ACCUEIL DU SITE LORIMAGE

Vous êtes ici sur la page consacrée aux "améliorations possibles des assurances habitation" (mais cela peut s'appliquer à d'autres cas de figure) dont je n'ai pas connaissance qu'elles aient trouvées une solution pour le moment à partir du "cas particuliers " développés ici:

 Lorimage, Paris jeu. 23/06/2005 14:54

Bonjour,

 

Suite à votre demande je vous confirme qu’il n’y a eu aucun sinistre pour le lieu que j’ai assuré chez vous.

 

Merci d’avoir l’amabilité de me confirmer par retour de courrier que ce studio est effectivement bien assuré. J’y tiens car ce qui s’est passé était de l’ordre de l’inconcevable ou du cauchemar.

Apparemment de bonne foi l’un comme l’autre nous sommes victimes l’un comme l’autre d’un problème de courrier, étant absolument certain de vous avoir envoyé aussitôt le règlement comme je l’avais promis par fax, cela est donc incompréhensible et il semble que j’aurai dû vous l’envoyer avec accusé de réception puisque ce chèque a disparu. Pourquoi ne m’avez-vous pas demandé de l’envoyer ainsi avec accusé de réception au moment où nous nous sommes parlé ?

 

L’"erreur" est néanmoins riche d’enseignement et souvent, hélas elle peut être à la source du progrès : je souhaiterai pouvoir réfléchir autour de ce cas de figure en toute transparence avec votre le principal responsable du cabinet Lucheux (envoyez-moi svp son adresse de courriel). Je suis prêt à perdre plus de temps encore que j’en ai perdu pour arriver avec le Conseil d’État, les députés et les sénateurs, les ministres concerné à parfaire la réglementation de façon à ce qu’un cas de figure de cet ordre ne puisse jamais plus se reproduire.

Malgré le désagrément qu’il cause et l’énervement nous avons mis l’un et l’autre le doigt dans un détail qui juridiquement est absolument primordial car c’est ici même après mûres réflexions et le calme retrouvé qui s'impose que nous sommes conscients que de très nombreuses victimes innocentes peuvent être causées par les assurances elle-mêmes.

Etre assureur constitue une vocation qui a à voir avec l’Éthique (et beaucoup moins que certains le pense avec le profit) par conséquent je suis absolument certain que monsieur le président du Gan (dont vous voudrez bien aussi me communiquer l’adresse Internet) aura à cœur de trouver avec M. Lucheux et moi-même une solution en vue de parfaire la réglementation générale en vigueur pour en proposer les conclusions à messieurs les ministres et responsables des administrations de la région France de l’Europe concernés.

 

La suite est plus spécialement à transmettre à monsieur Lucheux et à monsieur le Président du Gan (bien sûr vous pouvez lire ce texte aussi et me répondre si vous le souhaitez) :

 

