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donc
CARE 12
Objet :
En guise d’introduction à ma lettre récapitulative à mon sujet à partir de
2013. Elle suivra dans les prochains temps. Cela permettra de mieux comprendre
ce dont j’ai été victime en 2017 au moment de ma dernière hospitalisation, ce
que je vais développer dans la lettre suivante cette sorte d’introduction ou/et
de première partie.
Paris le vendredi 25 décembre 2020
A
madame la doctoresse B. ,
Quand
nous nous sommes vus le 13 Novembre 2020, vous m’avez demandé pourquoi je ne
faisais pas plus succinct mes lettres ou/et messages et je vous ai répondu en
vous disant qu’une fois qu’on a accès à la conscience en soi, en raison de
l’éveil à la compréhension de la vérité[1],
on découvre que celle-ci[2]
est, sur un grand nombre de sujets, d’une -[très]- grande complexité[3],
ce qui explique pourquoi, dans les siècles passés sans la photographie, ni le
cinéma et la vidéo et sans les enregistrements sonores -(et de nombreux autres
bienfaits), il y eut tant d’auteurs à avoir écrit tant de correspondances détaillées,
par exemple aussi enrichissantes que celles de S. A. I. S. S. S. L . P. Jean-Jacques Rousseau[4]
pouvant se présenter sous forme de Confessions[5]
ou/et de celles de Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimes Princes François-René de
Châteaubriand[6] ou/et
d’autres grands noms de la Littérature, au point qu’un livre entier puisse au
départ être une simple lettre et continuer à l’être une fois terminé.e, malgré
la quantité de lignes[7].
Ce que je veux dire aussi c’est qu’il y a des catégories de lettres.
Mais
je vous avais aussi dit qu’il est impossible de faire plus court quand une
personne refuse de faire une chose indispensable /
vitale pour le Bien et l’Intérêt Général et cela a été le cas avec mon curateur
Monsieur M. dans cette dernière anecdote qui nous a concerné quand il a refusé deux fois[8]
l’augmentation à 160 euros par semaine de mon » argent de vie
« avant finalement d’accepter[9].
Aussi mes efforts, avec mon troisième message n’ont pas été vains.
Ce
n’est que la patience -(malgré l’état continuel
de dystonies[10], ce
dont vous prendrez autrement connaissance à la fin de ma lettre[11]
où j’ai recopié les effets indésirables inscrits sur la notice du Xeplion, en
surlignant en jaune phosphorescent ceux qui m’ont affectés)- et le fait que
je me suis donné, de nouveau toutes les peines possibles et inimaginables pour
lui écrire de nouveau qui l’ont – je veux le croire et l’espère - finalement
décidé, en raison de la clarté de mes phrases et de mes calculs élémentaires -(car
ce n’était pas pour grand-chose en plus toutes les semaines que j’ai fourni
tous ces efforts, cependant qu’ici cela a à voir avec le relatif à tel point
qu’à l’aune de ce qui m’était versé hebdomadairement[12],
la petite augmentation pour laquelle je me suis battue, à première vue en vaut
toujours la peine –[bien sûr si cela avait été pour des milliers, voire des
millions ou milliards d’euros, je me serai battu tout autant – (ce que vous
savez a été le cas/SPOK à partir de 1973 -[et est, à ce jour de Décembre 2020
toujours le cas]- et le choc pétrolier, mais malheureusement à l’époque sans
succès, c’est pourquoi depuis que ma mémoire m’est peu à peu revenue à partir
de 2005[13],
j’ai repris le combat contre l’immensissimis…simissime bêtise[14]
de ceux qui ont continué à augmenter le prix du baril de pétrole au lieu
de le baisser plus il y en avait de découvert sur le marché[15]
dans l’Intérêt et pour le Bien Général, en raison de ce que j’ai pu
vérifier avoir apporté moi-même comme nombres de réserves de pétrole, à partir
des années 2005 et suivantes synchrones, en ce qui nous concerne, avec les
années 1977 et suivantes et 1967 et suivantes ! C’est bien plus de 50 %
des réserves actuelles de pétrole dont j’ai transmis les coordonnées
géolocalisées, ce qui aurait dû faire baisser le prix du baril de pétrole de
manière à faire disparaître dans les heures qui suivaient toute la misère et la
pauvreté matérielle dans le monde entier, dès les années 1980, ce qui aurait
permis de créer enfin les conditions idéales pour
faire réapparaître (restituer)- pour/dans les années 2000 la vision du très
saint paradis d’avant la très grande catastrophe[16]
comme je l’ai finalement récemment proposée, (ce que j’étais capable de calculer[17]
dès les années 1980, mais que je n’ai pas pu faire en raison de ce que
j’avais reçu l’ordre du ciel, à Rome[18]
d’obtenir une amnésie[19]
parce qu’elle était nécessaire[20]
pour éviter d’avoir à tuer de mes mains -(et cela parce que grâce aux religions les plus
intellectuellement admissibles[21],
j’avais bien intégré en moi que tuer est interdit[22],
mais aussi chez une grande partie des plus véritables chrétiens et des
bouddhistes non-violents, ce que j’étais de tout mon cœur[23]
car en 1977 j’étais [re]devenu bouddha -(comme ce qui s’était produit pour moi
à partir de 1967, avant les Démonstrations de dix années jusqu’à 1977). Du ciel
où j’étais apparu, j’avais aussi demandé qu’on abolisse la peine de mort et le
service militaire dans les années 1977 encore obligatoire et cet interdit de
donner la mort parce que le droit à la vie -[privée][24]
a été reconnu et cela -(cette abolition de la peine de mort)- malgré ce dont
j’allais être victime à partir de fin 1977 à nos jours[25],
ce qui ferait dire à tout autre que moi, pour me contredire qu’elle est juste,
cependant, cet interdit, parce que j’ai pu explorer la condition profane, soit
celle des laipis[26]
et que j’ai compris que les personnes qui le sont -[devenues]- ne se
rendent nullement compte de la portée sacrilège de leurs actes ou/et paroles
quand ils agissent en de tels inconscients. Aussi je devais m’interdire /
m’empêcher en toute connaissance de cause
d’occire[27]
celle qui m’avait fait perdre les enfants que j’attendais de Christine …
Lang dont je devais, qui plus est, pour le plus grand bien de tous et son bien
de seconde promise, me séparer sacrificiellement, parce que cette seconde
promise[28]
ne voulait pas, en 1977, de la solution alternative élégante des deux épouses à
laquelle pourtant j’avais[29]
droit à mes divers titres, y compris celui d’éveillé par acquis de conscience -(É.A.C.), soit de bouddhahs[30],
mais aussi, à partir de 1995 en tant que l’empereur suivant mon père -(ce qui
était déjà un peu le cas en 1967 et 1977 – si vous souhaitez en savoir plus sur
ce sujet, je vous prie de lire mes lettres
aux Papes et aux
Présidents de la République dont François Hollande que vous
trouverez dans/sur mon site Internet dans la
rubrique » diverses
lettres envoyées «).
C’est que, dans ma situation, cinq euros de plus chaque semaine, cela m’est indispensable[31]
et vous avez fini par le comprendre, vital. Hélas, celui qui ne le
comprend pas, c’est celui qui ne manque de rien, voire qui peut faire des
économies après avoir dépensé autant qu’il le souhaite toute la journée –(soit ce qui n’est[32]
pas encore mon cas sur le plan qui concerne ma vie privée, et ainsi
financer mes divers autres besoins. Ils sont nombreux ces besoins superflus
et/ou primordiaux que j’ai été contraint à/de sacrifier et parmi eux, à ce
jour, tous ceux qui concernaient la venue au monde des enfants qui s’étaient
annoncés en 1977 avec/pour S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et en 2005 ceux
de S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck. Comme je l’ai dit chacune de mes
diverses activités exige des investissements financiers périodiques, ne
serait-ce que pour palier à l’usure du matériel utilisé[33]
pour être réalisées ou/et devenir réalité[s], mais aussi pour acheter
régulièrement du matériel neuf -(pour mes activités de photographe et/ou de
vidéaste amateur, régulièrement des disques durs externes de grande
capacité ; pour mes activités de peintre : papier blanc, pastels,
tableaux vierges, peinture[s][34]
voire, quand se sera possible, des locaux pour entreposer les toiles peintes et
un atelier pour peindre de[s] plus grands formats, voire pour réaliser des
performances –[enregistrées par mes soins en vidéo ou en photo – (il y a une de
mes trouvailles[35]
qui nécessiterait un espace plus important de celui dont je dispose à
l’heure actuelle –[voir date ci-dessus]- pour y mettre -[cela doit être près de
chez moi]- une cuvette des water
éclairée à l’intérieur au fond de celle-ci de tous les côtés et filmer à
l’aplomb après y avoir uriné en végétarien buveur de thé, ce que je suis, entre
autres. Cela exige donc une sorte de scène de théâtre, plusieurs spots ou/et
lampes halogènes éclairant l’intérieur de ce water, plusieurs échelles autour de ce water, voire sinon pouvoir accéder à une passerelle au-dessus de
cette scène de théâtre pour filmer à l’aplomb[36]
le résultat au fond de ce water,
en zoomant sur le point d’eau. Alors de merveilleuses petites formes / œuvres
apparaîtront / apparaissent dans la dimension macroscopique, les plus belles
jamais vues – ces merveilles pourront soigner[37]
y compris de préjugés, car j’ai démontré avec mes premiers clichés et séquences
vidéo sur ces œuvres / sujets, que l’être humain, une fois végétarien et buveur
de thé[38]
n’est que bonté et très véritable artiste en urinant aussi simplement
ainsi[39].
L’être humain dans ces conditions et au bout de quelques jours ne produit
naturellement que des merveilles[40].
Ces merveilles[41]
nous les devront au fait que je devins végétarien et au bout d’une
vingtaine d’années bouddhahs -(à partir de 2005), soit éveillé-par-acquis-de-conscience.
Cela signifie aussi que c’est bien la bonne voie que celle de s’imposer de
devenir végétarien et buveur de thé plutôt que de café[42]
puisque, comme je l’ai démontré de ma naissance à 2005[43]
que cela conduit tôt ou tard à l’acquis-de-conscience, soit à l’éveil,
donc à devenir un des bouddhas enfin au service de l’Intérêt Général y compris
par l’ensemble des découvertes ou/et recherches plastiques –[esthétiques]-
qu’on fait alors de manière à proposer au moins, grâce à la beauté de ces trouvailles[44]
des solutions alternatives élégantes pour remplacer[45]
la disparition de la vision du très
saint paradis -[T. S. P.]- d’avant la très grande catastrophe[,] il y a
des millions d’années, catastrophe cependant à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A.
H.]- et de ses migrations vers nos régions tempérées, voire -[en raison de
chasses]- pour plus loin, [les régions]- polaires, alors qu’au départ vivant nu
dans la zone équatoriale et se nourrissant exclusivement de fruits des arbres)-
dans
l’espoir qu’un jour tous ces investissements financier[s] en crédit financiers propres et mérités de droit –[CFPMD]- deviendront rentables, voire nous rembourseront de
mes/nos peines, voire reviendront à mes ayant droit).
C’est
que dans ce monde[46]
en matière de finance[s] tout est relatif à l’état de plus ou moins misère
ou/et pauvreté matérielle dans lequel on est, cependant que tous les prix
existants dépendent / reflètent du/le prix du baril de pétrole, donc de ce
qu’on appelle la matière première nécessaire aux transports –(tant que ceux-ci
ne seront pas de ceux électriques liés aux énergies propres comme celles du
solaire, de l’hydrogène, des éoliennes, des marémotrices et/ou
fluvialmoteur/motrice / rivièremotrice / canaumoteurs / motrice / estuairemoteur
/ motrice, etc. en raison du prix du baril de pétrole beaucoup trop cher /
onéreux / coûteux, rendant la vie de chacun infernale[47]
à cause de ce que le prix de ce baril n’a, à ce jour -(date plus haut
ci-dessus)- pas encore assez baissé -(ce que je réclame depuis au moins
1977 dans l’Intérêt et pour le Bien Général à mes divers titres d’empereur, de
bouddhahs, donc d’eanmeailleurs et de découvreur-géo-localisateur d’au moins
51% des réserves actuelles de pétrole, ces points ayant été géolocalisés par
mes soins à partir des années 1980 synchrones -(en ce qui nous concerne)- avec
les années 2008 et suivantes où[48]
je disposai d’Internet, ce qui a rendu plus simple mes communications à
travers Espace et Temps à ce sujet des réserves de pétrole puisque j’avais
accès à ces coordonnées pour ces géolocalisations de ces réserves de pétrole,
en mémoire sur Internet, quand je suis apparu immense dans le ciel de Rome à
partir de 1977, ce qui a évité aux géologues de chercher ces réserves, donc
-[ce]- qui a rendu moins coûteux aux compagnies pétrolières leur[s]
découverte[s] / prospections, apportant une énorme quantité de pétrole sur les
marchés, au point normalement, si tout s’était passé en toute cohérence avec
les plus véritables lois économiques de la quantité et de la rareté, de faire
baisser ce prix du baril de pétrole, ce qui, hélas, à l’échelle planétaire, n’a
pas eu lieu dans les années 1980, car hélas, infiniment hélas, ce fut le
contraire qui advînt, malgré ces quantités astronomiques de brut que j’ai apportées
sur les marchés, les prix des transports ayant alors augmenté en proportion de
ce prix du baril de pétrole -(ce qui fut/est sacrilège au paroxysme du
paroxysme et normalement le fait de laipis, cependant que paradoxalement ces
augmentations -(du prix du baril de pétrole)- nous les devons aux ententes
entre les responsables des pays producteurs de pétrole -(O. P. E. P.)- dont
certains sont – c’est ici le paradoxe - des Etats religieux : se
prétendant déistes, par conséquent des responsables censés connaître les lois
et la raisons des lois y compris toutes celles qui gouvernent l’Economie !
Ce qui signifie donc que cela fut infiniment plus sacrilège que sacrilège, donc
sacrilègissimis…simissime de la part de tous ceux qui se réclament de Dieu, au
point ici de penser qu’il s’agit de faux croyants, soit d’imposteurs sur le
plan religieux, car en demandant tous les jours un peu plus cher pour ce
pétrole, ces prétendus religieux furent à l’origine de l’augmentation de la
très grande majorité des prix et ainsi de la pauvreté et la misère matérielle
dans le monde entier. D’où que dès lors on ne puisse, (sur des points aussi
fondamentaux de l’accès de tous aux énergies indispensables), se fier aux
« religieux » s’étant – (si ce sont
eux les coupables et non des laipis –[acronyme de strictement laïcs, uniquement athées, ignorants, profanes, inconscients et sacrilèges[49]
sans même s’en rendre compte]) – comportés
en sacrilègissimis…simissimes envers les lois les plus éthiquement justes,
exactes, bonnes, admirables en tous points, etc. des Sciences Economiques qui
n’existent -(au sens de : » n’ont de raison d’être depuis
toujours «)- que pour réussir fraternellement tous ensemble à retrouver / à
restaurer la vision du très saint paradis des origines, soit celle d’avant la
très grande catastrophe il y a des millions d’années qui a été à l’origine de
la scission dans le genre humain et de la disparition de la vision du très
saint paradis[50]
– soit celle qu’on nous a tous montrée cinq secondes à l’échelle des
temps universaux/els en 1995 quand on m’a contraint et forcé à Rome à devenir
l’empereur suivant mon père S. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Luc Granier … qui a
été contraint en 1977 du futur[51]
de prendre dans le respect de la chronologie la suite des empereurs Napoléon
Premier et d’adolph hitler, avant de me passer le relais à partir de 1995 pour
réaliser ce qui avait été convenu entre nous deux[52]
en 1977, la fin de satan : parce que pour ainsi intervenir à
travers Espace et Temps d’avance dans le passé en 1967 et 1977, cela avait
signifié que j’avais réussi, à partir de 2005, à devenir vos dévoués serviteurs
les très véritables bouddhahs, ce qui était la première fois dans l’histoire de
l’aventure humaine -[H.A.H.]- pour un très véritable empereur / pharaon et à
cette occasion découvrir la mort de la haine, soit la plus véritable coupable
de toute l’H. A. H. , une entité au visage de femme qui n’avait même pas de
corps mesurant, en exagérant un peu, environ trois mètres carrés sur, à
première-vue, une épaisseur de cinq à dix centimètres et qui fut congelée dans
l’épaisseur de la glace du bassin octogonal du jardin du Luxembourg à Paris
durant l’hiver 2005, constatée par hasard lors d’une de mes promenades en Grand
Inspecteur, car bouddhahs mais aussi en empereur, d’où en Eanmeailleurs. Avant
cette horibilissimis…simissime mort[53],
il est probable que cette haine noire ait été une sorte de vent mauvais
ayant une tête d’une infinie bêtise / ignorance de laipis, au sens négatif de
ce mot qui en a parfois dans d’autres SPOK / occasions du positif, et que cette
sorte de vent rodait autour de chez moi pour prendre possession de ma personne
qu’elle savait depuis 1995 être l’empereur suivant mon père, comme elle l’avait
probablement fait en d’autres temps pour d’autres personnalités, comme ce fut
le cas d’adolph hitler, de lénine, de staline, de mussolini, de mao tsé-tung,
etc. etc, - tous les tyrans et/ou despotes, criminels contre l’humanité. Aussi
une fois constatée cette mort définitive de la haine, j’ai pu -(enthousiaste)-
en avertir les époques passées de ma voix de vérité absolue, d’autant qu’on me
voyait à mon adresse de la rue du Val de Grâce dans le cinquième à Paris
immense dans le ciel de Rome à partir de 1977, soit en synchrone avec 2005 et
cela pour rassurer le monde entier étant donné qu’après l’avoir constatée morte
dans cette hideur la plus noire, c’était tout-à-fait évident que cela avait été
cette entité qui était la coupable des âneries, sottises, mensonges et crimes
d’adolph hitler -(comme ceux des autres précédemment évoqués)- qui,
visiblement, pour être devenu dans les années Trente autant haineux et fou[54]
avait certainement été possédé par cette entité qui, on le voyait bien,
représentait aussi la totale cécité intellectuelle, soit à cause de cela la
totale incompréhension de toutes les lois existantes en raison du Saint-Esprit,
voire sans aller jusqu’à là, inscrites au cas par cas, soit au SPOK par SPOK[55],
par la succession ininterrompue de personne ayant acquis la conscience, voire
ayant réussi à penser le meilleur de l’Intérêt et du Bien Général. Le fait
d’avoir pu rassurer les époques passées – celle de 1967 et celle de 1977, voire
avant : celle après la Seconde Guerre Mondiale en tenant enfin la coupable
-(morte)- de tous les malheurs depuis la nuit des temps a été probablement
aussi à l’origine de la réalisation de Blanche
Neige et les Sept Nains de S. A. I. S. S. S. L. P. Walt Disney dans lequel
film nous assistons à la fin totale de la méchante et très hideuse sorcière,
soit une métaphore de cette face de haine noire apparue dans le bassin du
jardin du Luxembourg durant l’hiver 2005 dans l’épaisseur de cette glace
faisant loupe à droite, (quand on regarde l’arrière du Palais Médicis, donc côté
jardin)- du jet d’eau glacé. Comme demandé à S. A. I. S. S. S. L. P. Federico
Fellini pour son Casanova que je lui
ai, à travers Espace et Temps, suggéré de tourner, le film commence par un plan
sur la glace dans l’un des canaux à/de Venise dans laquelle on peut imaginer
voir cette entité de la haine qui serait aussi à l’origine de la démence, au
sens de l’inconscience[56]
de Giacomo Casanova et/ou don Juan).
Ce n’est qu’à un
centime de dollar le baril, voire mieux à 0,01 centime de dollar le baril que la création du très saint paradis sur terre
est/sera possible car à peu près tous les biens de première nécessité et
certains même jugés de nos jours du superflu seront mathématiquement gratuits
pour tous. Seuls les biens respectivement à un million cent mille dollars -(à
un centime de dollar le baril de pétrole)- ou ceux à
onze mille dollars -(à 0,01 centime de dollar le baril)- vaudront alors un
dollar -(cette monnaie ayant[57]
retrouvé un très grand pouvoir d’achat, soit au moins celui du temps où il
était en monnaie d’or. En réalité beaucoup plus de pouvoir d’achat et cela si
nous maintenons la cadence des travaux de chacun au point actuel. Mais comme ce
prix du baril de dollar nous rendra tous libres de faire ce que nous
souhaitons, il est probable que nous travaillerons / produiront tous beaucoup
moins et c’est pourquoi à 0,01 centime de dollar le baril, au lieu d’acheter
tout ce qui est à vendre à un million et cent mille dollars à un dollar, cela
nous permettra d’acheter à un dollar au moins tous les bien[s] valant dix mille
dollars, voire un peu plus : onze mille -(du moins tout le temps où nous
aurons à rembourser les dettes de chacun des États car c’est ici un ordre de
grandeur indicatif car cela pourrait être beaucoup plus
-(le pouvoir d’achat du dollar fruit de cette baisse du prix du baril de
pétrole)- si la majorité d’entre nous continue à
autant travailler que de nos jours et au moins mille dollars si le prix du
baril de pétrole est proposé à un centime de dollar le baril – ce qui serait
bien bête puisque baisser le prix du baril à 0,01 centime donne de façon sûre
et certaine au moins la possibilité d’acheter tous les biens vendus dix mille
dollars à un dollar – si ce ne sont, comme je l’ai dit avant, (si tous continuent à vouloir autant travailler –
ce qui n’a jamais été demandé par Dieu) – les
biens ayant valeur d’un million et cent mille dollars pour le prix d’un seul
dollar ! Ce qui serait épatant mais qui ne sera probablement pas – à moins
de me tromper fort heureusement sur la nature humaine en ayant oublié de tenir
compte d’un paramètre ou un autre – car les êtres humains ne voudront plus
autant travailler aux cadences infernales actuelles étant donné qu’avec les
plus petits salaires chacun d’entre eux sera -[théoriquement]-
multi-millionnaires en pouvoir d’achat).
Peut-être
que si j’avais des milliers d’euros par semaine à dépenser, j’aurais très
certainement renoncé à me donner autant de mal pour ces, tous compte[s] fait[s][58],
cinq euros de plus d’augmentation car vous avez vu que depuis le début du
différend avec Monsieur M. , j’espérai au moins parvenir à le faire fléchir à/pour
155 euros par semaine, si je ne parvenais pas à obtenir les 160 euros pour
lesquels j’ai eu à écrire tant de précisions alors que nous n’étions sûr que de
140 euros hebdomadaire, Monsieur M. m’ayant augmenté de 135 euros à 140 euros
en raison de la subvention que madame Ophélia Abdoul, mon assistante sociale, a
réussi à m’obtenir en plus de mes revenus.
