommes, parce qu’elles ont
eu à élever des enfants, tâche difficile, ardue).
Nous
appelons être humain, l’adulte parachevé devenu bouddha
(ce qui - nous l'avons vérifié dans mon cas particulier peut
arriver dès la naissance ou alors vers l'âge de deux ans ou
alors vers les douze ans et même comme j'ai eu à le démontrer
une autre fois à quarante-deux ans. Mais cela peut
arriver à d'autres âges aussi et demeurer constant, sans qu'il y
ait des contraintes (comme j'eus à me les imposer) à découvrir
le monde profane - bref le moment où on devient l'un des adultes
parachevés- bouddhas) ou en voie de le devenir et nous
avons pour modèle/logo l’Homme de Vitruve (utilisé aussi
par "Manpower" qui aura à fleurir régulièrement la tombe de
Léonard de Vinci puisqu'ils ont tiré bénéfice (des CFPM) de ce
dessin comme d'autres de ceux d’Arcimboldo devenu une pizzeria à
Paris, rue Soufflot, ces derniers jours) ou « l’ecce
homo » de SAI SSS les Lord. Léonard de Vinci qui, en le
dessinant, nous l’a transmis
à mi-mots :
en filigrane (c’est le secret inscrit à y lire, à percevoir : à
apercevoir).
En effet,
il suffit qu’il y ait une seule étiquette d’un prix sur un
article en vitrine ou sur un étalage pour que l’enfant bouddha
comprenne que rien ne va toujours
pas sur cette planète où il est né dans l’époque en question
(mais évidemment, il se dit alors que le prix qui est signalé
n'est en réalité que pour les enfants pas encore bouddha -
cependant que dès qu'il va chez les marchands, il découvre
rapidement que celui-ci ne fait pas ou alors rarement la
différence entre bouddhas et non bouddhas - aussi il découvre
qu'il faut payer, alors qu'on lui devait tout d'avance à sa
condition de bouddha, [très] difficile à obtenir [et] étant
celle d'adulte parachevé, donc qui est handicapé par rapport à
ceux qui ne le sont pas encore, mais qui est l'équivalent de
celle d'Etat véritable puisqu'alors très véritable ingénieur et
aArtiste, … , dès la naissance et en cela relié aux premiers
fondateurs des premiers éEtats qui avaient tous réussi à devenir
[comme] des bouddhas, sauf qu’ils ignoraient ce mot et ce que
cela pouvait représenter comme métamorphose, celle-là qu’ils ont
eu à réaliser eux-mêmes : l’accès à la bouddhéité, soit l’accès
à la Connaissance véritable).
« Rien ne va plus sur la planète où il est né
dans l’époque en question », cependant qu’il comprend rapidement
que c’est là le moindre mal.
Aussi cela
signifie toujours dès ce moment-là que la question du mariage se
posera autrement que naturellement ou simplement (sans que ces
prix n’existent) et cela contraint à acquérir des compétences
nombreuses pour devenir un bon parti, mais surtout pour
économiser financièrement des Crédits Financiers Propres et
Mérités (CFPM)pour
pouvoir payer tout ce qu’il faudra payer (cela est évidemment
inadmissible du point de vue de ces enfants bouddhas - il s'agit
donc de sacrilèges envers eux-mêmes, cependant qu'ils
comprennent et qu'ils comprendront qu’il s’agit de ce pis-aller
après que j'ai eu à le vérifier autant que cela en 1965, 1975 et
depuis 2005 : que les prix sont nécessaires pour encourager ceux
qui ne sont pas devenus des bouddhas à le devenir. Oui, mais
voilà que cela encourage aussi ceux qui ne sont pas des bouddhas
à devenir des hors-les-lois - c'est le revers de la médaille ! -
En effet la pièce de monnaie contient deux faces et il est
probable qu'on puisse comprendre que l'une est positive (cela
rend bouddha) et l'autre négative (cela fait les hors-les-lois),
puisque cela a engendré les faux monnayeurs, etc.
pour pouvoir payer tout
ce qu’il faudra payer quand on deviendra l’un des pères ou l’une
des mères (quand on appartient aux rarissimes divinités
bouddhiques dames ou alors quand on appartient à ce qui fut
appelé des prostituées – en réalité des dames corrompues).
On comprend ici que
tout est faussé, sauf du point de vue de ceux qui disposent
toujours du point de vue de bouddha ayant eu l'idée de créer la
monnaie comme moyen d'échange - Il a bien fait puisque cela a
permis de créer toutes les banques, donc de financer tous les
travaux à entreprendre, mais aussi tout ce qu'il y avait à payer
justement - donc aucunement en faux monnayeurs (par conséquent
totalement en liaison avec ces règles très strictes qui
concernent les Finances), mais en réalité pour la préservation
de l'Etat garanti par le processus de la Création elle-même qui
peut mener dans certains cas particuliers comme j'ai eu à le
démontrer à la bouddhéité, donc à être le chef de l'Etat
véritable (avec les autres bouddhas disséminés dans le monde et
dans les époques).
On
comprend néanmoins ici que tout est sur de nombreux points
faussé.
Et c’est
pourquoi en général les mariages sont proposés d’avance (comme
dans le cas de SAI SSS les Lord. Gandhi) ou arrangés (cela rend
le mariage détestable à tous ou alors une sorte de sacrifice –
en tout cas artificiel et souvent
un cauchemar, à moins que le couple soit bien assorti –
qu’il se soit vraiment plu
- que le choix ait abouti à des "pourquoi pas" qui furent
heureux - il y a des gens, comme Jean Rouch qui se sont sentis
« les enfants du pourquoi pas » ou alors qu’il s’agisse
d’aAmour entre les deux conjoints – cela fut nôtre cas en 1975).
Parmi les
jeunes filles qui m’aideraient à me profaner à partir de 1977-78
où je contractai cette amnésie canonique (l’éEat du Vatican
ayant été prévenu (comme toi), il y en a eu plusieurs qui
peut-être ou
sûrement étaient au courant du Sacrifice [advenu/en cours] que
j’avais été contraint de faire à partir de 1977 (elles
sont en danger pour avoir cru
possible en profiter en ayant cru pouvoir avoir une
relation (physique)
avec moi,
sans me rappeler au
préalable l’existence de
ce
sacrifice ni sans me rappeler leur impératrice Christine.
Ces jeunes filles sont
ici bizarres car elles auraient pu, par solidarité avec
Christine, en sachant la peine dans laquelle elle était, de
s’interdire des relations avec moi. (Etrange donc – voire
suspect. Mais tu sais ici la vérité dans un ou deux cas où tu as
eu à faire des choix – ceux-ci sont révélateurs d’aspects de ta
personnalité et tu auras à me dire pourquoi lorsqu’il s’est agi
de demoiselles qui ont dû t’approcher avant tu leur as donné ces
consignes – j’ai de mon côté des interprétations à ce sujet et
elles ne sont pas très positives en ta faveur – mais peut-être y
avait-il des éléments d’informations qui te manquaient alors et
donc tu as cru légitimement avoir ces droits de conseils que tu
donnas à ces « demoiselles d’honneur »).
Ici il est
bien normal que tout ce qui s’est passé, c’est donc passé non
officiellement (mais
officieusement) donc d’une façon très « populaire » (au
bon comme au mauvais sens de ce mot étant donné que tu étais au
courant de cette nécessité que j’aurais/avais de [re]devenir
profane), sans qu’elles n’aient pu jamais
connaître le vrai visage de l’empereur (bouddha), celui
qu’avait approché Christine, mais seulement une sorte de
caricature, celle d’un individu
amnésique devenu le résultat de cette amnésie aliénante
aux diverses inepties nécessaires pour la contracter (donc pour
devenir profane) et qui, par conséquent, ne comprenait plus
grand-chose du Droit, des droits, du bien ou du mal
en matière d’Economie
et de relations sentimentales, ou à la question de la
paternité,
donc qui était souvent laxiste
voire très permissif y compris à encourager de nombreuses
histoires sans lendemain et/ou bagatelles
(en
effet, c'est là la condition de l'adolescent, de l'enfant-gâté
et de l'égoïste, au mauvais sens de ce mot, en réalité ne
recherchant pas à se marier ni à avoir des enfants car loin
encore de l’idée de devenir père, étant donné qu’aucune de ces
jeunes filles n’avaient été reconnues comme pouvant devenir la
mère des enfants virtuels/potentiels et que le souvenir d’en
avoir perdu avec toi n’existait même plus (ce qui a permis ces
papillonnages – en fait cette recherche de la future mère de mes
enfants d’autant que je ne me souvenais plus que j’en avais
attendu pendant plus de dix ans avec toi).
Evidemment
quand on vous restitue un élément de mémoire (un fait majeur –
vu autrement une clé-de voûte, une pierre angulaire) qui plus
est aussi important qu’une séparation sacrificielle (bouddhico-judaïco-christique
ne déplaisant pas aux membres des autres religions ni aux gens
d'Islam ni aux laïcs, ni aux sacrilèges, ni aux profanes, ni aux
athées ni aux ignorants au mauvais sens de ce mot comme au bon
sens) c’est-à-dire sacrée et en fait religieuse, le monde change
alors du tout au tout, puisque vous découvrez d’une façon
absolument sûre
et certaine que vous n’étiez devenu
ce propre à rien, cet adolescent, cet enfant-gâté, cet égoïste,
au mauvais sens de ce mot, ce plus ou moins ridicule don
juan de pacotille que vous fûtes que seulement en raison de
l’amnésie carabinée que vous eûtes à devoir vous
ingénier à contracter (donc cette amnésie sur ces paramètres
essentiels pour la constitution de la famille ayant à accueillir
vos descendants) comme cela avait été exigé pour éviter d'avoir
à verser ce sang , pour vous autoriser le parcours qui
devait vous mener de nouveau à cet anneau sacré immaculé auquel
ont eu accès normalement les divinités bouddhiques entre
elles s’étant reconnues.
‘Absolument’ ne 'ment' en général pas du
tout, car je l’ai dit ce ‘ment’ adverbiale vient de
« mens-mentis » en latin, c’est
à dire le mot qui a donné la 'mentalité'
(or une pensée, une ‘mentalité’
peut parfois ‘mentir’, comme peut être au contraire dans
le vrai, donc être issue
d’une bonne mentalité,
d'absolument vraies pensées, voire d’absolupen(s) – ce qui
donnera pour le mot de vrai : vraipen[s] – une autre terminaison
adverbiale logique issue admirablepen de cette lettre –
sous-entendu admirable[ment]pensé – d’où que la terminaison
‘ment’ = ‘pens’ dans ce cas particulier, justepeans !).
On
comprend que ce sont les idées qui ont permis d’écrire des
textes et autrefois aux aAuteurs de Théâtre dont certains sont
devenus des scénaristes de film et des dialoguistes de vivre de
leur plume en touchant des revenus (CFPM), puisque cela offrait
des divertissements et donc qu’ils ont vite pu toucher
l’équivalent de pourcentage pour les idées de situations qu’ils
avaient (de ces idées des illustrations naquirent, des décors,
des mises en scène, et enfin des images.
Donc c'est bien celui qui a l'idée et rarement celui qui exécute
l'idée qui est l'aAuteur - sauf si l'exécution de l'idée donne
lieu à des maquettes originales, un traitement original, unique,
rare, donc une part d'aAuteur à l'acteur de cette réalisation,
voire au metteur en scène ou au dessinateur du
story board à partir
des idées originales développées dans le script ou scénario.
Aussi la notion de droit d'auteur doit être revue pour
assurer les revenus de ceux qui sont à l'origine de l'idée et
non ceux qui brevettent l'idée qui n'est peut-être pas la leur.
Cela est désormais possible, en raison de celui qui a une idée
peut ouvrir un fichier qui porte date et heure et inscrire son
idée en se souvenant
grosso modo de l'heure à laquelle il l'eut (cela attestera
donc de l'antériorité d'une idée d'une personne sur une autre
qui en réclame la paternité).
De ces
textes (sacrés) naquirent des Théâtres, des villes autour de ces
lieux publics de divertissements, des activités, … : la
civilisation.
Nôtre
époque hérite de ces textes en plus d’être comme chacune des
époques celle où des gens de plume ont du talent et ont des
idées, des gens géniaux ou moins que cela ou plus essaient de
faire aussi bien, voire mieux encore que les plus grands dans
les temps passés, en raison de ce que la barre a été placée déjà
très haute par certains aAuteurs de ce passé.
Mais voilà
que nous nous trouvons dans une autre situation avec Internet où
les dialogues sont possibles et archivés entre les internautes
sur tous les sujets. Une sorte de base de données pour des
éventuelles scénettes qui se sont spontanément créées entre ces
acteurs dans la réalité
qui ont donc une part d'aAuteur (quand ces dialogues sont
intéressants ou drôles - quand ils sont originaux et non de ceux
qui véhiculent des idées empruntées à d'autres auteurs - avant
eux).– au point que les réunions entre personnalités
importantes peuvent engendrer des dialogues
[ar[t]chivables/és]par écrit.
