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Accueil de "Diverses lettres envoyées"

 

(N. B. : cliquez deux fois sur les liens -(comme celui ci-dessous en jaune phosphorescent)- pour obtenir la lecture à haute voix de ces fichiers audio :

 

donc cliquez une première fois, et comme cela ne marche pas ce qui est proposé, revenez en arrière à cette page-ci, puis cliquez une seconde fois -(de nouveau)- sur le laurYen -(se dit pour l'expression "lien hypertexte", s'écrit ainsi plus court)- et vous disposerez / entendrez le contenu du fichier son de la lecture de ce qui suit par mes soins en plusieurs fichiers audio en plus du texte lui-même.

 

Nous vous conseillons pour cela d'ouvrir dans une nouvelle fenêtre ou/et un nouvel onglet le fichier texte pour suivre des yeux la lecture de ce texte que vous entendrez à voix haute en raison que vous aurez atteint le fichier son correspondant |à ce qui suit, écrit]).

 

 

Fichier audio 22 suite de la: Lettre à Hortense Boulanger. -(autre version -(plus complète que le précédent fichier audio), le fichier 22.2 de la lecture ci-dessous / après)

 

Suite de l'introduction à cette lettre -(sans la note 165, à part)- envoyée le 31 01 2021 modifiée à partir du 8 octobre 2021 pour (finalement) lecture par l'auteur en fichiers audio signalés comme ci-dessus par laurYens -(se dit pour "liens hypertextes", car plus court à dire).vers fichiers son m4a.

 

Suite de la lettre à Madame la doctoresse Hortense Boulanger :

 

. 

Avertissement :  hélas les laurYens -(se dit pour l'expression "liens hypertexte" car plus court à écrire ou/et à lire)- pour atteindre les notes de fin de texte, voire de bas de page (à partir de la version Word) ne marchent pas dans ce fichier comme pourtant dans la première partie du texte où cela fonctionne. Aussi nous vous prions de nous en excuser. Il faudra ouvrir deux onglets avec ce texte: l'un pour le corps du texte central et un autre onglet pour les notes de bas de page ou/et de fin de texte de manière à jongler de l'un à l'autre onglet quand ma voix lisant ce texte doit passer aux notes de fin de page - c'est la solution alternative élégante pour bénéficier des éléments en notes et revenir au texte (dès la note de bas de page ainsi lue).

 

Commencée autour du Jeudi 27 Août 2020 et envoyée après CARE 22 le dimanche 31 Janvier 2021

 

Bonjour Madame la docteure / oresse Hortense Boulanger,

 

J’espère que vous avez passé de belles, bonnes, bienfaisantes et/ou fécondes vacances -(bien reposantes). 

 

Permettez-moi de vous écrire pour faire le point sur ce dont je suis la victime depuis plus de trois ans.

 

Comme pour le Risperdal 25 mg dont nous avions pu, par approximations successives, au début de mois en mois -(puis de trois mois en trois mois – voire en alternant entre mois par mois et/ ou de trois mois en trois mois), me sevrer à partir de 2013 au point, en 2017, depuis plus d’un an et huit mois[1] -(en réalité, vous lirez dans la note de bas de page, presque deux ans)- de n’avoir à subir qu’une injection d’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, j’insiste comme je le peux pour vous demander de continuer à me sevrer du Xeplion 50 mg en passant à/dès la prochaine étape de ce sevrage à Xeplion 25 mg pour que j’ai beaucoup moins à souffrir des effets secondaires indésirabilissimis…simissimes et hélas insupportabilissimis…simissimes du Xeplion 50 mg autant martyrisantissimis…simissimes qu’ils furent et sont encore -([comme]- nous allons le voir)- sur certains points essentiels à/de ma meilleure santé –(un Xeplion 50 mg dont il est donc vital pour tous qu’on me sèvre -(voire qu’on arrête, ce qui serait préférable)- comme madame la doctoresse Nicole Koechlin l’avait sur le moment, dès que cela nous parut possible, si bien compris[2] à partir de 2013 pour ce Risperdal 25 mg -(qui correspond, vous me l’avez assuré -[ainsi que d’autres médecins l’ayant comme vous cru / su], à Xeplion 25 mg et non -[à]- Xeplion 50 mg, comprenant la plus que nécessité de faire obstacle à ces effets indésirables tant psychiquement que physiquement douloureusissimis…simissimes et/ou insupportabilissimis…simissimes -(notemment les atrocissimis…simissimes dites » impatiences « -(un effet cumulé de dystonies, de dyskinésies et etc.)- qui avaient déjà été quand on m’avait mis en 2013 -(contre ma volonté)- à Risperdal 25 mg toutes les deux semaines et ont été au moins pendant plus d’un an durant le sevrage de ce Risperdal 25 mg à partir de 2013 qui nous a, petit-à-petit progressivement amené le/au 27 Février 2014, donc au bout d’une bonne année, à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(voire ici la note 1), donc en ayant commencé en 2013 à la dose de Risperdal 25 mg toutes les deux semaines)- donc avec ces effets secondaires indésirables sans commune mesure avec/de ceux à/de Xeplion 50 mg, infinimentissimis…simissimement plus douloureux -[encore].

 

Permettez-moi de récapituler : il y a eu, à partir de mon hospitalisation en 2017, les horribilissimis…simissimes et/ou tragiquissimis…simissimes effets secondaires indésirables des acouphènes -(soit, [dans mon cas]- en position couché -[la plupart du temps], des bourdonnements plus ou moins stridents et/ou forts, voire comme des sons -[de cigales dans la Nature], incessant[s] / constant[s] dans la partie du cerveau concernant mon oreille droite. 

Ces acouphènes ont duré plus de deux ans avant de miraculeusement disparaître, voire en tout cas de se faire beaucoup plus discrets et/ou/donc plus -(au sens de +)- supportables -(en effet vous retrouverez ces » bourdonnements[3] dans les oreilles «, des acouphènes, surlignés en jaune dans la liste des effets indésirables -[de la notice du Xeplion 50 mg jointe à ce texte][4] - dont je fus / suis victime – ils furent l’objet de lettres à votre prédécesseure[5] madame la doctoresse Adham mais aussi d’un changement de médication pour l’équivalent du Xeplion 50 mg avec le Risperdal 50 mg, ce qui n’a pas marché au point de me faire souffrir beaucoup plus, ce qui nous a alors fait revenir au bout de trois mois d’essai au Xeplion 50 mg). 

 Fichier audio 23

Je l’ai dit dans la note de bas de page numéro 3, j’ai copié / collé cette liste vers la fin de cette lettre en y surlignant en jaune phosphorescent les effets indésirables qui m’ont touchés, voire en les commentant dans cette notice en rouge, comme en surlignant en vert les conseils que cette liste rappelle / donne selon le cas si on est à subir plus particulièrement quelques-uns de ces nombreux effets indésirables y étant indiqués comme, s’ils adviennent, devant déclencher la nécessité d’en parler de façon urgente avec son médecin de manière à, le cas échéant, quand ils sont plus particulièrement ceux-ci aussi précisément, (je l’ai lu ailleurs mais je ne sais plus où à l’heure où j’écris cette lettre mais cela m’a paru vrai au point de le retenir)- mettre rapidement un terme à cette / la médication qui provoque ces malheurs, parait-il, dans de plus rares cas, comme ce fut, hélas infiniment hélas, le cas pour moi hyper-sensible car [re]devenu à partir de 2005 à l’âge de quarante-deux ans -(comme à l’occasion de ma conception et de ma naissance mais aussi quand j’étais petit vers l’âge de quatre ans mais aussi à l’âge de quatorze ans)- bouddha -(c’est-à-dire un éveillé par acquis de conscience -(soit ce qu’on peut aussi nommer pour certains enfants qui en bénéficient » l’âge de raison «, voire l’âge du génie précoce), soit une personne illuminée de l’intérieur par la lumière spirituelle facilitant la désormais constante recherche de la Vérité et des solutions alternatives élégantes dans chaque situation -(moment), soit autrement vu d’une personne montée au Ciel de la Connaissance parce qu’elle a enfin accès aux dimensions sacrées et/ou spirituelles de l’existence humaine confirmées, par exemple, par l’admirabilissimis…simissime Ecce homo ou/et L’Homme de Vitruve de S. E. A. I. S. S. S. L. P.[6] Léonard de Vinci à qui j’ai rendu hommage par le mien[7] -[d’Ecce Homo]- en tant que Peintre sous les noms de Laury Aime, (les G. Ô.) mais aussi, en même temps comme bien d’autres choses encore, un hommage à S. E. A. I. S. S. S. L. P. Sigmund Freud). 

Vous comprendrez mieux en découvrant ces points surlignés en jaune concernant les martyrs que j’ai subi, la raison pour laquelle je m’acharne à renouveler ces efforts incommensurabilissimis…simissimes d’écriture les plus précises et les plus vraies / exactes -(à quoi d’autre[s] pourrait servir l’invention des mots et la grammaire par les bouddha dans chacune des régions de cette planète, si ce n’est à la recherche de la Vérité, voire à l’exprimer par écrit du mieux qu’on le peut/puisse malgré l’extrême complexité de cette Vérité -[à géométrie variable]- en matière de soins et/ou de Médecine, voire de la Logique en Sciences)- pour vous demander une fois de plus -(comme je l’avais demandé au docteur Marcel et à son assistante madame Adham – et comme ce fut le cas plus heureusement avec madame Koechlin - de faire cesser une fois pour toutes ces trop injustissimis…simissimes et beaucoup trop douloureusissimis…simissimes effets indésirables en cessant[8] de me prescrire / forcer à prendre le Xeplion 50 mg d’autant plus que vous comprendrez enfin dans ce courrier ce qui s’est réellement passé pour moi entre 2013 et 2017 quand vous ne vous occupiez pas encore de mon cas. 

 

Vous verrez qu’il y a aussi de/les constant[s] maux sous les pieds et autour des pieds : l’impression d’excessive chaleur sur la peau des pieds -(comme parfois des mains ou du corps)- qui est devenue très/trop serrée -(au point que cela fasse mal quand j’essaie d’écarter mes doigts de pied pour les détendre – au début cela a parfois donné en position couchée des crampes très douloureuses)- mais aussi comme si, sous les deux pieds, il n’y avait plus de chair autour des os et donc quand je marche de sentir -(comme vous pourrez le voir aussi confirmé surligné en jaune phosphorescent dans la liste -(des effets indésirables)- que j’ai trouvée à l’adresse Internet indiquée pour la notice du Xeplion 50 mg 4 bis)- plus directement le sol. 

J’ai ainsi pu y surligner chacun des effets indésirables dont je fus / suis victime ce qui fait avec ces surlignages ou/et ces surlignements comme une sorte de récapitulatif, les fabricants du Xeplion 50 mg comme ceux du Risperdal 25 mg ou/et 50mg ayant dit la vérité concernant les risques et / ou probabilités pour les patients d’être victime[s] de l’un ou l’autre de ces nombreux effets secondaires indésirables)- une sorte de gêne continuelle sous les pieds et autour des pieds -(le podologue que j’ai consulté à la demande de madame la doctoresse Adham à laquelle je me plaignais de ces maux constants -(avec de temps en temps quelques lancements piquants dans les pieds)- ayant dit qu’à première vue mes pieds étaient parfaits et qu’il ne pouvait expliquer ces douleurs / chaleurs et etc. que pourtant je ressentais à ces extrémités, qu’uniquement en raison de ce qu’ils seraient un des effets secondaires indésirables du Xeplion 50 mg -(effectivement, comme vous le verrez à la fin de cette lettre, nous avons consulté la notice du Xeplion concernant ses effets indésirables et, comme -[dans]- celle du Risperdal, il est en effet annoncé/inscrit –(pour quelques rares cas particuliers[9], soit des SPOK)- qu’effectivement, à l’occasion, peuvent se manifester des douleurs aux extrémités des pieds sous Xeplion 50 mg, voire aussi sur Xeplion 25 mg ?-[« ça est la question »] –(ce que j’espère nous n’aurons pas / plus à ressentir, voire moins ressentir quand vous baisserez le dosage du Xeplion à 25 mg car peut-être qu’une fois moins forte la dose du Xeplion, mes pieds cesseront ainsi de me faire continuellement mal / souffrir – ce dont je me souviens qu’en tout cas ils ne -[me]- faisaient pas -[mal]- quand j’étais à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines, soit quand -[j’étais]- à peu d’être pratiquement sevré de ce Risperdal 25 mg), cependant cette douleur continuelle à ces extrémités, (mes pieds), sont bien réelles avec parfois -(je l’ai dit - ce qui heureusement arrive très rarement)- de soudaines sortes d’/e [é]lancements me piquant de l’intérieur et faisant alors horriblement mal ! (Aussi ces élancements, quand ils ont lieu, sont très inquiétant[s] d’autant plus qu’ils ont aussi lieu ailleurs dans mon corps. En effet, à cause que je les sens dans les pieds ou/et ailleurs dans mon corps, je redoute qu’ils aient aussi eu lieu dans mon cerveau -(comme je les ai senti à une ou deux reprises sous le cuir chevelu), ce qui est, hélas infiniment hélas, très probablement le SPOK ailleurs -(à d’autres moments peut-être de façon moins forte), et expliquerait l’origine des acouphènes dont je fus victime au moins deux ans quand j’étais en position couché. 

En effet, sur la notice du Xeplion 50 mg, il est inscrit qu’il peut y avoir des  « [mini]/petits accidents vasculaires cérébraux » -(A.V.C.)- ce qui a été effectivement le cas à la lumière de la douleur que ces élancements -(rares mais ayant eus lieu)- procurent dans mes pieds ou dans mes genoux ou dans mes poumons ou dans mon estomac ou dans ma gorge ou dans ma tête -(c’est probablement quand le produit qui a été injecté dans mon sang rencontre des difficultés à passer par l’un de ces endroits que cela crée ces [é]lancements comme des mini explosions sous cutanée, dans la chair. 

 

Ces [é]lancements – je les ai annoncés - je les retrouve aussi dans d’autres effets secondaires indésirables du Xeplion 50 mg comme par exemple :

 

[[]Il y a, depuis cette hospitalisation de 2017[]]- les subites quintes de toux avec parfois comme des piques / pointes -(ces élancements)- au niveau des bronches -(mais aussi à l’occasion de ces quintes de toux, dans l’estomac, au point de donner envie de vomir, donc du risque / danger réel d’en vomir tant, à l’occasion de ces quintes de toux, je ne puis m’arrêter de tousser, ce qui, hélas, m’arrive au moins une fois tous les deux jours ou parfois, heureusement, moins que cela, voire parfois plus que cela -(plusieurs fois par jour notemment au cours des journées autour de celle de l’injection) ! Avec cet effet indésirable de cette toux, il s’agit d’un des effets indésirables -([qui est surligné en jaune phosphorescent]- dans la liste de ceux-ci en fin de lettre comme tous les autres dont je fus, suis, -[risque de continuer à l’être], la victime), ce qui me fait penser avec les douleurs qui concernent mes pieds que ce Xeplion 50 mg pourrait être -(comme le Risperdal 50 mg), nous l’avons dit, beaucoup plus dangereux qu’on ne le pense pour le cerveau irrigué lui aussi par le sang dans lequel va et vient la formule chimique en question du Xeplion -(ce qui est dangereux avec ces élancements pointus / piquant[s], [des mini-explosions dans la chair] -(comme ceux / [celles] à l’intérieur de mes pieds et ceux / [celles] à l’intérieur de mes bronches, voire dans mon estomac -[car au cours de ces quintes de toux il peut arriver, (heureusement plus rarement), que cela finisse par me donner envie de vomir, ce qui est même arrivé une à deux fois], voire dans tous les autres lieux de mon corps où ce sang comportant cette chimie néfaste passe / irrigue / circule). 

 

Je me répète –{[(probablement aussi parce que je suis sous l’emprise de ce Xeplion 50 me rendant l’écriture difficilissimis…simissime -(ce qui n’était plus le SPOK à partir février 2014 quand j’ai, en me retirant du monde comme un ascète, poursuivi dans l’écriture de mes lettres aux Présidents de la République française mais aussi à celles aux Papes d’au moins mille trois cent pages chacune)- à cause des continuelles souffrances que j’endure avec ces impatiences, les souffrances de la toux et celles dans les pieds mais aussi celles qu’intellectuellement j’endure à cause de ce que le Xeplion comme le Risperdal 25 mg font à l’usage de la mémoire et à la conscience : des dégâts immenses et cela de plus en plus à mesure qu’on en augmente le dosage)- mais malgré cela, dans mon idée, pour mieux faire comprendre mes inquiétudes / craintes en espérant que vous comprendrez finalement. C’est donc un conseil d’une sorte de confrère mais aussi en provenance du Grand Inspecteur lui-même -(à l’origine, dans les réincarnations précédentes, de la plupart des meilleures solutions alternatives médicales et chirurgicales), en visite, comme Le Petit Prince dans l’un de nos systèmes solaires, soit dans l’une de ses planètes)- à qui vous devez donc, entre autres, l’existence des C.M.P. -(j’en ai dicté la faisabilité –[car ils existaient dans l’avenir quand j’y serais confronté]- en 1977 et au cours des années suivantes depuis 2005 et les années suivantes à mon père, vos dévoués serviteurs l’empereurs de la Reconstruction et de l’Angles, à l’occasion des Avertissements, soit la Dictée Pharaonique à travers Espace et Temps, par conséquent avec ces C. M. P. la source même de vos RFPMD revenus financiers propres et mérités de droit / licites vous nous les devez), mais vous découvrirez par exemple en lisant quelques-unes de mes lettres à diverses personnalités beaucoup d’autres belles, bonnes, bienfaisantes et fécondes choses dictées dont je me suis rappelées avoir transmise la faisabilité -(comme par exemple la construction du réseau Internet et tout ce que cela peut représenter comme nouveautés pour faciliter nos vies respectives)- dont vous et le monde entier bénéficient à chaque instant depuis 1977 et d’autre part 1967 – qu’il faut / convient -(à la lumière de ce que vous découvrirez dans cette lettre)- [de] cesser de toute urgence rapidement ce traitement – je vous aurais averti -(au moment de la Pesée de votre Âme vous en serez tenue -[avec l’âme de vos complices dont celle de l’infirmier François Martineau –(malgré vos à premières-vues gentillesses sur d’autres points)- mais aussi les âmes de vos prédécesseur[e]s / prédécétrices[10]]- comme responsables avec tout ce que cela va signifier -(pour votre prochaine réincarnation)- si vous n’arrêtez pas de me prescrire ces médicaments –[(alors que je n’en ai, [en réalité et en fait : tout bien compris /cpesé et en Vérité]- aucunement besoin puisque tout ce qui s’est passé qu’on a cru pouvoir me reprocher – donc sur quoi on s’est appuyé pour m’hospitaliser - au point que ces reproches en ont été les causes de ces hospitalisations sans mon consentement, je l’avais fait dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs -(soit d’empereur devenu bouddhahs)- au service de tous (dans le genre » un pour tous tous pour un «), donc de droit et objectivement pour le Bien et l’Intérêt Général en m’adressant de 2005 à 2013 du ciel aux époques précédentes respectivement de 1967 et 1977 puisque qu’à partir de 1995, je serai pour ma génération comme pour celle des anciens et celle des enfants, le nouvel empereur qui après avoir subi plusieurs métamorphoses à force de rechercher le trait juste en Peinture est devenu les bouddhahs eanmeailleurs -(ce dernier, un mot que j’ai forgé pour marquer la différence de -[simplement]- empereur)- à partir de 2005)]- comme -[abominab[i]lissimis…simissimes et etc.]- malheurs de ne plus appartenir qu’au genre animal si lointain de l’espèce humaine –(mais comportant – on le sait – à-premièrevues des aspects animaux / similitudes animales -(en raison parait-il d’ADN proches cependant que différents de, par exemple, celui de l’espèce des singes, ce qui fait toute la différence puisque cela nous permet par exemple de créer / trouver des solutions alternatives élégantes à nos problèmes à résoudre comme éventuellement ceux des animaux pacifiques et inoffensifs quadrupèdes herbivores dont on doit prendre soin et protéger des voraces en raison de ce qu’elles offrent d’utile à notre espèce des êtres humains)- eux/elles aussi mais bien sûr très différent.e.s dans ce qu’elle -(l’espèce humaine)- peut de mieux et de différent des animaux stricto sensu en raison que les bouddhas -(soit les éveillés par acquis de conscience)- ont progressivement développé / créé les différentes civilisations en prenant appui sur les textes sacrés et les inventions existantes des époques précédentes -[à/de celles de leur respective naissance]- dont ils eurent à se montrer digne[s] pour en hériter – et ici à propos des réincarnations qui concernent toutes les personnes devenues faussaires et/ou escrocs, voire … et etc., sachez que je minimise à l’infini en réalité l’aspect horrible / probablement intimement douloureuses pour elles-mêmes -(quand elles se découvrent différente de l’espèce humaine caractérisée par ses génies des solutions alternatives élégantes à toutes celles mauvaises, méchantes, injustes, etc.)- de ces réincarnations -(bien que chacune comporte sur certains points, parait-il, de meilleurs aspects)- en perspective -(car il s’agit souvent de réincarnations qui n’inventent pas grand-chose de vraiment très utiles à nous autres les êtres humains –(soit au contraire celles-ci -[ces réincarnations]- à observer, analyser, etc. pour en tirer les »« substantifiques »« sèves, soit meilleur parti[e])- comme par exemple l’informatique, même si, comme je viens de le dire, elles -[ces réincarnations]- peuvent comporter parfois du positif sur certains points que les êtres humains les plus intelligents se sont risqués de/à trouver et à mettre en valeur -(par exemple dans les documentaires animaliers ou/et dans des cirques équestres, voire ailleurs dans les zoo[s], ce qui fait gagner des points -[pour leur réincarnation suivante]- à ces animaux ainsi devenus plus utiles qu’à la normal)- parce qu’ils sont les points qui concernent, s’ils sont développés en les appréciant à leur juste valeur comme les paramètres de la réincarnation suivante étant, dans certains cas/SPOK, meilleure que celle obtenue / en cours, s’ils font du bien et/ou s’interdisent le mal et respectent le bon sens de la Création, soit le Système -(de ce qui est à l’origine de ces réincarnations pouvant progresser ou au contraire régresser au cours de la suivante si elles se sont autorisées à faire le mal alors qu’elles peuvent choisir ce bon sens pour ne faire si possible que le Bien – comme certains hommes / femmes remarquables / voire saint.e.s)- car apparemment vous ne saviez pas bien comment ça marche ce Système dans les faits, comme le docteur Jean-Luc Marcel qui vous a/vez ainsi rendu complice -[malgré la partie la plus juste de vous-même et mes demandes continuelles / constantes de vous faire cesser ces douleurs / maux dont l’auteur[e] est avec le « docteur » Marcel votre prédécétrice / prédécesseure, en arrêtant toute[s] médication[s] à mon sujet d’autant que la raison d’être –(invoquée pour mes hospitalisations)- pour/par ce docteur Jean-Luc Marcel comme pour ma personne était depuis déjà très longtemps de plus en plus lointaine –[(car cela remontait à avant 2013 : j’avais dérangé les voisins à cause de ma Dictée Pharaonique quotidienne à travers Espace et Temps pour le Bien Général et/mais nous étions en 2017 -(soit grosso modo à quatre -[4]- ans, soit G.M. -[grosso modo]- mille quatre cent soixante -[1 460]- jours, soit G. M. huit mille sept cent soixante -[8 760]- heures, soit G. M. cinq cent vingt-cinq mille six cent -[525 600]- minutes, soit G. M. 31 536 000 -[trente et un millions cinq cent trente-six mille]- secondes ! – ce qui est tout à fait considérable à l’échelle universelle et vous donne un aperçu de ce que peut-être difficile à vivre chacune de ces secondes qui sont autrement-vues comme infiniment longues à passer à cette échelle, bien que sur un autre plan -(donc vues autrement), elles soient –(on le sait)- plus courtes à passer, cependant que nous savons aussi que quand on souffre même une seule seconde, cela a été plus ou moins long comme ressenti et difficile à supporter selon les causes de cette souffrance qui existent de différents types -(des plus faibles au, hélas les plus fortissimis…simissimes –[y compris, malheureusement, psychiquement -(donc pas seulement touchés physiquement), par exemple toutes celles causées par de trop fortes doses de certains médicaments dits » neuroleptiques «), aussi c’est ici ce qu’on appelle le relatif de cette notion de/u Temps)], lors de ma dernière hospitalisation), voire très lointaine : quatre très  longues années dans lesquelles il s’est passé tant d’évènements et modifications et/ou transformations, etc.!], à/daussi injustement martyriser et traumatiser!)]}- en faisant ainsi appel de façon plus préférable à votre compassion comme à celle des autres lecteurs de cette lettre en espérant qu’ils prient le Ciel pour qu’on mette bien vite un terme à mes souffrances insoutenablissimis…simissimes / insupportablissimis…simissimes / incommensurabilissimis…simissimes / douloureusissimis…simissimes, cauchemardesquissimiss…imissimes et etc. à chaque fraction de seconde au point que j’ai perdu une grande partie de mon humour -(dont les êtres humains auraient pu depuis longtemps bénéficier en les rendant heureux)- tant je souffre en continu.  Cerveau dans lequel, disions-nous, hélas, infiniment hélas, circule aussi cette formule chimique du Xeplion -(comme circulait celle du Risperdal 50 ou de 2013 à 2017 celle du Risperdal 25 mg -(époque bénie quand nous sommes arrivés à la demi-dose toutes les cinq -[5]- semaines durant laquelle j’ai pu travailler à mes textes explicatifs / pédagogiques au sujet de mon histoire exceptionellissimis…simissime sans avoir à souffrir autrement qu’à cause des difficultés inhérentes à l’écriture, soit celles concernant aussi mes autres activités)- et à partir de février 2014 à la demi-dose de 25 mg, soit à celle de 12,5 mg toutes les cinq semaines -(que vous m’avez confirmé ce matin vendredi 28 août 2020 comme étant l’équivalent de « plus rien » - je vous cite ici), par conséquent de votre point-de-vue de spécialiste beaucoup moins forte, cette dose, de celle de cette chimie du Xeplion dosée à 50 mg effectivement martyrisantissimis…simissime et handicapantissimis…simissime et insupportablissimis…simissime et etc. . 

 

Croyez-vous que je me donnerais autant de peines et difficultés pour vous écrire cette lettre avec ces superlatifs absolus concernant ces effets indésirables du Xéplion 50 mg et du Risperdal 50 mg -(mais aussi tous ceux du Risperdal 25 mg entre 2013 et 2017), si la solution que je vous demande de suivre rapidement pour votre âme n’était pas la meilleure / la bonne / la plus sûre ? -{([Et cela exposé de tout mon cœur avec toute mon expérience de l’existence, (ma personne devenue vos dévoués serviteurs bouddhahs comme votre empereur), ce qui pourrait aboutir, en raison de ces [é]lancements à d’autres endroits sous ma peau, voire dans l’un ou l’autre des différents systèmes biologiques dont je suis composé[11]à quelques accidents vasculaires cérébraux -(A. V. C.)- plus importants, ce qui explique très logiquement les acouphènes …

-(qui, pour exister – je l’ai vérifié en Grand Inspecteur sur moi-même en m’analysant -[car bouddha, c’est-à-dire » éveillé par acquis de conscience «, donc continuellement dans l’état de recherche de la Vérité objective et de ces causes -(donc en eanmeailleurs[12])]-

sont le résultat de ces mini ou/et micro accidents vasculaires cérébraux -(MAVC)- dans la partie du cerveau qui gère les  fonctions auditives de la personne)-

 …qui furent / sont l’effet à première-vues de microïssimis…simissimes accidents vasculaires cérébraux entre les neurones et les synapses, soit ceux dont je fus victime plus de deux ans à chaque seconde quotidiennement et aussi pendant la nuit. Cependant que j’ai fini par trouver un remède de fortune -(décrit dans l’un ou l’autre courrier au docteur Jean-Luc Marcel mais aussi publié sur Internet sur un site spécialisé sur les acouphènes[13] (ici fichier audio n°23 continue et deviendra, dans la note de bas-de-page 23 le fichier audio n°24 qui permettra d’entendre ce qui suit dans ce fichier audio n°24 :)])- pour, tous les jours, arrêter ces acouphènes grâce à une méthode que je mis au point avec le robinet de l’évier de la cuisine, voire celui du lavabo près de ma chambre, voire en faisant couler la douche -(c’est-à-dire en habituant mon oreille à entendre cette fréquence -[au niveau sonore]- de l’eau qui coule, en la faisant couler -(en l’écoutant très attentivement au moins trente secondes, voire une minute, voire deux dans les cas extrêmes où ces acouphènes ne disparaissaient pas)- dans ces récipients / réceptacles pour écouter de toute mon ouïe cette fréquence des sons s’apparentant à celui des cosidetti -(ainsi nommés – [en italien])- » bruits blancs « , ceux de cette eau du robinet qui tombait dans l’évier : c’est en m’habituant à ces sons / bruits de l’eau qui coule, donc à cette fréquence sonore, que je parvenais, en prenant la position debout,  à faire cesser, dès le matin, pour toute la journée ces horib[i]lissimis…simissimes et martyrisantissimis…simissimes, soit extrêmementissimis…simissimes douloureusissimis…simissimes acouphènes, bien que j’avais alors contracté la continuelle angoisse -(ce qui explique la nécessité du recours au médicament Lexomil qui, effectivement, diminue l’angoisse)- que ces acouphènes  risquaient de recommencer une fois [re]couché pour trouver le sommeil, voire de nouveau dès mon lever -(l’angoisse de continuer à en être la victime est si forte qu’on ne peut que très difficilement se passer de Lexomil -(et cela m’a contraint à recourir à l’aide d’un somnifère tant, vers une heure et demi du matin, parce que couché en général au moins depuis dix heures du soir, les acouphènes parfois reprenaient, voire étaient de nouveau là régulièrement présents chaque matin à mon lever, c’est-à-dire quand je me mettais en position debout après avoir été longtemps couché -(ce qui favorise la venue de ces acouphènes le sang circulant -[peut-être]- plus facilement en position couchée et finissant par déclencher ces acouphènes dans cette position -[couchée]). Aussi je puis assurer, [(après avoir été plusieurs fois consulter à l’Institut Arthur Verne un spécialiste de la médecine des oreilles, un otorhinolaryngologue -(O. R. L.), qui après avoir fait tous les examens sur place -(en me demandant de lui apporter les résultats d’un scanner)- a conclu -[confidentiellement]- qu’il y avait de très grandes / fortes probabilités que ces acouphènes venaient de la médication du Xeplion 50  mg car j’avais alors réussi à consulter la notice du Xeplion 50 mg en découvrant qu’effectivement il s’agissait d’un des effets secondaires indésirables signalés -(cependant que rares -[en pourcentages de cas étudiés]- mais pourtant possibles car ayant eu lieu – en effet, vous le verrez plus loin dans la liste des effets indésirables[14] - avec Xeplion 50 mg)- de ce médicament du Xeplion 50 mg dont il convenait donc, selon lui -(à premières vues un des grands patrons des otorhinolaryngologistes)- confidentiellement -(car il ne voulait pas prendre position par écrit pour éviter de se faire un ennemi du docteur Jean-Luc Marcel qui, à l’époque, ne voulait pas croire que le Xeplion 50 mg était à l’origine des acouphènes -(et cela malgré que cela figure dans la liste des effets indésirables sur/dans la notice du Risperdal comme celle du Xeplion en tant que bourdonnements – ce qu’il avait oublié), donc continuait à me prescrire l’injection du Xeplion 50 mg et cela malgré que l’effet secondaire indésirable des acouphènes ait été inscrit en tant que bourdonnement[s] dans les oreilles dans la notice du Xeplion 50 mg comme dans celle du Risperdal -[et (celle) du Trivecta dont nous ne parlerons pas/plus ici car vous savez que nous avons pris ensemble la décision d’y renoncer pour remplacer le Xeplion, en raison des effets indésirables de ce Trivecta qui sont aussi d’autres sortes (concernant tout particulièrement le cœur que vous savez à mon sujet fragile[15])- quand ils annoncent un grand nombre d’effets indésirables semblables de ceux du Xeplion et du Risperdal -(dont les mêmes effets indésirabilissimis…simissimes des acouphènes comme des impatiences et etc. : tous les autres -[que vous trouverez signalés vers la fin de cette lettre]- qui me martyrisent])}- (celle de solution alternative élégante, [S. A. É.)- qui consiste à me sevrer d’urgence du Xeplion 50 mg, voire dès que possible pour que je retrouve une ouïe normale ! Ceci dit, malgré le fait que cet O. R. L. n’a pas voulu se prononcer / le confirmer officiellement en l’écrivant -(car il ne voulait pas imposer ses vues au docteur J. L. Marcel au service d’une autre discipline médicale que la sienne). Mais tout cela a été transmis par mes soins à la docteure Adham et au docteur Jean-Luc Marcel qui – comme l’avait prévu cet otorhinolaryngologiste sur la base de nombreuses expériences qu’il avait eu avec le monde des psychiatres, n’ont rien voulu savoir -(alors que c’est eux qui ont voulu que je consulte cet O. R. L. puisque je me plaignis de ces martyrs des acouphènes)- et surtout ce dernier, le docteur Jean-Luc Marcel, n’a pas voulu croire ce confrère médecin à la très longue expérience des maux dans les oreilles alors que de mon côté, je pouvais très objectivement dire / assurer / confirmer en premier concerné :]- que ce médecin O. R. L. a dit effectivement la Vérité : le Xeplion 50 mg est à l’origine des acouphènes -(par mini ou/et micro[s] accidents vasculaires cérébraux qui sont peut-être réparés une fois en position debout longtemps, le sang alors circulant autrement au point heureusement de faire disparaître ces acouphènes à un moment donné de la journée), ce dont je fus victime pendant plus de deux ans. Mais je ne me souviens pas pour la période de 2013 à 2017 que le Risperdal 25 mg ait été, du moins à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines à l’origine d’acouphènes, soit de bourdonnement[s] / sifflements aussi hyper-martyrisant[s]  / traumatisant[s] dans les oreilles.

 

Il y a aussi les plus que martyrisantissimis…simissimes impatiences -(qui mettent le moral encore moins bien qu’à zéro)- qu’heureusement, après ma découverte du médicament correcteur de l’Artane -(que j’ai demandé qu’on me prescrive), ont un peu diminuées –(en tout/s cas -[quand je n’avais plus d’acouphènes]- de faire que je n’avais plus envie de me suicider comme quand ces acouphènes et ces impatiences étaient horribilissimis…simissimes / atrocissimis…simissimes / insupportab[i]lissimis…simissimes à souffrir sans Artane, ce qui signifie que, dans l’état actuel des doses d’Artane que vous m’avez récemment, à ma demande, prescrites -(soit au maximum trois comprimés 5mg par jour), cela va mieux car je ne veux plus me suicider étant donné que de tout mon cœur j’espère -(comme j’avais bien fait d’espérer au cours du sevrage du Risperdal 25 mg)- dans la poursuite du sevrage progressif du Xeplion 50 mg pour voir disparaître le reste de ces impatiences comme les autres effets secondaires indésirables -[du Xeplion 50 mg]- dont je suis l’objet[16] -(soit la continuation de ce qu’on a mis au point – ce sevrage du Xeplion – dans les mois qui ont suivi la sortie de Sainte-Anne en 2017, en passant à la dose de 50 mg vers les mois de Juin-Juillet -(ce qui faisait deux à trois mois après ma sortie), madame Adham -(ayant depuis plusieurs mois remplacé la docteure Nicole Koechlin -[partie à la retraite])- ayant voulu passer à cette occasion peu de mois après ma sortie de l’hôpital, (si je ne m’abuse, début Mai 2017), à la dose de 25 mg de Xeplion – cependant que c’est alors moi qui -(étant à souffrir plus que les martyrs les plus immensissimis…simissimes et etc. à 100 mg de Xeplion, à cette dose, [j’étais]- dans l’incapacité de me défendre et/ou/: d’écrire)- a[i] proposé – [je le croyais alors pour plus de sécurité -(alors que je souffrais immensémentissimis…simissimement -(et c’est vraiment peu dire)- des acouphènes et des impatiences très fortes, comme des autres effets indésirables -(aux pieds, toux, etc. et ce vous découvrirez dans la liste de ces effets indésirables vers la fin de la lettre)- que vous pourrez vérifier surlignés dans la partie de la notice du Xeplion les décrivant vers la fin de cette lettre avec mes remarques)], pour ce sevrage de passer -(dans la logique de la moitié)- au stade intermédiaire -(à l’étape)- de Xeplion 50 mg pour que le sevrage ne soit pas trop violent/rapide -(et avec espoir qu’au pire, dans les trois mois qui suivraient –[comme cela avait été le cas avec madame la Docteure Nicole Koechlin pour le Risperdal 25 mg]- on passerait très logiquement, soit très naturellement, à Xeplion 25 mg comme elle le demandait / voulait encore à ce moment-là pour le « docteur » Marcel – mais c’est soudainement influencée par l’infirmière plus âgée qu’elle qui suivait nos échanges qu’elle se décida pour 50 mg et non pour 25 mg – hélas cette dernière, peu instruite et manquant de cœur était d’une cruauté absolue et ne voulait rien comprendre à mes souffrances incommensurabilissimis…simissimes qui avaient pour origine la méchanceté du docteur Jean-Luc Marcel. A chaque fois que je me plaignais ne comprenant pas qu’il fallait continuer / reprendre mon sevrage en toute logique avec le précédent -[de 2013 à 2017]- qui avait marché, décidait, de façon arbitraire et nullement réfléchie -(en tenant compte de tous les paramètres me concernant), à la place de la psychiatre madame Adham qui se soumettait –(au lieu de réagir plus humainement et intelligence et d’aller ainsi dans mon sens)- quon ne baisserait -[pas]-le dosage de 50 mg. Aussi à chacune des fois où j’eus à me rendre pour renouveler mon ordonnance, soit toutes les quatre semaines, c’était le cauchemar de ne pas être cru / compris alors que je proposai ce qui était logique de faire médicalement – car je le savais d’autant le premier concerné -(ayant en moi-même, comme chacun des êtres humains devenus conscient, un très véritable Médecin)- en rapport avec les nombreux paramètres me regardant dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs[17], soit plus en rapport avec ma situation / personne exceptionellissimis…simissime dont cette infirmière n’avait bien sûr aucune idée de ce qu’elle est et avait été -(chargée de toutes ses réalisations –[y compris toutes celles des réincarnations précédentes, soit tous les paramètres et souvenirs -[de mon]- vécu, soit de mes expériences enrichissantes comme de mon niveau d’étude[s], soit tout ce qui me concernait, soit tout ce qui avait concouru à faire de moi un des éveillés par acquis de conscience, soit, entre autre[s], à cause de cela, depuis 2005 et mes communications à travers Espace et Temps, un très véritable Médecin, certes généraliste et un peu touche-à-tout bien qu’ayant aussi des spécialités – je l’avais prouvé d’avance en apparaissant auditivement sur les époques de 1967 et années suivantes et en apparaissant dans le ciel y compris visuellement à partir des années 1977 et suivantes à l’occasion des Avertissements de la Dictée Pharaonique]. Madame Adham n’avait pas voulu prendre connaissance dans les détails dont un certain nombre étaient inscrits dans mes lettres aux Papes et aux Présidents de la République française de ce qui devait logiquement avoir pour effet de lui faire cesser la médication étant donné qu’il s’agissait de mieux comprendre ce dont j’avais soudainement été victime de 2005 à 2013 -(synchrone, dans mon SPOK / cas, avec 1967 à 1975 et 1977 à 1985)- au point d’avoir eu à dicter pour le salut général de l’époque de 1977 et des années suivantes, à travers Espace et Temps (comme je l’ai fait aussi vers l’époque de 1967 à 1975), les Avertissements de la Dictée Pharaonique de la nouvelle nouvelle donne interRégionale -(au sens d’internationale)- mondiale -(N.N.D.I.M.)- dans l’exercice de mes fonctions de premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à avoir eu accès, à force d’efforts incommensurables en Peinture, à la conscience, ce qui éveille, soit permet de devenir un des bouddhas, ce qui signifie entre autre[s] parmi ses mérites celui de Grand Inspecteur – c’était donc avec cette infirmière l’absence de savoir et d’étude[s], voire le peu de savoir[s], soit l’ignorance qui décidait de mon sort et non la pleine lumière de la raison / conscience, soit au contraire l’arbitraire ayant intérêt à me retenir / conserver en tant que patient – pour justifier de la nécessité de faire appel à ses services d’infirmière comme à première-vue donner l’impression d’être utile dans ce métier et/ou avoir quelque chose à faire pour être ainsi rémunéré et ainsi justifier de la nécessité qu’on embauche d’autres « infirmiers » -(en raison du nombre de «  patients » ainsi retenus – devenus prisonniers), [cette ignorance crasse qui triomphait de tous mes propos les plus vrais décrivant ces incommensurables tortures et souffrances, des paramètres dont il convenait de tenir compte si on est à exercer une activité faisant appel au moins à un minimum de savoir[s] et actes compassionnels. Comme si mes souffrances étaient justes / normales d’avoir à les endurer ou/et ne comptaient pas, n’étaient pas crues / dignes d’être prises en considération, comme si ce que je disais n’avait pas d’importance et ne pourrait avoir aucun effet pour améliorer ma situation et alors que cette dernière avait le pouvoir de soulager une personne qui souffrait très véritablement de quelques-uns des effets indésirables les plus horribles du Xeplion 50 mg comme cela allait être encore plus le cas  avec les quelques mois de Risperdal 50 mg, la surdité à mes propos et à ce qu’il aurait mieux valu aussitôt faire pour me soulager et me délivrer de ces souffrances abominab[i]lissimis…simissimes, soit pour vous les rappeler et les résumer, les souffrances des pieds, de la toux, des acouphènes, des impatiences et la dermite séborrhéique. C’est d’une tristesse affligeante que de connaître une personne qui est sourde aux malheurs endurés, voire qui aurait plaisir à voir les autres souffrir, bref qui n’est pas à sa place dans un métier par ailleurs estimable quand il est exercé avec cœur / compassion pour éviter la souffrance aux gens. C’était donc le monde à l’envers et le sentiment d’injustice, voire d’avoir en face de vous la méchanceté et/ou l’indifférence à la souffrance de l’autre, soit avec cette attitude la cause même de tous les maux : l’égoïsme, soit ce qui est en réalité inhumain -(quand » être humain « se définit / se dit d’une personne ayant accès à la conscience, voire encore mieux finalement au Saint-Esprit), inimaginable, étranger et en réalité totalement incompatible avec les Médecines les plus véritablement exercées : alors qu’ayant le pouvoir de soulager quelqu’un de la souffrance qu’il traverse malheureusement normalement momentanément on la lui confirme en la lui infligeant à chaque fois que celui-ci propose ce qu’il sait pourrait la faire disparaître, donc qu’il y aurait de meilleur à faire pour s’en délivrer. Oui, le sadisme est une maladie qui a pour origine le fait que dans certaines régions de notre planète on s’est autorisé à chasser ou/et à élever des animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes pour les manger, ce qui a fait perdre la cohérence avec Amour et Vérité -(que nous devons à tous les éveillés de l’histoire de l’aventure humaine [H•A•H]). Il s’agit donc d’une terrible maladie étant avec celle du masochisme qui la complète par l’inverse celles de ceux qui sont devenus des menteurs au point de ne pas comprendre que tout ce qui les entoure a été créé par Amour véritable -(et non pas seulement par amour)- et croyez-moi il y a des causes à cela qui sont advenues -(comme je l’ai démontré sur moi-même de 1967 à 1977- [pour les enfants]- et de 1977 à 2005 -[à l’âge adulte])- à un moment donné de la croissance de chacun de ceux concernés par ces maladies d’enfants trop gâtés – c’est de cette manière que ces personnes devenues mensongères obtiennent dans leur respectif cerveau des modifications de leur âme qui s’opèrent -(par des rétrécissements – je l’ai vérifié sur moi-même comme aussi dans le sens contraire : quand on parvient à se libérer de ces aspects préhistoriques après l’acquis de conscience !)- au point d’acquérir ainsi, par ces injustices dont elles sont l’auteur, l’âme la plus noire soit celle à leur mort de leur prochaine réincarnation qui ne peut être que celle d’un des animaux ayant des canines de plus en plus pointues – à cause des injustices qu’elles s’autorisent / commettent -(y compris toutes celles sans en avoir conscience, par conséquent par omission ces péchés)- elles involuent ainsi au lieu de façon plus préférable pour elles-mêmes et l’Ensemble, au contraire, de poursuivre l’évolution humaine : de progresser en sagesse et en bienfaisance et/ou compassion en étant, par exemple, conséquent[e/s] avec les paramètres du SPOK -(cas particulier)- soit de tirer les meilleures conséquences et faire ce qu’en conscience, c’est-à-dire en vérité propose l’éveillé que je suis, entre autres grand inspecteur pour le Bien Général et/ou l’Intérêt Général, soit celui qui déterminera en vérité quand une personne n’est pas à sa place où se sert de celle-ci pour devenir tortionnaire -(et non pas, au contraire – ce qui est alors, par exemple, une Vocation de Bonne Sœur appelée à la Sainteté - servir de tout son cœur les très/plus véritables sciences ou/et Médecines, comme cela fut le cas/SPOK à mon sujet, à partir du moment de ma dernière hospitalisation dont vous découvrirez ici qu’elle n’avait en réalité que l’ignorance, la méchanceté, le mensonge, l’imposture, l’escroquerie intellectuelle et/ou l’incohérence du docteur Jean-Luc Marcel pour origine / comme auteur, donc que normalement cette hospitalisation n’aurait jamais dû avoir lieu si ce « médecin » n’était pas devenu sourd à toute plus véritable logique tenant compte de tous les paramètres qui concernaient plus particulièrement mon cas particulier/SPOK dont celui d’être devenu végétarien ce qui a permis, entre autre[s] au bout de quelques longues années, comme nous avons tous pu le remarquer / vérifier que malgré que je sois empereur, soit parait-il satan, j’ai finalement accès à cette sécurité dans l’être humain qui se nomme la conscience et que je devienne Satana[na!]nas, soit pour le plus grand bienfait de l’humanité plus grand-chose à voir avec satan en ayant ainsi réalisé la fin de satan, soit la mort de satan que j’annonçai d’avance dans mes tableaux-partitions pour le piano peint / décoré de S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck– certes c’est une longue histoire qu’on découvrira si on est du genre curieux au bon sens de ce mot dans mes lettres aux Présidents de la République française et dans celle aux Papes sur / dans mon site chez free, une histoire dont il aurait convenu de tenir compte avant de croire possible me contraindre par la force et les menaces à ces hospitalisations pour me torturer ensuite avec les « médications » du Risperdal 25, puis après l’ultime hospitalisation de 2017 au Xeplion 50 et ses effets martyrisantissimis…simissimes). 

 

Car évidemment après le sevrage de 2013 à 2017 je ne pouvais pas imaginer alors qu’on me ferait attendre plus de trois ans à ce dosage de Xeplion 50 mg avant, je l’espère et en prie le bon Dieu, de prendre la décision de le baisser à 25 mg, voire très préférablement d’arrêter totalement cette médication comme je le conseille en omniscient, notemment à cause des effets de cette lettre-ci -(de nouveaux paramètres à mon sujet)- dans laquelle je fais un récapitulatif de ce qui s’est passé depuis 2013 et surtout de la découverte que je fis des plus véritables raisons de ma dernière hospitalisation dont l’auteur arbitraire et incohérent comme sacrilège y compris des plus véritables sevrages scientifiquement exactes / justes / parfaits, fut le « docteur » -(du moins dans mon cas ces guillemets car très visiblement dans ses actes comme dans ses propos il ne l’était plus)- Jean-Luc Marcel! 