Cela signifie qu’une personne butée, voire totalement négative
sur un sujet précis -(victime d’un préjugé ou d’une méthode suivie dans un
autre SPOK)- peut changer d’avis une fois qu’elle comprend des raisonnements
encore plus clairs, car pour obtenir l’adhésion d’une personne à ce qu’il vaut
mieux pour tous, cela ne se peut qu’en la préparant le mieux du monde possible
à comprendre la vérité, soit ce qui vaut beaucoup mieux, ce qui, hélas
infiniment hélas, n’est pas toujours aussi facile à comprendre / croire, à
cause, sur de nombreux sujets, de la complexité de la/cette vérité -[donc selon les SPOK – (situations précises, occasions, cas particuliers. En
effet cet acronyme fait exception car c de cas
+ p de particulier = K de SPOK)]- qui, nous le savons, se traduisent -(entre autres)-
par le nombre de pages des encyclopédies scientifiques ou/et populaires ou/et
plus poussées, spécialisées -(souvent en liaison
avec d’autres détails ou/et médias)- qui, de
plus, ne sont, souvent, que des résumés de ce que représentent ces mots et/ou
catégories / dimensions existant[e]s.
Mais
rassurez-vous dans certaines situations je sais être bref. Ce n’est que quand
on me refuse une chose absolument vitale pour moi
N.B. :
Suite après les trois paragraphes ci-dessous :
-(donc
qu’on ne me comprend pas, ce qui signifie toujours qu’il y a des paramètres qui
manquent à/dans la personne en question/cause, soit celle qui a le pouvoir de
décider, donc qu’il faut arriver à convaincre car cela peut être une question
de vie et de mort de tous pour celui qui, en
raison de l’existence de la vérité dans tous les domaines, insiste autant
-(que
moi dans certains SPOK et cela d’autant plus de ma souffrance causée par les
effets secondaires indésirables du Xeplion 50 mg)–
ce qui était le cas à plus ou moins longs-termes
avec ces cinq euros que je sollicitai en plus des 155 euros que je faisais
comme acquis, étant donnés mes arguments / la situation précise ; le
SPOK)-
que je déploie tous mes
talents en ayant à creuser ma cervelle, par conséquent à trouver tous les
arguments dont probablement mon interlocuteur n’a pas cru bon -[de]- penser,
voire que j’ai déduit qu’il ne savait pas, avant de s’opposer comme il l’a fait
-(plus ou moins en inconscient)- à une chose à laquelle il se devait
préférablement pour tous de dire oui -( par exemple à la fin de
l’administration du Xeplion soit pure et simple cette fin, soit au cours d’un
sevrage mathématique), étant donné que sinon il y a de nombreuses probabilités
qu’il obtiendra -[pour]- après sa mort une des réincarnations qui attendent
tous les imposteurs / menteurs / escrocs en Médecines y compris sur d’autres
plans intellectuels, soit les charlatans et compagnie[s].
C’est
ici effectivement malheureusissimis…simissime, soit au paroxysme du malheur
pour tous, mais aussi tristissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissime
et tragiquissimis…simissime et etc. ,
car il y a des personnes[59]
avec lesquelles, depuis la sortie de la dernière hospitalisation de
2017, je me donne beaucoup de mal pour expliquer que je ne veux plus du
médicament Xeplion 50 mg ni du Risperdal 50 mg,
(en leur demandant au moins de baisser dans un premier temps le traitement à 25
mg)- car ils sont à l’origine d’un très grand
nombre de mes souffrances à cause des effets secondaires indésirables
martyrisantissimissimes, atrocissimissimes à supporter
-(au sens de douloureusissimissimes –[vous avez peut-être pris connaissance de
ces courriers dans lesquels je me plains de souffrir beaucoup trop ?]), soit insupportab[i]lissimissimes pour des raisons, sous l’emprise de ces « médicaments », trop difficiles
à expliquer oralement[60]
et qui, malgré les écrits que je me suis donné autant la peine de
formuler du mieux que j’ai pu, malgré ces insupportables souffrances constantes,
contraignent –(ces personnes)- à devoir leur écrire de nouveau et encore avec
toute la sainte patience possible[61]
et qui ne veulent pas me croire, malgré la quantité astronomique de
pages écrites du mieux que je l’ai alors pu -(au niveau intellectuel de vérité
parmi les plus importants qui soit – soit celui de la Vérité qui, nous l’avons
vérifiée, s’est entendue en 1967 et à partir de 1977, respectivement entendue
émise trente-sept ans -(1967)- et vingt-sept années -(1977)- avant même d’avoir
été émise en chair et en os depuis les années 2005 et suivantes – soit la
vérité absolue – ce qu’on nomme autrement dit
omniscience - sur tous les sujets traités)- et
alors que je vous dis pourquoi vous devez absolument arrêter[62]
le Xeplion en question au dosage en question, vos prédécesseurs ont cru possible,
comme si de rien n’était, me contraindre à prendre ce médicament empoisonnant
et insupportabilissimis…simissime -(en l’absence
du bon correcteur – ce qui a rendu, une fois trouvé -[plus de deux années après
la première injection de Xeplion 50 mg]- par mes soins l’Artane 5mg, ce
« médicament » du Xeplion 50 mg devenant alors un peu moins
insupportable / douloureux, au point d’en être, grâce à ce correcteur, devenu
aux moments où j’en souffre -(qui sont hélas trop nombreux)-
insupportabilissimissime, soit un peu mieux -(moins douloureux)- qu’insupportabilissimis…simissime
au point que je suis constemment entrain de souffrir ainsi
insupportabilissimissimement)- alors que tous
les médecins que vos prédécesseurs m’ont demandé de consulter n’ont rien trouvé
d’anormal, mais aucun ne se s’est permis de dire, comme vos prédécesseurs, que
je ne souffrais pas et d’autres mensonges du genre de celui qu’il était
impossible que les acouphènes soient causés par ce Xeplion 50 mg, alors
qu’il était inscrit dans la notice des effets secondaires indésirables qu’il y
avait de sérieuses probabilités qu’on en soit victime ! Les médecins consultés
n’ont rien trouvé comme cause à ces diverses souffrances, sauf quand je leur ai
dit que je prenais régulièrement du Xeplion, donc qu’il s’agit, en toute
objectivité, de la cause de ces effets secondaires indésirables qui, très
réels, me font souffrir autant -(que je me donne, c’est normal dans cette
situation, en légitime défense, autant de mal à en inscrire, traduits en ces
mots de mes lettres à ces deux médecins, la cauchemardesquissimissime réalité,
parce que ces maux[63]
sont alors vraiment ce dont je souffre et que je ne fais pas semblant de
souffrir – si ces malheurs n’étaient pas vrai[s], croyez-vous que je me
donnerais autant de mal à les dire/écrire/signaler en proposant la solution
alternative élégante du remède à prendre, puisque la cause a été trouvée :
le dosage beaucoup trop important, excessifissimis…simissime du Xeplion – quand
il n’est pas accompagné de l’Artane 5 mg le rendant excessifissimissime – un
plus que léger mieux).
C’est
ainsi sans vouloir accepter mes dires que ces médecins, pour gagner du temps à
mes dépends -(en continuant ainsi à -[pouvoir]- me martyriser), m’ont demandé
de consulter un podologue -(pour les constantes douleurs d’alors dans les pieds
qu’ils ne voulaient pas reconnaître être un des effets secondaires du Xeplion),
un otorhinolaryngologiste et -[à]- la Médecine du Sport pour le scanner I. R.
M. -(pour les acouphènes), comme pour les problèmes cardiaques, et -[à]- une
dermatologue à l’Institut Verne pour les problèmes de dermite séborrhéique sur
ma figure et sur mon cuir chevelu et finalement m’ont hospitalisé de nouveau
pour la raison – m’a donné le docteur Marcel en présence de tous les témoins –
les gens de sa suite à qui il avait demandé main forte - du retard de moins
d’une journée pour l’injection de la demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, raison que vous comprendrez dans
cette missive, irrecevable car impossible à accepter en toute logique avec le
sevrage mis en route depuis 2013 et ayant abouti à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines soit toutes
les 4 233 600 secondes, ce qui était le cas depuis plus d’un an et
demi -(j’ai donc eu, ce jour-là d’Avril 2017 un retard de quinze heures, soit 54 000
secondes, ce qui à l’aune des quatre millions deux cent trente-trois mille six
cent secondes -(4 233 600)- était tout à fait possible car cela
signifie environ un retard de un 78,5 ème de ces sept semaines soit
effectivement rien du tout, même pas un « retard » de 24 heures, ce
qui aurait été de 86 400 secondes, soit ce qui aurait été de 604 800
secondes, soit un septième de ces sept semaines, s’il avait été d’une semaine,
soit ce qui était possible depuis plus d’un an et demi car nous attendions
depuis lors de passer effectivement à la demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines !
Et
cela parce que si nous n’avions pas tardé autant à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, mais aussi à
cette demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les six semaines et enfin -[à]- cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, si nous
étions restés à cette demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines trois mois comme cela avait été le cas
à partir de 2013 pour les demi-doses
de Risperdal 25 mg toutes les quatre semaines et cette demi-dose toutes les trois semaines, et celle toutes les deux
semaines après la dose de départ de
25 mg toutes les deux semaines, nous aurions été à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines -(soit l’ultime dose avant le sevrage fini / terminé
/ accompli)- dès la fin de 2014, parce que la
doctoresse Madame Nicole Koechlin, contre toute attente et toute logique, donc
cohérence -(donc en sortant de la cohérence et
la logique du sevrage en cours depuis 2013)- avait,
de manière arbitraire -(soit d’aucune façon pour
des raisons valables car objectivement exactes parce que fondées sur une
progression mathématique), infiniment tardé à
donner son consentement pour passer à -[la]- demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines et une autre
fois elle nous fit attendre de cette façon insupportable
-(N. B. : suite
après la fin du paragraphe suivant ci-dessous, mais aussi après le second
paragraphe ci-dessous)-
-(pour
un homme de sciences exactes comme moi, ne vivant que grâce à la logique, la
cohérence, l’objectivité, l’exactitude, soit la justice, la vérité et
l’Éthique, par conséquent l’honnêteté,
et etc. mais aussi, [et entre autres
choses grâce auxquelles je vis et supporte l’existence], grâce aux Arts et Sciences de l’Art –[Cinéma – Télévision – Audiovisuelle et …]- et à la Peinture – [ce
qui sont les disciplines de ma thèse de doctorat à l’Université de Paris I –
Sorbonne, donc mes spécialités]- comme grâce à
d’autres choses),
donc de cette façon
insupportab[i]lissimis…simissime de ce sevrage dans sa phase terminale -(ce qui
m’avait rendu désespéré à/d’ attendre la baisse logique à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines plus d’un an et demi, à cause soudain à partir de
la demi-dose de Risperdal 25 mg
toute les cinq semaines de l’arbitraire de la poursuite de ce sevrage soudain
dénué de cohérence et de logique par rapport à la première année de 2013 à
2014, donc à la plus exacte des logiques et vérités en Médecines métronomique
-(de métronome, soit vue ainsi un synonyme d’exacte), soit la plus véritable
Médecine qui est, comme pour la réalisation de tous les sevrages à faire appel
à la logique mathématique élémentaire, voire parfois un peu plus que cela -(du
sport et de la diplomatie)- comme cela avait été le SPOK pour passer
progressivement à
la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines.
J’avais
donc en droit
-(N. B. : suite
après la fin du paragraphe suivant ci-dessous)-
-(et
en plus véritable Médecine, celle de ceux qui sont de très véritables
chirurgiens comme moi – en vous remettant / offrant une carte postale -(tirée seulement à mille ou deux mille
exemplaires)- dont la représentation a fait une des affiches de La Momie à mi-mots
-(dont comme vous le savez je suis l’auteur) – d’une
miniature dont je fus -[aussi]- l’auteur, vous aurez une idée dans quelle dimension j’opère / je vis ce
dont vous aurez un aperçu à l’aune de mes touches de pinceau)-
la possibilité, à ce
stade de dosage, d’exiger qu’on passe à cette demi-dose toutes les huit semaines – ce qu’il aurait fallu faire au
grand maximum six mois après la demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les six semaines -(soit en 2014)- et trois mois après
à cette demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les sept semaines), donc vous le verrez, en toute logique médicale des
plus juste[s], exacte[s], une situation qui était depuis longtemps inacceptable
à cette demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les sept semaines -(plus d’un an et demi ! – D’où qu’on n’avait pas
le droit de m’hospitaliser puisque j’étais autant que cela quasiment sevré)- et
cela parce que madame la doctoresse Nicole Koechlin ne s’était pas aperçue -(comme sa
successeure la docteur A.)- qu’elles se comportaient
en laipis sacrilèges de ma personne leur patient, étant donné, vous le verrez
plus loin plus précisément et exactement, qu’en réalité en 2017 -(quand la
docteure A accompagnée du chef de service le docteur Jean-Luc Marcel en croyant
pouvoir venir jusqu’à chez moi sans me prévenir –(car de toute évidence il
s’agissait d’un simple retard involontaire, ces quelques heures – même pas une
journée de retard – il n’avait ce matin-là qu’à, (par téléphone), me faire
prévenir de mon retard et je serai tout de suite accouru pour pallier à ce
retard), m’ont contraint et forcé manu
militari -(ce qui m’a traumatisé)- à cette ultime hospitalisation
totalement arbitraire, donc sans fondement scientifique acceptable nous l’avons
démontré y compris à l’aune du nombre de secondes où je fus en retard pour
cette injection de la demi-dose de
Risperdal toutes les sept semaines, soit ce un soixante dix-huitième de retard
par rapport aux nombre de semaines : sept).
Et
cela même si j’étais, (selon vous – donc à vous en croire)- dès cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines devenue en trois années demi-dose
de Risperdal 25 mg toute les sept semaines, [comme]- sevré, donc depuis au
moins trois ans, soit comme vous le verrez depuis 2014 – (j’ai retrouvé à cet
effet le carnet d’injection de l’époque que je tiens à votre disposition, si
vous ne voulez pas perdre du temps à vérifier au CMP mes dires sur/dans les
archives et ainsi découvrir la chronologie exactes -(et les dosages des
injections)- à cette demi-dose de
Risperdal 25 mg depuis 2013).
En
effet, j’ai remarqué que les uns et les autres, en raison même de nos études
parfois forts longues et/ou forts complexes, nous refusons des choses
auxquelles il aurait été en toute logique et cohérence avec le SPOK[64]
préférable de répondre par l’affirmative et si vous avez répondu non, Madame
la doctoresse B. , c’est que j’ai compris il
vous manquait la connaissance de faits précis et de mes raisonnements les plus cohérents
avec ce dont j’ai été victime et à cause de cela probablement des/les
données qui vous auraient fait acquiescer à ma demande, voire permis d’agir
d’une façon plus juste, plus belle, meilleure, et/ou plus conforme à ce
qu’exigeait la situation -(le.a SPOK)- qu’en l’absence de ces données me
concernant, soit en ce qu’il convenait préférablement de prendre comme décision
depuis des mois à mon sujet.
En
effet, ce sont, dans notre/mon exemple, la chronologie des faits dont vous,
médecin (ayant hérité de moi comme patient), n’êtes pas au courant, soit ce qui
s’est réellement passé quand vous n’y étiez pas, donc à d’autres moments -(donc avec vous médecin qui devez comprendre /
faire votre les causes des raisons de la continuation de mon sevrage –[dont avant
cette lettre vous n’avez pas encore les arguments en la faveur de ce sevrage
présents à votre esprit – ce qui me contraint, en tant que votre patient et
grand inspecteur et etc. , à me mettre ici à votre place
-(en cherchant à comprendre pourquoi vous croyez pouvoir faire des difficultés
pour baisser le traitement –[et/car c’est en raison des paramètres qui vous
manqu[ai]ent, mais que vous trouverez dans cette missive comme déjà, nous
l’avons un peu vu dans les pages précédentes), donc
ce qui m’a obligé / contraint à trouver ces facteurs / paramètres qui vous
manqu[ai]ent très certainement, au sens de très probablement, pour comprendre
pourquoi, en toute logique, il est, au contraire, absolument vital pour
nous/tous que vous changiez d’avis, donc si vous ne voulez pas tout simplement
arrêter le traitement du
Xeplion 50 mg pour plus rien -(ce qui serait le
meilleur choix à faire / s’imposer. Vous en comprendrez les raisons très
exactes dans cette missive que vous êtes en train de lire qui accompagne en guise
de lettre d’introduction un peu résumée cette autre lettre, car à vous en
croire j’étais, en réalité, depuis 2014 sevré en ayant à me faire injecter une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines avant, en 2015, que cela soit toutes les sept semaines, donc près
de deux années en 2017, au moment de l’ultime hospitalisation ! On n’avait
donc pas le droit médicalement parlant -(soit en toute logique)-
de me faire passer d’un seul coup d’une demi-dose
de Risperdal 25 mg -(fruit d’un long et pénible sevrage)- toutes les sept
semaines depuis presque deux ans -(et cela pour un retard d’une demi-journée
pour l’injection de la demi-dose
toutes les sept semaines)- à bien plus que Risperdal 100 mg au cours de ce
début d’hospitalisation ! Au pire, pour des motifs qu’on me cachait – si
tant est que cela fut le SPOK, on pouvait me faire passer à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes
les six semaines -(ce qui avait duré si longtemps avant que, plus d’un an et demi avant ce jour-là, on me fasse passer à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines), voire au
pire du pire – ce qui ne fut jamais / n’était pas le cas / SPOK – à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines, (mais bien sûr sans avoir à
m’hospitaliser contre mon gré), ce
que j’aurai probablement accepté pour avoir la paix –(si, comme cela a été le
cas on refusait de revenir à demi-dose
de Risperdal 25 mg toute les six semaines)-
mais en sachant qu’on aurait à reprendre le sevrage dans les trois mois
qui suivraient, donc revenir à la demi-dose
de Risperdal tous les six semaines puis de nouveau, trois mois après, à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
sept semaines - ou que vous repreniez mon sevrage -(pour retrouver la
situation où j’étais depuis 2014 sevré et dans laquelle tout allait bien, sauf
que je n’avais pas encore pardonné à ma fiancée S.A.I. S.S.S. les Sérénissimes
Princesses Michèle Finck, ce que j’ai, à la suite de cette ultime hospitalisation
en 2017, pardonné -(sous l’emprise des médicaments me martyrisant)- grâce au
fait que j’ai, depuis 2005, renoué avec le christianisme et ses meilleurs
conseils, en allant jusqu’à renouer nos fiançailles avec Michèle dans la perspective du mariage si et si seulement si je ne prends
plus aucun médicament[s] et cela au minimum pendant/depuis cinq à dix ans,
voire plus -(donc que je suis entièrement
redevenu moi-même après le sevrage du Xeplion et des autres médicaments), par conséquent pour retrouver mon état normal et que
tous me trouvent parfaitement » guéri « si pour certains -(ceux qui n’ont pas pris connaissance de toutes mes
œuvres et du contenu de mes différentes lettres comme tous ceux qui n’ont pas
connaissance entièrement de mon dossier – soit de chacune des secondes de mon
existence)- je devais avoir été malade de
quelque-chose à partir de 2005 quand il s’agit pour moi de ce début d’année
durant laquelle j’ai retrouvé ma conscience toute propre
-(par conséquent que je suis devenu par acquis de conscience un éveillé, soit
un bouddhahs)- en récupérant ensuite
progressivement, grâce à elle, petit à petit -(par approximations successives),
ma mémoire, ce qui a donné des biens à ma conscience après vingt-sept années
d’amnésie -(de 1977 à 2005)- de faits majeurs à l’origine de cette parenthèse
-(durant ces années)- en tant qu’à cause de cette amnésie, devenu laipis car je
suis, grâce à cette auto-psychanalyse à partir de 2005, à mesure que j’avançais
progressivement tous les jours dans cette auto-psychanalyse et parce que
végétarien depuis les années 1990, devenu Eanmeailleurs
N.
B. : Suite après la partie de phrase ci-après ci-dessous mais aussi
possible après les deux parties de phrases ci-dessous :
-(un
néologisme pour dire un empereur devenu bouddhahs, soit un éveillé, par
conséquent très réellement meilleur
N.