Aussi se
posent parmi les questions celle[s] des rémunérations des
auteurs. S’ils ont la chance de trouver un éditeur sur papier,
donc pour des livres, la concurrence d’Internet où parfois leur
texte est donné à lire d’avance gratuitement, va leur causer de
nouveau des problèmes considérables : comment survivre
financièrement avec autant de concurrence dont tous les auteurs
à exhumer ou dont les œuvres n’ont pas encore fait l’objet
d’adaptation ni de réalisation ? Ils étaient déjà nombreux
illustres inconnus comme l’était Vivaldi en Musique ou d’autres
dont nous eûmes la surprise de découvrir leur talent universel. Cela
signifie qu'on devrait découvrir dans le futur des aAuteurs de
théâtre moins connus (et les pourcentages, malgré qu'ils soient
nombreux dans le domaine public, iront à leur tombe ou/et à ceux
qui se chargeront (en associations loi 1901 ou même petites
entreprises) d'entretenir leur mémoire (à travers des
associations/organisations/etc. ou des site Internet dédiés à la
mémoire de ces auteurs disparus), d'autant plus de l'exhumation
de ces textes moins connus qui peuvent devenir des nouvelles
interprétations ou/et recréations ou/et adaptation télévisuelles
ou/et même cinématographique (sans parler des études qu'ils
peuvent engendrer et des traductions, donc d'autres mises en
scène dans d'autres rRégions de l'empire) comme nous en avons
lancé la mode avec les opéras en film au cours de la NNDIM, en
donnant la liste de ceux qui devaient être réalisé dont la
Tosca au Palais Farnèse et au Château Saint-Ange, mais aussi
que nous eûmes à en recommander certains (comme Vivaldi)
au cours de la NNDIM qui nous le savions dans le futur allaient
plaire.
Mettre un
péage même symbolique sur un site Internet pour avoir accès à la
suite d’un texte ayant représenté des investissements en temps
et tous ceux de la famille qui sponsorise
donc qui finance
celui qui est à ce moment-là l’auteur de ce texte,
(quand ce n’est pas lui-même sur des temps de divertissement
qu’il ne s’accorde pas après des activités rémunératrices en
CFPM – donc en s’ajoutant ces peines en plus des autres, ce qui
représente sa part personnelle d’investissement qui peut donc
être évaluée financièrement) serait la solution
élégante
–[une solution doit être élégante ou ne s'autoriser jamais
à être]- comme cela est le cas des articles dans certains
journaux que si on veut lire complets on paie symboliquement
après avoir obtenu une bonne partie gratuitement. Mais cela
signifie (en
limitant le nombre des lecteurs à ceux qui en ont les moyens)
d’autres
investissements en plus pour rendre possible électroniquement ce
genre de facilité qui contraint aussi à des comptabilités, par
exemple vis-à-vis des impôts,
si le texte est lu par des millions de personne et donc devrait
finir par rapporter à son auteur
(s'il n'est que rarement consulté, le service des impôts, en
raison de l'investissement qui fut fait pour obtenir ces
royalties peut se passer de ponctionner sa
dîme/part/pourcentage, l’impôt et qui sait même payer la part
qui reviendrait à l'auteur pour avoir réussi à rendre légitimes
les impôts - ce qui donc m'attend de la part de chacun des
éEtas, puisque dans d’autres de mes textes tu verras que
j’explique pourquoi l’impôt est dans certains cas [particuliers]
légitime sur certains points précis – il y a donc des impôts qui
ne le seraient pas autant que cela en détail à l’aune de ces
réflexions exactissimissImes sur la question du coût même de ce
que représentent les CFPM à la fois localement, mais aussi sur
le plan international puisqu’il faut tenir au courant de la
moindre émission de billet de banque l’ensemble des banques
centrales).
Ici c’est
donc dans le cas d’auteur exceptionnels, voire fondamentaux ou
essentiels [comme moI/nous – si ça te gène tu peux ne pas le
lire, voire si toi l’espion et non toi Christine, tu devais en
prendre ombrage ou même être jaloux – une phrase agaçante cela
peut se sauter] ou alors très divertissants ou alors … et il est
probable qu’une version papier a[it] été imprimée aussi depuis
que le texte en question a dépassé un certain nombre de lecteurs
internautes,
ce que les statistiques des pages consultées révèlent.
(Donc qu’il a fait l’objet d’accord ou d’un contrat entre
l’aAuteur et l’éEditeur).
Mais voilà
que nous arrivons à l’époque où ceux qui faisaient payer le prix
du baril de pétrole comprennent enfin que chacune des choses
qu’ils reçoivent quasiment gratuitement à la radio, à la
télévision ou sur Internet
-[(ce qu’ils payent n’est en réalité dû qu’aux
répercussions de l’augmentation du prix du baril de pétrole sur chacune
des choses achetée[s] donc sur chacune des dépenses des
producteurs ou des fabricants de tous les produits
commerciaux sans exception[s] – car sinon l’abonnement à
l’électricité, au gaz, à la télévision, à la radio (il existe
parait-il dans certains pays) ou à Internet serai[en]t gratuit
comme probablement les loyers des plus démunis et d’autres
avantages comme les transports en commun y compris les billets
d’avion charter)]-
valent parfois des millions ou des milliards ou plus encore (et
si cela vaut autant c'est que chacun de ceux qui participe à ces
émissions, à ces œuvres -[(qu'ils voient et/ou entendent
quasiment pour trois fois rien (ou si bon marché pour les plus
fortunés car sinon pour les plus démunis cela représente des
dépenses) en raison de ce qu'ils bénéficient sans même le savoir
pour les plus ignorants d'entre eux de la règle/loi de la
Quantité et de la Rareté comme de la Concurrence, mais aussi de
celle de l'Offre et de la Demande)]- ont des dépenses à assurer
(il s'agit en général d'investissements remboursés par les
diverses entités de productions - donc comptabilisées en plus de
ce qui est leur rémunération ou cachet), donc des dépenses à
faire tout au long des journées et des mois durant lesquels on
passe son temps à fabriquer dans la "cuisine", en général à
l'insu des spectateurs, ce qu'ils vont consommer "en mangeant"
des films ou des émissions de radio (précieuses – par exemple
comme celles de Radio Classique que j’ai eu à demander de fonder
(donc dont je suis l’auteur) pour concurrencer France Musique –
je pense aux émission de l’admirablissime Dresel ou d’un certain
Belami) ou alors en écoutant des disques - ces disques ou ces
DVD qui sont bon marché auraient été offerts chacun si le prix
du baril de pétrole avait été, comme je l'ai demandé en 1975, à
ce centime de dollar le baril (et évidemment, on comprend alors
que chacun aurait eu besoin d'au moins cinq à dix
pièces/chambres pour survivre et entreposer les cadeaux que tous
les jours on aurait reçu, car cela aurait été tous les jours
Noël pour tous plus que cela l'est déjà dès qu'on ouvre la
télévision ou la radio ou/et Internet, en raison de l'accès à
toutes ces émissions (aussi bon marché qu’elles le sont
proposées, grâce à ces
abonnements) qui pour avoir été élaborées ont représenté souvent
des quantités importants de Crédits Financiers Propres et
Mérités – CFPM investis - évidemment infiniment supérieurs (en
quantité) au prix de cet abonnement [qu’on peut ‘justepeans’
voir comme symbolique] qui cependant permet d'en financer un
grand nombre, en raison de ce que la quantité des abonnés permet
alors de faire: diviser le montant total des abonnements par la
quantité d'émissions à finance. Aussi on comprend ici en quoi
chacun d'entre nous bénéficie de la loi de la Quantité et de la
Rareté, etc. quand dans d'autres situations nous en
sommes les victimes, puisqu’une chose rare ou rarissimes,
unique, devient hors de prix comme chacun des originaux d’un des
Picasso ou le moindre des dessins d'un auteur reconnu
universellement. Mais on le sait ici, cela n'intéresse que les
investisseurs en aArt (qui cherchent à placer leurs économies
dans ce qui est plus précieux que l’or et le diamant qui
obéissent aussi à la loi de la Quantité et de la Rareté, par
conséquent qui plus on en trouve moins valent, en raison de la
quantité qui existent à vendre ou qui n’est plus en vente sur le
marché) ou alors les collectionneurs, ou les passionnés d'objets
rarissimes ou alors ceux qui désirent chez eux avoir un objet
unique/original/signé (ou expertisé/reconnu sans erreur d’un
aAuteur illustre) que/dont personne d'autres qu'eux dispose [de
droit], donc aussi comme d'un investissement placé dans un objet
unique, rare qui forcément obéit à la Demande, donc subi les
lois du marché de l'aArt. En général, il s'agit d'objets qui
s’apprécient, qui prennent de la valeur, d'autant que le nombre
de pièces est limité en quantité).
Voilà
qu’enfin cette prise de conscience en raison de ma colère qui
fut totale et qui sera toujours y compris dans des milliards de
milliards de milliards et à l’infini d’années à
l'aune des dégâts que cela a causé, mais aussi des
sacrilèges qui furent à mon sujet
et au tien Christine, en 1975-77, en refusant sur place,
à l’époque, de baisser le prix du baril de pétrole (environ 700
fois trop cher/onéreux/coûteux, pour tous les gens réalistes et
les économistes un tantinet crédibles, mais aussi du point de
vue de tous ceux qui raisonnent très ‘justempent’ et qui
sont les enfants les plus démunis
étant confrontés à la question de l’argent de poche, donc
des économies à faire
(et qui n'ont jamais eu accès à l'argent des faussaires, ni à la
planche à billet, ni même à la sécurité de revenus versés
périodiquement (en dehors de cet argent de poche qui est souvent
misérable) – c’est eux seuls
qui voient l’Economie de la façon la plus réaliste/juste
et non ceux qui ont accès
d'une façon ou d'une autre à la planche à billet
ou à la sécurité d'emplois [fictifs ou de complaisance, ou même
à des emplois plus réels/glorieux (à la SAI SSS les Lord.
Giraudoux ici) de fonctionnaires] – c’est donc moi,
bien que fils d'un haut fonctionnaire des Finances, en
1965 et 1975 qui comprenait exactement ce que signifiait un
centime pour chacun des enfants démunis
ou/et qui ont le plus de difficultés, en raison de parents plus
ou moins pingres ou près de leurs sous (ou qui exigent qu'on
leur demande avant d'emprunter des CFPM - ce qui est juste
[aussi] puisqu'ils gagnent ces CFPM de droit et qu'ils ont
peut-être ou même sûrement prévu de les affecter à des dépenses
[plus] importantes) et non ceux qui sont des
fonctionnaires assurés de leur revenu et de leur retraite (la
vision qu'ils ont de l'Economie est souvent réduite à leur
condition [favorisée/privilégiée] dans l'amnésie de celle
qu'endure les enfants qui ont d'immenses difficultés pour
parfois obtenir simplement de quoi aller au cinéma ou alors
s'offrir un abonnement au téléphone mobile ou d'autres choses
essentielles d'autant plus qu'ils ne sont pas des enfants vénaux
et même qu'en raison de ce que les CFPM existent, ils ne veulent
pas qu'on puisse croire que leurs baisers seraient intéressés ou
de ceux monnayables : c’est pourquoi certains d’entre eux s’en
abstiennent et même mettent leur distance d’avec leurs
parents) – En effet, pour ces enfants-là qui passent
devant une agence immobilière, les chiffres des prix proposés
sont tellement
exorbitants, énormes (et encore ils sont à première vue, grâce à
[n[V]ôtre/mon] l'Euro, environ sept fois moins onéreux que ce
qu'ils seraient en francs, de même qu'ils étaient apparus cent
fois moins élevés à la génération qui eut à connaître les
"nouveaux francs" du général de Gaulle), énormes,
(tellement hauts) que cela leur apparait alors le plus
abominable des cauchemars l’existence,
à l’aune des dix centimes,
voire vingt, qui sait un euro, que parfois leur mère ou
leur père (ou alors leurs responsables et/ou tuteurs) leur
laissent
conserver (ou mettre dans leur tirelire), après qu’ils
soient allés faire des courses,
en rendant la monnaie – comment diable réussiront-ils
seulement à avoir de quoi payer leur loyer et comment
pourront-ils seulement assouvir leurs besoins sensuels dans cet
enfer qui a été créé, évidemment
contre ma volonté et celle de mon impératrice Christine ? Dès
cet instant ils se sentent les otages de la famille dans
laquelle ils sont nés à moins qu’une bonne ambiance y règne et
que la question financière ne soit plus un problème dans
celle-ci – Nous allons donc avoir à résoudre cette question (je
l’ai déjà un peu résolue dans certains de mes textes qui sont
donc à mettre en œuvre),
car de toute évidence ceux qui n’ont pas compris alors
que ma solution élégante du prix du baril de pétrole à un
centime permettait de résoudre beaucoup de problèmes concernant
tout ce qui est de première nécessité (évidemment pas ce qui est
du superflu comme les œuvres d'art unique à un seul exemplaire,
originales, rarissimissImes, donc forcément souvent hors de prix
(par conséquent réservés à ceux qui ont des moyens financiers en
plus (en général en CFPM – il vaut mieux, car sinon ces œuvres
d’art auront été achetées en les volant non seulement à
l’aArtiste et à ses ayants-droits, mais à ceux qui méritaient de
les obtenir chez eux !), bien que leur prix fut souvent proposé
infiniment dévalué à cause de la crise économique en cours - de