 

Si j’avais su ce qui m’attendait, j’aurai bien sûr accepté la proposition de la dose de Xeplion 25 mg que madame Adham m’offrait dès le mois de Juin ou Juillet 2017 pour éviter ainsi toutes les journées où, à cause du trop fort dosage de Xeplion 50 mg étant responsable de ces impatiences -(soit des akathisies : soit des incapacités pour rester assis et/ou de garder la même position. Je cite ici Google sur Internet « pour certains neuropsychiatres, ce terme désigne également l'impossibilité pour un patient, de rester immobile quelques instants, sans ressentir la nécessité de marcher, ou de bouger », donc dans mon cas effectivement des impossibilités de m’asseoir -(rendant tout travail intellectuel infiniment difficile et/ou martyrisant), voire de me coucher - et des acouphènes -(des tortures de bourdonnements dans les oreilles de divers ordres / types -[y compris avec des sifflements])- comme des autres effets secondaires indésirables. C’est alors que sans avoir encore trouvé le médicament du Lexomil, je recherchai tous les moyens de me suicider ce que j’ai fini par trouver -(étant donné qu’hélas, infiniment hélas, la fois suivante où j’eus à revenir au centre médico psychologique -(C.M.P.)- pour la seconde injection du Xeplion 50 mg, c’est-à-dire quatre semaines après, il n’était plus question pour mademoiselle Adham et l’infirmière de service à ses côtés -(croyant pouvoir avoir voix au chapitre[18])- de baisser mon traitement de la même manière hélas, infiniment hélas, que pour le docteur Jean-Luc Marcel -[dont elle dépendait en tant que nouvelle recrue, remplaçante de madame la doctoresse Nicole Koechlin, ayant parmi ses patients, [assurés de l’être], votre très humble et dévoué serviteur]).  

 Fichier Audio n°25

Pour ces impatiences -(akathisies)-  au maximum du possible insupportabilissimis…simissimes, madame Adham m’a d’abord proposé le Lepticure, ce qui a eu pour effet[s] d’augmenter de façon très fortes ces douleurs causées par ces impatiences -(akathisies / acathésies)- comme ce fut aussi le cas, hélas, infiniment hélas, avec l’Akhinaton –(c’est alors que j’eus d’encore plus fortes douleurs / akathisies / impatiences  ressenties à chacun des moments de ces impatiences / -[akathisies]-  au point de ne pouvoir rester assis à travailler à mes textes -[comme cela avait été pourtant le cas à partir de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines car hélas au dosage de 25 mg toutes les deux semaines, il est impossible de travailler à quoi que ce soit en raison des effets indésirables dont on est alors victime et cela jusqu’à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les trois ou quatre semaines – les effets du Risperdal 25 mg sont particulièrement torturant / martyrisant(s)]- -{[(voire cette impossibilité à travailler mes photos et/ou mes vidéos dont vous savez je fais le montage qu’ensuite je publie quand je le peux sur Internet -(une activité comme une autre pour tuer le temps -(en attendant que la situation se débloque de manière à ce qu’on rétablisse la vision du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe)- dans ma situation d’handicapé en étant, vous le savez, le premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- à être devenu un des bouddhahs / éveillés, par conséquent adepte de la non-violence comme Gandhi, soit d’une certaine façon l’inverse des empereurs m’ayant précédé, ce qui rend ma situation publique problématique étant donné que je n’agis ainsi, comme les membres de ma famille, que dans l’Intérêt et pour le Bien Général Universel qu’en conscience et très objectivement / rationnellement et en toute logique / cohérence dans/avec chacun[e] des SPOK / [situations précises, occasions, cas particuliers …[19]])- avec l’espoir d’offrir avec mes images des solutions alternatives élégantes -(des S.A.É.)- à toutes celles qu’offrira, une fois rétablie, la Vision d’Atlantide -[alors retrouvée selon mon Programme[20]], soit celle du Très Saint Paradis, voire des autres quasi synonymes comme Arcadie, Ôz, voire Schtroumpf, etc.)]}qu’après avoir marché chez moi en raison des douleurs -[causées à cause de ces impatiences : akathisies]- dans le couloir chez moi de mon bureau à la cuisine toutes les minutes – ce qui signifiait aussi ne pas pouvoir s’allonger ni rester assis, soit la vie devenue impossible à vivre : une succession interminable[s] de très véritables et continuels cauchemars que même s’ils n’avaient duré que quelques secondes –(voire peu de secondes)- seraient absolument insupportabilissimis…simissimes ; aussi on peut comprendre l’horreur de ces martyrs / tortures qui furent les mien.n.e.s en sachant hélas que ces akathisies duraient continuellement et pas seulement quelques secondes -(ce qui, de toute manière, serait déjà inhumain à -[devoir]- supporter). 

 

Aussi mon état ne faisait qu’empirer avec ces impatiences / akathisies archi-douloureusissimis…simissimes et plus que martyrisantissimis…simissimes dont était/est responsable le Xeplion à 50 mg -(soit ici suffisemment d’informations pour comprendre qu’il faudra impérativement poursuivre le sevrage du Xeplion 50 mg à, (au cours d’une première étape), 25 mg, voire carrément arrêter le traitement -(puisqu’en réalité, il faut absolument que vous compreniez que j’étais, en 2017, à la veille de cette ultime hospitalisation, depuis environ trois ans -[comme quasiment]- sevré du Risperdal 25 mg -(c’est vous-même, doctoresse Hortense Boulanger qui l’avez dit la dernière fois que nous nous sommes vus en me disant qu’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, c’était l’équivalent de » rien du tout « – par conséquent pour vous[21] toutes les cinq semaines l’équivalent de » rien « et si vous étiez allée un peu plus loin dans votre raisonnement -(ce que le « docteur » Marcel ne s’est pas donné, lui non plus, la peine, alors qu’il aurait dû, car payé entre autre[s] pour comprendre / déduire cela)- que j’étais sevré du Risperdal 25 mg au moins depuis cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit -[depuis]- février 2014 -(soit plus de trois ans -[sevré !])- alors que nous étions en avril 2017 ! -(Pourquoi, alors que j’ai, depuis 2013 totalement arrêté de communiquer à travers Espace et Temps -(avec l’époque qui est, [nous l’avons à peu près tous vérifié avec moi vos dévoués serviteurs], à vingt-sept ans de la nôtre dans le passé, donc que je ne gêne plus aucun voisin[s] sauf aux rares moments que j’ai admis – mais eux non plus -(ces moments), vous l’avez reconnu, ne peuvent être considérés comme devant compter pour décider d’une hospitalisation puisqu’il s’est agi d’un peu de bruit chez moi à un ou deux moments : de rires, et que vous avez reconnu qu’on n’hospitalise pas pour ça, sauf qu’on prévient la personne qui rit qu’il vaut mieux pour elle de faire moins de bruit après dix heures du soir, ce qui fut le cas)- et que nous avions mis au point mon sevrage avec madame Koechlin pour me permettre de faciliter l’écriture de mes différentes lettres urgentes à des personnalités importantes -(les présidents de la République française, les Papes -(car il y a le pape allemand émérite en même temps que le pape François, officiel), etc. – soit des personnes que j’ai cru devoir avertir, dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs -(soit d’empereur + bouddhahs[22] et qui sont ou devraient être, ces personnalités, un peu comme mes pairs, donc en relation avec ma personne d’empereur et de bouddhahs, soit d’eanmeailleurs)- pour tenter de leur expliquer ce qui s’était passé d’absolument exceptionnellissimis…simissime avec mes apparitions sonores et visuelles dans le Ciel de 1967 et de 1977 -(synchrones avec les années 2005 et suivantes)- et, toujours à Rome, des années qui suivirent, voulez-vous donc m’obliger à continuer à prendre des médicaments alors que je venais de prouver depuis 2014 -(soit trois très longues années)- que j’allais de mieux en mieux puisque j’étais quasiment totalement sevré du Risperdal 25 mg, voire selon vous -(et ce » rien « que vous dites serait la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq et encore moins que rien toutes les sept semaines)- en toute cohérence -(avec votre « rien »)- totalement rétabli puisque pour vous et vos pairs demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, c’est l’équivalent un peu facile de « plus rien du tout » de ce « médicament » ! Je sais, vous exercez un métier dans lequel vous croyez

-(parce que le patient que vous avez en face de vous a été hospitalisé – donc en vous évitant de [re]chercher les causes les plus vraies concernant la genèse de cette hospitalisation qui grâce au doute souvent / parfois fécond -(quand il est employé à bon escient)- se révélera abusive / injuste comme ce fut pour moi le SPOK pour celle de 2017 – comme en réalité, sur un autre plan pour la plupart des précédentes -[hospitalisations] me concernant, sinon toutes -(si on tient compte des paramètres qui existent pour cela, donc à un autre niveau de lecture comme celui où le personnel médical aurait été mis au courant du contenu de mes lettres et de qui j’étais puisque nous étions en train de vérifier que tout cela s’était passé dans le Ciel de vingt-sept ans auparavant comme, la première fois avec moi déjà né sur cette planète de trente-sept ans auparavant, par conséquent que c’était pour tous de l’histoire ancienne -(H. A.)- dont l’issue était déjà connue autre-part dans le futur, par conséquent qu’il convenait de s’abstenir de m’hospitaliser –[étant aux moment où furent mes apparitions dans le ciel et ces communications en légitime défense de mon anneau de mariage immatériel immaculé, par conséquent de mes enfants qui étaient alors virtuels et dans l’exercice de mes fonctions -(me découvrant à cause de ces transmissions me métamorphosant progressivement en eanmeailleurs)- au service du Bien et de l’Intérêt Général]- étant donné que tous étaient au courant depuis avant même ma naissance en 1963, mais aussi à partir de 1967 et de nouveau à partir de 1977 qu’il s’agissait de Démonstrations d’une personne, (ma personne), qui serait contrainte à recourir -[dans ce SPOK ou cet « ou bien » -(au sens resnaisien –[S. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais]- de ces termes développés dans ses films intitulés Smoking et No Smoking)- de la Création]-  canoniquement à une amnésie d’un paramètre très important -(central dans mon existence) : celui d’avoir été fiancé / promis à une jeune fille de laquelle il/j’attendais.t une descendance autrement vue une ascendance !)- alors que depuis 2005 à 2013, j’étais, avec mes Avertissements et la Grande Dictée à travers Espace et Temps dans l’exercice de mes fonctions de devenu le premier eanmeailleurs de l’histoire de l’aventure humaine [H. A. H.][23] au service de toute l’humanité), 

avoir le droit de prescrire des médicaments -(et dans lequel –[métier]- on vous présente des personnes qui ont été hospitalisées, pourquoi ne vous posez-vous pas la question de savoir si, du point de vue du patient -(le premier concerné)- l’hospitalisation est véritablement juste ou/et tout-à-fait légale en conscience -(bref n’avez pas vérifié si en conscience les procédures pour m’hospitaliser étaient tout-à-fait justes et/ou entièrement / tout-à-fait admissibles ? (S’il n’y avait pas moyen de l’éviter complètement et de façon très simple en ne montant pas en épingle ce qui s’était passé pour en profiter -(au sens négatif de ce mot dans ce SPOK – voire si cette hospitalisation n’aurait pas été faite de façon abusive à l’aune d’autres informations que vous devriez avoir la curiosité de rassembler / glaner au sujet de n’importe lequel des patients parceque[24] vous avez le devoir de vous imposer le doute très honnêtement et faire ainsi, avec de la distance, l’anti-thèse de la situation dont vous héritez et ainsi infirmer -(voire au contraire confirmer si vous finissez aux termes de vos recherches par croire que cette hospitalisation avait à plus de cinquante pour cent le droit d’avoir été)- les motifs de l’hospitalisation qui, à premières-vues -(seulement àpremièrevue[s] !)- à l’air d’avoir des motifs valables du moins du point-de-vue de vos confrères antérieurs (vous ayant passé le relais avec ce patient / client)- et consœurs dont vous vous devez – vous le savez - de garder distance -(en raison de ce que vous êtes Médecin soit que vous recherchez comme moi la Vérité ou/et les causes des maladies pour ainsi plus facilement les guérir, nous en défaire)- puisqu’il se pourrait –[il y a des probabilités pour cela]- qu’ils se soient trompés au moment des faits ayant peut-être agi dans le SPOK en question -(comme peut-être dans beaucoup d’autres -[dans l’un ou l’autre des SPOK traités], avec trop de précipitation[s] voire pire, hélas infiniment hélas, en, dans mon cas, violant mes responsabilités car quand ces hospitalisations se sont produites j’étais en conscience dans l’exercice de mes fonctions - bref de ce qu’avait-on très véritablement – soit en toute conscience et/ou transparence avec le nouvel architecte de l’univers -(A+U = Ô), soit ma personne d’empereur [re]devenue, à partir de 2005, bouddhahs – le droit ou/et le devoir de les hospitaliser malgré l’existence de tous les paramètres[25], (dont, entre autre[s], celui de l’exercice de mes fonctions, par conséquent de ma légitimité à intervenir à travers Espace et Temps pour sauver notre planète en faisant de mon père le nouvel empereur de l’après-guerre), prouvant comme ici -(dans mon cas)- le contraire. 

Fichier audio n°26

C’est pourquoi vous révélez que vous considérez chacune des personnes qui sont des personnalités un peu, voire beaucoup différentes des autres -(voire de toutes celles rentrées dans le rang en ayant entre elles les mêmes croyances, voire acquis les mêmes préjugés parce qu’ils ne se sont pas imposés sur chaque chose le doute si fécond auquel vous m’avez dit vous êtes heureusement attachée)- voire -[différente(s)]- de vous comme -[virtuellement]- ayant besoin de médicaments -(et cela dites-vous sous prétexte qu’ils ont été hospitalisés –[et que cela signifie pour vous d’avoir, sans vérifier en Vérité -(et non en sentiments et subjectivités diverses mais au contraire de manière objective et catégorique, par conséquent de manière cartésienne, logique, rationnelle)-  le bien-fondé de cette hospitalisation -(ce à quoi se doivent les plus véritables médecins en collaboration avec le/a patient/e dont on sait combien il/elle pourrait être complexe d’innombrables paramètres liés au déroulement des moments de son existence, soit tous ceux que, par exemple, on étudie[ra] au cours d’une psychanalyse ou/et une auto-psychanalyse si le sujet est végétarien depuis longtemps), à continuer à prescrire une médication qui, si vous cherchez bien / mieux, était en réalité au départ, hélas infiniment hélas, arbitraire -(par conséquent impossible, car subjective et non en toute objectivité / Science[s] Exacte[s])- par chacun des médecins qui y eurent recours – sans avoir vérifié que les motifs qui sont entrés en jeu pour l’hospitalisation du patient dont vous héritez sont absolument valables et possibles en conscience au point que la totalité de l’ensemble des plus véritables psychiatres -(qui ne peuvent l’être que seulement s’ils parviennent à être des bouddhas par conséquent éveillés à penser alors en Vérité)- sans exception auraient fait la même chose en pareil[le] SPOK – ce qui est difficile à croire à mon sujet (quand on a été bien informé des détails de ma situation), voire si c’était le cas cette totalité de vos confrères et consœurs étant dans l’erreur une fois analysée la situation avec d’autres paramètres -[qui -(visiblement)- manquaient]- (comme tous ceux que vous savez écrits à partir de 2012-2013 dans mes lettres aux Papes et aux Présidents de la République, au cardinal Vingt-Trois et à etc.)- et comprendre l’erreur de ces confrères et consœurs étant donné que ce qui s’est passé pour moi depuis 2013 après mon avant-dernière hospitalisation avait, au contraire, permis de comprendre que je n’avais plus besoin de médications -(on le remarque ici aisément notemment dans cette lettre que vous lisez comme aussi dans les autres évoquées que j’ai écrites en étant -[de votre point-de-vue professionnel, donc qui devrait être en majorité objectif / rationnel, cartésien, etc. , donc fondé scientifiquement : structuré :]- comme sevré du Risperdal 25 mg -(car effectivement la plus grande partie de ces lettres écrites /publiées sur mon site chez free, même à l’heure qu’il est encore à l’état de brouillon[s], l’ont été à/sous demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, voire comme vous le verrez plus loin, finalement, toutes les sept semaines ! On remarque, (malgré les propos tragiques concernant la perte de mes enfants attendus avec S. A. I. S. S. S. S. P.  Christine … Lang)- que j’ai encore de l’humour ce que je vous ai dit avoir perdu en très grande partie avec le Xeplion 50 mg et le Risperdal 50 mg, soit avec cette dernière hospitalisation de 2017 tant la souffrance est à chaque instant à me torturer)- 

les incommensurables efforts de pédagogie je fais pour rendre le plus clair possible mes propos, malgré, à l’origine, on s’en doute, la complexité et la.es particulière[s] difficulté[s] de mon cas particulier vous le savez exceptionnellissimis…simissime)- 

que tout était rentré dans l’ordre 

-(grâce au sevrage en grande majeure partie réussi)- dès le mois de février 2014 – cette demi-dose de Xeplion toutes les cinq semaines). 

 

Mais, je ne vous apprends rien, car c’est évident, il faut / convient de compter sur tous les patient[e]s qui sont -[redevenu(e)s]- sains de corps et d’esprit en [re]devenant végétarien.nes -(ce qu’ils/elles étaient tous dans les premiers mois de leur respective enfance sans faire semblant de l’être pour se faire passer chacun pour un saint)- et n’ont plus besoin d’autres médications que celles de se nourrir plus justement ou sainement en végétariens, ce que j’ai vérif -[et prouvé sur moi-même -(en cobaye volontaire depuis ma naissance)]- à la longue permet -(puisqu’on cesse d’être les complices de ceux qui croient possible en méchant[s] faire le mal, malgré toutes les solutions alternatives élégantes végétariennes existantes)- d’accéder -(à plus ou moins long terme[26])- à la Conscience et pour suivre les rebonds du ricochet à partir de ce premier point, entre autre[s], à la Connaissance comme aussi aux méthodes pour à la longue, si possible, devenir omniscients –(ce qui ne peut-être que dans un Intérêt Général qui rejoint ici l’Intérêt Particulier sans pour autant devenir égoïste), etc. soit, grâce à ces paramètres / qualités constitutif.ve.s des meilleurs êtres humains, parce qu’on a enfin accès à la Vérité -[critique en ayant, par exemple, recours au doute -(qui parfois ou/et souvent est – vous avez eu raison de me le rappeler - dans certains SPOK : salvateur[27]]- sur tous les points, par conséquent à la bouddhéité, soit enfin à l’Éveil), 

 

En fait dans mon cas depuis que j’étais passé à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit en Avril 2017 depuis plus de trois ans quand le docteur Jean-Luc Marcel, (alors que j’étais à demi-dose de Risperdal 25 toutes les sept semaines depuis plus d’un an et demi, voire autrement-vu deux ans[28])de façon complètement arbitraire, incohérente, absurde, folle, méchante et en réalité impossible -[pour une personne qui se fait passer pour une plus réellement consciente parce qu’elle est censé exercer professionnellement la Médecine en tant que psychiatre]- en me faisant croire à des raisons -[pour motiver / fonder cette hospitalisation]- seulement à premières vues / entendues valables « à la réflexion faite » -[et non valables tout bien pe[n]sé] -(ce qui prend du temps[29] - c’est pourquoi dans ce genre de SPOK / situation[s] il convient d’écrire au patient pour lui donner le temps de la réflexion / de répondre, voire pour lui permettre de donner des explications antithétiques qui auraient plus de poids que tous les arguments en faveur de l’hospitalisation). En fait, celles d’un très véritable fou incohérent et subjectif car dénué du constant soucis -(soit ce qui est le propre des plus véritables Médecins)- de la recherche de la cause / Vérité la plus vraie / exacte

 

-(car probablement pour obtenir cela de lui, se nourrissant de viandes animales – ce que j’ai vérifié est la cause de toutes les formes d’incohérence avec la notion d’amour-du-prochain -[même si ce prochain est àpremièrevue[s][30] ici, un APIQH[31] car il a de nombreux gènes en commun avec ceux qui caractérisent chacun de nous les êtres humains qui, on a fini par l’admettre sont par certains aspects des animaux bien que les plus véritables soient heureusement dotés de conscience, ce qui permet beaucoup, comme de raisonner plus justement en se différenciant beaucoup des strictement animaux -(au sens de différents de l’espèce humaine)- car alors on peut créer des choses intéressantes pour tous grâce aux idées / pensées et cette conscience qui en est l’auteur, à qui on les devra]- car on est alors devenu complice de gens qui sont sans cœur pour/avec ces animaux pacifiques et inoffensifs quadrupède herbivore -[APIQH]- ne faisant pas de mal à une mouche qu’ils consomment en laipis par conséquent sans compassion[s} et respect[s] pour leur droit à la Vie et sans cohérence avec le mot d’Amour)- et non exclusivement végétales parce que lui -(le docteur Jean-Luc Marcel ou le contexte familiale dans lequel il a grandi enfant) - n’a/ont pas su faire comme beaucoup d’autres -(je viens de l’un de ces contextes, je sais de quoi je parle – j’ai eu tout le loisir de l’analyser et d’en subir les préjugés, voire les certitudes y compris à premières vues / entendues soi-disant « médicales »), plus intelligents la mise-à-jour en adéquation et en toute cohérence avec la réalité de notre époque sur le plan de l’alimentation, donc le plan culinaire, les diverses avancées de notre époque truffée de solutions alternatives élégantes -(les S. A. É.)- aux viandes d’origine animales des APIQH, soit celles qui proviennent en grande partie des animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes -(les APIHQ), soit des aliments qui ont pour toile de fond l’injustice ou/et le mal – et c’est minimiser à l’infini ce qui en réalité est)- 

 

avec toute la logique utilisée à l’inverse, donc en toute[s] cohérence[s]

-(à l’occasion de mon sevrage que la doctoresse Nicole Koechlin avait suivi au nom du docteur Marcel, donc pour le compte de ce dernier), 

 

celui-ci -(le docteur Jean-Luc Marcel)- a décidé -(avec la complicité de sa nouvelle recrue madame la docteure Adham)- de m’hospitaliser –(en mettant subitement un terme brutalissimis…simissime et sacrilègissimis…simissime -[par conséquent traumatisant]- à ce scientifiquement exacte sevrage, soit en anéantissant d’un seul coup tout le lent et patient travail de sevrage à mon sujet -[que]- nous avions mis en place avec son assistante la doctoresse Koechlin depuis 201-(encore une fois, un sevrage qui était pratiquement totalement terminé – voire selon vous[32], à vous[33] en croire, terminé depuis la délivrance de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines ! soit plus de trois ans)- ce qui m’avait permis de passer de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines à toutes les cinq semaines, soit à partir du 27 février 2014, soit plus de trois années avant cette malheureuse dernière hospitalisation d’Avril à début Mai 2017. 

Une hospitalisation, hélas, dictée par la haine que le docteur Jean-Luc Marcel nourrissait à mon sujet depuis que je lui avais en Vérité assuré -(à l’inverse de sa défaitiste croyance dans le fait que le mensonge soit partout sur toute[s] chose[s], ce qui est totalement absurde et incrédible[34] à l’aune de la quantité de réalisations belles et bien réelles et pour lesquelles la vérité en conscience a été employée pour en être les bienfaisants auteurs à travers[35] les êtres humains les plus lumineux et ouverts à l’apprentissage des sciences)- qu’il existe de très véritables sevrages à mettre en œuvre

-(donc une plus véritable Médecine, celle par exemple des sevrages logiques comme celui que j’avais essayé de mettre au point -[malgré la résistance de madame la doctoresse Nicole Koechlin qui scandaleusement révélait qu’au cours de sa carrière elle n’en avait jamais proposé à ses patients – ce qui m’a vivement inquiété pour ceux-ci qu’elle a donc fait/laisser souffrir des effets indésirables alors qu’elle pouvait les guérir en peu de temps en y -(à ces divers types de sevrages logiques)- ayant plus préférablement recours]- y compris à mon sujet en tant que cobaye et Grand Inspecteur et etc.)- 

en Médecine qui progressivement permettent aux patients de retrouver un état plus normal -(par exemple celui de quand ils allaient bien, donc celui d’avant le choc ou/et la cause qui les a fait apparemment àpremièrevue[s] dijoncter[36] ou/et sortir des habitudes et/ou convenances communes propres à chacun des individus que la société encadre, soit ces moments où l’on va découvrir qu’on est différent de tous les autres cependant qu’heureusement semblables sur quelques points en commun), ce qui était mon cas depuis trois ans 

 

–{[(après l’année 2013 des injections de substances chimiques du Xeplion 50 mg à des trop fortes doses, au point qu’il soit logique d’y remédier en affirmant que dès qu’un psychiatre prescrit un médicament neuroleptique quel qu’il soit, il ait d’entrée-de-jeu[37] obligatoirement à proposer plusieurs types de sevrages : du plus rapide

-(quelques heures, voire quelques jours : au maximum une semaine – ce qui est déjà considérable à l’échelle universelle -(quand on n’oublie pas de songer que Dieu a, selon les Écritures Saintes mis Sept Jours pour créer la plus grande partie de l’Univers sur Terre, ce qui pourrait être vrai et qui, si c’est faux, nous révèle cependant qu’une journée de Temps c’est, à l’échelle universelle, sûrement plus long qu’on ne peut penser dans notre condition de chétifs êtres humains ayant cependant acquis la conscience, par conséquent en vertu de celle-ci de devenus psychiquement illimités – ce que confirme par exemple la découverte de la pierre de Rosette pour Champollion réalisée par des personnes qui anticipaient sur l’avenir et le pire jusqu’à ainsi sauver l’écriture des hiéroglyphes par conséquent la civilisation égyptienne, si d’aventure on devait entre temps perdre cette solution alternative élégante -(SAÉ)- de l’écriture égyptienne, soit ce qui permettait aussi l’essentiel pour disposer de S.A.É. : de commercer avec d’autres systèmes de penser[38], celui qui grava cette pierre -(peut-être grâce à sa famille de nobles instruits)- ayant le soucis du Bien et de l’Intérêt Général à plus ou moins long-terme au point d’anticiper sur le tourisme de masse en Egypte -(voire des conquêtes militaires impériales)- en raison[39] des innovations / changements de/à Son époque)- par conséquent des gens les plus conscients, soit ceux qui savent compter dans différentes logiques et obtenir des résultats différents selon le nombre de paramètres pris en compte)- 

au plus longs -(une année ou deux, voire trois au très très très grand maximum au cours desquelles on baisse, au fur et à mesure, les dosages de ces « médicaments » d’une façon logique ces dosages en rapport avec le nombre d’heures, de jours, de semaines et de mois)- 

de concert avec le patient en faisant ainsi confiance à la partie encore saine du patient -(qui devrait finir par avoir le dessus et amener la guérison d’autant plus qu’on s’imposera alors médicalement -(pas seulement par Ethique)- de devenir végétarien.ne.s., ce qui est le remède des remèdes comme l’a proposé en Orient depuis bien longtemps Ses Éminences Altesse Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes le[s] premier[s] Bouddha). 

En effet, il devrait être totalement interdit de prescrire des neuroleptiques du genre/type des Risperdal ou/et Xeplion 50 mg et etc. sans, au moins, avoir proposé avec – ne serait-ce que pour rassurer le patient qui est dans l’effroi de l’inquiétude totale mais aussi à subir des douleurs incommensurabiliissimis…simissimes– avec au moins le médicament correcteur Artane -(je rappelle qu’il est très probable que pour Xeplion 75 mg comme pour 100 mg et au-dessus, l’Artane au dosage de trois fois 5mg par jour ne fait plus qu’un infiniment petit effet tant la souffrance que donne ces « médicaments » est atrocissimis…simissime et etc. à endurer, par conséquent impossible, voire difficillissimis…simissime  à vivre – mais c’est -[avec l’Artane]- toujours un peu mieux que rien)- plusieurs calendriers de sevrages différents -(donc à plus ou moins long/grand terme)– ceux des psychiatres qui ne le font pas étant considérés comme de dangereux criminels contre l’humanité -(en effet ceux-ci, comme tous les criminels et/ou voleurs, cachotiers n’ayant pas de bonnes raisons en conscience pour s’autoriser à l’être -(ce qui signifie que dans certains SPOK on a le droit de l’être), etc. obtiendront à leur mort, en raison de leurs agissements d’inconscients, voire de laipis, les plus tragiquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, tristissimissimis…simissimes et etc. réincarnations)- et cela parce que c’est seulement avec une élémentaire alimentation végétarienne et la psychanalyse, voire dans certains cas l’auto-psychanalyse -(par exemple s’il s’agit d’un patient déjà devenu végétarien)- qu’on peut soigner à plus ou moins long-terme la majeure partie de toutes les maladies psychiatriques / psychologiques qui ont pour origine le fait qu’on a voulu demeurer omnivore à tendance carnivore et cela malgré l’existence de toutes les solutions alternatives élégantissimis…simissimes des viandes ou/et chaires végétales), étant donné que j’ai pu vérifier sur moi-même et démontrer en tant que cobaye volontaire de ma naissance à mes quatre ans en 1967 et de 1967 à 2005-2020 en passant par 1977 que la plupart des maladies mentales qui existent sont liées au fait qu’on s’est autorisé, en Occident, à devenir plus ou moins incohérents

–(parce qu’on n’a pas pensé utile de faire une mise-à-jour en matière d’alimentation[s], tandis que continuellement sont apparus petit-à-petit -[grâce à des gens ouverts et admiratifs de la Nature nous les ayant fait découvrir pour les développer / produire en plus ou moins grande quantité comme les améliorer grâce au génie génétique – (G. G.)]- sur les marchés de nouvelles S. A. É. de légumes, salades et fruits, céréales, etc.)- 

au point de considérer l’être humain uniquement / seulement omnivore alors que l’état le plus juste et/ou cohérent des êtres humains est, pour gagner un jour possible le plus véritable Paradis, soit celui qui ne peut être qu’en Ethiquissimis…simissime, végétarien car j’ai pu vérifier et démontrer sur moi-même que cet état de végétarien permet plus ou moins à la longue de retrouver la conscience et par conséquent se guérir de la plupart des maladies, soit un des éléments fondamentaux autour duquel l’être humain devrait se développer sans pécher ou/et se construit pour un jour ou l’autre pouvoir aussi trouver le Saint-Esprit, par conséquent la Vérité sur tous les points dans la Cohérence elle-aussi finalement retrouvée en soi grâce à l’existence de cette conscience en soi – aussi c’est parce qu’on s’est autorisé dans certaines rRégions du monde à tuer les APIHQ -(animaux pacifiques-et-inoffensifs-herbivores-quadrupèdes-ne-faisant-pas-de-mal-à-une-mouche et les autres -[animaux]), en se prenant / comportant alors pour/comme des fauves et en -[les]- chassant, voire les élevant comme tels, qu’on a ainsi commis -[en pécheurs]- les premières injustices, ce qui rend alors très logiquement incohérent puisque la notion de juste existe en absolu sur bien des points -(on perd alors comme la plupart des ivrognes la cohérence dont notre âme disposait jusqu’à là en étant ainsi devenus de véritables -[petits]- amours)-  au point de ne plus croire que la Vérité ou/et le plus véritable Amour -[spirituel]- existent. Aussi la solution alternative élégante -(S.A.É)- pour soigner toutes les maladies psychiques est /était, comme depuis toujours, sera élémentaire car cela doit être aussi intellectuellement compréhensif par les moins intelligents -(par conséquent simple à comprendre)- c’est en effet la vérité du Bouddha : elle est en effet, -(je ne le répèterais jamais assez)- en réalité, élémentairement alimentaire -(oui ! [h]éé et/= [h]aï)- : il faut s’imposer de devenir végétarien[s] -(soit celui / ceux qui évitera, en leur devant protection en raison de ce qu’ils offrent comme utilité[40], de manger les animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes -[APIHQ]- mais aussi les poules et les poissons -[sans dents])– c’est avec l’amour véritable – soit par exemple celui du Christ - la seule chance de/pour finalement[41] faire retrouver à chacun sa -[propre]- conscience -(celle qu’on avait trouvée à l’âge de raison, ce qui nous a permis de tous progresser de manière logique à l’intérieur de plusieurs logiques dont celle liée à sa langue maternelle)- pour être enfin libre dans sa tête -(et délivré de la part animale, au sens négatif de ce mot qui, dans d’autres SPOK, en a heureusement du plus positif)- et surtout enfin comprendre tout -(chaque point : mot / catégorie avec, dès qu’on emploi le nom de celle-ci, une idée de son éventuelle démesure à l’échelle universelle)- même sur tous les plans qui concernent la géométrie variable -(donc selon le nombre de paramètres dont on tient compte)- par conséquent en vérité, car de cette manière, par ce choix des plus humaniste[s], on montre qu’on aime enfin l’Autre et les autres en Vérité -[et]- d’une façon reconnaissante pour tout ce que nous offrent par ailleurs de merveilleux ces animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes si utiles, d’autant qu’ils ne font pas de mal à une mouche -(comme c’est aussi le SPOK pour les gallinacés : poules, etc. qu’on a le devoir de protéger dans les fermes des animaux voraces et/ou prédateurs étant donné que ces poules nous offrent précisément en échange -[tacite, c’est-à-dire parce qu’en toute évidence convenu entre l’être humain et ces animaux]- de leur[s] sécurité[s] / protection[s]- la plupart des œufs qu’elles produisent ! Ce qui sur le plan de la conscience nous contraint à faire un choix drastique[42] / contraignant / énergique en nous interdisant fort logiquement d’avoir l’argent du beurre si on a déjà le beurre, par conséquent nous interdisant de faire un élevage de poules à des fins de boucherie / rôtisserie parce qu’on a fait un meilleur choix, celui plus respectueux de la Vie de ces poules -(et si on a pas de cœur au moins en vertu du Droit à la Vie qui a été internationalement reconnu pas seulement pour les êtres humains comme à première vue ce serait le SPOK/cas mais aussi pour tous les animaux pacifiques et inoffensifs dont les quadrupèdes herbivores)- géniales à nous offrir leurs œufs -[y compris leur forme de mini-coupole[s] des deux côtés, l’une à l’inverse de l’autre – aussi c’est une sorte de coupole inversée qui permet, rangée  dans une boîte à œufs, de soutenir à l’autre extrémité de l’œuf une autre forme de coupole similaire[43] la tête en bas - pour célébrer la Pâques en chocolat(s)]- en échange de leur protection à la ferme). C’est pourquoi en défendant ces poules / canards / oies / autruches[44], etc. en légitime défense des animaux prédateurs, l’âme humaine

-(se contentant de consommer les produits laitiers, ces œufs et la laine avec toutes les autres variétés d’aliments dont les céréales, les riz, les pâtes, les lentilles et les végétaux comme les fruits, et etc.)- 

en toute cohérence avec le mot d’Amour -(qui, on le sait, est -[l’âme de]- (à) l’origine de la Création, ce qui, par exemple, nous contraint à respecter et servir le vivant pacifique et inoffensif, soit aussi, à première vue[s] les plus faibles et aider les persécutés, ce qui est être plus véritablement au service de l’» amour du prochain « en retrouvant aussi/ainsi la Cohérence, une fois[45] végétarien[s] -(l’être humain dans certaines régions de notre planète ne pouvait plus très véritablement aimer son prochain dès qu’il a cru possible manger des HAPIQE[46] -(: herbivores animaux pacifiques et inoffensifs, quadrupèdes et etc. :-[les autres animaux du même genre])- ne faisant pas de mal à une mouche, en donnant ainsi libre cours aux premières injustices qui ont été à l’origine de nombreuses incohérences voire d’absence de sentiments[47] valorisant[s] / respectueux de la différence des espèces  dès qu’il a trouvé normal de manger l’un de ces animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes et etc. -(APIQHEGP)- et/ou ces gallinacés ne faisant pas, non plus, de mal à une mouche, comme ces poissons sans dent[s] dans leur bouche qui ne détestent pas, par gourmandise, (au lieu de se l’interdire pour éviter la mort), manger les mouches mortes au bout des hameçons, ce qui, nous le savons, permet alors de les pêchers[48]). Car il convient d’être logique[s] / cohérent[s] avec cette nécessité que nous éprouvons, grâce aux textes les plus sacrés, d’essayer d’aimer notre prochain, (où donc cela commence de l’aimer ? Comment lui prouver qu’on l’aime ?, etc. sinon en respectant, voire protégeant son droit à/de vivre)- voire à cause de ce merveilleux projet ayant pour auteur, entre autre[s], le « génie du christianisme ». 

Les autres espèces des animaux pacifiques et inoffensifs -(A.P.I. - ici on reste anglais : se prononce donc en français comme happy - dont les herbivores – voici le h ! - quadrupèdes -(ce qui donne H.A.P.I.Q.)- et bien sûr tous les autres animaux du même genre[49]), ce qui doit être le SPOK, car avec ces animaux pacifiques et inoffensifs dont les herbivores quadrupèdes ne faisant pas de mal à une mouche, [(comme l’ensemble des animaux -(produisant des œufs) -[comestibles pour les êtres humains]- et les poissons sans dent[s], en chemin eux aussi vers les réincarnations en l’un ou l’autre de ces animaux pacifiques et inoffensifs dont les herbivores quadrupèdes ne faisant pas … et ou les insectes pacifiques et inoffensifs -(I. P. I.)- à/de l’être humain)], il s’agit avec ces herbivores en réalité des éta[pe]s par lesquelles nous sommes tous passés en tant que réincarnations avant d’obtenir l’autorisation -(par le Système en entier, à notre mort, au moment de la pesée de l’âme quand nous ferons le bilan de notre passage sur Terre en tant qu’être humain)- de se réincarner en tant que l’un ou l’autre des êtres humains, dont la finalité est, bien sûr, celle de continuer à évoluer, c’est-à-dire grandir -(s’élever)-, si possible en sagesse[s] et exemplarité[s] diverses, par conséquent  progresser pour les autres pour devenir à notre tour l’un des éveillés par acquis de conscience, soit l’un des bouddhas d’amour pur pour être utile[s] à tous -(et, par les travaux / peines qu’on s’inflige essayer de délivrer autrui de sa part animal -(au sens négatif de ce mot qui en contient dans d’autres SPOK heureusement du plus positif)- et cela dans l’exercice de nos fonctions / activités / compétences / talents / savoirs / etc. en raison aussi, une fois qu’on a accès à sa conscience de la multiplicité de nôtre âme / personne / personnalité – c’est alors qu’on comprend beaucoup mieux des expressions comme » les Léonard de Vinci « , » les Michel-Ange « , » les Beethoven « , » les Mozart « – car il y en a eu au moins un de Mozart sur/à chacune des notes / seconde de Musique[s] écrites de sa/ses mains (en réalité il y en avait au moins vingt-cinq par seconde si on ne cherche pas à faire un ralenti -(ce qui peut porter à des milliers, voire plus encore, par seconde – cela dépend de la qualité du ralenti qu’on veut obtenir), donc, dans ce SPOKE les peines pour écrire chaque note de la main de Mozart étant, par leur rapport entre elles à l’origine de  merveilleux moments étant à l’origine de nombreux accords, soit pour leur[s] auteur[s] -(les Mozart), de changement[s] importants dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- donc au moins un Mozart chaque fois un peu différent à mesure qu’il avançait dans la création de ses œuvres – comme »les Shakespeare «, » les Victor Hugo «, » les Molière « , » les Le Corbusier « , » les Hergé « , » les Rossini « , » les Verdi « , les » Walt Disney «, » les Luc-François Granier «,  et etc., » les Fénelon «, » les Rousseau «, » les Châteaubriand «, …   et on comprend mieux aussi ainsi que les acteurs veuillent jouer, au cours de leur carrière, de nombreux rôles différents, voire de nombreux personnages différents car certains d’entre eux ont pris conscience de cette multitude de personnes différentes de la leur qui étaient en elles au point de croire possible les représenter / révéler au public par le truchement de leur art -[et]- grâce aux responsables des écritures / partitions -[des  auteurs / scénaristes -(comme » les Goethe«, » les Racine «, » les Goldoni «, etc. )]- qu’ils représentent)]} !

 

Parmi les autres effets secondaires indésirables, il faut vous signaler qu’il y a aussi une dermite séborrhéique dont je souffre aux coins de ma bouche, mais aussi sur le nez comme au-dessus de la paupière de mon œil gauche comme aussi au-dessus de l’arcade supérieure de mon œil gauche -[ce gauche, évidemment de mon point de vue[s], par conséquent pour vous, si vous me regardez, mon œil droit])- qui contraint à passer quotidiennement, après rasage, la pommade du Kétoderme 2% dont je vous remercie de l’avoir prescrite -(ce qui m’évite d’aller chez ma dermato – ce qui à la longue devient une perte de temps importante d’autant que c’est à chaque fois pour me prescrire cette pommade et le shampoing que vous savez avec le Dermoval. Vous pourrez vérifier dans les pages que j’ai mises à la fin de ce texte concernant les effets indésirables du Xeplion 50 mg que les éventuels problèmes dermatologiques ont été signalés, au point qu’on puisse effectivement me compter dans le nombre de ceux qu’on connait qui en sont affectés - aussi vous noterez que dans mon cas je les ai surligné en jaune vers la fin de la lettre puisqu’ils sont et/ou ont été. 

Fichier audio n°27

En effet si j’oublie un jour ou deux de mettre la crème cela me donne envie de me gratter la figure aux endroits indiqués mais il se pourrait que le jour venu, avec moins de Xeplion dans le sang, voire une fois totalement sevré du Xeplion comme je l’étais du Risperdal 25 mg, et avec une cure de soleil, je puisse guérir de ces problèmes dermatologiques car ils sont liés, eux aussi, au Xeplion 50 mg, ce que personnellement j’ai acquis comme certitude – car ces problèmes dermatologiques sont apparus durant mon hospitalisation et après -(vous verrez ils sont signalés comme de possibles effets indésirables dans la notice d’accompagnement du Xeplion). Aussi il y a la majorité des probabilités pour que le Xeplion 50 mg soit effectivement en cause de ces effets indésirables sur le plan cutané. Et je vous le disais, j’ai vérifié : il y a effectivement des effets indésirables dermatologiques qui sont bel et bien inscrits sur la notice du Xeplion 50 mg. Comme j’ai consulté cette notice et les informations sur les effets indésirables du Xeplion 50 mg, j’ai pensé à vous faire plus bas, vers la fin de cette lettre, une copie de la liste de ces effets indésirables en vous surlignant en jaune phosphorescent tous ceux qui me touchent ou/et m’ont concerné comme ceux sur le cuir chevelu de ma tête. Ici aussi sans le shampoing que vous me prescrivez régulièrement aimablement je serais à me gratter constemment -(c’est bien grâce à ce shampoing et à ce Dermoval qu’on a atténué les effets indésirables du Xeplion 50 mg sur le plan dermatologique ! Mais encore une fois, il aurait mieux valu ne pas me prescrire de Xeplion 50 mg, ni même celui de 25 mg, soit me sevrer complètement -(comme vous avez reconnu implicitement que je l’étais, en réalité vous allez le comprendre depuis trois ans !)- pour que ces derniers effets indésirables comme les autres ne se manifestent plus et c’est pourquoi j’insiste sur la nécessité de mettre une fin -(à la prescription du Xeplion)- du jour au lendemain si possible ou alors si vous craignez quoi que ce soit, malgré mes dires rassurant[s] de Grand Inspecteur, vos dévoués serviteurs S. E. A. I. S. S. S. L. P. E. B. E .[50] eanmeailleurs -(soit votre empereur et vos bouddhahs à qui on doit -(ainsi qu’à d’autres que moi)- la plupart des bienfaits qui nous entourent depuis -[au moins]- 1967 et 1977 et les autres, à l’occasion de mes réincarnations précédentes)- qui affirment qu’il n’y a, -[après trois années -(de 2017 à 2020)- sacrilègissimis…simissimes et martyrisantissimis…simissimes et etc. à mon sujet en raison du Xeplion 50 mg]plus aucun danger pour que je ris de nouveau trop fort chez moi après dix heures du soir -(la leçon -[de mon hospitalisation de 2017 à ce sujet -(de mon rire)—(comme en raison du volume de la radio une fois ou l’autre trop forte, [comme de ce que j’ai eu une journée de retard pour faire mon injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines[51]]- ayant, parait-il -(aux dires de madame Koechlin)- dérangé mes voisins], ayant porté ses fruits car je ne dérange plus mes voisins en veillant constemment à ce que cela ne soit plus jamais[52]), voire que je mette à la radio ou à la télévision le volume trop fort -(ce que madame Koechlin m’avait reproché à deux reprises durant l’année 2016, ce qu’elle m’avait dit avoir su et que vous m’avez [r]assuré ne pouvant pas être des motifs valables pour être à l’origine d’une hospitalisation à Sainte Anne

-{[(cependant ce sont les arguments qu’on a utilisé comme motif[s] pour justifier cette ultime hospitalisation à cause de mes rires et volume trop fort dans les paroles dites à haute voix au cours de la poursuite de mon auto-psychanalyse parfois au-delà de dix heures du soir et bien sûr on doit imputer ces incartades comme des effets d’un oubli momentané de ce qu’il y aurait des gens derrière les cloisons du lieu dans lequel on vit – il appartient alors aux victimes de s’adresser à ceux/celui/celle qui en sont/est à l’origine en leur disant de baisser le volume 

 

-{[(ce qui n’a jamais eu lieu dans ce SPOK –[dans mon cas], aussi je m’étonne de ce que madame Nicole Koechlin l’ait su -(comment l’a-t-elle su vraiment? puisque personne de mes voisins ne s’était plaint directement à moi-même pour faire cesser cette gêne -[ce que j’aurais évidemment aussitôt fait en m’excusant de ces momentanés oublis]- comme moi-même aussi j’aurais pu le faire à ces voisins certaines nuits, voire certains jours, à cause de leurs respectifs bruits, par exemple au-dessus de mes plafonds et des bruits – il est vrai plus rares – derrière la cloison de mon bureau dans l’appartement d’à côté]) –[la personne – moi, en l’occurrence - n’ayant très probablement pas fait exprès -(je vous le répète, il s’agit, à force de travaux intellectuels -(comme l’écriture de cette lettre et à l’époque de ces lettres dont nous avons parlé en étroite liaison avec mon auto-psychanalyse à haute voix qui a commencé en 2005), d’un oubli momentané des autres au profit de mes progrès / avancées / travaux qui, vous vous en doutez sont de ceux qui alors, parce qu’on est concentré sur eux, nous abstraient puisqu’ils nous isolent momentanément -(comme la réalisation de quelques-unes de mes vidéo, soit les cadeaux de mes découvertes sur les divers plans esthétiques que j’approche / explore). 