B. : Suite après l’entre-crochets ci-après ci-dessous :
–[mais aussi ce mot
d’eanmeailleurs -(est)- une de mes recettes végétariennes que vous avez goûtée]-
par acquis de conscience
et dans l’Intérêt Général y compris rétroactif, ce qui explique pour au moins
la troisième fois dans l’histoire de l’aventure humaine –[HAH]- la réalisation
de mes Avertissements aux époques précédentes avec la Dictée Pharaonique sur
l’ensemble des principaux chapitres et matières concernant les années 1967 et
1977 et suivantes, soit la Dictée dont nous avions alors -[à ces dates]- pris
connaissance[65] alors
qu’elle n’était du point-de-vue de ces années 67 et 77 qu’effectuée dans le
ciel que de façon virtuelle, ce qui signifiait qu’on pouvait ne pas -[la]-
réaliser, si on estimait qu’il y avait des points qui, en conscience, n’étaient
pas acceptables, possibles, par conséquent auxquelles il ne fallait pas obéir
comme celui de ma proposition du sacrifice de séparation[66]
d’avec ma fiancée d’alors[67],
soit S.A.I. S.S.S. les Sérénissimes Princesses Christine … Lang et cela parce
qu’il y avait eu entre nous la présence[68]
à mon doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés / fiancés à l’âge de quatre ans et une autre fois à l’âge de
mes quatorze ans, une fois, à ces deux dates, d’être (re)devenu bouddhas, d’un anneau immatériel de lumière immaculée
–[blanche], ce qui signifiait –[une sorte de feu vert à notre mariage,
soit :]- que Christine et
moi[69]
attendions cosmiquement et universellement nos enfants, soit notre
descendance[70]. Soit
en exigeant de nous deux –(Christine et moi)- notre
séparation y compris
N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(en
raison de l’augmentation du prix du baril de pétrole – [au lieu que celui-ci ne
baisse], ce qui a créé l’enfer sur terre en réduisant le pouvoir d’achat du
dollar comme en freinant l’Économie Planétaire en raison des répercutions de
ces augmentations sur tous les prix, ce qui a réduit les marchés plus ou moins
aux biens de première nécessité et limité le Commerce au point que les biens
superflus n’ont pu être acquis que par uniquement les millionnaires et les
milliardaires, ce qui n’aurait jamais été -[le.a SPOK]- si ce pétrole avait été
vendu -[à]- un centime de dollar le baril ou mieux encore -[à]- 0,01 centime de
dollar le baril[71] ce qui
aurait financé le passage aux énergies propres sans que cela ne coûte cher,
soit onéreux, coûteux et du coup réduire encore plus la facture, voire aurait
permis l’électricité partout / pour tous gratuitement comme à chacun des Etats
de rembourser leurs dettes en quelques années et d’autres incalculables
bienfaits dont la disparition pure et simple de tous les formes de pauvreté[s]
et de misère[s] matérielle[s])-
le sacrifice de nos
enfants –[et cela trente ans après la Seconde Guerre Mondiale durant laquelle
les Alliés sont intervenus pour mettre un terme définitif à la honte[72]
à jamais / pour toujours des camps de concentration dans lesquels les
hommes et les femmes, chacun d’eux des univers
distincts, avaient été séparés y compris de
leurs enfants –[d’autres univers], ce qui avait décidé d’intervenir
militairement pour que les survivants –[de ces
camps de concentration]- mariés, puissent se
retrouver. Ce Débarquement démontrait clairement qu’on n’avait pas le droit de
séparer de force des personnes mariées ou/et fiancées, car ce n’est que par
consentement mutuel –[entre un employeur et un
employé mais aussi avec l’époux ou/et l’épouse concerné.e.s –-(soit celui ou/et
celle qui aurait à se séparer momentanément)- et bien sûr contre
rémunération(s) diverses, donc avantages financiers]- qu’on
a le droit de proposer à quelqu’un des travaux à entreprendre, ce qui contraint
alors –[dans certain.e.s SPOK/cas, etc .]- à de momentanées séparations, sachant qu’au bout d’un
certain temps, on se retrouvera avec plaisir – toute séparation par la force du
genre esclavagiste
N. B. :
Suite après le paragraphe suivant ci-dessous et/ou autre suite après les
deux paragraphes suivants :
–[cet
esclavage ayant été aboli en France depuis le milieu XIXème siècle et en Angleterre vers/à la fin du XVIIIème siècle]-
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-après ci-dessous :
mais aussi vers les hôpitaux psychiatriques, ce qui
est un autre problème / sujet et qui dépend des cas/SPOK
-
étant bien entendu impensable / inconcevable
pour la plus véritable humanité –[soit toute celle ayant eu accès à la
conscience, par conséquent à la vérité, soit à la connaissance du bien et du
mal – le mal étant en l’occurrence de croire possible séparer deux personnes
qui s’aiment mutuellement pour le Bien et Intérêt Général, au point –[comme
nous l’avons démontré] – de précisément le contraire : d’être capable(s)
de se séparer -[momentanément]- de manière sacrificielle, ce qui a donc été
le.a SPOK pour Christine et moi qui[73]
attendions que les adultes de 1977[74],
refusent en conscience le sacrifice de notre séparation qui cependant
avait l’air d’être[75]
proposée du ciel[76]
ce qui n’a, hélas infiniment hélas, pas été le cas / SPOK et cela malgré
l’immensité de tous les bienfaits obtenu[s] de la Corne d’Abondance virtuelle
que je devins dès 1967 et 1977 en synchrone avec mes apparitions -(alors
virtuelles respectivement trente-sept années et vingt-sept années que cela
[n’]advienne dans la réalité à partir de l’étape de ma vie en 2005 et les années
suivantes, si les adultes de 1967 et 1977 refusaient ma solution alternative
élégante de l’autorisation exceptionnelle de m’accorder mes deux
épouses-promises officielles[77],
par conséquent s’acharnaient à nous imposer le sacrifice de séparation qui
mettait à mort la descendance[78]
que j’attendais de Christine, en raison de la brève présence -(une confirmation
probablement cosmique)- à mon doigt annulaire des hommes les plus véritablement
mariés, de l’anneau immatériel immaculé, comme celle -(de descendance sacrifiée)-
qu’attendait mon frère aîné Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés
Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Luc-François Granier de Cuneo
de Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Sérénissimes
Princesses Katriona Munthe! Au contraire, ils -(ces
« responsables »)- trouvaient normal que mon frère aîné de dix ans de
plus[79],
depuis longtemps en âge de se marier avec sa promise Katriona, comme
-[trouvaient normal]- avec moi, un jeune bouddhahs[80] de quatorze ans vierge amoureux[81]
d’une future jeune-fille alors âgée de treize ans -[Christine], elle
aussi vierge, aient[82]
à se séparer alors qu’ils s’étaient réservés l’un à l’autre depuis au moins
leur naissance respectives mais aussi[83]
depuis 1967 et qu’en raison de l’apparition quelques secondes de cet
anneau immatériel immaculé lumineux à mon doigt annulaire des hommes les plus
véritablement mariés, ils se séparent en raison de l’existence annoncée qu’un
anneau équivalent à celui-ci -(qui avait été avec/pour Christine)- apparaîtrait
quelques secondes vers 2005 pour Michèle qui, conditionnée dans la région
de Strasbourg aux mariages judéo-chrétiens, ne voulait pas, (en 1977)- de
l’unique solution alternative élégante -(S.A.É.)- possible pour sauver la Création, soit
d’accepter -(malgré ses préjugés et en raison du / de la SPOK exceptionnel.le
cette solution des deux épouses, et cela parce qu’en 1977 la virtualité céleste
que j’étais / serais annonçait[84]
l’existence[85]
de cet autre anneau qui apparaissant pour Christine en 1977 apparaissait
d’avance pour Michèle vers 2004-2005, soit signifiait dès les années 1977 et
suivantes -(et si on m’avait entendu dans le ciel en 1967 ou avant ma
naissance)- que Michèle était une de mes épouses légitimes d’autant plus que
j’étais redevenu bouddhahs et pas seulement le futur empereur, soit – j’ai fini
par le comprendre seulement vers 2017, à la suite de l’écriture de mes
lettres aux papes et aux
présidents de la République française[86],
le nouvel Architecte de l’Univers, puisque vers 2013, avant mon déménagement
pour la rue de l’Ecole Polytechnique, j’ai réussi à démasquer celui qui à
l’intérieur de mon crâne[87]
se faisait appeler Dieu et qui, en réalité, était une sorte de méphistophélès
qui nous avait trompé mon père et moi en 1977 -(sans doute mon père bien avant
cette date)- comme depuis 2005 en se faisant passer pour Dieu ou/et pour
l’Architecte de l’Univers[88]
y compris aux yeux de mon propre père empereur me l’ayant présenté[89]
dans mon crâne, en utilisant vraisemblablement pour cela une des
possibilités qu’offre la salle des machines qui permet, entre autres, vous le
savez certainement, d’ouvrir les sols proches de là où vous vous trouvez, en
cherchant à vous intimider / effrayer[90]
pour vous précipiter[91]
à l’intérieur, dans une autre dimension- (obscure / sombre)- et y faire
la connaissance d’un très long, gros et gentil serpent, venant[92]
vous dire bonjour en vous reniflant[93]
avant, si ce reptile antédiluvien renonce à vous faire du mal[94]
de se retirer en remontant vers le lieu d’où il venait, ce qui, vous
ayant jugé innocent, contraint ses maîtres –(voire ses serviteurs)- à vous
remettre dans le décor -(où vous viviez)- en refermant l’ouverture dans le sol
-(comme si de rien n’avait été)- passage vers cette autre dimension très très
sombre, ce qui n’a pu se produire qu’en utilisant probablement l’aide d’un
système d’anti-matière, ce qui explique[rait] aussi l’idée en Architecture qu’a
eu S. A. I. S. S. S. L. P. le saint roi Ludwig II de Bavière, ce qu’on peut
découvrir dans le magnifique film de S. A. I. S. S. S. L. P. Luchino Visconti
quand le repas du monarque monte ainsi sur une table bien servie, en apparaissant[95]
dans Sa chambre, grâce à un mécanisme ouvrant cette trappe au sol, ce
qui existe aussi dans de nombreux cafés / restaurants / voire magasins
parisiens, voire d’autres lieux où, par exemple, y entreposer des fûts de bière
-[pression]- ou d’autres marchandises dans une cave au-dessous de cette trappe
au niveau du sol, parfois située au rez-de-chaussée).
Donc j’ai fini par comprendre, chère Madame B. ,
que c’est à moi de retrouver ces facteurs ou/et paramètres qui vous
manqu[ai]ent comme à vous prouver grâce à ceux-ci que vous pouvez sans aucun
danger[s] ni risque[s] d’aucune sorte[s]
N. B. : Suite après les cinq paragraphes
suivants ci-dessous :
1
-(à cette adresse où je vis qui n’a plus grand chose à voir dans l’Espace et le
Temps avec l’adresse de la rue du Val de Grâce d’où depuis 2005 à 2013, dans
l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs[96]
j’ai communiqué à travers Espace et Temps les avertissements /
informations si indispensables à nous tous[97]
d’une certaine façon coincés dans les années 1977 et suivantes comme
nous l’avions été entre 1967 et 1977 et comme nous le sommes tous de nouveau à
notre époque depuis 2005, mais époques synchrones entre elles, du moins en ce
qui me concerne, soit en réalité, avec celle des années 2005 et suivantes, ce
qui m’a alors permis, à partir de cette date, de dicter avec ces avertissements
/ informations quotidiennement, à raison d’une moyenne au moins de huit heures
par jour
N.
B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous.
2
-(samedi dimanche compris – et en tenant compte des hospitalisations durant
cette période de 2005 à 2013, pour moi sans vacances[98]
tant ce que j’avais à communiquer était précieux / vital pour le genre
humain sans exception des années 1967 et 1977 –[où, entre-parenthèse, j’étais /
je vivais]- et tant j’avais conscience qu’il fallait profiter du SPOK, soit de
la situation exceptionnellement unique de moi visible et audible dans le ciel
de ces époques passées pour faire avancer / progresser ces époques de 1967 et
1977). Donc ce qui faisait[99]
des journées de quinze heures de dictée[s] pharaonique[s] ou, à
première[s] vue[s], des « soliloques »),
3 -
la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne
InterRégionale[100]
Mondiale de vos dévoués serviteurs les empereurs les Hermès Trismégiste et … -(trois-petits-points)
N.
B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous.
4
-(un de mes noms d’empereur comme par exemple pour les britanniques il est/sera
de Némuphar Premier, mais en tant que futur cartooniste à partir de l’oiseau de
l’eanmeailleurs[101]
De Media Patata[102] par conséquent en pratiquant
l’auto-dérision, voire sinon une forme de sublimation grâce à cet oiseau qui
peu à peu s’est mis à parler alors que longtemps il fut muet)-
5 - dans le cadre de mon
auto-psychanalyse auto-critique)-
N. B. : Suite du paragraphe situé cinq
paragraphes ci-dessus :
me sevrer de trois mois en trois mois
du Xeplion 50 mg -(toute les quatre semaines), et cela dans la perspective, le
jour venu, de ne plus jamais me le prescrire y compris à la dose de 25 mg et à
la dose de 12,5 mg, voire aux dosages inférieurs que nous verrons dans la
lettre jointe -(ce qui pourrait se produire dans le cadre de ce sevrage
progressif
N. B. : Suite après le paragraphe
suivant ci-dessous :
–[si
vous ne voulez pas accepter la pure et simple suppression du Xeplion 50 mg en
raison que vous me voyez raisonner en toute cohérence et logique, par
conséquent que vous avez la preuve que depuis longtemps à première vue je me
porte bien -(mais je me portais bien mieux de
2014 à 2017 quand j’ai écrit ces lettres aux papes et aux présidents de la
République, car nous étions à demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines jusqu’à toutes les sept semaines
-[à partir de 2015]), si ce n’est que cela est
vrai, mais en souffrant à chaque seconde immensément -(des martyrs de
différentes sortes, ce dont vous pourrez prendre connaissance en détail vers la
fin de la lettre qui suit celle-ci -(l’introduisant)- pour plus de détails
développés encore plus exactement)- et comme vous le verrez des martyrs, soit
en souffrant parfois de manière insupportabilissimissime mais aussi en continu
de façon insupportable. Aussi vous pouvez prendre le risque de me sevrer pour
que je cesse de souffrir des effets secondaires indésirables dans mon cas plus
particulièrement recensés à partir de ceux connus car il n’y a, je vous l’ai
dit et répété presque à chaque fois que je vous ai vue aucun danger que je m’adresse de nouveau à voix hautes à ces
époques passées car cela n’est plus le.a
SPOK depuis 2013 y compris depuis 2014 quand on est passé à la demi-dose de Risperdal toutes les cinq
semaines, ce qui nous a conduit à 2017 où, comme vous le savez, depuis plus
d’un an et demi j’étais à demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines, ce qui signifie pour vous, vous me l’avez dit, l’équivalent de
rien, ce qui veut dire que selon vous depuis plus d’une année et demi j’étais
en 2017 comme sevré et donc qu’au lieu de m’hospitaliser, il fallait poursuivre
le sevrage et comme je le demandai le terminer / finir puisque depuis 2013 je
n’avais plus communiqué de façon systématique à travers Espace et Temps avec
l’époque antérieure, celle des années 1977 et années suivantes et cela depuis
2013 -(correspondant à l’années 1986)- étant donné, je le répète une fois
encore, qu’en ayant déménagé rue de l’Ecole Polytechnique, j’ignorais à ma
nouvelle adresse où diable on me voyait dans le ciel dans le passé car si
j’avais ainsi communiqué de 2005 à 2013 -(soit de 1977 à 1986)- quotidiennement,
c’est parce que m’étant vu[103]
âgé de quarante-deux ans dans le ciel de Rome à partir de 1977 -(où
j’avais quatorze ans)- je savais que tous me voyaient immense dans le ciel de
Rome et m’entendaient, par conséquent qu’il y avait des probabilités pour qu’on
enregistre mes avertissements et ma Dictée -(que j’avais, en 1977, commencé à
prendre moi-même en note[s][104],
tous constatant que cela avait lieu en même temps que je la dictai depuis / à
partir de l’année 2005 qui avait lieu dans le Ciel, synchrone avec 1977 et
1967). Tandis qu’une fois logé rue de l’Ecole Polytechnique, longtemps je n’ai
pas su[105]
au-dessus de quelles années et de quel lieu j’étais[106],
ce qui fait qu’à partir de 2013 je n’ai plus communiqué à/vers l’époque de 1977
et vers les années suivantes qui ont suivies parce que si à mon ancienne
adresse rue du Val de Grâce je savais qu’on me voyait dans le ciel de Rome à
partir de 1977 -(pour m’y être vu donc ce qui
avait été le cas, moi présent à Rome avec ma [quasi] fiancée Christine étant témoins de cela avec l’ensemble des
écoliers du Lycée Châteaubriand, des enseignants, (etc. voir la liste plus
précise plus haut)- mes parents et de monsieur François Mitterrand accouru de
Paris pour s’en assurer parce qu’il avait été question de lui comme prochain
président – nous étions alors en 1977 quand cela fut le cas)- et qu’on m’entendait dans le ciel de Paris en 1967, à
ma nouvelle adresse de la rue de l’Ecole Polytechnique, je ne savais pas si on
me voyait dans le ciel ni où ni depuis -(dans le passé)- quelle époque !
Aussi libéré -(par ce changement de domicile)- de mon devoir de poursuivre en
conscience mes avertissements et cette dictée en direction des années 1977 et
suivantes, je pus enfin me consacrer aux écritures explicatives (de mon cas si
exceptionnel)- aux présidents de la République française et aux Papes -(dont le
pape émérite)-[107]
pour, entre autres, leur demander / dire d’exproprier de façon urgente
l’immeuble de la rue du Val de Grâce de façon à ce que je puisse continuer du
ciel mes avertissements et cette Dictée Pharaonique[108]
pour aider du mieux que je le pus
mon père dans les années 1977 et suivantes -(jusqu’aux années 1986)- pour
rejoindre cet » ou bien « de la Création -(car nous avions tous
intérêt à ce que je le fasse de manière à faciliter Son travail d’empereur
étant donné qu’à partir de 1995 –[mais aussi en vérité et en chair et en os, à
partir de 2005 comme on l’a vu])- je devais prendre Sa succession en raison
-(d’une part)- de l’arrivée des nouvelles générations et de la mise-à-jour à
laquelle elles contraignent périodiquement en raison des progrès obtenus
notemment depuis l’après-Seconde-Guerre-Mondiale grâce à mes communications à
travers Espace et Temps[109]
depuis la rue du Val de Grâce dans lesquelles j’ai annoncé, entre autres
informations importantes à mon père[110],
qu’il était toujours vivant à notre époque des années 2005 et années suivantes
et/mais entre-temps devenu arrière-grand-père et ma mère arrière grand-mère,
comme je leur avais annoncé une première fois en 1967 et, (d’autre part), parce
que je devais me marier.
Par
conséquent à mon adresse de la rue de l’Ecole Polytechnique rien de ce qui
pouvait gêner mes voisins comme cela avait hélas été le SPOK / cas … rue du Val
de Grâce progressivement, à mesure que je retrouvai ma mémoire grâce au fait
majeur restitué à celle-ci -(à ma mémoire)- dès qu’installé à cette adresse,
début 2005, soit que j’avais été comme fiancé et/ou marié à Christine … Lang[111]
mais aussi que j’étais apparu immensissimissimissime[112]
dans le ciel de Rome à partir de 1977, et puis cela progressivement et
quotidiennement dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs, c’est-à-dire
du premier empereur de l’histoire de
l’aventure humaine -[H. A. H.]- devenu vos dévoués serviteurs S. E. A. I. S.
S. S. L. P. les pharaonbouddhahs -(éveillé)- Hermès Trismégiste et … -(trois
petits points), l’une de mes identités historiques, ce qui est un état de ma
personne qui m’est apparu à partir d’un certain moment, vers 2007-2008 et pas
avant)-
dont vous verrez qu’il a déjà eu lieu une fois à
partir de 2013 avec le Risperdal 25 mg, ce qui est, parait-il, la même chose
que Xeplion 25 mg, ce dernier cependant faisant heureusement un peu moins souffrir
-(quand il se prend toutes les quatre semaines)- que le Risperdal 25 mg qui, à
la différence de Xeplion 25 mg, vous le savez, se prend toutes les deux
semaines)-
Soit
-(les explications orales)-
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(ce
qui est particulièrement difficile, voire impossible à faire / donner dans mon
cas –[à moins d’avoir au préalable travaillé par
écrit celles-ci et ainsi d’y –(peut-être)- parvenir en essayant de résumer la
complexité de ces explications – mais j’ai bien pu remarquer que je n’arrive
pas oralement à me faire comprendre de vous car vous n’avez pas le temps pour
entendre toutes mes parenthèses de détails qui comptent pour se déterminer à
prescrire ou non. En effet, à l’oral nous nous embarquons vers d’autres points
qui concernent d’autres sujets de mes diverses recherches artistiques], pas seulement à cause de la complexité de la plupart
des vérités relatives au service de la vérité au cas par cas, mais aussi
-[par-dessus le marché]- quand les dosages des neuroleptiques sont
excessivement élevés / trop forts au point de faire souffrir immenssissimement
le patient -(moi)- de quelques-uns des effets secondaires indésirables, ce qui
était le SPOK, soit le cas pour moi avec Xeplion 50 mg dès la première prise à
ce dosage en juillet 2017 -(mais en réalité dès
le début de l’hospitalisation d’avril 2017, puis à ma sortie au dosage beaucoup
plus important de 100 mg)- sans le correcteur
Artane 5 mg -(deux à trois fois par jour à partir de 2019). Cela s’est donc produit
pendant au moins deux années ! avant que je ne trouve ce médicament
correcteur fin 2019)-
qui peuvent / pourraient finalement faire pencher la balance du côté de
ce qu’il valait beaucoup mieux faire -(soit ce que je vous demande en tant que
patient par tous les moyens à ma disposition, ce qui m’a conduit
N.
B. : suite au sixième paragraphe ci-dessous
1/–[en vous ayant fait part de quelques-unes de mes œuvres qui
attestent / prouvent que spirituellement – en mon âme et conscience - je vais
bien
N.
B. : suite après les trois paragraphes suivants ci-dessous
2/1/-(ce que vous m’avez confirmé comme l’infirmier François
Martineau en me certifiant qu’il n’était plus question de m’hospitaliser de nouveau
N.