toute façons ces œuvres sont vendues beaucoup moins
chères/onéreuses/coûteuses que ce qu'elles valent qui souvent
est parfois [dans certains cas particuliers] inestimable). Ils étaient
de très sombres ignorants, au mauvais sens de ce mot, avec de
tels préjugés en Economie qu’ils représenteront pour toujours dans
l'Histoire la honte -[(je minimise, car c’est bien pire
que cela : ils furent complices et donc devinrent chacun
criminel contre les intérêts vitaux et fondamentaux des
générations
à venir, mais aussi du processus lui-même de la Création
-[(le processus des réincarnations qui permet d’obtenir grâce à
la métamorphose celles de bouddhas – par conséquent qui est ce
que j’appelle le bon sens, celui de l’Evolution car sinon il
s’agit d’involution, de régressions qui mènent aux conditions
animales inférieures – une mauvaise affaire pour l’âme de chacun
– et c’est hélas ce qui a été choisi, donc contrairement à
l’Intérêt de chacune des âmes)]-, par conséquent à l’origine
même de l’accroissement des déserts sous toutes les formes, ne
serait-ce qu’en raison de ceux qui eurent à se prostituer pour
gagner des CFPM, d’autant plus de la crise économique et du
chômage qui au lieu de se résorber aussitôt, une fois que le
prix du pétrole aurait été mis à un centime de dollar le baril,
ne fît que s’accroître
et cela toujours plus au fur et à mesure que ce prix du baril
augmenta, au lieu de baisser comme je l'ordonnai, exigeai,
suppliai, conseillai, estimai dans l'Intérêt et pour le Bien
Général. On me/nous devra des dédommagements pour ces
supplications, voire ces pleurs que j'eus à devoir faire dans le
ciel, publiquement, en songeant aux difficultés économiques des
plus démunis, donc des enfants)]- [honte] absolue du
genre humain sans exception et cela chacun d’entre eux
nominativement avec leurs identités de famille, à jamais connue
y compris de prétendus – soi-disant
« économistes »
- des faussaires/menteurs/tricheurs – soit ce qu’on appelle des
« obscurs économistes ») [et qui augmentèrent ce prix du baril
de pétrole !]» - bien sûr des imposteurs, des faux
professeurs d’économie quand ils se firent passer pour ceux-là)
alors que j’en étais le propriétaire non seulement en tant
qu’empereur, mais aussi en tant que bouddha, mais aussi en tant
que celui qui intervenait du ciel, au-dessus
de la ville de Rome d’avance et qui était du virtuel
alors (et non ce qu’il ne devînt que trente ans après, du réel,
en ayant à revivre entièrement l'intégralité
de la Dictée Pharaonique qui avait été d’environ quinze
heures par jour à partir de
2005 (1975) de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale
Mondiale)
et aussi en raison de celui (toujours moi) qui a
qui a géo-localisé plus de 50% des réserves
de pétrole mondiale qui m'appartenaient donc de droit, en tant
que géo-localisateur de chacune d'entre elles - d'où que le prix
du baril de pétrole devait baisser au moins à 3 dollars
cinquante au plus tard vers 1985 quand l'ensemble des
plateformes pétrolières, donc des investissements commençaient à
être rentabilisés et à rembourser les emprunts (par la quantité
de pétrole exploité, mise sur les marchés) qui furent
faits/indispensables pour les construire comme pour payer leur
maintenance et le quotidien des emplois qu’elles ont offert [par
charité, grâce aux sciences des architectes et des ingénieurs
les ayant dessinées – »ideate « en Italien ici – comme cela
avait été le cas avec le matériel pour forer ces puits de
pétrole, grâce, entre autre à la solution élégante de la visse
de SAI SSS les Lord. Archimède]. On aurait alors constaté que la
situation économique mondiale s'arrangeait un peu à baril de
pétrole à 3 dollars cinquante (le frein qui avait mis sur
l'Economie mondiale aurait disparu à/de moitié) - début de la
disparition du chômage et enfin on aurait poursuivi vers l'étape
que nous souhaitions tous les deux (dans la cour de récréation
puisque je me suis souvenu récemment que je t’expliquai déjà
l’Economie) de un dollar
le baril de pétrole, ce qui aurait permis le plein emploi, la
disparition du chômage et la Reprise Economique, d'autant que ce
prix du baril de pétrole aurait encore baissé en assurant ainsi
la gratuité
de tout ou presque tout (sauf des œuvres d'aArt et dans
l’immobilier celui qui est le plus coûteux à obtenir comme
d’autres investissements qui sont très/plus onéreux) jusqu'aux
automobiles utilitaires (c’est un exemple pour te rafraichir la
mémoire) qui auraient été vendues de 700 à 850 fois moins
chères/onéreuses/coûteuses qu'elles n'étaient en 1975. Aussi les
gens auraient pu s'acheter des fiat 500 pour une bouchée de pain
ou presque, peut-être 500 fois moins chers, si les patrons
avaient été mauvais joueurs et avaient alors recherché à
s'enrichir malhonnêtement (ou même à se dédommager des pertes
colossalissimissimes causées par le communisme)
ou alors si on avait mis
de côté comme je le demandais une partie pour rembourser
progressivement toutes les dettes qui l'auraient été pour
just'avant l'an 2000 (ce qui permettait à nos enfants, ceux que
nous avons perdu toi et moi, de pouvoir s'en sortir
(financièrement) dans un monde où les dettes auraient totalement
disparu (donc enfin les éEtats de rRégions de nôtre empire avec
des comptabilités positives (ce qui aurait permis encore des
diminutions des prix), et par conséquent la réalisation
d'Atlantide ou du Paradis ou d'Ôz
ou de Donaldville ou à plus petite échelle de la Confédération
des rRégions-Unies d'Europe (ici sur le plan local, minuscule
(d’un des dossiers que je gère depuis tout petit), un peu comme
celui d'autrefois concernant l'Helvétie par rapport à l'Europe
d'alors, ce qui est donc la Confédérations des Etats-Unis
d'Europe par rapports à l'Organisations des rRégions-Unies
Mondiale, l'ancien Onu - devenu OrRU - en fait les distances
avec les moyens de transports modernes des régions les plus
éloignées se sont considérablement réduites en heures au point
de rendre la planète entière à parcourir de l'Est en l'Ouest ou
du Nord au Sud aussi petite que l'est l'Europe des grosso modo
(peut-être plus en fin de compte ou moins) cinquante
rRégions/nations, ce qui correspond à la Suisse des 23-26
cantons d'autrefois avant ces moyens de transport mécaniques
issus des sciences exactes de l'Architecte de l'Univers - en
cela tous vérifient que la notion de distance est bien relative
au véhicule qu'on utilise à tel point que si on augmente la
vitesse de ceux-ci au cours de la nouvelle NNDIM (la NNDIM 02
que j’élabore dans mes divers textes depuis 2012-13), on pourra
même rendre la planète entière avec des durées pour parcourir
les distances comme celles d'autrefois en Suisse avec les moyens
de transports anciens - donc on aura alors gagné encore du temps
mais/et sur les biens de première nécessité pour tous
les points géographiques seront plus rapidement [re]joignables -
là où on met encore quatorze heure en avion, voire vingt heures,
deux à trois fois moins - et c'est pareil avec les trains à
grande vitesse qui ont donc rapproché les lieux et
considérablement réduit [en temps – ce qui est le fondamental]
ces distances à parcourir - aussi ce n'est pas une bonne
idée
d'augmenter le prix du baril de pétrole pour décourager les
investissements pour réaliser de tels bolides dont les voyages
seront d'autant moins chers/onéreux/coûteux que ce prix du baril
de pétrole peu élevé les favorisera grandement, en rendant même
l'aviation marchande une réalité comme une solution d'avenir, en
attendant celle qui pourrait fonctionner avec l'énergie solaire
ou d'autres sources d'énergie) pour la génération de nos
petits-enfants, dans la mesure où on aurait accepté en 1975-77
que j'ai le droit à plusieurs épouses, donc plusieurs familles,
d'autant que cela était mon droit en tant que bouddha, et qui
plus est pharaons de … d’Ôz étant alors intervenu en
virtuel d'avance et pris/considéré pour "Dieu" par ceux qui ne
savent pas ce qu'est un/le bouddha - aussi tous ajoutèrent à
l'infraction pharaonique de nôtre premier sacrifice de
séparation, le sacrilège de la seconde séparation, ce qui me
contraignait absolument à l'amnésie, car il y avait sinon de
quoi tuer en songeant à la perte de nos enfants communs (à
toi et à moi) comme à ce qui m'attendrait comme
incommensurable malheurs et sacrilèges à devoir me profaner pour
approcher celle [alors adolescente, ignorante au bon comme au
mauvais sens de ce mot] qui voulait endosser la responsabilité
de ces crimes (de l'Ensemble envers nous deux - pas seulement
d'elle, car hélas ou/et heureusement (l'Histoire le dira)
l'Eglise a voulu en être aussi coupable) - évidemment alors une
adolescentes inconsciente/irresponsable du panier de crabes dans
lequel elle se trouvait).
Mais une chose est
étonnante c’est cette facilité que les filles ont à croire
possible se donner et cela malgré tous les impedimenta
financiers et moraux que la réalité leur signifie et cela
simplement en question de "sons" (cela rejoint d'une façon
étrange ce qu'en pensait Homère, en mettant en garde les
Ulysse[s], bizarrement au sujet des garçons et non des filles -
mais j'ai pu découvrir que c'est pareil pour les filles - dès
qu'un garçon sonne juste, elle tombent amoureuses - par
conséquent elles ne sont plus raisonnables - ici on constate que
l'amour est capable de faire perdre la notion d'objectivité -
c'est donc dangereux et en cela moins que l'Amour qui est plus
capable de voir l'amour sur du long terme comme de le faire
passer sur d'autres plans en réalité fondamentaux, les plus
essentiels puisqu'ils contraignent à prévoir jusqu'à l'infini:
nous aimerons-nous toujours à l'infini des temps? Ici c'est
difficile (sans séparations on ne peut en jurer d’avance et en
cela il faut voir celle qui nous fut imposée, la première comme
une bénédiction) sans avoir eu d'enfant qui promis à d'autres
enfants ont eux aussi des enfants et ainsi de suite - bref sans
se poser la question d'arbre généalogique - donc de construction
familiale sur la durée).
D’autre part il y a
celles qui oublient que le garçon est marié ou fiancé ou engagé
avec une personne dans un processus matrimonial (mais cela
arrive aussi aux garçons qui oublient d'être constants et qui se
laissent envahir par la subjectivité - on le sait cela les
conduit à papillonner y compris après le mariage – c’est-à-dire
pour moi, le moment où ils ont leurs premier enfant, soit
réellement un anneau).
Cela signifie que
« l’oubli » (y compris des engagements pris, donc des devoirs)
est une réalité qui concerne chacune des personnes qui sont
moins consciente des droits et des devoirs, donc moins
conscientes des contraintes des différents paramètres qui
composent les réalités quotidiennes (comme aussi de la nécessité
de la constance en affaire[s] sentimentale[s] (non loin du
principe salvateur ou/et enquiquinant ou ... de fidélité) à
cause des conséquences qui concernent la naissance d'un enfant à
élever sur une longue durée et non pas seulement sur quelques
moments. En effet, les enfants qui naissent ne sont aucun des
jouets, ils sont promis normalement à une évolution qui devrait
les mener à devenir, à leur tour, des adultes parachevés, donc
des gens ayant accès à la conscience, voire à la bouddhéité).
L’oubli existe en soi (parfois - dans certains cas - il y a donc
des facteurs ou paramètres qui facilitent cet ‘oubli’ et
d'autres au contraire qui préservent la mémoire. Je l'ai
démontré: fumer peut détruire la mémoire d'un adolescent et si
en plus d'autres drogues ou/et mauvaises habitudes se greffent,
la mémoire ne fonctionne plus. Aussi on évolue alors du côté du
faune, du satyre, voire du centaure) et n’est pas seulement
négatif. Cela permet, par exemple, aussi d’oublier le mal qu’on
vous a fait et cela évite de vous venger. Mais ici, il va y
avoir des gens qui vous diront (et ils ont certainement
raison : "on n’a pas le droit d’oublier certaines choses trop
graves, trop injustes dont on a été victime" - c'est pourtant ce
qu'on m'a contraint à faire à partir de 1977: m'imposer une
amnésie des dix années de sacrifice qui avaient abouti à nôtre
réunion en 1975 plus que surnaturelle et merveilleuse avec mon
apparition immense dans le ciel, donc donnant un côté conte de
fée à nos existences respectives, à cause aussi de la NNDIM de
la Dictée Phare que j'eus à proposer en véritable Père Noël
ou/et en Corne d'abondance comme en d’autres catégories et
dimensions, donc celle d’empereur et d’économiste, entre autres.
On n'avait donc pas le droit de m'imposer cette amnésie qui
pourtant s'est révélée obligatoire (canonique) en pareille
situation [cas particulier] car sinon cela m'autorisait à tuer
mon père et ma mère, voire mes frères et sœur (ce qui n’est pas
ma manière de fonctionner et qui était/serait impossible) mais
aussi de nombreuses autres personnes: en réalité tous les
responsables qui avaient cru pouvoir nous contraindre à réitérer
ce sacrifice qui déjà avait duré longtemps pendant dix années
entières et d'autant plus longtemps que ces années d'enfance
sont longuissimes à passer). Alors comment faire?