 

Cela arrive même aux plus saints d’entre nous tous quand ils sont concentrés à l’un ou l’autre de leurs travaux, à moins que ces bruits ou/et gênes acoustiques soient une priorité pour le Bien et l’Intérêt Général : donc à moins que cette personne – moi, en l’occurrence – [je le répète :] -(dans ce SPOK) - ait de très bonnes raisons – valables en absolu y compris pour le G. Ô.[53] - d’avoir ainsi un peu dérangé le voisinage à ces heures destinées, on le sait, normalement au repos de chacun

 

–[(c’est par exemple, qu’une fois, pendant la nuit il a été question d’un scoop, soit d’une découverte plastique qu’il m’a été donné de faire -[en Arts et Sciences de l’Art -(cinéma-télévision-audiovisuel-…), ma spécialité à l’Université de la Sorbonne dont je suis docteur et où j’ai enseigné peu de temps], d’Intérêt et pour le Bien Général dont j’ai eu l’idée et qu’il a fallu, pour éviter de la perdre, tourner sur le champs en commentant à haute voix les images ainsi réalisées ce qui a peut-être fait un peu de bruit ces commentaires – mais en Vérité je ne pensai pas avoir dérangé – cependant qu’il est vrai j’ai entendu des coups au-dessus de moi au plafond, ce qui m’a contraint à me presser d’arrêter cette vidéo plus tôt)]- 

 

comme ces dérangements sonores peuvent, on le sait, par exemple, avoir ailleurs, pour origine le cas/SPOK d’un bébé qui crie trop fort parce qu’il voudrait être changé, voire durant la journée quand une personne gronde un enfant chez lui croyant ainsi mieux l’élever à l’occasion de ce qu’il prend pour une bêtise – alors qu’il se pourrait -(sur d’autres niveaux de lecture de la réalité)- que cela n’en soit pas seulement une -[de bêtise], mais de la matière à penser parce qu’il y a, comme ce fut mon cas à partir de 2005 jusqu’à 2013 

 

–[(à l’occasion de mon déménagement pour mon adresse actuelle où je m’occupe de mes écrits, des nuages à ar[t]chiver – art comme ar[t]chivage- en tant que réalisateur vidéo comme aussi de mes trouvailles / découvertes des cheesomeletArt et des butterArts, mais aussi d’autres images que je juge utile de partager)], 

 

à transmettre à travers Espace et Temps des informations vitales pour l’Ensemble coincé dans les années 1977 et suivantes heureusement synchrones avec les années 2005 et suivantes, en mettant ainsi -(avec ces transmissions à travers Espace et Temps)- un point final à la Seconde Guerre Mondiale comme à la Guerre Froide et en sauvant rétroactivement grâce à ces Avertissements et Interventions de la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale, plusieurs époques -[synchrones entre elles]- de la Terre -[car / d’autant plus que j’étais en légitime défense de l’Ensemble y compris de moi-même, de ma famille et de mes fiançailles, par conséquent des enfants que potentiellement j’attendais dès ma conception, voire de ma naissance, parce qu’ils étaient alors en toute logique virtuels comme à cause de cela mon mariage et cette virtuelle descendance -(voire autrement vue ascendance)- donc dans l’exercice de mes fonctions eanmeailleuriales – d’eanmeailleurs, soit celles d’un empereur devenu bouddhahs -(un éveillé, enfin capables de répondre de ses dires, actions et/ou pensées et/ou calculs d’Intérêt Général: en un mot responsable)- par acquis de conscience, soit au très réel service du Bien et de l’Intérêt Général !)]}, 

 

voire de se plaindre à la police si cela devait recommencer trop souvent – c’est alors que la/les personnes à l’origine de ces nuisances sonores comprennent qu’à l’avenir elle[s] a/ont à baisser le volume de leurs émissions de sons ou/et de bruits – elles reçoivent à cette occasion un avertissement – ce qui n’a pas été le cas pour moi par la police y compris parce que madame Koechlin ne m’a pas montré cette plainte qu’elle aurait eu à mon sujet de la part de mon voisinage s’étant adressé à la Police, voir directement au centre médico psychologique -(C. M. P.), cependant j’ai fait comme si ce qu’elle me disait pouvait être vrai, donc un avertissement et j’ai, à partir du moment où elle m’a dit cela, veillé à ne plus recommencer comme j’ai évité à mon tour de me plaindre des bruits que j’entendais au-dessus du plafond de ma chambre, voire de celui de la cuisine et des water[s] comme au-dessus de mon bureau, voire derrière la cloison, ce qui s’est, hélas pour mon confort acoustique, produit de nombreuses fois avant fort heureusement de cesser -(mais ce qui parfois reprend il est vrai peu de temps – j’estime alors qu’il doit bien y avoir de bonnes raisons qu’auraient ces voisins pour ainsi, sans le vouloir à dessein, donc sans le faire exprès, me gêner un peu et je renonce à me plaindre à eux de ces bruits alors que bien évidemment je pourrais et ainsi me venger d’eux – ce qu’évidemment je m’interdis). Aussi je pense, parce que ce voisin à au cours d’une période constemment fait du bruit – du genre de travaux chez lui - que cela ne peut pas être ce voisin au-dessus de chez moi qui s’est plaint à la Police -(si cela est vrai que ce fut)- à cause de ce qu’il/elle ne s’est pas gênée de faire du bruit à d’autres heures, c’est pourquoi j’ai déduit, dans mon entourage, qui cela pouvait bien être qui s’est plaint, cependant que quand je pense à la nuit en question où je fis cette vidéo que je commentai à haute voix en entendant ces coups de manche à balais au-dessus de moi pour me faire cesser, je peux croire que c’est mon voisin du dessus qui se serait plaint pour les autres fois (volume de la radio, etc. : mon auto psychanalyse à voix haute). Aussi je suis sûr qu’il s’agit d’une personne incohérente parce qu’elle s’est permise de faire à d’autres moments, pendant la journée, tous les travaux que j’ai eu à supporter dans mon bureau durant mes heures d’écriture – aussi face à autant d’inconscience je préfère m’abstenir de porter plainte car il se pourrait que la personne soit une de celle ne parvenant pas à comprendre son manque de logique, ce que je veux éviter)]}, 

 

ce dont je conviens tout à fait, mais ce qui malheureusement a été, à cause de l’incompétence et l’incohérence et la cécité intellectuelle du docteur Jean-Luc Marcel en matière de sevrages -[dont il n’a même pas tenu compte qu’il était en cours de finalisation et qu’il n’a pas voulu admettre en toute honnêteté effectivement réussi – comme c’était pourtant le cas - depuis au moins le mois de février 2014 -(dont il n’a rien voulu savoir ni prendre en considération[s] pour raisonner plus justement : un paramètre important qu’un sevrage sur autant de temps !)- en disant même qu’il n’y avait pas de Vérité en Médecine, pas plus que dans la réalité -(il y avait madame Adham de présente lors de cet entretien, aussi j’eus honte que des êtres humains masculins et qui plus est se prétendant médecin[s] soient capables à ce point de mentir)- alors que vous savez bien que celle-ci -(la Vérité)- existe sur tous les points sans exception[s] car sans la Vérité -(parfois il est vrai d’une complexité ahurissante / voire pour certains infernale, alors que pour d’autre paradisiaque)- rien ne serait possible en ce monde ou/et dans la Réalité). 

 

Aussi si vous ne voulez pas arrêter la médication du Xeplion d’un seul coup, abruptement, je vous demande de poursuivre par étapes le sevrage de ce Xeplion comme je vous le proposerai, voire comme nous le choisirons ensemble en raisonnant logiquement / justement de manière à ce qu’à terme je ne souffre plus jamais d’aucun de ces effets indésirables martyrisantissimis…simissime[s], cauchemardesquissimis…simissimes, insupportabilissimis…simssimes, douloureusissimis…simissimes, et etc.).

 

Je pense que vous comprendrez en voyant vers la fin de cette missive tous les points que j’ai surligné en jaune phosphorescent qu’il y a plus qu/d’une seule raison pour cesser totalement ce médicament du Xeplion 50 mg -(ou du moins comme je l’espère, à la lumière de cette lettre)- pour continuer le sevrage du Xeplion et passer -(car cela est vraiment très/trop long trois ans de souffrance à ce point insuportabilissimis…simissimes)- à, enfin, 25 mg pour continuer et commencer un sevrage du type de celui que j’avais mis en place avec madame la doctoresse Nicole Koechlin avec le Risperdal 25 mg, de manière à, le jour venu, de trois mois en trois mois, voire de mois en mois, ne plus avoir besoin de Xeplion 25 mg -(comme cela a été en réalité le cas pour le Risperdal 25 mg dès que nous sommes parvenus au cours de ce sevrage à- [la]- demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(ce qui a pris l’année 2013)- et cela si vous ne voulez pas tout de suite arrêter à jamais ce Xeplion 50 mg -(en comprenant ce qui s’est passé avec le docteur Jean-Luc Marcel qui, (voulant me conserver à tout prix comme malade –[pour pouvoir disposer des crédits pour rémunérer des assistants/tes en nombre plus important, voir suffisant, voire pour continuer à disposer d’un nombre d’assistant.e.s qu’il a réussi à, petit à petit, obtenir plus il a déclaré de gens à hospitaliser[54], comme pour cela, les a rendu malade en utilisant des doses trop importantes de médicaments[55] alors que dans mon cas, en avril 2017, j’étais très visiblement comme totalement sevré du Risperdal 25 mg à cette demi-dose toutes les sept semaines), n’a pas voulu poursuivre -(de mon point-de-vue objectif et en toute cohérence avec le SPOK)- la fin du sevrage au point même -(sans raison[s] valable[s] et par méchanceté sacrilège aveugle envers la Vérité scientifiquement exacte de mon sevrage), de croire possible m’hospitaliser de nouveau -(alors que j’étais depuis trois ans en pleine forme à/pour photographier, vidéographier, écrire mes lettres pour expliquer à ces personnalités le cas particulier de ma situation exceptionnellissimis…simissime), pour me faire souffrir et saboter ainsi le sevrage qui, dans les faits, était bel et bien réussi -(à vous en croire)- depuis que nous sommes passés à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(ce qui correspond à demi-dose de Xeplion 25 mg toutes les dix semaines !), c’est-à-dire, en 2017, depuis un peu plus de trois ans !  

            Fichier audio n°28

Donc quand le docteur Marcel m’a fait hospitaliser en Avril 2017 j’étais en réalité -(en raison du dosage de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines)- sevré depuis plus de trois ans, même si je faisais – en raison de mes inspections pharaoniques et bouddhiques, donc eanmeailleuriales - comme si j’avais toujours besoin de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, puisque j’espérais que Madame la docteure Koechlin -[comme -(ensuite)- avec Madame Adham, sa remplaçante]- comprenne[nt] d’elle[s]-même[s] qu’en toute logique il fallait passer -(depuis longtemps déjà !)- à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines, puis, trois mois après, encore une fois en toute logique, toutes les neuf semaines avant de mettre un terme définitif à ce sevrage. 

Aussi il faut comprendre que cette hospitalisation de 2017 n’aurait jamais du être puisqu’en réalité à ce dosage de la demi-dose de Risperdal 25 mg j’étais -[comme]- sevré depuis longtemps -(en fait depuis le 27 Février 2014, ce qui fait au moins trois ans en avril 2017, au moment de la plus que scandaleuse décision impossible -(car j’étais depuis longtemps sevré)- de mon hospitalisation injustissimis…simissime et surtout totalement inutilissimis…simissime comme sacrilègeissimis…simissime et insupportabilissimis…simissime et etc.). 

 

Les raisons données des rires et de la radio ou/et de moi parlant à haute voix durant la poursuite de mon auto-psychanalyse au-delà de dix heures du soir -(vous l’avez heureusement reconnu)- ne sont pas admissibles / bonnes pour justifier le bienfondé[56] d’une hospitalisation, ni celles des quinze heures de retard pour l’injection de la demi-dose Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(soit toutes les mille cent soixante-seize heures : 1176 – ce qui effectivement à l’aune de 15 heures fait bien comprendre que je pouvais me permettre encore une centaine d’heures – voire plus - de retard sans problème[s­]). 

Cette hospitalisation -(cet sorte d’emprisonnement sous couvert médical – bien qu’il soit préférable de ne pas confondre cependant que je l’ai vécu effectivement aussi comme si j’avais été mis à la Bastille[57])- fut réellement des plus abusive[s] -(ce qui est minimiser à l’infini et -[ce qui est]- au sens qu’elle fut imposée aussi arbitrairement que ça par le docteur Jean-Luc Marcel -(sans fondement[s] logique[s] et cohérent[s] très réels, soit objectifs, véritables et/ou admissibles car hélas infiniment hélas, le produit de la subjectivité de ce « médecin » et non de raisonnement[s] justes, donc sans bienfondé[s])- en abusant de la confiance d’alors mon tuteur monsieur Philippe Maraval qu’il a contraint à dire et inscrire que cette hospitalisation était à la demande de monsieur Philippe Maraval, par conséquent en faisant de mon hospitalisation » une hospitalisation à la demande d’un tiers «. 

Permettez-moi de vous rappeler que madame la Juge des Tutelles a rendu caduque la tutelle de monsieur Philippe Maraval depuis janvier 2019 et que mon statut a été remplacé par vos soins et ceux de madame la Juge par une curatelle renforcée avec monsieur Xavier de Montgolfier. Cela devrait signifier que mon hospitalisation de 2017 à la demande de ce tiers -(monsieur Philippe Maraval)- à qui on a enlevé ma tutelle depuis janvier 2019 n’est plus officiellement reconnue non plus. Aussi que cette hospitalisation à la demande d’un tiers est caduque depuis que monsieur Philippe Maraval n’exerce plus sa tutelle envers / sur moi puisqu’il n’a pas été reconnu comme digne de poursuivre sa tutelle de ma personne -(par conséquent aussi qu’il ne pouvait pas demander cette hospitalisation à mon sujet comme le lui fit faire le docteur Jean-Luc Marcel en ne voulant pas prendre en considération que mon sevrage était achevé / terminé depuis au moins trois ans pour égoïstement ne pas me perdre -[en tant que patient remis / guéri]). 

Aussi, puisque vous voyez bien que j’arrive à penser en toute cohérence et logique -(parce que je suis -[devenu]- végétarien, ce qui permet à plus ou moins long terme de retrouver la conscience en soi, donc, à terme, de raisonner enfin en toute cohérence et/ou correctement ou/et plus justement et objectivement dans le plus véritable Intérêt et pour le Bien Général)- comme je vous l’ai dit et demandé, vous devriez normalement -(en toute logique)- faire le nécessaire pour que cette curatelle renforcée devienne dans un premier temps une simple curatelle, si vous ne voulez pas encore, (comme je l’espère dans le plus véritable Intérêt Général et pour le Bien Général), à la lumière des éléments dont vous disposez enfin sur moi, préférablement pour tous constater qu’il est / soit grand temps, -(j’insiste : dans le plus véritable Intérêt Général et pour le Bien Général)- à la lumière de ce que vous comprendrez dans cette lettre et que vous commencez à savoir sur moi -(en raison de mes diverses réalisations y compris sous d’autres noms)- de me redonner la complète maîtrise -[financière]- de ma propre existence –(ce que j’avais commencé à rétablir entre janvier 2019 et juillet 2019 avant que monsieur Xavier de Montgolfier ait été contraint par Madame la Juge des Tutelles de/à prendre le relais), donc, d’une certaine façon la liberté sur ce point de la maîtrise de mes dépenses selon mes revenus en me dégageant de toute curatelle comme n’importe qui de normal bien qu’il soit vrai que je sois aussi très fortement handicapé que je le suis -(et il est difficile de se faire une idée de Ô combien)- à être le premier pharaon / empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à être devenu vos très humbles et dévoués serviteurs les bouddhahs eanmeailleurs -(soit à avoir eu accès à l/ma conscience et puis même, un peu plus loin / (après), à cause de ma progression et mes recherches, soit de mon évolution quotidienne, au Saint-Esprit, précisément grâce à cet acquis de conscience – cependant il est certain -[puisque cela a été le cas à partir de janvier 2019 jusqu’à juillet 2019, avant que mes économies n’aient été confiées aux mains de monsieur Xavier de Montgolfier]- que je peux bien me débrouiller tout seul financièrement en assumant moi-même la tutelle ou/et curatelle de moi-même et de mes biens, donc de ce qui regarde donc tous les aspects financiers particuliers / précis de mon existence – monsieur Xavier de Montgolfier pouvant vous rassurer que je ne ferai jamais de dettes -(mais plutôt le contraire : des économies, mais aussi de ce qu’il avait pu constater j’avais mis en place quand vous vous rappelez je fus plus de six mois sans tuteur -(par conséquent à première-vue[s] plus libre – sauf que vous le savez j’ai employé plusieurs mois à pouvoir accéder à mon compte courant postal – CCP – aussi j’ai pu constater qu’effectivement dans ce monde la liberté n’est pas possible sans CFPMD – crédits financiers propres et mérités de droit à tel point qu’en ayant pu le constater autant que cela, j’ai compris qu’en raison de ceux qui ont inventé ces CFPMD, il serait logique que dès la naissance de chacun des enfants un revenu financiers propres et mérités de droit minimum universel[58] de base soit dans un premier temps versé aux parents -[de ces enfants]- qui le géreraient jusqu’au moment où ces enfants sauraient le gérer mensuellement, par conséquent au moins libre[s] dans la limite de ces moyens financiers propres et mérités de droit – MFPMD. Évidemment il y aurait des conditions pour obtenir cela dont celle de se nourrir en végétarien[s] et de boire des alcools que très modérément, voire uniquement du cidre ou/et du poiré ou/et d’autres boissons comportant des degrés d’alcool à peu près équivalents comme certaines bières -(autorisées ou/et vin coupé d’eau). Ce serait donc un revenu minimum dont on serait logiquement assuré[s] en toute cohérence avec le Droit à la Vie qui a été officiellement reconnu)- avant que Monsieur Xavier de Montgolfier ait, désigné par la Juge des Tutelles, à s’occuper de moi pour assurer mon existence sur la base des revenus mis à ma disposition dans mon cas si exceptionnellissimis…simissime).

 

 Fichier audio n°29

Donc le docteur Marcel était furieux que le sevrage ait aussi bien marché avec son assistante Madame la doctoresse Koechlin

 

–{[(qui peut-être, autrement-vue, ne lui en aurait jamais parlé – ce qui signifie que c’est madame la docteure Adham qui a trouvé que je n’étais plus assez sous l’emprise des médicaments à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines dont elle héritait à mon sujet et que c’est elle qui n’a pas voulu passer à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines car elle avait compris que j’étais quasiment -[comme]- sevré -(voire comme vous que ce n’était plus rien, par conséquent que l’étape suivante cela signifierait encore plus/moins que plus rien et donc de me perdre comme patient, parce que en réalité guéri depuis au moins la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(madame la doctoresse Adham a probablement dû en parler au « docteur » Marcel qui s’est dit la même chose, par conséquent que cela allait devenir une mauvaise affaire pour lui et son assistante madame Adham si on passait à cette demi-dose toutes les huit semaines comme je le réclamai depuis des mois ! Aussi, pour ne pas me perdre -(puisqu’en réalité, si elle devait être de bonne foi, elle me savait -[quasiment totalement]- sevré, voire comme d’autres plus véritables médecins comme déjà sevré puisque ce n’était plus rien depuis au moins trois ans à partir de février 2014 soit de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines), elle a monté contre moi

 

-(qui l’avait prévenu comme je l’avais fait en son temps avec la doctoresse Koechlin[59] : qu’il s’agissait à travers mon cas aussi d’une forme d’inspection[s] à son sujet : je lui avais donné un texte de moi à lire[60] qui résultait des inspections que j’avais faites de la doctoresse Nicole Koechlin en lui reprochant d’avoir fait trainer le sevrage -[que j’avais découvert elle n’avait accepté de faire que pour me plaire car en réalité je découvrais qu’elle ne savait pas les faire en toute logique médicale -(soit mathématiquement ou/et logiquement, ce que je lui ai proposé en bouddhahs -(mais aussi en qualité de son empereur) – soit celui-là même qui dans le Passé de cette planète a inventé cette solution alternative élégante [S.A.É.]- des sevrages en Médecine[s] - et qu’heureusement pour elle, elle a accepté de mettre en œuvre sous ma houlette), soit ce qui est le propre de tous les plus véritables médecins qui savent qu’en prescrivant la moindre médecine neuroleptique il va falloir dès que possible – ou si le patient souffre trop de l’un ou l’autre des effets secondaires indésirables de ces médicaments -  sevrer, par conséquent qu’à mes yeux elle ne pouvait pas être encore considérée » médecin « car tout véritable médecin doit savoir entreprendre toutes les formes de sevrages -(à géométrie variable, soit fort logiquement)- car il y a ceux à court, moyen et long termes, voire les intermédiaires donc entre court et moyen terme, mais aussi entre moyen et long termes -(c’est le patient qui choisit /sent celui qu’il croit possible supporter), ces sevrages étant évidemment obligatoires pour toutes les médications psychiatriques en raison des dangers très réels des effets indésirables qu’elles charrient tant physiquement que pour le cerveau de celui qui les consomme, par conséquent psychiquement])- 

 

le docteur Marcel, à moins que ce soit lui qui ait pris peur et ils ont trouvé la solution iniquissimis…simissime / scandaleusissimis…simissime / injustissimissimis…simissime, insupportabilissimis…simissime, invivabilissimis…simissime etc. de m’hospitaliser de nouveau -(en détruisant ainsi le patient sevrage qui avait pris tant de temps)- ce qui leur a permis de me prescrire de nouveau des médicaments martyrisantissimis…simissimes), à moins que cela soit lui -(le docteur Jean-Luc Marcel)- qui n’ait pas voulu me « perdre » comme[61]« malade »[62]  pour pouvoir continuer à me donner comme / en tant que patient à cette nouvelle assistante, madame Adham en comprenant qu’à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, j’étais depuis longtemps sevré, mais ce qui lui ferait un patient de moins s’il acceptait -(comme je le lui demandai ou faisais demander à chaque fois par l’entremise de Madame Adham – aussi il était au courant de ce sevrage)- de passer dès que possible -(ce possible a été le cas depuis un an et neuf mois)- à cette demi-dose toutes les huit semaines, voire toutes les neuf semaines, comme je le demandai en tant qu’objectif à atteindre pour mettre un terme définitif à ce sevrage en prédisant d’avance / avertissant qu’après trois mois à cette demi-dose toutes les neuf semaines, je serai totalement sevré -(bien que depuis la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, en Grand Inspecteur, je me savais quasiment -[comme]- sevré)- par conséquent plus du tout à considérer comme malade -(ce qu’en réalité je n’avais jamais été puisqu’à partir de 2005 j’ai retrouvé ma conscience et peu à peu avec elle ma mémoire et j’ai agi en conscience et en toute logique avec la situation que je découvrais être exceptionnellement la mienne – en fait, grâce à cet acquis de conscience enfin sur la bonne voie de la guérison en ayant ainsi mis un terme à la troisième partie de mes démonstrations en tant que cobaye  volontaire -(mais autremenvu[63] forcé en raison des paramètres spécifiques de cette mienne dernière réincarnation)- commencées ces démonstrations par le sacrifice de ma séparation avec ma fiancée S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et la renonciation aux enfants que nous attendions l’un de l’autre, soit ce sacrifice que tous les adultes et responsables de l’époque de 1977 avaient le devoir, en conscience, de refuser, ce qu’ils n’ont, hélas infiniment hélas, pas fait en étant donc chacun d’entre eux responsables rétroactivement de la crucifixion du Christ qui a été nécessaire de crucifier pour donner une chance à tous d’être sauvé), par conséquent un patient de moins de sûr pour son assistante qu’il croyait avoir la responsabilité d’occuper -(pour pouvoir justifier sur ce point de la demande de personnel soignant et des crédits qui vont avec) – d’où que le docteur Jean-Luc Marcel a pris la décision de m’hospitaliser pour ne pas me perdre comme patient dans ses statistiques lui permettant de justifier ses demandes de personnel et non pour des raisons médicales valables qui seraient liées à une maladie que j’aurais – en effet, je ne le dirais jamais assez, c’est dans l’exercice de mes fonctions de nouvel eanmeailleurs -(soit d’empereur devenu bouddhahs -[ce qui est la première fois dans l’H. A. H.])- alors que j’étais aux prises avec la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale dictée du ciel aux années 1977 qu’il a cru pouvoir interrompre, à partir de 2007, par plusieurs hospitalisations non consenties -(sans mon consentement)- cette Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne … à effet rétroactif -(que je faisais en véritable futur père de famille responsable, soit dans l’Intérêt et pour le Bien Général), soit ce que le docteur Jean-Luc Marcel n’avait pas le droit de faire puisque j’étais, (une fois encore) depuis 2005 dans l’exercice de mes nouvelles fonctions d’empereur-bouddhahs et que bien évidemment il s’agissait d’une urgence absolue pour, dans le passé où je me trouvais avec ma famille, sauver des époques prisonnières dans le Temps, soit celles des années 1967 et suivantes, mais aussi les années 1977 et suivantes). 

 

C’est donc en empereur devenu bouddhahs, soit en eanmeailleurs que j’ai eu à prendre l’initiative de dicter du Ciel la Nouvelle Nouvelle Donne en essayant ainsi par Charité et avec cœur de sauver le maximum de gens dans le passé puisqu’on m’y voyait et on m’y entendait dans le Ciel de Rome en 1977 et entendait dans le ciel de Paris en 1967 alors que j’intervenais d’avance -(en m’étant projeté dans le futur qui existe d’avance en vertu de la loi des conséquences)- depuis les années 2005 -(j’ai sauté sur l’occasion qui m’était donnée par cette Nouvelle Donne que j’avais – en étant en 2005 - donc vérifiée d’avance réalisée) – aussi vous comprendrez aisément qu’il n’y a aucune espèce de schizophrénie en moi puisque, je le répète, en devenant bouddhahs, je me suis une nouvelle fois -(comme ce fut le cas à ma naissance mais aussi à mes quatre ans en 1967 mais aussi à mes quatorze ans en 1977)- en 2005 débarrassé[64] -(grâce aux différentes peines que j’avais prises bénévolement)- à jamais de ma partie animale -(au sens négatif de ce mot)- pour devenir un pur Esprit, ce que j’ai prouvé et démontré est possible pour chacun d’entre nous si on devient végétarien pour éviter d’être complice de tous ceux qui font le mal en se conduisant méchemment envers les APIQH -(animaux pacifiques et inoffensifs quadrupèdes herbivores et c’est peu dire)]}-

 

(à cette demi-dose le Risperdal 25 mg toutes les sept semaines)- qui devait, depuis plus d’un an et demi, se décider à arrêter le traitement et à proclamer ma guérison -(car c’est bien depuis trois ans, soit depuis la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines que j’étais sevré en donnant ainsi toutes les assurances qu’on pouvait, sans aucun danger, arrêter de m’injecter toutes les sept semaines la demi-dose de Risperdal 25 mg !)- ce que le docteur Jean-Luc Marcel n’a, hélas pour lui, pas voulu faire, malgré mes nombreux avertissements / conseils. 

 

Car s’il voulait émettre un doute au sujet du bienfait de ce sevrage, le docteur Jean-Luc Marcel, au lieu de décider de me contraindre par la force de/à m’hospitaliser aurait pu/du

 

en toute logique et cohérence avec ce sevrage dont, sans avoir eu la curiosité scientifique qui s’imposait pour comprendre le mécanisme ou/et comment en réaliser un qui fonctionne justement -(ce que nous étions en droit d’attendre de lui)-, il était indirectement l’auteur -(en raison que c’était avec sa collaboratrice et assistante madame la doctoresse Nicole Koechlin que nous l’avions mis au point en toute[s] logique[s] et réalisé de manière cohérente bien que, de mon point-de vue d’expert -(car éveillé par acquis de conscience, donc bouddhahs[65] soit Grand Inspecteur)- en prenant beaucoup trop de temps – ce qui m’affectait en pensant que normalement j’aurais pu/du être sevré totalement aux alentours de Juin 2014 !), 

 

revenir à l’étape antérieure de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines, voire au grand maximum toutes les cinq semaines -(s’il croyait -[en Vérité[66]]- que je n’allais pas bien à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, ce qu’il a soudain essayé de faire croire quand il a appris, quatre années après ma dernière hospitalisation -(et trois ans après avoir été mis à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines)- que j’étais à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines depuis si longtemps –(en dévoilant qu’il était une personne qui d’une part ne connaissait rien à la plus véritable Médecine fondée, entre autre[s], sur la science des sevrages et d’autre part qu’il ne supportait pas la vérité des sevrages réussis en Médecine -(car c’était devoir admettre que les guérisons sont possibles, donc que c’est bien la Vérité et la Vie qui gouvernent tous les Univers et non la mort comme certains, hélas infiniment hélas pour eux se sont abaissés à le croire)– cependant, pour confirmer tout ceci, cela s’explique car je me souviens que devant madame Adham -(comme déjà dit dans la note de bas de page), il nous a dit que la Vérité n’existait pas, ce qui m’a bien sûr fait réagir – en effet si la Vérité et les vérités relatives n’existaient pas, il n’y aurait jamais eu la moindre Vie et solution[s] alternative[s] élégante[s] qu’on peut voir et/ou entendre, voire toucher, goûter, sentir, découvrir autour de chacun d’entre nous y compris en nous -(ni tous les moments de chacun d’entre nous où la santé est/fut/sera bonne)- ni la possibilité de penser justement en toute cohérence dans chacune des vérités relatives, soit sur tous les points ou/et toutes les catégories sans exception. Aussi je découvrais avec le docteur Jean-Luc Marcel que nous étions face à mécréant : un imposteur / usurpateur y compris en Médecine mais hélas aussi, il est probable, dans l’existence, un des laipis[67] n’ayant jamais réussi à accéder à la/sa conscience, voire l’ayant perdue peut-être quand il était jeune en raison de problèmes -[peut-être familiaux]- qui sait ? Voire des répercutions de la Seconde Guerre Mondiale dans son contexte familial).

 

Aussi ce docteur Jean-Luc Marcel aurait été au moins dans le respect du sevrage mis en place depuis 2013, en prescrivant une demi-dose plus importante en quantité de Risperdal 25 mg, ce qui aurait signifié, par exemple, de revenir à l’époque de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines ou alors au pire du pire -(cela aurait fait revenir en arrière à février 2014, soit trois ans avant, cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, ce qui avait été l’étape antérieure au dosage de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines -(soit le 25 septembre et 3 octobre 2014)- ayant duré du 27 février 2014 au 21 Août 2014 – soit  six bons mois)- dosage auquel j’étais depuis environ un an et neuf mois à la/cette demi dose de Risperdal 25 toutes les sept semaines -(ce qui évidemment m’exaspérait en trainant ainsi en longueur car, qui plus est, cela prouvait que la doctoresse Nicole Koechlin était sur ce point des sevrages une fausse doctoresse qui en fait n’entendait rien en matière de sevrage[s] logique[s], donc qu’elle dévoilait ainsi l’étendue de son incompétence sur ce point des fondamentaux sevrages, ce qui m’avait contraint à lui écrire vers le mois de juillet 2015[68] au sujet des fossés / douves / trous à infarctus car j’espérais sa collaboration pour prévenir le Ministre de la Santé -(ce qui était donc de son ressort puisque j’étais son patient)- étant donné qu’elle se prétendait médecin -(je n’ai pas pu vérifier ses diplômes -(cependant que le personnel du C. M. P. –(centre médico-psychologique l’a peut-être fait en son heure)- ni savoir comment elle avait obtenu, ce qu’à-première-vue[s] officiellement je n’étais pas non plus -(médecin patenté)- sauf qu’en temps que devenu les bouddhahs que nous sommes, soit en tant qu’éveillé par acquis de conscience mais aussi en ayant achevé mon auto-psychanalyse, je l’étais -(Médecin, même si je n’avais pas fait universitairement Médecine par ce que je n’étais que docteur en Arts et Sciences de l’Art -[cinéma – télévision – audiovisuel – etc.])- au point aussi d’être Peintre, mais aussi parce que je me souvenais de quelques-unes de mes/des vies antérieures dans lesquelles j’avais été Médecin au point à chacune d’entre elles de confirmer et fonder/confirmer d’une façon plus durable cette discipline, par conséquent de pouvoir en inspecter tous ceux se prétendant être devenus médecins sans avoir au préalable recherché à devenir des bouddhas, soit des éveillés par acquis de conscience, notemment indispensable pour exercer cette profession dont j’avais donc été l’auteur y compris de quelques-uns des remèdes dans les temps passés.

 

Je me rendais donc au C. M. P. dans l’espoir que madame la doctoresse Nicole Koechlin comprenne qu’il y avait à mettre un terme à ce sevrage – (on verra, hélas, infiniment hélas que ce fut l’effet inverse que j’obtint : elle me menaça avec d’autres médicaments de son point-de-vue à prendre –[ce qui n’était point le cas/SPOK]- en s’appuyant injustement sur des malentendus déjà anciens dont j’avais été victime de la part d’une des personnes s’occupant de ma mère[69]

 

--- note 69 : 

 

Voir ici / écouter fichier audio n°30 pour ma lecture à voix haute de ce qui suit

En effet ce personnel engagé par mes frères et ma sœur[70] m’avait interdit de venir rendre visite à ma mère à la suite d’un fait sans grande gravité que je vais essayer de raconter ci-dessous / après : 

 

Au début du temps où mon père était encore là, je venais quand je pouvais rendre visite à mes parents -(mais pas aussi souvent que je le désirais car je l’ai dit à partir de 2005 j’étais occupé à transmettre[71] à travers Espace et Temps aux années 1967 et 1977 et suivantes depuis chez moi, rue du Val de Grâce en 2005, synchrone avec ces époques du passé. Mais après la disparition de mon père, comme ma mère était seule[72] avec sa domesticité[73], je pris la liberté de venir lui rendre visite dès que je le pouvais[74] sans me rendre compte que ma façon de faire[75] gênait une des femmes s’occupant de ma mère). 

 

A la suite du fait en question qui s’est déroulé en 2015, pendant quelques semaines je n’ai plus pu me rendre chez ma mère[76] avant que ne soit décidé[es] que mes visites seraient deux fois par semaine une heure et demi[77].

 

Or j’estimai alors[78] qu’en raison de la proximité de nos domiciles respectifs –(d’avec celui de ma mère), je pouvais rendre visite plus facilement et plus souvent à ma mère que si j’habitais un autre arrondissement que le sien[79].

 

Or je ne m’étais pas rendu compte qu’en venant ainsi dès que je le pouvais[80](avec bien sûr l’autorisation tacite de mes frères et de ma sœur plus âgée que moi), j’avais, sans le savoir, causé un problème à l’une des aides de ma mère qui, sans m’expliquer pourquoi, a commencé à m’interdire l’accès de chez ma mère alors/bien que je la prévenais au téléphone à chaque fois de mon arrivée. Or quand j’appelai sur le téléphone mobile de cette domestique, elle me disait de venir ou de ne pas venir, ce que je faisais ; cependant il arrivait aussi[81] que passant devant le domicile de ma mère je sonne à l’interphone pour monter voir ma mère[82].

 

Donc, alors que j’avais prévenu de mon arrivée, il arriva qu’un jour je sonnai à la porte où cette femme m’ouvrit et ainsi dans l’encadrement de la porte d’entrée à l’appartement de ma mère, elle me dit que je ne pouvais pas entrer chez ma mère ce jour-là. Aussi j’ai dit à cette personne qui gardait ma mère[83] que je reviendrai le lendemain vers/à la même heure.

Mais quand je revins, une fois à la porte, elle me redit que je ne pouvais voir ma mère qui était, parait-il à cette heure-là – c’était une heure avancée de l’après-midi - encore dans sa chambre[84] aussi je dis à cette femme de ménage que j’allais attendre le lever de ma mère cette après-midi-là -(où/dans laquelle visiblement cela tardait)- dans le bureau et c’est alors que cette femme chercha à me fermer la porte d’entrée au nez sur moi encore dehors sur le palier. Aussi trouvant cela fort impoli -(et aucunement digne des manières de ma mère -[de recevoir]- qui, de plus, avait certainement plaisir à me revoir), me voyant sur le palier la porte fermée ainsi au nez, du palier je prévins cette garde de personnes âgées que je reviendrai le lendemain à la même heure, ce que je fis -(après en avoir averti ma sœur en lui racontant ce qui m’était arrivé).

Le lendemain, de nouveau, après avoir sonné, cette femme chargée de garder ma mère m’ouvrit la porte pour me dire la même chose -(que je ne pouvais pas voir ma mère qui était encore dans sa chambre à se reposer de l’après déjeuner)- et voulu de nouveau me fermer la porte d’entrée de l’appartement alors que je lui signifiai que j’allais attendre -(ma mère jusqu’à ce qu’elle serait levée)- dans la salle-à-manger-bureau. 

Pour toute[s] réponse[s] cette femme essaya de fermer la porte d’entrée de l’appartement alors que j’étais sur le palier -(mais avec ma chaussure au pied glissée contre l’un des montants au centre de cette porte, dans l’ouverture, j’empêchai que la porte ne se refermât devant moi et je poussai cette porte pour l’ouvrir -[et]- malgré le poids qui m’était, derrière cette porte, opposé par cette femme [et, alors qu’elle avait renoncé à m’interdire l’accès de chez mes parents[85] en raison de la porte que j’avais réussi à ouvrir], j’entrai).

Donc c’est avec mon pieds et ma chaussure que j’avais réussi à maintenir ouverte la porte d’entrée et en poussant avec effort[s] cette porte contre, derrière le battant, l’opposition de cette femme de ménage, à l’intérieur de l’entrée de l’appartement de ma mère. J’entrai enfin dans cette entrée, ce qui eut pour effet de faire fuir cette domestique dans le couloir menant à la cuisine[86] pour revenir vers moi[87] en me menaçant armée d’un long couteau de cuisine[88] et je me dis, en assistant à la scène [que j’avais devant moi], qu’il s’agissait certainement d’un coup de folie de cette serviteure[89].

 

Aussi, quand je la vis arriver vers moi ainsi armée, je pointai ma canne en bois -(dédiée / sculptée[i][90] à/en l’honneur d’Apophis)- vers elle et décidai à m’en servir en la mettant à l’horizontal pour parer les coups et donc me protéger à éviter ces coups de couteau qui m’attendaient. Aussi je voulu tenir la canne des deux mains, par conséquent prise à chacun des bouts dans chacune de mes mains, la canne ainsi à l’horizontal au bout de mes bras devant moi pour l’opposer à la verticale du long couteau pour rôtis. Celle-ci -(ma canne), bizarrement alors se cassa en deux parties de même longueur en s’étant fendu au centre de la canne en diagonal. Des parties qui étaient chacune un peu plus longues que la taille du couteau qui en avançant vers moi me faisait face, et je me trouvai soudain en possession, dans chacune de mes mains, comme d’une petite banderille sans ornement[s], donc avec les deux parties -[de cette canne]- grosso modo égales qui étaient devenues les instruments de ma légitime défense à opposer à ce long couteau armé d’une lame d’une trentaine à une quarantaine de centimètres ! J’avais ainsi deux armes -(en bois)- à opposer à celle en métal de cette femme de ménage pour personnes âgées qui visiblement ne s’y attendait pas de me voir aussi subitement armé, ce qui la fit alors reculer dans cette partie du couloir menant à la cuisine et à la bibliothèque de mes parents et j’avançai avec chacun des « couteaux » de bois pointé[s] sur elle en lui disant de me remettre le couteau qu’elle tenai-(car avec mes subit « couteaux » de bois je pouvais aisément la tenir à distance)- et de cesser toutes ces offenses sacrilèges à mon égard depuis la veille, ce qui, si elle n’y renonçait pas, pouvait mal tourner. En raison de ce que je ne voulais pas lui faire de mal, j’espérai qu’elle obéisse à mes ordres. Enfin voyant qu’elle n’aurait pas le dessus, mais plutôt qu’elle allait perdre la partie car j’avais ainsi de quoi me défendre, elle accepta de ranger le couteau -(qu’elle avait levé contre moi)- dans le tiroir de la cuisine où elle l’avait pris, ce qui fit que de mon côté j’abaissai aussitôt après mes deux « armes » en bois[91] en lui disant que j’allai attendre ma mère dans son bureau quand elle serait prête -(ce dont, de mon point-de-vue elle devait maintenant s’occuper l’affaire étant close). Une fois encore, en criant comme une folle[92], elle refusa que je reste chez ma mère à l’attendre et bien sûr après ce qu’elle avait fait, je ne l’écoutai pas me menacer d’appeler la police[93]. Quel culot[94] ! Aussi ces nouvelles menaces n’avaient pas prises sur moi et je ne redoutai pas la police ayant la conscience en paix car depuis mon arrivée chez mes parents les attitudes de cette femme avaient été bien sûr inacceptables / irrecevables / folles -(au sens malade du terme)- avec toutes celles menaçantes ayant cherché autant que ce fut à me tuer.

Aussi en lui demandant de se taire de divaguer de la sorte j’essayai physiquement de la mettre à la porte dans l’escalier de service pour qu’elle aille dans sa chambre située au septième étage -(en lui disant que pour aujourd’hui comme pour les jours à venir son travail chez ma mère prenait fin et cela sans avoir pris auparavant soin d’en parler à ma sœur ni à mes frères aînés. Mais on comprendra bien qu’une fois désarmée cette furie c’était mon devoir d’essayer de la mettre à la porte, aussi dangereuse que cette femme s’était montrée d’autant plus qu’elle refusait d’aller préparer ma mère à ma venue[95].

Mais qu’est-ce qui l’avait mené ainsi à me menacer comme à fermer la porte de chez moi chez ma mère ? Je ne le sus et pour l’instant encore je n’arrive pas à savoir pourquoi. Serait-ce le fait, dans l’incohérence de cette femme, que je venais de son point-de-vues trop souvent voir ma mère -(en la prévenant d’avance !), qu’à mon insu pour elle je dérangeai la sachant normalement à ne pas pouvoir dire non à mes propositions de visite[s]? C’est faible comme raison[s] pour une telle méchanceté. Impossible de savoir ce qui a pris à cette femme. Aussi je pris le parti de minimiser son sacrilège à mon égard cependant que le soir en question j’eus à en parler par téléphone à ma sœur étant donné que ne voyant pas venir ma mère, je décidai de rentrer chez moi. 

 

Dans les jours qui suivirent mes frères aînés et ma sœur aîné à qui j’ai raconté cela mais qui avaient d’abord entendu la version de cette garde de personne[s] âgée[s], prirent tout d’abord contre moi le parti de cette servante

 

-(alors qu’ils n’avaient que la version des faits racontés par cette femme avec laquelle il renoncèrent d’expliquer  - la sachant par certains aspects une ignorante au sens négatif de ce mot qui, dans d’autres SPOK, est plus positif - qu’en n’autorisant pas que je vienne plus souvent c’était un sacrilège envers mes droits et mes devoirs les plus sacrés de fils de ma mère, mais surtout un sacrilège envers ma mère qui aurait sans doute beaucoup apprécié chacune de mes visites même si supplémentaires chaque semaine à celles qui me furent finalement autorisées -[un mois après cet incident]- : ce droit de visite -[d’un fils à sa mère]- enfin rétabli aux moments où cette servante n’était pas au/en service de ma mère)-

 

au lieu de prendre le mien[96] car/mais ils avaient besoin de cette femme pour s’occuper de ma mère à d’autres heures où ils croyaient que je n’étais pas libre pour ce faire -(ce que j’ai proposé et qu’ils ont refusé). Ils prirent ensuite, avec la responsable de cette femme, ce parti de me proposer comme jours de visite ces deux jours du mardi et jeudi où je viendrai voir ma mère[97] en ne voulant pas comprendre que je pouvais très bien m’occuper moi de ma mère à la place de cette domestique, car, bien sûr, j’avais le droit de venir tous les jours m’occuper de rendre la vie de ma mère plus heureuse / agréable à vivre, par exemple, à l’aide de l’ordinateur que j’avais fait acheter à ma sœur pour elle / ma mère, voire de la télévision pour lui passer l’une ou l’autre de mes découvertes en vidéo ou/et mes photos, mais aussi en dessinant ensemble, voire en [re]lisant à voix haute l’un ou l’autre des livres de notre bibliothèque, etc : à d’autres activités qu’on pourrait s’inventer, comme écouter ensemble la musique à la radio.

 

Non, cette dame du personnel entourant ma mère appartenait sur ce point, -[(] celui de m’autoriser des visites supplémentaires à ces deux seules que ma sœur réussit à obtenir pour moi [)], aux sans cœur et aux égoïstes, au sens négatif de ce mot qui peut en avoir du positif dans d’autres SPOK / occasions et cet interdit de rendre visite à ma mère les autres jours de la semaine[98] à leur patron[99].

En tout cas cette servante aurait dû s’interdire d’empêcher ainsi mes visites à ma mère, ce qu’à l’inverse elle aurait pu autoriser pour de bonnes raisons d’humanité qu’elle m’aurait données si elle était à s’occuper de ma mère en bénévole -(c’est-à-dire sans être payée, par conséquent par amour véritable pour ma mère qui, par exemple, le lui aurait demandé, ce qui n’avait jamais été le SPOK/cas tant ma mère se comporte discrètement), 

 

Aussi on décida depuis lors, après un mois où je ne pus rendre visite à ma mère, que je ne viendrai que le mardi et le jeudi à dix-sept heures trente et cela a été pour ma sœur ou/et mes frères, acceptable comme programme pour moi. Ce qui est inconcevable est que ces aides aux personnes âgées ont cru avoir la voix au chapitre, alors que bien entendu, payées et nullement bénévoles, en raison de cela elles n’avaient pas le droit de l’avoi-(cette voix au chapitre)- sur ce point de mes visites à ma mère -(non de leur ressort mais de celui de ma sœur concernée en pareille situation), ce que m’a confirmé récemment ma sœur en me disant que j’avais bien sûr le droit d’aller chez ma mère quand je veux ou/et -[je]-le sens possible car pour ces femmes s’occupant des personnes âgées, dans l’appartement de mes parents et de mes grands-parents, c’est évidemment aussi chez moi -(quand je peux me rendre libre pour y aller rendre visite). Or depuis ce cauchemar durant lequel je failli être tué, je n’ose m’y rendre les autres jours de la semaine de peur d’avoir à faire à cette mégère qui, à d’autres moments, aurait du bon -(aux dire de mes frères et de ma sœur mais aussi que j’ai plus d’une fois constaté moi-même), bien qu’en s’étant autorisée ce qu’elle s’est autorisée à cette occasion sus-décrite et encore développé ci-dessous, on soit en droit de penser que cette servante n’allait pas très bien dans sa tête au moment du fait. 

C’est que les autres jours de la semaine c’est elle qui est le plus souvent en fonction, soit de garde, donc, si je me déplace, ce sera elle qui devra me recevoir chez ma mère et bien sûr je ne veux pas la provoquer en venant un autre jour que ceux pour lesquels sa responsable et elle-même ont consenti que je vienne, même si ce si-peu-de-visites -à-ma-mère est extrêmement dommage pour ma mère et moi !

Donc on comprendra que depuis lors je n’y vais pas de peur, si ce n’est pas le mardi et le jeudi autorisés, d’être attendu une autre fois avec ce long couteau à viande pour découper les APIQH -(animaux pacifiques inoffensifs quadrupèdes herbivores)- ou/et les poulets et d’avoir alors[100] moins de chance que la dernière fois quand fort heureusement je portai cette canne[101]. Aussi depuis que cette canne n’est plus fonctionnelle, malgré à première-vue[s] sa réparation, j’attends une opportunité pour m’en procurer une autre. Bref, pour l’instant[102], j’ai donc dû, jusqu’à nouvel ordre, renoncer à voir ma mère les jours où cette garde de personne[s] âgée[s] est en service ! 

 

Fichier audio n°31 

Depuis, le mardi et le jeudi sont les jours où je viens voir ma mère à partir de cinq heure[s] et demi de l’après-midi car j’ai dû renoncer aux autres jours étant donné que je ne veux pas déranger cette servante ayant, avec sa responsable, estimé, malgré les demandes de ma sœur et les miennes, que ma présence deux fois par semaine est suffisante, au point que si cela n’était pas le SPOK/cas, donc qu’en venant d’autres jours cela fasse plus d’heures de visite par semaine à ma mère que la femme en question, une certaine H. voudrait probablement une autre fois me tuer, donc en raison – de son point-de-vue - de ma trop grande présence avec/chez ma mère. Non sens ! Absurde ! Mais incroyable mais vrai ! 

Depuis quand des personnes aussi peu instruites et étant ainsi vérifiées avoir aussi peu de cœur pour les personnes qu’elles gardent / soignent font la loi ? Impossible à comprendre cette arrogance : qu’est-ce-qui la dérange en moi à ce point de faire autant de tort à ma mère et à moi en nous interdisant de nous voir plus souvent ? Je ne saurai répondre et ce qui est le plus malheureux c’est que peut-être c’est aussi le SPOK/cas pour cette garde de la personne âgée de/qu’est ma mère. 

 

Mais il faut ajouter que depuis, nous nous sommes revus sans problème[s] -(comme si nous avions oublié ce qui s’était passé), à diverses occasions de fêtes où j’avais été invité par mes frères et ma sœur[103] même si cette personne était là de service. Comme il y a alors ces membres de ma famille autour de ma mère, donc que je ne suis pas seul avec elle, cela se passe bien et tout cela -(ces menaces pour me tuer)- visiblement est/(sont) oublié(es), cependant que jusqu’à nouvel ordre, je ne peux toujours pas rendre visite à ma mère une fois de plus par semaine et encore moins une fois par jour -(ce qui aurait le meilleur effet pour la santé de ma mère, une vraie intellectuelle qui s’est toujours bien entendue avec moi qui le suis parce que je l’ai eu, elle et mon père, comme parents), donc plus souvent, ce que le calendrier de mes activités m’aurait permis / me permet, en faisant, si c’est enfin possible et s’il vous plaît grâce à une intervention de votre part auprès de ma sœur, voire de la responsable de ce personnel -(cette femme)- aux soins de ma mère, ce qu’il faudra dire pour qu’elles comprennent que pour obtenir une meilleure santé, ma mère a besoin de me voir plus souvent que ces deux seules fois par semaine -(en raison pour ces visites du très grand trou entre jeudi et le mardi suivant), car ma mère aurait sûrement plaisir à cela -(me voir un peu plus souvent)- alors que pour l’instant, depuis ce triste épisode en/de 2015, soit cinq ans, elle a eu à sacrifier son bonheur -(de mère en ne voyant qu’aussi peu de temps ma personne, son fils), et cela à cause des caprices d’une « servante » ne voulant pas, (alors que mère de famille), comprendre que cela fait/ferait/fera/aurait fait plaisir à sa patronne, ma mère –(puisque c’est ma mère qui, en réalité, la paie sur ses économies et sa retraite, à travers sa fille qui s’en charge / occupe en prenant aussi, sur ce point[104], soin de ma mère)- de me voir plus souvent. 