B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous
3/2/-[en
effet, je ne cesse d’inventer, d’innover, de créer depuis 2013 -(comme je le fis autrement – sur bien des points
d’Intérêt et de Bien Général - à la plus grande échelle planétaire / mondiale à
partir de 2005 quand je devins un éveillé par acquis de conscience, soit les
bouddhahs à l’anneau – de mariage - immatériel immaculé), mais déjà bien avant la parenthèse des communications
à travers Espace et Temps dans le passé sur/dans le ciel de Rome 1977, à partir
de 2005 – ce qui a finalement donné, entre autres, la plupart des équipements
de/et toute notre époque depuis le premier walkman
jusqu’à Internet et la 4G et ses conséquences à notre époque -(dans laquelle on
parle de 5G : une conséquence de mes transmissions avec toutes les
innovations -(transmises du futur en 1977 –
sur/vers les années 1977 et suivantes - à l’état de virtualité)- depuis ce premier walkman
jusqu’aux écrans plats des années 2005 et suivantes]-
4/3/ car il s’agit de toutes
mes œuvres -(des photos, des vidéos, des pastels, des écrits)- réalisées en
conscience durant les temps de composition -[et de récréations]- des lettres
dont nous avons parlées, écrites durant le sevrage –(à partir de 2013), que je
n’ai publiées qu’au fur et à mesure, mais aussi à partir de 2017 –(date de
l’ultime hospitalisation, en réalité une partie de ces publications après cette
hospitalisation mais en souffrant, comme ici, le martyr à toutes les secondes,
à cause du dosage excessifissimis…simissimes du Xeplion et de certains de ses
effets indésirables qui m’ont touchés). Mais avec ces œuvres publiées, il
s’agit d’un cent-millième, voire un millionième de ce dont, depuis 2013, je
suis les très véritables Auteurs)-
N. B. : Suite de trois paragraphes
ci-dessus plus haut :
5/-en raison de ce que
publier sur Internet est infiniment plus facile que de réaliser / écrire /
monter en vidéo une par une ces œuvres, ce qu’elles attendent -(afin d’être
publiées)- quand je souffrirai moins, voire plus du tout quand nous aurons
achevé le sevrage que vous verrez je vous propose de me prescrire / mettre en
place si vous ne voulez pas, comme je vous le propose, de façon infiniment
préférable pour tous les deux -(car j’ai, par devoir d’empereur et
d’éveillé-par-acquis-de-conscience, soit d’eanmeailleurs le soucis de votre âme
comme de celles de chacun), arrêter Xeplion 50 mg pour rien d’autre –(ce qui
serait le plus simple et d’une certaine façon renouer avec les moments plus
heureux d’avant la dernière hospitalisation de 2017
–[qui m’a totalement traumatisée tant elle ne devait aucunement se produire])- et donc comme avoir poursuivi le traitement de 2017
-(avant l’hospitalisation abusive du docteur Marcel)-, soit mon sevrage alors
que j’étais depuis plus d’un an et demi à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(et de cette
manière confirmer que j’étais bel et bien sevré depuis 2014 – je vous montrerez
comme promise mon carnet d’injection de cette période - quand j’étais à cette demi-dose toutes
les cinq semaines -(ce que vous avez jugé n’être plus rien, ce qui
effectivement m’avait permis sans plus souffrir que très peu des effets
secondaires d’écrire toutes mes lettres explicatives -[aux saints-pères les
Papes et aux présidents de la République]- de ce qui s’était déroulé d’exceptionnel
à partir de 2005 à mon adresse de la rue du Val de Grâce située dans
l’Espace-Temps dans le ciel au-dessus de la ville de Rome 1977, ce qui a permis
jusqu’en 2013 quotidiennement tous mes avertissements d’avance à l’époque en
question comme la transmission de la plupart de ce qui a permis de bâtir notre
époque avec mes transmissions dans l’exercice de mes fonctions d’empereur
devenu un éveillé par acquis de conscience, soit ce que j’ai appelé un
eanmeailleurs car bouddhahs -(soit éveillé-par-acquis-de-conscience). Aussi
vous et les vôtres deviendrez un jour ou l’autre plus riches de toutes ces
œuvres, dont la plupart sous forme de séquences encore à monter ou des
photographies, donc ces éléments / œuvres en cours de finition, ce qui ne sera
possible que quand enfin je souffrirai moins, ce qui est/serait possible tout
de suite, en arrêtant totalement de me prescrire ces neuroleptiques qui n’ont
servi qu’à me faire tant et tant souffrir atrocementissimis…simissimement d’une partie de leurs effets
secondaires indésirables -(et à me rendre conscient d’un très véritable
problème qui concerne la Psychiatrie et ses serviteurs les psychiatres – ce que
je vais tenter de vous expliquer dans cette missive – soit ce qui concerne les
dosages de ces neuroleptiques proposés par les industries pharmaceutiques - par
conséquent des causes qu’il faudra, avec, je l’espère votre aide, gagner pour
éviter aux patients ces immensissimis…simissimes souffrances dont ils sont -(quelques-uns d’entre eux / elles du moins -
statistiquement)- l’objet, parce qu’elles sont
générées par les effets secondaires indésirables de ces neuroleptiques
martyrisant)]-
N.B. : Suite du sixième paragraphe
ci-dessus :
6/- à vous écrire tant ma
situation est difficile et insupportable à vivre, martyrisé à chaque seconde -(au point que la douleur
aux pieds est constante comme mes problèmes de peau, les impatiences
intermittentes comme les quintes de toux – vous lirez les autres détails des
maux que j’endure en fin de la lettre que celle-ci introduit). Ce n’est donc pas pour vous déranger, par caprice,
et/ou égocentrisme, ou encore moins -[pour]- vous faire la cour, mais parce que
c’est absolument vital pour moi que vous compreniez finalement -(je l’espère grâce à ces textes que je me suis
donné la peine d’écrire dans l’espoir que vous y trouviez ces informations que
j’y ai mises parce que capitales en pareil SPOK – en effet je n’aurais pas pris
ces peines si ce n’était pas archi-vrai, archi-vital, archi-indispensable pour
la suite de mon existence au service, à mes divers titres, du Bien et de
l’Intérêt Général pour vous dire qu’il est au moins -(si vous n’acceptiez pas l’idée pourtant juste
et en toute cohérence préférable de mettre un terme à mon traitement)- très urgent, urgentissimis…simissime que, dans un
premier temps, vous baissiez le dosage
de ce Xeplion 50 mg à Xeplion 25 mg dans le cadre de l’un des sevrages que je
vous indiquerai / proposerai très précisément plus loin -(dans la lettre
introduite par celle-ci)- car, vous l’avez déjà un peu remarqué plus haut,
vous verrez et comprendrez ce qui s’est
passé à mon sujet en 2017
N.B. :
suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(alors
que –[comme vous l’avez dit]- j’étais, de votre point-de-vue à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines, donc depuis 2014, sevré, et cela donc logiquement encore plus à
la demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les sept semaines, ce qui était le SPOK/cas depuis près de deux ans, -(en tout cas plus d’une
année et demie - vous
verrez plus loin exactement combien de mois –[ce
qui peut se convertir en secondes de temps. Aussi ces souffrances sont à
chacune de ces secondes atrocissimissimes à endurer, malgré le bien-faisant
Artane 5 mg], car je me souviens que c’est dans cette
fourchette d’un an et demi à deux ans après la période ayant concerné la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
six semaines, car j’ai retrouvé mon carnet d’injection où cela est marqué, ce
que j’ai reporté plus loin dans cette lettre développée dans/à la suite à
celle-ci d’introduction)-
est infiniment scandaleux sur
le plan médical à mon sujet -(et je pèse mes
mots, ce sont ceux d’un éveillé par acquis de conscience, donc d’une personne
objectivement dans la vérité, par conséquent grand inspecteur, car bouddhahs
donc pas seulement empereur, donc subjectif, mais ayant fait la synthèse à ce
sujet car je m’exprime en étant constemment lié avec toutes les catégories à ma
connaissance, donc je m’exprime en vérité multidimentionnelle)- et à cause de cela, il y a eu à partir de 2013 -(mais
de nouveau dès avril 2017)- de très réelles douloureusissimis…simissimes et
insuportabilissimis…simissimes
souffrances -(pour les amoindrir je n’ai
trouvé l’Artane qu’à partir de fin 2019)- qui
doivent, je vous en prie en comptant sur votre compréhension absolument cesser -(ce qui est possible dès la prochaine fois que nous
nous verrons de deux manières. La première -[si possible]- abruptement, en une
seule fois : c’est là que vous savez si c’est possible –(car c’est censé
être votre spécialité)- en arrêtant complètement pur et simplement de me prescrire
le Xeplion 50 mg -(comme tout autre alternative neuroleptique), soit d’une
autre manière, plus progressive, par approximations successives, en suivant –[comme cela a été le cas à partir de 2013 à 2017
bien que vous constaterez que j’ai beaucoup trop attendu pour passer de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines à la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines]- la
progression d’un des sevrages à notre disposition, [ce]- que je développe /
suggère très logiquement et en toute cohérence plus loin), même si, vous le savez, elles ne sont devenues
qu’insupportabilissimissimes -(grâce à l’Artane 5 mg)- selon les moments, voire
parfois, heureusement, un peu moins que cela, donc parfois seulement
insupportables -(car, vous l’aurez compris, cela varie d’insupportables -(ces
souffrances) – ce qui est hélas continuel au sens de constant - à
insupportabilissimissimes et qu’il m’apparaît, par ce moyen qu’est l’écriture,
plus facile à expliquer
qu’oralement pour
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(en
raison de la complexité de mon cas archi-exceptionnel
–[unique dans l’histoire de l’aventure humaine et de la Médecine]- et de
l’impossibilité -(vous pouvez le constater par
ces lettres tant elles ont exigées de corrections et relectures, donc tant
CARE[r] pour devenir claires. Cela démontre combien, dans des SPOK précis, le
recours à l’écrit par le truchement des logiciels de traitement de texte est
vital / indispensable / obligatoire puisque l’oralité est alors, dans ces cas,
impuissante, impossible à utiliser car elle ne parvient pas à dire l’éventail
de paramètres de données dont il convient de tenir compte avant de s’autoriser
à prescrire ou non un médicament)- d’oralement
vous expliquer, [vous le comprendrez aisément en
lisant toute cette lettre, ce dont je vous serai / suis d’avance
reconnaissant], tous ces détails -(sur lesquels méditer pour les conséquences à en
tirer, entre autres, pour l’administration des neuroleptiques sur le plan médical)-
oralement tant la vérité d’un SPOK -(situation
précise, …)- est effectivement complexissimis…simissime et précis)-
faire changer d’avis une médecin, vous, en raison de
toutes ces miennes explications en conscience écrites
N.B. : Suite après les trois paragraphes suivants
ci-dessous :
-(ce
qui donne tout le temps que vous voudrez pour la compréhension car si on ne
comprend pas on peut relire -(voire me demander d’éclaircir ce que vous ne
comprendriez pas en raison d’une de mes maladresses, voire seulement
difficultés insurmontables j’aurais eues / survenues à vous écrire l’un de ces
points, de votre point-de-vue[s] laissant à désirer)- jusqu’à ce qu’on comprenne
N.B. :
Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
–[ce
qui aurait été incompréhensible oralement en raison du nombre de paramètres à
mémoriser et de ce qu’il n’y a que les plus intelligents / soit les personnes
infiniment civilisées, voire comme le sont certains très véritables chirurgiens
et/ou artistes très véritables -(des éveillés par acquis de conscience)- qui,
avant de répondre ou/et de prendre une décision y compris médicale, écoutent
tout ce qu’un patient a à dire, voire aura à écrire
-(avec l’aide d’un logiciel à traitement de texte – tant la chronologie des
faits est importante pour certaines des décisions médicales comme pour d’autres
types de décisions dans d’autres spécialités)- pour
/ avant de prendre cette décision de cesser de prescrire des médicaments en
toute cohérence, logique, justice, droit, vérité, etc. en –(avec l’état
d’éveillé par acquis de :)- conscience qu’il a été nécessaire d’obtenir en
soi ; avant de se permettre de dire qu’on maîtrise une activité /
spécialité / profession quelconque, soit, dans le cas contraire -(sans cette
conscience), hélas, la cause des innombrables faussaires ou/et charlatans ou/et
menteurs dans la plupart des disciplines, y compris, médicales -[en Médecine])-
tandis que sous forme
orale il peut y avoir, hélas infiniment hélas,
(sans l’enregistrement visiophonique auquel on peut ensuite remédier -[avoir
recours]- pour ces écrits, [voire en rappelant l’interlocuteur pour clarifier
les points incompréhensibles ou demeurés obscurs, en lui donnant le temps d’y
réfléchir en conscience pour vous répondre]- par
des explications –[si possibles écrites elles
aussi]- plus précises)- continuellement
des paramètres gênants qui, n’ayant rien à voir avec le sujet, peuvent créer
des malentendus, nous éloigner du sujet à cause soudain de l’omission de
paramètres qui auraient été essentiels de connaître / rappeler / savoir pour
que vous changiez d’avis naturellement car vous découvrirez alors en lisant -(soit ce qui avec distance donne le temps
de ruminer - au bon sens de ce mot et non au sens négatif qui concerne
d’autres SPOK – donc/soit de réfléchir y compris aux anti-thèses possibles –
libre à vous)- que vous n’étiez pas au courant
de certains très importants détails –-(les
paramètres en question qui modifiaient grandement la donne / les conséquences
normalement justes à en tirer si vous les aviez connues. Cela vous auraient
fait vous comporter tout autrement et aller, bien évidemment, dans mon sens
-(l’arrêt définitif de la prescription du Xeplion 50 mg)- à première vue -(pour
vous)- de patient -(alors que bien entendu je suis, comme chacun des êtres
humains éveillés-par-acquis-de-conscience, donc devenus bouddhas,
d’innombrables autres choses / compétences / etc. – et cela à chacun des
instants que je vis)- qui, à la réflexion faite,
modifient effectivement le.a SPOK, soit la situation
précise, l’occasion, le cas particulier, etc.).
N.B. :
Suite de trois paragraphes plus haut, ci-dessus :
logiques et exactes
de ce qui s’est très réellement passé avant que vous ne soyez choisie pour
prendre le relais -(la suite)- de la doctoresse A. , voire à terme du docteur
Jean-Luc Marcel).
La
plupart du temps les gens refusent de faire autant d’efforts pour faire
triompher leurs idées, leur cause[113]
car cela nécessite de la constance et parfois beaucoup de travail /
travaux qu’on est contraint de s’imposer si la chose demandée est aussi vitale -(juste,
exacte, vraie, bonne pour tous y compris pour celui qui refusait de savoir, ce
dernier en raison de sa situation de chef de service ayant cru pouvoir se
passer de ces éléments, soit des paramètres, que je sache, il n’a pas même
voulu lire -(alors que les peines pour les écrire, donc pour le renseigner en
vérité sur ce cas particulier exceptionnel qu’est le mien, avaient été prises
par mes soins, immenses[114]
de 2013 à 2017 tous les jours durant mon sevrage du Risperdal 25 mg à
raison d’une moyenne de quinze heures de travail par jour pour le renseigner
N.B. :
Suite après le paragraphe suivant, ci-dessous :
-(par
le biais des
lettres encore à l’état de brouillons
-(trop peu relues et corrigées à cette heure-ci de ce jour le 2 Novembre 2020.
Mais rassurez-vous elles finiront par être de nouveau CARÉ, soit l’acronyme de corrigées, augmentées -[ôgmentées],
arrangées, abrégées, relues, [ré]élaborées,
soit la variante peut-être moins heureuse en CAÔRÉ)- aux présidents de la République et
de celle aux
Papes y compris celle au
cardinal Vingt-Trois comme plus tard une des lettres au
président Macron -[beaucoup plus courte que les précédentes])-
et lui faire comprendre
le cas exceptionnel de la situation qu’il m’a été donnée de vivre à partir de
2005 lors de mon accession à la lumière de l’esprit en moi, soit à ce que j’ai
compris on appelle la bouddhéité, ce qui signifie aussi, autrement vu, l’accès
à l’Éveil-par-acquis-de-conscience, soit la découverte qu’il y a belle et bien
une sorte de sécurité dans l’être humain pour accéder à cette conscience qui
nous permet alors, une fois ainsi si heureusement acquise, d’être clairs -(du
moins de travailler à cela), soit ce que j’ai eu à découvrir une nouvelle fois
comme cela s’était produit à ma naissance en 1963, à l’occasion de mon Baptême,
puis vers l’âge de raison[115]
soit en ce qui me concerne à mes 4 ans en 1967[116]
et après les Premières Démonstrations[117]
à mes quatorze ans en 1977[118]
ce qui avait contraint à ces communications à travers Espace et Temps à
partir de 2005[119]
en direction des années 1967 et 1977 découvertes soudain synchrones
entre elles et se déroulant en même temps à ces trois étages de la Pyramide de
l’Espace et du Temps -[P.E.T]- et cet Éveil ou/et bouddhéité de nouveau à
partir des années 2005 et suivantes, elles aussi d’avance[120]
synchrones avec 2015 et d’avance avec les années 2045[121]
car après les Avertissements et la Dictée en multidimensionnel, il a
fallu à partir de 2013, dès que je fus à mon nouveau domicile[122],
dans le même état de constante multidimensionnallité,
que je me donne ces peines incommensurables d’écriture, parfois les plus
difficiles pour écrire ces lettres y compris celle[123] à
madame Nicole Koechlin, comme ici pour retrouver ces paramètres
indispensables qui vous manqu[ai]ent en toute cohérence pour statuer sur mon
cas et vous les présenter le plus clairement pour que vous[124]
m’aidiez, au titre de mes diverses fonctions[125]
les connaissant enfin – dont celles de psychanalyste et etc.), le
docteur Jean-Luc Marcel n’ayant, que je sache, même pas voulu -[les]- les prendre[126]
en considération, donc en prendre un peu connaissance
N.
B. : Suite après le long paragraphe suivant ci-dessous :
-(et sans me connaître aucunement probablement décréter
arbitrairement avec/comme la doctoresse A. alors que je lui demandai ce que de son point-de-vue -(d’après elle)-
j’avais comme maladie -(alors que j’étais devant
elle à tous mes titres dont j’insiste -(comme paramètre et ce que cela signifie
à prendre en compte comme années d’études et/ou de formations et expériences)-
celui de docteur en Arts et Sciences de l’Art -(télévision – cinéma -
audiovisuel, …)- de l’Université de Paris-I-Sorbonne, soit quelqu’un
qui, entre autres, pour arriver à ça, sait écrire des scénarii et
adapter les livres pour en faire des films de Cinéma[127]
avec plus ou moins de nombreux personnages, par conséquent qui sait
qu’un être humain c’est au moins virtuellement de nombreux personnages
différents donc pas seulement un univers mais de nombreux de potentiellement
différents)- avec
grand embarras car à vrai dire elle m’a dit plus honnêtement que, pour
l’instant, en vérité elle n’en savait rien mais qu’elle faisait comme si
j’étais schizophrène -(ce pourquoi on a déclaré
que le Xeplion agit, donc pour se prononcer en faisant croire à un semblant de
cohérence avec le médicament prescrit à la sortie de mon hospitalisation
arbitraire de 2017 par une doctoresse dont je n’ai plus le nom[128]
qui a disparu de la circulation dans les jours qui ont suivi sa prescription du
Xeplion 100 mg pour ma sortie de l’hôpital, ce que la doctoresse A. , à partir
du mois de Juillet, a réduit à 50 mg[129])-
sur quoi vous verrez dans cette lettre ce que je
réponds car bien évidemment je ne le suis pas schizophrène[130],
d’aucune façon en
étant le metteur en scène de Cinéma ou/et le réalisateur / producteur / cadreur
/ monteur / etc.[131]
de vidéos et de photos sur la réalité[132],
bien qu’il ne soit pas exclu qu’il puisse y avoir des réalisateurs et
etc. schizophrènes, cependant ils n’ont pas reçu, comme moi, que je sache, de
l’Université de Médecine de Buenos Aires en Argentine Le Premier Prix Andreï Tarkovski pour la Création Artistique et le
Langage Cinématographique décerné par, parait-il, un jury d’éminents
psychiatres et psychanalystes -(en partie)- argentins à ce festival de Cinéma
International qu’ils avaient organisé en 1996 avec leur Faculté étant donné que
La Momie à mi-mots
était aussi, de leur point-de-vue, un film remède / soignant -(effectivement,
j’ai vérifié en Grand Inspecteur Éveillé-par-acquis-de-conscience qu’on peut le
voir et le revoir souvent, voire en boucle et à chaque fois ce film fait
beaucoup de bien : il
soigne[133]
le cerveau[134]
des maladies psychiques[135]
et les personnes qui seraient momentanément schizophrène[136].
Évidemment, si j’avais à jouer un schizophrène au Théâtre ou dans un film[137],
il est probable que j’y parviendrais puisqu’encore une fois, (je me répète tant
cela est important :), je connais – je le souligne - comme vous la
trouverez / lirez, la cause -(c’est-à-dire l’origine)- des si malchanceux
schizophrènes -[en ce monde], par conséquent, bien évidemment, en vos dévoués
serviteurs les bouddhahs eanmeailleurs Hermès Trismégistes et …, la solution
alternative élégante, soit le remède pour les en guérir. Vous lirez et vous
saurez comment on peut guérir de la schizophrénie, et dans d’autres de mes
textes d’autres maladies dont celles de l’anorexie et des incohérences
intellectuelles, etc.).
N.
B. : Suite du paragraphe situé avant le paragraphe précédent
ci-dessus :
en continuant ainsi à se comporter bien légèrement, au sens négatif de
ce mot qui en a, dans d’autres SPOK/cas, du positif, ce qui signifie alors
qu’il -(le docteur Jean-Luc Marcel)- a exercé la Médecine en demeurant en
-[grande]- partie du moins un inconscient -(ce qui ne nous étonne pas puisqu’il prétendait[138]
que dans la vie et en Médecine[s],
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-[mais
aussi pour le sevrage que je lui demandai de confirmer et d’achever en le poursuivant si possible
plus logiquement en me
faisant passer à demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les huit semaines, car nous étions dans le cadre de ce
sevrage –(commencé en 2013 avec la doctoresse N. K. )- depuis près de deux ans
à demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les sept semaines, ce qui en dit long de/sur ma patience à avoir
supporté ce sacrilège[139]
envers la science exacte des sevrages, étant donné qu’on aurait dû
passer à ce dosage de toutes les huit semaines au moins depuis une année, voire
plus, pour rejoindre l’étape terminale de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, grosso modo durant trois mois avant d’en
finir à jamais avec ces neuroleptiques],
la vérité[140]
n’existait pas et non l’inverse
-(bon sang ! que la vérité existe), ce qu’il vaut mieux, par acquis de
conscience pour servir la très sainte Médecine ou la Vie, ce qui est le projet
de Dieu pour chacun de ceux qui aspirent, une fois acquise ou/et retrouvée
cette conscience, à très aimablement aider / soigner leurs prochains et cela de
façon juste / logique / cohérente / véritable, etc. par tous les moyens
intellectuellement admissibles en conscience, soit tous ceux qui nous évitent
de faire du mal, mais au contraire du bien).
C’est
donc, pour l’être humain ayant acquis sa conscience, des efforts parfois
incommensurables que ces textes à produire, parce que nous savons l’autre[141]
dans l’ignorance de choses / paramètres / faits / données précis.es qui, si on les oublie, confortent cet
inconscient dans son refus -(qui provient le plus
souvent de ce que l’autre a préféré sur le sujet demeurer un ignorant, au sens
négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK/cas …).
Et
nous avons pu vérifier[142]
que cela concerne en général la plupart des laipis, (acronyme qui ne s’écrit qu’en
minuscule pour des [uniquement]- laïcs,
des -[strictement]- athées, des ignorants –[au sens négatif de ces mots
qui dans d’autres circonstances en ont du positif comme pour les suivants aussi
de cet acronyme :], des profanes,
des inconscients –[ou pas
suffisemment conscients]- et parfois même, sans s’en rendre compte, donc par
omission –[de certains détails ou/et paramètres]- [ce qui est le plus triste :]-
des sacrilèges).
En
effet, cet état -(celui
de laipis, complexe)- de l’évolution humaine -(qui est souvent celle de chacun
d’entre nous avant
d’accéder à la compréhension du
sacré[143]
donc en relation avec les différentes formes de vérité[s] relatives
proposées par exemple par les différentes religions et/ou catégories), est celui qui peut être à l’origine de l’obscurité -(l’inconscience)-
de/dans l’un ou l’autre des êtres humains[144].
Aussi
pour éviter cela, tous ceux qui ont accès à la conscience, par conséquent à la
lumière en eux, grâce à la compréhension de chacune des vérités relatives -(constitutives
de la Vérité)- avec les preuves que ces vérités existent sur chacun des points
sans exception, bien que, sur certains sujets, la vérité soit si complexe à
comprendre au point de rendre nécessaire de déployer de très nombreuses
couleurs ou/et/: arguments vrais pour qu’on puisse en prendre connaissance et
cela pédagogiquement parce que nous ne
savons jamais le niveau d’études[145]
de nos interlocuteurs, voire si ceux-ci se sont donnés les peines de
faire des mises-à-jour -(ce qu’il convient périodiquement de faire y compris
des/aux/pour les religions.
C’est
cela qui contraint d’écrire des textes qui peuvent progressivement devenir des
livres à cause du fait que l’auteur a rencontré des difficultés pour être
compris par ces laipis auxquels il doit constemment penser –(en
se mettant à la place de ceux-ci qu’il sait –[nous espérons pour eux
momentanément]- en grande[s] difficulté[s][146]
car ils sont comme perdus sans ces renseignements globalement[147]
exactes / vrais).
A
la longue cela fait des bibliothèques entières sur chacun des mots -(au point
que les moteurs de recherche sur les mots ou/et expressions composées nous en
donne la/les preuves : Dans la réalité nous ne rêvons pas –(même si nous
pouvons par moment le croire d’autant plus que j’ai découvert que la réalité
que nous vivons correspond parfois à un rêve que nous avons eu quand nous
étions dans le ventre de nos respectives mères, mais aussi entre notre
naissance et l’âge de raison[148],
puis entre cet âge de raison et nos quatorze ans, mais aussi comme je l’ai
démontré entre nos quatorze ans et l’âge de quarante-deux ans, puis entre nos
quarante-deux ans et nos soixante ans, et ainsi de suite : tout obéit donc
à des lois précises qui sont scientifiquement compréhensibles et qui nous
contraignent à distinguer rêve et réalité, conscience et inconscience, bien et
mal, noir profond et blanc immaculé, etc.).