Évidemment il s'agit d'un « cas particulier », mais comme vous le savez, monsieur le président du Gan, c'est souvent et quasiment toujours à partir de « cas particuliers » que les meilleures lois et les meilleurs règlements ont vues le jour, ont été amendées, ont été améliorées, ont permis aussi l'avènement du juste, du plus juste (les assurances elles-mêmes ayant vu hélas ou heureusement le jour à partir de « cas particuliers » d’accidents, etc…). La fonction même de la Loi étant de protéger le Juste contre une possible injustice et non de permettre, d'offrir la possibilité de détourner la Loi ou de contourner celle-ci car alors si on le fait on entre et on devient justement ce "cas particulier" qui permettra à cause de l'injustice provoquée ou subie par un tiers d'améliorer en détail la Loi sur ce point particulier (en faisant alors Jurisprudence). Quand je dis "le cas particulier" vous aurez évidemment compris virtuellement "nous tous", ayant en réalité servi malgré lui-même (ce cas même particulier) comme une sorte de cobaye pour permettre à la Loi de dire enfin le juste, de proclamer et de défendre la Justice - et cela aussi d'un point de vue spirituel puisque vous n'êtes pas sans savoir que c'est à partir du cas très particulier d'un Jésus Christ entre autres martyrs que de nombreuses choses ont changé sur Terre dans tous les temps - ce qui est enfoncer une porte ouverte et de notoriété publique car les uns et les autres, nous autres les privilégiés ayant eu la chance d'étudier des dizaines d’années après le bac et de nous honorer au passage de doctorats, nous savons cela aussi depuis nos enfances respectives. Sinon comment s'expliquer ces efforts spontanés accomplis au cours des siècles de par tant et tant de volontaires pour construire siècles après siècles ces lieux de recueillements aux architectures si admirables, ces innombrables peintures ou sculptures ornant ces innombrables hôpitaux ou hospices de vieillards, etc...etc... découlant de ce concept de Coeur et de Justice existant évidemment pour contre carrer l'injuste et il serait malhonnête, même si l'on est athée de ne pas reconnaître que c'est évidemment l'un de ces petits "cas particulier" d'injustice, comme celui de Jésus Christ advenu il y a 2000 ans qui a permis de nombreuses améliorations sur de très nombreux points y compris sociaux allant même jusqu'à faire que les athées eux-mêmes et/ou les laïcs rivalisent dans des mesures advenues grâce à leur combat ou grâce aux souhaits légitimes de plus de Justice qu'ils ont su exprimer. Ce qui était au départ l'apanage de peu d'individu et d'un seul, puis de ses serviteurs à travers les état monarchiques de droits divins est devenu enfin le communément admis dans nos Républiques Démocratiques laïques ouvertes intelligemment sur l'évidente nécessité de l'oecuménisme, c'est à dire sur l'acceptation de toutes les différences religieuses vivants en bonne entente et enfin heureusement capables de comprendre qu'elles sont complémentaires et non antagonistes (peut-être grâce à la laïcité intelligente car il y a une laïcité stupide), ce qui est précisément ici un sentiments noble résultant du passage et du combat du Christ & compagnie, car la République a justement repris à son compte pour la servir cette notion toujours extrêmement profitable (et souvent malgré elle) qu'est toujours la Charité car chez les chrétiens cela pouvait comporter quelques fois un danger d'exclusion partisane (c'est ce qui arrive hélas encore aujourd'hui quand à l'intérieur d'un État des hommes de partis différents se détestent au point qu'ils chercheront à se mettre des bâtons dans les roues au lieu de s'entraider et de comprendre que même de partis ou d'amitiés différentes ils sont complémentaires et virtuellement évidemment l'inverse qu'ennemis: de possibles amis, puisque les uns et les autres doivent avoir à coeur de servir l'objectif primordial: la bonne marche de l'État en servant la Chose Publique qui elle et constituée avec de nombreuses autres choses encore à la fois d'un patrimoine important à conserver et à valoriser mais aussi de très nombreuses catégories sociales de personnes à protéger qui doivent avoir au moins de quoi vivre dignement et qui souvent n'ont pas eues la même chance que ces individus s’étant formés pour assurer un jour la gouvernance de l’État (en ayant eu la chance pour certains de s'approcher de la vérité ou du moins des devoirs liés à l' « incombance » d'une responsabilité aussi grave que celle de l'État) et risquent alors d'être hélas les victimes, désorientées par tant de coups bas entre des frères ennemis qui n'ont éprouvé en réalité de l'inimitié les uns pour l'autre que dans la mesure où ils ont convoité la place de l'autre au lieu de tracer leur chemin personnel en complémentaire de celui qui est à sa place. Évidemment dans le cas où l'on découvrirait qu'il s'agit d'un imposteur en place, c'est différent et il est du devoir de l'éjecter comme l'un ou l'autre des personnages peu sympathique et quelque fois même persécuteurs (méchants) dont nous trouvons des exemples de représentations dans les aventures de Tintin : je pense notemment à certains personnages d'Objectif Lune dessiné par l'immenssissime Hergé). Cette soif de Justice et de Vérité a abouti naturellement à considérer très justement qu'il n'y avait pas que le religieux qui avait le droit et le devoir d'avoir bon coeur, d'être charitable, de militer pour les causes humanitaires, d'être de tous les combats justes ou sociaux au point que grâce à cet esprit laïc très ouvert et ayant eu l'intelligence de prendre ce qu'il y avait de meilleur dans la monarchie de droit divin comme dans la religion, la République s'est honorée d'un nombre considérable de réformes et de lois de plus en plus justes - mais nous nous éloignons ici un peu du problème en dissertant sur des choses évidentes et bien sûr connues de vous, monsieur le Président du Gan, nous éloignant de notre bienheureuse initiative). Permettez-moi encore de rappeler un cliché important : "le cas particulier", s'il est étudié judicieusement , logiquement, éthiquement et avec coeur choisi deviendra toujours l'exemple ou le centre à partir duquel le général pourra s'énoncer (du particulier au général) et la solution finira par se trouver ou se révéler à partir de laquelle évidemment tous les autres "cas particuliers" ou du moins les plus importants d'entre eux pour commencer devront être vérifiés par rapport à l'ébauche de cette première Loi pour qu'elle puisse avoir une chance un jour d'atteindre une Valeur Universelle - évidemment c'est cela qui explique au cours des siècles le nombres de remaniements, d'amélioration, la Vérité étant heureusement quelque fois perfectible sur certains points où elle laissait apparemment à désirer et cela parce qu'elle avait pris une certaine forme en fonction de l'intelligence de l'époque liée que cette dernière est au progrès technique ou technologique et à la capacité d'analyse des individus de celle-ci. Époques donc en étamorphose constante comme notre décor: de l'âge des cavernes à Internet ! Je dis cela sans aucun mérite car sur l'écran d'ordinateur que j'ai la chance d’utiliser je peux admirer une reproduction photographique de Stonehenge tous les jours comme fond d'écran Windows et cela me rappelle d'où nous venons (clic droit sur l'écran lui-même + "propriétés"+ onglet "bureau" + arrière plan "Stonehenge" - avec Windows XP). Donc bien que l'objectif soit ou ait été toujours le même, unique, et cela constamment depuis toujours, cet anneau de Stonehenge, ce Colisée de Rome ou d’autres bâtiments ultérieurs ont tenté de l'exprimer déjà, à mesure de l'Avancée et de la Marche de l'Humanité, cette très Immense Pyramide de tous les Univers constituée des myriades de pyramidions particuliers, ces obélisques familiaux : ce que la simple Pyramide du Louvre construite par le très grand l'architecte cino-américain Pei tente d'exprimer également en hommage clin d'oeil à celles plus massives et moins transparente de l'instructif passé!)