 

Cependant depuis lors -(de ce faidivers[105])- bien que ma sœur m’ait dit que je peux venir voir ma mère quand je veux, j’ai préféré, pour éviter de remuer le couteau[106] dans la plaie, momentanément y renoncer pour ne pas connaître d’autres scènes de ce genre. A croire que cette servante n’a jamais compris comment le fils de ma mère, dans sa situation d’handicapée par son grand âge, sait devoir/avoir à se comporter[107], voire -[cette femme]- ignore les devoirs qu’on est en droit de s’imposer avec joie quand on est l’enfant d’une mère aussi adorable, intelligente et noble et … -(etc.)- que la mienne et naturellement, en raison de -[ce]- que ma mère -(comme ma sœur et mes frères aînés)- auraient autorisé ces visites quotidiennes que je pourrais donc faire tous les jours[108] en fin d’après-midi après mes diverses activités. Car pour moi c’est détestable et injuste de devoir attendre l’autorisation d’une telle femme -(payée)- [qui], qui plus est, ne veut prendre les ordres que de sa responsable ayant pour patronne ma sœur qui m’a encore redit que si j’estime que j’ai à voir ma mère à d’autres occasions, elle m’autorise à aller chez notre mère[109].

 

Mes droits[110] m’ont été déniés -(parce que du point de vue de cette servante, j’aurais été embarrassant pour elle quand je serais venu[111] chez ma mère plus souvent que cette heure et demi à deux heures à laquelle elle a[vait]-, non sans mal[112], consenti chaque mardi et jeudi[113], ce qui me fait justement protester contre ces méchancetés à l’égard de ma mère[114], alors qu’à d’autres moments ces personnes qui s’occupent de ma mère répètent les unes les autres que je suis chez moi chez ma mère, en ne s’apercevant pas de leur incohérence en me refusant l’accès à d’autres horaires et d’autres jours de visite que ceux auxquels j’ai eu droit grâce à la diplomatie de ma sœur[115]. Une sœur qui m’a confirmé récemment, alors que j’avais oublié un livre chez ma mère, que j’avais le droit d’aller le chercher quand je pourrais, voire un autre jour que ceux autorisés. Pensez ! Il a fallu que je m’adresse à ma sœur en la dérangeant dans l’une ou l’autre de ses activités[116] car depuis le début, on a oublié de me remettre un jeu de clés de chez ma mère, ce qui m’oblige à sonner, voire avoir le déplaisir de constater qu’il n’y a personne au service de ma mère aux heures auxquelles je me rends chez elles ! Ce qui est arrivé deux à trois fois[117] en raison alors, à première-entendu, de bonnes excuses / raisons, mais ce qui m’a mis dans des inquiétudes importantes puisque je savais alors que ma mère n’avait pas été levée avant/pour son goûter, par conséquent attendait toute seule dans son lit, tout comme moi au rez-de-chaussée de l’immeuble[118] que la porte s’ouvre après avoir sonné à l’interphone, bref que l’une des servantes de ma mère vienne m’ouvrir pour que je puisse monter jusqu’à l’appartement de ma mère et lui rendre visite. C’est ainsi que j’ai dû attendre que la personne qui était censée prendre soin de ma mère à partir de cinq heure[s] de l’après-midi arrive enfin aux Feuillantines[119] pour s’occuper de ma mère et une à deux fois j’eus à attendre très longtemps -(plus de trois-quarts d’heure), ce qui hélas, infiniment hélas, fut aussi le SPOK pour ma mère qui, bonne comme la majorité de tout, s’est fait un devoir de ne pas s’en[120] plaindre !). 

 

Aussi j’ai demandé à ma sœur de pouvoir m’occuper de ma mère un autre jour que le mardi et le jeudi et, cela, jusqu’à nouvel ordre, n’a pas été possible car ces servantes n’ont pas voulu. Pour se conduire ainsi avec cette superbe seraient-elles assurées par ailleurs, si elles n’avaient plus leur[s] activité[s], de RFPMD – revenus financiers propres et mérités de droit sales / faux / usurpés / pourris, etc. ? Ce qu’on sait rend arrogant en donnant à ceux qui s’autorisent ce[s] sacrilège[s] une fausse idée de la réalité. 

 

Mais revenons au besoin de façon urgente de récupérer ce livre dans la bibliothèque de ma mère : à cette occasion je n’ai pu rester plus longtemps que prendre ce livre et aussitôt rentrer chez moi – j’ai compris qu’il fallait que je renonce[121] à voir ma mère et cela malgré que ma sœur avait eu la gentillesse d’avertir cette femme de ménage pour intérieurs de personnes âgées que je viendrais pour cela. Si ma sœur ne l’avait pas fait et si j’avais été cherché ce livre directement sans prévenir -(ce qui est mon droit)- il est très probable -(que n’ayant pas averti)- la porte m’aurait été restée fermée car mes explications de derrière celle-ci ou à l’interphone de l’immeuble ou/et par téléphone mobile n’auraient pas été comprises par cette servante marocaine n’éprouvant rien à me savoir dans cette urgence dans l’Intérêt et pour le Bien Général[122] de consulter ce livre, comme trouvant normal que j’ai à me déplacer et perdre mon temps pour me voir opposer son refus d’entrer chez ma mère (pour prendre ce livre). [123] « Quel sens de l’hospitalité ! »   

 

Aussi ce qui est le plus malheureux et injuste c’est que ces dames s’occupant de ma mère n’ont pas encore compris pour l’instant[124] qu’avec ma personne rendant plus régulièrement visite à ma mère, cela aurait fait du bien à ma mère, car j’aurais pu essayer de prendre soin de ma mère tous les jours, comme j’estimai que j’en avais, bien sûr, le droit en[125] fils[126], mais aussi en dévoué serviteur -(de ma propre mère)- avec toutes les compétences que j’ai prouvées d’avoir. 

 

Ces deux seules fois par semaine, le mardi et le jeudi ne suffisent pas, parce que cela est/a été long pour ma mère âgée d’attendre que je vienne seulement le mardi à partir du jeudi précédent où elle me reçoit. En effet cela signifie qu’elle n’a pas de visite[s] de moi, son fils, ni le vendredi, ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi[127] avant ce mardi de la semaine où je me rends pour 17 heures trente jusqu’à son après-dîner autour de 19 heures en ayant à attendre jusqu’au surlendemain jeudi que je revienne à la même heure. Ce qui fait alors pour ma mère comme pour moi quarante-six heures et demi d’attente, soit des éternités pour ma mère qui, à son âge, n’est plus dans la vie active, par conséquent qui n’a pas/plus du Temps l’idée qu’il passe vite, ce qui est le cas quand on a de nombreuses activités – c’est alors qu’on croit qu’après-demain c’est dans très peu de temps – or pour une personne qui n’a plus d’activité[s], c’est immensément long à attendre quarante-six heures, comme c’est long en asile psychiatrique, et je suppose en prison -(si on n’a rien à faire d’utile pour la société pour réparer les torts qu’on aurait eu), ou/et dans un asile pour personnes âgées – c’est pourquoi il convient de rendre visite le plus souvent qu’on ne le peut, ou dès que possible à ces personnes âgées -[de nos respectives familles]- qui, sinon, souffrent infiniment de solitude, ce qui est désespérant  / très malheureux d’autant qu’elles auraient tant de souvenirs à raconter, voire à écrire et/ou d’autres intérêts notemment grâce à Internet et à la Télévision mais aussi qu’elles pourraient participer à des activités : dessin, musique, chant, sculpture, photographie -[par exemple de nuages], écritures de textes, lectures, et apprentissages des langues vivantes ou mortes, voire des mathématiques, etc.). 

 

J’estime toujours, malgré ce qui s’est passé que j’aurais pu venir chez ma mère au moins le samedi et/ou le dimanche en plus du mardi et jeudi car pour ma mère[128] depuis la disparition de mon père, une journée à passer à attendre les visites de ses enfants et petits-enfants, voire arrières-petits-enfants, voire plus particulièrement ma visite, cela représente beaucoup de temps à devoir attendre et c’est pourquoi je me proposai de venir tous les jours au moins une heure, voire une heure et demi, sauf que pour ça j’allai me heurter une fois encore dans mon existence, hélas infiniment hélas, à la cécité mentale engendrée par l’ignorance, soit la bêtise de tous ceux qui, parce qu’ils n’ont plus que très peu de cœur, voire n’en ont que très/trop peu, ont perdu la capacité d’empathie : de comprendre cette situation précise[129] de ma mère de façon compassionnelle[130], soit la situation précise -(le SPOK)- d’une personne dite âgée, ma mère, à laquelle[131] les sérénissimis…simissimes impératrices on doit tous les bienfaits de ce monde -(comme aussi celui de m’avoir permis de sauver, avec des effets rétroactifs, cette planète en annonçant ma naissance depuis les années 2005 et suivantes dans le passé, entendue -(cette annonce)- dans le ciel des années 1960, mais comme me l’a confirmé ma mère, aussi avant ma naissance : dans le ciel des années d’après-guerre, en annonçant que j’allais devoir m’incarner en me servant d’elle comme mère et de mon père -(qui serait empereur)- pour essayer de sauver cette planète tous les jours à partir de ma conception et de ma naissance le Six Mars 1963[132].

 

Ces autres fois pour rendre visite à ma mère autant que possible et comme la situation nous le faisait espérer possible parce que j’en ai / avais bien sûr le droit et le devoir en qualité de fils de ma mère[133].

Ces femmes du personnel[134], bien qu’ayant pour la majeure partie d’entre elles des enfants[135] et ayant été elles-mêmes autrefois enfants, ne comprenant pas que ma mère avait/a besoin de me voir plus souvent que ces seules deux fois une heure trente à deux heures par semaine et que j’étais en droit de lui offrir la vie plus heureuse en lui rendant visite plus souvent : par exemple, ce qui était / est possible[136], en me voyant au moins, en fin d’après-midi, tous les jours une heure et demi, voire deux, voire une seule heure si ma sœur devait trouver que c’est trop long deux heures et que cela pourrait, à la longue, fatiguer ma mère que de me voir tous les jours durant ces deux heures. 

Fin de la note 69 et reprise du texte après la note 69 :

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-(aqua passata[137] – ce qui –[ces personnes]- comme on vient de le voir dans la note 69 - s’étaient arrangées en raison de l’intervention de mes frères et de ma sœur aînée[138])- personnes qui sur le moment m’avaient poussé à me défendre en raison, comme on l’a vu, qu’on - l’un de mes frères y compris - avait été, particulièrement injuste / odieux à mon égard). 

 

 

Donc si vous ne voulez pas arrêter de me donner du Xeplion 50 mg[139] comme je vous le demande[140] et me déclarer guéri, il vous faudra –(donc)- passer par l’étape de sevrage du Xeplion à 25 mg comme cela avait été au départ décidé après mon hospitalisation de 2017 par/avec madame Adham, avec, comme objectif, de réaliser la fin de ce sevrage de cette dose de Xeplion 25 mg pour me déclarer guéri – comme ce qui a été en fait finalement le cas/SPOK avec la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, en réalité pendant plus de deux ans, voire un an et neuf mois, ce qui est vraiment beaucoup beaucoup de temps à l’échelle universelle à laquelle nous travaillons / œuvrons! 

 

A cela, je vous rappelle qu’on a ajouté du 25 septembre 2014 au 13 juin 2015, soit plus de neuf mois une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines et on comprend que j’étais en très bonne forme depuis plus de deux ans et demi, en fait depuis plus de trois ans -(du 27 Février 2014 au 4 Avril 2017) ! 

Par conséquent remis sur pied à partir de 2014 puisque de trois mois en trois mois, voire de mois en mois nous avions baissé le Risperdal 25 mg, à partir de mon avant-dernière hospitalisation de[141] 2013 pour arriver à cette demi dose de Risperdal toutes les cinq semaines du 27 Février 2014 au 17 juillet 2014, (soit environ cinq mois – ce qui était à mon avis[142] beaucoup trop de temps – c’est pourquoi nous avons pu vérifier ici et avec les dosages suivants les compétences de madame la doctoresse Nicole Koechlin) – ce qui signifie que nous sommes passés à ce dosage de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines à partir de 2013, soit en une seule année à partir de la dose de Risperdal 25 mg toutes les deux semaines. 

 

Aussi ce que j’ai dit de la baisse du dosage tous les trois mois est une sorte de moyenne, car en réalité sur cette période de l’année 2013 cette baisse a eu lieu parfois tous les mois voire tous les deux mois -(ce qui est à mon échelle d’empereur devenu bouddhahs, soit vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs infiniment de temps[143]!).

 

Le carnet d’Injection que j’ai retrouvé commence effectivement le 27 février 2014 avec la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines 

 

Pour avoir les dates de la baisse du dosage du Risperdal 25 mg concernant la période 2013 au 27 février 2014, il faudra les retrouver au CMP dans mon dossier médical. Vous verrez qu’ainsi nous pourrons, en un an, passer d’une dose de Xéplion 25 mg à une demi-dose de Xeplion 25 mg toutes les dix semaines, car c’est ainsi qu’il faut comprendre, étant donné qu’on contraint à l’injection toutes les deux semaines le Risperdal 25 m-(ce qui correspond[144], à Xeplion 25 mg toutes les quatre semaines), ce qui signifie que pour que nous réussissions le sevrage du Xeplion 25 mg[145], nous aurons à faire l’équivalent du sevrage qui a été fait avec le Risperdal 25 mg quand nous sommes passés de la dose de 25 mg toutes les deux semaines à cette dose toutes les trois semaines[146]. Aussi cela signifiera en toute logique pour le Xeplion qui s’injecte toutes les quatre semaines[147] que pour passer à l’équivalent de la dose de Risperdal 25 mg toutes les trois semaines, nous aurons à injecter cette dose de 25 mg de Xeplion toutes les six semaines[148], au bout de trois mois où nous aurons été à Xeplion 25 mg toutes les quatre semaines ! 

 

Au bout de deux, voire trois prises toutes les six semaines de Xeplion 25 mg, nous passerons à cette dose entière de Xeplion 25 mg toutes les huit semaines –(ce qui correspond à ce que nous avons eu à faire avec le Risperdal 25 quand nous sommes passés à cette dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines –[avec cette dose entière de Risperdal 25 mg]).

 

En suite nous sommes passés à la demi-dose de Risperdal 25 mg très logiquement [à] toutes les trois semaines car en réalité cela avait été le cas quand nous étions à Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines, ce qui a duré environ/plus ou moins trois mois. 

En effet nous avons compris qu’en étant passé de toutes les trois semaines à toutes les quatre semaines -(avec cette dose de Risperdal 25 mg)- nous avions en réalité divisé par/en deux la dose de Risperdal 25 mg, soit que cela signifiait que nous étions à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les deux semaines, ce qui fut un mois durant ces trois mois à la dose de Risperdal 25 toutes les quatre semaines.

 

Aussi pour continuer notre sevrage -(du Risperdal)- nous sommes passés très logiquement et de façon cohérente à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les trois semaines -(et cela de un à trois mois avant de passer à l’étape suivante)- et nous sommes ensuite passés naturellement à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les 4 semaines.

 

Cela signifie comme équivalence avec le Xeplion 25 mg que nous aurons à passer à la dose entière de Xeplion 25 mg toutes les huit semaines ou alors -[à]- la demi-dose toutes les quatre semaines à l’étape suivante -(qui correspond à celle de la dose de Risperdal 25 mg toute les quatre semaines).

 

Ensuite nous aurons à passer à la demi-dose de Xeplion 25 mg toutes les six semaines quelques temps -(de 1 mois et demi à trois mois, avant de passer à l’étape suivante de la demi-dose Xeplion 25 mg toutes les huit semaines, ce qui correspond en réalité à I/4 de la dose de Xeplion 25 mg tous les mois, en sachant qu’il s’agit de l’étape avant celle de ce quart de ce dosage toutes les six semaines -(ici aussi de un mois et demi à trois mois)- avant de passer à ce quart de dosage du Xeplion 25 mg toutes les huit semaines, ce qui devrait être le point final de la prise du Xeplion 25 mg, moi tout à fait guéri[149], ce que nous aurons à constater entre trois mois et une année sans plus aucune prise de Xeplion 25 mg.    

 

Je rappelle que pour le sevrage du Risperdal 25 mg nous sommes passé de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines -(comme sus-décrit)- à la demi-dose toutes les cinq semaines -(ce qui a duré du 27 février 2014 au 25 septembre 2014, voire autrement vu sur mon carnet d’injection au 3 octobre 2014, soit sept à huit mois durant lesquels nous avons beaucoup trop tardé à poursuivre le sevrage car nous aurions pu passer plus rapidement à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines en le faisant trois mois après le 27 février 2014. De même nous avons beaucoup trop tardé à la[150] demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines -(puisque cela a duré du 3 octobre 2014 au 13 juin 2015[151] -(cependant que nous avons alterné les quatre dernières injections avec la prise de cette demi-dose toutes les sept semaines).

 

Nous ne serons pas obligé de faire pareil avec le Xeplion, car en réalité au bout de trois mois au quart de la dose de Xeplion 25 mg toutes les huit semaines nous pouvons passer à : cesser le médicament du Xeplion 25 mg en toute sécurité, à moins de vouloir passer à ce quart de dose toutes les dix semaines, ce qui est possible comme aussi trois mois après à ce quart de dose toutes les douze semaines -(si la doctoresse Hortense Boulanger devait craindre quelque chose pour moi à ce quart de dose[152] toutes les huit semaines).

 

Il y a aussi la possibilité d’aller plus loin encore dans l’affinage de ce sevrage en me prescrivant ce quart de dose toutes les quatorze semaines, voire trois mois après toutes les seize semaines et ainsi de suite jusqu’à ce quart de dose toutes les vingt semaines en passant par l’étape de toutes les dix-huit semaines et cela avant d’arrêter complètement étant donné que je suis normalement sevré dès ce quart de dose de Xeplion 25 mg toutes les huit semaines ! (Aussi il s’agit d’une perspective pour un sevrage encore plus affiné[153] que nous ferions trainer en longueur[154] pour essayer de garantir encore plus la réussite de ce sevrage, par conséquent qui est possible si on veut réaliser le sevrage du Xeplion 25 mg d’une façon extrêmement juste et surtout très progressivement, comme dans un dégradé de couleurs beaucoup plus logiquement et symétriquement travaillé en prenant plus de place).    

 

Aussi rappelons que cela signifie que nous avions atteint ce degré du sevrage de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines en moins d’un an -(de début 2013 à 2014)- à partir de la dose de 25 mg de Risperdal toutes les deux semaines ! Ce qui est effectivement un sevrage qui -(cette fois-ci)- se respecte -(même si déjà de ceux, hélas infiniment hélas, forts[155] longs[156] : étendus dans le temps)! 

 

Pour récapituler et tirer la leçon de notre précédent sevrage qui avait parfaitement marché/réussi, c’est ensuite, à partir de la demi-dose toutes les cinq semaines que cela a commencé à me paraître -[trop]- long, voire beaucoup trop trop long[157] car madame la doctoresse Nicole Koechlin mettait beaucoup trop de temps à accepter l’idée de baisser un peu plus le dosage, comme si elle avait peur de quelque chose qui me concernerait[158] alors que j’étais on ne peut plus rassurant et sûr que ce sevrage marcherait parfaitement -(ce qui était déjà le SPOK/cas)- et c’est ainsi qu’on a mis ces cinq mois[159] à neuf mois[160] à baisser de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines à la demi-dose toutes les six semaines – mais pour la plupart des plus véritables médecins, j’étais déjà sevré à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit pour ces mêmes médecins[161] encore plus que sevré quand nous étions à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines et bien sûr infiniment plus sevré encore à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines[162] ! (Ce qui a cependant mis infiniment de temps à advenir puisque nous sommes restés à la/cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines au moins de une demi année à une année : premièrement du 21 Août 2014 au 05 Février 2015 -(en réalité en relisant en détail mon carnet d’injection je remarque  que c’est jusqu’au 30 Avril 2015 où nous sommes passés à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines la seconde fois et cela jusqu’au 13 Juin 2015 où nous sommes repassés à la demi-dose toutes les six semaines et cela jusqu’au 07 Août 2015 date à laquelle nous sommes repassés à la demi-dose de Risperdal 25 toutes les sept semaines et cela sans plus revenir à la demi-dose de Risperdal 25 toutes les six semaines car c’est ainsi, à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines que nous avons continué jusqu’à l’hospitalisation archi-abusive, sacrilège -(et c’est encore trop peu dire, soit minimiser au paroxysme du paroxysme l’injustice[163] car elle a été – et je pèse mes mots[164] - criminelle contre l’humanité)- d’Avril 2017 dont j’ai été la victime évidemment[165] non consentante. 

Fichier audio n°32

Il faut comprendre aussi que le 26 Décembre 2014 nous étions à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines car la première fois où nous sommes passés à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, cela s’est produit le 05 Février 2015 et cela jusqu’au 19 Mars 2015, date à laquelle nous sommes [re]passés -(de nouveau)- à la demi-dose toutes les six semaines, ce qui a fait que ce n’est qu’à l’injection suivante, soit celle du 30 avril 2015 que nous sommes passés une seconde fois à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, ce qui s’est donc produit jusqu’au 19 Juin 2015 où de nouveau nous sommes passés comme susdit à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines -(aussi il faut comprendre que nous avons donc alterné -(si vous voulez je vous montrerai sur Le Carnet d’Injection, c’est plus facile à comprendre – [ce qu’en réalité je fis en le photocopiant en couleur et en vous remettant cette photocopie du carnet d’injection quand nous nous sommes revus dernièrement. Avec moi présent vous avez donc pu vérifier mes dires])- pour ce passage à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines en faisant ce passage en deux fois, donc avec deux retours à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines et cela pour donner une sorte de garantie à ce sevrage qu’il marcherait très bien en ayant donc créé depuis le 26 Décembre 2014 au 07 Août 2015 une sorte de demi-dose de Risperdal 25 toutes les six semaines et demi avec cette façon de faire ingénieuse et/mais logique que j’avais trouvée pour rassurer madame la doctoresse Nicole Koechlin qui redoutait grandement -(en réalité beaucoup trop, infiniment trop)- ce passage à demi-dose de Risperdal 25 toutes les sept semaines. En créant cette alternance au point de revenir deux fois à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines avec demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, madame la doctoresse Nicole Koechlin était rassurée en voyant que cela se passait en douceur puisque, par sécurité, on est revenu deux fois à demi-dose de Risperdal 25 toutes les six semaines avant de rester, à partir du 7 Août 2015, à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines jusqu’au moment cauchemardesquissimis…simissime[166] de la dernière hospitalisation totalement  arbitraire et folle, au sens d’aucunement fondée en Vérité sur quelque chose d’acceptable, d’admissible, soit juste[ment], par conséquent aucunement logique et/ni respectueuse de l’avancée du très véritable sevrage -(qui, nous l’avons dit, était comme achevé depuis déjà longtemps : trois ans). Une hospitalisation d’une totale incohérence avec les très grands progrès de ma situation médicale et, en réalité, -(c’est à regretter infiniment), motivée –(et, je vous prie de le croire car nous avons pesé nos mots :)- par la méchanceté du « docteur » Jean-Luc Marcel qui, hélas, infiniment hélas pour lui, n’avait pas voulu croire à la logique mathématique, comme à l’exactitude de la logique utilisée à l’occasion de ce/mon sevrage -(réalisé sur moi-même l’un des patrons des chirurgiens et de la / des Médecine[s] car depuis 2005 de nouveau éveillé par acquis de conscience, donc, entre autres, ce qui se dit d’un devenu bouddhahs -(soit du bouddha de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- empereur), soit plus ou moins continuellement grand inspecteur et parce qu’aussi empereur / pharaon, eanmeailleurs -(mot que j’ai forgé / créé pour parler de tant de spécialités / casquettes différentes à mon actif comme responsabilité[s] ou si vous préférez tant de cordes de rechange à mon arc avec chacune de mes autres maîtrises ou/et spécialités, etc. : réalisations, connaissances, etc.).

 

Car en réalité cela faisait plus d’un an et neuf mois -(en réalité du 7 Août 2015 au 4 avril 2017)- que nous avons été de façon constante à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines ! 

 

Aussi il était absolument impossible que le docteur Marcel m’hospitalise puisque j’allais depuis si longtemps aussi bien -(madame Koechlin s’en souvient certainement, nous avons souvent eu à rire ensemble - en fait il faut comprendre que cela était le cas depuis le 27 février 2014)- au point que j’ai pu écrire durant toute cette période plus de mille trois cent pages aux Papes et plus de mille sept cent aux Présidents de la République comme d’autres textes à d’autres personnalités dont celui promis au Cardinal Vingt-Trois de Paris[167] -[que vous pouvez trouver sous cette forme de brouillon qu’il a encore -(car j’ai été interrompu dans mes corrections, soit mes CARÉ[168],  par cette hospitalisation sacrilège)- sur Internet]).

 

Un autre effet secondaire indésirable du Xeplion 50 mg m’a contraint soudain à devoir me rendre chez l’oculiste car j’avais eu des problèmes de vue pour lire de près -(vous verrez dans les effets indésirables de la notice ci-dessous que de tels effets indésirables sont effectivement annoncés pour/à certaines personnes. Aussi je l’ai surligné en jaune phosphorescent puisque j’en fus victime). Après un examen, ce spécialiste de l’œil a effectivement constaté mes premières difficultés à lire et m’a prescrit des lunettes à ma vu-(ce que j’ai obtenu gratuitement grâce à ma Mutuelle, y compris la paire de lunette de soleil à ma vue car le magasin où nous avons fait faire les lunettes proposait une promotion à ce sujet : pour un euro de plus, cette paire utile en été –[ou/et par grand soleil]- était proposée). En fait, quand il y a sur le texte suffisemment de lumière -(comme ceux que j’écris avec le logiciel Word sur l’ordinateur)- je peux lire -(et écrire)- sans lunettes, donc sans trop de problèmes, cependant que si ce sont des notes de bas de pages de livres -(ou d’un livre), il faut qu’elles soient vraiment bien éclairées pour que je les lise sans l’aide des lunettes -(et j’écris sans problème, c’est-à-dire sans avoir à recourir à ces lunettes, les notes de bas de page de mes textes avec le logiciel Word sur l’ordinateur)- aussi ce n’est à premières-vues pas trop grave, cependant qu’il est probable que si nous avions arrê -(comme je l’ai tout de suite souhaité et demandé en raison des SOUFFRANCES INSUPPORTABILISSIMIS…SIMISSIMES dont j’étais l’objet)- le Xeplion en m’en sevrant en six mois dès la sortie de l’hospitalisation de 2017 -(ce qui aurait été déjà un très très long sevrage)- je n’aurai pas eu ce problème de vue. 

Ce qui est certai– comme vous le verrez surligné en jaune ci-dessous à la fin de cette lettre - que c’est bien le Xeplion 50 mg qui est responsable de cette très légère baisse de ma vue quand j’ai eu à le prendre à -(au dosage de)- 100 mg, ce qu’on m’a d’abord prescrit à la sortie de ma dernière hospitalisation de 2017, avant que Madame Adham me prescrive -(comme je l’ai demandé)- Xeplion 50 mg en / à partir de juin-juillet 2017 -(alors que ce jour-là elle voulait me prescrire Xeplion 25 mg. Cependant je n’ai pas alors bien compris -(ni saisi la balle au bond)- car j’étais sous les effets secondaires indésirables de Xeplion 100 mg qui étaient INFINIMENTISSIMIS…SIMISSIMEMENT MARTYRISANTISSIMIS…SIMISSIMES, DOULOUREUSISSIMIS…SIMISSIMES ET INSUPPORTAB[I]LISSIMIS…SIMISSIMES -(et c’est encore minimiser les infinies douleurs, même en écrivant en majuscule, en gras et à 20 de taille de police de caractère car les douleurs psychiques et physiques étaient ENCORE PLUS FORTES : pour les mieux traduire en mot, chaque lettre de ces mots ci-dessus en gras, en majuscule et à la taille vingt -(20)- prendrait, à l’aune de ce texte écrit avec la taille douze[169] l’espace d’une page entière[170]. Donc croyez-moi, même avec cette typo beaucoup plus importante, en réalité je minimise TANT J’AVAIS MAL des effets secondaires indésirables du Xeplion 100 mg)- et[171] comme j’étais, malgré LA SOUFFRANCE, à cette occasion un tantinet heureux qu’elle envisage concrètement mon sevrage, je n’ai pas voulu qu’il soit autant brutal qu’elle le proposait en passant d’un seul coup de Xeplion 100 mg à Xeplion 25 mg et c’est pourquoi Madame Adham l’a proposé à 50 mg en me promettant de le baisser ultérieurement, ce qu’hélas, infiniment hélas, influencée par l’infirmière, voire par le docteur Marcel[172], elle n’a pas tenu, voire, malgré mes constantes demandes TANT JE SOUFFRAIS, oublia de faire jusqu’au moment où vous avez pris le relais, soit plus de deux ans après ma sortie d’hôpital). 

 

C’est quand on m’a prescrit la première fois Xeplion 100 mg et Xeplion  50 mg que j’ai découvert ces difficultés à lire quand l’éclairage n’était pas assez fort -(ce qui signifie qu’il ne faut pas prescrire Xeplion 100 mg ni même Xeplion  50 mg car les effets secondaires indésirables sont très graves / dangereux / nocifs / douloureux / malheureux, etc. sur le plan optique).

 

Je confirme -(ce que j’ai déjà dit plus haut)-  que c’est au cours de cette dernière hospitalisation que ma tête me grattait -(ici aussi vous le verrez dans la liste des effets secondaires indésirables que j’ai surligné en jaune phosphorescent), j’ai dû me rendre à l’Institut Verne deux ans de suite pour une visite chez la même dermatologue qui, en effet, a constaté qu’il convenait aussi de me prescrire un shampoing spécial que je m’inflige hebdomadairement, suivi, une fois mes cheveux secs, d’une sorte de lotion qui porte nom de Dermoval -(propionate de clobétasol) – ce que je ne manque pas de -[me]- faire régulièrement et qui effectivement me soulage de ces maux / douleurs au point effectivement de ne plus me gratter. Je vous remercie donc de continuer à me prescrire ce Dermoval comme ce shampoing, car c’est effectivement efficace avec ce shampoing spécial.

 

Permettez-moi donc de vous rappeler qu’à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(ce qui a duré du 07 Août 2015 au 04 Avril 2017[173] -(mais nous avons vu qu’il y a eu aussi cette demi-dose avant, en réalité à partir du 05 février 2015[174] mais aussi le 30 avril 2015[175]. Ce qui fait que plus précisément cela faisait presque deux ans que j’étais à cette demi-dose de Risperdal 25 toutes les sept semaines), soit en réalité plus d’un an et demi -(pour couper la poire en deux on va dire une année et neuf mois)– tandis que la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines a duré du 25 Septembre 2014 au 7 Août 2015 – un peu moins d’un an[176])- j’étais comme -[quasiment]- sevré avant qu’un malentendu advienne avec le docteur Jean-Luc Marcel -(chef du secteur 3 de Saint-Anne, quand je lui ai demandé qu’on baisse le dosage ou plus précisément qu’on augmente -(c’était ce qu’il fallait faire et que j’attendais à chaque injection depuis plus d’une année et neuf mois ![177])- d’une semaine la fréquence de l’injection en passant avec cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines à l’injecter toutes les huit semaines car il me tardait d’en finir définitivement avec le Risperdal 25 mg comme de vérifier si le docteur Marcel était un vrai médecin ou un charlatan, sachant bien évidemment que depuis la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines lui et la doctoresse Nicole Koechlin auraient dû cesser de me contraindre à prendre du Risperdal 25 mg car, en réalité, j’étais dès lors, selon vous -[quasiment / presque]- sevré totalement). 

 

Or j’ai eu la tristesse d’avoir à découvrir que le docteur Jean-Luc Marcel - que je me suis risqué à appeler » bon « sur l’enveloppe d’un de mes courriers que je lui ai adressé -  ne voulait pas croire que la Vérité existe y compris en matière de sevrage les plus exactes -(logiques et justes, cohérents)- en Médecine -(comme dans tous les autres domaines sans exception), c’est pourquoi, fort méchemment -(ce qui est exécrable à supporter quand on est un patient qui souffre d’être à ce point incompris malgré l’existence des mathématiques et des logiques les plus justes / exactes auxquelles on est par principe au service puisqu’elles sont par exemple aussi à l’origine de toutes les sortes de ponts ou/et S.A.É.[178] qui nous entourent), après cette confrontation de point-de-vues différents -(les miens des siens)- il a attendu le jour de l’injection suivante à celle du 16 mars 2017 -(donc sept semaines)- pour, de force[179] -[et]- avec intimidation[s] traumatisantes m’hospitaliser -(en m’injectant, m’avez-vous dit, 150 mg de Risperdal, soit AU PAROXYSME DU PAROXYSME DU PAROXYSME DU … DES SOUFFRANCES à endurer à chaque fraction de seconde, soit ce qui ne peut même plus permettre de penser, de parler, de se défendre en toute logique), étant donné qu’il a voulu faire croire, en raison d’un retard indépendant de/à ma volonté de quinze heures que j’avais eu[180] (sur sept semaines), que je ne voulais plus qu’on m’injecte la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(pour contraindre à passer à toutes les huit semaines – ce qui n’avait pas été le cas, bien qu’effectivement nous nous étions vu, de mon point-de-vue[s] pour cela, sept semaines auparavant -(soit autour du 16 mars 2017 qui fut le jour d’une injection à la place de celle prévue le 22 mars 2017, soit une semaine avant, donc ayant eu lieu comme du temps où elles étaient toutes les six semaines, ce que j’avais demandé en prévision du pire)- car cela faisait plus d’une année et demi[181]– ce qui est considérab[i]lissimis…simissime en terme de durée - que j’étais à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines. Aussi j’estimai que cela faisait depuis très longtemps, au moins un an et neuf mois que j’aurais dû passer à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines[182] et donc, l’étape suivante, aurait donc logiquement permis la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, ce qui aurait donc dû conduire ensuite le docteur Marcel à logiquement dire d’arrêter le traitement.

Fichier Audio n°33

Aussi cela avait mis beaucoup de temps pour obtenir un rendez-vous avec le docteur Marcel -(qui soudain -[et bizarrement]- m’a convoqué)- pour lui demander de baisser le traitement, ce qu’il n’a pas voulu envisager malgré les dates-preuves inscrites sur Le Carnet d’Injection que j’avais apporté et qui attestaient que la périodicité de la demi-dose de Risperdal 25 mg était depuis » toutes les cinq semaines « anormale et incohérente avec celle qui, à partir de 2013, avait permis en une année à peine de passer à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines ! 

 

(Depuis maintenant assez longtemps vous avez remarqué que je marque en gras l’expression » demi-dose « pour vous rendre sensible à la différence énorme d’avec la pleine dose de 50 mg -(qui, parce que toutes les quatre semaines est environ quatorze fois supérieure à cette demi-dose toutes les sept semaines et non plus tous les quinze jours en raison qu’à partir de 2013 nous avons procédé à un sevrage : toutes les sept semaines équivaut pour la dose de Risperdal 25 mg à 3,5 fois. Or il s’agit d’une demi-dose de Risperdal 25, soit ce qui multiplie par deux 3,5, ce qui donne 7 fois plus et parce qu’il s’agit d’une dose de 50 mg toutes les quatre semaine, nous devons multiplier par deux ce 7 au point d’obtenir 14 fois plus pour cette dose de 50 mg de Xeplion 50 mg en comparaison avec la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, ce qui signifie qu’alors de 2015 à 2017 -(à la date de mon ultime hospitalisation abusive et injuste par rapport à l’avancée de mon sevrage du Risperdal 25 mg)- cela faisait depuis près de deux années que je prenais cette demi-dose de Risperdal 25 mg qui était quatorze fois moindre que celle qu’on m’a demandé de prendre à partir du mois de Juillet 2017, après cette ultime hospitalisation qui en demandant de prendre 100 mg toutes les quatre semaines et non toutes les sept semaines, d’avril à Juillet 2017, m’a fait prendre quarante-deux fois plus de Xeplion que la dose à laquelle nous nous étions habituée depuis près de deux années, soit la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines en espérant depuis plus d’une année et demi qu’on passerait à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines.      

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A l’aune de ces 42 fois plus que cette demi-dose de Risperdal 25 mg ce à quoi j’étais depuis près de deux ans habitué nous avons une idée précise de ce que représente les 150 mg de la dose de Risperdal 25 mg administrée aux patients à leur arrivée à l’hôpital : c’est 126 fois plus et si c’était une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines -(ce qui a été le cas pour moi durant le sevrage de Risperdal 25 mg avant de passer à toutes les cinq semaines, soit en 2014, nous pouvons calculer que cette dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines, c’est d’abord deux fois plus la dose de Risperdal 25 mg et donc quatre fois plus avec la demi-dose de Risperdal 25 mg. Aussi le rapport avec la dose de Xeplion 50 mg toutes les quatre semaines est quatre fois plus -(tous les quinze jours –[et non plus sept fois plus]- et tous les mois, huit fois plus !

Donc vous comprendrez aisément qu’on n’avait pas le droit, alors que tout allait bien à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, de me faire passer à 126 fois la demi-dose de Risperdal 25 mg -(ce qui fut au PAROXISTIQUISSIMIS…SIMISSIME DOULOUREUSISSIMIS…SIMISSIME, CAUCHEMARDESQUISSIMIS…SIMISSIME, HORRIBLISSIMIS…SIMISSIME, INSUPPORTAB[I]LISSIMIS…SIMISSIME -(car le correcteur Lepticure ou Akinéton augmentait encore plus la SOUFFRANCISSIMIS…SIMISSIME À UN POINT PAROXISTIQUISIMISSIMIS…SIMISSIME DOLOUREUSISSIMIS…SIMISSIME ET INSUPPORTAB[I]LISIMISSIMIS…SIMISSIME).

Fichier audio n°35

Si le docteur Marcel pouvait craindre quelque chose à cause de[183] ce, à première vue, petit retard -(qui, nous l’avons vu n’en était, à ce stade, pas un du tout car on pouvait aisément imaginer qu’on pouvait profiter de ce retard pour passer à un stade plus avancé de sevrage, donc à une semaine de plus de délais et/pour arriver à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines), il pouvait me conseiller de recourir, pour l’injection qui avait ainsi un à première-vue[184] ce petit retard à l’aune de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, il pouvait demander / exiger que je passe -(pour cette prise de Risperdal 25 mg à demi-dose toutes les six semaines à laquelle j’avais été habitué environ six mois avant de passer à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines), voire au pire toutes les cinq semaines, mais en aucun cas à cent vingt-six fois la dose -(dose de Risperdal 150 mg)- que je prenais depuis près de deux ans, soit cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines! D’où que vous compreniez plus aisément mon insistance, depuis septembre 2017, pour réduire cette dose de Xeplion 50 mg toutes les quatre semaines, ce qui est donc quatorze fois supérieure à la demi-dose de Risperdal 25 mg -(toutes les sept semaines)- à laquelle je m’étais habituée depuis près de deux ans -(depuis 2015) après la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines et qui, il est vrai, à ce stade -(de dosage)- me faisait très peu souffrir des effets secondaires indésirables depuis que j’étais à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(cela avait été le cas, donc toujours moins souffrir à mesure qu’on augmentait le délais d’espacement des injections d’une semaine supplémentaire comme l’atteste mon carnet d’injection qui commence en 2014 à la semaine où nous sommes passés à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines).  

 

En conséquence il serait intelligent de réduire dare-dare -(donc de façon urgente)- tant les souffrances sont difficilement mesurables -(cependant vous avez vu dans la note 165, j’ai inscrit le début d’une méthode qui, encore plus logiquement développée, a de l’avenir pour mesurer médicalement -[ou en amateur]- la souffrance)- et au moins, dans un premier temps[185] passer à 25 mg, ce qui est malgré tout, à première vue, deux fois plus que cette demi-dose 25 mg -(cependant cela sera presque quatre fois plus car la demi-dose était toutes les sept semaines quand ces 25 mg de Xeplion seront toutes les quatre semaines, soit presque deux fois plus en plus. Ce qui fait que ces 25 mg de Xeplion seront presque quatre fois plus que la demi-dose toutes les sept semaines -(si ces sept semaines avaient été toutes les huit semaines comme j’étais depuis longtemps, [plus d’une année et demi], en droit de l’attendre). Ce qui signifie qu’à l’heure actuelle le mercredi 27 janvier 2021 la dose de 50 mg de Xeplion toutes les quatre semaines est, en réalité, presque huit fois plus la demi-dose de Risperdal 25 mg que j’ai eu à prendre pendant environ deux ans toutes les sept semaines – rien ne justifie ces incessants INSUPPORTABILISSIMISSIMISSIMES MARTYRISSIMISSIMISSIMES OU TORTURISSIMISSIMISSIMES ET ETC. – je n’ai agi dans l’exercice de mes fonctions qu’en conscience pour le Bien et l’Intérêt Général. Pourquoi continuez-vous à me torturer ainsi alors que vous m’avez assuré que vous croyez que la Médecine n’a pas de vocation à faire souffrir ?  Il ne faut pas non plus oublier que le Risperdal 25 mg se prend au départ tous les quinze jours et non tous les mois comme le Xeplion, aussi cela signifie que si c’était du Xeplion à prendre comme cette demi-dose de Risperdal toutes les sept semaines, cela voudrait dire prendre la demi-dose de Xeplion 25 tous les trois mois et demi. Or nous sommes pour l’instant encore à dose de Xeplion 50 mg tous les mois comme si c’était dose de Risperdal 50 tous les quinze jours). On comprend donc que le dosage de Xeplion 50 mg toutes les quatre semaines c’est vraiment beaucoup plus que demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines. Oui mais combien de fois plus ? Et bien nous l’avons marqué : 14 fois plus !

 

Pendant près de deux ans j’ai eu à prendre toutes les sept semaines -(quand j’étais comme quasiment sevré), mais aussi un an de plus cette demi-dose toutes les cinq semaines ! Ce qui vous fera de nouveau comprendre le caractère très -(pour ne pas dire immensément)- excessif de ce dosage de Xeplion 50 mg. Près de huit fois plus si notre point de départ pour la comparaison avait été toutes les quatre semaines, mais quatorze fois plus car c’était toutes les sept semaines -(cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines) ! 

 

Ces 50 mg alors que pendant presque deux années j’étais à cette demi-dose toutes les sept semaines en trouvant presque agréable à travailler à ces peines des lettres d’explication de ce qui s’était passé d’autant exceptionnel dans nos existences respectives à partir de 1967 et 1977 comme nous avons eu à le vérifier ces années synchrones à partir de 2005 en raison de mes interventions / transmissions salvatrices à travers Espace et Temps qui se sont reproduites à partir de 2005 jusqu’à 2013 et alors mon déménagement à mon adresse actuelle, ce qui a marqué la fin de ces transmissions à travers Espace et Temps, par conséquent du point de vue des médecins le fait que j’allais beaucoup mieux, au point effectivement d’accepter de réaliser le sevrage qui a permis à partir du 27 Février 2014 la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, depuis le 3 octobre 2014 la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines, et à partir du 5 février 2015 la demi-dose de Riseprdal 25 toutes les sept semaines). 

 

Il est cependant à noter qu’à partir de ces dates où nous passâmes en toute logique à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, madame la doctoresse Nicole Koechlin ne voulait plus poursuivre logiquement la fin du sevrage en demeurant des mois à cette demi-dose toutes les sept semaines -(c’était pour moi qui suis logique incompréhensible : elle ne voulait pas être logique avec ce que nous avions mis au point jusque-là -(car elle craignait de me perdre comme patient – aussi elle ne voulait pas achever le sevrage car cela signifiait qu’elle en me verrait plus puisque je serai guéri :)- et retardait autant qu’elle le pouvait les modifications pour aboutir sur le plan du sevrage à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines, comme ce sera encore plus le cas pour passer à sept semaines, au point que j’ai dû m’ingénier en créant cette petite alternance entre toutes les cinq semaines et toutes les si semaines comme aussi avant de passer définitivement à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines : faire deux retours à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines -(ce que madame la docteure Nicole Koechlin a finalement accepté car elle a compris que si cela n’allait pas, je lui proposerai de continuer / revenir à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines)- car je ne comprenais pas pourquoi elle n’avait pas arrêté mon traitement après trois fois à demi-dose toutes les cinq semaines ou que la docteure[186] Adham, sa successeure[187]- ne veuille pas naturellement l’arrêter -(dès qu’elle a découvert à quel dosage j’étais)- ou alors passer aussitôt, logiquement -(soit naturellement), à toutes les huit semaines de manière à, si possible, dès que possible, arrêter le traitement, moi, enfin, (du point de vue des plus véritables médecins), guéri[188] d’autant plus que j’avais écrit ces lettres aux Présidents de la République[189] et celle aux Papes[190] et etc. -(les autres – lettres)- pour expliquer ce qui s’était passé de tout-à-fait infiniment exceptionnellissimis…simissime à partir de 2005 pour nous tous, mais aussi mes lettres les plus cohérentes et logiques qui soient attestant ici aussi, malgré qu’elles étaient de mon point de vue à ce stade des brouillons -(pourtant publiées par mes soins dans l’état sur mon site – tant il était vital pour tous que je continue les transmissions à travers Esapce et Temps), prouvant que j’allais bien, bien que fortement handicapé par le fait que c’était la première fois dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- qu’un pharaon, soit un empereur romain reconnu par ses prédécesseurs, était devenu un Éveillé par acquis de conscience, soit un bouddhah[s], soit un serviteur des vérités relatives comme de la Vérité, y compris en sciences exactes, soit celles -(les vérités relatives ou pas)- auxquelles on a très simplement recours pour réaliser des sevrages efficaces / exactes (justes, bons, guérisseurs, etc.)– ce à quoi j’ai effectivement eu recours pour élaborer très exactement le Calendrier du Retour -(le Programme, le Processus de la Restitution) de la Vision d’Ôz[191], soit celle du Paradis et/ou des quasi synonymes : de l’Eden, d’Arcadie, voire de Schtroumpf, etc).  

 

Le « docteur » Marcel[192] a soudain débarqué chez moi manu militari au petit matin[193] -(du lendemain du jour où je devais me faire faire mon injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -[depuis plus d’une année et neuf mois à ce rythme !])- comme un fou -(impoli – ne s’étant pas même annoncé par téléphone avant de venir, ni même n’ayant pensé à m’avertir du minuscule « retard » que j’avais – aussi c’est d’une façon totalement disproportionnée par rapport à la situation, soit mon cas particulier de, en réalité, -[quasi]- sevré depuis le moment où la docteure Nicole Koechlin m’avait mis à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit depuis le 27 février 2014.