C’est
pour cela que les études sont indispensables car on y apprend des vérités,
voire – ce qui n’est déjà pas si mal, des vérités relatives dans chacune des
catégories, voire comme ici les causes de nos situations respectives -(par exemple grâce aux Sciences Humaines, soit avec
l’Histoire, une de ses disciplines).
Ce qu’il y a de plus cauchemardesque pour un être parvenu, comme moi,
à s’être doté de sa propre conscience[149],
c’est soudain découvrir, à cause de ce changement, l’incompréhension dont on est[150]
l’objet. Pourtant on devrait trouver cela normal : on le sait, le
changement[151] est
inhérent ou/et consubstantiel à la vie / nature d’un être humain
N.
B. : Suite après le paragraphe ci-dessous suivant :
–[il
se produit aussi dans le monde animal et végétal, il est partout sauf dans les
choses arrêtées, figées, comme fossilisées -(qui vivent dans une autre notion
du Temps cependant qu’on a pu constater qu’avec des images de synthèse, on peut
les animer de nouveau, notemment comme dans le film Jurassic Parc. Il y a aussi des vérités relatives qui semblaient
arrêtées, figées. A la limite, elles sont devenues des préjugés qu’on a cru à
tort ou à raison pouvoir infirmer, [nier], ou du moins modifier, changer en
disposant de paramètres différents, voire d’anti-thèses ayant semblé à première
vue plus justes. Dans d’autres SPOK ces vérités relatives, ces états,
redeviennent vrais / arrêtés de nouveau et on constate que ces vérités
relatives existent donc en fonction / à cause de paramètres précis pris en
compte, menant parfois, au contraire, à la disparition / destruction de ce
sujet, ce qui est de nouveau un changement, une modification d’état. Mais c’est
ici le danger des changements et des révolutions. Ils/elles mènent parfois à la
destruction. Aussi il convient de s’interdire toutes celles qui exigent de
recourir à des conflits armés au profit de toutes celles qui sont non-violentes
car la raison, la conscience et les pensées les plus justes / vraies /
amoureuses -(par conséquent non-violentes,
débarrassées de la haine)- en sont les plus véritables patients auteurs. Il
convient de laisser le temps pour changer, transformer la société à moins
qu’elle ne soit dirigée par des laipis au sens négatif de ce mot qui, dans
d’autres SPOK, en a du positif. Aussi il convient d’intervenir par la force, au
besoin en arrosant les manifestants avec des canons à eau[x] comme je le fis
faire par le Général de Gaulle et à mon père[152]
en 1968 en donnant cette disposition depuis l’année 2005 synchrone avec
1967 ! On m’a entendu et on a suivi mes, ce qui a permis de sauver la vie
de beaucoup de gens)].
Cela a à voir avec le Temps qui
passe mais aussi, bien sûr, avec la notion de Progrès en raison de la
métamorphose et des réincarnations : depuis nos respectives conceptions[153]
ce qui est donc, à partir de la première division cellulaire, (soit ce
qu’on nomme fécondation)- en étant ainsi créés, d’une autre façon de voir,
mourir à chaque seconde un peu plus -(on voit ici que, paradoxalement, mourir
n’empêche pas de venir au monde, de se créer par l’intermédiaire de sa mère,
grandir, se développer, changer, etc.. Donc changer, muer, etc. sont donc
consubstantiels de la vie. Sans la perspective de se rapprocher du terme de
notre vie -(dès notre naissance, au sens de
conception)- il semble qu’il n’y aurait pas de vie possible, à moins de faire
partie des gens éternels et d’avoir pour cela découvert le secret de l’éternelle jeunesse – [S.É.J.][154].
Nous nous sommes développés dans les entrailles de nos respectives mères, et au
cours des neuf mois de gestation, nous n’avons pas cessé de changer, tandis
qu’une fois nés – (un changement d’état, la naissance !)- tandis que nous
changions en grandissant et en prenant du poids, beaucoup d’autres choses[155]
changeaient aussi autour de nous -(plus ou moins proches /
éloignées de nous)-[156]
sauf tous les produits qui se sont arrêtés de
changer, ce qui peut, pour l’être humain, arriver[157]
durant l’adolescence.
J’ai
en effet démontré au cours de ma vie une première fois de l’âge de ma naissance
à l’âge de quatre ans, une seconde fois de l’âge de quatre ans à l’âge de
quatorze ans, et enfin de 14 ans à 42 ans, comment on peut, alors qu’éveillé
par acquis de conscience -(donc bouddhahs), s’en créer
une, d’adolescence ! Pour cela il faut obtenir une amnésie de faits importants[158]
car ils étaient aussi la preuve qu’il y avait du bien ou/et du juste
ou/et un Projet dans la Création nous concernant tous tout particulièrement,
donc une Direction à suivre, ce qu’on appelle aussi plus simplement le bon
sens.
Ce
qui caractérise l’adolescence c’est la soudaine difficulté à grandir pas seulement spirituellement ou/et
intellectuellement mais physiquement. Il y a des jours de fatigue qui seront
tels / ainsi à cause des transformations physiques et des effets
d’amnésie de paramètres précis concernant nos respectives enfances, voire
premières années d’adolescence,
mais aussi parce que j’ai montré que certains adolescents s’intéressent au sexe
sans aimer le.a partenaire d’un plus véritable
Amour. Alors on ne change pas / plus, car on a pris le pli[159].
C’est alors qu’il y a de nombreuses probabilités de devenir un.e adolescent.e égoïste, soit un.e enfant-gâté.e[160],
ce qui va empêcher le changement, la métamorphose -(comme dans La Momie à Mi-Mots où nous l’avons dit –[dans d’autres de
nos textes], il s’agit aussi d’une sorte de métaphore de la nécessité de passer
par la mue -(soit mûrir)- car une adolescence cela peut mener à mourir quand
cette adolescence n’aboutit pas à, de manière
préférable pour tous, une mue, soit une
mu-tation -(mutation), une métamorphose pour une renaissance, soit vers / pour
quelqu’un de plus mûr donc d’enfin plus conscient qui cesse alors de se
comporter en enfangâtés © -[enfant-gâté]. Cela, hélas, ne va pas sans
souffrance[s] : Dans le mot adolescence on retrouve le mot latin dolere,
qui a donné » douleur « donc souffrir. En fait si on considère le » a « du mot [a]dolescence comme un a
privatif, le mot » adolescent « pourrait signifier à
première[s] vue[s] » celui qui ne veut plus/pas souffrir «. On le comprend
aisément, aussi y aurait-il du positif dans l’adolescence ? Probablement,
une fois achevée / terminée -(cette adolescence)- ce
qui peut, hélas infiniment hélas -(donc hélassissimis…simissimement hélas),
dans certains cas / -[SPOK]- jamais se produire pour devenir un adulte. Soit
une personne arrivée à maturation à la fin car » ultime « signifie
dernière -(ultimo en italien venant
du latin ultimus/m), fin : à la fin, soit une fois terminé, parachevé, ce qui
n’est possible qu’une fois qu’on a accès à la conscience en soi !)- ce qui nous fera stagner dans le samsara, soit une forme d’enfer au lieu de préférablement le
contraire, monter au paradis / du moins au Nirvana, car depuis 1995 -(quand on
m’a fait devenir le nouvel empereur, nous avons compris -[après les cinq
secondes où nous avons tous pu assister – du moins ceux qui étaient réveillés -
au
rétablissement de la vision du très saint-paradis que le très
véritable saint paradis -(d’avant la très grande catastrophe il y a plusieurs
millions d’années)- avait momentanément disparu. On devient alors une bête au
sens négatif de ce mot -(et non positif comme dans
d’autres SPOK)- et on s’éloigne ainsi en soi de l’être humain plus conscient,
voir qui était sur le bon chemin, en voie/x de parachèvement, par conséquent
une fois pour toute débarrassé de son adolescence, car au lieu de cela on a
acquis la conscience, ce qui va permettre, par exemple, de comprendre toutes
les causes à partir des effets, et en raison de cela les conséquences
probables, etc.).
C’est l’incompréhension des autres à mon sujet et cela parce que chacun de ceux
qui ne me comprennent plus me rappellent les moments où j’appartenais à ces
laipis, soit à tous ceux qui malgré tout répètent en artisans ou en techniciens
non parvenus à la lumière de l’éveil ce dont a eu l’idée dans le passé une
personne précise, en général un des éveillés – (bouddhas) - qui l’a inventée
dans l’Intérêt et le Bien Général[161]
comme une nouvelle solution alternative élégante -(SAÉ)- à un problème qui se
posait à cause de l’absence de la vision du très saint-paradis, voire autrement
vu Ôz, Atlantide, l’Eden, Arcadie, voire
Schtroumpf et tous les autres
synonymes relatifs à cette idée du très saint-paradis[162].
On
comprend donc pourquoi certains enseignants et/ou professeurs sont contraints
de développer leurs cours en un grand nombre d’heures à partir d’intitulés concis -(ces titres, des mots[163]
- nous le savons presque tous à notre époque – [ces mots]- sont en liaison avec
d’autres mots, textes, ouvrages, images, sons, œuvres, etc. Aussi le prénom et le nom d’une personne,
c’est le résultat d’une habitude d’un code, d’une coutume –[d’un progrès de
civilisation]- une SAÉ[164]
par exemple en l’absence de photos –[nous concernant]- ou/et de documents
audio-visuels mises à jours)- dans un certain
système administratif[165]
- ces mots sont virtuellement en relation avec tous les autres
mots désignant[s] / signifiant[s] et cela dans toutes les langues, mais aussi
en relation avec d’autres points du globe et du ciel, soit dans la galaxie dans
laquelle nous sommes, de loin vus tout au plus, notre système solaire comme un
point, et notre terre comme une petite ombre permettant, grâce à elle, à notre
soleil de scintiller et d’avertir ainsi de manière transparente toute la
galaxie qu’il y a des exoplanètes autour de lui, voire -[ces mots]- plus loin
encore en liaison avec d’autres galaxies, mais aussi d’autres systèmes de
pensées, d’autres religions, voire à venir – pas encore connues :
dévoilées dans ce qui sera cru Intérêt Général : il vaut mieux … que … )- parce
qu’en face d’eux, ceux auxquels ils s’adressent -(ces mots / noms), ne
connaissent que très peu de choses liées au sujet -(celui-ci
s’ouvrant sur ces quantités de vérités relatives ou/et bibliothèques de données
heureusement parfois/souvent résumables –[au sens qu’on peut résumer]- en quelques mots – ce qui signifie en conscience,
limités, réductibles comme le sont les définitions des mots pour éviter le
travail –[souvent pénible]- de développement[s] qui même les plus longs,
demeurent en fait des sortes de résumés d’informations concernant des points
précis en relation sur lesquels penser, [soit comme le dessin quand il est
juste], des actes chirurgicaux).
Une
fois très véritablement professeur, par acquis de conscience, on sait faire
succinct -(ce qui se résume parfois en quelques mots qu’on peut inscrire en
tant qu’objet pour donner une idée du contenu d’une lettre –[e.mail, etc.]- ce qui se manifeste aussi
d’une autre manière grâce au titre qu’on donne, voire le sous-titre d’un
ouvrage un peu plus long que le résumé, cela mène souvent, [ces mots rédigés en
conscience]- à la possibilité de les mettre en scène, soit de les développer ainsi
dans des films parfois d’une complexité très grande. Pourtant au départ, vous
pourrez noter par exemple dans Les
Mémoires d’Outre-Tombe de S. E. A. I. S. S. S. L. P. François-René de
Châteaubriand que l’Auteur est parti, dans chacun de ses chapitres d’un mot ou
d’un autre, liés à ses souvenirs[166]
et qui sont donc les points de repère un peu -(plus ou moins)- développés[167]
au fil des pages, de même que je l’ai fait dans La Momie-à-mi-mots[168] en renouant avec
la tradition des panonceaux des films de l’époque du Cinéma Muet, donc avec de
brèves indications en mots et/ou expressions déjà traduites en douze ou treize
langues[169]. Ce
sont ces mots ou expressions introductifs de/à chacune des séquences qui sont
d’une part le résultat des séquences développées par écrit dans le scénario
mais aussi, d’autre part, des mots et/ou expressions qui ont été illustrés dans/par
la séquence qui suit -[dans le film]- tournée et
montée[170]. Ces
simples mots sont des indications qui contiennent des quantités d’images et de
sons dans le SPOK de ce film, ce qui signifie qu’ils sont relatifs : dans
le cadre de ce film. Aussi on le voit bien, les mots sont des résumés parce
qu’ils sont chacun un ou plusieurs résultats et ceux-ci pour composer des
expressions ou/et des phrases s’additionnant[171] pour générer du sens. Ils expriment d’autres résumés ou
développements. Dans ce SPOK très original, ce qui se produit en images animées
couleur est le développement monté[172]
de la progression de ces idées -(mots)- ayant un objectif, une direction :
la dernière image du film, soit la fin -(ce qu’il est
souvent vital de connaître avant de se lancer dans la réalisation d’un film
ou/et d’une pièce de théâtre ou/et d’un spectacle, etc.[173]).
De même que pour un film, l’être humain porte un nom et un prénom qui s’ouvre
sur chacune des pages des secondes, minutes, heures, jours et semaines, et etc.
de son existence, le nom et le prénom[174]
ne sont que des indications d’éléments qui s’ouvrent en réalité sur infiniment
de paramètres nous concernant chacun -(c’est aussi pour cela qu’il a été
fortement déconseillé / interdit de tuer, car il peut y avoir du bon à
d’autres moments qu’on ne connait pas au sujet d’un être devenu, sans même s’en
rendre compte, méchant et/ou mécréant, voire injuste comme le sont certains
laipis[175]).
Les
mots du
scénario de La Momie à
Mi-Mots écrit plusieurs fois, donc CARÉ, servent donc à créer et
introduire des images qui nous dévoilent des êtres humains à l’intérieur d’une
progression diégétique et cette histoire simple est rationnelle,
compréhensible, cohérente dans sa progression malgré des images parfois
relevant du fantastiques / merveilleux, ce qui ne l’empêche pas d’être poétique
musicale et dansée, et etc. car il s’agit de la métaphore d’une initiation à la
métamorphose d’une âme à la condition d’[a]Artiste plus véritable -(De la fonction de l’artiste et/ou des artistes). Soit un / des véritable.s adulte.s responsable.s[176],
c’est-à-dire en fait comme une sorte de médecin uniquement et seulement quand
cela se produit / s’avère par acquis de conscience. Ce qui signifie pour cela
qu’il faut réussir à éliminer en soi ce qui empêche d’y avoir accès[177]
très véritablement pour parvenir à s’exprimer aussi dans / -[grâce
à]- l’éventail des dimensions artistiques à notre disposition, notemment avec /
par le truchement de la Danse incarnée dans le SPOK de La Momie à Mi-mots
par S. A. I. S.S.S. Sérénissimes Princesses et Reines Carolyn Carlson sur des
musiques et une histoire rendue plus facile ainsi à comprendre.
Si je n’avais pas fait l’effort de développer
sous la forme d’un scénario[178], nous en serions restés à ces
quelques mots du scénario qui sont / étaient des indications[179]
à partir desquelles recréer les situations décrites pour les mettre en
scène, ce qui peut très bien se faire à partir des Mémoires d’Outre-Tombe ou/et
d’autres textes qu’on adapte pour l’écran[180]
.
Ici se pose
aussi la question du pourquoi les Arts et les Sciences de l’Art –(Cinéma- Télévision - Audiovisuel et …)- ? A’ quelles
fins ? Du possible objectif des Arts et des Sciences de l’Art. Mais
peut-être y avons-nous répondu à mi-mots -(ou du moins à mi-images et mi-sons)-
entre les lignes vers la fin de ce moyen-métrage de La Momie à Mi-Mots
sans compter qu’il faut bien créer des matières sur lesquelles penser /
réfléchir tout en nous divertissant, voire pour nous émerveiller –(ce qui fut
le cas lorsqu’en 1995, quand on me fit l’empereur suivant mon père, on m’a
montré, [durant approximativement cinq pleines secondes]- autour de nous tous
le très véritable très saint-paradis d’avant la très grande catastrophe, soit
ce que j’ai appelé, entre autres synonymes possibles : Ôz[181]).
Aussi j’ai à ce sujet pris bonne note de son existence, ce qui a abouti,
de 2005 à 2013 à[182]
ce que je déduise qu’il existe une salle des machines où se trouve le très grand variateur[183]
-(relié à chacun des cerveaux des êtres humains), qui, en étant actionné,
révèle sur les murs à premières-vues uniformément de la même couleur, des
représentations infiniment admirables et merveilleuses en raison,
vraisemblablement, de ce que la vision des êtres humains -(et probablement
celle de quelques espèces animales), lorsque ce variateur n’est pas mis en
fonction, ne permet pas de voir ces merveilles attestant[s] sans aucun doute[s]
possible[s] que la Création a été infiniment merveilleusissimis…simissimement
-(et c’est peu dire tant ces quelques secondes furent bellissimis…simissimes
-(infiniment belles), bonnes, bienfaisantes, fécondes, difficilement narrables[184]
si ce n’est depuis quelques années par le truchement d’une ou l’autre de mes
découvertes complémentaires de/u peintre miniaturiste végétarien que je suis,
avec la confection de mes vidéOmelet[t]Arts, soit ces omelettes que je réalise
après avoir enregistré une autre de mes découvertes / créations, celle des butterArts
que je tourne également en vidéo 4K pour, le jour venu, partager ces
représentations merveilleuses macroscopiques avec tout/s ceux qui le voudront /
souhaiteront sur Internet. ButterArts
et OmelettArts
attestent
-(avec
mon autre création d’[a]Auteur de l’eanmeailleurs, -(une
recette végétarienne d’une sorte d’hyperissimissimissime salade
qu’on peut manger à n’importe quelle heure du jour et de la nuit[185]),
avec leurs représentations plus ou moins
figuratives)-, que le très saint paradis, soit Ôz existent bel[s] et bien[s], notemment quand on me l’a montré
durant ces cinq secondes comme si c’était Ôz,
Arcadie, l’Eden, Schtroumpf,
Atlantide, etc.[186]
puisque tout cela s’est produit dans la réalité diurne et non durant le sommeil[187]
N.
B. : Suite après les deux paragraphes suivants ci-dessous
-(cependant
que comme j’ai découvert que ce que nous vivons dans la réalité nous l’avons
vécu beaucoup plus jeunes au cours de nos sommeils –[d’où l’importance du
sommeil des enfants]- durant notre enfance, soit à chacun de nos sommeils
profonds depuis notre naissance à l’âge de quatre ans, mais aussi ensuite,
durant nos sommeils respectifs, de l’âge de quatre ans à l’âge de quatorze ans,
et enfin depuis l’âge de quatorze ans et/à nos quarante-deux ans -(pour tout ce
qui concernera la vie au cours de la réalité du troisième âge, on peut
effectivement dire que la réalité est comme s’il s’agissait d’un rêve et c’est
effectivement vrai car durant ces sommeils que nous avons faits très jeunes,
voire aussi moins jeunes, nous avons rejoint la réalité de ces années à venir
qui se sont donc présentées à nous à ces moments-là sous forme de rêves -(parfois plus ou moins
surréalistes une fois réveillés), cependant qu’ici il faut / convient de
distinguer les rêves qui sont une incursion dans l’avenir, soit la réalité du
futur que nous aurons donc à [re]vivre quand viendra le moment[188],
des rêves qui sont fabriqués depuis la salle des machines à des fins
plus ou moins honnêtes, par conséquent dont il convient de se méfier comme – il
vaut mieux - considérer comme des mensonges comme mon père me le disait pour me
rassurer quand j’étais petit, parce qu’ils cherchent à se substituer à ces
autres rêves qui sont, quant à eux, une exploration du futur d’avance, soit de
notre avenir grâce au repos et au sommeil. Aussi cela signifie que la réalité
que nous vivons, comme celle que nous vivrons est atteignable d’avance, soit
explorable d’avance et résulte du passé[189],
donc est une conséquence du passé[190]
qui permet, grâce au sommeil, ces incursions dans le futur une fois
devenus plus ou moins inconscient[s] durant ces sommeils où nous rejoignons
d’avance[191] l’une
ou l’autre des journées que nous aurons à vivre dans le futur, ce qui signifie
aussi que les durées de nos sommeils, quand nous étions enfant, correspondent à
ces journées futures, comme si nous avions besoin d’être rassurés sur notre
état de santé dans l’avenir. Ce que nous dormons durant le dernier mois dans le
ventre de nos mères respectives, voire entre notre naissance et l’âge de raison[192]
est en liaison avec la réalité que nous aurons à vivre entre l’âge de
notre naissance et l’âge de quatre ans, entre nos quatre ans et l’âge de
quatorze ans, mais aussi avec quelques éléments de la réalité entre quatorze
ans et quarante-deux ans, voire avec des éléments de la réalité au-delà de ces
quarante-deux ans et c’est la même chose pour les sommeils d’entre nos quatre
ans et nos quatorze ans, ils sont en liaison avec la réalité que nous aurons à
vivre éveillés entre nos quatorze ans et nos quarante-deux ans et ainsi de
suite, mais il convient ici de souligner / creuser les sommeils d’avant notre
naissance, quand nous étions encore
fœtus[193].
Ils correspondent à la réalité qu’on aura à vivre dès notre naissance,
mais aussi entre l’âge de quatre ans et l’âge de quatorze ans comme entre ces
quatorze ans et l’âge de quarante-deux ans, voire après / à partir cet âge.