Normalement si
j’avais été ma promise, toi, Christine, ma femme et ma fiancée,
car la mère de mes enfants perdus) j’aurais tué chacune des
jeunes filles qui ont cru pouvoir profiter de l'état d’amnésique
de son fiancé/promis/mari/père des enfants attendus au moins
douze ans par lui-même (de 1965 à 77 – et peut-être par toi
aussi durant cette période) 1977-78 date de quand j'ai dû
m’ingénier à devenir amnésique de toi pour m'éviter ces meurtres
(qui sont ceux que normalement on aurait le droit de se
permettre (confrontés en pareille situation – quand des gens
vous empêchent d’avoir les enfants que vous attendiez) celui qui
est dans la vérité contre ceux qui continuent à s'en-têter à
être dans le mensonge - bref ce qui s'est souvent passé au cours
de l'histoire entre d'un côté les forces au service de la Vérité
et celle de l'obscurité, donc les menteurs - mais en raison de
ce que j'avais pu vérifier au cours des premières Démonstrations
... nommées "Après-midi d'un faune" combien est devenu
totalement faux un faune, sans s'en rendre même seulement
compte, donc combien sont devenus imbéciles les imbéciles des
satyres et pire des centaures ou ceux que j’ai fini par appeler
des smsmp (sur les points/moments où ils le sont) s'en même s'en
être rendu compte, j'ai même trouvé juste de supprimer la peine
de mort, alors que déjà à cause de ces dix années de Sacrifice
qu'on avait exigé de nous deux et de la solution élégante que
j'avais trouvée pour le prix du baril de pétrole à un centime
comme de la liste des milliardaires et millionnaires que j’ai
créé, il y avait amplement de quoi donner la mort partout
puisqu’ils refusèrent de faire ma volonté malgré tous ces
bienfaits reçus) - qui plus est empereur et bouddha), pour
avoir [ces jeunes filles] une relation physique avec moi, ce qui
a permis (malheureusement car cela a du te causer d’horribles
soucis et inquiétudes) que
je me profane (y compris les « belles » qui ont posé dans
Play boy ou ailleurs (sans elles et cette amnésie au
préalable contractée (et on saura comment ailleurs, dans un
autre de mes textes en plus de la fumée de tabac) impossible de
devenir un des crapauds !) et donc que progressivement je
devienne un des satyres (ce qui est synonyme - comme j’avais été
autrefois un des faunes au cours des premières Démonstrations …
avant de redevenir ce bouddha, voire ce "Dieu" pour quelques-uns
(du moins), puisque j'intervenais en simultané sur plusieurs
époques distantes de trente et quarante année lumière (dont
celle de 2005 et années suivante qui n’existaient pas encore en
1975 – effectivement il a de quoi avoir une sorte d’indice voire
de soupçon qu’il y a [comme] une approche [possible] de la
notion de divinité là-dessous compte tenu du caractère
effectivement alpha-oméga qui continue puisque j’ai pu me voir
d’avance en 2045, dans le ciel de 2015 – mais moi je crois
plutôt que tout cela est dû à un dysfonctionnement de la salle
des machines et au fait que j’étais providentiellement
chronologiquement l’empereur après mon père les pharaons de
l’angles et de la Reconstruction – bien que tout cela a démontré
que le fils est [chronologiquement] avant le père, par
conséquent que c’est lui (le dernier né) qui [a] engendré le
père – cela me vaudra un des prix Nobel qu’on me doit) - des
gens qui de toute façon oublièrent de s'enquérir de ma situation
financière ou même de ce que j'avais des problèmes financiers
(et ici, ils furent coupables au paroxysme du
paroxysme, d'autant plus s'ils ont bénéficié directement ou
indirectement de la teneur des transmissions de la Dictée
Pharaonique de la NNDIM - toi aussi en ne te souciant jamais de
mes problèmes financiers), bien que j'avais donné l'impression,
du ciel (dans le ciel) de ne pas en avoir, puisque je pris tout
mon temps à réaliser chacun des milliardaires et des
millionnaires de cette planète (à cause de ce qu'il me fallait
compenser d'avance les horribles méfaits de cette augmentation
du prix du baril de pétrole pour créer des emplois rémunérés en
CFPM (Crédits Financiers Propres et Mérités) et éviter encore
plus la misère et la pauvreté, d'autant plus importante que la
démographie augmentait) - mais en réalité sans un centime ou
presque, vivant de la charité de mes parents (qui me savaient
« Dieu » - par conséquent peut-être sachant qu’ils vivaient de
la mienne) et puis enfin heureusement considéré handicapé (par
la situation plus qu'exceptionnelle, unique, originale,
rarissImissime - donc précieuse d'avance pour ceux qui en
bénéficieraient de l'avoir finalement reconnue) d'autant plus de
ce que chacun des Etats et des particuliers de cette planète me
devaient financièrement depuis 1965, 1975 et depuis 2005 de
nouveau : donc trois méga-dictées pharaonique de la NNDIM
entièrement réalisées chacune (dont celle confirmée en chair et
en os en tant qu'empereur et bouddha et pour les deux
précédentes fois, ayant eu lieu en virtuel, pour chacune des
innovations/inventions étant alors totalement de moi comme
auteur -[(puisque de là où nous étions, nous avons bien constaté
que je n'y étais pas encore dans ce ciel qui pourtant nous a
donné les listes à travers mes virtualités de tout ce que j'ai
eu comme idée[s] d'ingénieurs, de bouddha et d'aArtiste
multi-catégories et multi-dimensionnels entre 1963 et 1965 mais
aussi entre 1965 et 1975, sans disposer aucunement d'Internet
encore - donc en déduisant, à partir de la réalité quotidienne
et en trouvant les solutions à mettre en œuvre, à partir du
stade actuel de l'époque où j'étais né et où mon enfance loin de
toi, à cause du Sacrifice de séparation, me permettait de
mouliner du cerveau pour trouver toutes ces idées géniales, en
raison de la chasteté que je m'imposai par fidélité envers toi
et nos enfants attendus depuis 1965 - d'où que tu imagines un
peu le choc que cela fut pour moi d'avoir à réitérer ce
sacrifice à partir de 1977 – « mai me lo sarei aspetato » -
jamais je n'aurais cru possible de l'ensemble des adultes et
encore moins des véritables francs-maçons qui me firent avoir un
tablier dans nôtre salon 22 via Mecenate à Rome, durant cette
Dictée, un pareil crime - jusqu'au dernier moment, y compris
avec l'arrivée de ton père venant te chercher, je crus à une
bonne nouvelle de la part des anciens (plus âgés)- Non ! nous
devions réellement nous séparer (après ce que je venais
d’écrire/prendre en note – impossible à croire)
et perdre nos enfants
alors que je continuais en tant que virtualité et non en tant
que réalité dans le ciel à dicter des listes de choses pour
créer des milliardaires y compris ces listes de réserves de
pétrole géo-localisés (donc que tous savaient m’appartenir de
droit ! et avec elles la majorité absolue à l’Opep, ma
personne). Cela était inconcevable qu'on ne veuille pas m'obéir
sur place et baisser ce prix du baril de pétrole ni accepter
l'autre "ou bien" de la Création, celui nommé "No smoking", donc
à la Alain Resnais "Smoking; No Smoking"
dans lequel j'avais plusieurs familles (une de toi, une de
Michèle à Strasbourg et peut-être d’autres) et nos descendants -
ces "adultes" voulaient donc que je recommence à fumer alors que
j'avais démontré que c'était bien en fumant que j'avais pu
devenir un faune (ils voulaient que j’ai cet emphysème dont j’ai
dû prévenir d’avance pour qu’on élabore la caméra spéciale à
introduire par les narines (pour laquelle on me doit) - ces
"adultes", ces "responsables" en recevant autant que je dictai
du ciel tout en étant à côté de toi, le bouddha lui-même - donc
en tenant aussi le passé, mais aussi le futur, en raison de mon
anneau avec toi, voulaient absolument détruire cet anneau (nôtre
Amour qui tout avait reconstruit à travers l’aide de mon père
pharaon avant moi – ce qui devait normalement le conduire à
abdiquer en ma faveur dans ces années-là de 1977 si tu étais
resté à Rome avec moi au lieu de ce que nous eûmes à déménager
pour Bern et toi pour l’Iran), donc (les adultes recherchaient)
à faire exploser le soleil - je n'avais qu'une seule solution
qui m'avait été communiquée par mon double projeté d'avance
trente ans plus loin et qui intervenait: l'amnésie d’urgence
pour éviter de faire un carnage (ici je suis sûr d’avance que
tous ceux qui sauront les dommages qu’on me fit et qui avaient
des envie de terroristes vont comprendre à jamais pourquoi y
renoncer, à l’aune des petites injustices dont ils se
croient/savent victimes, qu’à l’aune des miennes – pardon, des
nôtres, Titine, (incommensurables) et de ce que je me suis
interdit de frapper ou des actes de terroristes ou des meurtres,
ils devraient y renoncer pour adopter les Bonnes Pratiques, en
croyant comme moi à la vertu de la pédagogie grâce à l’usage de
mots vrais et des peines d’écritures qui vont avec comme des
explications les plus exactes ce qui permet d’éviter de
s’abaisser à la violence physique, donc évite de verser le sang
d’innocents ou même de responsables « malgré eux »/coupables
(voire qui le sont en raison d’omissions ou de péchés divers,
comme à cause de la situation, de manques de paramètres, ou
alors de la trop grande sécurité de leur emploi – ce sur quoi il
va falloir réfléchir sérieusement car c’est indubitable que cela
a joué contre nous – trop bien nourris, on le sait, cela fait
des gens qui sont parfois indignes de cette nourriture comme des
privilèges obtenus par les rémunérations importantes de hauts
fonctionnaires/responsables et privilégiés qu’ils ont – ils
trouvent les moyens de se défiler, par conséquent de ne pas
analyser correctement les dossiers) – cependant que cela exige
d’être infiniment patient, de perdre du temps en échanges de
courrier, donc de perdre de l’argent, jusqu’à ce qu’on obtienne
gain de cause) , ce dont je puis te dire que j'étais incapable,
puisque j'avais déjà pris le parti de la non-violence, donc de
ne pas me venger, par conséquent en cela de me comporter en
chrétien malgré les torts incommensurables subis et la
souffrance abominable que toute cette histoire engendrait rien
qu'à nôtre échelle à tous les deux et dont l’Eglise a voulu être
responsable/coupable en exigeant la perte de tes/nos enfants au
lieu de la refuser – ce que j’attendais sur place elle ferait-
indignée et en toute cohérence avec le Débarquement des alliés
pour libérer et réunir les couples séparés – hors elle a choisi,
évidemment la fausse Eglise et non la vraie de nous séparer à
nouveau ce qu’elle n’avait déjà pas le droit de faire en 1965 –
et c’est ici qu’il va falloir mettre un terme à cette Eglise-là
– non la vraie qui est admirable – aussi il va y avoir à
dissoudre l’Eglise et à créer l’Eglise II – car elle a dépassé
les bornes du supportable avec les crimes dont toi et moi –
impératrice et empereurs nous fûmes victimes – par conséquent de
faux chrétiens et surtout de faux docteurs en évaluations
canoniques – bref de la racaille d’infiltrés parasites profitant
d’un système qui est comme un autre Etat la proie de la voracité
des médiocres, des minables, des malheureux faussaires)] - dont
Internet, les répondeurs téléphoniques, les walkman[s], jusqu'au
écrans plats et ordinateurs portables et clés Usb, etc. et
téléphones mobiles, etc. - et avec ces communications à travers
le temps chiffres statistique d'avance à l'appui, donc capable
de rassurer les investisseurs et les marchés, malgré la hausse
du prix du baril de pétrole qui, hélas, serait contrairement à
la loi de la Quantité, donc en infraction vis à vis de ce dont
chacun bénéficierait et allait bénéficier rien qu'avec les
magnétoscopes à cassettes sans parler des DVD d'où que tu peux
comprendre ici ma colère car cela signifiait que sinon tous
auraient pu obtenir ces biens gratuitement ou presque - soit les
choses coûtant 700, peut-être jusqu'à 850 fois moins
chères/élevées/coûteuses - l'Architecte de l'Univers avait fait
avant ma naissance, dans le cas où je l'oublierai, réaliser à
Fiat les 500, les 600 et les 850 - ce dont je ne me suis souvenu
qu'en 1975-77 en recevant tes baisers (« alors c’est pour ça que
… ») et de nouveau seulement vers 2014-2015) en raison de ce que
j'eus à prendre cette initiative privée (de mon propre chef à
partir de 2005 - donc comme une des [mes] œuvres d'aArt [que
j'ai réalisées, dont je suis l’aAuteur] - en fait comme une
grande mise en scène à l'échelle mondiale : la NDIM), parce que
ma situation providentielle d'empereur et de redevenu bouddha
l'a permise - cependant que sans cette NNDIM, je n'aurais pas pu
la créer - il fallait donc qu'elle advienne et c'est là que
l'Ensemble m'a contraint à trouver ce stratagème du sacrifice
bouddhico ... (schtroumpf) avec Toi (ma divine) pour réussir à
créer cette situation qui me permettrait de sauver autant de
fois que cela le fut la Création après la seconde guerre
mondiale, donc rétroactivement (donc depuis 1945 au moins) à
l'aune de ce que cela représentait réellement comme dommages
(pas si importants que cela à l'échelle de tout ce qui
fonctionnait). On le doit donc au fait que j'étais légalement
reconnu comme empereur - donc légitimement pharaon
chronologiquement après mon père qui n'avait pas voulu non plus
(ni ma mère alors - peut-être en raison de préjugés liés à leur
condition d'occidentaux attachés à la monogamie) de la solution
élégante des deux épouses et donc qui n'avaient pas voulu
diminuer non plus (malgré tout ce que j'avais démontré sur place
en leur expliquant que cela permettrait de réaliser Walhalla ou
le Paradis ou Atlantide, etc. (plus rapidement qu’en ayant à
attendre que se reproduise mon intervention qui pour le moment
en 1975-77 étant encore à trente ans de là où nous étions –
c’est-à-dire loin, très loin, vraiment immensément loin, pour un
enfant de douze à quatorze ans) tout de suite le prix du baril
de pétrole (bien que mon père comprenait que j'avais raison,
comme ma mère) étant donné qu'ils m'ont fait comprendre
qu'ils étaient à ce sujet l'objet d'un racket [inadmissible,
inconcevable] de la part des enfants-gâtés, égoïstes et
adolescents attardés (pour ne pas dire plus à leur sujet et les
traiter de smsmp - "stronzi
di marcia secca mente [che] puzzano", ce qui est encore trop
d'honneur, en raison des crimes qu'ils se sont autorisés jusqu'à
la fin de la seconde guerre mondiale, voire d'autres ensuite, y
compris envers les animaux pacifiques et inoffensifs (manque de
cœur totalement à l'opposé de l'existence de la notion de
Sacré-Cœur - donc en étant incohérent par rapport à une chose
qui existait/possible/ en réalité facile d'accès: comprendre le
droit à la Vie des espèces aussi non-violente, aussi
inoffensives, aussi pacifiques que Le sont celles des êtres
humains, si on contraint pas celle-ci en légitime défense à
frapper) - des crimes dont je ne sais pas grand-chose encore à
cette heure-ci puisque tu les sais, aller à l'Ecole ou à
l'Université ou pendant les travaux qu'on fait comme monteur ou
comme peintre, on n'a pas le temps de lire la rubrique des
chiens écrasés ou mêmes des rixes dans les bars ou restaurants
ou les combats entre des gens ivres-mort - cela ne concerne,
hélas ou heureusement, que ce qu'on a toujours appelé le
« peuple » et non les gens qui refusent toujours de se battre
physiquement comme les adeptes de la non-violence).