Fichier Audio n°36

Sans prévenir ou me faire prévenir  

-(par le secrétariat ou/et par les infirmiers de permanence pour me dire que j’avais ce peu de retard –[ce qui m’aurait aussitôt incité à rejoindre le C. M. P. – centre médical psychologique - pour effectuer l’injection toujours à temps par rapport à comment elle s’était ce jour-là présentée]– ce qui, ce retard, autrement vu, soit sur un autre plan - le plan du sevrage, n’en était pas du véritable –[de retard]- à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines ou alors en le considérant comme tel, un retard infimissimissime –[quasiment infinitésimal, donc infime : » qui ne compte pas «]. Mais on a dit que depuis une année et neuf mois, voire au pire une année et six mois dans ces deux années à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, on aurait dû me faire passer à une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines, ce qui signifie que le retard que j’avais n’était pas un retard –[donc, je me répète pour souligner au sens où on dit » qu’il ne compte pas «]-  car pour passer à toutes les huit semaines, il était normal que ce « retard » de quelques heures se produise –[avec le consentement du médecin, par exemple mis sous le fait accompli si ce retard avait été prémédité, ce qui n’était pas le SPOK / cas particulier, etc.], ce qui était donc mon nouvel objectif –[bien que tous sachent que je ne l’ai pas fait exprès, cependant que, comme il apparaissait comme tel -(retard), il fallait bien que ce « retard » serve à quelque chose, en permettant de progresser dans ce/le sevrage]- donc avec ces quelques heures de « retard » : le début d’une semaine supplémentaire d’espacement en plus –[soit la huitième semaine autant attendue  comme nouveau délais pour la poursuite du sevrage trois fois avant de passer à toutes les neuf semaines], donc d’augmentation du délais –[à toutes les huit semaines cette demi-dose de Risperdal 25 mg, puisqu’il fallait bien un jour ou l’autre achever définitivement ce sevrage, ce qui pouvait advenir ces jours-là, en considérant que ce retard était une sorte de signe qui tombait à pic pour passer de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(depuis près de deux années)- à enfin cette demi-dose toutes les huit semaines même si en durant deux années toutes les sept semaines cela avait représenté suffisemment de temps pour arrêter là définitivement ce sevrage, voire, si on voulait poursuivre la logique du sevrage, passer enfin –(» il n’est jamais trop tard pour bien faire « – [sauf hélas, infiniment hélas, exception[s] / SPOK])- à toutes les huit semaines trois fois de suite avec la perspective de toutes les neuf semaines -(cette demi-dose)- trois fois aussi avant de terminer à jamais ce sevrage,  (le patient totalement guéri)– ce qui était ma façon de voir, étant donné que cela ferait ainsi un decrescendo extrêmement logique et/ mais à ce rythme très lent de sevrage extrêmement prudent ce qui aurait pour effet de réussir complètement ce sevrage, donc d’une façon archi-sûr-(certaine, bien que très longue, voire trop longue en étant restés beaucoup trop longtemps à ces paliers de toutes les cinq semaines, toutes les six semaines, et toutes les sept semaines), efficace et exacte en prenant ce » un peu plus de temps « : en passant par prudence et par sécurité par les étapes de toutes les huit semaines et toutes les neuf semaines bien que je n’étais pas dans l’ignorance qu’on aurait pu mettre un terme à ce sevrage à partir de toutes les cinq semaines -(cette demi-dose de Risperdal 25 mg), ce qui donc avait été encore beaucoup plus confirmé à toutes les six semaines, mais aussi toutes les sept semaines car en réalité je n’avais plus besoin de Risperdal 25 mg depuis la demi-dose toutes les quatre semaines[194] ! Cependant je pensai important de donner une chance à madame Nicole Koechlin -(même si en fin de carrière)- de comprendre comment fonctionne un très véritable sevrage car je venais de découvrir que, oh, horreur !!!, elle n’en avait jamais proposé de toute sa vie ce qui me parut inconcevable / incroyable -(je n’en croyais pas mes oreilles). Il était donc impossible pour moi grand inspecteur –(bouddha – car éveillé par acquis de conscience – donc calculant très exactement)- qu’elle ait été médecin véritable. Ce que je découvrais était extrêmement grave pour sa future réincarnation car cela signifiait qu’elle avait fait souffrir ses patients des effets secondaires indésirables, ce que j’avais vérifié sur moi-même était au-delà du possible imaginable comme douleurs / tortures / martyrs, insupportab[i]lissimis….simissimes et etc. . Donc sans jamais avoir été un plus véritable médecin, soit une personne qui, au moment de prescrire un médicament neuroleptique quelconque, propose, ne serait-ce que pour rassurer son patient, bien évidemment plusieurs chronologies / calendriers / façons / périodicités / programmes / processus de sevrages -(indispensables)- possibles -(du plus court : une seule prise ou trois fois cette prise de 25 mg tous les quinze jours -(ce qui est déjà pour certains patients plus sensibles que d’autres DOULOUREUSIS…SIMISSIMISSIME sans Artane 5 mg), au plus long qui ne doit jamais excéder une année en ayant progressivement réduit les doses jusqu’à un milligramme de Risperdal -(ou de Xeplion)- car j’ai pu vérifier sur moi-même que 25 mg de Risperdal ou de Xeplion est le très grand maximum du possible à supporter comme souffrances IMMENSISSIMIS…SIMISSIMES sans Artane 5 mg en sachant que toutes les doses au-dessus sont à l’origine de SOUFFRANCES INHUMAINES ET INSUPPORTABILISSIMIS…SIMISSIMES  DONC IMPOSSIBLES à -[faire]- supporter à des êtres humains car cela les conduira, sans Artane 5 mg, dès Xeplion ou Risperdal 50 mg au suicide tant les effets indésirables sont ATROCISSIMIS…SIMISSIMES, notemment les acouphènes, les impatiences, les quintes de toux, les pieds dans des maux très importants / DOULOUREUSISSIMIS…SIMISSIMES et etc. – voir plus loin les autres malheurs et détails)- de manière à éviter que la personne ne souffre trop longtemps, voire [n’]ait le plus rapidement possible à ne plus souffrir – ce que les sevrages bien faits, qu’ils soient courts, moyens ou longs, offrent comme guérisons])- 

 

pour l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25 mg.  Donc je me suis naturellement dit qu’il faut bien commencer par quelques heures de à première-vue[s] « retard » pour arriver à une semaine de plus à ces sept semaines de périodicité pour cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines à toutes les huit semaines, ce qui était alors, depuis février 2013 -(soit le début du sevrage), la logique en cours. Moi espérant que le docteur Marcel comprenne que nous devions naturellement poursuivre le sevrage qui jusqu’à ce jour avait excellemment bien marché). Il sonna à ma porte sur mon palier au cinquième étage -(donc sans même avoir sonné au préalable en bas, à l’interphone, ni m’avoir fait appeler par son secrétariat)- accompagné d’infirmiers et de la police mais aussi avec son assistante Madame A. et -(je découvrirai ensuite)- une ambulance et son ambulancier, par conséquent de façon préméditée -(probablement ainsi, [hélas pour lui], pour se venger de ce que je lui avais dit[195], comme le lui aurait dit mon père[196], sept semaines auparavant, qu’à ce dosage de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines depuis plus d’un an, il était normal d’augmenter au moins d’une semaine supplémentaire la fréquence / périodicité de l’injection en passant à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines[197], voire de façon préférable d’arrêter cette médication car en réalité j’étais déjà depuis longtemps – (plus d’un an et neuf mois, voire autrement vu -[en tenant compte de toutes les six semaines et toutes les cinq semaines], depuis trois ans -[comme]- sevré), et m’a fait hospitaliser en prétextant que j’avais eu ces quinze heures de retard pour l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, ce que tous les plus véritables médecins vous diront que cela m’autorisait à avoir au moins un « retard » -(à ce dosage-là -[depuis plus d’un an et neuf mois, voire un an et demi si on minimise, alors que cela serait aussi juste de dire depuis près de deux ans -(au[x] vu[es] des détails précisés plus haut -[dans cette lettre]- et dans le carnet d’injection)]), d’une à deux semaines supplémentaires -(voire, comme je le savais, un dosage qui permettait, dès qu’on l’aurait voulu, d’arrêter définitivement de prendre cette médication -(comme je le lui avais dit en présence de madame A. sept semaines auparavant quand j’étais venu pour l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25 mg au C. M. P. le 16 Mars 2017 et que nous avions pris ce rendez-vous pour, de mon point-de-vue[s], qu’on modifie mon traitement à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines, voire tout simplement qu’on l’arrête, jugeant que cela faisait de nombreux mois qu’on aurait dû/pu le faire)- étant donné que ces médecins croient même qu’à ce dosage de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines le patient est en réalité déjà -[comme]- pratiquement complétement sevré, ce qui signifie donc -(logiquement)- encore plus que sevré à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines ! Ce qui avait été le cas aussi longtemps au point qu’il était logique de penser / croire que le Docteur Jean-Luc Marcel aurait dû m’annoncer de cesser de prendre -[de]- ce Risperdal et surtout de ne me jamais hospitaliser !).

 

Voici ci-dessous la liste des effets indésirables du Xeplion qui surlignés en jaune m’ont affecté / martyrisé / etc. depuis 2017 ! Vous en saviez quelques-uns mais pas tous. S’ajoute à cela, depuis un bon mois dans le bas du dos une sorte de lumbago gênant car DOULOUREUX. Aussi vous comprendrez mieux pourquoi je désire cesser le Xeplion, voire toute médications étant donné qu’en 2017, vous l’avez découvert ici, j’étais donc sevré depuis au moins trois ans au moment où j’ai été victime de cette folie / lubie -(au sens évidemment négatif de ces mots)- qui a/ont eu pour auteur le regretté docteur Jean-Luc Marcel m’ayant, contre ma volonté, une fois encore hospitalisé de force -(en trouvant mon tuteur, monsieur Philippe Maraval comme complice : en lui demandant d’être le tiers faisant la demande d’hospitalisation à la demande d’un tiers pour le couvrir. Par conséquent en abusant de la confiance de monsieur Philippe Maraval qui, n’étant pas médecin -(et à ce moment-là pas encore bouddha, ce qui signifie éveillé en chemin vers l’omniscience)- a cru possible, pour lui plaire, faire cette demande d’hospitalisation, ce qui fut à l’origine de ces souffrances INCOMMENSURABILISSIMIS…SIMISSIMES ET INSUPPORTABILISSIMIS…SIMISSIMES ET ETC. et cela alors que j’avais depuis trois ans donné à madame la doctoresse Nicole Koechlin comme aux membres de ma famille toutes les preuves que j’allais bien notemment avec les photos et vidéos que je réalisai d’autant plus à d’autres heures de ces lettres longues et détaillées que j’ai écrites aux Présidents de la République française mais aussi aux Papes, dès que le dosage du Risperdal dont je fus, hélas, la victime me l’a enfin en effet plus convenablement permis sans trop de maux à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(dosage que je suis en droit d’espérer -[que]- vous me fassiez retrouver avec le Xeplion grâce à la poursuite du sevrage remis en œuvre par votre prédécétrice / prédécesseure depuis la sortie de l’hospitalisation de 2017).  

 

J’ai trouvé à l’adresse suivante la notice en question qui est en grande partie la même pour le Risperdal mais aussi pour un autre médicament dont nous avons parlé et que vous avez compris je ne veux pas essayer.  Les mots en rouge sont ajoutés par mes soins par soucis d’ajouter des informations plus détaillées complétant sur des points approchant[s] ces listes de malheurs et/ou de martyrs dont le Xeplion 50 mg est coupable :

 

https://fr.productdocs.jnj.com/sites/fr.productdocs.jnj.com/files/smpc_france/Notice-Utilisateur-Xeplion-100-mg-150-mg-25-mg-50-mg-75-mg-Suspension-injectable-a-liberation-prolongee.pdf

 

La notice du Xeplion 50 mg avec en jaune ce qui m’a affecté, en vert ce que je n’ai pas oublié de faire en suivant ces conseils à chaque fois où j’ai été victime de ces maux et en rouge des précisions concernant ces maux:

 

4. Quels sont les effets indésirables éventuels ? Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde. Informez immédiatement votre médecin si vous : • présentez des caillots sanguins veineux, particulièrement au niveau des jambes (les symptômes incluent gonflement, douleur et rougeur au niveau des jambes, des pieds), qui peuvent se déplacer via les vaisseaux sanguins jusqu’aux poumons et provoquer une douleur dans la poitrine et une difficulté à respirer -(en réalité de la toux – en rouge, vous aurez compris c’est moi qui ajoute à cette notice). Si vous ressentez un de ces symptômes, consultez un médecin immédiatement -(ce que j’ai fait aussitôt avec la docteure A. sans qu’elle ait voulu -[pour faire disparaître ces effets indésirables]- arrêter le traitement ni même le baisser à 25 mg, ce que je réclamai en raison des SOUFFRANCES INSUPPORTAB[I]LISSIMIS…SIMISSIMES dont j’étais l’objet). • avez une démence et présentez un changement soudain de votre état mental ou une soudaine faiblesse ou engourdissement du visage, des bras ou des jambes, surtout d’un côté, ou des troubles de l’élocutionmême pour une courte période de tempsCeux-ci peuvent être des signes d’un accident vasculaire cérébral -(à ce sujet nous avons procédé, je l’ai dit, à un scanner dont le résultat est apparu normal, cependant que ces AVC peuvent avoir été à d’autres moments que celui où j’ai fait ce scanner, voire plus petits : des micros accidents vasculaires cérébraux ne se détectant pas encore à notre époque). • présentez de la fièvre, une raideur musculaire, des sueurs ou une baisse du niveau de la conscience (un trouble appelé « syndrome malin des neuroleptiques »). Un traitement médical immédiat peut être nécessaire. • êtes un homme et présentez une érection prolongée ou douloureuse. C’est ce que l’on appelle le priapisme –(dernièrement je suis depuis plusieurs mois gêné autour de mon orifice anal, soit l’anus au point que je ne l’apprécie guère car cela me rend les efforts intellectuels difficiles comme d’écrire cette lettre – peu en commun avec les facilités d’écritures de mes lettres aux Papes et aux Présidents de la République et au cardinal Vingt-Trois  écrites en grande majorité à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, six semaines et sept semaines). Un traitement médical immédiat peut être nécessaire. • présentez des mouvements rythmiques involontaires de la langue, la bouche et du visage -(c’est vrai, je fais comme un tic nerveux, quelques fois des grimaces). L’arrêt de la palipéridone peut être nécessaire. • présentez une réaction allergique sévère caractérisée par de la fièvre, un gonflement de la bouche, du visage, des lèvres ou de la langue, un essoufflementdes démangeaisons -(sur la tête, sous les cheveux mais aussi sur le visage :), une éruption cutanée et parfois une baisse de la tension artérielle -(constituant une « réaction anaphylactique »). Même si vous avez déjà toléré la rispéridone orale ou la palipéridone orale, des réactions allergiques surviennent rarement après avoir reçu des injections de palipéridone. • prévoyez de subir une opération des yeux, assurez-vous d’informer votre ophtalmologiste que vous prenez ce médicament -(c’est vrai : j’ai été voir l’ophtalmologue qui m’a prescrit des verres correcteurs et des lunettes alors qu’avant d’être sous Xeplion je n’avais pas à porter de lunettes). Pendant une opération des yeux pour une nébulosité du cristallin (cataracte), l’iris (la partie colorée de l’œil) peut devenir flasque pendant l'intervention (connu sous le nom de « syndrome de l'iris hypotonique ») et ceci pourrait entrainer une lésion oculaire. • savez que vous avez un nombre dangereusement faible d'un certain type de globules blancs nécessaires pour lutter contre les infections dans votre sang. Les effets indésirables suivants peuvent survenir :

Fichiers audio n°37

Effets indésirables très fréquents : peuvent affecter plus d’1 personne sur 10 • difficulté à s’endormir ou à rester endormi. Effets indésirables fréquents : peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 10 • symptôme du rhume, infection urinaire, syndrome grippal -(en raison que le Xeplion me fait tousser)- peut augmenter votre taux d'une hormone appelée « prolactine » retrouvé grâce à un test sanguin (ce qui peut ou non causer des symptômes). Lorsque les symptômes d’un taux élevé de prolactine apparaissent, ils peuvent inclure (chez les hommes) un gonflement des seinsune difficulté à avoir ou maintenir une érection, ou d'autres troubles sexuels ; (chez les femmes) une gêne mammaire, un écoulement de lait au niveau des seins, une absence des règles, ou d’autres problèmes avec vos règles. • taux élevé de sucre sanguin, prise de poids, perte de poids, diminution de l’appétit • irritabilité, dépressionanxiété • parkinsonisme : Cet état peut inclure des mouvements lents ou altérés, une sensation de raideur ou de crampe musculaire (rendant vos mouvements saccadés), et parfois même une sensation de mouvement « gelés » et redémarrent ensuite. D'autres signes de parkinsonisme incluent une marche trainante et lente, un tremblement au repos, une augmentation de la salive et/ou baver, et une perte d'expression du visage 6

Fichier audio n°38

• impatience, sensation d’être endormi ou moins alerte • dystonie : C’est un état impliquant une contraction involontaire lente ou soutenue des muscles. Bien que n'importe quelle partie du corps peut être touchée (et peut entraîner une posture anormale), la dystonie implique souvent les muscles du visage, y compris des mouvements anormaux des yeux, de la bouche, de la langue ou de la mâchoire • sensation vertigineuse • dyskinésie : C’est un état impliquant des mouvements musculaires involontaires, et peut inclure des mouvements répétitifs, spastiques ou tordus, ou des secousses • tremblement (secousse) • céphalée • rythme cardiaque rapide • hypertension artérielle • toux, nez bouché • douleur abdominale, vomissement, nausée, constipation, diarrhée, indigestion, mal de dent • augmentation des transaminases hépatiques dans votre sang • douleur osseuse ou musculairedouleur dorsale, douleur articulaire • absence des règles • écoulement de lait au niveau des seins • fièvre, faiblesse, fatigue (épuisement) • réaction au site d’injection, y compris des démangeaisons -(sans Ketoderm 2%, que je vous ai demandé de me prescrire, chaque jour, de part et d’autre des coins de la bouche, sur le nez, au-dessous de l’œil gauche et au-dessus du sourcil de l’œil droit j’aurai ces démangeaisons)-, des douleurs ou un gonflement (j’ai en effet grossi et ma poitrine aussi). Effets indésirables peu fréquents : peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 100 • pneumonie, infection thoracique (bronchite), infection des voies respiratoires (car quintes de toux), sinusite, infection de la vessie, infection auriculaire, infection fongique des ongles, infection des amygdales, infection cutanée  (j’en ai parlé, à la fois sur le sommet de mon crâne et comme ci-dessus : « sans kétoderm … ») • diminution du nombre de globules blancs, diminution d’un type de globules blancs qui aident à vous protéger contre les infections -(c’est probable puisqu’il y a infection d’une dermatite séborrhéique – mais j’ai fait une prise de sang et tout avait l’air d’être normal au sujet des globules blancs), diminution des plaquettes (cellules sanguines qui vous aident à arrêter les saignements), anémie • réaction allergique • diabète ou aggravation de diabète, augmentation de l’insuline -(hormone qui contrôle le niveau de sucre sanguin) – pour éviter cela j’ai supprimé le sucre de mon alimentation - dans votre sang • augmentation de l’appétit • perte d’appétit entrainant malnutrition et faible poids corporel • taux élevé de triglycéride sanguin (un type de graisse), augmentation du cholestérol dans votre sang • trouble du sommeil, humeur exaltée (manie), diminution du désir sexuel, nervosité, cauchemars • dyskinésie  tardive (mouvements saccadés ou secousses que vous ne pouvez pas contrôler au niveau de votre visage, langue, ou d'autres parties de votre corps – les impatiences). Prévenez immédiatement votre médecin si vous présentez des mouvements rythmiques involontaires de la langue, la bouche et du visage, de mon corpsL’arrêt de ce médicament peut être nécessaire. • évanouissement, besoin impératif de bouger des parties de votre corpssensation vertigineuse lors du passage à la position debout, troubles de l’attention, problème d’élocution, perte ou altération du goût, sensation de la peau à la douleur et au toucher diminuée, sensation de picotement[s], de piqûre[s], ou un engourdissement de la peau • vision trouble, infection oculaire ou conjonctivite, sécheresse oculaire • sensation de tournoiement (vertige), bourdonnement dans les oreilles (acouphènes), douleur auriculaire • interruption de la conduction entre les parties supérieure et inférieure du cœurconduction électrique anormale du cœur, allongement de l’intervalle QT de votre cœur (j’ai été voir plusieurs cardiologues qui n’ont rien trouvé d’anormal y compris à la Médecine du Sport -(où l’on m’a assuré que je pouvais reprendre le Tennis)- alors que j’ai eu autant d’arrêts cardiaques au point d’en noter dès le premier au début systématiquement les heures où ils ont eu lieu étant donné que ma situation d’empereur-bouddhas et celle d’une personne centrale à l’échelle planétaire et que j’ai cru comprendre que chaque fois que je souffrais de ces sortes de coups de couteau dans mon cœur, il était probable / possible que cela signifiait que d’autres personnes liées à moi, (sans doute plus âgées)- avaient au même moments des problèmes cardiaques comme je l’ai écrit ici y compris dans le passé correspondant à ce moment de ma personne et d’avance dans le futur, ce que, vous verrez, je n’ai pas manqué de signaler), accélération du rythme cardiaque lors du passage à la position debout, pouls lent, tracé électrique anormal du cœur (électrocardiogramme ou ECG – une fois encore ces électrocardiogrammes ont été jugés normaux par des cardiologues), sentiment de battements ou pulsations dans votre poitrine (palpitations) • tension artérielle basse, tension artérielle basse en position debout (par conséquent, certaines personnes prenant ce médicament peuvent se sentir faible, mal ou s’évanouir lorsqu’elles se mettent debout ou se redressent soudainement) 7 • essoufflement, encombrement des voies respiratoires -(en raison des moments où ont lieu ces quintes de toux), respiration sifflante, maux de gorge, saignements de nez • gêne abdominale, infection de l’estomac ou des intestins, difficultés à avaler, sécheresse buccale • flatulence • augmentation des GGT (une enzyme hépatique appelée gamma-glutamyltransférase) sanguines, augmentation des enzymes du foie de votre sang • urticaire, démangeaison, éruption cutanée (il s’agit de la dermatite séborrhéique), perte de cheveux, eczéma, sécheresse cutanée, rougeurs de la peau, acné • augmentation des CPK (créatine phosphokinase) dans votre sang, enzyme qui est parfois libérée lors de rupture musculaire • spasmes musculaires, raideur articulaire, faiblesse musculaire, douleur au cou • incontinence (perte de contrôle des excréments) urinaire, envies fréquentes d'uriner, douleur en urinant • dysfonctionnement érectile, trouble de l’éjaculation, absence de menstruation ou autres problèmes avec vos règles (chez la femme), développement des seins chez les hommes, dysfonctionnement sexuel, douleur mammaire • gonflement du visage, de la bouche, des yeux ou des lèvres, gonflement du corps, des bras ou des jambes • augmentation de la température corporelle • changement dans votre façon de marcher • douleur à la poitrine -(à l’origine de ces quintes de toux martyrisantes), gêne au niveau de la poitrine, sensation de malaise • durcissement de la peau • chute. Effets indésirables rares : peuvent affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000 • infection oculaire • inflammation cutanée causée par des acariens, abcès sous la peau • augmentation des éosinophiles (un type de globules blancs) dans votre sang • sécrétion inappropriée d’une hormone qui contrôle le volume d’urine • sucre dans les urines • complications des diabètes non contrôlés pouvant engager le pronostic vital • hypoglycémie, • consommation excessive d’eau • absence de mouvement ou de réponse pendant l’état éveillé (catatonie) • confusion • somnambulisme • manque d’émotion • incapacité à atteindre l’orgasme • 

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syndrome malin des neuroleptiques (confusion, réduction ou perte de la conscience, forte fièvre, raideur musculaire sévère), problèmes de vaisseaux sanguins dans le cerveau, dont la perte soudaine de l’arrivée de sang au niveau du cerveau -(accident vasculaire cérébral ou « mini » attaque[s] cérébrale[s] – en effet les lancements de ces sortes de pointes piquantes que je ressens parfois dans les pieds quand elles me torturent adviennent, hélas des milliards de fois hélas, ailleurs, mais heureusement moins souvent, dans mon corps -(parfois dans mes jambes ou dans le bras ou alors dans les poumons, ce qui est à l’origine des quintes de toux, voire au niveau de l’estomac mais aussi à d’autres moments, plus rares -(mais pourtant ayant eu lieu), dans ma tête -(soit dans mon cerveau –[du genre d’une fois par mois, voire, heureusement moins souvent], bien que nous ayons noté que l’IRM qu’on m’avait demandé de faire à cause des acouphènes – l’O. R. L. l’ayant prescrit - considérait mon cerveau comme tout-à-fait normal sans trace[s] d’AVC], c’est alors que je suis certain, malgré cela, d’avoir [eu / été victime] des mini ou micro AVC -(dont on parle dans la notice comme effet indésirables)- [qui se seraient réparés d’eux-mêmes] - à ces moments-là où j’ai eu ainsi mal, à cause de cette soudaine pointes étant à l’origine de ces lancements piquants -(ces derniers adviennent en raison de la substance chimique du médicament qui n’est à ce moment-là localement pas toléré[e] –[car elle entre en conflit avec, localement, quelque chose, ce qui nous l’avons noté se répercute ailleurs autrement sous forme d’eczéma -(dans le cuir chevelu et sur le visage avec la dermite séborrhéique)- mais ce qui a lieu dans le cerveau ressemble soudain à une forme d’embouteillage avec cet effet de lancement d’une sorte de pointe piquante – la substance du médicament touchant cette zone du cerveau où la douleur est le résultat d’un conflit dans le système circulatoire sanguin)- par l’organisme aux endroits où ils adviennent martyrisant le sujet sur ce point précis), ce que je voudrais éviter en demandant qu’on cesse de me contraindre à prendre – en raison de ce que mon statut est celui d’hospitalisé à la demande d’un tiers -(c’est-à-dire une hospitalisation qui a eu lieu sans mon consentement – hospitalisations sous la contrainte et par la force contre ma volonté alors que dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs - car j’étais en effet comme quasiment sevré du Risperdal 25 mg, par conséquent qu’il convenait de cesser mon hospitalisation à la demande d’un tiers et non, au contraire, de m’hospitaliser de nouveau)- ce médicament du Xeplion 50 mg comme j’avais été sevré avant cette hospitalisation absurde du précédent, le Risperdal 25 mg qui est donc, en réalité, lui aussi extrêmement dangereux pour le bon fonctionnement du cerveau, tout comme le Risperdal 50 mg -(qui est pire encore au niveau des souffrances qu’il génère et des états mentaux obtenus par des souffrances de douleurs INSOUTENABILISSIMIS…SIMISSIMES / INSUPPORTABILISSIMIS…SIMISSIMES ET ETC. et cela même avec le correcteur Artane 5mg indispensable deux à trois fois par jour !), soit dès que ce Risperdal est administré au-dessus de 25 mg, soit après toutes les prises au cours de mes inspections et les occasions où ces pointes lancinantes se sont manifestées, la certitude, en Grand Inspecteur -(soit en Vérité Absolue sans un électron de mensonge dans tous les temps et tous les univers, par conséquent de façon objective et en multidimention[s] après ces années de tests / expérimentations sur moi-même les bouddhahs / eanmeailleurs de Toutes les Compassions)- qu’on ne peut d’aucune façon donner raisonnablement une dose plus forte que celle de 25 mg pendant uniquement trois mois au très grand maximum -(avant d’avoir l’obligation absolue de sevrer de mois en mois comme cela fut fait de concert avec madame la doctoresse Nicole Koechlin qui se savait inspectée[198] par le créateur lui-même de toutes les formes de Médecine[s] à travers les siècles, soit ce qui justifie l’un de mes noms de pharaon, celui d’Hermès Trismégiste et … - car on sera alors victime de ces pointes dans les pieds ou autre part dans le corps y compris, hélas, des millions de fois hélas, à l’infini hélas, dans le cerveau quand cela n’est pas pire encore – comme ce le fut dans mon cas - dans le cœur), non réponse aux stimuli, perte de consciencefaible niveau de conscience (en effet, ma conscience est moins présente comme moins efficace que celle dont je disposai à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines – ce qui me permettait de travailler beaucoup plus facilement que sous Xeplion 50 mg), convulsions (crises), trouble de l’équilibre • anomalie de la coordination • glaucome (augmentation de la pression dans le globe oculaire) • problèmes dans les mouvements de vos yeux, yeux roulants, hypersensibilité des yeux à la lumière, augmentation des larmes, rougeur des yeux • fibrillation auriculaire (rythme cardiaque anormal), battement cardiaque irrégulier • caillots sanguins veineux, particulièrement au niveau des jambes (les symptômes incluent gonflement, douleur et rougeur au niveau des jambes, des pieds). Si vous ressentez un de ces symptômes, consultez un médecin immédiatement -(je l’ai fait, ça n’a rien donné car au lieu de cesser le traitement pour faire cesser cet effet indésirable -(comme les autres), cette « doctoresse » a continué à me prescrire le même traitement) • bouffées de chaleur, difficultés à respirer pendant le sommeil (apnée du sommeil) • congestion pulmonaire • crépitements pulmonaires • inflammation du pancréas, gonflement de la langue, incontinence fécale, selles très dures, • lèvres gercées 

Fichier audio n°40 

8 • éruption cutanée liée au médicament, épaississement de la peau, pellicules • cassure des fibres musculaires et douleurs musculaires (rhabdomyolyse) • enflure des articulations • incapacité à uriner • gêne mammaire, élargissement des glandes mammaires, élargissement des seins • écoulement vaginal • température corporelle très basse, frissons, sensation de soif, • symptôme de sevrage médicamenteux • accumulation de pus causé par une infection au niveau du site d’injection, infection de la peau en profondeur, kyste au niveau du site d’injection, bleus au niveau du site d’injection. Indéterminée : fréquence ne pouvant être estimée sur la base des données disponibles • nombre dangereusement faible d’un certain type de globules blancs nécessaires pour lutter contre les infections dans votre sang • réaction allergique sévère caractérisée par de la fièvre, bouche, visage, lèvre ou langue gonflés, essoufflement, des démangeaisons, une éruption cutanée et parfois une chute de la pression sanguine • prise excessive d'eau pouvant être dangereuse • trouble des conduites alimentaires lié au sommeil • coma dû à un diabète non contrôlé • secousses de la tête • caillots sanguins dans les poumons provoquant une douleur dans la poitrine et une difficulté à respirer. Si vous ressentez un de ces symptômes, consultez un médecin immédiatement. • diminution de l’oxygène dans certaines parties de votre corps (en raison de la diminution du flux sanguin) • respiration rapide et superficielle, pneumonie causée par l'inhalation d’aliments, trouble de la voix • occlusion intestinale, absence de mouvement des muscles de l'intestin provoquant une occlusion • jaunissement de la peau et des yeux (jaunisse) • réaction allergique grave avec un gonflement du ventre qui peut impliquer la gorge et entraîner des difficultés respiratoires • décoloration de la peau, démangeaison squameuse du cuir chevelu ou de la peau • posture anormale • les nouveau-nés dont les mères ont utilisé Xeplion durant leur grossesse peuvent ressentir des effets indésirables et/ou des symptômes de sevrage, tel qu’irritabilité, contraction lente ou soutenue des muscles, tremblement, endormissement, problème de respiration et difficulté à s’alimenter • priapisme (érection prolongée du pénis qui peut nécessiter un traitement chirurgical) • diminution de la température corporelle • cellules mortes de la peau au site d’injection et ulcère au site d’injection. Déclaration des effets secondaires Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin, votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance. Site internet : www.ansm.sante.fr. En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.

 

Ici est la fin de la notice du Xeplion 50 mg.

Fichier audio 41 :

En vous remerciant, chère Hortense Boulanger, d’avoir lu ma lettre -(permettez-moi de vous quitter en vous saluant respectueusement et avec reconnaissance en espérant que vous aurez apprécié les sujets approchés autour des raisons pour lesquelles il faut cesser toute médication dont le Xeplion d’autant qu’à force de corriger mes lettres elles prouvent comme vous me l’avez dit qu’intellectuellement je vais bien – tout s’est remis en place malgré les immenses souffrances continuelles dont je suis victime : l’objet à cause des effets secondaires indésirables que nous avons vus), Si j’ai pris autant de peine[s] pour vous écrire et vous informer sur les points dont vous ne saviez encore rien c’est que j’espère qu’à la lumière de ces informations vous déciderez -(ce que j’attends depuis 2014)- à jamais de faire cesser mes tourments -(malheurs / martyrs / souffrances / … et etc. insupportab[i]lissimissimissimes depuis 2017 malgré le léger mieux que procure l’Artane 5 mg)- dès que possible d’autant plus que vous avez pu comprendre qu’il n’y avait plus/pas de raisons valables de m’hospitaliser en 2017 car j’étais depuis près de trois ans -(février 2014)- sevré -(en investissant mon temps à des explications écrites –[ma lettre aux présidents de la République et celle aux Papes en cours de CARE -(acronyme de correction, augmentation, abrégé, relectures, [ré]élaborations)- pour qu’elles deviennent le plus claires possibles y compris les autres lettres -(il y a un laurYen – [lien hypertexte]- avant cette parenthèse en direction d’une lettre-résumée -[que je vais mettre à jour pour la rendre plus précise avec les avancées de mon auto-psychanalyse ayant permis de plus exactement dater ce qui s’est déroulé depuis 2005 / 1967 et 1977]- au président Macron)- aux principaux responsables]), mais aussi parce que dès 2013, à cause des hospitalisations, n’existaient plus ces transmissions à travers Espace et Temps  puisque j’ai, depuis lors, en raison de mon emménagements à mon adresse actuelle, soit de mon déménagement,  arrêter ces transmissions salvatrices à effets rétroactifs à travers Espace et Temps en direction des époques de 1967 et 1977 parallèles à celle des années 2005 et années suivantes car ces transmissions étaient strictement liées à ma localisation à l’adresse du studio au cinquième étage porte face ascenseur du 12 bis rue de Val de Grâce dans lequel j’ai emménagé en 2005 en bénéficiant avec le Revenu Minimum d’Insertion et l’aide au logement et de l’aide financière de mes parents s’étant portés garants pour le bail de ce studio d’autant plus que j’y attendais mes enfants de S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck avec laquelle j’ai cru, pour accueillir nos enfants, devoir me marier avant d’avoir à découvrir qu’elle était au courant de tout depuis 1967 et 1977 ! Année 2005 dans ce studio dont nous avions pu vérifier en 1977 qu’elle/il -(l’année et le studio)- se trouvai[en]t dans le ciel avec moi-même immense et constitué de nuages, au-dessus de Rome 1977 et années suivantes, synchrones avec notre époque à partir de 2005 mais aussi 1967 –(en ayant fait d’importantes découvertes scientifiques telles qu’elles furent déterminantes et extrêmement utiles pour la suite de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- et ses vérités relatives comme, par exemple, celles d’un nouveau système de mesures possible qui tiendrait enfin compte de ce que nous avons découvert mesurent d’avance dans le ciel les personnes / êtres humains ayant enfin accès à leur conscience, soit à la compréhension du bien et/ou du mal et/ou certaines fois, comme dans mon cas exceptionnel, de la complexité de la vérité sur tous les sujets dont tous ceux constitutifs du plus véritable intérêt et bien général ou/et particulier qui me tiennent à cœur en qualité de vos dévoués serviteurs les eanmeaillleurs

 

Laurent-Marie Granier … d’Ôz.

 



[1] Vous verrez nous en reparlerons plus loin plus en détail[s]-(car j’ai, entre temps, retrouvé mon Carnet d’Injection à partir duquel j’ai, très précisément, reporté les dates exactes des injections -[dont je fus/suis l’objet]- qui sont sans discontinuer à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, à partir du 7 Août 2015 au 4 Avril 2017-(soit à peu près un an et neuf mois), mais, en réalité, en ayant commencé un peu avant, le 5 Février 2015, la première fois que j’ai eu à prendre la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, quand la seconde fois a été en réalité le 30 Avril 2015 car il y a eu, entre ces deux dates, deux fois -(donc en alternance)- où nous avions poursuivi le sevrage à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines –(soit du 25 septembre 2014 au 05 février 2015, ce qui fait les quatre mois auxquels on ajoute toutes les six semaines --(la demi-dose de Risperdal 25 mg)- le 19 mars 2015 et le 19 juin 2015, ce qui signifie que c’est de manière alternée que nous sommes passés à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, sans discontinuer -(sauf à une seule occasion dont je parlerai plus loin)- à partir du 7 Août 2015 jusqu’au jour de ma dernière hospitalisation en Avril 2017 -(soit plus d’un an et neuf mois à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines !). 

Aussi le calcul est simple à faire à partir du 7 Août 2015 où les injections ont eu lieu toutes les sept semaines, après avoir été -(une fois avant cette date)- le 05 février 2015 et une autre fois le 30 Avril 2015 à cette demi-dose toutes les sept semaines jusqu’à ma dernière hospitalisation en avril 2017, ce qui signifie alors -[comme]- au moins deux ans -(à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines), bien qu’en tenant compte de » sans poursuite du sevrage toutes les huit semaines », au moins un an et environ huit mois toutes les sept semaines cette demi-dose de Risperdal 25 mg plus (+) les deux dates précédentes -(entre les deux dates, à d’autres dates (celle du 19 Mars 2015 et celle du 13 Juin 2015), la demi-dose toutes les six semaines), ce qui fait environ quatre mois supplémentaires à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, bien que durant ces mois il y a eu les deux injections de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines, ce qui porte ces injections de la demi-dose de Risperdal toutes les six semaines sur ces quatre mois en plus  -(+)- des injections à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines débutant le 25 septembre 2014 et s’achevant sans discontinuité le 26 décembre 2014, soit durant environ trois mois auxquels on ajoute les deux injections durant les quatre dates où il y a eu aussi, en alternance, les injections de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(par sécurité, en faisant ici une transition alternée), soit en réalité un total de plus de trois mois pour les injections toutes les six semaines ! 

En réalité il y aura eu plusieurs mois de plus -(+)- avec des injections de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines, comme si elles avaient eu lieu -(avec les premières injections alternées  toutes les sept semaines)- -[comme]- toutes les six semaines et demi puisqu’il y a eu alternance à deux reprises à partir du 5 février 2015 au 13 juin 2015 avec les injections de cette demi-dose toutes les sept semaines.

Pour que vous compreniez plus facilement lorsque nous nous reverrons, je tiens à votre disposition ce carnet d’injection -(C. I.)- en sachant que vous pouvez, de votre côté, s’il vous plait vérifier au CMP -(centre médico psychologique)- la chronologie des dates d’injection qui me concernent depuis -[au moins]- 2013, cependant que je pense nécessaire que vous compreniez très exactement ce qui s’est passé à partir du moment où, le 27 Février 2014 je suis passé à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, ce qui a fait que l’injection suivante était prévue et faite le 3 Avril 2014, la suivante le 09 Mai 2014, la suivante le 12 Juin 2014, etc. jusqu’au changement du 25 Septembre et/au 3 Octobre 2014 pour la demi-dose toutes les six semaines, ce qui a duré, nous l’avons dit jusqu’au 26 Décembre 2014 où nous sommes passés une première fois à toutes les sept semaines -(donc en alternance avec toutes les six semaines jusqu’au 5 février 2015)- puis de nouveau toutes les six semaines jusqu’au 19 Mars 2015 et alors –(à partir de cette date)- toutes les sept semaines jusqu’au 30 avril 2015 pour repasser le 13 juin 2015 à toutes les six semaines, ce qui nous a alors mené par étape au 7 Août 2015 où, sans discontinuer -(à l’exception d’une fois en 2017 dont nous reparlerons), nous avons eu toutes les sept semaines l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25 mg jusqu’à ma dernière hospitalisation en Avril 2017, ce qui fait au moins une année et huit mois toutes les sept semaines cette demi-dose, ce qui signifie autrement-vu que j’étais comme sevré depuis presque deux ans, voire autrement vu depuis la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit, en réalité depuis trois ans ! (D’où que vous comprendrez pourquoi il ne fallait d’aucune manière m’hospitaliser en 2017 car j’étais sevré au moins depuis presque deux ans à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines quand pour d’autres médecins encore plus clairvoyants je l’étais à la demi-dose de Risperdal 25 toutes les six semaines, voire pour d’autres médecins encore plus clairvoyants à cette demi-dose toutes les cinq semaines -(ce qui donne alors une sorte de sevrage aboutit qui avait duré trois ans en plus de la première année 2013 quand au mois d’Avril 2017 le docteur Jean-Luc Marcel devenu subitement fou –(au sens maladif et négatif du mot qui dans d’autres cas a du positif)- m’a hospitalisé de force, évidemment sans mon consentement puisque je me savais sevré depuis près de trois ans – celui-ci en l’absence de son assistante madame Koechlin -(remplacée par madame Adham)- ne voulant pas tenir compte de ces années de sevrage, alors que cela avait exigé toute une très longue année 2013-2014 et les années 2014 à 2017 ayant servi à diminuer encore la demi-dose de toutes les cinq semaines à toutes les sept semaines, ce qui bien évidemment avait été trop long car si nous avions été au même rythme de sevrage que la première année 2013 nous serions passé à cette demi-dose de Risperdal 25 mg au très grand pire en neuf mois -(sinon bien avant, en six mois et non neuf) – ce qui aurait dû être le cas cependant que madame N. Koechlin ne voulant pas me perdre comme patient – car elle me trouvait original d’autant plus que je lui apprenais comment faire un sevrage sans erreur -(en découvrant hélas, des millions de fois hélas, qu’elle n’en avait probablement jamais fait au cours de sa carrière) – a fait traîner les choses pour avoir le plaisir de me voir régulièrement d’autant plus que je lui rappelais être le chef à la fois en tant que son pharaon mais aussi et surtout en tant que ses dévoués serviteurs les bouddhahs, soit entre autres en tant que le Grand Inspecteur).     

[2] (sous ma direction de Grand Inspecteur dans toutes les formes de Médecine et/ou catégories, en raison pas seulement de mes titres universitaires mais de ce que je suis devenu, à partir de 2005, bouddhahs par subit acquis de conscience -(celle que Ses Éminences Altesses Eanmeailleuriales Ses Saintetés Satana[na!]nas les lordissimis…simissimes Princes Dalaï Lama nomme dans un de ses ouvrages » la voie directe «, donc ce qui fut le cas pour moi) – je vous l’ai déjà dit lors de l’un ou l’autre de nos rendez-vous - à la fin de La Bête et la Belle, le film de Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimes Princes Jean Cocteau dans lequel film le personnage principal de la bête parvient, grâce au très véritable amour de la princesse héroïne, à se débarrasser en lui de son animalité, au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres situations précises, occasions, cas particuliers -(soit dans d’autres SPOK) – c’est alors qu’on n’agit plus qu’en conscience -(qu’on devient un » éveillé « soit un des bouddhas), de même qu’on ne s’exprime plus qu’en conscience en faisant la synthèse objective -[de toutes les catégories et parfois de leur antithèses possibles à cause du doute si fécond qu’on s’impose à certaines occasions plus justement qu’à d’autres dans lesquelles il aurait été préférable de ne point douter]- dans tous les domaines qu’on approche/étudie au point de trouver parfois, voire souvent les solutions alternatives -[les plus]- élégantes -(S. A. É.)- aux divers problèmes rencontrés, c’est alors aussi – [mais croyez-moi je fus le premier surpris de cela -(au point un long moment de ne pas avoir réussi à me l’expliquer)] - qu’on peut intervenir à travers Espace et Temps comme je le fis à partir de 2005 -(en réalité il se pourrait très certainement avant même ma naissance -(ce que ma mère m’a dit a été)-, bien qu’à première vue impossible, voire invraisemblable car inexplicable, à moins que chacun d’entre nous ne soit branché sur une horloge spécifique différente de celles de la plupart des autres, ce qui permettrait un peu mieux de commencer à comprendre)- depuis le studio de la rue du Val de Grâce où je logeai, ce qui a permis que j’aide mon empereur de père à distance -(du futur dans lequel je me trouvai déjà -(en raison de la loi des conséquences et des interactions parfois prévisibles – donc qu’on peut anticiper)- à l’état de virtualité, ce qui s’est reproduit en 2015 quand je me suis vu et vidéographié immense –[et j’ai tourné en vidéo une séquence de cela, des images qui sont aussi des preuves, sur le pont qui mène à Chatelet : moi dans le ciel dans le futur comme ce qui s’était passé en 1967 et 1977 quand je suis apparu d’avance immense dans le ciel. En fait ce que j’aurai trente-sept et vingt-sept années après à découvrir avoir à faire dans la réalité en chair et en os à partir de l’année 2005]- vu dans le ciel, soit à vingt-sept années -[lumière]- dans le futur de 2015, soit en 2042 ! Je tiens à votre disposition cette séquences vidéo où l’un ou l’autre de ceux que je suis -(au moins vingt-cinq différents par seconde –[par conséquent c’est d’un autre moi-même, voire d’un prolongement de moi-même qu’il s’agissait d’avance dans le Ciel] – n’oubliez pas que je suis aussi cinéaste / vidéaste)- est dans le ciel et dans laquelle vidéo on comprend mieux, en raison de mon immensité -[ma taille dans le ciel]- les dimensions dans lesquelles j’ai, depuis 2005 constemment à être du mieux que je le puis/peux pour contribuer à bâtir, à partir de mes renseignements / avertissements transmis d’avance à travers Espace et Temps vers ces années 1967 et 1977, toute notre époque -(années synchrones à partir des années 2005 et suivantes)- où je devais revenir / aboutir pour effectuer de nouveau -(mais cette fois-ci en chair et en os, donc dans la réalité)- la Pharaonique Dictée -(les Avertissements Célestes}- de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale qu’en raison de conscience progressivement retrouvée -(après environ vingt-sept années d’amnésie d’un fait précis pierre angulaire / important dans la vie de ma personne cela prend beaucoup de temps de retrouver sa mémoire en remettant les faits à leur plus véritable place étant donné qu’à partir du début d’une telle amnésie on a commencé à prendre un autre chemin que le bon retrouvé à partir du moment où on me rendit le fait que j’avais oublié, donc où je retrouvai la mémoire)- je fis jour après jour de 2005 à 2013 -[synchrone avec / au-dessus de / sur / à / vers l’époque de 1977 à 1983 -(mais aussi, nous l’avons dit, à partir de 1967)] - jusqu’à mon déménagement pour mon adresse actuelle où, vous le savez, je me mis à écrire les lettres importantes (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/accueil_lettres_a_personnalites.htm) en ayant totalement renoncé à poursuivre mes transmissions à travers Espace et Temps, en raison que je retrouvai dans ce studio de la rue du Val de Grâce, à partir de 2005, ma voix de Vérité après cette amnésie de vingt-sept années de ce qui était advenu de plus qu’exceptionnellissimis…smissime en première avant-première -(avec moi déjà présent / né sur notre planète Terre)- en 1967 et en seconde avant-première en 1977 en synchrone à partir / depuis / avec les années 2005 et suivantes quand cela s’est passé pour la troisième fois -(cette fois dans la réalité), dont les deux premières fois en virtuel alors que nous assistions et entendions d’avance -(en virtuel favorisé en cela par la loi des conséquences : De causes en effets, d’avance remontées à l’échelle universelle -[dans le futur, soit le ciel])- ce qui ne serait en chair et en os, donc dans la réalité, qu’à partir de 2005 ! Mais dont nous avions eu un aperçu à partir de 1967 et 1977 !)].