 

Permettez-moi d’espérer que vous aurez donc à cœur, Monsieur le Président du Gan, d’avoir l’amabilité de me répondre et d’étudier avec moi le "cas particulier" qui m’a fait découvrir que pendant plusieurs jours, peut-être même plusieurs mois, le lieu dans lequel je vivais et pour lequel je suis absolument certain d’avoir envoyé le règlement demandé n’a pas été assuré. Je viens de le découvrir ce matin pour la première fois en rentrant après une nuit blanche de travail et cela en même temps que la demande qui m’a été faite de la part d’un cabinet Coface de recouvrement de créance auquel s’est adressé le cabinet Lucheux et cela naturellement compte tenu du fait que vous deviez être persuadé de votre côté de ne pas avoir été payé. Je vous demande par la même occasion la présente d’avoir la gentillesse d’arrêter cette demande injustifiée de créance d’autant plus que la personne que j’ai eu au téléphone m’a assuré qu’étant saisi par le cabinet Lucheux de cette affaire je devais absolument honorer ma soi disante dette chez eux bien que j’ai payé à votre collaboratrice immédiatement cette somme ! Je n’entrerai pas dans les détails mais je puis vous dire que cette « erreur » vient de me faire perdre plus de 6 heures de travail (et cela à mon niveau correspond à une perte immense pour toute la société dont je suis responsable et pour l’ensemble du monde).