Des raquetteurs qui
avaient été les partisans de l'empereur précédent mon père, a.h.
- peut-être même mon père a choisi l'idée d'assurer/assumer la
transition d'avec moi dont il savait d'avance comment mon
avènement aurait lieu, car il devait y participer et le/a
préparer, ce qu’il a choisi selon cette Méga Dictée Pharaonique
de la NNDIM -[(que je ne voulais pas sur place réaliser comme ce
qu’elle dût être dans ce cas de figure de la Création nommé
Smoking puisque quand
tu m’as embrassé j’avais arrété de fumer pour que nous puissions
découvrir le cas de figure de la Création nommé
No smoking – c’était
cette gare de 1975-77, un carrefour, une étape très importante
pour tous dont toute la suite dépendait)]-
pour que le sien dans le
passé puisse avoir lieu pour me permettre ensuite de sauver la
situation après le fou, l’handicapé plus ou moins totalement,
malgré/à cause de ses millions de canons (d’enfant-gâté, au
mauvais sens de ce mot et non au bon) , le criminel contre
l'humanité, a. h. –
Ici, cependant, en
parlant des dames, on pourrait croire à première vue que la
condition de criminel contre l'humanité est un peu
ontologiquement inhérente à la nature humaine (des dames) - deux
mouvements existent, une oscillation d'un côté pour la vie et de
l'autre contre la vie - en cela la femme le sait qui perd
régulièrement ses ovules (on pourrait le dire des garçons si ce
n’est que j’ai vérifié sur moi-même qu’ils ne perdent leur
semence que quand ils en sont contraint et forcé (par les
stratagèmes des femmes), sinon ils s’abstiennent de la perdre) -
il faut qu'elle soit particulièrement amoureuse pour qu'elle ait
envie d'avoir une descendance - ici elle vérifie la loi de la
quantité et de la rareté: sur l'ensemble de ses ovules, il n'y
en a qu'un ou deux qui donnent naissance en ces époques de
contraceptifs et de prix du pétrole rendant impossible la Vie de
chacune des mères, étant donné qu'en 2014 elle était jusqu'à
onze mille fois plus chère/onéreuse/coûteuse que ce qu'elle
aurait dû être à cours-le-bas, donc pour favoriser la
réalisation de famille, voire de familles nombreuses - ici cela
a découragé tout le monde à avoir des enfants comme à se marier,
sauf ceux qui étaient assurés par les revenus
usurpés/volés/augmentés/obtenus artificiellement en infraction
avec la loi de la Quantité et … , ceux du pétrole puisqu'il y
avait soudain deux fois plus de pétrole sur les marchés) et donc
que je puisse approcher Michèle à Strasbourg comme un des
nombreux crapauds une grenouille (elles sont innombrables et
obéissent elles aussi à la loi de la Quantité (le savent
aussi les amateurs de grenouilles en tant que « cuisses de
grenouille » à manger dans un restaurant ou chez soi comme des
escargots), donc comme elles ne sont plus/pas rares. Elles ne
valent pas grand-chose (pas plus que les crapauds que,
parait-il, on ne mange même pas) mais elles contentent un
crapaud, car elles ne sont pour l’instant que des grenouilles et
non pas encore devenues de véritables divinités bouddhiques
(elles l'espèrent peut-être en coassant d’autant qu’elles
connaissent toutes l’histoire du roi crapaud) ou alors de
véritables déesses comme l’est la Très Sainte Vierge Marie!
Aussi cette jeune fille à Strasbourg pourrait être témoin d'une
métamorphose et de ce que les contes de fées sont vrais - donc
en découvrant que mathématiquement je redeviendrais le prince
que j'avais été - ce qui devrait lui donner bon espoir,
puisqu'elle eut à s'ingénier autant (à se 'décarcasser' - elle
appréciera puisqu'elle sera sensible au fait que cela représente
un écho à 'coasser') pour devenir une grenouille que peut-être
à son tour un tel miracle pourrait advenir (ce que je pensais
pourrait advenir dans le cas de la Création nommé No smoking
(grâce aux enfants que nous attendions avec elle) -
cependant qu'elle a tenu absolument à ce que le cas de création
nommé Smoking advienne) mais pour cela elle doit me faire
confiance et renoncer à jamais à l'argent sale du pétrole qu'en
plus elle a compris m'avoir volé (puisqu’elle y avait accès et
pas moi) avec ceux qui avec ont constitué la caisse noire (qui
nous appartient (à toi – si tu n’as rien à te reprocher - et à
moi), en tant que pharaon autant que la caisse blanche) à ces
divers titres qui sont les miens de droit - en effet, ce n'est
que grâce à l'argent propre, des CFPM (Crédits Financiers
Propres et Mérités), comme
je l'ai démontré, qu'on a des chances ou des probabilités de
réaliser une/la métamorphose, car sinon on stagne dans le plus
ou moins banditisme comme des entretenus et des parasites qui
refusent même de chercher les moyens de s'enrichir légalement,
puisqu’ils étaient autant que ça assurés par ces revenus
escroqués à l’Ensemble des gens les plus honnêtes en devenant
alors plus qu'un véritable fléau et problème pour tous ceux qui
ne font pas semblant de savoir combien c'est difficile, dans
certains cas [particuliers] d'obtenir des CFPM - Crédits
Financiers Propres et Mérités -{[(elle avait pu s’en
rendre compte pour obtenir la subvention du Groupe de Recherche
et de d’Essai Cinématographique (GREC) pour
La Momie à mi-mots – ce n’est qu’à l’issue de plusieurs
réécriture du scénario (ce qui représentait au moins
l’investissement d’une License en Histoire et une maîtrise en
scénario) que nous avons obtenu cette minuscule subvention de
départ, ce qui devait permettre de rechercher les
complémentaires -(la somme reçue qui devait couvrir les dépenses
passées et à venir n’était pas de la fausse monnaie !) – ce qui
alors représente des quantités de temps à investir à cela, donc
d’autres investissements (dont il faudra se rembourser) en plus
de ceux qu’il faut réunir pour réaliser le film et le mener à la
sortie en salle – évidemment, il est probable que ceux qui ont
accès à la caisse noire obtiennent aussitôt ce qu’ils n’ont même
pas même besoin de rechercher/demander en de nombreuses
démarches dont certaines sont avec accusé de réception ou
d’autres exigent des investissements – [importants en temps
(bénévolement investi dans un premier temps, peut-être dans
l’espoir de se rembourser les frais)]-
au préalable comme ceux
qui contraignent à devenir un honnête homme)]}- dans d'autres
cas plus facilement - ça dépend des métiers ou des activités
choisies comme du génie des uns ou des autres à en obtenir de
droit - elle le pourrait aisément depuis longtemps, étant donné
qu'elle a accès à la caisse blanche qui la rémunère pour ses
activités de professeur[e] d'Université - en fait c'est parce
qu'elle était assurée d'avoir accès à la caisse noire, qu'elle
va croire que ce qu'elle obtient pour son rôle d'enseignant est
une forme de corruption, alors que pas du tout: aucune des
personnes qui sont payées avec des Revenus Financiers Propres
Mérités (RFPM) de droit ne sont contraintes de coucher avec un
supérieur hiérarchique pour obtenir leur activité: ils les
obtiennent normalement en raison de compétences vérifiées -
c'est donc cette assurance d'avoir, quoi qu'il arrive, accès à
la caisse noire qui ne permettra jamais aucune métamorphose de
grenouille en princesse, ni même prise de conscience des
impératifs/contraintes liées à la bonne marche de la société en
général (donc ne permet pas à ces personnes de comprendre
comment le système fonctionne, vu du bon côté – par conséquent
en vérité avec, entre autres, les conséquences que cela a sur
les divers plans juridiques et économiques sur la réalité qui
concerne les mariages – pas étonnant que celui qui accède à la
caisse noire devienne un des don Juan, par conséquent obtienne
ainsi sa réincarnation de chien ou de pire que ça – en effet,
être délivré des soucis matériels, financiers, cela peut même à
l’origine de ce genre de réincarnation pour un véritable roi et
un bouddha – d’où le danger absolu que constitue d’avoir accès à
la caisse blanche) - donc l'accès à la conscience de chacun des
"bandits" - tombés dans le piège du banditisme ou de ceux qui se
font corrompre par ceux qui ont accès à cette caisse noire -
elle est donc à l'origine même de chacune des involutions et
régressions, donc des futures réincarnations malheureuses comme
aussi de ce que la voracité s'installe dans les cerveaux de ces
personnes qui n'arrivent pas à devenir végétariennes, donc à
vivre sur le plan alimentaire plus raisonnablement (en moins
gourmands bien que les péchés de gourmandise existent aussi avec
la nourriture végétarienne) en s'évitant de devenir complice de
ceux qui croient possible tuer les animaux pacifiques et
inoffensifs dans les abattoirs pour la boucherie ou la
charcuterie et qui sont donc à l'origine de tous leurs malheurs
à venir en tant que futurs chiens, chats ou fauves ou pire
crocodiles, voire pire encore serpents ou encore pire requins
(quand ce n’est pas pire encore et alors les conduit à des
involutions et régressions telles qu’ils doivent se réincarner
dans une autre ère qui n’existe plus depuis longtemps et dont on
sait qu’elle s’est terminée depuis longtemps) et cela parce
qu'ils ont quitté l'espèce humaine pour une de celles seulement
animale (desquelles l’espèce humaine a le droit en légitime
défense de se protéger si elles ne revêtent plus d’utilité),
n'ayant plus accès à l'être humain qu'uniquement si chacun de
ces animaux s'impose une autre fois tout le parcours qui les a
mené finalement avant la réincarnation dans l'espèce humaine à
naître comme l'un des animaux pacifiques et inoffensifs dans nos
régions occidentales encore l'objet d'injustes sacrifices pour
assouvir cette voracité humaine de ceux qui n'ont pas voulu
accomplir la mise à jour, au moment de la Révolution du
Néolitique (il y a plus de dix mille années) qui a permis de
retrouver sainement une alimentation végétarienne donc qui avait
permis de retrouver l'alimentation de l'Atlantide perdue, Ôz
- celle de ceux qui ont rejoint le Paradis et qui n'ont pu
le rejoindre qu’évidemment seulement parce qu'ils n'ont jamais
eu accès à aucune espèce de caisse noire).