[3] Le docteur Marcel n’a pas voulu croire que le Xeplion 50 mg était à l’origine de ces acouphènes par mini accident[s] vasculaire[s] cérébraux indétectables par le biais de l’ I. R. M. -(car trop microscopiques – mais vous verrez j’eus à faire un I. R. M. qui nous révéla qu’à première[s] vue[s] tout allait bien)- comme je le pense par acquis de conscience en toute logique -(pour en avoir été le cobaye, soit celui qui, avec moi, se comporte en toute objectivité – puisque depuis 2005 -[je suis]- devenu un éveillé-par-acquis-de-conscience – et analyse -[en temps normal – soit quand je ne souffre pas trop]- chaque effet pour en déterminer la/es cause[s] exacte[s]), alors que ces » bourdonnements dans les oreilles « -(qui ont commencé dès les premiers jours de ma dernière, -[et j’espère]- ultime hospitalisation, en 2017, par conséquent à cause du produit qu’on m’a injecté à mon arrivée -[traumatisé par les manières de faire du docteur Jean-Luc Marcel]- à l’hôpital, entretenus -(à ma sortie de cet hôpital Sainte-Anne)- [ces bourdonnements et corolaires bruits et sifflements et etc.]- dans un premier temps par le Xeplion 100 mg, puis, en raison du sevrage, 50 mg à partir du mois de juillet 2017), soit ces acouphènes étaient inscrits comme un des effets indésirables dans la notice accompagnant le Xeplion 50 mg dont ce « docteur » Marcel avait -(comme son assistante)- probablement oublié la teneur, en prétendant -[(alors que je me référais à cette notice dans laquelle j’y avais trouvé confirmation de l’existence de cet effet indésirable -(des acouphènes)- et que j’eus à l’apporter -[cette notice]- à ces médecins accompagnée de lettres pour être enfin cru]- pour noyer le poisson -(qui était, en situation de faiblesse, à souffrir des martyrs à chaque seconde), que ce qu’il y avait d’inscrit était pour tous les médicaments neuroleptiques la même chose -(aussi, selon eux, il ne fallait pas se fier à cette liste d’effets indésirables car il s’agissait des mêmes effets indésirables des autres médicaments neuroleptiques et, de mon côté j’ai alors pensé : de cette famille de médicaments -(cette façon de dire -[en oubliant que j’avais très mal, particulièrement à cause d’un des effets indésirables du Xeplion signalés / connus officiellement – en en niant l’existence sur la notice malgré qu’il y soit inscrit]- n’avait pas de sens et n’avait que peu à voir avec le fait que ces bourdonnements étaient effectivement mentionnés dans la notice comme possibles sur/pour un certain nombre de sujets / patients, ce qui, à mon avis -(qui à l’aune de ce qu’on me doit de bon ne pèse pas peu)- exigeait de cesser aussitôt la médication étant donné les effets indésirables qu’elle avait sur moi – ce qui était ailleurs conseillé en cas d’apparition de ces troubles, voire ce que le docteur Marcel était censé faire)- d’autant plus que, selon eux -(le docteur Marcel et son assistante Madame Adham), les acouphènes n’y figuraient pas alors qu’il y a d’inscrit, vous le verrez vous-mêmes : « bourdonnements » -[sous-entendu dans la tête, à la rubrique des effets indésirables sur les oreilles, ce que sont les acouphènes])- alors que vous le savez cela ne peut être tout à fait vrai -(étant donné qu’avant de se permettre de commercialiser un nouveau médicament / produit médical, il convient d’inscrire la liste de sces -(ses + ces = sces)- effets indésirables répertoriés, ce qui n’est possible qu’après de très nombreux tests qui sont effectués -(à la charge -[financière]- des)- par les entreprises de l’Industrie Pharmaceutique -(dont les responsables demandent à cet effet de les réaliser -[ces tests]- des crédits aux banques ou/et aux principaux responsables de la Santé d’un Etat -(s’ils ne bénéficient pas d’avances en trésorerie[s] appartenant à la sphère des capitaux d’origine privés)- qu’ils auront à rembourser)- et comme vous le verrez, ces bourdonnements inscrits à la fin de cette lettre, dans la notice du Xeplion 50 mg reproduite -(avec les quelques commentaires que j’y ai, par endroit[s], faits en rouge et les surlignements en jaune phosphorescent indiquant[s] un par un les effets indésirables dont je fus / suis la victime et en vert l’urgence du recours au médecin psychiatre ayant, cela va de soi – s’il ne trouve rien pour faire disparaître ces effets indésirables - alors le devoir de sevrer au plus vite, voire d’arrêter la substance incriminée). Cette notice est bien celle du Xeplion 50 mg car en comparant avec celle du Risperdal 50, on peut vérifier qu’il y a des différences sur certains points de ces effets indésirables même s’il y a, en effet, sur d’autres points des similitudes puisqu’il s’agit, avec le Risperdal, parait-il, de la même famille de médicament que celle du Xeplion -(qui est, il est vrai, un peu moins douloureux -[pour la conscience et l’état général du patient]- que le Risperdal 50 mg qui empêche la plupart des activités intellectuelles -(soit toutes celles qui sont en général consacrées au Bien et à l’Intérêt Général)- en les rendant impossibles car très pénibles et si douloureuses qu’il fait de vous un saint martyr à chaque seconde -(ce qui est aussi vrai pour le Xeplion 50 mg, mais un peu moins martyrisant –[ce qui est toujours bon à prendre]- et cela uniquement si on prend avec le médicament Xeplion 50 mg -(comme 25 mg), comme je l’ai trouvé, le correcteur nommé Artane, comme je me le fis prescrire après avoir testé deux autres dits « correcteurs » ayant, hélas, augmenté mes maux au lieu de les amoindrir / diminuer, car sans ce correcteur -[l’Artane]- la souffrance est telle qu’on ne fait que penser à trouver les moyens de se suicider ou/et d’être euthanasié pour se l’éviter -[cette souffrance] et cela même si on sait q’il suffira de cesser de prendre ce Xeplion pour que tous les maux dont on souffre cessent – aussi Xeplion 50 et/ou Risperdal 50 prescrits sans le correcteur Artane signifient parfois -(selon le cas et de comment sont supportés ces produits – par conséquent en raison des effets indésirables)- la mort du patient à plus ou moins long terme -(d’où l’obligation avec les neuroleptiques de sevrer si possible rapidement le patient pour que cela n’advienne jamais)- d’autant plus qu’on ne pensera pas à le sevrer -(c’est-à-dire à progressivement, de jour en jour, voire dans certains cas limites de semaines en semaines, baisser petit-à-petit le dosage en toute logique et cohérence)- par conséquent qu’on continue à l’empoisonner de mois en mois pour le Xeplion et de quinze jours en quinze jours pour le Risperdal. Aussi cela signifie que celui qui prescrit à ce dosage de 50 mg l’un ou l’autre de ces médicaments est le responsable -(avec son entourage de complices)- de la probable mort du patient, ce qui signifie très logiquement et en toute cohérence avec ce qui est juste, pour ces responsables et corolaires infirmiers complices, à leur tour -[quand ils seront à l’heure de leur respective mort, au moment de la pesée de leur âme]- puisqu’ils ont ce genre de mort[s] sur la conscience -(et se sont comportés en laipis pour prescrire – (vous trouverez la définition de » laipis « plus loin dans cette lettre, bien que pour vous l’éviter je puisse vous donner une idée de l’une des significations synonymiques de ce mot à l’origine un acronyme qui concerne donc en partie lce qui sont devenus des » inconscients «), malgré le bien qu’ils pourraient à d’autres occasions avoir fait -(parce qu’ils ont cru pouvoir prescrire d’aussi ignobles poisons en refusant d’être conséquents avec les effets indésirables annoncés aussi honnêtement et avec autant de transparence -(au point que la prescription de ce genre de médicaments révèle un test qui permet d’identifier les médecins capables, malgré les informations données en toute transparence à propos de ces effets indésirables lesquels seront ceux qui, après en avoir pris connaissance, demeurent capables de les prescrire alors que les sachant d’avance aussi nocifs pour les patients, car il s’agit en réalité de véritables poisons – aussi on a, dans le plus véritable Ciel, une idée du degré de méchanceté et d’inhumanité des médecins en question –(qui ont cru avoir le droit de prescrire une telle « médication » tous démasqués car ils ont cru possible l’impossible, soit prescrire l’un de ces « médicaments » malgré les probabilités -(signalées en chiffres indicatifs)- des très graves effets indésirables annoncés et dont on a obtenu qu’ils seront probables sur/avec l’un ou l’autre des patients et malgré que cette personne s’est plainte d’en souffrir ont cru pouvoir persister dans la prescription de ces substances infiniment dangereuses pour la santé de chaque patient même s’il est probable que certaines personnes n’auront pas ces effets indésirables!)- et endurés par le patient, par conséquent en persistant dans l’erreur de prescrire le « médicaments » à l’origine de ces si injustes souffrances ayant parfois mené jusqu’à la mort du patient – ce qui sera aisé de déterminer et confirmer en vérifiant que les personnes qui se sont suicidées prenaient l’un de ces « médicaments » neuroleptiques), l’obtention d’une ou l’autre des réincarnations les plus malheureusissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes, tristissimis…simissimes et/ou cauchemardesquissimis…simissimes et/ou etc., étant donné que ces pseudo médecins ont été complices de ces sortes de meurtres sacrilèges scandaleux -(souvent par suicide du patient ou mort par épuisement à demander – sans être entendu ni cru alors que disant la Vérité - qu’on cesse à tout prix la prescription du « médicament » responsable de leurs souffrances)- comme tous ceux qui, en créant ces substances empoisonnantes, ont cru possible, malgré à premières-vues l’honnêteté de sa présentation sous la forme de la notice la plus complète possible -(régulièrement mise à jour), avec d’autres, eux aussi complices, les mettre sur le Marché à ces dosages infinimentissimis…simissimement excessifs -(dès 25 mg – Oui ! dès 25 mg ! je persiste et signe de tout mon cœur que l’on sait archi-bon, c’est hélas, infiniment hélas, vrai ! Car ce 25 mg à l’échelle universelle c’est un dosage vraiment énormissimis…simissime -(même si, à-premièrevue[s], voire dans une des logiques des vérités à géométries variables -[qui ont à voir avec la notion de vérités relatives], elle serait vue comme peu de chose à l’aune de doses plus importantes que les mêmes -(ou d’autres du même genre)- croient pouvoir proposer / prescrire -[hélas, infiniment hélas pour la plus véritable des Médecines qui ici se déshonore – et c’est peu dire en se trompant et en trompant de la sorte] – (sans en avoir le droit en Vérité en raison de la connaissances des effets indésirables de ces substances) - et croyez-moi je minimise encore de ce que cela représente en cette réalité de l’échelle universelle auquel le Grand Architecte de l’Univers -[G. Ô.]- m’a donné accès, soit la connaissance la plus exacte de ces mécanismes pour être vos dévoués serviteurs et vous éviter à chacun le pire !)- et très réellement dangereux pour le psychisme et les répercussions physiques douloureusissimis…simissimes et etc. de ceux-ci) – comme si cela avait un intérêt quelconque de transformer une personne en martyr ? Et si encore ce martyr pouvait, comme le Christ et les Saints, servir à quelque chose ? Hélas ou/et heureusement dans ce cas à rien du tout : le temps de vie -[d’une personne]- rendu, durant ce temps, cauchemardesque et insupportable et etc. pour ce patient : aucun bénéfice[s] ni pour cette personne qui connaît ainsi des souffrances incommensurabilissimis…simissimes et aussi injustissimis…simissimes qu’on pouvait bien sûr les lui éviter en s’interdisant en conscience de prescrire de telles « médecines » ni, évidemment –[aucun bénéfice(s)], pour l’Ensemble ! Du temps perdu -[d’une personne ayant virtuellement de nombreuses compétences – (comme je l’ai démontré avec moi-même entre autres au cours de la réalisation de mon film La Momie à mi-mots) qui auraient pu être utiles à tous sur différents autres plans], inutilement gâché !). Aussi, ici en fin de ce texte -(non en notes de bas de page comme ici, mais dans le corps principal de cette lettre à laquelle ces notes de bas de page sont rattachées), il s’agit bel et bien d’une notice d’un « médicament » étudié au cas par cas -(bien qu’il soit vrai qu’on retrouve quelques-uns des mêmes effets dans la notice du Risperdal 50 mg -(qui a d’autres effets indésirables, voire quelques-uns plus ou moins les mêmes mais, on le sait, encore plus forts au sens de plus douloureux et nocifs – ce que j’ai pu constater sur moi-même en vos dévoués serviteurs). 

Mais j’ai finalement compris la raison pour laquelle ce « médecin » n’avait pas pu croire que ces acouphènes étaient causés par le Xeplion et/ou Risperdal 50 mg -(voire 25 mg): il ignorait que le mot d’acouphène que j’employai pour dire ce dont j’étais victime, signifiait, entre autre[s], ces douloureusissimis…simissimes bourdonnements -(bruits)- ou/et sifflements, etc. dans la tête -(dans mon cas, à l’époque, au niveau de mon oreille droite) ! Aussi comme le mot d’» acouphène[s] « n’avait pas été employé par écrit dans la notice -(pas même entre-parenthèses pour donner ainsi de plus amples explications et révéler ainsi un des synonymes possibles, voire des noms savant[s] de bruits et/ou bourdonnements, etc.), le docteur Jean-Luc Marcel a constemment nié que ces bourdonnements et bruits et sifflements et, etc. dans la tête, [dans mon cas au niveau de l’ouïe droite]- que j’appelai » acouphènes « étaient dus au Xeplion 50 mg -{[(car il s’agit de cela avec ce synonyme -[acouphènes]- de bourdonnements –(voir à ce sujet par exemple https://www.hear-it.org/fr/principales-causes ou/et faire d’autres recherches sur le mot d’» acouphène « : c’est bien le mot savant -(puisque je m’adressai à des docteurs, je l’avais trouvé / cherché à cet effet de leur simplifier la compréhension ne sachant pas/plus -[tant j’en souffrais]- qu’on pouvait le leur dire plus simplement en les -(ces acouphènes)- leur décrivant comme des » bourdonnements « et/ou » sifflements « ou/et » bruits, ce qui m’avait pourtant permis à un autre moment de trouver ce mot d’» acouphène « au sujet de ce dont je souffrais dont il est vrai -[que]- dès que cela a commencé, à cause des effets des médicaments qu’on m’avait imposé de force contre mon gré -(contre ma volonté, en violant les droits de ma personne à les refuser pour les raisons que l’on comprendra mieux dans cette lettre)- je ne trouvai pas les mots pour les décrire mais je suis parvenu à le faire comprendre -(dans les jours qui ont suivi ma sortie de l’hôpital)- [alors que je souffrais les martyrs incommensurab[i]lissimis…simissimes et insupportabilissimis…simissimes et etc. -[et c’est toujours ici trop peu dire]- du Xeplion 100 mg]- d’une façon muette à ma sœur Florence qui m’a alors révélé le mot d’» acouphène[s] «, ce qui m’a permis de faire des recherches sur Internet à ce propos en comprenant alors mieux les autres synonymes plus simples du langage usuel et en trouvant la copie de la notice du « médicament » Xeplion où je les découvrais ainsi inscrits comme vous pourrez vous-même, à la fin de ce texte-lettre, le vérifier)- employé pour désigner ces bourdonnements et bruits et sifflements et etc. dans la tête ou/et dans les oreilles -(bruits qui pourraient parfois s’apparenter de loin à ceux de cigales, mais parce que dans la tête, de façon continu[e][s], pas du tout agréables comme les sons merveilleux des véritables cigales perçus, durant l’été, à l’extérieur de soi –[et non dans la tête, même si c’est la tête qui les perçoit ainsi à l’extérieur de soi, dans la Nature], là d’où ils proviennent ; par exemple à la campagne)]}. 

C’est pourquoi le docteur Marcel, par l’intermédiaire de son assistante, a cru pouvoir se débarrasser du très grave problème qui me faisait horriblement souffrir -(et c’est, encore une fois, peu dire) - à ces moments que l’on sait -(couché, voire parfois debout, le matin, avant heureusement de disparaître à force d’être debout ou/et assis – le sang -[contenant le produit chimique du Xeplion dosé à 50 mg]- montant différemment à la tête -(sans doute plus péniblement, ce qui est à l’origine de certaines fatigues)- qu’en position couché[e] au repos, par conséquent n’irrigant pas autant – aussi facilement - les mêmes points du cerveau qu’en position couché[e]), en m’envoyant -[tandis que j’en souffrais et qu’il aurait dû m’écouter pour supprimer ce Xeplion -(ce qui aurait tout arrangé car c’était possible d’autant qu’il avait constaté – je le lui ai rappelé - que j’étais comme sevré du Risperdal 25 mg depuis au moins trois ans quand il décida arbitrairement, donc par caprice ou méchanceté à mon sujet de m’hospitaliser!)]- chez l’O. R. L. qui, à son tour, après divers tests audio et m’avoir nettoyé en profondeur les oreilles, m’a envoyé faire un scanner I. R. M. pour conclure –(de manière confidentielle – oralement – [entre nous], pour éviter ainsi de se faire un ennemi du docteur Marcel en écrivant –[officialisant]- sa conclusion)- que comme il ne voyait rien d’anormal sur cet I. R. M. c’était bien -(comme je le pensai)- le Xeplion 50 mg qui était très probablement en cause, ce que je n’ai pas manqué de dire / transmettre / répéter à la doctoresse Adham -(d’autant plus que cela était confirmé par écrit dans la notice du Xeplion 50 mg et 25 mg)- qui s’est, elle aussi -(comme son chef le docteur Marcel)- entêtée à dire à chacun des rendez-vous, alors que je m’en plaignis, que ces acouphènes ne pouvaient provenir du Xeplion 50 mg -(en ne voulant pas cesser de me prescrire ce Xeplion 50 mg, et ne voulant pas me faire passer - comme je le réclamai au moins - à Xeplion 25 mg à la place puisqu’ils ne voulaient pas arrêter de me prescrire ce Xeplion 50 mg pour constater alors -(dans ce cas contraire où ils auraient accepté de baisser le dosage), [comme je l’affirmai très logiquement], la mathématique fin des acouphènes -(puisque connaissant la cause cela m’avait permis de trouver le remède / la solution alternative élégante, en toute logique et comme d’habitude depuis que je suis devenu un éveillé -(soit les bouddhahs): au moins baisser le dosage): ce qui, dans le cas contraire -(soit celui où j’aurais eu à prendre le Xeplion 25 mg à la place du 50 mg, soit de baisser de la moitié le dosage)- aurait probablement fait commencer à disparaître, (voire au moins atténuer grandement), un bon nombre des effets indésirables du Xeplion dont j’ai été la victime, évidemment, vous pouvez l’imaginer aisément, non consentante -(il va en le disant : cela va sans être dit) - car évidemment aucunement masochiste -[ce qui est, hélas, une autre des maladies possibles de l’âme]- et finalement ainsi prouver encore une fois qu’il fallait supprimer la médication du Xeplion d’autant plus, comme vous le lirez, qu’avant cette hospitalisation de 2017, vous le comprendrez comme un paramètre auquel vous n’av[i]ez pas pensé, j’étais depuis au moins trois ans -(je vous le démontrerai dans cette lettre écrite à partir de mes méditations sur la chronologie de mes injections en raison de mon carnet des injections sur lequel je suis allé méditer – ce que, si vous voulez, vous pouvez de votre côté vérifier au CMP – centre médico-psychologique - dont vous dépendez - en retrouvant toutes les dates de ces injections à la teneur de la demi-dose de Risperdal 25 mg et leur périodicité de 2014 à 2017, soit, à partir du 27 février 2014, de toutes les cinq semaines à toutes les sept semaines celles-ci!), pour ainsi dire, quasiment sevré du Risperdal 25 mg à la demi-dose de 25 mg toutes les sept semaines), par conséquent en continuant sadiquement -(ce qui donne des réincarnations d’animaux aux canines démesurément développées, ce qui est donc aussi une maladie de l’âme qui a cru pouvoir exclure l’amour plus véritable qu’on nomme alors -[a]Amour, voire Amour, soit comme, par exemple, celui du Christ ou de l’un ou/et l’autre des bouddhas, voire de Mahomet et d’autres hommes remarquables comme certains des plus véritables [a]Artistes)- à me faire souffrir horriblement sur tous les points de ces effets indésirables dont j’avais parlé y compris par écrit), alors que j’assurai -(en très véritable docteur des Universités, soit en scientifique véritablement objectif faisant continuellement la synthèse de sa subjectivité avec l’objectivité et d’autres catégories ou/et paramètres -(objectifs), d’autant plus que, depuis 2005, éveillé par acquis de conscience -(soit bouddha), ne pouvant me tromper car / parce que le premier concerné, soit le patient lui-même qui sait de quoi il parle en décrivant l’un de ses maux parce qu’il en est le sujet -(pour les médecins), voire autrement-vue par lui-même, l’objet !)- qu’ils étaient apparus en tant que ces plus que martyrisantissimis…simissimes acouphènes, soit comme des douleurs insupportabilissimis…simissimes à chaque fraction de seconde -(et croyez-moi je n’exagère aucunement au point même que c’est ici avec ces superlatifs absolus encore en-deçà de la Vérité de ce qu’on endure avec ces genres d’acouphènes, ne serait-ce qu’une seule seconde -(alors imaginez un peu ce que cela signifie nuit après nuit, même en bénéficiant d’un somnifère pour momentanément les faire disparaître par le sommeil, seul refuge, une fois étendu quand ces acouphènes apparaissent dans cette position couchée bruyants en soi d’autant plus qu’on souffre les autres martyrs liés à quelques-uns des autres effets indésirables du Xeplion en raison que, de plus, on ne vous a pas prescrit le bon médicament correcteur de ces effets indésirables !), soit ceux dont je fus victime durant mon hospitalisation mais aussi après, à cause de ce Xeplion 50 mg -(qui, au départ, avait été administré à 100 mg avant que, pour commencer à me sevrer progressivement de ce Xeplion 100 mg, madame la doctoresse Adham, notemment grâce aux interventions de ma sœur, ne le baisse à 50 mg – ce qui, hélas, a maintenant duré plus de trois immensément longues années –(de mon côté vécues chaque seconde de celles-ci à l’échelle universelle, ce qui signifie vraiment – vous ne pouvez pas avoir idée de ce que cela signifie - beaucoup de temps)- durant lesquelles j’ai espéré à de très nombreux moments, en grand inspecteur les eanmeailleurs lui-même -(soit vos dévoués serviteurs le premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine –[H. A. H.]- a être devenu un des bouddha[h]s, soit autrement dit un des éveillés), toutes les quatre semaines -[quand je me rendais à mes rendez-vous au C. M. P. -(centre médico psychologique du quartier)- pour obtenir du médecin, (votre prédécesseure ou prédécétrice – [formé ainsi sur » prédicatrice «]), l’ordonnance pour l’injection de la fois suivante, toutes les quatre semaines]- qu’on continue / poursuive ce nécessaire sevrage -(comme cela avait été dit et promis par madame la doctoresse Adham à mon retour de l’hospitalisation au point même de me proposer -(au moment de la décision qui fut prise de baisser le traitement)- un instant, de passer tout de suite à Xeplion 25 mg, ce qui n’a malheureusement pas été le cas)- en passant à 25 mg pour ensuite continuer à réaliser -[de nouveau]- cette fois-ci avec le Xeplion, le sevrage que j’ai mis au point, comme vous allez le découvrir dans le corps principal de ce texte, notre lettre, avec madame la docteuresse Koechlin avec/pour le Risperdal 25 mg, de 2013 à 2017, avant cette si injustissimis…simissime et si cruellissimis…simissime et si douloureusissimis…simissime et insupportabilissimis…simissime et horribilissimis…simissime et etc., vous en conviendrez après la lecture de cette lettre, satanéissimis…simissime et surtout scandaleusissimis…simissime -[sur le plan de la plus véritable et exacte Médecine – vous lirez et saurez]- hospitalisation dont vous comprendrez dans le texte de cette lettre pourquoi elle le fut et pourquoi je me suis opposé, avec raison -(en conscience et en toute logique et cohérence avec ma situation), à ce qu’elle fut au point d’avoir, quand le jour sera venu – il est venu - à devoir en demander réparation[s] sous forme de compensations financières pour les immenses pertes -[de temps]- subies à mon échelle d’eanmeailleurs -(soit d’empereur-bouddhahs et …)- et pour que » plus jamais ça « en très/plus véritable Médecine!). 

[4] et 4 bis https://fr.productdocs.jnj.com/sites/fr.productdocs.jnj.com/files/smpc_france/Notice-Utilisateur-Xeplion-100-mg-150-mg-25-mg-50-mg-75-mg-Suspension-injectable-a-liberation-prolongee.pdf

[5] On a vu : je propose aussi » prédécétrice « -(sur le modèle de prédicatrice, etc.), difficile à dire, voire à comprendre.

[6] S. E. A. I. S. S. S. L. P = Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes …

[7] https://leballetroyal.bigcartel.com/product/poesie-shehe-resistance-de-michele-finck

[8] Si vous pensez impossible de cesser du jour au lendemain la médication du Xeplion 50 mg à l’origine de tant d’effets indésirables cauchemardesquissimis…simissimes, insupportabilissimis…simissimes, et etc. vous avez la possibilité de procéder par étapes, [comme ce fut le cas avec madame Koechlin pour le Risperdal 25 mg], qui sont celles de la poursuite d’un sevrage -(ce qui est absolument obligatoire en Médecine pour la plupart des médicaments qui sont censés agir sur le psychisme ou/et la conscience, en ayant hélas ce genre de conséquences douloureusissimis…simissimes à cause des divers effets indésirables sur les plans physique et psychique.

[9] Ou SPOK -(acronyme exceptionnel -[qui confirme la règle en faisant exception]- de situations précises, occasions, cas particuliers -[car ici c de cas + p de particuliers = k de SPOK])

[10] Prédécétrices forgé sur prédicatrice même si à-première-lu peu heureux, voire moins heureux que prédécesseures qui serait / est le féminin de prédécesseurs –bien que ce terme s’entende kif-kif -(pareil).

[11] Variante : -(dont les êtres humains sont composés), soit les différents appareils dont nous sommes composés.

[12] Empereur + bouddhahs = eanmeailleurs.

[13] Je ne sais exactement où et c’est probable qu’en faisant des recherches on le trouvera mieux dit que dans votre lettre quand on aura retrouvé ainsi ce petit texte mais/et c’est au point qu’il soit probable que j’ai un temps accepté de vérifier sur moi-même qu’il n’y a probablement rien de pire comme souffrance à supporter – donc insupportablissimis…simissime que celle des acouphènes -(les plus forts, évidemment, car il y a ici -[comme ailleurs]- des degrés d’intensité[s] différente[s] qui peuvent être comparés à des volumes sonores plus ou moins forts -[dans le cerveau, soit dans la tête à proximité des oreilles, voire seulement d’une des deux oreilles], donc certains acouphènes plus supportables que d’autres)- comme handicape, de manière à ce que, dans un premier temps, je trouve au moins ce remède de fortune à proposer -(qui, je pense, marchera sur un certain nombre des patients / victimes, pour les soulager au moins momentanément comme les jours où ces acouphènes ainsi disparus, hélas, infiniment hélas, reviennent)- ce qui a permis aussi de déterminer la cause de ce qui pouvait / peu créer ces acouphènes sur une personne humaine : ce sont parmi d’autres causes qui peuvent être à l’origine de ces bourdonnements / acouphènes dans les oreilles ou le cerveau, les «  médicaments » Risperdal 50 mg et Xeplion 50 mg et 25 mg qui sont en cause comme d’autres neuroleptiques qui fort honnêtement d’ailleurs en signale la probabilité -[de contracter ces acouphènes / bourdonnements]- dans les notices comme celle du Trivecta et celles des médicaments précédemment signalés. Aussi je conseille aux Médecins -(les plus véritables car ayant pris soins de devenir des éveillés par acquis de conscience, soit des bouddhas)- dont leur patient leur dit qu’il a des acouphènes, de cesser aussitôt de prescrire ces médicaments du Risperdal, du Xeplion et/ou du Trivecta car il n’y a rien de pire à vivre que les acouphènes -[les plus forts]- à supporter

–[car déjà les plus faibles, comme les oreilles qui sifflent, cela devient à la longue affreux / inquiétant / horrible à vivre -(par exemple vers la fin du normalement progressif atterrissage de l’avion qui nous portait vers d’autres cieux cela peut arriver que les oreilles sifflent, voire se mettent à bourdonner, en raison de ce qu’on est passé trop rapidement / brusquement d’une altitude assez importante -(parait-il à notre époque la pressurisation – en général est - à l’équivalent de trois mille mètres d’altitude, même si l’appareil volant à dix mille mètres ! Quand parait-il d’autres modèles d’avion vont plus loin avec leur pressurisation étant heureusement encore moins élevée !)-  à celle au niveau du sol, l’avion n’ayant pas procédé pour son atterrissage par assez de paliers

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-(par exemple, une idée, de deux-cent cinquante mètres -[250]- en deux cent cinquante mètres -[250]-, avec au moins une bonne minute de vol à l’altitude rejointe, d’une certaine façon à l’inverse des paliers de décompression qu’on est contraint à/de s’imposer de faire quand on plonge en mer avant de remonter à la surface : on veillera, pour éviter les acouphènes / bourdonnements et/ou sifflements aux personnes qui pourraient en être victime, de faire les premiers paliers de 250 mètres de dénivelé plus longuement que les derniers paliers plus on s’approchera du niveau du sol, soit à partir de mille mètres -[1 000 m]- d’altitude de pressurisation où une minute de vol à l’altitude rejointe devrait suffire tous les 250 mètres, aussi cela signifie qu’à 2 750 mètres d’altitude de pressurisation, on restera au moins cinq minutes comme à 2 500 mètres d’altitude de pressurisation –[A. P.], 

mais quatre minutes -(4)- au palier de 2 250 mètres et 2 000 mètres d’altitude de pressurisation, 

trois –[3]- minutes de vol à chacun des paliers entre 2 000 mètres et mille cinq cent -[1 500]-, 

deux [2] minutes de temps de vol de mille cinq cent -[1 500]- mètres d’altitude à mille -[1 000]- mètres, 

et enfin une minute trente de 1 000 mètres à 500 mètres 

pour enfin une -(1)- seule minute d’A. P. à 500 mètres d’altitude de pressurisation et à deux cent cinquante -[250] mètres d’A. P..

et enfin moins de temps encore au niveau de la mer, au-dessous de ces 250 mètres -(qui peuvent servir à faire des paliers par exemple aux ULM ne montant pas ainsi trop haut, cependant que nous ne parlions pas d’ULM mais ci-dessus d’avions pour le Tourisme ou pour les déplacements professionnels, voire les échanges commerciaux avec des animaux transportés qui ne peuvent pas encore nous dire s’ils ont des acouphènes à l’arrivée), 

par exemple l’aéroport de Nice, 

cependant que le nombre de minutes de ces paliers sera évidemment différent, voire inexistant[s] pour, par exemple, atterrir à Mexico ou dans une ville népalaise ou tibétaine au-dessus des trois mille mètres d’A. P. où ces paliers ne sont pas/plus nécessaires, cela va de soi, car on est alors dans l’autre sens : c’est l’inverse -(à atterrir plus haut que de là où on est parti), d’autant plus en fonction de l’altitude à laquelle on a embarqué pour rejoindre l’une de ces destinations où l’on doit atterrir plus haut que l’altitude de pressurisation à laquelle on a volé, soit à notre époque nous l’avons dit, en moyenne 3 000 mètres, mais aussi de laquelle on venait – de même pour décoller et rejoindre l’altitude de croisière -[A. C.]- (qui est parait-il d’environ dix mille mètres en moyenne pour les longs courriers, donc ce qui représente trois mille mètres d’A. P.,)- il est conseillé de faire des paliers de deux cent cinquante mètres d’A. P. en 250 mètres d’A. P. car il faut évidemment éviter les transports au cerveau mais aussi les A. V. C. ou/et mini ou/et micro AVC indiscernables – qu’on ne peut pas encore voir / déterminer)- pour progressivement adapter notre organisme à ces différentes altitudes] ; 

c’est vraiment insupportable au point, avec les pires -(soit les plus forts de ces acouphènes / bourdonnements et etc. – sifflements, … - dans la tête au niveau des oreilles)- qu’on désire mourir à chaque seconde. Donc une des tortures les plus horrible[s] à vivre / souffrir, soit le malheur des malheurs le plus insupportab[i]lissimis…simissime. Ce qui signifie le martyr des martyrs qui, heureusement, parait-il, ne toucherait que quelques personnes -(un pourcentage faible de SPOK / cas, donc rare)- sur le nombre de celles auxquelles on a prescrit l’un ou l’autre de ces « médicaments » dont on sait maintenant d’une façon très sûre / claire qu’ils sont en/la cause des acouphènes / bourdonnements / sifflements donc qu’il convient aussitôt qu’on est victime de ces bourdonnements, etc. d’avoir à impérativement / eanmeailleuralment les arrêter pour retrouver son ouïe rétablie sans ce très gravissimis…simissime problème pouvant affecter horriblement la santé de ceux qui en sont victime[s]. 

[14] https://fr.productdocs.jnj.com/sites/fr.productdocs.jnj.com/files/smpc_france/Notice-Utilisateur-Xeplion-100-mg-150-mg-25-mg-50-mg-75-mg-Suspension-injectable-a-liberation-prolongee.pdf

[15] http://granier.laury.free.fr/sauvetage_personnes_agees/sauvetage_personnes_agees_04042015.htm - à ce propos il faudra revoir la liste des fossés-douves/trous à infarctus -(crises cardiaques)- car j’ai découvert qu’il y a erreur pour les années inscrites à ce jour du 29 août 2020 sur mon site à ce sujet de ces fossés / douves à crises cardiaques car entre temps j’ai rétabli les faits étant donné que c’est l’année 2005 qui correspond à l’année 1977 et probablement aussi à l’année où s’est déroulé Le Jour le Plus Long -(soit, si je ne m’abuse, du 5 au six Juin 1944)- ce qui s’est passé aussi à mon échelle pharaonique à l’occasion d’une journée en 2005 mais aussi en 1967 et 1977). Aussi il n’est pas/plus sûr que cela aille tous les dix ans à partir de ces dates, ce que j’ai cru longtemps avant de comprendre, bien après le moment où j’ai commencé à écrire ces dates avec ces horaires qu’il y avait un décalage de deux à trois ans sur grosso modo trente ans car 2005 est à vingt-sept ans de 1977 et non à trente ans !). 

Ce n’est donc pas aussi simple en définitive que ces horaires des crises cardiaques annoncées ainsi à la fois pour comprendre toutes celles ayant eu lieu dans le passé et d’avance les crises cardiaques de ceux qui en seront victime dans le futur. 

Ce qu’il faudrait comprendre c’est pourquoi vingt-sept ans et trente-sept ans -[pour]- ces communications à travers Espace et Temps dans le passé et non pas trente ans et quarante ans, ce qui nous aurait facilité le travail à propos de ces douves / fossés à infarctus et cela d’autant plus que cela continue de m’arriver -(bien qu’assez / plutôt    rarement heureusement depuis plusieurs années)- ces sortes de coups de poignards dans mon cœur -(alors qu’il n’y a personne autour de moi – ce qui signifie qu’elles adviennent en moi dans le cœur), bien que, je le souligne, beaucoup plus rarement en 2020, soit quinze années après 2005 probablement synchrone avec 2015, 2025, voire 2035 -(ce qui n’est pas sûr à 100% en raison de l’expérience de ce décalage il y a eu entre 1977 et 2005. 

Mais comment est-il possible [ce décalage] ? A quoi serait-il dû ? etc. ?

Au point de confirmer que c’est bien un système décimal avec la correspondance avec 1967, dix ans avant 1977 !), car il y a les horaires que je n’ai pas encore à cette heure-ci marqués en complément, (soit les suivants que j’ai à rassembler et à continuer de publier), probablement touchant[s] depuis 2015 les mêmes années qui ont été signalées être synchrones avec celles du passé. 

Aussi il est probable que l’année 2007 ne soit pas synchrone avec l’année 2017, 2027, 2037, etc. car elle n’est pas synchro avec 1977 mais nous l’avons vérifié avec 1979, par conséquent 1969, comme ce fut effectivement le SPOK/ cas, par conséquent aussi avec 1959, 1949, 1939, etc. -(sauf que je suis à peu près à 100% certain que c’est avec 1944 et non 1949 ! D’où un autre décalage qu’il y aurait eu dans le passé – d’où peut bien venir bon Dieu ce décalage et pourquoi ? )- si on considère que cela va ainsi tous les dix ans, mais nous voyons bien que ce n’est pas tous les dix ans puisque 1979 est synchrone sur une trentaine d’années -(en réalité vingt-sept ans)- avec 2007 et non avec 2009 ! 

D’où un très délicat problème à résoudre avant de considérer tous ces horaires comme valables tout-à-fait à 100% -(ce qui pourrait être le SPOK autrement vu – sur un autre plan car il s’agit du futur et non du passé d’autant que d’une part je me suis vu d’avance dans le ciel grosso modo à la même adresse et d’autre part qu’il y a bien un système décimal de correspondances – soit synchrones – crées universellement entre 1977 et 1967 et qui s’était effectivement mis en place pour ces communications à travers Espace et Temps effectuées dans le Ciel de ces années-là. 

Ne concernent-ils pas d’autres années dans le futur qui seraient décalées puisque 1977 est synchro[ne] avec 2005 et non avec 2007 ? C’est ici ce qu’il faudra résoudre de nouveau car je crois me souvenir que j’ai envoyé un e.mail à un des organismes spécialistes du cœur -(qui ne m’a jamais répondu)- et des problèmes cardiaques que je voulais avertir puisque le problème relevait de leurs compétences qui plus est gouvernementales -(ayant reçu l’appui financier du Ministère de la Santé, donc de l’Etat)- et auquel j’ai transmis alors, (avec l’adresse Internet de ces pages de mon site concernant ces douves cardiaques pour que cela les aide à diffuser ces informations / renseignements vitales / vitaux), la résolution du problème qu’il faudrait que j’arrive de nouveau à résoudre dans l’Intérêt Général et pour le Bien Général en déterminant enfin si nous pouvons oui ou non nous fier de nouveau au système décimal -(dans ce cas-là de ces douves / … à infarctus)- confirmé par la totale correspondance existante entre / à partir de 1967 avec 1977 et les années suivantes ! Aussi cela serait juste de le croire, au point qu’à partir de 2015 tous les nouveaux fossés / douves / trous à infarctus doivent prendre place dans la dizaine d’années qui va de 2005 à 2015 puis de 2015 à 2025, de 2025 à 2035, etc. y compris les prochains coups portés à mon cœur, quand hélas infiniment hélas ils se produisent. 

Sinon il est / sera -(comme je l’ai marqué)- possible / facile de prévoir ces fossés / trous / douves à infarctus / crises cardiaques comme je l’ai dit sur les pages de mon site -(en y inscrivant /offrant / proposant même la méthode pour une telle réalisation que j’ai alors trouvée / forgée)- en mettant en œuvre un recueil de données sur au moins les trente prochaines années et cela à l’échelle planétaire pour rassembler / centraliser à partir des futurs constats des médecins concernant les crises cardiaques de leurs patients les jours ou les nuits durant lesquelles ces crises cardiaques adviendront -(oui, mais alors que faisons-nous des fausses déclarations des faux-médecins ? – il y aura ce problème à résoudre – il faut que ceux-ci trouvent autre chose que le motif d’une crise cardiaque pour éviter de nous induire tous en erreur – leur rappeler quelle malheureuse réincarnation ils obtiendront s’ils souillent d’un atome ou plus de cela, avec leurs mensonges, ce projet)-  et ces relevés très précisément d’autant que l’on sait que je n’ai pu que rarement noter les horaires des crises cardiaques ayant touché mes nuits -(car je dormais)- aussi ces horaires où ces crises cardiaques ont eu lieu durant la nuit nous ne les avons pas tous, voire presque pas du tout – quelques-uns seulement -(trop peu au point de justifier amplement la mise au point comme/de ces Recherches à faire / d’en être le socle, soit l’origine : la raison d’être pour rassembler ces données vitales pour les générations à venir, bref ce qui en légitime sur le plan de la Conscience la collecte / la peine)- quand je me suis couché tard après des journées harassantes de travaux -(avec mes communications à travers Espace et Temps de 2005 à 2013 sur les années 1967 mais aussi 1977 et suivantes – Transmissions en Universel). Aussi il faudrait ici la collaboration de tous les médecins -[du monde entier]- et des considérés comme tels sur ce sujet -(pas seulement des cardiologues mais aussi des médecins généralistes)- qui dès qu’ils constatent que leur patient est mort d’une crise cardiaque -(et qu’ils en sont sûr à cent pour cent en en connaissant l’horaire à peu près précis)- l’inscrit dans cette base de donnée publique et traduite avec l’heure où approximativement ou plus précisément -(ce qu’il vaut mieux)- cette crise cardiaque a eu lieu ainsi que le jour, le mois et l’année, le lieu, etc. dans cette base de donnée, ce qui permettra de voir petit à petit apparaître les moments dangereux -[à risque], soit tous ceux qui se reproduiraient de dix ans en dix an-(cela pourrait se faire sur cent ans, voire au départ sur trente ou cinquante ans, voire continuer au-delà de cent cinquante ans pour finalement avoir d’avance des certitudes sacrées en matière de prévisions cardiologiques)- où il y a eu le plus de crises cardiaques, ce qui probablement permettra un jour de confirmer l’espèce de calendrier sommaire -(car les horaires durant mes nuits parisiennes n’y sont pas inscrits sauf exception[s])- bien qu’assez précis tout de même que j’ai constitué à partir de ces espèces / sortes de coups de poignard[s] -[que j’ai ressentis parfois en croyant que j’allais mourir alors qu’empereur devenu depuis peu eanmeailleurs -(soit empereur + bouddhahs, soit, si j’ai bien compris, une personne plutôt centrale dans l’Univers au point qu’il soit probable que de nombreux cœurs soient en communion avec le mien)]- dans mon cœur aux dates et horaires indiqués / signalés. On saura alors au plus juste quelles années ce calendrier concernait plus précisément, en sachant aussi que les horaires de ces crises cardiaques sont entre l’horaire de début et celui de fin que j’ai marqué. 

En attendant mon calendrier de ces fossés / douves / trous à crises cardiaques reste valable si on croit malgré mon bémol -(qui j’espère trouvera un jour une explication – ces vingt-sept ans au lieu de trente ans)- que 2005 a des chances de correspondre à 2015, 2025, 2035, 2045, etc. -(ce qui est probablement possible)- soit au système décimal comme je suis malgré tout à la réflexion faite malgré ce bémol -(à l’origine de cette note de bas / fin de page)- assez / plutôt tenté de le croire. Aussi il ne reste plus qu’à y inscrire les horaires que je n’ai pas eu le temps de reporter / publier comme tous ceux qu’on découvrira en appliquant ma proposition de méthode de recherche pour ce travail pharaonique à centraliser / coordonner à l’échelle planétaire avec tous les hommes et les femmes de bonne volonté car il pourrait continuer au-delà, dans une perspective à plus ou moins long terme, ce qui pourrait permettre -[d’affiner ces prévisions]- en fin de compte[s] de constituer par région / pays des prédictions en vérité plus sûres / complètes pour les gens qui devenus âgés n’auraient plus à bouger à ces horaires-là, voire pourraient bouger à ces horaires-là s’ils cherchent autant que cela à se suicider -(cependant il convient de leur dire qu’il s’agit de probabilité[s] et non d’une chose tout à fait sûre et certaine que ces horaires archivés au cours de ce travail titanesque de fourmis – cela ressemble donc à l’importance des prévisions météorologiques avant la Seconde Guerre Mondiale du côté des Alliés se basant sur des relevés de baromètres archivés par une dame admirable pour entrer dans les paramètres à retenir pour conseiller le mieux pour débarquer – ce que j’ai vu ces jours-ci dans un documentaire sur Arte)- bien qu’en nous basant sur les horaires sûrs que j’ai déjà rassemblés il y ait de véritables chances pour que la somme de ces horaires à l’échelle planétaire heure par heure minute par minute nous offre enfin un calendrier cardiologique de ces probables infarctus plus précis !

[16] Vous en prendrez connaissance vers la fin de la lettre avec chacun des effets indésirables qui m’ont touchés ou/et me touche[nt] -[à l’heure où je vous écris cette lettre]- surlignés en jaune phosphorescent genre effet Stabilo.

[17] Bouddhahs + empereur = eanmeailleurs.

[18] Il est vrai qu’il parait qu’en Démocratie tous auraient théoriquement voix au chapitre cependant qu’en réalité il serait plus juste, pour éviter de perdre du Temps, de ne reconnaître avoir ce droit qu’à ceux qui ont eu accès à leur conscience, soit par la même occasion à une partie de la mémoire, voire à toute si cette dernière devait être stockée quelque part en eux. En effet, car hélas infiniment hélas, les autres, bien que la plupart par les activités / métiers qui sont les leurs, sur la voie qui pourrait les mener à retrouver cette conscience qu’ils auraient à un moment donné perdue, sont, par ignorance[s] de différente[s] sorte[s] constemment à oublier des paramètres importants qui, parce qu’ils ne font pas l’objet d’un oubli chez tous ceux qui sont devenus de véritables éveillés, soit des bouddhas, permettent en général de trouver la meilleure résolution aux problèmes qui se poseront, se sont posés, se posent, etc.

[19] Un acronyme qui fait exception, donc exceptionnel – ce qui parfois / souvent confirme la règle. En effet, car la lettre K du mot SPOK, toujours écrit en majuscule -[du moins à l’époque où j’inventai ce mot de SPOK, soit récemment -(du moins dans cette dernière réincarnation)], résulte de c de cas et du p de particulier : elle se situe sur/dans les abécédaires grosso modo entre ces deux lettres du c et du p !

[20]http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm

[21] -(et pour moi – j’en conviens, mais avec un bémol, celui d’un peintre miniaturiste –[par conséquent soucieux des détails même de ce àpremièrevue[s] -(à première-vue[s])- minimum d’importance]- car cela demeure, malgré tout, un petit quelque chose à prendre toutes les cinq semaines –[voire sept comme cela sera enfin le SPOK]- dont il convenait d’être sevré / débarrassé à jamais pour reprendre une vie normale après cette parenthèse ayant concerné les années 2005 à 2013 suivies par mon déménagement du lieu où ont eu lieu les transmissions à travers Espace et Temps des Avertissements[,] de la Dictée Pharaonique, soit en 2013 le moment où j’ai été contraint à cesser, malgré mon désir d’être encore utile à l’Intérêt et au Bien Général en continuant à/de transmettre à travers Espace et Temps la Dictée Pharaonique en étant apparu immense constitué de nuages et entendu dans le ciel de Rome à partir des années 1977 et suivantes, découvertes et vérifiées autant que cela synchrones avec celles de 2005 et suivantes)-

[22] J’ai expliqué ailleurs pourquoi j’ai ajouté cet h et ce s dans mon cas à bouddha. Cela peut aussi à voir avec la note suivante ci-après :

[23] Cela peut ici à voir avec la note de bas de page précédente.

[24] Ou anciennement » parce que «.

[25] Ces paramètres sont développés dans les lettres que vous savez aux Présidents de la République française et dans celle aux Papes, comme dans celle au cardinal Vingt-Trois. Ils sont évidents : j’ai dû, avec le sacrifice que j’ai fait de mes enfants attendus avec S. A. I. S. S. S. Sérénissimes Princesses Christine … Lang en 1977, dans cet » ou bien « de la Création, m’ingénier à sauver dans un premier temps  rétroactivement notre planète à partir de quatre époques dans le passé situées synchrones entre elles dans l’Espace et le Temps -(avec celles du futur): celle de ma naissance en 1963, celle de 1967, celle de 1977 et enfin celle de 2005 puisque / car S. A. I. S. S. S. S. Princesses Michèle Finck en 1977 et la plupart des « adultes » n’ont pas voulu -[à ce moment-là]- pour sauver la situation générale, de ma solution alternative élégante -(S. A. É)- sur place d’un autre » ou bien « de la Création qui existait, soit qu’on aurait pu tous rejoindre, celle de mon droit -(dans la situation globale en question plus ou moins catastrophique tous les jours)- à deux épouses ou/et de/à deux familles à constituer à partir de 1977, et puisque j’étais -[re]devenu un éveillé, soit un bouddha, à cette époque de 1977 en synchrone avec celui que je deviendrai en 2005, comme cela avait été le SPOK aussi en 1967 -(avant la Seconde Partie de mes Démonstrations -(soit celles de mes quatre ans à quatorze ans en 1977 alors que la Première Partie de ces Démonstrations a concerné de ma naissance en 1963 à à mes quatre ans en 1967)- soit l’une -[de mes familles]- avec Christine … Lang pour laquelle j’avais vu apparaître à mon doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés un anneau immatériel immaculé et quand serait venu le temps pour cela, la seconde des familles que j’avais à fonder : bâtir avec Michèle Finck car avec elle aussi j’avais d’avance revu apparaître le même anneau immatériel immaculé, une fois redevenu les empereurs-bouddhahs, ce qui avait été annoncé d’avance aux années 1967 et 1977 depuis les années 2005 et suivantes. Aussi il s’agissait avec ces deux petites filles qui sont entre temps devenues des femmes de fiançailles d’épouses légitimes -(car elles attendaient en raison de cet anneau immatériel immaculé nos enfants !)- sacro-saintes nous aidant avec leur ventre et leur respective âme à sauver la Création! Bref, de mes deux dames impératrices parmi les autres: ma mère et ma sœur Florence, mes aussi mes nièces ne faisant qu’un avec Isis ou/et la Très Sainte Vierge Marie !