Il y a un texte de moi manuscrit[194]
qui l’a confirmé quand je me suis
souvenu qu’avant ma naissance, donc à l’état de fœtus -(en phase terminale),
j’avais vécu en 1963 une après-midi[195]
entre l’année 2000 et 2005, de même que le moment de ma naissance
correspond à plusieurs journées très difficiles / pénibles en / à partir 2005
ou durant l’année suivante. En effet, dès que je m’endormais bébé, je me
retrouvais dans les bras de moi-même ayant quarante-deux ans et plus. Comme je
n’avais pas encore d’enfant[s] à cet âge de 42 ans, je me suis donc occupé dans
le cadre de mon auto-psychanalyse de ce bébé qui était moi-même dans le passé
en 1963 ou/et 64, voire 65 ! Aussi cela signifie que tout petit, quand je
m’endormais, je voyageai à travers le Temps et l’Espace durant mes sommeils et
cela régulièrement dans mon avenir : La mémoire de ces moments durant
lesquels j’étais bébé m’est donc revenue une fois [re]devenu bouddhahs à partir
de 2005 comme elle commençait à me revenir entre l’an 2000 et l’an 2005 quand
je me suis souvenu de cette après-midi durant laquelle j’ai écrit le texte de
ce que j’avais vécu, les yeux ouverts, dans le ventre de ma mère quelques
semaines, voire mois avant ma naissance en 1963
-(ce qui signifie qu’au cours de mon auto-psychanalyse, une fois devenu
bouddhahs, soit ce qui signifie un éveillé
par acquis de conscience -[É.A.C.]- à partir de 2005 à nos jours, j’ai pu
remonter dans mon passé comme un saumon à des moments de ma vie où j’étais très
petit, soit à ceux que normalement on oublie, voire dont on ne sait plus rien
–(cela signifie que devenir bouddha permet, grâce à la psychanalyse, de
retrouver sa mémoire y compris celle la plus lointaine : dans le ventre maternel
dans les derniers temps avant de naître[196],
voire permet de revivre sa naissance, ce qui ne va pas sans quelques
difficultés et/ou souffrances! Bien sûr pour cela il faut avoir rassemblé des
conditions / paramètres propices : être végétarien depuis un grand nombre
d’années -(au moins depuis vingt ans), boire de
l’alcool très modéremment / sobrement, voire, il vaut mieux, pas du tout[197]
et ne pas fumer). Aussi nous remarquons avec moi qu’il y a -[de]-
constantes recherches d’explications de la réalité qu’il convient, à la lumière
de mes découvertes sur moi-même dans le cadre de cette herméneutiques ou/et
auto-psychanalyse, absolument de différentier du monde des rêves une fois
réellement endormi[s], cependant que nous devons admettre que la réalité que
nous vivons est comme un rêve éveillé quand ce n’est pas un cauchemar -(ce qui
se produit parfois à cause de ce que nous appartenons à une époque où il n’est
plus rare que nous soyons spectateurs de la Télévision ou/et du Cinéma, voire
d’autres spectacles. Aussi comme nous avions vu le film -(l’émission)- durant
un de nos sommeils passés, quand il vient le moment où nous le regardons dans
la réalité, nous aurons une impression de déjà-vu : Le film ou la
diffusion nous rappelle qu’à notre réveil de ces sommeils passés tout était
devenu complexe à s’expliquer / analyser à cause de ce dont nous venions de
rêver[198] mais
enfin, l’impression de déjà-vu le
confirme : cela s’explique par ce que nous découvrons[199]
quand à notre réveil nous nous rappelions de quelques éléments du rêve -(ou du
cauchemar), nous avions l’impression d’avoir assisté à des moments d’une
complexité souvent impossible à relater / exprimer / traduire en mots / inouïs[200]
peut-être en raison d’identification inconsciente de notre personnalité avec
l’un ou l’autre des personnages de ces films découverts autrefois durant ces
sommeils avant de les [re]voir / vivre dans la réalité, en chair et en os.
Aussi j’ai déjà vécu en rêve, avant ma naissance, de zéro à quatre ans, mais
aussi de quatre ans à quatorze ans et enfin de 14 à 42 ans, comme de 42 ans à
mes cinquante-sept ans, (mon âge aujourd’hui le 19 Décembre 2020), donc par
à-coup[s] de rêves disséminés durant ces périodes passées de ma vie, ces
moments de la réalité où j’écris aujourd’hui ce texte[201]
vérifiant, si j’ose dire, la réalité qui était à ce stade-là -(de ces années passées)- encore du rêve[202]
entre ces époques de ma vie passée[203]
car sinon
ce qu’on m’a dévoilé durant ces cinq secondes à l’échelle universelle n’aurait
jamais pu apparaître sur l’ensemble du décor devant mes yeux dans la chambre
aux sarcophages[204]
des derniers empereurs depuis Napoléon Premier conduisant jusqu’à moi.
Ces révélations sont proches de celles découvertes par mes soins -(y compris
montrées)- dans les vidéos -(dont je suis l’auteur)- sur les deux faces de mes cheesOmeletArt,
mes butterArts et
dans mon autre création des sinkArts
accompagnant la bassine-saladier-sinkArts
dans laquelle je cuisine l’eanmeailleurs.
Ces révélations confirment dans la réalité -(en chair et en os)-
des yeux bien ouverts, que l’on aperçoit avec ces créations[205]
des preuves de l’existence du très saint paradis, soit d’Ôz qui m’a été révélé intégralement[206]
cinq pleines secondes à l’échelle universelle quand je devins, à partir
de 1995, l’empereur suivant mon père Jean-Luc Granier-Neumark … d’ex-Atlantide
… Lang d’Ôz).
Écrire
cette lettre a été dicté par le fait que vous avez la possibilité de comprendre
qu’il faut dès que possible arrêter ce traitement « médical »
hypermartyrisant, ce que vous avez le pouvoir de faire, si vous comprenez à mi-mots comme à pleins mots ce que vous allez
découvrir / lire dans la suite de cette lettre -(et notes de fin de page), soit
les paramètres qui vous manquaient pour le décider et qui vous démontrerons[207]
aussi que chacun de mes internements psychiatriques ont, dès le premier
d’entre eux, été abusifs / sacrilèges car depuis 1977 j’étais dans un processus
de démonstrations complexes qui avaient pour objectif de vérifier et dire en
vérité que sans l’aide des religions intellectuellement admissibles, soit
toutes celles qui interdisent de
tuer[208]
nous ne pourrons jamais nous humaniser, c’est-à-dire découvrir cette
conscience en nous qui nous a libéré de la tyrannie de ce que nous avons cru à
tort ou/et à raison être des besoins / nécessités physiques à assouvir. Ces
internements psychiatriques n’ont pu avoir lieu qu’en raison de manques de
données, soit de facteurs et/ou paramètres précis que le docteur Jean-Luc
Marcel n’a pas voulu / cherché à connaître -(malgré
qu’il était payé pour ça)- et en cela s’est comporté en sacrilège vis-à-vis du
très saint empereur-bouddhahs, c’est-à-dire eanmeailleurs que je/nous
suis/sommes).
Mais
une œuvre, comme une idée[209]
cela peut heureusement se résumer, au point effectivement d’être
succinct cependant pour celui qui lit cette idée, cela pourrait bien lui faire
croire autre chose, voire -[ne]- rien lui dire – d’où la nécessité de
développer l’idée par des approximations successives et pour/par des écrits
comme pour les réalisations audio-visuelles, voire les autres disciplines
artistiques par de nombreux CAÔRÉ[210].
Ici
s’impose donc une parenthèse pour ces CAÔRÉ qui peuvent / doivent si
possible venir du cœur[211]
et à ce sujet vous connaissez sûrement ces mots d’esprit potache : » C’est
en sciant que -[Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas
les Lordissimis…simissimes Princes]- Léonard devînt scie «[212]
d’où les CARÉ, des efforts comme pour scier[213].
Ces
CAÔRÉ qui exigent parfois tant de peine[s] permettent donc[214]
d’être sûrs d’avance de la victoire[215],
de vaincre
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
–[(» Vinci
« en italien signifie » gagnes « à la deuxième personne du
singulier : » tu gagnes «, -(au sens de » tu vaincs «. On
retrouve cette sonorité » vain « dans » vin « de »
Vinci « en italien[216]
comme en français, au point qu’on puisse penser qu’il convient de boire
du vin pour vaincre : » pour vaincre, le vin «, mais aussi cette
proximité acoustique de » vin « et de » vain « peut vouloir
dire l’opposé[217] :
de la vanité de boire du vin : » vain est le vin « -(vain vin ou/et le » vin vain de
Viviane ! (Pourquoi pas !) « ,
voire : » sont bien vains les vins «, hein ! Vingt-sur-vingt?[218]
Aussi » Leonardo da Vinci
« signifie » Léonard de[219]
-(Tu)- Gagnes « : Léonard de Gagnes]-
il vaut mieux de
façon non-violente[220]. Ce trait d’esprit
-(« Léonard devînt scie »)- n’est pas en réalité absurde car c’est à
première vue un jeu de mots / sons intéressant car Ses Altesses Impériales Ses
Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Léonard de Vinci[221]
c’est/ce sont bien, entre autres, de très nombreuses compétences / maîtrises
dans, entre autres, les Arts et Sciences de l’Art, soit celles d’un inventeur /
créateur d’instruments aussi utiles que l’outil de la » scie « -(aussi
cela devient intelligent et non pas seulement absurde à-deuxièmevues, soit à
seconde[s] vue[s]
N.
B. : Suite après les onze paragraphes suivants ci-dessous :
-(comme on dit à première-vue, ce qui signifie parfois, dans
certains SPOK, qu’il y a «» matière à penser «», voire à comprendre
le contraire si on creuse, donc à seconde[s]-vue[s] – je mets un » s
« à » seconde « comme à » vue « car une chose
peut-être vue, de nos jours[222]
une fraction de seconde et que pour voir la réalité une seconde cela
indique au moins vingt-cinq fois vue[,] cette réalité regardée / admirée /
jugée, etc. aussi » à-premières-vues «, cela signifie qu’on a regardé plus
longtemps qu’un vingt-cinquième de seconde qui serait cet » à première vue
« au singulier[223].
(2)-
Aussi cela signifie[224],
qu’on a vu la chose qu’on dit avoir vue / jugée au moins vingt-cinq
fois, ce qui est plus qu’une fraction de seconde durant -(par exemple)- un
vingt-cinquième ou même un cinquantième[225],
voire plus court encore, ce qui est difficile sans l’aide d’un appareil
photo, d’un caméscope ou/et d’une caméra et là, quand on fait une photo au
millième de seconde, on découvre que ce millième de seconde a existé à
première[s]-vue[s] à cette fraction de seconde, mais aussi plus longtemps
-(voire sinon plus court quand on a cette photo au dix-millième de seconde[226]. Il est donc probable qu’on puisse aller même plus
loin encore), de façon à regarder cette image[227]
à seconde[s]-vues, voire à troisième vue ou/et lecture, ou jusqu’à ce que cela
devienne « » matière à penser « ».
Aussi
je vais mettre ce » s « à ces deux ou trois expressions qui peuvent
être plus nombreuses : à troisièmes vues, à quatrièmes vues, à cinquièmes
vues[228],
etc. comme avec mes CAÔRÉ[229]
qu’on sait je m’impose de faire au moins neuf fois avant de publier mes textes -(neuf fois autant de secondes que j’aurais à prendre pour corriger, abréger, relire, [ré]élaborer,
donc CARÉ, ce qui contraint à beaucoup de temps passé à cela. Donc cette marque
du pluriel, ces s entre-crochets au mot » àpremièrevue[s] « par
soucis de vérité scientifique au sujet de la vision[230],
donc ce »s« à àpremièrevue[s] :/ou àpremièrevues, c’est la
conséquence d’une vérité relative sur un des plans qui m’a permis de penser de
nouveau cette expression de » à-première-vue « à notre époque à la
lumière d’une part de son origine[231]
et d’autre part des sciences de l’Optique, donc pour une mise à jour
-(misàjour)- de cette locution adverbiale et pourquoi pas dans l’avenir
d’autres mots, à moins d’en faire une
exception[232]
donc de voir cette expression sur un autre plan, celui de la langue
écrite et/ou de la grammaire ou/et de » fidèle à la tradition « ,
donc en » conservateur « au bon comme au sens négatif de ce mot
-[de » conservateur «], par conséquent une autre des vérités relatives
concernant l’écriture des mots, les mots dépendant[s] des angles par lesquels /
desquels on les approche / voit non pas seulement à première[s]-vue[s], ce qui
donne peut-être mieux avec le mot d’à première vue ainsi écrit »
àpremièrevues «, comme » àdeuxièmevues « ou/et » àsecondevues
« ou/et » àtroisièmevues «, etc. . Et pour écrire ainsi cette locution
adverbiale[233] nous
avons bénéficié de nos progrès en connaissances en sciences de l’Optique et en
cinéma, vidéo et/ou en photo[234],
ce qui sont des explications valables pour offrir ainsi une SAÉ –(solution alternative élégante)-
qui ne devrait plus / pas être considérée une faute puisque cela rend plus vrai
/ juste ce que signifie un mot / une expression / une locution au point d’en
faire un nom commun : » un àpremièrevue « qui peut être mis au
pluriel : des àpremièrevues. Ce qu’on prend pour une faute peut avoir des
explications logiques de grande qualité au point de rendre le mot /l’expression
d’origine » à première vue « une faute à la lumière de cette
« faute » qui ne l’est/était pas/plus étant donné qu’elle permet de
comprendre mieux / plus profondément l’idée[235].
Ces fautes apparaissent comme telles, (des mots plus justement écrits)- [parfois]- en raison de niveaux de pensées /
considérations plus ou moins intelligentes de vérités relatives: la personne,
l’enfant, a entendu / vu le mot ainsi parce que … . Il y a donc explication[s]
grâce à l’analyse de la/des cause[s] trouvée[s] qui est/sont à l’origine de la
modification de l’écriture d’un mot. Ce résultat est lié au son du mot en
liaison avec d’autres connaissances / points / paramètres pas spécialement
grammaticaux
(3)
-(mais j’ouvre une parenthèse qui découle de cette réflexion sur le mot »
àpremièrevues « : étant donné qu’on regarde à vingt-cinq images par
seconde, est-ce que nous n’avons pas ici à faire plus profondément une
mise-à-jour de nos langues et est-ce que nous ne devrions pas mettre l’ensemble
des mots au pluriel puisque nous les percevons / lisons au moins vingt-cinq par
seconde en y donnant [et] le[s] sens et le[s] ton[s] ? On voit ici que
c’est faux pour le mot de » sens « mis au pluriel comme pour le mot
de » ton « car quand on lit à haute voix, on doit chercher par le son
juste le sens exact du mot -[lu]. Mais si oui, dans d’autres SPOK / cas part… , quels mots seraient ainsi à modifier, donc à mettre au
pluriel ou avec ce-[s]- entre-crochet[s] ? – Est-ce que quand on parle de
l’ordinateur qu’on utilise ou de l’écran ou d’un objet quelconque qu’on a
regardé, voire dont on se souvient, il n’est pas vu / admiré / mémorisé / conçu
au moins vingt-cinq fois par seconde comme chacun des êtres humains qu’on
voit de près ou de loin, au cours de leurs actions, voire inactifs comme des
statues ? Mais aussi les animaux pacifiques et inoffensifs quadrupèdes herbivores -(les
APIQH)- au point que leur mort[236]
est celle d’un veau ou/et d’un bœuf ou/et d’un agneau, vingt-cinq par
seconde[237], par
conséquent ne serait-il pas plus juste de dire au pluriel : veaux, bœufs,
agneaux? Si nous le décidons en conscience en toute cohérence avec notre époque
où / dans laquelle l’audio-visuel
N. B. : Suite après la
parenthèse-paragraphe suivant.e ci-dessous :
(4)-(soit le cinéma, la télévision, Internet, la photographie, la vidéo -[on le remarquera
ce singulier au mot d’ » audiovisuel « -(qui)- désigne cette quantité
importante de catégories elles-mêmes plurielles, si on y pense[238].
Donc les audio-visuels -(sous-entendu différents, donc pluriels), sont
composés des cinématographies, un pluriel à ce mot –(de cinéma…)- en raison des genres de
cinématographies, des télévisions en raison des nombreuses chaînes, elles-aussi
différentes car régionales, nationales ou sur des thèmes précis, privées ou/et
publiques etc. , d’Internet en raison de la quantité de catégories différentes
qu’on y trouve, des photographies car elles dépendent de photographes
différents et de catégories d’images différentes et c’est la même chose pour la
vidéo : des / les vidéographies donc ces pluriels aux mots autant que pour
chacun des grands [a]Auteurs[239]
comme par exemple Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés
Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Michel-Ange, S. É. A. I. S.
S. S. L. P. Pablo Picasso, S. É. A. I.
S. S. S. L. P Amadeus Mozart, …, S. É. A. I. S. S. S. L. P. Ludwig van
Beethoven, S. É. A. I. S. S. S. L. P. Molière, S. É. A. I. S. S. S. L. P.
Bernstein, S. É. A. I. S. S. S. L. P. Yehudi Menuhin, S. É. A. I. S. S. S. L. P. Prokovief, S.
É. A. I. S. S. S. L. P. Tex Avery, etc. jusqu’à mon frère aîné S. É. A. I. S.
S. S. L. P. Luc-François Granier… de Coni d’Ôz)-
(5)- est
devenu aussi fondamental / vital pour tous, est-ce que nous n’allons pas perdre
la solution élégante du singulier
N. B. : Suite après la
parenthèse-paragraphe suivant.e ci-dessous :
(6)
-(par exemple employée pour dire l’expression » manger de l’agneau
« – alors que c’est avec cette expression d’ » un agneau « -(au
singulier)- -(qui devait devenir un/des mouton[s] qui sont au moins vingt-cinq
par seconde du même –[avec toutes ses potentialités, dont celle de se
reproduire une fois devenu brebis], par conséquent qu’il aurait valu mieux dire
» manger des agneaux «, expression qui existe / peut se dire plutôt
que » manger de l’agneau « car celui-ci a été mangé au moins
vingt-cinq par seconde, avec toutes ses virtualités qu’il aurait pu avoir si on
l’avait laissé vivre pour nous apporter périodiquement de sa laine ou plus tard
-(plus loin)- en tant que brebis pour son lait / ses laits. Les laits de la
vache ou/et des vaches car une vache est vache[s] au moins vingt-cinq fois par
seconde ! – ce qui signifie que quand on souffre, on souffre au moins
vingt-cinq fois par seconde et cela dans la vérité relative de l’Optique, quand
il est probable que c’est beaucoup plus que cela, si nous employons le ralenti
/ des ralentis, soit l’infini[ment], moins une image, soit une / la fraction de
seconde -(et quel serait le temps de cette fraction de seconde ? au sens
de combien dure exactement sur tous les plans de la durée cette fraction de
seconde ? Par rapport à quel point initial sur lequel s’appuyer pour la
compter dans les infinitésimaux : la seconde ? Or celle-ci a belle et
bien une durée mécanique, voire électronique y compris à l’échelle
universelle), ce qui donne une plus juste idée de la seconde, des minutes et
des heures sauf que cette connaissance qu’on a ici provient dans ce cas de la
souffrance[240] et non
du contraire : la joie, le plaisir, la bonne santé, etc. – Nous avions
donc procédé dans un premier temps, donc à première vue, en étant partial avant
de rétablir un peu, grâce à un/des CARÉ. D’où la preuve de la nécessité des
CARÉ ou des CAÔRÉ).
(7)- employé
tel quel parce que nous savons qu’il désigne un pluriel ? Cette façon de
dire, de penser a été à l’origine d’un très grand degré de civilisation qu’on
retrouve[241]
notemment en Bande-Dessinée avec des personnages aussi emblématiques qu’Astérix
-(et/ou, pour d’autres exemples, Mickey, Oncle Picsou, Donald et les neveux
–[qu’on peut dire les Mickey, les Oncle Donald, les Tintin, les Gaston, les
Spirou, etc.], Tintin ou/et Gaston et /
ou Spirou –[et/ou les Schtroumpfs étant, quant à eux, une sorte d’exception à mi-mots à la règle, car un singulier,
le mot de schtroumpf –(qui peut
devenir pluriel : schtroumpfs)-
synonyme de tous les mots et schtroumpfer
de tous –(les)- verbes compréhensifs / traduisibles dans chacune des langues,
en raison de l’histoire. Pour rendre plus clair / simple la vie, il nous est
donné qu’il y a un schtroumpf par catégorie[s] / compétence[s], et ce schtroumpf, àpremièrevues[242]
semblable aux autres[243],
est, si on analyse plus justement comme on le fait pour tous les autres
personnages de Bandessinée © lui aussi effectivement pluriel puisqu’avec ces
histoires, il s’agit, à chaque fois, pour le dessinateur de décomposer la scène
en momenclés © -(moments clés)-, des imageclés © comme le dit mon frère,
-(comme)- » radiographiées «, en raison du temps qui passe en instants
différents normalement en mouvement comme la vie
–(des instantanés des futurs dessins animés, ces images-clés), comme pour les
romans photos]- à cause de la progression
diégétique -(de l’histoire)- donc dans l’.es environnement[s] /
environnement.s, le[s] / le.s décor[s] / décor.s particulier[s] /
particulier.s, autres caractéristiques).