Or je n’ai jamais reçu ce que votre collaboratrice m’a dit avoir envoyé, ni la première lettre de rappel, ni la seconde qui, m’a-t-elle dit, avait été envoyée en recommandée. L’avait-elle seulement envoyé avec un accusé de réception ? Cela aurait peut-être eu plus de chance d’aboutir car je n’ai jamais eu trace de cela et vous imaginez bien que je me serai immédiatement précipité pour payer en pareil cas.

De mon côté, j’étais sûr d’être assuré tout le temps et j’ai même communiqué à la société qui gère la location de mon studio l’attestation d’assurance demandée. Fort heureusement il ne s’est rien passé et je n’ai subi aucun dommage durant tout ce temps comme je l’ai signalé au début de ce courrierIn (variante de « courriel »).

Pourtant ce « cas particulier » nous met en devoir, par rapport à l’éthique, la logique, la Conscience et le Cœur, les quatre « pistons » du "Moteur du Progrès", de nous interroger sur le fait que nous devons prévoir le cas échéant ici le pire : qu’il se soit passé quelque chose dans ce lapse de temps où de votre côté vous aviez résilié une assurance sans en avoir reçu l’ordre de la part du client, sans avoir essayé de le joindre à tout prix, celui-ci étant convaincu d'avoir fait le nécessaire (et si votre rôle est d’assurer vous vous devez d’avoir prévu ce cas de figure. Peut-être l’est-il juridiquement, dans ce cas merci de me dire exactement ce que le législateur a cru bon de prévoir en pareil cas car sinon je vous prie d'imaginer une vieille dame, ou un vieux monsieur, une personne quelconque ou même au pire une personne handicapée qui serait soudain confrontée à un sinistre et auquel vous diriez : « non ! nous ne couvrirons pas puisque vous n’avez pas payé » et l’autre alors, votre client, tombant complètement des nus, découvrant alors qu’il est la victime malgré lui d’une erreur ! (puisqu’il est certain avoir payé comme moi dans ce "cas particulier" - même s’il n’a pas eu le temps de vérifié que le chèque a été encaissé, une erreur s’étant produite soit à la poste, soit à cause de son gardien (nous n’envisageons pas ici le cas de l’erreur qui aurait été commise au Gan ou chez Lucheux ou même par une défaillance de mémoire de la personne elle-même trop âgée car cela n’est pas le cas ici) – à ce propos y a-t-il des assurances qui assurent contre ce genre d’erreur ?

 

Ma question en même temps que mon espoir est (sont) que les assurances ou le législateur, (la société) se doit(vent) de prévoir un coup pareil car la personne va se découvrir doublement victime et cela peut être traumatisant voire fatal : d’abord le sinistre lui-même et secondo il va être la victime de cette soudaine découverte exposée par les responsables d’une assurance qui s’appuiera sur le fait qu’elle n’a pas touché la somme allant jusqu’à prétendre des choses qui pour la victime sont effectivement fausses et qu’il n’a jamais eu le temps de constater car il est bien évident que si la victime avait effectivement reçu une lettre ou un accusé de réception il aurait fait immédiatement le nécessaire pour payer sa dette puisqu’il a déjà fait l’effort de trouver cette assurance, de remplir tous les papiers, d’envoyer même un fax (en ce qui me concerne) pour assurer de son paiement immédiat (à moins d'être un mauvais coucheur).

Il y a donc ici à mon avis le risque d'une faille juridique et peut-être une béance de nature à conduire au désespoir ou à la désespérance de très nombreuses personnes qui se trouveraient soudain dans ce cas de figure et à discréditer pour toujours le bien fait que représentent les assurances.

Permettez-moi de vous dire qu'il est donc de notre devoir d’y remédier, monsieur le Président, et de trouver avec Monsieur le Ministre de la Justice, le premier Ministre, le Président de la République, le cas échant, une solution à cet épineux problème en me tenant au courant de l'évolution de ce dossier.