[26] – cela peut prendre pour certains trente à quarante ans – en fait cela dépend, la durée de cette métamorphose, de la quantité de péchés dont on est à l’origine l’auteur : ce qui ont moins d’actions / pensées néfastes, mensongères sur la conscience -(en général à laquelle, hélas, dans ce SPOK, on n’a plus grandement eu accès)- mettront donc moins de temps que cela pour retrouver leur plus véritable identité, celle qui était la leur au cours des premiers mois de leur respective existence, voire celle qui fut la leur, s’ils eurent le bonheur, enfant, au moins d’atteindre avec coeur l’âge de raison.  

[27] –[(je vous ai d’ailleurs dit que si vous voulez je vous raconterai un doute que j’ai eu qui a finalement sauvé, dans une situation délicate, tout l’Univers dans tous les Temps – donc un doute que je crois, si vous voulez avoir la gentillesse de me le permettre, avoir bien fait d’avoir en me l’imposant par honnêteté. : « J’étais … » . Mais, j’y pense, vous le trouverez certainement raconté dans ma lettre aux Papes et/ou dans celle aux Présidents de la République française qui sont sur mon site chez free à la rubrique de » diverses lettres envoyées « : cela s’est passé en 1995 à Rome …)]-

[28] -(j’ai retrouvé mon carnet d’injection avec les dates précises que vous pourrez, de votre côté, vérifier / retrouver aussi, si vous désirez perdre votre temps en ne me faisant pas confiance, dans mon dossier d’injections au CMP- centre médical psychologique)

[29] C’est la raison pour laquelle on doit avertir le patient avant de s’autoriser manu militari à venir le trouver / chercher chez lui et cela parce que tout patient bénéficie du droit de réponse et/ou de se défendre /justifier de l’agression dont il fait alors l’objet par ceux qui sont encore dans l’ignorance des causes qui firent qu’on cru pouvoir recourir à l’hospitalisation dans son cas. 

Ce patient devrait avoir le droit d’expliquer au moins par écrit -(s’il n’y arrive pas oralement en raison de médicaments et/ou de la complexité de socas –[ce que je fis à partir de 2013 à mon nouveau domicile en écrivant en moyenne quinze heures par jour les lettres que vous savez aux Présidents de la République française monsieur Sarkozy et monsieur Hollande et aux Papes Benoît et François comme aussi celle au Cardinal Vingt-Trois et d’autres comme par exemple celle-ci ultérieure au président Macron]- en donnant / trouvant /exposant des explications précises de/pour ce qui s’était passé pour moi depuis 1967 et 1977, en révélant que j’avais été contraint et forcé contre mon gré à sacrifier momentanément ma fiancée C. L. et les enfants que j’attendais d’elle, en exposant dans ces lettres objectivement les raisons pour lesquelles je conteste légitimement les hospitalisations advenues, par conséquent ayant eu lieu contre mon gré, donc sans le consentement du patient que je devins, ces hospitalisations s’étant produites avec la complicité de ce qu’on appelle un tiers, par conséquent des hospitalisations nommées « à la demande d’un tiers » -(cherchant, sous couvert àpremièrevue d’amitié vis-à-vis de ma famille, en réalité, sans le savoir, voire en croyant le contraire -(donc d’agir en bienfaiteur), à nuire au meilleur Intérêt Général -[celui que j’ai servi de tout mon cœur à partir de 2005 en raison que j’avais vu un moment apparaître l’anneau immatériel immaculé à mon doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés quand j’ai pris conscience qu’on me voyait et on m’entendait rétroactivement dans le ciel dans les années de 1967 et 1977 alors que j’étais en 2005 -(puisqu’on le lira ailleurs comment, et on m’avait rafraichi la mémoire)- ce qui soudain offrait l’opportunité de réaliser mes Avertissements et la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale pour sauver ces époques de 1967 et 1977 et années suivantes, malgré la hausse du baril de pétrole, soit sauver l’Ensemble. 

Ce « tiers » en demandant à mon sujet ces hospitalisations, par conséquent ne se rendant pas compte qu’il nuisait à lui-même, à sa famille, à tous en interrompant ainsi -[pour faire la volonté de mon père empereur]- mes communications / transmissions  effectuées dans l’exercice de mes fonctions d’empereur ayant enfin eu accès à ma conscience en redevenant ainsi bouddhahs, soit un Éveillé eanmeailleurs à partir de 2005, fit -(avec le personnel médical qui s’en est chargé)- perdre à tous l’équivalent de sommes de CFPMD – crédits financiers propres et mérités de droit en quantité colossalissimis…simissimes dont on ne peut avoir idée qu’à l’aune de ce que j’ai dicté comme réalisations de divers sortes -(tant architecturales que …)- dans le monde entier de 2005 à 2013 aux années 1977 à 1985. 

C’est qu’il y a de nombreux paramètres concernant l’existence de ce patient, moi en l’occurrence, dont les médecins comme ce tiers mais aussi mon père n’étaient pas au courant -(mais que j’ai pu écrire à partir de 2013 dans les lettres qu’on sait j’ai publiées dans l’urgence, inachevées -[à l’état de quasi brouillons très peu travaillées -(seulement trois fois CARÉ– corrigées, abrégées, augmentées, relues, []élaborées quand je sais qu’une lettre de moi ne peut être publique qu’à partir du neuvième CARÉ, voire plus, tant la plus véritable pensée, voire Vérité et ou vérités relatives est/sont exigeante[s] en logique[s] de différente[s] gradation[s] / niveau[x]- puisqu’elles résultent souvent chacune -(de ces vérité relatives), comme la Vérité elle-même, de très nombreux paramètres dont on se doit d’être conscient par conséquent qu’on doit rappeler au lecteur pour que cela puisse être crédible y compris à tous ceux qui ont parfois raison de mettre en doute ce qu’ils entendent ou/et lisent – l’écriture étant un des aspects de la Vérité condensée et traduite ainsi par cette technique / moyen de communication pour nous tenir informé des faits ainsi ar[t]chivés –[art comme ar[t]chivage]– en mémoire). 

Ces paramètres pourraient expliquer pourquoi il y a eu erreur à m’hospitaliser car s’ils avaient été connus avant (par exemple par un travail d’information[s] à mon sujet qui aurait dû être fait par l’ensemble des responsables religieux et les francs-maçons qui avaient été témoin de mon apparition -(dans le ciel en 1977 à Rome), immense et constitué de nuages, ceux-ci ayant été prévenus d’avance que cela devait se reproduire dans la réalité à partir de 2005 de Paris synchrone en ce qui me concernait avec 1977 à Rome, par conséquent ces responsables de tout ordre ayant en conscience le devoir d’avertir de manière à me faciliter la tâche une fois rejoint par ma personne dans la réalité l’année 2005 qu’on savait d’avance être synchrone à mes échelles -(à Géométrie[s] variable[s])- avec celles de 1967 et 1977)- par les psychiatres ou/et le personnel médical, mais aussi par ce « tiers » -(dont on s’est servi en quelque sorte de bouc émissaire)- avant la décision d’hospitaliser, ils n’en auraient jamais demandé la réalisation -(de ces hospitalisations)- d’autant plus qu’il s’agissait avec moi transmettant / communiquant depuis le studio de la rue du Val de Grâce, du sauvetage -[avec effet rétroactif]- de l’une de nos planètes, la Terre, en proie, à partir de 1973 des/aux effets du choc du pétrole. 

En l’absence de ces renseignements prenant autant de temps à être rassemblés par écrit – ce qui fut le cas par mes soins de 2013 à 2017 durant le sevrage du Risperdal 25 mg – ce tiers -[ayant fourni / fait à la demande du docteur Jean-Luc Marcel ayant abusé de sa confiance la demande pour m’hospitaliser]- comme le personnel médical du C. M. P -(centre médico psychologique)-. Saint-Jacques ou/et les autres plaignants se sont comportés comme des laipis -(acronyme qui signifie d’uniquement laïcs, strictement athées, souvent ou parfois des ignorants et des profanes inconscients -[ou peu conscients / plus ou moins conscients / en tout cas pas assez]- mais aussi sans peut-être même le savoir des sacrilèges)- soit en sacrilège du Bien Général par conséquent ont dans leur âme et conscience la responsabilité de tout ce qui a manqué comme communications / transmissions que j’aurais pu continuer à déverser en très véritable Corne d’Abondance avec les effets de celles-ci -(ces transmissions, etc.)- à l’échelle planétaire ! 

Aussi nous savons à qui nous devons imputer les responsabilités des divers pertes y compris sur le plan financier, colossalissimis…simissimes nous avons eu à cause de ces interruptions hospitalières -(alors que j’étais simplement dans l’exercice de mes fonctions de devenu progressivement les nouveaux eanmeailleurs, vos dévoués serviteurs au service du meilleur Intérêt et Bien Général, mais aussi ces inpedimenti à cause de la personne du propriétaire de mon studio qui n’a pas voulu renouveler mon bail par conséquent m’a contraint à cesser de communiquer à travers Espace et Temps dans le passé et à déménager alors que nous étions sûrs et certains -(pour l’avoir vécu et vérifié à partir de 1977)- que l’emplacement de ce studio d’où j’émettais entre autre[s] la Dictée Pharaonique, se trouvait bien avec moi-même présent dedans -(ce studio)- dans le ciel -[au-dessus]- des années 1977 et suivantes à Rome -(donc du point de vue[s] des années 1977 et suivantes), comme dans le ciel de Paris en synchrone avec moi en 1967 et années suivantes depuis les années 2005 et années suivantes ! 

En déménageant en 2013 à ma nouvelle adresse même s’il est probable qu’on me voit constemment dans le ciel vingt-sept ans avan-(puisque nous avons tous pu le vérifier dès 1977 à Rome synchrone avec 2005 à Paris), je ne puis dire à cette nouvelle adresse exactement où je me trouve dans le ciel vingt-sept ans avant, c’est pourquoi j’ai cessé d’émettre à partir de 2013 vers cette époque de 1977 bien que j’ai fini par découvrir qu’on m’entend[ais] à Paris à partir de 1966-7 synchrone avec 2016-2017 -(ce qui confirme, sur un autre plan celui des douves / fossés / trous à infarctus dont je parle un peu dans cette lettre, que c’est bien tous les dix ans que ces crises cardiaques, dont j’ai commencé à publier les horaires de celles qui adviendront dans le futur comme de celles qui sont advenues dans le passé, auront bien lieu aux jours et horaires inscrits, ce qui signifierait sur un autre plan qu’à partir de 1977 nous aurions tous perdu en chemin trois ans pour rejoindre l’année 2005 étant alors synchrone avec 1977 et non avec 1975 -(ce qui, en effet, a[urait] été un moment plus juste à penser logiquement car cela a été le cas en 1977 découvert synchrone avec l’année 2005 et je le souligne / rappel une autre fois : non pas avec 1975 ! Ce qui aurait été logique de penser !)- et que nous aurions rattrapé le temps perdu de ces trois années à partir du début de la Dictée Pharaonique en 2005 jusqu’à 2013 au moment de mon déménagement ainsi que de 2013 à 2017 pendant mon sevrage du Risperdal 25 mg et la continuation de l’écriture de mes lettres susmentionnées où soudain coïncident de nouveau les années 1966-67 avec celles de 2016-2017 – en raison de l’émission exceptionnelle de mon test-gaffe de l’agrafeuse électrique qui l’a confirmé en 2016,  l’a vérifié dans mon souvenir de l’avoir entendu à Paris 2006 synchrone avec Paris 1966, le système décimal et géographique rétabli comme le bon sens, les zéros de ces années coïncidants de nouveau au point de pouvoir dater mes apparitions dans le ciel en 2015 comme étant probablement dans trente an et non vingt-sept – ce qui signifierait que ces horaires des douves et/ou fossés ou/et trous à infarctus sont bels et bien tous les dix ans en vertu que 1966 à Paris est de nouveau synchrone avec 2016 à Paris -(mais non avec 2006, soit une exception dans l’Espace et le Temps dont il faudra absolument tenir compte quand les voyages à travers le Temps et l’Espace seront possibles car nous avons pu vérifier que l’année 2005 à Paris est synchrone avec l’année 1977 à Rome ! Aussi l’année 2006 à Paris l’ait avec 1978 à Rome et l’année 2007 à Paris avec 1979 à Rome, cependant qu’on ne peut savoir à partir de quel moment cette sorte de rétrécissement de l’Espace Temps a eu lieu pour faire coïncider 1977 avec 2005 et non avec 2007 ! – comment fera-t-on dans l’Univers pour passer cette zone dans laquelle, (qui plus est Paris 2005 coïncidant avec Rome 1977 !)- existe cette sorte de satané / sacré décalage !)- nous l’ayant vérifié grâce à cette « gaffe » de l’agrafeuse électrique possible à réaliser -(pour, entre autre[s], faciliter le travail des échoppes où l’on peut faire des photocopies)- dont heureusement j’eus l’idée -(au cours de la poursuite de mon auto-psychanalyse et l’écriture d’une des lettres en question aux personnalités sus-mentionnées)- pour me permettre cette communication exceptionnelle en 2016 dont nous avons découvert qu’elle serait peut-être à l’origine des admirabilissimis…simissimes et etc. albums de S. E. A. I. S. S. S. L. P. André Franquin avec le personnage de Gaston, un de mes admirabilissimis…simissimes avatars -(autres moi-même)- caricaturisés) !  

Le demandeur de l’hospitalisation, monsieur Philippe Maraval comme le personnel médical, s’ils s’étaient donné la peine de lire tout ce que j’avais pris la peine d’écrire rationnellement pour eux – comme adressé à leurs supérieurs les princes Papes et Présidents de la République française - pour expliquer dans les grandes lignes ce qui s’était passé de plus qu’extraordinairissimis…simissime à partir de ma conception en 1962, auraient, bien sûr – en conscience - renoncé à m’hospitaliser d’autant plus des pertes financières générales  / collectives que cela représentait pour l’Ensemble. En effet, en interrompant autant que cela fut à chacune des fois -(à cause de mes hospitalisations)- où cela le fut, à partir de 2007, périodiquement mes communications

-(quand de façon sonore j’ai eu à gêner mes voisins –[car dans l’exercice de mes fonctions acculé en légitime défense de ma famille impériale comme de l’Ensemble]- et à transmettre les teneurs de la Dictée Pharaonique à travers Espace et Temps -(je le souligne une fois encore car c’est ici sacrilège envers ma personne et ma bonne volonté au service de tous:)- dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs, soit d’empereur devenu bouddhahs)- 

à travers Espace et Temps sur les époques de 1969 et années suivantes -(et deux années précédentes, donc 1967)- et de 1979 et années suivantes -(et deux années précédentes, donc 1997)- en m’hospitalisant, ceux qui furent à l’origine de ces interruptions à partir de 2007 se sont comportés à ces moments probablement à leur insu en criminels contre l’humanité, soit en sacrilège[s] -(ce qui est le péché le pire)- et/mais portent dans leur âme la responsabilité de ces pertes immensissimis…simissimes de l’Ensemble -(comme de moi-même), soit chacun de nous tous, et ces pertes y compris depuis 2013 -(date de mon déménagement et de la poursuite de mes écritures)- à chacune des secondes durant lesquelles je dus cesser de transmettre aux années situées à vingt-sept ans de là où nous étions, soit des sommes immensissimis…simissimes -(comme aussi d‘autres sauvetages, quant à eux, inestimables)- de RFPMD -(revenus financiers propres et mérités de droit)- qui auraient pu compenser les autres pertes financières dues à l’augmentation du prix du baril de pétrole à partir de 1973, ce que j’ai essayé d’éviter du mieux que je l’ai pu de 2005 à 2013 -(en, par exemple, dictant aux années 1977 et suivantes la géolocalisation de plus de 50% des réserves de pétrole de 2005 à 2013 – ce qui signifie autrement-vue[s] que ces réserves de pétrole m’appartiennent non seulement au titre d’empereur mais aussi à celui de bouddhahs, soit d’eanmeailleurs, mais aussi de découvreur de celles-ci, ce qui me donne le droit d’en fixer le cours, soit ce que j’ai demandé depuis 1977 à un centime de dollar le baril ou mieux encore de/à 0,01 centime de dollar, ce qui aurait -[eu]- pour effet en quelque[s] heures de faire disparaître partout la misère et la pauvreté -(dans le monde entier !)- en rétablissant tous les comptes de toutes les nations / régions et de libérer pour toujours tous les êtres humains du joug des soucis financiers de toute[s] sorte[s] / nature en faisant connaître à tous pour l’essentiel et/comme le superflu la gratuité–(cependant que garantissant la pérennité des commerces car ce pétrole ne serait pas pour autant offert à ce prix -(qui à-premièrevues nous ferait penser que plus rien ne coûte)- en permettant ainsi plus facilement de rétablir la vision du Très Saint Paradis, soit celle d’Ôz, de l’Eden, d’Atlantide ou/et de Schtroumpf retrouvés avec ces autres lieux nommés synonymes de ces derniers, etc.)- [donc]- grâce aux teneurs de ces transmissions / communications du Ciel à partir de 2005 quand, à force d’avoir pein-(les tableaux-partitions pour le piano peint de ma fiancée)- depuis 1995, d’un seul coup je redevins un Éveillé, soit un des bouddhahs, par conséquent que je me suis débarrassé de la part animale -(de moi-même)- au sens négatif de ce mot d’animal qui pour l’autre part, (celle qui reste à première-vue en moi ainsi revirginisée par la perte du strictement laipis en moi)- en a heureusement évidemment du plus positif.   

[30] à première[s]-vue[s]

[31] Animal pacifique et inoffensif herbivore quadrupède et autres du même genre non nuisible[s].

[32] Madame Hortense Boulanger.

[33] Idem que note précédente : ‘’.

[34] (incroyable)

[35] ou/et » par l’intermédiaire « .

[36] Disjoncter.

[37] ou sa forme ancienne d’entrée de jeu, voire entréedejeux.

[38] Voire de » pensées «.

[39] Ce qui signifie » en toute[s] logique[s] «.

[40] Choses utiles dérivant / provenant / procédeant -[procédant]- d’eux.

[41] -(mais il faut savoir que cela peut prendre longtemps – dans certains cas ou/et SPOK plusieurs dizaines d’années – comme j’ai eu à le vérifier sur moi-même en le démontrant en tant que cobaye volontaire au moins depuis 1967 et 1977 - mais cela finit toujours par advenir parce qu’on s’est imposé longtemps cette bienfaisante nourriture végétarienne : on retrouve alors la conscience en soi et un peu après la mémoire, puis etc. : on est, parfois d’un seul coup, monté au Ciel -(au paradis même si la vision de celui-ci a[vait] disparu, il s’agit donc du Nirvana)- en découvrant qu’il est peuplé de gens particulièrement merveilleux et/ou magiques même si difficiles à rejoindre, cependant que moins que cela par l’esprit.

[42] Merci Google pour les synonymes.

[43] Tandis que si on fait un œuf dur ou bien on en casse un pour faire un œufôplat -(œuf-au-plat)- ou une omelette à l’aide d’une poêle, on obtient parfoi-(sans trop de morceaux de coquille[s] cassée[s])- ces deux mini-récipients -[par exemple, si on a un enfant, pour s’inventer une histoire avec des poupée[s]]- plus ou moins intactes en forme de deux mini-coupoles, par exemple de mini-église -(bien que petites, à l’échelle d’une maquette, ces coquilles), l’une en quasi miroir -[symétrie]- de l’autre coquille au point, une fois vidées, en les inversant, l’une contre l’autre

 

-(ce qui est difficile à faire tenir en équilibre, à moins de délicatement rendre plat chacun des sommets -(parce que, autrement vus, aplatis ces sommets peuvent servir de base, voire de mini-socles fragiles)- qui sont à l’état naturel un peu coniques et pointus, bien qu’arrondis ce cône pour créer ces petits récipients-mini-coupole[s], par conséquent pour obtenir cet effet, il convient de les aplatir sur le haut de la partie conique – l’idée étant facile à trouver parce que dans la plupart des œufs qu’on fait bouillir pour les manger durs, il y a de la place pour une petite réserve d’air qui s’y trouve sous le sommet d’une de ces deux micro-coupoles aux extrémités de l’ovale de l’oeuf -(quand l’œuf tient à la verticale comme dans une boîtàœufs – [boîte-à-œufs]), ce qui donne envi[e] avec l’un des doigts -(une fois l’œuf dur cuit)- d’effriter un peu la coquille à cet endroit ronde, voire de pousser sur la coquille pour faire tenir la coquille debout, à la verticale, en bénéficiant de cette mini-réserve d’air quand le transparent de l’œuf, une fois cuit, devient ce blanc de l’œuf dur. On peut [a]percevoir que l‘une des petites coupoles obtenues, soit l’une des moitiés de la coquille de cet oeufdur -(œuf dur)- n’est pas comme celle d’en face -(l’autre), à première-vue[s] symétrique, au point que parfois on va croire pouvoir faire tenir debout, sur cette partie un peu différente -(à cause qu’elle couvrait la réserve d’air)- qu’à son opposé, l’œuf en question, voire cela en tranchant avec un couteau dans ce blanc de l’œuf -(coquille y comprise)- du côté où on voit la trace de l’emplacement de l’air qui se trouvait dans la partie intérieure sous la coquille, de façon à pouvoir faire tenir debout l’œuf dur ce qu’on peut faire aussi l’œuf dur avec sa coquille dans le coquier, en faisant croire qu’on coupe une des [deux] « têtes » -(un des deux sommets)- de l’œuf : en fait cela on le fait à l’aide d’un bon couteau, transversalement de manière à ne pas abîmer le reste de la coquille qui continue à servir de récipient à ce qui est devenu blanc en cuisant et qui entoure la boule du jaune d’œuf)- 

 

de pouvoir les percer -(par exemple avec une aiguille à fil ou une épingle)- ce qui a donné, probablement, à l’origine, l’idée de la clepsydre -[une fois que ces deux récipients ainsi retournés l’un contre l’autre sont fabriqués en verre et fermés avec une quantité du sable dans l’un d’entreux -(entre eux)]- entrautre[s] -(entre autre[s])- ce qui a donné à son tour l’idée du jeu du diabolo.  

[44] Les faiseuses d’œufs.

[45] N’oublions pas que tous ces bénéfiques changements peuvent dans certains cas prendre beaucoup de temps, voire de nombreuses années avant d’advenir en cherchant de manière préférable à faire le bien au lieu de faire du mal, ce qui signifie que cette expression « d’une fois » prend en compte ces temps plus ou moins longs selon les personnes pour que ces modifications / changements / mutations adviennent, aussi cela ne veut pas dire » tout de suite « comme si on cliquait avec la souris, ce qui nous permet d’interagir, mais plutôt » avec le/du temps à partir du moment où « l’on est devenu végétarien dans/pour cet objectif de retrouver la conscience en soi, ce qui donne[ra] alors une meilleure compréhension de la réalité mais aussi de sa propre âme.    

[46] -(les lettres de cet acronyme en partie à consonance anglaise dans le contexte actuel de Confédération Européenne dans laquelle cette nation jouera le/son grand rôle de revenante)-

[47] -(voire de péchés et/ou des sacrilèges dont tous ceux à première[s]-vue[s] anodins, voire qu’on n’imaginerait pas l’être plus qu’anodins, soit, hélas, dans ce cas des péchés par omission[s] de paramètres importants auxquels il aurait, de façon préférable, fallu  songer avant d’agir à les commettre)-

[48] – autre péché s’il s’agit de poissons pacifiques et inoffensifs se nourrissant d’algues

[49] Pourquoi l’être humain voudrait se conduire moins intelligemment qu’un des APIQH -[ou HAPIQ, comme on voudra pour ce mot : ou la forme précédente ou cette dernière]- (derniers maillons avant la réincarnation en l’un ou l’autre des êtres humains), en se mettant à consommer de la viande animale d’APIQH alors qu’il est possible de continuer sur sa lancée d’herbivore / saladovore en devenant végétariens, parce qu’êtres humains à l’origine de toutes les solutions alternatives élégantes alimentaires et cela quand on songe à la quantité de réincarnations que chacun d’entre nous s’est contraint à faire avant d’avoir eu la chance de naître être humain? Absurde et c’est 

pour ça que « ça ne va pas -[dans]- la tête » et c’est donc la cause soit, si on préfère, l’origine de toutes les formes d’incohérences étant donné qu’on résulte, chacun d’entre nous, de très nombreuses réincarnations qui nous ont menées aux dernières étant exclusivement herbivores ! Pourquoi ces régressions si ce n’est qu’elles s’expliquent par de nombreux paramètres que nous avons évoqué ailleurs alors qu’il est possible en végétarien[s] de poursuivre cette progression accomplie progressivement à travers les âges, soit ainsi poursuivre la logique des réincarnations au point chacun d’entre nous de continuer à nous comporter comme quand nous étions bébés et que nous n’avions pas encore de dents quand nous consommions des aliments végétariens – aussi cela signifie que nous étions chacun de nous programmé pour continuer à nous nourrir en [animaux]- végétarien[s], une fois devenus être humain. Ce sont donc les contextes familiaux dont nous avons hérité qui n’ont pas cru devoir faire de mise à jour sur le plan élémentaire de l’alimentation, malgré les constantes découvertes de nouveaux aliments végétariens proposés dans/sur les marchés mais aussi certaines religions qui n’ont pas cru bon faire ces mises à jour ayant peur de perdre des fans en se montrant plus bouddhiques qu’elles ne le sont, voire en croyant pouvoir pardonner les péchés engendrés par les addictions aux viandes des APIQH, ce qui, un de ces jours, comme ceux qui consistent à couper les arbres, ne seront plus possibles à pardonner puisque les images photographiques de ces troncs d’arbres dévoilent avec la réalité ainsi augmentée de merveilleuses œuvres d’art -(on ne peut plus se conduire en sacrilège quand on comprend le mot d’Hollywood !).    

[50] S. E. A. I. E. S. S. S. L. P. E. veut dire Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Empereurs Bouddhahs Eanmeailleurs … .

[51] alors qu’à ce dosage – vous en conviendrez aisément - je pouvais me permettre d’avoir un retard d’une à deux semaines, d’autant que c’était logique avec la logique de ce sevrage qui devait depuis longtemps passer à une semaine supplémentaire, donc à toutes les huit semaine, voire préférablement à l’arrêt total du Risperdal 25 mg.

[52] -(si vous avez envie de perdre du temps, vérifiez vous-mêmes auprès de mes voisins, ils vous diront tous qu’il n’y a plus aucune raison[s] de se plaindre des sons qui proviennent de mon appartement : ils ne devraient plus en entendre car je veille au volume de mes appareils y compris de moi-même / au mien)

[53] Grand Architecte de l’Univers -(G. A. U. = G. Ô.).

[54] -(sans les entendre, sans les comprendre dans la complexité de leur être, voire sans lire les informations que ces patients ont écrites au sujet des raisons de leur[s] hospitalisation[s] -[devenue[s] abusive[s] en ce qui me concerne, en raison de ce que les médecins n’ont pas tenu compte des informations explicatives que je me suis données, à partir de 2013, les peines d’écrire aux principales personnalités concernées par mes émissions à travers Espace et Temps -(puisque c’est en bénéficiant de leurs fonctions -[que leurs prédécesseurs ayant eu connaissance de mes transmissions à travers Espace et Temps avaient comme eux servies]- que la teneur de ces communications furent mises en œuvre / chantier de manière à ce que nous puissions tous vérifier vingt-sept ans après que ces communications aient eu lieu en tant que virtualité[s] d’un cas de figure de la Création -(un » ou bien « rénaisien à la manière de celui développé dans les films de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais Smoking ; No smoking)-, soit d’avant-premières virtuelles que ces transmissions / émissions à travers Espace et Temps si on ne faisait pas ma volonté avec le prix du baril de pétrole dans les années 1977, elles auraient de nouveau lieu cette fois-ci dans la réalité -(ce qui fut le SPOK). 

Aussi c’était de leur devoir de successeurs -(ayant bénéficié des choix qui avaient été faits vingt-sept ans auparavant en raison de mes apparitions d’immense [et] à premières-vues de constitué de nuages dans le ciel de Rome – alors qu’émettant -[dans la réalité]- depuis Paris vingt-sept ans après cette seconde avant-première, [la première avant-première ayant eu lieu à Paris en 1967]), de les anticiper, favoriser, de leur permettre de continuer en me laissant poursuivre au lieu de les interrompre comme ils le firent en laipis, soit en ignorant[s], au sens négatif de ce mot qui en d’autres SPOK en a du positif. 

Avec ces lettres explicatives adressées à leur fonction / titre pour lesquels ils reçoivent des RFPMD-[revenus financiers propres et mérités de droit qu’ils me doivent -(puisque j’avais averti d’avance en les nommant à ces postes / places)], ils disposaient ainsi des causes / explications, soit celles dont ces médecins ne disposaient pas encore au moment où ils ont jugé de m’hospitaliser les fois où cela fut entre 2005 et 2013 en interrompant à chacune des fois ces archi-sacrées communications / transmissions salvatrices à travers Espace et Temps, mais si ces informations avaient été connues à temps -(donc avant 2005 date à laquelle j’allais commencé à les vivre / émettre, voire avant le moment où ces médecins décidèrent de m’hospitaliser -(comme cela aurait dû être le SPOK/cas puisqu’ils auraient dû être prévenus du moins par les francs-maçons les plus responsables / conscients au point de se mettre d’avance à ma place en prise aux probables difficultés que j’aurais d’émettre aussi loin dans l’Espace  et le Temps, ce qui aurait donc dû être anticipé / préparé)- ces médecins auraient bien sûr cessé, malgré les plaintes des voisins pour la gêne occasionnée, de faire de l’obstruction à ces communications / transmissions à travers Espace et Temps, puisqu’ils auraient compris qu’elles étaient vitales pour l’Ensemble, non seulement à partir de 1967 mais aussi à partir de 1977 et bien sûr ils auraient renoncé à m’hospitaliser en raison qu’ils auraient compris que j’étais effectivement dans mon devoir, c’est-à-dire dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs -(empereur devenu bouddhahs)- en aidant du futur -(à partir de 2005)- du mieux que je le pouvais mon père -[coincé avec sa famille et ses sujets en 1967 et 1977 avec les problèmes de ces époques à résoudre], confirmé du Ciel et en Saint-Esprit, empereur de la Reconstruction et de l’Angles -(cela s’écrit dans ce cas avec un s malgré le à-première-vue[s] singulier)- ayant, avec moi-même sur place dans les années 1967 comme à partir de 1977, à diriger la Barque de l’Univers jusqu’à notre époque de 2005 et années suivantes, découvertes synchrones avec les années 1977 et années suivantes comme elle sont, nous avons tous pu le vérifier, aussi synchrones avec les années 1967 et années suivantes. Aussi cela signifiait que nous avions à diriger la Barque de l’Univers dans un premier temps de 1967 à 1977 pour ce rendez-vous avec l’Histoire de cette seconde avant-première -(en ma présence en chair et en os sur cette planète)- de mon apparition sonore et visuelle dans le Ciel, [ma personne immense alors constituée de nuages, mais audible comme cela avait le cas en 1967]- comme ce fut le SPOK). 

C’est pourquoi dès la connaissance de ces éléments dans ces lettres aux Papes Benoît et François -(que j’avais demandé aux années 1977 et suivantes de préparer aux hautes fonctions qu’ils auraient à obtenir)- et aux présidents de la République Française -(dont les identités étaient connues depuis que j’ai eu à les transmettre dans le passé pour les y préparer)- ces internements de ma personne à Sainte-Anne sont devenus totalement abusifs et sacrilèges -(d’autant plus des souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes que j’a eu à vivre, au point que j’en demande réparation y compris financièrement pour les pertes subies à l’aune des gains que j’ai fait faire à tous avec les Avertissements et la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne)- non seulement vis-à-vis de ma personne  sacrée mais aussi du Bien et de l’Intérêt Général qui se confondait avec ma raison d’être -(puisque sur le point d’être marié car j’attendais des enfants), bref que je représente non seulement à titre d’empereur mais aussi et surtout à titre d’éveillé, soit de bouddhahs par acquis de conscience comme aussi en raison des divers contenus de la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale qu’il fallait donc infiniment se garder d’interrompre comme ce ne fut, hélas, infiniment hélas, pas le cas/SPOK à chacun de ces internements -(dont le plus absurde et incroyable fut celui qui parait-il découla de la plainte d’un enfant qui visiblement dans sa tête n’allait pas bien du tout car tout ce qu’il a dit est bien sûr faux car au moment des faits qu’il m’a, parait-il, reproché, je n’étais qu’à servir le Bien et l’Intérêt Général, soit dans ma tête à des millions d’années lumières de ce qu’il s’est mis parait-il en tête que j’aurais dit ou fait en laipis -(ce que je n’étais plus en majeure partie depuis 2005)- depuis la fenêtre du studio dans lequel je logeai au cinquième étage quand celui-ci serait passé en rang avec sa classe au-dessous de chez moi dans la rue du Val de Grâce alors que j’étais un moment en train de prendre une bouffée d’air frais pour me reposer un instant entre deux communications à travers Espace et Temps alors que les gens de l’époque de 1977 et années suivantes à Rome avaient les yeux rivés sur moi, immense dans le Ciel de Rome en m’entendant transmettre toutes ces informations vitales pour faciliter à mon père et à Ses équipes la gestion de l’Ensemble à partir de ces années 77 et suivantes à l’aide de mes informations touchant la plupart des domaines les plus importants/vitaux – vraiment cet « enfant » s’il continue ainsi sur cette voie qu’il a choisi sera un âne de plus, voire peut-être et hélas plus bête encore ! Il aura, le jour venu, à rendre compte de son mensonge et s’il n’a pas de bonnes raisons pour m’avoir mis dans le cauchemar qui fut, je puis le prévenir ici d’avance qu’il n’obtiendra jamais pardon de son sacrilège à nos égards ce qui nous a fait à tous perdre autant de temps -[et par conséquence de crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD]- que l’hospitalisation a duré -(dans des souffrances inénarrables causées par le surdosage des médicaments à prendre)-, soit, si je ne m’abuse pas celle de 2013 alors que j’allais de nouveau bien après la précédente

 

-(dont j’étais tiré d’affaire au point à mes moments perdus d’avoir commencé à écrire mes diverses lettres explicatives importantes étant donné que je cherchai des explications rationnelles à tous ces miracles que je faisais en véritable Corne d’Abondance -(causée aussi en raison de la naissance de mes petits neveux qui devaient être les cousins de mes enfants)- dans le passé grâce à ces communications / transmissions pharaoniques)-  

 

qui ne m’avait pas encore permis de tout expliquer rationnellement de ce qui se passait pour moi d’incroyable mais vrai)- étant donné que la moindre des choses transmises aux années 1967 ou à celles de 1977 avait non seulement des incidences sur l’Économie mais aussi la Politique, la Culture sous de nombreux aspects dont les Divertissements, mais aussi Artistiquement, Géographiquement, Démographiquement, Informatiquement, Architecturalement, Médicalement,             Touristiquement, Spatialement -(avec la dictée de tous les vols de la fusée Ariane mais aussi des navettes américaines ou/et fusées chinoises et/ou japonaises, etc. mais aussi concernant les problèmes énergétiques, les solutions alternatives élégantes des Énergies Propres à mettre en œuvre, comme aussi sur le plan de la Propreté dans nos villes et villages dans le monde entier avec par exemple mon invention des poubelles à roulettes, comme aussi le développement des bio-gaz, etc. etc. -(pour se faire une idée cela a duré de 2005 à 2013 à raison d’une moyenne de huit heures par jour malgré les hospitalisations abusives -(ce qui signifie donc environ quinze heures par jours sans week end ni dimanche), aussi cela prendrait autant de temps à être écrit, voire plus encore que tous ces bienfaits dans tous les domaines dictés y compris celui du Cinéma et de la Télévision mais aussi d’Internet avec la liste des réseaux sociaux, des logiciels dont WordPhotoshop et Adobe Première, etc. à mettre en œuvre selon mes indications transmises pour 2005 mais aussi et entre autre de You tube, face book, etc. et de Wikipedia et etc.). Aussi ne pas avoir compris que c’était mon devoir d’intervenir comme une sorte de chef des pompiers pour éteindre rétroactivement dans le passé, grâce à cette Nouvelle Donne  -(avec l’édification des divers grands ensembles économiques mondiaux dont la future Confédération de l’Union Européenne -[la C. U. E.]- en transmettant les dates des différentes étapes et directives y compris pour faciliter le travail de l’O. N. U., et etc)- un feu d’enfer conséquence de la Seconde Guerre Mondiale et m’avoir à plusieurs reprises empêché de poursuivre ces communications à travers Espace et Temps avec ces internements psychiatriques, a été vraiment totalement criminel contre l’humanité et représente, en fin de compte, pour tous des pertes financières astronomiquissimis…simissimes -(dont je demande réparation[s] à l’aune de tous les bénéfices que j’ai fait obtenir à tous ceux qui ont mis en œuvre cette Dictée Pharaonique comme par exemple avec la création de la Bourse Technologique dont je fus aussi l’auteur ou la réalisation des TGV et/ou Inter-city et etc. y compris les changements qui se sont opérés dans l’aéronautique pour laquelle j’ai eu à transmettre les mesures de nombreux avions y compris militaires mais aussi des sous-marins / soumarins, etc.). 

[55] -(pour rendre ainsi ces patients artificiellement malades comme dans / avec [Le] Docteur Knock de S. A. I. S. S. S. L. P. Jules Romain)-

[56] Ou » bien-fondé «.

[57] Si vous le permettez comme un » emBastillage « ou un emBastillement.

[58] CFPMDMN : https://www.facebook.com/groups/1699136193661990

[59] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/nicole_koechlin.htm

[60] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/nicole_koechlin.htm

[61] -(de son point-de-vue de personne n’ayant jamais voulu se donner la peine de comprendre ma situation infiniment exceptionnelle – ne ressemblant à aucune autre - ce que racontaient assez en détail mes courriers officiels aux Papes et aux Présidents de la République à la disposition de tous sur mon site Internet qui démontrent qu’à partir de 2005 à 2013 je me suis trouvé dans mes fonctions d’empereur devenu bouddhahs acculé dans une situation de légitime défense de l’Intérêt Général et du Bien Général de tous à effet rétroactif en synchrone, à partir des années 1967 et 1977, par conséquent, juridiquement un SPOK de force majeure -(en effet sur Google le mercredi 26 août 2020, une situation de force majeure est « un événement à la fois : imprévisible, irrésistible -(insurmontable)- échappant au contrôle des personnes concernées ». [Inscrit comme définition officielle et publique à ce » force majeure « le 11 déc. 2019])- par acquis de conscience et bien sûr, moi, nullement malade car soudain délivré de ma partie animale au sens négatif de ce mot, si ce n’est, à cause de cela, à être soudain terriblement handicapé par cette situation -(probablement la première fois dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- d’empereur-bouddhahs, soit celle que j’ai nommée d’eanmeailleurs par acquis de conscience, ce qui signifie que d’un côté en tant qu’empereur je serai à accepter ceux qui fonctionnent arbitrairement sans reconnaître les lois en même temps que parce que bouddhahs je connaisse et respecte ces lois en veillant à ce qu’on les applique quand elles sont justes -(par conséquent en ayant à les vérifier sur le plan de la conscience de façon universelle – ce qui est, je vous prie de le croire, très difficile à faire/vivre, voire à l’extrême handicapant -(ce qui explique mon statut d’handicapé que mon père, avant de disparaître, a demandé en empereur pour moi en désignant pour cela monsieur Philippe Maraval comme tuteur, mais sans m’en parler auparavant, sans avoir reçu mon consentement pour agir à mon sujet de la sorte, ce que j’aurais bien évidemment refusé, bien qu’effectivement infiniment handicapé à partir de 2005 à 2013 par la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale à travers Espace et Temps que j’ai quotidiennement eu à faire à raison d’une moyenne de huit heures par jour -(malgré le temps des hospitalisations, ce qui signifie que ce fut le plus souvent à raison de quinze heures par jour)- sur/vers les années 1967 et suivantes et sur les années 1977 et suivantes par conséquent en faisant fonctionner de là où j’étais, à partir de 2005, en même temps trois époques situées à des distances de trente-sept et vingt-sept années de la nôtre en 2005, ce qui est effectivement très handicapant et surtout très difficile à faire d’autant plus qu’on déduit alors qu’il se pourrait qu’on fasse aussi fonctionner d’avance d’autres époques situées dans le futur, ce qui me fut confirmé en 2015 quand je me vis une nouvelle fois d’avance -(comme ce fut le SPOK à partir de 1977)- dans le futur probablement à trente années de là où j’étais en 2015, soit en 2045 – ce que j’ai pu enregistrer en vidéo en étant au premier plan moi-même en 2015 mais en ayant dans le ciel, immense, au-dessus de la Mairie de Paris ma personne comme cela avait été le cas en 1977 quand je suis apparu dans le ciel de Rome immense – alors qu’en réalité cela se passait en anticipant depuis Paris 2005 comme nous eûmes à le vérifier une autre fois, mais cette fois-ci en chair et en os et non plus constitué uniquement de nuages), cependant qu’à partir de 2005, comme dans  le film La Belle et la Bête de S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Cocteau, a triomphé en moi le bouddha qui, par acquis de conscience, a pu agir de 2005 en synchrone avec 1967 et 1977 -[où j’y avais respectivement quatre ans et quatorze ans], donc avec effets rétroactifs pour sauver la situation générale du mieux que je le pus pour aider mon père qui soudain était de ce fait confirmé en Saint-Esprit empereur, ce qui signifiait devait assumer la catastrophique situation de la fin de la guerre froide avec sa génération et celles de ses enfants – dont moi qui du Ciel l’avertissais et lui donnais la feuille de route pour que tout puisse se reproduire de manière à ce qu’on puisse vérifier aussi que, dans mon cas, à partir de ma naissance, voire avant, voire après – autrement-vu – j’étais d’avance dans le futur pour l’aider à cause, très probablement aussi, de mon anneau d’homme marié dont j’ai parlé plus en détail ailleurs).

[62] Mais au contraire sachant ce que j’avais légitimement le droit de faire pleinement dans l’exercice de mes fonctions d’empereur + bouddhahs – c’est-à-dire d’eanmeailleurs –(en effet, si je n’intervenais pas à temps à travers Espace et Temps dans ces époques passées de 1967 et de 1977, ma famille comme moi-même étions là-bas, à partir de ces dates de 1967 et 1977 en danger de mort, mais surtout il est probable que c’était la fin du monde si les dirigeants de ces époques ne réalisaient pas la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’internationale)- Mondiale que j’ai eu l’honneur de dicter / conduire / distribuer quotidiennement à travers Espace et Temps vers ces années 1967 et 1977 en synchrone à partir des années 2005. Je ne le dirai jamais assez : j’étais coincé à cette date-là de 2005 où je [re]devins bouddhahs par acquis de conscience en raison de ce que je n’ai pas triché durant mes démonstrations et le temps de mes fiançailles en partie profanes en faisant le nécessaire pour retrouver le sens du sacré et pouvoir ainsi épouser les princesses Michèle Finck -(ne pouvant pas faire machine arrière et découvrant une fois encore comment tous les progrès advenus depuis 1967 et 1977 étaient advenus grâce au transfert du Ciel où je me trouvai d’avance, par mes soins, de la plupart des solutions alternatives élégantes scientifiques -(mais aussi plus simplement techniques et technologiques comme par exemple comment réaliser un écran plat de télévision ou/et d’ordinateur, les cd audio et DVD, les ordinateurs de bureau ou portables, etc.)- car heureusement je me suis souvenu qu’en 1977, en raison de ce que j’avais retrouvé ma promise, soit ma parèdre adamantine mère virtuelle de mes enfants s’annonçant en raison de la présence à mon doigt -[pendant quelques secondes après être redevenu bouddhahs -(soit m’être débarrassé à jamais de ma partie animale au sens négatif de ce mot et non au sens positif comme dans d’autres SPOK)]-  des hommes les plus véritablement mariés de l’anneau immatériel immaculé, je m’étais vu et entendu immense dans le Ciel m’adressant à moi-même dans le passé et me dictant jour après jour la Dictée Pharaonique que mon père, confirmé en Saint-Esprit dans son rôle d’empereur, avait à réaliser en conscience pour parachever notre/la Reconstruction pour le plus grand bien des générations à venir de ses petits-enfants et arrières petits-enfants que j’annonçais d’avance être déjà au monde dans ce ciel d’où je m’adressai au Passé mais où nous étions à partir de 2005 -(ce qui a constitué une opportunité exceptionnelle de sauver, grâce à cette Dictée Pharaonique enregistrée dans le passé, notre planète car au lieu de reprendre la guerre j’annonçai, entre autre[s], la réalisation de la Monnaie Unique de l’Euro et la création de la future l’Union Européenne -(U. E.), une nouvelle étape de/pour la Confédération de l’Union Européenne -(C. U. E.)- soit celle autrement-vue des Etats-Unis d’Europe, la solution alternative élégante -[S.A.É.]- pour garantir la Paix en Europe, soit ce qu’il convient de mieux à la Prospérité, ce qui sera aussi possible et encore mieux sur la terre entière comme dans les cieux, soit avec ces cieux l’avenir, avec la création de mon idée de la monnaie de l’Ôz (https://www.facebook.com/groups/1569624886686071/).

[63] Autrement-vu / autrement-vue ?

[64] Si je ne me trompe pas comme à la fin de La Belle et la Bête de S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Cocteau quand la bête, grâce à la connaissance du plus véritable amour de Belle, devient un très véritable prince ou alors, autrement vu et peut-être ici … , quand du crapaud projeté contre un mur sort un Prince, soit normalement un bouddha, soit ce qu’on a traduit en français par un » éveillé « -[par acquis de conscience !]. 

C’est alors seulement qu’on devient un très véritable metteur en scène et/ou un [a]Artiste -(comme l’un ou l’autre des plus grands dans chacune des disciplines des Arts et Sciences de l’Art parce qu’on accède enfin à la Vérité et à la plus véritable connaissance du sacré, donc qu’on quitte le monde limité des laipis : l’horizon s’élargit : on va enfin pouvoir spéculer, extrapoler, etc. par conséquent s’intéresser à tous les genres  / catégories dans chacun de ces arts dont par exemple la sciences fiction -(car on peut se projeter dans l’avenir à partir des paramètres du présent et en déduire de nombreuses réalisations possibles / buts à atteindre. La vie a enfin un sens : il/elle est évident[e], lisible, transparent[e]). A partir de 2005 ce fut -(comme cela l’avait été en 1967 et en 1977 à l’issue de mes premières démonstrations à l’âge des petits et à l’âge des enfants)- mon cas avec mes avertissements et la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale d’avance du ciel -(les années 2005 et suivantes)- aux années 1977 et suivantes, certes un peu aidé par tous ceux qui avaient réalisé en grande partie cette Dictée pour me permettre cette fois-ci de la vérifier en chair et en os quand cela sera possible -(car pour l’instant je fis confiance à Internet, à Wikipédia et à … comme source de mes informations vitales à transmettre dans le Passé, dont mes avertissements de la plupart des catastrophes naturelles qui se produiraient entre 1977 et 2013 à bien sûr éviter – des avertissements à relayer pour sauver du monde)-  alors qu’en réalité elle s’était déroulée une première fois -(en ma présence sur cette planète)- en 1967 et une seconde fois en 1977 à l’état de virtualité[s], soit comme une éventualité potentielle que l’avenir nous réservait, pouvant effectivement avoir lieu un jour dans cet » ou bien « rénaisien -(comme la si admirablement démontré S. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais  dans ses films Smoking ; No smoking cet » ou bien « existe ou pourrait exister)- de la Création !

[65] Avec ce h en plus à bouddha car empereur pour la première fois dans l’histoire de l’aventure humaine –[H. A. H.]- bouddha. Avec ce s en plus à bouddhah car au moins vingt-cinq de légèrement différents par seconde car je ne cesse de progresser / d’évoluer / d’avancer et grandir intérieurement en raison des informations nouvelles qui me parviennent, ce qui se répercute sur ma personne d’empereur et les autres spécialités maîtrisées par mes soins. Qui plus est, une fois qu’on devient bouddha, soit un éveillé par acquis de conscience, on est d’office grand inspecteur.