En cela Christine
s’est un peu comportée comme la Vierge elle-même confrontée en
pareille situation et c’est la raison pour laquelle (par
précaution, prudence et parce que j’étais responsable d’elle, en
tant que son [premier - peut-être unique mari] mari légitime, en
tout cas autant aîné que je l’étais (en 1975 j’avais donc déjà
au moins – puisqu’on l’a vérifié en 2015 avec la vidéo de moi
déjà en 2045 dans le ciel de 2015 qui correspond à celui de 1985
et de 1975 et 1965 - quatre-vingt deux années en étant devant
elle) que je lui ai demandé de trouver un "mari" pour avant
2005, étant donné qu’elle aurait risqué gros à ce moment-là où
les gens allaient prendre peur (puisque d'un seul coup celui
qu'ils avaient vu être un empereur profane redevenait le bouddha
et ré-intervenait du ciel comme trente ans avant, en raison du
devoir de fidélité à un pareil sacrifice ignoré pendant trente
ans, tandis que pas de ton côté, Christine - d'où que tu avais
aussi acquis le droit de me faire souffrir en "épousant" (à
première vue) - exemple d'anti-phrase - une tierce personne –
ce que je te donnais le droit de faire comme ne pas faire si tu
te sentais assez en sécurité pour m’être fidèle – cependant que
j’ai de mon côté estimé en raison de ce que j’avais eu à
traverser qu’il était plus prudent de te proposer pour ta
sécurité de trouver, momentanément du moins, ce remplaçant) – et
donc je me suis dit qu’en pareille situation pour assurer la
protection de Christine (et pas du tout dans l'intention de me
faire souffrir - ce fut le bonus en plus ! - exemple
d'anti-phrase ironique), tu avais dans ce cas [particulier]
droit de contracter un mariage (tant pis si j'allais apparaître
une autre fois à première vue le roi des "cornuti" (je l'avais
été avec Nathalie de Dieuleveut et puis sans doute durant ces
années où je fus profane - mais alors on n'en n'a nullement cure
- pas très sérieux les amours en question bien qu’à première vue
cela l’avait été) - le caractère précieux de s/ta vie me valait
bien ce à première vue déshonneur (comme cela s'était
déjà passé) - pour quelques abrutis ou/et smsmp - qui en serait
même le contraire, un honneur pour les gens plus intelligent[s]
que cette racaille) qui pourrait être annulé [ce
mariage] ultérieurement, si tu le souhaitais. (Cela a tardé que
nous ayons à en parler, car je fus pris par la priorité
mondialo-cosmique de cette NNDIM – l’urgence prioritaire (car
comme j’étais pharaons, je devais aider, comme le second
(d’autres comprendront ici le « principale », le patron) de mon
père [que je venais de nommer empereur en Saint-Esprit] et qui,
en 1976, sans mes communications ne pourrait pas faire
progresser la civilisation jusqu'à nôtre époque, par conséquent
ne pourrait pas me faire trouver Internet pour recevoir le/ton
premier message [de Christine] en 2005 - un message même d'une
ligne ou deux (dont j’espère tu as conservé la copie exacte –
car il vaut de l’or – moi je l’ai en tête) plus important que
tous ceux de plus qu'une ligne ou deux j'avais pu recevoir en
tant que profane) et qui repoussait qu'on en parle à plus loin
(du point de vue de 2005: il faudrait attendre 2012-2013
-[(c’est long d’autant plus de ces communications en
multi-dimensions-multi-catégories (ayant eu lieu deux autres
fois quarante ans et trente ans avant qu’elles aient enfin lieu
en chair et en os) à raison de quinze heures par jour – et elles
eurent lieu simplement avec de la nourriture végétarienne de mes
recettes de spaghettis – c’est dire que c’est une/la » potion
magique « – en réalité ce qui l’était aussi était la mémoire de
la perte de nos enfants et donc ce sentiment d’avoir été victime
d’une affreuse injustice qui a permis ce miracle et a décuplé
mes forces comme la puissance de ma voix qui « a eu force de
nécessité », en devenant celle à la fois d’un père plus
qu’outragé et indigné mais aussi d’une mère véritable ayant été
l’objet de sacrilèges inadmissible : toi)]- pour que nous
évoquions cette question - ce qui signifierait que tu aurais
comme moi à subir des outrages dans nôtre couple d'antan (et
même que tu trouves normale ta condition de "femme mariée" -
bref que nous ayons à continuer à subir ces continuels
sacrilèges - mais n'aurais-je et n’avais-je pas été à tes yeux
sacrilège, en acceptant cette amnésie ce qui m’avait et devrait
me conduire de nouveau à me profaner pour devenir un porc [(ce
que dans les faits l’Eglise [comme peut-être toi]
de facto que vous le
vouliez ou pas avaient voulu (au lieu de vous l’interdire comme
de l’interdire d’autant plus des premières Démonstrations … qui
s’étaient conclues par mon retour à la bouddhéité (et ma
Confirmation en tant que bouddha dans le Christianisme) et des
suivantes qui visiblement d’avance révélaient qu’elles auraient
le même effet – cependant qu’il ne s’agissait pas là de la
possibilité de profiter de cette courtoisie de l’avoir révélé
d’avance et qu’il y a eu tout ce qui avait concerné ces
Démonstrations … nommées « Après-midi d’un faune » et toutes les
suivantes nommées « Après-midi d’un satyre » et ici en raison de
ce que cela serait comme traumatismes divers et avait été, il
était impératif d’interdire la réitération de cette séparation,
ne serait-ce que déjà, en raison des séquelles évidentes
(évoquées en partie) des premières Démonstrations … qui avaient
nécessité la psychanalyse [publique] advenue dans le ciel à ma
place trente ans plus jeune par moi-même retrouvant la mémoire –
aussi de ne pas avoir compris (pourtant des gens ayant été
contraint d’apprendre à analyser) que ce qui se passerait ne
devait pas se reproduire dans la réalité en chair et en os,
comme je le demandai (le suppliai à ma mère entre 1975 et 77 –
au point qu’alors que j’étais partisan-convaincu de la
monogamie, j’acceptai même totalement d’y déroger, grâce à ma
solution élégante musulmane pour m’éviter les malheurs dont
j’avais une un » assaggio « (avant-goût)
durant les deux années de profanation au cours des
Démonstrations … nommées « après-midi d’un faune » - tout valait
mieux que la réitération de ce Sacrifice de séparation (et cette
amnésie dont j’avais bien remarqué les effets désastreux –
impedimenta scolaires divers et inepties telles qu’on ne
comprend plus grand-chose dans les choses pourtant essentielles
pour un futur père de famille) et celui (de moi-même) qui
n’était alors que virtuel dans le ciel ne cessait
à mi-mots de me le faire comprendre à moi trente ans
plus jeune (au cours de la Dictée et des cinq sur cinq nombreux,
d’autant qu’on pouvait se rendre compte des traumatismes causés
par ces deux années de
ragazzaccio qui n’étaient pas encore passés trente ans
après) sur place, sachant ce que cela signifiait comme
souffrance, c’est vraiment ici aussi sacrilège au paroxysme et
une des raisons pour lesquelles une Eglise avec des responsables
aussi peu capables de comprendre une situation pareille
(pourtant ayant donné grâce à ces premières Démonstrations … de
la matière à réfléchir) n’est pas/plus [du tout] crédible sur de
nombreux plans scientifiques) en ne renonçant pas à nous séparer
une autre fois, donc en exigeant la réitération de ce sacrifice
contre sur place en 1975-77 ma sacro-sainte volonté de bouddha,
ce qui est/a été sacrilège au paroxysme car ce n’est pas parce
que j’étais devenu chrétien en raison de ma confirmation qu’elle
pouvait s’autoriser un pareil sacrilège envers les désirs du
bouddha qui on le sait ne peuvent être d’avance que seulement
pour le Bien et d’Intérêt général – peut-être autant si ce n’est
plus que ceux du Christ à cause de ce que j’avais déjà enduré
depuis 1965)]. Evidemment peut-être avait-elle oublié que
c'était pour approcher une profane et donc la mener à une prise
de conscience du mal qu'elle avait fait à cette petiote de
Christine (Toi) et à son pharaon quand elle refusa la solution
élégante proposée par le bouddha, c'est à dire le Grand
Architecte de l'Univers à travers moi l'étant redevenu en 1975 –
celle des deux épouses – au lieu de cela en la refusant (avec la
complicité de l’Eglise d’alors, celle de ma mère, peut-être de
ma sœur aussi) elle m’a condamné à l’amnésie et à me conduire en
plus ou moins profane, comme en porc pour me permettre ainsi
masqué de rejoindre la grenouille qu’elle était devenue comme
adolescente, donc ayant quitté le statut de princesse qu’elle
avait pourtant été enfant, ; une photo d’elle l’atteste).
Christine a finalement souhaité cette annulation, il est donc
annulé (Ton mariage) étant donné que pour le Pape je suis celui
qu’il prend pour Dieu lui-même (il n'a pas tort en raison de ces
bien pire que crucifixions psychiques abominablissimes dont
j’eus à être victime envers la notion de fidélité que je te
devais) - bien que de mon point de vue, il a[urait] tort - car
le bouddha est vu par les bouddhistes comme un Dieu vivant et
non encore (on peut le déplorer mais aussi/surtout s’en réjouir
d’avance) par la majorité des chrétiens et d’autre part bouddha
sait ce que peut être la notion de Dieu, mais à l’aune de tout
ce qui ne fonctionne pas encore comme il souhaiterait, cette
notion de Dieu n’existe évidemment pas – cependant qu’avec le
Christ jusqu’à Sa Crucifixion et sa Résurrection – si elle n’est
pas due à l’existence de cette salle des machines (donc à une
tricherie) , il est crédible comme Dieu par ceux qui ne savent
rien au sujet de cette salle des machines (ce que j’eus à
vérifier à la fois quand de faune je redevins bouddha et quand
d’empereur profane malgré moi, à cause de l’amnésie canonique
contractée en pareil cas, je redevins bouddha)– c’est-à-dire
avec SAI SSS les Lord. Jésus Christ, le représentant de bouddha
ou/et d’Osiris localement dans une des régions des Univers de
bouddhas) comme les précédents papes qui comme ce dernier (le
Pape François) furent nommés, en raison de ce que tu te
souviens, j’ai alors communiqué d’avance du ciel au cours de la
NNDIM leurs identités différentes).
Et ici je remarque que Christine qui savait cela de moi n’a pas
même eu l’idée de me suggérer cela (donc d’annuler son mariage
étant donné qu’elle avait la mémoire de cette NNDIM comme de
la Méga Dictée Pharaonique réalisée à partir de 2005 du ciel –
en effet son premier message Internet fut dans le genre (je
simplifie): « je suis mariée – un émoticône (une de mes
inventions en 1975 dans la chambre de ma sœur avec sa machine à
écrire et que j’ai confirmé ensuite du ciel : il faudrait la
développer pour donner le ton aux phrases des textes qu’on écrit
– cela remplace des indications – genre : soupirant, malheureux,
fâché, etc. et j’ai pensé qu’en le mettant dans ce premier
message elle se souvenait de ceux que je lui avait montré à la
récréation que j’avais réalisé avec le clavier – aussi cela m’a
fait plaisir bien que je fus longtemps sûr et certain qu’elle
signifiait le contraire de ce sourire en l’ayant inscrit avant
de m’imposer l’anti-thèse par honnêteté : et si c’était vrai
qu’elle est heureuse.) tout sourire - ce qui avait été
serait » (et je te prie de me croire qu'au moment où je l'ai
reçu, je n'ai pas compris encore de quoi il pourrait s'agir que
ce "serait" que tu évoquais: cette méga dictée de la NNDIM qui
n'a commencé chronologiquement qu'après ce message de toi y
compris le baiser que tu me donnas trente ans avant dans les
jours en question et dont j'eus soudain la mémoire en
l'encourageant du ciel où je suis apparu trente ans avant et
même plus que cela, puisque j'ai alors seulement compris que je
suis apparu du ciel dans les heures ou jours suivants à cause de
ce qu’on me révéla ce fait majeur de mon passé – celui-là oublié
canoniquement - que tu avais existé, ce qui allait
progressivement me faire déduire, moi qui était redevenu
[empereur] profane que probablement pour en être à la situation
dans laquelle j’étais en 2005, un sacrifice d’une religiosité
étonnate/surprenante/insolite/extrême/infernal mais terrifiant
(trois interventions d’un futur n’existant pas encore au moins
avant celle qui advînt finalement en réel) avait été accompli,
mais en découvrant que rien n’avait encore commencé
chronologiquement dans le passé en 1965 ni en 1975 donc que si
je n’intervenais pas, je ne recevrais même pas ton baiser en
1975 – d’où l’horreur absolu de la contrainte d’intervenir
[heureusement en redevenu bouddha entre temps] pour nous imposer
ce Sacrifice étant donné que visiblement les adultes de l’époque
au lieu de le refuser nous l’avaient imposé et je découvrirai
contre ma volonté de bouddha sur place – soit ce qui m’a donné
légitimement le droit d’être en colère contre chacun de ces
soi-disant responsables à jamais/pour toujours y compris contre
deux ou trois autres bouddhas dans le tas) et cela avant même
que chronologiquement je comprenne que la situation me
contraignait à intervenir dans le passé au plus loin du plus
loin, mais aussi plus proche vers 1965 (où j'avais deux ans -
c'est en ce moment même une autrefois, nous y sommes en 1966 et
j'ai trois ans (donc toi deux) en même temps que treize ans et
quarante trois ans en 2006, mais aussi quatre-vingt trois ans en
2046 puisqu'il y a une vidéo de moi où je suis au premier plan
en 2015 et où je suis dans le ciel en 2045, comme quand je suis
apparu dans le ciel de 1975 alors que j'étais en 2005) et enfin
sur l’époque de 1975 où tu allais venir vers moi m’embrasser
après ces dix premières années de Sacrifice bouddhico - …
schtrumpfs dans la cours de récréation du Lycée français de Rome
le lycée Châteaubriand à la villa Strohl-Fern.
Christine m'avait
bien vu dans le rôle de Dieu dans le ciel pendant deux années
entière tous les jours avant nôtre séparation à la fin de 1977
(alors pourquoi ne m'a-telle pas dit: "annule le mariage"?),
quand son père est venu la chercher au lycée et qu’elle me l’a
alors présenté et que nous nous sommes quitté, moi ayant à
rentrer à pied, donc à rejoindre mon autobus, le 81, ou le 85 ou
le 88, via del Corso, après avoir à traverser le piazzale
Flaminio et la place du Peuple en passant devant le sempiternel
obélisque et en ayant les deux églises jumelle à quitter pour
m’engager sur le trottoir de droite de cette allée centrale, le
Corso (devant le cinéma où Adriano Celentano avait été vu de dos
à se prendre pour le Christ) qui mène à la Machine-à-écrire,
surnommée ainsi place Venise le Monument au Morts vers la
station de bus qui était à deux pas d’un marchand de jeans
où j’avais acheté mes premières paires de
jeans (en faisant
scandale à ce sujet chez mes parents qui étaient contre ces
pantalons (pas aussi chics que ceux en "flanelle" de l’époque
que je trouvais agaçants à porter, désagréable car la flanelle
de l’époque (non plus celle de nôtre époque que j’ai demandé
d’améliorer au cours de la NNDIM en disant que la solution
élégante avait été trouvée – ce qui la fit découvrir) me piquait
les jambes, comme si j’avais en permanence des couronnes
d'épines, voire d’orties me piquant - aussi je ne voulais que
des pantalons en coton, voire en velours côtelé, ce que ma mère
a réussi à me faire aimer porter au lieu des « horribles jeans »
et en cela elle n'eut pas tort - c'était beaucoup plus agréable
comme alternative que les jeans au point qu'il y eu des
jeans en velours côtelé - ce qui fut mon idée) que
personnellement j’adorais porter comme ma génération – surtout
les jeans délavés, pas les autres – ils étaient plus chers,
coûteux, onéreux, parce que – ce que me dit ce marchand – un
ancien 68ard – était qu’ils avaient subi un traitement spécial
en plus qui avait réussi à les délaver – donc qu’ils avaient
coûté plus cher à être réalisés en série que les non-délavés
plus résistants – la loi de la Quantité les ayant cependant mis
à ces prix abordables cependant qu'ils nécessitaient de
véritables économies pour pouvoir se les offrir (les acheter) ou
même en pourvoir des membres de la famille dont on serait
responsable financièrement (ce qui me faisait faire des calculs
[de mégère ou de future mère de famille] et vérifier qu'il me
faudrait au moins un doctorat pour m'en sortir financièrement,
si je devais consacrer une part de mon salaire de prof. à
habiller et nourrir mes enfants) – il y régnait une odeur
particulièrement merveilleuses – celles des
jeans neufs entassés,
délavés ou pas, qui étaient en grand nombre de toutes les
tailles et des marques concurrentes aussi empilés sur des
étagères dans cet espèce de petit couloir aménagé en boutique de
jeans près de l’arrêt du bus – j’avais finalement pu
acheter le Wrangler de mes rêves et jamais je ne pouvais
imaginer que ce responsable de ce magasin était par ailleurs
assuré d'argent sale - on avait sympathisé - je suis même
retourné des années après lui rendre visite - il était déjà
devenu âgé et si je devais le rencontré un jour je lui dirais
que j’ai réalisé Internet pour que le
World Wide Web
aille avec les
Wrangler en/de welours).