Peut-être Monsieur Lucheux, et sa collaboratrice (qui m’excusera je l’espère à la lecture de cette lettre de mon attitude sans doute incompréhensible pour elle, au moment où elle a été témoin de mon désespoir en découvrant que l’on avait osé résilier mon assurance dans mon dos sans m’en avoir fait part. Elle comprendra qu’en une fraction de seconde j’ai pris immédiatement conscience, en responsable, des conséquences absolument catastrophique pour la Société entière de ce « cas particulier » et de ce que peut revêtir une telle erreur d’appréciation comme conséquences, c’est cela qui a expliqué que mes propos et mon ton de voix ait pris ces proportions) auront-ils quelques idées à proposer de leur côté pour que les clients des assurances ne soient plus jamais dans ce cas de figure de nature à ruiner ou même à conduire au suicide quelqu’un de moins solide que moi.

Je ne voudrais pas être à la place d’un Président d’une compagnie d'assurance ou même d'un ministre ou plus encore ayant quelques suicides de citoyens ou de clients sur la Conscience que j’aurai pu éviter d'autant plus que je viens d'être prévenu et cela compte tenu du fait que vous pourriez vous abriter (peut-être mais cela ne semble nullement sûr) légalement (et évidemment hypocritement, ce qui est contraire à ce qui a soutendu à la nécessité de mettre en oeuvre des assurances au départ – équité, justice, etc…) sur des preuves ou pseudo preuves incomplètes que vous avez en votre possession ou cru bon établir incomplètement en pensant avec suffisance avoir fait tout le nécessaire alors que votre client ou le citoyen sous la responsabilité des responsables de l'administration ou du gouvernement n’ont pas eu vos prétendus injonctions à payer la somme que vous demandez. Et même si cela avait été vrai de votre côté, vous pourriez être en relation avec un client qui a des problèmes de mémoire (avec l’âge cela s’est vu, et c'est connu les gens qui fument perdent la mémoire) par conséquent il serait à mon avis du devoir d’une assurance de prévoir que dans des cas de figure où la personne en face de vous est totalement de bonne foi ou entièrement honnête ou même a fait une erreur (l’erreur étant hélas humaine) malgré elle, il y ait un système financier (éventuellement même tenu très discret) au sein même des assurances qui permette de "relever" quelqu’un qui a perdu déjà énormément en étant la victime du premier sinistre survenu danbs ce lapse de temps où l'assurance a été résiliée sans qu'il le sache comme nous avons envisagé ici, dans ce cas de figure inspiré par ma douloureuse expérience de ce matin où nous avons ensemble essayé d’imaginer que le pire soit advenu.

 

Merci d’avance de réfléchir au problème et de me dire, compte tenu de votre expérience respective ce que vous croyez que l’État doive prendre comme mesure sur ce chapitre dont vous aurez certainement compris l’urgence.

 

Salutations distinguées et respectueuses à madame votre collaboratrice.

___________________

Pour la correspondance

Contactez-nous

Contact us

______________________________________________________________________

                 
halte aux tests cosmétiques
et autres tests sur les animaux!

 

Voyez, SVP, en cliquant ici une vidéo qui est vraiment instructive pour comprendre à quel prix de souffrance animale la fourrure existe encore de nos jours. Cela dépend de vous de faire cesser ce massacre

 

Quelques liens utiles :

Permettez-nous de soutenir ici l'action de :

GAIA: toujours sur la brèche pour les droits des animaux 

                                                        Vivisection - 26.3 ko                                                                           

 

Peta: pour un traitement éthique des animaux

Confédération nationale des SPA de France

Fondation Brigitte Bardot

Fondation Ligue Française des Droits de l'Animal

Protection Mondiale des Animaux de Ferme

Société Protectrice des Animaux

Conseil National de la Protection Animale

Oeuvre d'Assistance Aux Bêtes d'Abattoirs

_________________________________________________________________________________________________________________

Copyright © 2000 Lorimage. Tous droits réservés.
Révision : 24 juin 2005