[66] Ce qui n’était pas le cas car le docteur Jean-Luc Marcel, lors d’une réunion avec son assistante la doctoresse Madame Adham -(ayant remplacé madame N. K. partie à la retraite)- et moi-même qu’il avait convoqué autour du 16 mars 2017, nous avait dit qu’il ne croyait qu’au mensonge et que la Vérité n’existait pas plus qu’en Médecine[s] -(c’est moi qui ajoute ce s car je suis certain qu’il n’a pas pensé aux autres médecines que Médecine stricto sensu ce qui rend fort bête les médecins en question qui n’y pense pas), ce qui bien sûr me fit bondir -(en me scandalisant d’autant plus de la jeunesse de cette dame Adham qui, si elle venait à le croire, serait perdue)- étant donné que pour exister le sevrage obéissait à une logique très précise en accord avec la notion de Temps, ce qui a pour socle la Vérité qui on le sait existe aussi en Mathématique[s] et/ou/donc en Logique[s], ce qui est sur quoi on s’appuie -(ou on se fonde)- pour réaliser tous les types de sevrages y compris les plus exactes dégradés avec des couleurs en [p]Peinture pour progressivement se déshabituer d’une substance précise -(et/ou d’une couleur)- en général chimique avec la mise au point d’un programme / calendrier précis dans lequel l’exactitude -(car celle-ci logique en accord avec les différents paramètres)- joue son rôle, ce qui  permet d’avance de rendre cohérent une vue d’ensemble de ce[s] sevrage[s] possible[s] pour en créer de ceux qui fonctionneront justement / bienfaisants, c’est-à-dire rationnellement compréhensible[s] en toute[s] logique[s], par conséquent vrais / bons).

[67] Acronyme de -[strictement]- laïc, [uniquement]- athée, [seulement]- ignorant, profane, [souvent]- inconscient et/ou sacrilège -[sans même s’en rendre compte], et ces six mots, bien sûr au sens négatif et non positif de chacun d’eux dans tous les SPOK dont nous n’oublions pas qu’il existe tous ceux où ils ont, heureusement, chacun un sens plus positif.

[68] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/nicole_koechlin.htm

[69] Cette note de bas de page est développée dans le texte lui-même en raison de sa longueur et du manque de la possibilité de disposer, comme j’en ai émis l’idée depuis la fin de ma thèse en 1996, de notes de bas de pages gigognes, c’est-à-dire de la possibilité de faire aux notes de bas de pages d’autres notes de bas de page et ainsi de suite des notes de bas de pages aux notes de bas de page des notes de bas de pages, and so on

[70] -[à ma place, car je n’avais pas pu m’en occuper à partir de 2005 étant rivé chez moi à transmettre à travers Espace et Temps à raison de quinze heures par jour toutes les données pour permettre à l’époque de 1977 et années suivantes, malgré la crise économique du choc pétrolier, de rejoindre ces années 2005 et suivantes synchrones avec ces précédentes)-

[71] -(de nouveau ce qui s’était passé en 1967 et 1977 à Paris et à Rome dans le ciel)-

[72] –(si ce n’est avec la visite régulière de mes frères et de ma sœur et des personnes ayant été chargées de la servir, de la soigner et de la garder)-

[73] -(les personnes chargées de lui prodiguer des soins, de la servir, de faire le ménage et de lui laver ses vêtements comme de lui faire à manger, et de veiller sur son couché, etc.)

[74] – puisque rue du Val de Grâce où je logeai était si proche de la rue des Feuillantines, [domicile principal de mes parents]

[75] je pouvais venir plus souvent en prévenant sur le téléphone mobile de celle de ces dames qui serait à ces moments-là -[auxquels je viendrai]- présente au service de ma mère -

[76] -(avant que les choses ne s’arrangent, grâce à ma sœur et à la responsable de ces femmes -(au service de ma mère)- qui s’est finalement sur ce point montrée compréhensive)-

[77] -(ce qui est toujours le cas, à l’heure où j’écris ces lignes, le 6 septembre 2020, plus de cinq ans après le fait)

[78] –(quand j’ai trouvé qu’on était aussi injuste à mon égard y compris la doctoresse madame Nicole Koechlin au/du C. M. P. qui a eu vent de ce fait par ouï[es]-dire et qui a voulu se mêler de ce problème en donnant son avis alors qu’elle ne connaissait pas tous les détails de ce qui m’avait alors touché et ce qui a eu malheureusement pour effet de retarder la progression en cours de mon sevrage)-

[79] –{[(habitation que je considère comme chez moi et chez mes frères et ma sœur comme chez mes neveux et nièces et leurs respectifs enfants, ce logement de ma mère –(ou si vous préférez chez mes parents car, bien sûr, j’attends –[comme la plupart des enfants orphelin[s]]- la résurrection de mon père)- et si je vois les choses ainsi, c’est aussi parce que je suis pharaon et bouddhahs, soit l’eanmeailleurs les Hermès les Trismégiste et … d’Ôz, mais aussi Grand Inspecteur et etc. car, avec mon père, l’Auteur de l’ensemble de mes/nos réalisations -(et dans le monde entier elles furent nombreuses à partir de 1967 et 1977), soit -[le nouveau]- Grand Architecte de l’Univers -(ce qui a enfin été de façon sûre et certaine le SPOK à partir de 2017, un peu avant ma dernière hospitalisation –(car au cours de l’auto-psychanalyse que j’ai continuée, le fait majeur -[celui de la solution alternative élégante de mes deux épouses officielles dès 1977 aurait permis à tous, dès 1995, de retrouver le très saint paradis –[T. S. P.]- d’avant la très grande catastrophe il y a plusieurs millions d’années]- est revenu à ma mémoire)- car prenant enfin la place de celui qui avait trompé tout le monde en se faisant passer pour Dieu, ce que j’ai eu à démasquer comme faux, à partir de 2013)]}.

[80] -(en sonnant chez ma mère après avoir prévenu de mon arrivée)-

[81] -(car alors j’habitai encore plus près de chez ma mère qu’à l’heure où j’écris ce texte : cela prenait deux minutes à pied[s])-

[82] -(donc en prévenant non au téléphone mais à/de l’interphone)

[83] (une marocaine sans grand niveau d’instruction[s], c’est-à-dire sans un haut niveau d’étude[s] -(ce qui, à la longue permet de penser plus justement, voire sans erreur confronté à une situation ou une autre)-

[84] -(ce qui était inhabituel car d’habitude à cette heure-là je la trouvai dans la salle à manger à son bureau)-

[85] -(par conséquent en partie chez moi)

[86] -(après avoir essayé de m’opposer résistance en pesant de toutes ses forces sur le battants de la porte enfin ouverte)-

[87] -(qui la suivait pour avoir des explications, mécontent d’avoir eu à forcer le battant de la porte et décidé, en raison aussi de cette fuite, à mettre cette femme hors de chez ma mère d’autant plus que la veille elle m’avait aussi fermé la porte au nez de cette façon très malpolie)

[88] -(de ceux pour couper en tranche les rôtis, etc., ce qu’elle avait pris dans un des tiroirs de la cuisine. Je reconnu le couteau pour avoir autrefois servi quand mes parents recevaient du monde à Rome -(ou ailleurs)- mais aussi comme celui qui m’avait décidé enfant à demander un couteau électrique pour couper le gigot car j’estimai que cela serait moins dangereux avec, à moins que simplement je trouvai géniale cette innovation -(il me semble / si je me rappelle bien Moulinex)- que je suggérai à mes parents d’acheter pour faciliter le travail en cuisine lors de leurs réceptions et par conséquent m’exercer dans la cuisine à la place d’un des serviteurs à couper -[pour les hôtes]- ainsi plus facilement ces tranches de viande)-

[89] / serviteuse - féminin de serviteur donc à la place de serveuse qui ne serait pas dans ce SPOK très approprié.

[90] -(représentant de mon point-de-vue le dieu Apophis)-

[91] -(ces deux demi-canne en bois sculpté admirablement que j’avais donc eu à sacrifier -(avec sa sculpture)- pour me défendre et que j’avais ainsi courageusement opposé à cette longue lame effilée de couteau menaçant[e])-

[92] -(au sens négatif de ce mot et non au sens positif qui parfois nous offre au contraire des merveilles : la Création à première vue semble une chose folle au sens positif et négatif de ce mot)-

[93] –(ce que je comprenais n’était pas cohérent avec ce qui venait de se passer, puisque c’est elle qui avait commencé à me fermer la porte au nez, puis à me menacer avec ce long couteau et qui avait refusé que je vois ma mère, ce qui était mon droit !)-

[94] -(de vouloir appeler la police – [ce qui, plutôt, aurait été de mon ressort de faire mais que je ne voulais pas déranger pour si peu ayant compris que c’est par bêtise que cette femme s’était ainsi comportée]- alors que cette femme dans son tort)-

[95] -(mais ce à quoi, au bout de quelques instants où j’essayai de la mettre dehors de l’appartement, je renonçai à cause de sa résistance, mais aussi parce que depuis les horaires des douves / fossés / trous à infarctus -(crises cardiaques)-(http://granier.laury.free.fr/sauvetage_personnes_agees/sauvetage_personnes_agees_04042015.htm)- je ne m’accorde pas de faire des efforts physiques trop importants et que je voulais ainsi éviter en plus de ceux que j’avais faits pour ouvrir le battant de la porte d’entrée comme pour me protéger de ce couteau avec les deux parties de ma canne. J’eus donc à renoncer à fournir de plus amples efforts physiques que très vite je compris comme potentiellement / virtuellement dangereux pour ma santé).

[96] –(me sachant quoi qu’ils fassent et/ou entreprennent les aimer, par conséquent trouver que ce qu’ils décident est souvent très bien, cependant que je trouvai que le choix de cette femme comme garde de ma mère avait été peu judicieux)-

[97] -(puisque cette servante n’y serait pas en service mais d’autres avec lesquelles il n’y a jamais eu de problèmes)-

[98] -(puisque depuis 2013 je ne suis qu’à un quart d’heure à pied de chez ma mère, cela facilitant ainsi mes visites)-

[99] -(même si, aux yeux de cette femme, c’était sa responsable qui l’était ou/et ma sœur qui l’étais, la patronne, en raison de ce qu’elle administre et gère financièrement les dépenses que leurs activités de garde de personnes-âgées exige, ma sœur ayant régulièrement à payer ce personnel de ma mère, cependant qu’on peut aussi admettre, parce que c’est le cas, que je suis leur patron car pharaon et leur bouddhahs, soit l’eanmeailleurs d’Ôz et etc.).

[100] -(parce que cette garde de personnes âgée est à cheval sur ce qui m’a été autorisé par sa responsable et ma sœur comme nombre de visite[s], au point, aux autres moments où je voudrais voir ma mère, de me refuser l’entrée de chez ma mère)-

[101] –(ce que, depuis qu’elle se cassa, je n’ai plus sur moi -[quand je sors], bien que j’ai réussi à la réparer en une réparation ayant fait apparaître sa fragilité au point chez moi de ne plus quitter l’étagère en raison de l’admirable sculpture qu’elle porte tout du long, soit celle d’Apophis)

[102] -[mais en réalité depuis maintenant 2015 et ce fait au plus haut point désagréable / injuste / scandaleux car arbitraire et sacrilège envers mes sentiments filiaux mais aussi envers ma mère qui, à cause de ce que je ne vienne pas plus souvent est le plus souvent seule dans son bureau, malgré les quelques visites de ma sœur et de mes frères -(quand ils sont à Paris)]-

[103] -(comme par exemple, -[les]- anniversaires de ma mère et -[les]- Noëls, etc. : jours de l’an, … depuis plus de cinq ans auxquels remonte ce fait -[divers]),

[104] Car il y a tous les autres -[points]- qu’elle assume admirablement malgré toutes ses activités et devoirs familiaux : chaque semaine ma sœur fait les courses de ma mère, vient lui rendre visite régulièrement pour jouer aux cartes ou/et dessiner en Sa compagnie, écouter avec Elle la musique à la radio, et s’occuper de tous les papiers et/ou dépenses de notre mère, qu’elle habille –(au sens où elle lui achète des vêtements)- mais aussi Lui prodigue divers autres soins indispensables, le personnel n’ayant, en prenant aux heures convenues le relais l’un de l’autre, qu’à faire à manger à ma mère à partir des matières premières choisies par ma soeur, la garder quand elle est seule -[mais réveillée], la changer et l’habiller, la laver et la coucher après lui avoir brossé les dents, et si possible la promener dans sa chaise roulante au jardin du Luxembourg où au bout de la rue du Val-de-Grâce dans le petit square non loin de la Fontaine Carpeaux -(qui comme vous le savez a servi comme décors à mon film La Momie à mi-mots,), etc. 

[105] :/ou/comme -[traditionnellement] fait-divers «.

[106] –(c’est le cas de le dire même si fort heureusement il n’y eu pas physiquement de plaie[s], si ce n’est une psychiquement : celle de ne pas pouvoir rendre visite plus souvent à ma mère, ce qui aurait -[eu]- comme finalité de lui donner une meilleure santé)-

[107] -(d’autant que dans d’autres réincarnations le patron des médecins et des chirurgiens, ce qui pourrait être de nouveau le SPOK/cas dans cette dernière réincarnation-ci à notre époque durant ce qu’il me reste à vivre –(cependant que pour cela il faut cesser de me donner des médicaments, étant donné qu’il n’y a plus de raisons pour cela et que mes interventions quotidiennes à travers Espace et Temps remontent, pour les dernières d’entre elle à 2013 et qu’il n’y en a plus eu aucune à partir de cette date où j’ai eu à changer de domicile, ce qui nous a, à partir de là, empêché de savoir où donc on continue à me voir dans le ciel dans le passé)- quand j’aurais plus amplement étudié l’Encyclopédie de Médecine que j’ai achetée pour faire ma mise-à-jour à notre époque dans ce domaine dans lequel, en raison à partir de 2005 de ma très grande/longue auto-psychanalyse à voix haute -[y compris pour retrouver ma mémoire des années 1963 à 1967 mais aussi celle de 1967 à 1977 comme celle de 1977 à 2005]- en conscience, je puis me considérer aussi comme devenu un très véritable psychanalyste au service de celui ou celle qui voudra)-

[108] -(si vous voulez bien intervenir avec l’aide de ma sœur auprès de la responsable de cette femme aide-soignante de personnes âgées s’étant ce jour-là comportée à mon sujet de manière préhistorique, voire que la responsable de cette femme permettra que vous rencontriez cette femme, pour lui dire qu’elle doit, pour ma mère –[qu’elle prétend aimer], absolument accepter que je vienne plus souvent, voire si possible quotidiennement à partir de cinq heures et demi ou six heures de l’après-midi, rendre visite à ma mère)-

[109] -(mais en ayant compris que j’ai, pour cela, à avoir l’accord de cette aide-soignante de personnes âgées sans lequel accord officiel, je ne peux me permettre, en prévoyant le pire, sans canne, de courir un tel risque / danger)

[110]-(à divers titres de fils de ma mère les sérénissimis…simissimes reines et impératrices-mère de l’empereur –[ma personne empereur devenu[e] bouddhahs, soit Éveillé par acquis de conscience]- mais aussi ayant été la femme / impératrice de l’empereur de la Reconstruction et de l’Angles, mon père)-

[111] -(un peu chez moi aussi, bien que n’ai rien à payer de toutes les charges du propriétaire légitime de cet appartement qui est ma mère)-

[112] -(pour plaire à ma sœur qui l’a obtenu, comme à mes frères)-

[113] -(parce qu’elle ne serait pas là au service de ma mère à ces horaires, ce qui fait qu’elle n’a[urait] pas/plus à me voir)

[114] -(celles de lui réduire autant que cela mes visites et celle de lui interdire de me voir à d’autres moments que ceux ainsi arrêtés –[parce que la servante en question est là à ces autres moments où je pourrais venir])

[115] -(ces servantes croyant être chez elles chez ma mère et non chez ma sœur, mes frères et chez ma mère et moi !)

[116] -(pour demander d’aller chercher ce livre dont j’avais de façon urgente besoin)-

[117] -(et que j’ai eu à constater en Grand Inspecteur)-

[118] -(où se situe l’appartement de ma mère)-

[119] -(où j’étais depuis cinq heures et demi de l’après-midi dans l’entrée de l’immeuble ou devant la porte d’entrée de chez ma mère étant donné que j’avais pu rejoindre l’ascenseur en passant par la porte de service du Vin Sobre, une brasserie-restaurant de qualité au bas de l’immeuble d’où se trouve le domicile principal de ma mère)-

[120] Ou » se «.

[121] -(aussitôt après être rentré chez ma mère en coup de vent)

[122] -(soit le sien dont elle ignore qu’il dépend de moi)-

[123] (Ironique :)

[124] -(à l’heure où j’écris cette note de bas de page, début Septembre 2020)-

[125] -[tant que]-

[126] –(dévoué).

[127] -(ce qui fait quatre jours, soit 94 heures et demi après ma dernière visite du jeudi !)-

[128] -(sans activités si ce n’est celle de dessiner et d’écouter la musique à la radio comme les nouvelles –[soit les informations]- voire de regarder des illustrations dans les livres ou/et les magazines qu’on pense à lui apporter jusqu’à son bureau, mais aussi qui pourrait s’intéresser à Internet et à la Télévision qui offre la possibilité de voir des DVD),

[129] -(avec tous ses/les paramètres qui la compose)-

[130] -(soit en se mettant à la place de celui qui va souffrir d’une chose ou [-d’]- une autre, ce qui permet alors de prendre le meilleur parti étant donné qu’on est remonté à la cause exacte, donc qu’on pourra trouver plus facilement le remède – ce que, par exemple, on sait -[que]- j’avais trouvé en 1977 pour faire disparaître sur le champ, donc dans les minutes qui suivaient, toute la pauvreté et la misère matérielle du genre humain et cela dans le monde entier, ce qui, à l’inverse, aurait pu rendre riche chacun des êtres humains sans exception d’un pouvoir d’achat démultiplié étant donné que pour cela, il n’y avait qu’à baisser le prix du baril de pétrole en le proposant à un centime de dollar le baril, voire à mieux encore : 0,01 centime de dollar le baril – toutes les valeurs de toutes les monnaies se seraient indexées à ce prix du baril de pétrole enfin accessible à tous/chacun et nous aurions pu rembourser en peu de temps toutes les dettes de chacun des Etats sans exception comme créer avec la gratuité de la plupart des produits de première nécessité mais aussi de superflu, les conditions économiques pour revoir [ré]apparaître le très saint paradis d’avant la très grande catastrophe, il y a plusieurs millions d’années qui nous a tous touchée en étant à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine – H. A. H.)-

[131] -(entre parenthèses)-

[132] – on lira ici les détails de ce sauvetage à effet rétroactif dans mes lettres -(sur mon site Internethttp://granier.laury.free.fr)- aux présidents de la République française -(http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm)- mais aussi dans celle aux Papes -(http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm)- et au cardinal Vingt-Trois -(http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/cardinal_vingt_trois01.htm)- mais aussi au président Macron (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/emmanuel_macron_24082017.htm), ayant complété mon auto-psychanalyse -(de 2005 à 2020)- nécessaire après vingt-sept ans d’amnésie canonique -(légitime en pareil SPOK/cas particulier = K, SP = situation précise, O = occasion)- en pareil SPOK : de 1977 à 2005.

 

[133] -(aussi ce qui s’est passé à notre sujet –[celui de ma mère et de mon droit / devoir de lui rendre visite d’autant qu’elle a financé sur ses revenus financiers propres et mérités de droit – des RFPMD – sur quarante-cinq ans - mes diverses démonstrations et réalisations]- n’aurait jamais dû avoir lieu car vous noterez que cela a été sacrilège envers ma mère et envers moi qui ai théoriquement –[en raison de l’accord de ma mère à ce sujet]- naturellement le droit de lui rendre visite autant que mes activités le rendent possible)

[134] -(mis à la disposition de ma mère moyennant paiement de crédits financiers propres et mérités de droit -(des CFPMD)- économisés par mes parents durant toute leur vie professionnelle ensemble)

[135] -(par conséquent normalement la connaissance des obligations parentales mais aussi de celles des enfants)-

[136] -(à cause de la proximité de nos domiciles respectifs et du fait qu’il me faut faire quotidiennement des pauses dans mes travaux pour ne pas trop travailler et de cette façon en faisant un peu d’exercice -(marcher jusqu’à chez ma mère)- être constant durant les heures que je consacre tous les jours à ces travaux, malgré les souffrances les plus martyrisantissimis…simissimes dues aux médicaments douloureusissimis…simissimes des neuroleptiques qu’encore une fois, une fois rétablie la vérité –(comme ici dans cette note de bas de page) - on ne devait d’aucune façon m’administrer car dans cette affaire -(ce fait divers de cette femme ayant voulu me tuer)- c’est moi qui ai été attaqué, donc que je suis la victime en ayant dû me défendre comme je l’ai pu, mais aussi à cause de cela à devoir sacrifier depuis 2015 toutes les autres fois durant lesquelles j’aurai pu passer de plus agréables moments avec ma mère)-

[137] Traduction : des choses vieilles qui étaient passées depuis très longtemps

[138] Permettez-moi de rappeler une fois encore -(en raison de cette note 69)- que c’est probablement à ce moment-là du problème avec cette femme au service des personnes âgées que nous sommes passés à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines à partir du 5 février 2015 et du 30 avril 2015, mais aussi, parce que le passage en alternance de la demi-dose toutes les six semaines à la demi-dose toutes les sept semaines avait réussi, ce qui se poursuivit, sans discontinuer, à partir du 7 juillet et/ou 7 Août 2015 jusqu’au 4 avril 2017, date de ma dernière hospitalisation!

[139] -(qui vous l’avez compris m’a été imposé en sacrilège envers le sevrage qui avait aussi bien marché que possible)-

[140] -(en Grand Inspecteur -[car]- devenu bouddhahs, soit ce qui signifie éveillé par acquis de conscience et cela depuis 2005, mais aussi en tant que votre empereur, par conséquent en qualité d’eanmeailleurs, un néologisme dont je suis l’auteur qui signifie empereur + bouddhahs, ce qui est la première fois dans l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à être le SPOK, soit le cas)-

[141] Ou bien » en «. 

[142] -[objectif, exacte, vrai, savant, expert]-

[143] Ou » beaucoup de temps «.

[144] -[m’avez-vous confirmé comme cela a été le cas par madame Adham et le docteur Marcel]

[145] –[si vous ne voulez pas – je vous le conseille en toute amitié - l’arrêter complètement, comme cela serait infiniment préférable au bout de trois mois à la dose de 25 mg]

[146] -(ce qui s’est produit dans les trois premiers mois après mon avant-dernière hospitalisation de 2013)

[147] -(pour être l’équivalent du Risperdal 25 mg toutes les deux semaines)-

[148] -(en toute logique avec plus haut dans ce texte)-

[149] -(si je devais avoir été malade, ce que je n’ai jamais reconnu puisque je n’ai jamais reconnu non plus le bienfondé de ces hospitalisations en mon âme et conscience d’éveillé -(par acquis de conscience)- comme justes, qu’on me les a imposées contre ma volonté qui était à œuvrer dans l’exercice de mes fonctions par P.A.C. -(par acquis de conscience)- pour le Bien et l’Intérêt Général en vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz à aider du mieux que je pouvais mon père dans son rôle d’empereur avant moi dans les époques du passé comme une sorte de chef des pompiers ayant à éteindre le feu très important de la Seconde Guerre Mondiale, ce qui m’autorisait donc à émettre en empereur devenu bouddhahs les sons et les phrases que j’ai émis en toute conscience pour le Bien et l’Intérêt Général, en vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz).

[150] Ou » cette «.

[151] Ce qui fait environ sept mois.

[152] Je rappelle que pour réaliser ce quart de dose, cela se mesure sur la seringue facilement : on divise d’abord par deux la quantité de Xeplion, puis après de nouvelles mesures avec une petite règle on divise une autre fois par deux en purgeant la seringue du quart qui est alors en trop : facile. 

[153] – ce qu’on appelle un -[sevrage à]- très long-terme -

[154] -(pour certains médecins peureux au sens de craintifs) -

[155]Au sens de » trop «.

[156] Ce qui signifie qu’on doit, normalement, sevrer beaucoup plus rapidement – mais il est vrai que cela dépend des cas/SPOK. Quoi qu’il en soit je tiens à souligner qu’une pleine dose de 25 mg de Risperdal toutes les deux semaines c’est -(après l’avoir essayé sur moi-même et l’avoir vérifié moi-même avec moi-même, quoi qu’en diront les gens abusés par le fait qu’il existe des doses plus importantes de commercialisées ce qui leur fait penser à tort que 25 mg est la dose minimale)- déjà immenssis…simissime car cela fait très réellement souffrir très douloureusement, et modifie la réalité de façon cauchemardesquissimis…simissime à cause de la très grande souffrance dont on est alors victime[s] en raison des impatiences acathésies qui peuvent apparaître à ce dosage. Je rappelle que quand on souffre deux semaines cela c’est déjà grandement suffisant à contraindre le corps médical des plus véritables médecins en entier -(soit tous ceux ayant pris soin de devenir des bouddhas avant de se considérer médecins – ce qui devrait être une obligation)- à faire passer à deux fois moins au bout de la deuxième semaine, soit à 12,5 mg pour rassurer le patient -(sur le temps que durera ses martyrs)- en lui faisant comprendre que deux semaines après, si tout va mieux, on passera à deux fois moins -(6,25 mg)- et ainsi de suite : 3,125 ; 1,56; 0,78 ; 0,39 si possible -(à moins qu’on s’arrête avant en raison que le patient ira mieux). J’ai pu vérifier qu’on souffre encore beaucoup des effets indésirables des impatiences à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines, bien que la souffrance soit alors plus supportable / raisonnable.

[157] -(j’insiste car cela ne peut logiquement jamais se faire ainsi)-

[158] -(si elle continuait, assez rapidement la perte d’un des patients du docteur Marcel, ce qu’elle essaya d’éviter en faisant trainer autant en longueur pour atteindre ces autres paliers du sevrage)-

[159] -(au lieu de trois mois)-

[160] -(autrement vu, j’ai expliqué plus haut comment)-

[161] -(des plus véritables, soit de ceux qui raisonnent en conscience, par conséquent éveillés et calculant en prévoyant juste)-

[162] Ce qui fait que vous aviez raison madame la doctoresse Hortense Boulanger de dire que cela n’était « plus rien du tout » -(en vous citant)- à cette demi-dose de Risperdal toutes les sept semaines étant donné que vous m’avez aussi confirmé la dernière fois que nous nous sommes vus que « ce n’était plus rien déjà à cette demi-dose de Risperdal toutes les cinq semaines ».

[163] ou/et le scandale / l’injustice, etc.(les synonymes de sacrilège).

[164] Ou » je pèse mes mots en Vérité «.

[165] Cette note de fin/bas de page fait, dans la première mouture, l’objet d’un fichier à part d’une centaine de pages, mais le texte de cette lettre / e.mail à madame la doctoresse H. B. existe aussi dans une version avec / contenant incluse cette note de bas de page d’une centaine de pages, ce qui porte la suite du texte une centaine de pages plus loin -(voire un peu plus ou un peu moins si la police de caractère[s] typographique[s] est mise pour cette note de bas de page à la valeur de dix -(10)- pour toutes les parties où elle ne doit pas être plus grande -(comme dans La Méthode pour Mesurer le[s] Degré[s] de Souffrance qui est justement fondée sur la taille, l’épaisseur et etc. des caractères typo qu’on trouvera entre autres dans cette note de bas de page). 

 

[166] Kafkaienne, un peu comme au début du Procès de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Orson Welles d’après le texte de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Franz Kafka.

[167] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/cardinal_vingt_trois01.htm

[168] Acronyme de corrections, augmentations, abrégés, relectures, []élaborations.

[169] -(12, soit ce qui traduit -(qu’on utilise pour :)- la normalité d’une conversation publique)-

[170] –(ce qui nous prendrait trop de place sur cette lettre : pensez 16 à 18 pages pour l’expression ci-dessus » encore plus forte «, environ une trentaine de pages pour chacun des mots au-dessus : » insupportab[i]lissimis…simissimes « et etc. , ce qui ferait environ quatre-vingt dix pages pour les trois mots et trente de plus pour infinimentissimis…simissimement)

[171] -(car alors nous n’avions pas encore trouvé le bon correcteur -(soit l’Artane 5 mg), ce que je mis au moins deux années à trouver)-

[172] -(qui sait ? Peut-être pas : il ne m’avait suivi en particulier qu’à une deux reprises en délégant mon cas d’abord à madame Koechlin, puis à sa remplaçante cette dame Adham)-

[173] Soit un an et huit mois.

[174] Soit six mois en/de plus.

[175] Soit environ trois mois de plus.

[176] Ce qui est énormément trop de temps. Beaucoup trop longtemps pour une étape de sevrage commencé avec le  rythme qu’on sait -(qui est déjà infiniment lent, soit le plus lent qu’on puisse faire avec des substances aussi horriblement douloureuses que celle du Risperdal 25 mg)!

[177] Imaginez un peu mon désespoir – je ne sais si vous y parviendrez.

[178] Solutions alternatives élégantes.

[179] Manu militari. En s’appuyant sur la police et des infirmiers qui au lieu de désobéir à un ordre à ce point inique, impossible -(quand on étudie en détail le dossier puisque j’étais sevré depuis trois ans), lui ont obéi.

[180] -(en raison que j’avais la veille travaillé fort longtemps à mes CARÉ– (corrections, augmentations, relectures, []élaborations)- aux lettres aux Présidents de la République mais aussi à celle au Pape que vous savez vous pouvez lire sur mon site même à l’état de brouillon seulement CARÉ trois fois)-

[181] -(en réalité nous avons vu que cela faisait plus que cela car nous avons coupé la poire en deux et nous avons compris que cela faisait au moins un an et neuf mois –[et non deux ans, bien qu’on puisse croire à ces deux années à ce dosage toutes les sept semaines en tenant compte des deux premières injection à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines], donc si on tient compte de cette zone de temps où, en réalité, cela a fait -[comme]- toutes les six semaine et demi – voir plus haut les précisions à ce sujet)

[182] -(cependant madame la doctoresse Nicole Koechlin devait partir à la retraite et elle n’a pas voulu baisser le traitement -[malgré mes nombreuses demandes]- en me disant que cela serait avec sa remplaçante, soit Madame Adham)-

[183] –(pour lui qui n’avait pas encore voulu étudier des détails -[ayant leur importance pour comprendre ma situation exceptionnelle]- qui me concernaient – comme par exemple mes textes aux présidents de la République et aux papes ou au Cardinal Vingt-Trois ou qui concernaient mon cas particulier)-

[184] -(quand j’emploie l’expression » à première-vue[s] « cela signifie qu’en creusant un peu, donc à seconde vue[s], voire à troisième vue[s], etc. – donc en y réfléchissant un peu plus – par conséquent en creusant un peu plus, c’est rarement le cas – qu’on se le dise – car nombreux sont tous ceux qui sont bernés sur/par ces à première-vues)-

[185]  -(comme je ne cesse de le demander depuis plusieurs années –[en fait depuis septembre 2017, soit trois mois après la première dose de Xeplion 50 mg, car je m’en savais / croyais -(les sevrages étant une des raison d’être en plus véritable Médecine)- ainsi à un stade du sevrage qu’il était juste de reprendre -(après cette parenthèse hospitalière de 2017 des plus psychiquement et physiquement –[acouphènes, impatiences, toux, dermatite à plusieurs endroits du corps et de la tête, maux de pieds, baisse de la vue, genre lumbago, lancements dans l’estomac, et dans la tête ou dans les jambes, et etc. – (voir les détails dans le récapitulatif de ces souffrances à partir de la notice du Xeplion –(où ils sont considérés / prévus comme effets secondaires indésirables), recopiée en fin de cette lettre)- TORTURANTISSIMIS…SIMISSIME, DOULOUREUSISSIMIS…SIMISSIME ET INSUPPORTAB[I]LISSIMIS…SIMISSIME ET ETC. en raison que tout c’était bien mieux passé de 2014 à 2017 à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines]- y compris à mi-mots, comme en parenté de plaisanterie, soit de mèche ou/et en toute évidence car de bien entendu en marquant en gras cette expression de demi-dose),

[186] ou » doctoresse «, comme on préférera.

[187] ou » sucesseuse «, comme on préférera.

[188] Si, dans cette histoire, je devais avoir été malade de quelque-chose -(ce qui reste à me prouver)- si ce n’est comme beaucoup de gens les plus véritables, d’Amour, en ayant été, depuis 2005, quand on m’a rendu un élément important de ma mémoire -(en me rappelant que j’avais été en 1977 –[mais, il parait déjà dès avant ma naissance]- comme fiancé, donc promis à S. A. I. S. S. S. Sérénissimes Princesses Christine … Lang), totalement au service de mon anneau immatériel immaculé avec elle, apparu, on le sait -(voir plus haut)- peu après être [re]devenu bouddhahs, soit, comme on a eu à le constater, en raison de la situation -(dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs)- totalement au service du Bien et du plus véritable Intérêt Général -(qui devrait logiquement coïncider avec le mien). 

[189] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm

[190] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm

[191]http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm

[192] Celui qui est devenu un faux médecin -(et non le vrai / bon docteur Jean-Luc Marcel).

[193] Du Kafka ou/et du Welles nous avons dit.

[194] Si jamais j’ai eu un jour besoin de ce produit, ce que personnellement et très objectivement mais aussi synthétiquement et en prenant en compte toutes les anti-thèses possibles -(donc en étant « impitoyable avec moi-même », soit en me posant le problème en conscience, soit en Vérité. De celle qui est si exacte qu’elle existe avant toute[s] chose[s]. Comme j’eus à le démonter en intervenant à partir de 2005 en 1967 et 1977, voire avant ma naissance, donc -[vérité]- qui préexiste)- je n’ai jamais cru, étant donné qu’à partir de 2005 tout ce que j’ai fait comme interventions à travers Espace et Temps l’a été par acquis de conscience, en Vérité et pour aider mon père rétroactivement dans le passé -(qui serait/est l’empereur avant moi. Mais l’un des plus handicapés du monde car ayant des enfants -(dont moi)- et à l’être après adolf hitler. Soit avec ce dernier « l’empereur » fou au sens du plus maladissimis…simissime mental qui soit car avec une partie de sa génération ne fonctionnant que subjectivement et qui plus est en généralisan-(au lieu de raisonner / fonctionner -[au]- cas par cas, SPOK par SPOK, comme les meilleurs chirurgiens)- donc sans faire d’anti-thèses -(et ou douter de lui et de ce qu’il s’est mis à croire. Pourtant Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Charlie Chaplin s’était donné beaucoup de mal dans Le Dictateur pour expliquer à adolf hitler et aux siens qu’ils avaient, entre autres, des problèmes de mémoire comme de très graves / importants manques de cœur en se comportant en raciste alors qu’avant d’être un mot ou un autre – ce qu’il faut dans la mesure du possible essayer d’éviter car on le sait on est aussi des image[s], des sons, des choix, des idées, des solutions, de la pensée la plus exacte, etc.. Et donc on est, avant même d’être d’un lieu – soit de faire un gros plan sur l’un ou l’autre des points qui géographiquement nous concernent chacun, citoyen de l’Univers -(donc en pratiquant ici un plan d’ensemble en utilisant un fish eye), soit citoyens d’Ôz, ce qui signifie de ce système solaire appelé ainsi localement en raison de la Vision du très saint paradis par vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs … d’Ôz)- et surtout adolf hitler possédé par l’entité de la haine -(soit avec ce dernier mot celui de l’entité la plus véritablement coupable, vérifiée par mes soins en grand inspecteur car bouddhahs et en empereur, soit en eanmeailleurs, morte durant l’hiver 2005, prisonnière dans l’épaisseur de la glace dans le bassin du jardin du Luxembourg à Paris, cette horrib[i]lissimis…simissime noirceur mesurant cinq centimètres d’épaisseur et environ  deux mètres carrés : le visage d’une femme dans la hideur la plus affreuse et laide mais aussi non-voyante qui soit)- : elle lui avait fait oublier, entre autre[s], que chaque personne avant de croire appartenir à une religion, une région, un parti, etc. est comme un univers miniature à chaque fraction de seconde, donc est plurielle, voire des univers différents ce qui n’autorise personne à tuer un être humain qui plus est est promis, le jour venu, à découvrir la conscience en lui-même -[s’il devait être de ceux l’ayant perdue. Ce que j’eus à démontrer de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005 en raison d’amnésies diverses de paramètres importants -(qu’il convient donc d’avoir continuellement présents à l’esprit). Amnésie qui peut se produire par exemple à cause de trop d’alcool ou/et en fumant des cigarettes ou/et de la drogue ou/et pour d’autres raisons adolescentes -(et/ou familiales, sociologiques, etc.)- y compris sexuelles. Cela, les rapports sexuels trop fréquents -(en l’absence de la vision du Paradis, soit d’Ôz), procurent l’oubli soit l’une des causes des erreurs au point qu’on peut, à cause de cela, croire possible devenir esclavagiste car fatigué : on croit, si intellectuel ou ayant accès à la conscience, ne plus être capable d’efforts physiques pourtant à exiger de soi pour le Bien et l’Intérêt Général]). 

 

Donc je l’ai déjà dit plus haut, j’étais dans l’exercice de mes fonctions de fils de mon père empereur nommé en Saint-Esprit et -(moi)- premier empereur / pharaon de l’histoire de l’aventure humaine à être devenu bouddhahs, soit eanmeailleurs -(mot que j’ai créé pour résumer ces deux fonctions devenues avec moi, à partir de 2005, une seule. Aussi, à partir de 2005, j’ai eu subitement à comprendre que j’étais coincé avec ma famille dans l’Espace et le Temps dans le passé et cela dans au moins trois époques différentes heureusement synchrones entre elles -(1967, 1977 et 2005 -[et puis j’aurais à découvrir, à partir de 2015, d’avance en 2045]). Si je n’intervenais pas dans le passé à partir de 2005, donc avec effet[s] rétroactif[s], en proposant mon père comme empereur par l’opération du Saint-Esprit -(je devais me marier et c’était probablement d’avance mes enfants qui se servaient de moi –[avant de naître]- pour calmer les choses sur cette planète)- comme nouvel empereur – ce qui avait été - c’était la fin de cette planète étant donné que visiblement j’avais pu vérifier, en passant par 1995, que j’étais chronologiquement l’empereur suivant mon père puisqu’en 1995 on m’avait contraint et forcé à le devenir -(empereur-pharaon)- d’une façon si précise qu’on m’a alors, à cette occasion, dévoilé en bonus, durant cinq secondes l’existence du Paradis, soit La Vision que j’ai appelée d’Ôz, soit celle du Paradis et de ses synonymes, Eden, Arcadie, Atlantide, etc. : la perspective à réaliser ensemble – (avec la résurrection des disparus quand tout sera enfin prêt à les recevoir / retrouver) - pour tous sous notre empire / eanmeailleurs d’éveillé par acquis de conscience.

[195] -(que la Vérité existe belle et bien).

[196] Votre dévoué serviteur Son Altesse Impériale Sa Sainteté Satana[na!]nas le lordissime prince empereur Jean-Luc Granier au service de la Vérité.

[197] Car même si c’est de votre point-de-vu » rien «  ce « rien » fait quelque chose en l’espaçant d’une semaine supplémentaire -(je vous prie de me croire : j’en sais quelque chose pour l’avoir  vérifié entre cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines et toutes les six semaines et enfin entre toutes les six semaines et toutes les sept semaines !).

[198] Je rappelle ici que ces inspections que je fais bénévolement en vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs -(car votre pharaon + vos bouddha[h]s, ce qui donne ce mot d’eanmeailleurs, ce qui est un état possible de l’être humain qui correspond à des initiations très originales sur des quantités très importantes de compétences)- au service de tous – permettent probablement plus facilement au Système de réagir en attribuant à chacun de mes interlocuteurs sa future réincarnation en fonction des réactions plus ou moins intelligentes que chacun des soi-disant médecins et/ou infirmiers aura/ont face à l’un ou l’autre des problèmes des patients qu’ils se doivent de soigner en prescrivant, par exemple, des médicaments qu’ils n’ont pas testé eux-mêmes sur eux-mêmes, par conséquent en se fiant -(pour les prescrire)- à des lectures / écrits à propos de ces médications qui, hélas, infiniment hélas pourraient avoir pour auteurs des charlatans -(voire des apprentis sorciers sans l’expérience du chef des sorciers bienfaisants, soit Dieu)- et non de très véritables bouddhas -(qui est aussi un état de l’être humain auquel on peut, comme j’ai eu à le démontrer à plusieurs reprises entre 1963 et 2020, patiemment accéder aussi par la quantité de travaux / peines qu’on s’inflige depuis la prime enfance dans les domaines les plus variés, ce qui permet d’être peu à peu doté des connaissances qu’on tirera de ces multiples compétences et/ou peines résolues dont celle -[par-dessus le marché]- de Grand Inspecteur, soit ce qui permet de dénicher tous les escrocs et/ou faussaires, menteurs, etc. dans chacune des activités / compétences dont ces escrocs font croire être [les] maître[s], voire les exercer en Vérité). Aussi les médicaments prescrits ont des effets indésirables -(qui sont souvent bien répertoriés comme ici – ceci dit en conclure avec la liste de ces effets indésirables qu’il s’agit de médicaments -(Risperdal comme Xeplion)- pour spécialement soigner les schizophrènes est bien impossible à croire, voir risible – mais ce sont des MÉDICAMENTS QUI FONT HORRIBLEMENT SOUFFRIR, ce que vous aurez compris il nous importe d’éviter aux êtres humains)- qui ayant lieu sur des personnes en -[grande]- partie saines -(d’autant plus que devenues bouddha par acquis de conscience, soit un éveillé ou/et un illuminato de l’intérieur, ce qui fut mon cas à partir de 2005 bien que depuis 1995 avec mon père vos dévoués serviteurs les empereurs de la Reconstruction et de l’Angles – ce mot s’écrit dans ce cas toujours avec un  s)- les rendent artificiellement malades sur ces points précis des effets indésirables pour lesquels ces médecins -(qui n’ont pas pris la peine de devenir des bouddhas -[par acquis de conscience]- au préalable avant d’exercer la Médecine -(ce qui devrait être une/la condition ou/et l’obligation avant de se permettre d’exercer), vont prescrire d’autres médicaments qui ont eux-aussi un ou plusieurs effets indésirables pour lesquels ils croient d’autres ajustements du même ordre possibles avec d’autres médicaments ayant à leur tour d’autres effets secondaires indésirables. Et voilà une personne tout-à-fait saine d’esprit, qui souffrait d’une chose bénigne, voire guérissable par exemple en ayant simplement à changer son habituelle alimentation, localement, hélas, infiniment hélas, traditionnelle en/pour une alimentation végétarienne, qu’on transforme, hélas, infiniment hélas, en malade psychiatrique en l’ayant au préalable martyrisé à cause des effets indésirables des médicaments imposés de force pour des raisons juridiques qu’on n’a pas vérifiées justes / possibles / légales sur tous les points -(ce qui n’est possible qu’une fois devenu bouddha, soit éveillé en conscience). Mais, rassurons-nous, voici aussi tous ces –[faux]- médecins sans exception -(y compris leurs complices les infirmiers)- n’ayant pas pris le soin de devenir au préalable -(avant d’exercer la Médecine)- de très véritables bouddha[s] par acquis de conscience qui obtiennent -(au fur et à mesure des « soins » -(à lire ici avec toute l’ironie qu’impose dans ce SPOK l’usage des guillemets)- qu’ils dispensent / prodiguent -(à des patients abusés dans leur confiance -(voire dans leur innocence)- en ce nom de médecin qu’ils ont affirmé être -(aussi fallacieusement qu’ils le sont dans la condition de laipis – sans jamais être parvenus à devenir bouddha, ce qui, on le sait, est l’unique possibilité de prodiguer des soins en raison de l’accès à la conscience)- les plus tragiquissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes et etc. réincarnations -(celles qui touchent tous les êtres humains devenus menteurs, dont les infirmiers trop crédules en la hiérarchie médicale, devenus les plus bêtes par exemple parce qu’ils ne savent pas compter et/ou réaliser très exactement tous les types de sevrages à géométrie variable, ce qui est la condition sine qua non pour s’autoriser à se permettre de prescrire le moindre des médicaments en Médecine car en le prescrivant on sait – c’est un devoir, sinon le devoir - qu’il faudra le plus rapidement possible en sevrer le patient pour non seulement éviter l’accoutumance à ces substances chimiques dangereuses -(car souvent à trop hautes/fortes doses de véritables poisons)- mais aussi le moins longtemps possible ces effets indésirables délétères car il faut comprendre qu’en Médecine une seconde correspond à l’échelle Universelle à des milliards et plus encore de véritables années -(tous les plus véritables [a]Artistes le savent – cela a à voir avec les temps cumulés de l’ensemble des êtres humains en interaction avec tous les autres, ces calculs, par conséquent aussi avec les mouvements des corps célestes comme tout ce qui se déroule en même temps dans l’invisible auquel nous n’avons pas encore totalement accès, ce qui signifie probablement de très nombreuses choses dont nous n’avons pas à savoir ce qu’elles sont se déroulant à notre insu pour chacun de nous, y compris nos guérisons possibles) – aussi une personne souffrant une seconde de l’un ou l’autre des effets indésirables en souffre alors des milliards d’éternités ou/et années à l’échelle Universelle, ce qu’il convient évidemment d’éviter à n’importe lequel des patients – cette notion de Temps est très importante en très véritable Médecine qui a à voir avec tous les temps concernant chaque astre et/ou planète et/ou galaxie[s] car quand un très véritable chirurgien opère, chacune des secondes comptent infiniment en raison de l’objectif qui est la guérison du patient, soit le retour de celui-ci dans le monde où il ne souffrira plus du mal – des maux – qui l’affectai[en]t en ayant alors dû avoir recours au médecin qui est parfois/souvent celui de l’âme, soit le très véritable psychanalyste-bouddha, voire le très véritable psychiatre-bouddha, soit un des éveillés par acquis de conscience, soit une personne ayant la Vérité, voire au service de celle-ci). Ces pseudo médecins non au préalable bouddha[s] -(n’ayant pas pris le soin avant d’exercer une ou l’autre des activités médicales de devenir des éveillés par acquis de conscience en devenant de très véritables bouddhas -(soit ce qui signifie un des illuminés par cette conscience qui est lumière en soi)- se sont conduits en charlatan[s] -(soit en faux médecins, par exemple en ayant espionné les plus véritables et en essayant de reproduire par mimétisme la solution alternative élégante trouvée par le plus véritable médecin devenu l’un des bouddhas, soit une/la sécurité dans/de l’être humain)- et n’ont bien sûr -[et hélas, infiniment hélas] – pas folle la guêpe - pas essayé sur eux-mêmes les médicaments que certains d’entre eux sont allés jusqu’à inventer / créer pour les mettre sur le Marché et réaliser de juteux profits en « fidélisant » les patients grâce à la complicité de ces « médecins » journalistes qui n’en sont pas des plus véritables / vraies / justes -(puisque pour l’instant encore selon toutes les probabilités appartenant aux laipis dont nous avons dit plus haut ce que cela signifie cet acronyme). Ils ont créé des médicaments sur des points précis qu’ils disent avoir étudié comme, hélas, on se rend coupable d’erreurs judiciaires parce qu’on a oublié l’un ou l’autre des paramètres essentiels qui servait à penser plus juste -(par exemple qu’il ne s’agit pas encore d’un bouddha par acquis de conscience mais simplement d’un des laipis par conséquent, normalement, en chemin pour devenir à son tour un des bouddhas -(la finalité de la Création)- car sinon s’ils n’évoluent pas dans le bon sens, ils sont de ceux qui, au contraire, courent le danger d’involuer vers l’une ou l’autre des réincarnations les plus malheureuses, tristes, tragiques, cauchemardesques, etc.) ! De cette façon des hommes et des femmes ne croyant pas qu’il puisse y avoir la Vérité en Médecine[s] se rendent maître du destin de personnes qui, trop crédules, sont abusées dans leur confiance par ces charlataneries qui ne sont même pas dignes de l’appellation de pourritures et/ou d’ordures et /ou de saletés -(celles-ci ayant souvent, comme je l’ai démontré dans quelques-unes de mes œuvres vidéo ou photographiques, un aspect esthétique indéniable, voire même appartenant à la Beauté des mondes en décomposition, voire de la notion de ruine[s], ce qui comporte, nous le savons de nos jours depuis bien longtemps un aspect romantique – ces saletés, ordures et/ou pourritures parce que belles à voir en photographie et/ou en vidéo et/ou cinématographie peuvent contribuer à soigner y compris des préjugés défavorables à leur sujet).

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Révision : 01 décembre 2021