Evidement une fois que la décision est prise de
se quitter on oublie en partie ce qu’on vient de wivre
(sauf ceux qui ont la mémoire à vif - les gens les plus
conscients - ceux dont la mémoire fonctionne encore) qui fait
alors fait partie du passé (mais à l’occasion, s’il nous est
donné de nous en souvenir, nous nous en souvenons comme j’ai pu
le remarquer de la part d’un de mes anciens camarades du Lycée
Chateaubriand, hervé bourbon qu’en retrouvant à l’occasion de
l’exposition de peinture de mon frère à la
Bibliothèque Polonaise à Paris et en lui rappelant ces
transmissions du ciel. Je vis qu’il s’en souvenait très bien,
parce que je m’en souvenais, d’autant plus qu’elles avaient
cours de nouveau trente ans après, donc que c’était tout chaud,
dans les heures qui avaient précédé cette exposition, mais
aussi celles qui suivraient car j’y suis allé comme/en
guise d'une parenthèse [récréative] dans ces transmissions à
travers le Temps et l’Espace, depuis le studio rue du Val de
Grâce (mais je ne sais pas à quoi correspond trente ans avant,
l'emplacement de la Bibliothèque Polonaise, bien que nous
sachions tous que le studio du 12 rue du Val de Grâce (qu'il va
falloir exproprier pour que je puisse reprendre ces
transmissions), 75005 Paris, correspond à Rome, au-dessus du
Lycée Chateaubriand de la Villa Strohl Fern! Cela signifie qu'on
m'a vu dans le ciel ailleurs et dans d'autres époques peut-être
aussi que seulement trente ans avant sur nôtre bonne ville de
Rome.
Aussi Hervé avait
oublié jusqu’au moment où je lui ai rafraîchi la mémoire et
c’est alors qu’il a employé le mot de "Vaticanata" (que je
n’avais jamais entendu jusque-là) et qui en réalité désignait,
de son point de vue, ce qui s’était passé dans le ciel, à partir
de 1975 avec mon apparition en
ante-prima (en cela
il admettait que cela avait à voir avec la notion de Dieu).
Il résumait de très nombreuses choses : 15 heures par jour de
transmission à travers Temps et Espace par un seul mot :
« Vaticanata »! mais n’a pas dit Waticanata !
J’ai trouvé cela un
peu facile et surtout cela ne disait rien au sujet de ce qu’il
comprenait ou avait compris (avait-il des préjugés contre le mot
de Vatican ? – et visiblement – de son point de vu, cela n’était
pas crédible (sous-entendu comme tout ce qui provient des curés
- en cela il différait de son père Michel Bourbon qui avait fait
deux ou trois admirables sculptures inspirées par la religion
Chrétienne, donc cette notion de Dieu dans ces années là où il
avait pu rejoindre la Villa Médicis) – pourtant il avait assisté
tous les jours aux transmissions de cette Dictée Pharaonique
avec ma personne d’avance dans le ciel immenssissîme, tandis
qu'il m'avait devant lui ayant trente ans de moins et jouant en
tant que bouddha (que ses yeux déjà détériorés - donc sa tête ne
pouvait pas voir exactement) à la Villa Médicis au tennis avec
lui pour le soigner comme un de mes louveteaux, mais aussi en
m'étant alors consacré à quelques textes dont un qui fut
représenté et joué à la fin de l'année scolaire avec mes
camarades de la bande de Felice Clemente à laquelle j'avais
voulu appartenir, en raison qu'il s'intéressait à la musique
folklorique andine d'autant qu'on venait de m'annoncer dans le
ciel (en fait moi-même
dans le futur y étant d’avance) que je devrais quelques temps
après (si on devait se séparer) aller au Pérou chercher le
masque du diable qui venait d'exploser dans le ciel et dont tous
avaient été témoin à Rome qu'il avait donc explosé (cela a
accompagné la nouvelle de la vérification en Grand Inspecteur de
la mort de la reine de la nuit qui avait précédé de peu l’idée
que cela m’a donné alors de parachever cet anéantissement
salubre de Satan) - c'est moi qui avait eu à le briser en
milliards de morceaux, car c'est facile avec du plâtre, mais
cela advînt en 1975-77 avant même que ce masque ait été réalisé,
au cours de l'exorcisme le plus extraordinaire et miraculeux que
jamais nul terrien n'a jamais connu car il advenait dans le ciel
- en effet, ce masque de
diablada que j’avais été acheter avec des CFPM au Pérou et
qui joue dans
La Momie à mi-mots
un des rôles principaux représenterait toutes les superstitions
dans tous les temps, toutes les faussetés, toutes les bêtises,
toutes les inepties (en fait un peu, ce masque de
diablada, autrement
vu, comme Le Visage de la
Guerre, un tableau de 1940 par Salvator Dali au Museum
Boymans van Beunigen Rotterdam, reproduit en page 128 de
l’édition Taschen de
Dali par Robert Descharmes et Gilles Néret) ayant chacune, comme
ce masque, volée en éclat). Visiblement il ne s’expliquait rien
à ce sujet ni même était désireux de savoir ou de comprendre –
c’est pourquoi moi qui m’apprêtais à lui expliquer (comme à
philppe nahoun que j'ai alors revu avec plaisir et qui a reconnu
honnêtement qu'il était au courant de mon amnésie -[(donc de
nôtre sacrifice qui allait prouver à tout le monde que c’est
bien des paramètres oubliés, des problèmes de mémoire qui sont à
l’origine de chacune des involutions et régressions qui font
obtenir les réincarnations mineures causant autant de problèmes
à tous, car en raison de voracité à l’origine même de
l’augmentation des surfaces désertiques – ce qui contraint les
chasseurs périodiquement à tuer le trop grand nombre de fauves,
d’ours, de loups et crocodiles et serpents en trop en
semi-liberté dans les parcs et les réserves où deux ou trois
d’entre eux (pas plus, en raison de ce qu’ils représentent comme
coûts/dépenses en consommations de viande animale en liaison
avec la quantité d’herbe permettant d’assurer la croissance des
animaux pacifiques et inoffensifs (avec le danger que courent le
non-renouvellement de la croissance de l’herbe, dans certains
cas, à cause du nombre trop important d’animaux dépendant de ces
surfaces d’herbes) qu’ils ont cru avoir le doit de chasser,
contrairement aux lois de la jungle qui les contraignent à
devoir chasser l’espère inférieure : celle des crocodiles qui
eux doivent chasser les serpents) ont encore le droit d’y
vivre)]- quand je suis arrivé à Paris, puisqu'il ne cessait de
me traiter d'Anastasia en riant, moi ne comprenant pas de quoi
il était question, car amnésique) dans la cour de la
bibliothèque ou devant un des sublimissîmes tableaux de mon
frère SAI SSS les Lord. Luc-François Granier, j’y renonçais
voyant à quel point il était dans ce qu’on appelle la morne
incuriosité scientifique – pas même désireux de savoir pourquoi
et comment.
C’est pourquoi je
me suis confié par écrit à d’autres sires à moins que cet
ancien copain louveteau, comme moi (ou peut-être différemment,
puisque j'y étais en qualité de bouddha et de Grand Inspecteur),
soit un jour de ceux qui recherchent à comprendre – il trouvera
dans ces textes tout expliqué et peut-être comprendra alors que
la Vatican a été témoin de l’apparition du bouddha dans le ciel,
c’est-à-dire de celui que la hiérarchie vaticane avait confirmé
chrétien au cours de ma Confirmation dans l’Eglise du Panthéon
de Rome qui devînt ce jour-là temple bouddhique, mais aussi
synagogue (en raison du sacrifice bouddhico-judaïco - ... qui
s'achevait) et mosquée (car j'avais toujours cette idée de droit
à plusieurs épouses - cependant que de nombreux dieux romains et
grecs dans la part intelligente de chacun d'eux étaient aussi
confirmés comme [des] catégories [possibles]) car c’est grâce à
ces diverses religions officielles que j’avais pu m’extirper de
ma condition de faune, au cours des premières Démonstrations …
pour retrouver ma condition de [lun des] dieux avant d’en être
reconnaissant à la religion chrétienne, en acceptant de me
confirmer (en tant que le bouddha) dans celle-ci, y voyant dans
le Christ crucifié le bouddha (effectivement j'avais réellement
souffert beaucoup durant ces dix années de séparation d'avec ma
promise y compris d'avoir été amoureux d'autres filles de mon
âge ou même plus âgées sans grand succès à cet âge-là –
bizarrement jugé à-première-vue souvent trop jeune par ces
demoiselles) ou Osiris lui-même l'ayant été ainsi grâce à l'idée
géniale que Jésus a eu de le subir à leur place (donc en réalité
comme une sorte de deal intereligieux dans l'espoir
d'aplanir un jour autour de moi les trop grandes différences
religieuses comme d'expliquer pourquoi il y a des difficultés
pour des personnes élevées dans des religions précises
d'accepter celles des autres au moins aussi importantes,
officiellement admises par les principales comme des synonymes
possibles, des variantes de la leur. Oui, mais voilà que tous
n’ont pas cette sagesse car ces variantes ont causé dans les
détails des dégâts considérables au cours des siècles et qu'il
est temps que cela cesse pour toujours car/et cela justifie ici
une forme de religion,
la laïcité
que personnellement
j'ai en bouddha et en empereur adopté car elle peut être/est une
sorte de remède à l'intolérance et au fanatisme religieux bien
que je ne suis pas dupe au sujet de ce mot de laïc dans la part
positive qu’il a comme la part négative sur d’autres plans).
Evidemment j’ai pu
constater que certaines des filles, en raison du nombre de
religions sont un peu perdues et ne connaissent pas très bien
leur droit. C’est peut-être pour cette raison (l’ignorance du
Droit) ou pour une autre que Christine n’a pas songé à me dire
que j’avais simplement à annuler son mariage, puisqu'elle me
sait [comme ma mère] ‘Dieu’ lui-même (cependant qu'elle a oublié
de me le rappeler et que j'ai mis des années à comprendre qu'on
me prenait pour cette notion alors que mon idée à ce sujet est
plus complexe que réduite à ma personne) depuis qu'elle me vit
dans le ciel trente ans avant d'y être, en raison de nôtre
anneau de mariage qui est toujours le même depuis 1965 (en fait
l'histoire de deux enfants empereurs et impératrices que tous
ont cherché à séparer par tous les moyens les plus illégaux et
méchants, dont l'usage des machines de la salle des machine
d'Atlantide, en raison qu'eux seuls surent ce qu'est l'aAmour
véritable comme l'amour de leurs peuples (exemple d'anti-phrase,
s'il n'y avait pas, qui sait, un espoir de changement radical
quand ce peuple finira par comprendre ce qu'est l'aAmour de deux
aAristocrates et ce que cela permet en s’infligeant des
sacrifices pareilles : la preuve que l’amour avec un grand ‘A’
existe dans l’intérêt d’éviter à leurs peuples guerres et autres
malheurs comme même être à l’origine de tous les bienfaits) - en
réalité uniquement et seulement des gens intéressés au mauvais
sens de ce mot et non au bon, par conséquent incapables
d'espérer ou/et de souhaiter réellement le bonheur d'un couple -
pire qui trouvent drôle de le séparer, de leur assassiner les
enfants qu'ils attendaient - par conséquent des peuples qui sont
composés de smsmp - y compris les responsables de ces peuples
qui devaient interdire la réitération de ce sacrifice, ne
serait-ce qu'en raison du droit au bonheur d'enfants qui en
ayant été séparés dix années avaient amplement donné des preuves
de constance dans leurs sentiments - par conséquent de
responsables uniquement et seulement sacrilèges envers l'amour
avec un grand 'A' - c'est à dire en réalité envers la Croix même
de Jésus Christ qui l'avait déjà vérifié et qui n'a pas menti en
disant que ceux qui se repentent seront sauvés et que les autres
sont pire que damnés: effectivement ils obtiennent alors les
plus malheureuses des réincarnations que les Lois Cosmiques
Universelles (LCU – Cosmic Universal Laws (CUL en anglais)
elles-mêmes déclenchées par l'Ensemble (y compris eux-mêmes) en
raison de ce qu'on n'a pas le droit de se réjouir de pareils
sacrilèges qui plus est faits sur l'empereur et l'impératrice à
ce point [paroxysmique] véritable - aussi je constate que
l'Univers a été fait très justement, puisqu'en pareil cas
[particulier] (imprévu et imprévisible) Il est impitoyable
envers tous les salauds et les méchants qui effectivement s'ils
devaient trouver drôle même seulement d’un tantinet ce que nous
eûmes à vivre Christine et moi depuis 1965 et de nouveau 1975
sont perdus/détruits d'avance, ce qui n'est que Justice, s'il
persistent autant dans l'erreur, les péchés de lèse majesté,
mais aussi à trouver drôle ou possibles les sacrilèges et péchés
incommensurables commis envers nôtre couple qui a prouvé qu'il
ne se venge pas et qu'il continue à rechercher à faire le
bonheur des gens, grâce à ces quelques innovations géniales dont
cet Amour d’antan me fit devenir l'auteur).