(8)-
Aussi on s‘aperçoit qu’un personnage doit passer par des moments différents,
chacun de ces moments précis fait l’objet d’une description dessinée précise,
une case-clé © lui permettant de jouer son rôle qui diffère de celui des autres
personnages mais aussi de chacun de ses temps passés et à venir eux aussi
éternels pour peu qu’on se soit donné toutes les peines du monde pour les
dessiner soit en simplifiant, soit en de nombreux détails ayant chacun
l’importance de la description, soit celle de l’illustration. Aussi ces
Schtroumpfs sont chacun à la fois un, mais aussi chacun d’eux, comme les autres
personnages de Bande-Dessinée, plusieurs différents car confrontés, à mesure de
l’avancée de l’histoire, à des SPOK / situations précises différentes et cette
différence existe entre eux caractérisés même quand il y en a l’un ou l’autre -(de ces schtroumfs)- qui est devenu noir/gnap ! En
fait il n’y a que les gnaps qui soient tous semblables, en raison de ce qu’ils
ont eu, à l’origine la même maladie, soit celle de la méchanceté causée par une
sorte de virus qui les a piqués par l’intermédiaire d’une guêpe infectée. On
comprendra dans cette bande-dessinée que le Grand-Schtroumpf -(Dieu ?)-
arrivera à soigner les Gnap uniquement parce qu’il est remonté à la cause, en
trouvant exactement cette cause, soit cette guêpe infectée qui une fois isolée
et mise à l’étude finira sous cloche par être soignée ce qui permettra au Grand
Schtroumpf de découvrir l’antidote à cette maladie et de sauver l’ensemble des
schtroumpfs avec le bon » vaccin «. En ces temps de coronavirus c’est bien le conseil à
suivre pour trouver ce vaccin. Tant qu’on ne saura pas d’où provient exactement
ce virus, de quel animal ou personne il a commencé à se répandre, on aura
des difficultés pour en trouver le remède, ce qui explique pourquoi je me suis
donné toutes les peines possibles pour écrire de 2013 à 2017 mes lettres
explicatives aux papes et aux présidents de la République pour leur expliquer
la cause de mes apparitions sonores à partir de 1967 dans le ciel de Paris,
mais aussi visuelles et sonores à partir de 1977 dans le ciel sur Rome et de ce
fait ils ont compris qu’en me contraignant à déménager à partir de 2013 pour
l’adresse de la rue de l’Ecole Polytechnique, donc en ne m’aidant pas pour
poursuivre ces communications transmises à travers Espace et Temps en
expropriant comme je le demande / demandai le studio / l’immeuble de la rue du
Val-de-Grâce dans lequel nous avons pu vérifier -(en 1967 et 1977)- qu’il
était, avec ma personne à l’intérieur, dans le ciel des années 1967 à Paris et
de Rome à partir de 1977, ils ont fait perdre à l’Ensemble[244],
énormément de dollars en or pur -(en réalité des milliards de milliards
de dollars[245] avec
un pouvoir d’achat démultiplié / beaucoup plus grand)- à/pour chacun et cela
parce qu’ils n’ont pas refusé que Christine et moi nous nous séparions -(soit autrement dit qu’ils ont au contraire cru
possible cette séparation sacrificielle), malgré
la présence de mon anneau immatériel immaculé à mon doigt annulaire des hommes
les plus véritablement mariés -(ce qui confirmait tous les plus véritables
mariages), comme à cause de ces causes et d’autres encore, (ils ont refusé)- la
possibilité de revoir le
très saint paradis une heure toutes les cinq heuresss -(solution logique que j’aurai trouvée avec
Christine, si nous étions restés à Rome, durant l’année 1978, donc si nous
n’avions pas été séparés sacrificiellement alors que depuis la fin de la
Seconde Guerre Mondiale on était censé avoir compris qu’on n’a pas le droit de
séparer les couples mariés devant Dieu, soit l’enjeu du Débarquement qui l’a
prouvé par la victoire sur les sans foi ni loi ou barbares -(au sens négatif de ces mots qui dans d’autres SPOK
en ont du positif)- en dehors des lois -(et de
la foi)- qui ne peuvent pas être
intellectuellement acceptables après des millénaires de civilisation[s], soit
la vision esclavagiste ne pouvant pas être admissible car chaque travail / peine mérite salaire puisque pour
l’effectuer il faut souvent que le travailleur se sépare momentanément de sa
famille – ce qui mérite au moins des indemnités, soit une somme qui est
déterminée / calculée par/grâce à la loi de la quantité -(de travailleurs sur
le marché capables d’effectuer ce même travail)- et de la rareté y compris à
propos de ces compétences mais aussi à cause du niveau de vie local et d’autres
paramètres économiques dont le pouvoir d’achat localement de la monnaie en
cours, etc. . Aussi on n’a pas le droit de contraindre par la force des gens à
travailler et si par malheur (en raison de paramètres cérébraux / intellectuels
déficients)- on devait criminellement -(ce qui signifie interdit[s])- les
considérer comme des sous-hommes cela signifie au contraire qu’il faudrait tout
mettre en œuvre pour qu’ils deviennent chacun le contraire : des
surhommes, ce qui n’est que possible – comme je l’ai démontré de 1977 à 2005 –
que par acquis de conscience soit ce qui permet à l’être humain de s’humaniser
enfin, ce qui a été recherché avec la colonisation[246]
par les monarques les plus éclairés et/ou les régimes soucieux de défendre les
Droits de l’Homme, ne voyant jamais un pion comme uniquement et seulement un
pion puisqu’il peut, en arrivant à bon port[247]
- dès le début des années 2000, soit l’Eden,
Atlantide, Ôz, Arcadie, Schtroumpf perdu retrouvé, et tous les
autres synonymes de ce très saint paradis
d’avant la très grande catastrophe
–[à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)]. Vision
qui aurait pu être rétablie ainsi si on m’avait donné en 1977, comme j’ai alors
demandé, l’autorisation d’avoir deux épouses officielles alors qu’à la première
vue je n’avais que quatorze ans parce qu’on n’a pas voulu remarquer / prendre
en compte qu’en ce qui me concerne dès l’âge de mes quatre ans -(voire
autrement-vu depuis ma naissance)- et dès l’âge de mes quatorze ans[248]
j’avais déjà au moins quarante-deux ans -(voire, en réalité, beaucoup
plus encore âgé car en 2015[249],
je me suis vu dans le ciel qui est donc ce qui adviendra dans trente ans à
l’aune de ce qui s’est produit en 1977 à Rome avec mes apparitions dans le ciel
y compris auditivement depuis l’année 2005 vue ainsi synchrone depuis / avec
1967 et 1977 mais aussi avec 2015 et 2045, etc.)- puisque celui de mes
moi-mêmes qui intervenait du ciel était en même temps en 1967 et en 1977, donc
une projection d’avance dans l’avenir en/depuis 2005 synchrone avec ces années
1967 et 1977 et cela s’était donc manifesté avec moi dans le Ciel avertissant,
y compris par l’entremise de mon auto-psychanalyse et ma/notre Nouvelle
Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale vers ces époques du passé ayant les yeux
et les oreilles rivés à mes conseils / directions et cela parce que je devais,
par tous les moyens, aider mon père à être le meilleur empereur qui ait été -(suite au précédent, déficient – malade -[de
mensonges], fou -(soit privé de conscience, se
conduisant en laipis au sens négatif de cet acronyme qui en a du positif dans
d’autres situations), hélas pour nous tous, au
sens négatif de ce mot de » fou « qui en a du positif dans
d’autres SPOK), si, sur place, on ne me
considérait pas empereur dès mes quatre ans en 1967 ou/et une autre fois dès
mes quatorze ans à Rome -(voire dès ma naissance, voire dès ma conception)- et
qu’on voulait, malgré cela -(mes quarante-deux
ans prouvés à l’occasion de chacune de ces interventions à travers Espace et
Temps), rejoindre l’époque de 2005 -(où j’avais
effectivement ces 42 ans)- par ce » ou bien « de la Création -(au sens rénaisien –[de S. A. I. S. S. S. L. P.
Alain Resnais avec ses deux films illustrant cette idée dans Smoking ; No smoking]- du terme »
ou bien «)- très probablement anticipé par moi
et les miens avant tous les temps, puisque nous avons pu vérifier que ces
interventions / transmissions ont eu lieu en raison du Saint-Esprit et de la
notion de Dieu retrouvée par mes soins -(après vingt-sept années d’amnésie
canonique en pareil SPOK, en raison de la notion de mariage)- avant même ma
naissance et mes quatre ans aux dires de ma mère, mais aussi dès mes quatre ans
et mes quatorze ans[250].
(9)- Dans
chacune des cases nous trouvons les mêmes personnages différents[251]
parce qu’il s’agit d’une situation nouvelle -(le temps a avancé)- précise,
[d’]un SPOK différent en raison du décor qui s’est modifié conformément à la
progression de l’histoire ainsi contée, générant en toute cohérence les actions
de ces personnages. Par conséquent on reçoit alors une et/ou plusieurs
informations différentes que dans les cases précédentes[252].
Cela modifie notre perception vis-à-vis de chacun de ces acteurs[253]
comme dans un film. Différents[254]
ces personnages deviennent ce qu’ils sont à cause des conséquences des
cases précédentes, donc une étape avant la suite, au point que, grâce aux
Dessins-Animés, plus personne [n’]ignore[ra] qu’avec chacune des cases de cette
bande dessinée à l’origine, il s’agit en réalité, le plus souvent, de
l’image-clé du story
board du film d’animation -(ou d’un film avec
des personnages en chair et en os)- ainsi dessinée /
isolée à l’intérieur du cadre de cette case / provenant de la bande dessinée en
question.
(10)-
Il faut enfin finir par admettre qu’en vranaçis[255]
pardon, qu’en français, quelques-unes de ces fautes sont souvent au
départ[256] des
raisonnements justes -(ne tenant pas compte de paramètres que certains
spécialistes connaissent au point de ne pas permettre, en raison de ces autres
explications, à cette nouvelle manière d’écrire le mot / l’expression / la
locution d’être écrits, donc de voir le jour ainsi –[cette SAÉ – solution alternative élégante est
-(dans certains cas)- mort-née comme certains de mes/nos lapsus typographiques
qui pzuvznt, pardon peuvent, comme un chaînon manquant, faciliter un
rapprochement du mot qu’il y avait à inscrire vers un ou/et d’autres mots
auxquels sinon on aurait jamais pensé]).
(11)- Il va falloir choisir à moins que ces nouvelles
explications prennent au contraire le dessus, du moins dans certains SPOK.
Aussi on emploiera la mise à jour de la locution au moins dans certains
contextes qui s’y prêtent, même si elle démontre qu’une locution adverbiale
peut être mise au pluriel, ce qui a, en
l’absence des explications, voire même avec les explications, des fortes probabilités d’être, pour certains
conservateurs pointilleux, un.e scandal[e] : mais il y a, nous l’avons vu,
au moins une exception qui confirme la règle du singulier concernant les
locutions adverbiales[257]
invariables en raison de cet à premières vues variables y compris certains
de ses synonymes ! Penser sur les mots en poète, en philosophe, en [a]Artiste[258],
en scientifique ou avec logqiue, pardon logique[259]
car devenu un éveillé-par-acquis-de-conscience, peut nous faire aboutir à des
conclusions différentes de celles d’autrefois qu’ont à cœur de préserver
certains des académiciens conservateurs oubliant de considérer qu’une seconde
est presqu’infiniment du temps et donc que cette nouvelle façon d’écrire à
première vue en » à premières vues « est possible, voire serait plus
en accord avec notre époque qui tient compte de connaissances dont on ne savait
pas autant au moment de décréter » à premières vues « invariables
cette locution qui, pour tous les gens les plus honnêtes est à premières vues
variable en raison de ce qu’on a dit ici comme pour » à secondes vues
« , » à troisièmes vues « ou » aux premiers abords « ,
aux premiers coups d’œil / yeux, etc. Les fautes du type de celles-ci relevant
par certains aspects de la catégorie de La
Foire aux Cancres, nous le voyons, se révèlent donc parfois fécondes, voire
comme «» matière à penser «» / comprendre / modifier notre compréhension
de la réalité à laquelle nous étions habitués[260]
comme cette expression invariable d’à premières vues[261]
devenue exception et cela pour ouvrir vers un autre domaine de sciences
à l’aide de cette précision de nos jours tenant compte d’informations
fondamentales sur la vue, donc importantes se traduisant par écrit en une
locution invariable au singulier enfin -[mise]- au pluriel, ce qui ouvre en
direction de la cause à/de cette soudaine pluralité en nous rendant plus riche
de/en connaissances et/ou de vérités scientifiques relatives nouvelles qu’il
était important de prendre en considération et de signifier à partir d’un
certain moment de l’H. A. H. -(histoire
de l’aventure humaine, soit celle, de nos jours, des civilisations
interconnectées entre elles, ce qui peut donc / par conséquent aussi s’écrire histoires des aventures humaines
-(HAH)- dans l’écriture de la locution elle-même » àpremièrevues
« devenue ainsi, dans quelques-unes de ces variantes possibles, un seul
mot commençant par ce » a « avec accent : àéniemevues / à
énièmes vues !),
N. B. : Suite du texte après les onze
paragraphes ci-dessus :
donc quand on y repense, mais aussi de »
scie « est acoustiquement proche de la note de musique » si
« ou/et du » si « conditionnel ou/et alors le » si
« de l’expression » faisons comme si «, ces » si « sont des
instruments de notre langue. Ils nous ont à tous été indispensables -(restent à chercher les rapports qu’ils peuvent avoir entre
eux, pourquoi on a eu recours dans notre langue à ce » si « qu’on
retrouve aussi en italien dans l’expression » si dovrebbe fare « ( : on devrait le faire) ? Il doit
probablement y avoir une raison pour laquelle on a recours aux sons » s
« et » i « en français, tandis qu’en italien Vinci se lit Vïnchi en français? Et Vin-ci se lit/dit aussi en français » vain
si / sci[e]«. Il est indéniable que cet
immensissimis…simissime -(et c’est encore très peu dire)- génie -(parce que
végétarien)- s’est donné à son époque de la Renaissance infiniment de mal pour
la cause, au point qu’il aurait été normal / logique de lui rendre la salle des
machines comme à celui qui a inventé le jeu d’échec[s] et/ou d’autres génies
comme Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimes
Princes Giuseppe Arcimboldo ou/et S. A.
I. S. S. S. L. P. Michel Ange ou S. A. I. S. S. S. L. P. W. A. Mozart, comme
déjà il fallait la rendre à l’homme de Lascaux, celui de Nazca et celui de
l’île de Pacques ou à celui qui sculpta le premier obélisque, inventa les
premiers idéogrammes, les premiers hiéroglyphes, etc. etc. ou/et à moi-même en
1967 ou/et en 1977 ou à partir de 2005, quand on a vu que tout recommençait
comme en 1967 et 1977 -(moi qui suit entre autres empereur et bouddhahs, soit
vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs de [R]Ôz[eau/…/w/y/s] -(la Terre)- et [R]Ôz[eau/…/i/s]- (le Ciel avec mon inventions / ma création des
premiers Observatoires InterRégionaux, [au sens d’Internationaux], des Nuages
d’Ôz -(OINRÔz)- et/ou Télé-nuage[s])- ou à d’autres comme à mon frère S. A. I.
S. S. S. L. P. Luc-François Granier de Coni … d’Ôz).
En
effet à partir de l’idée[262]
comme celle d’Internet que j’ai eu à décrire à travers Espace et Temps aux
années 1977 et suivantes depuis / à partir des années 2005 et suivantes
vérifiés par mes soins de Grand Inspecteur -(car Éveillé-par-acquis-de-conscience)-
synchrones avec celles de 1967 et années suivantes, comme celle aussi des
écrans plats, des DVD, et des CD audio
et etc.[263]
aux années 1977 dans le ciel de Rome en raison de mon apparition immense
dans le ciel, en avant-premières depuis les années 2005 -(avant d’y être sur
les années 1967 et 1977), il a été nécessaire que je donne les grandes lignes
pour chacune des inventions / innovations dont nous avons bénéficié à partir du
moment où elles sont apparues sur le marché / les marchés conformément aux
indications que j’ai données. Si j’avais dit aux années 1980 » Internet « sans
expliquer ce que c’est / était, personne n’aurait jamais compris ce qu’Internet
permettait et donc les personnes dont j’ai donné les identités -(déjà connues[264]
dans le futur d’où j’intervenais – du point-de-vue des années 1977 - où j’étais
apparu dans le ciel mesurant au moins trois kilomètres de haut, si ce n’est pas
dix mille mètres, ce qui pourrait être – je ne sais au juste : voire entre
trois mille mètres et dix kilomètres de haut[eur])- ne
se seraient pas données du mal pour réaliser ces miennes idées d’Internet comme
tout le reste transmis aux années 1967 et 1977 depuis les années 2005 et
suivantes.
Ce
sont donc les explications qu’on prend la peine de donner par écrit, si
possible -(pour que cela soit le plus clair possible), donc les développements
qu’on fait autour de notions à première-vues succinctes comme sont les mots qui
permettent de résumer des choses compliquées / complexes -(comme par
exemple » Internet «)- qui permettent de réaliser, créer les objets
ou/et les systèmes / notions / mots en question (en fait un mot c’est une
ouverture, une fenêtre vers infiniment de choses différentes reliées à ce mot
dès qu’on se met d’accord sur le premier résumé du sens de celui-ci comme c’est
le SPOK avec la définition de ce mot. Viennent ensuite les développements y
compris sous forme d’images et de sons illustratifs, par conséquent cela peut
donner des bibliothèques entières sur un mot ou/et une expression. On découvre
alors que c’est plus complexes qu’on avait au départ cru, comme cela a été
possible avec les mots d’» ordinateurs de bureau « sous forme de
tours puis portables dont j’ai dû, comme pour les téléphones portables ou/et
mobiles dicter[265]
à travers Espace et Temps quelques détails importants pour qu’ils soient
mis-au-point dans le passé par des ingénieurs compétents[266]
ayant donc suivi mes directives et à partir de celles-ci les conclusions
qu’ils en ont chacun tiré sur le plan professionnel.
Je
suis aussi le fils de mon père, S. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Luc Granier … un
très grand poète[267]
qui, enfant, [en] écrivant ses textes mais aussi une fois adulte Ses
lettres de fonctionnaire des Finances[268],
me donna l’exemple et m’a convaincu qu’il fallait plusieurs fois CAÔRÉ
N. B. : Suite après le paragraphe
suivant ci-dessous :
-(ou
CARÉ – [inutile de rendre verbe ce mot, voire le
contraire ainsi : CAÔRE[r],
donc CARE[r]], ce que j’ai trouvé comme acronyme en premier pour
cette notion développée aussi plus haut -(corriger,
abréger, ôgmenter, relire, résumer, [ré]élaborer)- dans cette
introduction à cette lettre que je vous ai adressée[269]
afin de, peut-être, l’améliorer de façon encore plus originale en »
CAÔRÉ « en raison de la nouvelle façon d’écrire le mot d’»
augmenter « que je propose ainsi : » ôgmenter «, ce qui pourra
être heureux pour certains, voire stupide / bête / malheureux / inconsidéré /
voire sacrilège et etc. pour d’autres – le Temps -[nous]- le dira)-
les textes des lettres qu’on doit écrire pour
réussir à obtenir gain de cause[s] à partir de choses fondées / justes / pensées
/ vraies -(du moins en tant que vérités relatives), etc. .
Les
lettres de mon père sont des exemples à partir desquels j’ai pu donner les
consignes -(à travers Espace et Temps)- pour faciliter la création du logiciel Word dès que possible. Ces idées ont été
communiquées à partir des années 1977 et suivantes du ciel par mes soins à Sir
Bill Gates chez Microsoft, comme les
grandes lignes pour élaborer quelques-uns des autres logiciels -(Photoshop, Adobe Première, Illustrator, etc.)- avec les systèmes d’exploitation pour PC, Mac
et Unix, Linux, etc. et les navigateurs comme Explorer et etc. .
C’est
donc parce que j’ai appris à développer des idées vraies à partir d’un ou
plusieurs mots dont je connais le sens[270]
qu’on a pu faire une partie de tous les progrès qu’on a fait depuis 1967
et 1977 !
C’est
qu’il est impossible de faire succinct quand on sait que celui ou celle à
laquelle on s’adresse n’est pas au courant des paramètres qui plus exactement
nous concerne, soit des infinités de choses positives à mon actif -(soit ce qu’on me doit). Aussi on résume par un mot, par
exemple en ce qui me concerne le mot d’eanmeailleurs
et pour celui qui veut en savoir plus, je crois qu’il ne sera pas déçu puisque
dès la première définition, il apprendra qu’il s’agit d’un très véritable
empereur -(romain ou/et pharaon égyptien)- qui est devenu, à la suite de
métamorphoses s’étant déroulées en 1967, 1977 et 2005 -(en synchrone entre
elles ces dates), un éveillé-par-acquis-de-conscience, soit un boudda dans ce
cas écrit ainsi » bouddhahs « car c’est la première fois dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A.
H.)- qu’il y a un très véritable empereur qui est bouddha, soit avec cet accès
à la conscience, la possibilité de soigner dès que j’ai trouvé la cause d’un
problème, ce qui a été le cas y compris pour la pauvreté ou/et la misère
matérielle sur cette planète, ce qui m’a permis, dès 1973, de donner le remède,
d’autant plus qu’en apparaissant dans le ciel de Rome à partir de 1977, j’ai eu
publiquement à géolocaliser plus de 50% des réserves actuelles de pétrole, par
conséquent celles-ci m’appartiennent à mes différents titres : celui
d’empereur, de bouddhahs et de découvreur de ces réserves géolocalisées par mes
soins, ces points étant transmis à travers Espace et Temps lors de mes
apparitions quotidiennes dans le ciel entre 2005 et 2013 sur les années 1977 et
suivantes synchrones avec celle de 2005 et suivantes.
On
remarque que ce petit mot d’eanmeailleurs[271]
est[272]
de nombreuses choses très positives pour la santé de chacun, si on se
nourrit ainsi en végétariens. On a les preuves officiellement publiées sur
Internet -(avec mes lettres aux
présidents de la République française mais aussi aux
Papes)- que tout ce que je raconte
est vrai, étant donné que c’est à cause du fait que le prix du pétrole a
augmenté -(au lieu de baisser plus préférablement
dans l’Intérêt et pour le Bien Général)- que
j’ai dû, entre autre, faire tous ces efforts d’écriture[s] au niveau où je suis –(qui a exigé pour cela de devenir bouddhahs, soit
d’avoir ainsi accès à la connaissance du sacré, donc de ce qui est vrai / juste
/ bon, etc.)- pour expliquer pourquoi il était
vital pour tous de baisser ce prix du baril de pétrole de manière à pouvoir
remédier en toute logique à la situation sur tous les plans dont l’un des
principaux, économique et de ce fait, en suivant mes directives, faire
disparaître à jamais la pauvreté et la misère à l’origine de trop nombreux
maux, ce qui permettra aux gens d’enfin connaître une plus véritable
fraternité, l’un des objectifs -(au sens d’une des perspectives)- qui nous ont
été données –[la raison d’être]- à réaliser / comme but -(car il n’est pas
possible, dans les conditions actuelles du pétrole si coûteux –[même si à
partir de 2014 il a fini par régulièrement baisser et continue de baisser
depuis l’écriture de ces lettres]- d’être amis ou frères de gens qui, en
augmentant le prix du baril de pétrole -(ce qui
est toujours plus tirer le frein à main sur l’Économie mondiale)- sont à l’origine de la baisse du pouvoir d’achat, du
chômage, de la dévaluation des monnaies, etc. donc de la pauvreté et de la
misère matérielle ! Ce n’est que quand ces personnes ignorantes des
interactions économiques feront ma volonté de 1977 -(et d’à partir 2005), en
baissant le prix du baril de pétrole à un centime de dollar le baril, voire à
0,01 centime de dollar le baril -(voire à mieux
encore : 0,0001centime de dollar le baril - ce qui démultipliera le
pouvoir d’achat en raison de la valeur de la monnaie qui augmentera en
proportion), que chacune des civilisations
dépendante du pétrole pourra considérer ami ou/et frère des gens qui, en
augmentant le prix du baril de pétrole, se sont comportés en criminels contre
les meilleurs intérêts du genre humain, donc criminelles contre l’humanité soit
ce qui sera à l’origine de leur réincarnation -(chacun d’entre eux y compris les
complices)- en l’un ou l’autre des animaux prédateurs parasites, soit les moins
intelligents qui soient et cela au moment de leur mort parce qu’à cause de cela
ils furent le frein à tous les plus véritables progrès. En obtenant ces
réincarnations[273]
ils deviennent ainsi des problèmes supplémentaires à devoir gérer par tous les
êtres humains de bonne volonté au service de la vérité -(en Economie tenant compte de tous les paramètres
y compris du fait que j’ai eu à apporter plus de 51% des réserves actuelles de
pétrole en apparaissant dans le ciel au-dessus de Rome, au cours de l’époque de
1977 et années suivantes pour les transmettre géolocalisées, ce qui devait
rassurer les marchés en raison de la soudaine abondance -(quantité), par
conséquent faire baisser au moins de moitié le prix du pétrole[274]
et en raison des résultats obtenus -(avec
le prix des produits sur les marchés répercutant[s] cette baisse)- le voir très logiquement baisser encore plus et enfin
après avoir été à un centime de dollar le baril -[à]- prendre la direction de
0,01 centime de dollar le baril et puis de 0,0001 centime de dollar le baril,
ce qui sera son cours le meilleur pour réaliser le paradis sur Terre)- et qui
savent que je dis vrai / juste pour ce prix du baril de pétrole (qu’il convient – malgré tout ce qui à première vue[s] fait croire
le contraire et justement à cause de cela qui signifie que ces personnes qui
l’augmentent ne tiennent pas compte de toutes les interactions et conséquences
économiques - de baisser)! Une fois encore on
comprend, avec le mot d’eanmeailleurs, ce n’est pas seulement le grand
inspecteur mais aussi le maître de l’Economie planétaire / globale, voire
universelle car tous ceux qui me désobéissent ou ne font pas ce que je demande
ont fortement de nombreuses probabilités d’obtenir l’une ou l’autre de ces
réincarnations déshonorantes -(de prédateur parasite), étant donné que je n’ai
pu apparaître dans le ciel dans le passé qu’uniquement parce que je dis la
Vérité et sais la vérité sur de nombreux points -(dont tous ceux qui concernent
l’Economie – ce qui signifie que la vérité existe en Sciences Economique, soit
ce qui est, pour tous, préférable de s’imposer / suivre -[c/mes conseils])-
quand cela s’est déroulé à partir de 2005 grâce à Internet que nous avons[275]
bâti[276]
malgré le frein de ce cours du pétrole quasi infiniment trop coûteux, mais aussi en raison de mes diverses
expériences et responsabilités passées et etc.).
