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" La momie à mi-mots": Un essai cinématographique. 

Genèse d’un film.

 

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II. 2. e. 1. Laury Granier - le peintre-vidéaste

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J’ai tenu à jouer moi-même le rôle du peintre, non seulement parce que je consacre beaucoup de temps à cette activité mais aussi car j’ai moi-même dessiné la plupart des décors peints du film 108. Le rôle du peintre était important car il est celui qui repeint et transforme les cartes du monde ayant servies à la marelle des fillettes. Face à la Tour Eiffel, vue pour la première fois dans le film telle qu’elle est (et non, comme précédemment, reflétée en abîme dans l’eau de "l’Achéron") devait être posé un chevalet triangulaire qui avait la même forme que la Tour Eiffel. Cette double verticalité laisserait présager le mouvement d’élévation à venir, la renaissance de Carolyn momifiée.

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 Le rôle du peintre était de repeindre une carte du monde et de retrouver sur cette carte, dans la forme des continents, le dessin du masque de "Diablada" posé sur la tête de Carolyn lors de la scène de momification. À la fin du film, le peintre réapparaissait et portait en présent à Carolyn ressuscitée un pinceau et un pot de terre cuite polychrome Nazca (vieux de 3000 ans), dont il s’était servi pour laver ses pinceaux. Il devait apparaître chargé également d’une caméra vidéo suggérant qu’il était, peut-être, l’auteur des séquences vidéo du film. En tout cas, chargé du pinceau et de la caméra, c’était un personnage qui me ressemblait et qui incarnait le lien insécable, selon moi, de la peinture et de l’image filmée. S’il remettait ces présents à cette femme qui venait de renaître, n’était-ce pas pour l’inciter à devenir à son tour peintre et cinéaste? 

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108 Voir partie concernant les décors.

 



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Révision : 11 avril 2003