A ce moment-là j’ai
pensé que je devais suivre la procédure habituelle (car l’Eglise
en m’ayant confirmé au Panthéon au lieu de Saint-Louis des
Français ne m’avait pas officiellement en 1975-77 encore remis
les clés de Saint-Pierre (ce qu’elle aurait dû à l’aune des
Démonstrations … appelée « Après-midi d’un faune »), car être le
bouddha, l’empereur ou même celui qu’on considère ou qu’on prend
pour Dieu (dans le ciel et hélas (mais heureusement, car cela me
permet de comprendre ce qu'est la bigoterie et l'hypocrisie des
êtres humains, comme aussi combien incohérents sont ceux qui
célèbrent Dieu dans le ciel alors qu’ils est devant eux) si peu
quand je suis parmi les êtres humains – ce qui doit changer) -
je l'ai même dit à un jeune prêtre l’autre jours qui a célébré
la messe en étant particulièrement exalté par "Dieu" qu'il sait
au ciel, mais qu'il avait entrain de lui parler devant lui et
visiblement il ne comprend pas que cela induit par exemple en
toute cohérence de se mettre aussitôt à ma disponibilité (car il
devrait être bien placé pour comprendre que des supérieurs ont
des choses compliqués à résoudre, donc besoin de personnel)
ne serait-ce que pour me
demander en quoi il pourrait m'être utile - pas même seulement
d'un atome l'idée de me proposer de l'aide et Dieu -[(alors
qu’il croit m’aider en célébrant la messe, ce qui est pour
certains cas vrai) sait si j'en ai besoin pour les divers
dossiers prioritaires qui concernent par exemple celui des
sauvetages de l'Ensemble voire seulement
des personnes âgées des douves et fossés à infarctus
ou alors faire connaître mes textes même s’ils sont critiques
envers l’Eglise)]- celle-ci m’ayant reconnu mais ne m’ayant
jamais été reconnu plus officiellement qu’entre
curés-prêtres-évèques-cardinaux-papes (c’est-à-dire comme s’ils
étaient chez-moi légitimes
ipso-facto) jusqu'à
ce jour du 27 janvier 2017 que par l’intervention du Grand
Architecte de l’Univers (ce que je ne sais jamais que les gens à
qui je m’adresse seraient au courant comme il n’y a eu aucune
intronisation – en dehors de mon avènement dans le ciel qui
avait été trente ans avant d’être de nouveau et qui s'est
reproduit à la date et l'heure annoncée d'avance, comme aussi de
ce que personne ne songea à me faire avoir des émoluments ou
même me stipendier en tant qu’empereur (ou même mettre une
automobile avec un chauffeur à ma disposition – ce à quoi les
cardinaux ont droit – alors pourquoi pas « Dieu » ? – je mets
des guillemet car en raison de ces divers sacrilèges j’ai des
raisons d’en douter) , pas non plus en tant que bouddha (ici
cela concerne les bouddhiste et le Dalaï Lama et encore moins en
tant que pris pour Dieu lui-même (ici c'est vraiment
inadmissible que le Vatican n'y ait pas même d'un électron songé
d’autant qu’il me doit toute sa fortune à cause de la teneur des
transmissions sur le plan économique au point qu’il y a délit
d’initié si cela n’était pas légitime de le faire à la fois en
tant qu’empereur et chez moi au Vatican puisqu’il s’agit de
l’organisation au service du Ciel – soit de là où je suis apparu
pour dicter ces chiffres) et pas non plus à mes divers autres
titres et fonctions ou compétences (y compris de spécialiste du
Droit mais aussi – je l’ai prouvé – entre autre patron des
Economistes puisque j'avais trouvé par ailleurs la solution
élégante du prix du baril de dollar à un centime en 1975, et
pas non plus en tant que
propriétaire des 50% (et je minimise) des réserves de
pétroles que se sont attribuées/partagées (mais qui me sont
dues) les différentes compagnies que j’ai nommées/dictées comme
pourcentage à chacune, mais aucune ne songeant à me faire avoir
dès 1978-80 ma part ou même à être reconnaissante pour que je
leur ai attribué ces droits en leur évitant une guerre
fratricide en tant que concurrents - ici ces compagnies vont
devoir payer pour les préjudices occasionnés à moi-même et à mes
ayants-droits et verser les pourcentages qui m’étaient dûs à
titre de géo-localisateurs des réserves en question au prix
auquel ils ont vendu ce pétrole contre mon gré qui souhaitait le
leur faire vendre à ce centime de dollar le baril pour qu’elles
obtiennent au moins cent fois plus si ce n’est beaucoup plus
encore – donc en me désobéissant (désobéir au patron des
Sciences Economiques, au pharaon, au Bouddha, à celui qui est
pris pour Dieu lui-même dans le ciel s’est s’assurés des pires
malheurs) – là aussi elles auront à calculer mes pertes sur les
quarante années avec qui plus est les investissements que je
n’ai pas pu faire avec ces revenus, ce qui aurait permis encore
plus de pouvoir d’achat et de faire disparaître toute la misère
pour l’an 2000) - ce à quoi j’avais droit depuis 1965 et de
nouveau depuis 1975 – et qu’on me devra donc intégralement avec
les pénalités et les intérêts, si j’avais eu à placer ces sommes
en tant qu’économies dans les divers actions boursières depuis
1980-85 (date à laquelle je devais me marier avec Christine)
dans les entreprises d’électronique et d’informatiques comme
j’eus à le conseiller à un Monsieur Robinet-Duffo (le père
d'Hélène, une de tes » jeunes filles « d’honneur) de le
faire (pour donner une idée de la fortune que j'aurais avec les
chiffres infiniment plus importants encore que je comptais
placer dans ces entreprises d'autant que chacune d'elle me doit
sa création, donc déjà tout – par conséquent y compris sur les
bénéfices s’ils ont eu lieu, ma part) – donc qui me doit une
bonne partie de sa fortune si ce n’est toute) – on m’a causé un
véritable casse-tête canonique et juridique (alors que je ne
suis pas Dieu - qu'on m'explique comment le
big bang aurait eu
lieu si ce n'est en ayant porté atteinte au coeur-sacré de Jésus
Christ lui-même) d’autant que j’ai compris que l’existence de
cette salle des machines était connue de tous ceux qui se sont
prétendus « mariés ». Or ils ont découvert que leurs mariages ne
furent que des [plus ou moins grossiers et ridicules
simulacres (par
conséquent celui de Christine était annulé d'avance) : une
parodie absolue de mariage y compris tous ceux les plus
officiels et quelques-uns de ceux qui furent donc bénis par les
instances religieuses (ici il n'y a que des raisons valable
d'avoir à "hair la famille" (ou même de "cracher sur les
tombes"), s'il n'y avait pas au contraire d'autres raisons sur
d'autres points ou plans pour l'aimer et effectivement la bénir
au nom du bouddha de compassion que je suis devenu malgré moi et
défenseurs des quelques vraies mariages parmi la masse de ceux
qui ont déshonoré le genre humain – par exemple tous les
mariages qui furent de ceux qui ont pu vérifier effectivement la
présence de l’anneau immaculé à leur doigt, en donnant alors le
droit effectif et non usurpé à ces cérémonies les confirmant).
Aussi on comprendra
à cause de ces parodies/sacrilèges pourquoi le soleil a failli
exploser plusieurs fois.
En effet, malgré
l’existence des textes les plus admirables, les jeunes filles
sont souvent dans l’insouciance et l’oubli de ce que ces
textes sacrés (ceux qui furent fondateurs des diverses cases,
maisons, lieux construits (des édifices sacrés, des
temples) comme depuis Lascaux, ces plans de logements étant
à mi-mots
inscrits comme remède à la crise de surpopulation des grottes ou
cavernes à cause de la démographie galopante) induisent
(d’ailleurs ils ont été écrits pour être lus ou commentés dans
des lieux précis qui concernent donc quelques heures de leur
existence, pas plus (sauf pour celles qui cherchent à se
spécialiser dans ces conseils ou textes fondateurs, donc qui
recherchent à les comprendre dans tout ce qu'ils induisent de
juste ou de meilleurs (attention il ne faut pas oublier, sur
certaines lignes de faire l'anti-thèse, mais pas dans tous les
cas, car il y a des Proverbes qui sont des conseils à 100%
exactes: des synthèses de choses essentielles à savoir pour se
conduire justement - dans d'autres cas c'est 95%, dans d'autres
55% des cas évoqués - dans d'autres seulement 30% voire 10 % -
aussi il faut en lisant ces proverbes - ce que j'ai fait ces
jours-ci, en étant bien triste de ne pas avoir pu continuer à le
faire à l'Ecole quand nous étions petits - ce qui avait été
initié, mais qui a été abruptement interrompu au Lycée
Châteaubriand de Rome (où le matin avant de commencer la journée
d’Ecole on nous faisait le commentaire d’un proverbe à recopier
et sur lequel évidemment je faisais à chaque fois au moins
l’équivalent d’une thèse de doctorat en quelques minutes (dans
ma tête – cela va toujours plus rapidement ainsi que d’avoir
ensuite à la coucher en mots – là résideront les difficultés
parfois extrêmes pour réussir à traduire tout ce qui fut entrevu
de ce qui découle logiquement ou anti-thétiquement de chacun
d’entre eux) bien que souvent interrompu car ce qu’on exigeait
de nous dans la matière suivante à étudier, ce qui m’avait fait
repousser à quand je serais âgé ces commentaires que j’y voyais
possible à te dire/faire – parfois le soir je relisais le
proverbe inscrit sur le cahier le matin et j’essayais de me
souvenir de ce qu’il m’avait donner à penser, voire à poursuivre
la réflexion mais je voyais bien que c’était trop difficile avec
un crayon ou un stylo d’écrire en raison de ce que cela
procurait comme mal à la main – aussi j’y renonçais)- au point
que j'ai dû attendre jusqu'à ces jours-ci pour les relire et
vérifier qu'il y avait effectivement matière à ces thèses ou à
ces développements sur chacun d'eux: de véritables enseignements
des plus précieux (sans doute l'œuvre de très grand penseurs
(synthétiques) dans les temps passés qui de plus étaient très
limité en papier et en encre - par conséquent qui devait réussir
à dire beaucoup en peu de mot et qui de plus ignoraient beaucoup
de facilités rhétoriques actuelles pour présenter d'une façon
plus nuancée – ce qui est effectivement l’aspect parfois agaçant
de l’un ou l’autre) - même pour ceux qui ne sont valables que
dans peu de cas de figure de nos jours) - évidemment ceux qui ne
rechercheront pas à les connaître donc qui seront à l'écart de
ceux-ci deviennent des profanes et par conséquent ne peuvent pas
comprendre le Droit, autant que ceux qui sont passés réellement
"de l'autre côté du miroir" et qui parviennent en lisant ces
textes à comprendre à quelle situation précise ils se réfèrent,
donc qui reconstituent l'ensemble des paramètres qui ont donné
le résultat synthétique de ce peu de lignes pour chacun d'eux -
et c'est souvent des situations complexes à recréer en les
lisant, ce qui contraint effectivement à des commentaires et à
des personnes ayant atteint ce degré qui permet d'extrapoler à
partir de texte, donc de recréer en soi-même - ce qui est
parfois fatiguant - la situation ayant abouti à ce résultat: cet
enseignement à en tirer, ce conseil précieux pour les
générations à venir et qui est certainement l'œuvre de bouddhas
des temps passés - donc d'une certaine façon de cette notion de
dDieu pour les bouddhistes y compris pour ceux qui s'ignorent
bouddhistes et qui attribuent ces textes à des serviteurs de
cette notion de Dieu qui en réalité a avoir avec l'exact[e] - ce
qui est juste dans telle situation ou qui est acceptable ou
qu'il vaut mieux mettre en œuvre).
Celles-ci (ces
jeunes filles) ne serait donc en fait qu’à continuer à
s’inscrirai dans la tradition profane même si ayant accès au
sacré ? (C’est bien ici le problème de la femme depuis longtemps
et cela parce qu’elle est contrainte à donner la Vie – ce qui
l’autorise effectivement, honnêtement à légitimement le refuser
dans certains cas [particuliers] d’autant plus que c’est en
général elle et son contexte familial qui doit assumer cette
fécondité – il suffit qu’elle appartienne à un contexte pingre,
radin (voire ayant de difficultés financières) la voilà
empêchée, par conséquent on comprend qu’elle ait cru possible
rejoindre un groupe de gens ayant des financements illégitimes
pour arriver à ses fins : donner la vie).
Evidemment, il y a
toutes celles qui prennent le voile et qui ont accès (parait-il
de cette manière) à ces autres dimensions, sacrées, etc. - mais
il est probable qu'elles sont à plaindre dans de nombreuses
situations sentimentales (on le sait avec le Casanova de
Comencini qui a bien étudié cela ou alors comme j’ai pu m’en
rendre compte en visitant le monastère d’Arequipa au Pérou),
peut-être parce que la femme constante est le produit de la
civilisation comme l'est l'immeuble, la maison qui dure, l'Etat
véritable, etc. tandis que l'inconstante est à l'origine des
ruines diverses, mais aussi des habitats les moins sûrs)".
Je t’embrasse mon
bijou.
Laurie