Quand on écrit on a le devoir de se mettre dans la peau du
lecteur pour anticiper sur les manques d’informations qu’il aurait[277].
C’est alors qu’on comble ce manque d’informations en développant le sujet[278],
ce qui nous fait forcément découvrir ou croiser d’autres sujets qui
soudain apparaissent en liaison avec notre principal propos. Tout est lié bien
que de nombreuses choses le sont/soient merveilleusement sans fil[s] -(ce qui peut expliquer quelques-uns des miracles, soit ce
qui apparaît comme un miracle parce qu’il nous manque des savoirs. Nous les
connaîtrions cela nous semblerait normal et pas miraculeux, bien qu’il y a[it]
du normal qui résulte du miraculeux[279]
ce qui est là une autre affaire, voire l’illustration -(l’effet)- de la
loi des conséquences, ce qui n’est pas rien ; ce qu’on appelle aussi
l’effet avalanche / soit autrement vu l’effet boule de neige qui en roulant
dans une épaisseur de -[neige]- poudreuse en déclivité peut devenir une
avalanche, du moins grossie -(cette boule de neige à cause qu’elle a roulé)- au
point de pouvoir le devenir –[cette avalanche]- si la pente et la qualité de la
neige s’y prêtent).
Aussi
écrire permet parfois des découvertes et cela plus on fait des CAÔRÉ / CARÉ
(plus on creuse / sculpte son texte car pour qu’un texte fonctionne / marche,
plus on s’aperçoit qu’il a été travaillé comme s’il était de l’horlogerie. En
effet, nous avons vérifié cela quand nous avons eu à réécrire au
moins une dizaine de fois le scénario de La
Momie à Mi-Mots et à réélaborer au moins quatre fois -(remis totalement en question)- le montage de ce film
-(que j’ai aussi produit réalisé et distribué), le
faisant passer d’un boutàbout d’environ huit heures à un premier montage de
deux heures vingt minutes et ensuite à la version de
quarante-trois minutes sortie en salle à partir de 1996 : cette
découverte de la réécriture d’un scénario comme de la nécessité de remonter un
film ou/et une vidéo est à l’origine de ma découverte des CARÉ pour la plus
grande partie de mes textes[280]
dont certains sont même des CARÉ vingt -[20] -(soit au moins vingt-fois corrigés, augmentés, abrégés, relus, [ré]élaborés, résumés), ce qui permet dans certains de ces textes, donc dans ces SPOK,
d’approcher -[de]- la perfection –(car il est
probable que je pourrais encore les CARÉ)- et/ou
la vérité sur les sujets traités. En fait on s’aperçoit que dans la plupart des
textes anciens[281]
la pensée telle qu’on l’utilise dans des premiers jets à l’oral est
rarement tout à fait juste -(sauf pour les
choses les plus simples / faciles à comprendre), au
sens d’objective, rationnelle, exacte[282]:
il y a parfois dans ces
textes[283]
par moment des omissions, soit des paramètres qui avaient leur[s] importance[s] et qui ont été
malheureusement oubliés[284],
omis, soit des sortes de clés qui manquent pour comprendre le sujet et
c’est la raison pour laquelle avant de prendre la parole, existe le conseil
bien connu de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de se lancer
dans une discussion orale[285],
ce que je m’interdis dans la mesure du possible si je n’ai pas
auparavant traité le sujet de mon intervention par écrit –(ce que/qui, à
l’époque d’Internet, est enfin possible une fois qu’on aura accès aux textes
originaux invoqués, donc le cas échéant en retrouvant chacune des références
par de simples copier/coller de celles-ci qui permettront, si nécessité oblige,
de retrouver ces références dans les contextes d’origine). C’est parce que je
ne veux pas tromper mon lecteur -(ou le spectateur,
soit l’assistance), par exemple par omission des paramètres qui pourraient
induire en erreur ceux qui prêteraient attention à mes dires -(s’ils étaient
inexacts), au point de les faire leurs, le cas échéant. Aussi en dehors des
sujets que j’ai exploré par écrit, où tous ceux pour lesquels mes certitudes
sont fondées par des vérifications[286],
je ne me lance que très rarement dans des discussions orales, sachant qu’on
peut trouver des réponses différentes en fonction des paramètres et/ou niveaux
de lecture qu’on va privilégier en, hélas, infiniment hélas, omettant à l’oral[287]
certains points qui avaient pourtant leur importance sur d’autres
niveaux / plans. Un texte, une bande-dessinée, un film de fiction, une
œuvre-d’art, cela doit être -(il vaut mieux)- construit comme l’intérieur d’une
horloge qui, on le sait, fonctionne de manière cohérente avec tous ses
mécanismes en interaction entre eux pour qu’elle produise l’effet escompté,
donc pour que ça marche et c’est pour ça que les textes mensongers ne marchent pas[288]
à moins d’être, à ce moment-là, devenu[s] menteur[s] soi/nous-même,
voire ce qui est dans certains SOPK synonyme d’ inconscient ; il n’y a que
les inconscients et/ou la plupart des laipis qui croient aux/des mensonges
ou/et à des vérités relatives trop sommaires -(manquant de rouage[s] – de l’une
ou l’autre pièce). C’est la même chose qui se produit avec certains rêves. Ils
n’aboutissent que si celui qui dort est devenu inconscient et, si c’est le cas[289]
de façon à profiter[290]
des facteurs / paramètres qui n’ont pas permis au dormeur de reconnaître
l’inconscience et/ou l’incohérence du/es[291]
sujet.s de ce rêve ayant pour criminel dessein de l’abrutir[292]
de plus ou moins importantes âneries de manière[293] à lui détruire ses certitudes durant
les moments où, vivant sa vie diurne -(sans plus dormir), il est plus conscient
que lorsqu’il dormait ; du moins a retrouvé une part de conscience car
réveillé : alors il tient compte de paramètres / facteurs[294]
qui, entrant en ligne de considération dans le monde de la vérité, ne
rendent aucunement possibles dans cette réalité éveillé ce qui a été rêvé ainsi
autant inconscient -[que ce fut]. Cela signifie que ces rêves qui s’adressent à
la partie inconsciente de chacun de nous en dormant sont la plupart du temps
des mensonges -(avec, peut-être, quelques
instants ayant l’apparence de vérités relatives[295])-
dans lesquels les paramètres antithétiques -(que l’accès à la conscience durant l’état de
veille prend en considération[s]),[296]
les doutes[297]
n’étaient pas présents[298]
quand ce rêve a, à premièrevue[s], marché[299],
on n’a visiblement pas accepté de respecter les droits des êtres humains à
avoir le droit d’être au service de leur conscience, soit celle-là même qui a
fait l’objet d’une éclipse durant le sommeil dans lequel ceux qui sont l’auteur[300]
du rêve ont profité de cette momentanée absence de la conscience pour rendre le
dormeur à l’origine -(innocent et
naturellement :)- confiant autant
inconscient qu’il en fut réduit de manière à profaner / polluer / aliéner sa
personnalité qu’on sait être sinon au service des raisonnements les plus justes
et féconds dans l’Intérêt et pour le Bien général à plus ou moins long terme.
En lui faisant vivre ces rêves contre sa volonté en profitant de sa fatigue, on
se comporte en sacrilège[s] envers la lumière de l’esprit, cette conscience qui
permet à l’être humain, (une fois durablement acquise), de déterminer le bien
du mal, le juste de l’injuste, le vrai du faux, etc.). Aussi après avoir été
victime de l’un de ces rêves, on comprend qu’il y a tricherie de la part de
ceux qui en sont à distance les auteurs : en effet, on a profité de l’absence
de vigilance de celui qui dormait -[qui plus est]- en
toute confiance[301].
Ceux
qui sont les auteurs de ces rêves manquent de respect envers le dormeur. Ils
violent / souillent l’intégrité d’une personne –(qui
plus est !)- confiante et innocente, ce qui n’est pas acceptable même si
pour être de ceux qui fabriquent de tels rêves, ils ont été victimes[302]
de ceux qui les ont fabriqués pour eux, quand ils appartenaient encore aux
êtres humains plus conscients. Aussi ce n’est pas parce qu’ils se sont fait
grugés / bernés[303]
qu’ils ont le droit de persécuter à leur tour tous ceux qui, pour le
plus véritable Bien et Intérêt Général, n’acceptent pas d’être les victimes de
ces « rêves » et/ou cauchemars, résistent, par devoir en
bienfaisants, parce qu’ils savent, par exemple, quand ils regardent des films,
qu’ils s’autorisent de les voir en conscience, soit en êtres vigilants, par
conséquent un peu comme des critiques, en bénéficiant bien éveillés, (pour
ainsi dire), de l’accès aux données du disque dur de leurs souvenirs[304]
sous la gouverne de leur conscience, soit de très nombreux paramètres au
service de la compréhension cartésienne / rationnelle et donc de la distance
nécessaire pour analyser les images proposées de ces films qui peuvent, dans
certains SPOK, être comparables à des rêves ou/et des cauchemars, mais en sachant
que ce qui se passe au Cinéma, à la Télévision, ou sur Internet[305]
cela se déroule sur un écran de plus petite dimension, même s’il est
dans certains foyers des plus grands -(cependant
chez soi cela permet de ne pas regarder seulement le sujet au centre de
l’écran, mais aussi -[les]- à-côté[s] –[qui sont
parfois plus intéressants que ces premiers plans sur l’écran, comme le sont autremenpeints[306]
les arrière-pays dans la Peinture], les décors
choisis, voire même tout ce qui entoure l’écran, donc l’au-delà de
l’écran : hors du cadre / champs : l’espace de la chambre où on
regarde seul ou en compagnie, le document audio-visuel, par conséquent le
format et la taille de ces écrans cela donne la possibilité, même avec les plus
amples / vastes / grands d’entre eux[307],
de regarder ailleurs, voire avec l’aide de la télécommande de changer de
chaîne, si cela ne plaît pas ou si on est las d’un programme ou/et pour
d’autres raisons, voire simplement arrêter de regarder l’émission, et c’est
pareil avec les documents audio-visuels sur Internet comme, par exemple, avec
les films ou/et les séquences -[sur]- You tube :/, on a donc le choix,
réveillés, ce qui n’est pas très souvent possible en dormant -[dans les rêves],
bien qu’il soit possible parfois de prendre[308]
la direction de ce rêve dans d’autres SPOK, voire de l’interrompre à temps
grâce à l’intervention de la conscience étant en général, durant la journée[309]
au service d’autres objectifs. Ce serait au
Cinéma qu’il y aurait un danger tout particulièrement, en raison de la taille
des très grands écrans qui parviennent, comme avec celui de La Géode, à vous
immerger entièrement dans le/un film, cependant que le spectateur[310]
peut toujours fermer les yeux ou/et partir si ce qu’il voit ne lui plaît pas
–(c’est ici que les films projetés en Omnimax
sont / pourraient être aussi dangereux que ceux qui adviennent dans certains
rêves et/ou -[certains]- cauchemars, car tout le champ visuel est concerné /
occupé par le défilement des images comme cela est, parait-il le cas, avec
certains jeux vidéo qui contraignent aux
casques de réalité virtuelle : on est alors immergé à 180° dans
d’autres décors des images dont on est -[comme]- prisonnier comme si c’était ceux
-(les décors)- de la réalité quotidienne ou comme dans certains rêves ou/et
cauchemars cependant qu’on peut à tout moment retirer le casque de réalité
virtuelle comme préférer se réveiller pour mettre fin au rêve ou au cauchemar
sauf, hélas infiniment hélas -(ce n’est pas juste, is not fair)- de ceux dont on ne parvient pas à s’échapper, ce qui
est sacrilège vis-à-vis de la conscience qui l’aurait souhaité pour différentes
raisons logiques, rationnelles, justes, si elle n’avait pas disparu à ces
moments-là. Cependant malgré ces raisons, il existe des rêves / cauchemars
durant le sommeil qui rendent impuissante la conscience, voire produisent des
effets comme si cette dernière avec toutes ses raisons les plus justes / bonnes
n’existait pas. On se réveille alors déstabilisé, voire pire : traumatisé.
Ici ce dont on vient d’être victime n’est pas fair play avec ce qui nous paraît juste dans la réalité des
honnêtes gens -(gentlemen)- dans
laquelle nous essayons de vivre chacun à sa façon et en général plus ou moins
conscient[s], sauf les moins conscients d’entre nous se comportant alors de
manière inconsciente[311]
au point de ne pas / plus croire que la conscience existe en eux[312].
C’est ici que la situation devient dangereuse, voire peut devenir malsaine et
etc. donc insupportable et etc. car il y a -[eu]- sacrilège ou/et profanation,
viol[313]
de l’univers mental d’une personne[314]
probablement constituée de choix et de références toutes autres qu’elle
avait le droit de préférer -(y compris en terme d’objectifs personnels)- et
cela d’autant plus qu’elle serait une personne ayant acquis sa conscience, par
conséquent cette dernière naturellement dans/pour l’Intérêt et pour le Bien
Général car accéder à la conscience, comme je l’ai démontré de ma naissance en
1963 à 1967, de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005 -(comme à partir de 2005 à nos
jours)- n’est possible[315]
que dans le meilleur Intérêt Général, soit le Bien Général car sinon cette
sécurité découverte par chacun des bouddhas depuis le tout premier n’existerait
pas dans l’être humain. Or j’ai démontré qu’elle peut exister dès la prime
enfance dès l’âge de quatre ans, mais aussi vers quatorze ans ou alors plus
tard, au point d’intervenir de manière auditive en 1967 et de nouveau
auditivement mais aussi visuellement dans le ciel à Rome en 1977 de façon
synchrone et rétroactive à partir de 2005, une fois retrouvée / réactivée[316]
cette conscience en moi).
A
la maison / -(quand on est chez soi), les images et
les sons, (par le biais des écrans), de télévision ou/et sur Internet,
permettent à l’être humain -(y compris en
utilisant la fonction » pause «)- en raison
de la quantité de chaînes de Télévision, de choisir son programme, par exemple s’il s’agit d’un film enregistré, visible sur
Internet, (par exemple sur You tube).
La fonction » retour en arrière «, voire les autres fonctions, (y compris
l’image par image)- facilite[raie]nt l’analyse du document audio-visuel sur
différents plans -(et ceux-ci sont
nombreux : autant qu’il y a de[s] catégories différentes), au point de naturellement faire la différence avec le
monde des rêves ou/et des cauchemars[317]
où à cause de l’état de plus ou moins grande inconscience dans lequel on
est quand on dort, on en est respectivement plus ou moins victime -(de ces
« rêves » / cauchemars, au point qu’on pourrait exiger des
réparations -(financières), en raison des plus ou moins grands traumatismes
qu’ils ont représentés, en essayant parfois de nous convaincre d’inepties diverses,
alors que nous nous reposions en toute confiance de travaux diurnes -[souvent /
parfois]- difficiles et que nous avons dû vivre des journées au cours
desquelles nous avons dû, du mieux que nous le pouvons chacun, soigner, ce qui
ne se peut sans le recours à cette conscience. Aussi nous comprenons que le
monde des rêves et des cauchemars cherche à s’attaquer à ce qu’il y a de plus
précieux dans chacun d’entre nous : la conscience -[au repos]- et donc que
le sommeil comporte, à cause de ces rêves et cauchemars, un très grand danger
pour chacun d’entre nous -[pas seulement pour celui qui dort, car il y a les
effets secondaires de ces rêves ou/et de ces cauchemars si on a sombré, à la
suite de l’un d’entre eux, dans l’inconscience au point, à cause de l’un ou
l’autre de ces rêves ou/et cauchemars d’avoir alors comme perdu la conscience[318]
car ces rêves ou ces cauchemars peuvent être, une fois sorti du lit où l’on
dormait, la cause de nos inconsciences momentanées d’éveillé, pourtant ayant
bénéficié, à la longue en tant que végétarien, de l’acquis de conscience, donc l’éveil en bouddha. Aussi pour tout/s ceux
qui n’ont pas encore accès à la conscience en eux, ces rêves et/ou cauchemars
sont / représentent un très véritable danger
-(probablement celui qui a été la cause de ce qu’ils ont voulu faire partie de
ceux qui fabriquent ces cauchemars ou/et rêves, en faisant bande-à-part avec
d’autres devenus ainsi inconscients[319]
comme eux, au point de croire possible rejoindre ces semblables élaborant[s][320]
ces cauchemars, en fait sans même se rendre compte que cela advient dans
une sorte de but à son insu quasiment suicidaire, car très néfaste /
négatif pour celui / celle qui s’y ait laissé prendre à les réaliser pour
aliéner une victime, [ce dormeur confiant]- aux effets de l’ineptie et de ses
corollaires), celui[321]
de ne pas / plus être capable de les analyser justement, et d’en subir
les conséquences parce qu’il n’y a plus la / de distance que procure[ait] la
conscience à fin d’être cette sécurité dans / de l’être humain pour, entre
autre, permettre l’analyse plus judicieuse de ces rêves et/ou cauchemars quand
on s’en souvient]).
Il
est de nos jours -[très]- difficile de bénéficier du temps suffisant pour
comprendre en vérité ce qui est montré / communiqué / créé / conçu / proposé,
etc. dans les rêves -(quand on dort)- donc pour les analyser, car pour cela, il
faut avoir recours à la mémoire des instants précédents ayant été vécus dans
l’inconscience, soit à la complexité de ces souvenirs / rêves une fois
réveillé[s], soit plus conscient que durant le sommeil, par conséquent aux
détails qui composent ces rêves, ces détails ayant eu lieu dans le monde de
l’inconscience dans lequel la mémoire est, (sur
un certain plan, celui du réel - au sens de chronologique, rationnel, etc.)- peu / moins sollicitée[322]
au point que ce monde de l’inconscience existe parce qu’il existe
l’oubli : le défaut de mémoire[323]
au sens de peu de mémoire[324],
voire pas à suffisance au sens de déconnecté de la mémoire à cause des
effets de cette inconscience qui peut aboutir au pire, soit au manque total de
conscience[325]).
Heureusement
cela -(cette analyse du rêve)- se peut parfois dès que réveillé, même si
certains d’entre nous se croient -(avec raison)- persécutés par ces
« rêves », soit en profitant, au sens négatif de ce mot de » profiter «[326]
du point de vue[s] des faiseurs de rêves / cauchemars qui croient
avoir le droit de proposer ces « rêves » aussi lâchement :
en spéculant sur la confiance innocente de ceux qui dorment, s’étant alors
réfugiés pour cela dans l’inconscience -(ici au
sens positif de ce mot, car sinon le sommeil lui-même n’existerait pas)- liée au sommeil et alors à l’absence de défense[s][327]
d’un individu quand il dort, ce qui n’est possible qu’aux gens, hélas
infiniment hélas pour eux[328]
devenus méchants et/ou sacrilèges, par conséquent non plus dignes d’être
considérés êtres humains[329].
Hélas
ces méchants[330] se
trompent en s’acharnant avec les diverses « séductions » qu’ils
utilisent dans ces « rêves » parce qu’ils ont profité de la confiance
et de l’innocence du dormeur pour l’intéresser artificiellement par exemple à
la dimension sexuelle de l’existence, en violant ainsi les Droits de l’Homme et
de la Femme et des Enfants et/ou des personnes plus âgées à avoir le droit,
dans leurs respectives existences, de connaître amour avec un A
majuscule, soit [a]Amour ©, ce qui n’est pas[331]
uniquement sexuel ou/et érotique -(bien qu’indubitablement la dimension
sexuelle de la vie existe, mais uniquement si les dimensions spirituelles –[il
y en a autant que de catégories]- sont respectées et ne sont d’aucune façon
occultées. Cette multi-dimension spirituelle est bien entendu en relation /
liaison avec la bienfaisante conscience,
voire au-delà avec le Saint-Esprit qui ne sera pas nécessairement uniquement
Catholique Chrétien –[donc un Esprit-Saint qui
peut être aussi compréhensible bouddhiquement, soit par acquis de conscience,
alors rénové en qualité d’éveillé], ce qui peut
mener à l’intérêt pour les très/plus véritables saints, voire à des choix pour
mener finalement une vie de saint, ce qui est la situation parce que la vision
du très saint paradis a, à première-vue[s], disparue depuis la très grande
catastrophe il y a des millions d’années, ce qui a mené ces personnes à se
passer de sexualité pour prouver, en l’absence de la vision du très saint
paradis, soit la vision d’Ôz,
d’Atlantide, d’Arcadie, de l’Eden, voire de Schtroumpf
et des autres synonymes possibles de cette notion de très saint paradis, qu’ils
n’ont pas besoin de sexe pour croire en Dieu, car ce qui leur importe est
[a]Amour spirituel pour créer un effet de contrebalancement de tous ceux qui
devenus inconscients n’ont pas d’autres objectifs que le sexe, hélas infiniment
hélas, au détriment de leur spiritualité et de leurs talents qui auraient pu
être mieux employés pour découvrir / construire la vérité de l’existence dans
une confiance mutuelle transparente[332]
qui n’a que plus ou moins à voir avec la sexualité[333]
dont sont responsables ces « rêves » qui, bien
qu’àpremièrevues rêves[334] sont en réalité des cauchemars et
parfois même à l’origine de sortes de traumatismes car ils s’apparentent aussi
à des sortes de tortures[335]
donc de façon illégitime cherchant à ce qu’une personne consciente ne le
soit plus durant son sommeil, donc en profitant[336]
illégitimement, soit vu ainsi en conscience, de l’inconscience d’une personne innocente se réservant[337]
naturellement à sa/ses femme/s légitimes, potentiellement mère[s] des
enfants attendus dès avant même la conception de ceux-ci, par conséquent à
engendrer si les conditions à rassembler au préalable s’y prêtent[338].
Sommeil dont les êtres humains ont naturellement besoin –[sans être ainsi
outragé / souillé dans leur intégrité]- ne serait-ce que pour »
recharger s/les accus « et non pour devenir le protagoniste, durant
le sommeil, de situations qui n’ont rien à voir avec les objectifs familiaux
qu’on s’est fixés durant les moments réveillés par les choix constructifs de la
conscience et des responsabilités qu’on aura alors, parce que cette conscience obtenue[339]
est à l’origine de tous les bienfaits les plus justes ou/et qui marchent
/ fonctionnent, puisqu’elle est le résultat de.s vertus acquises au service du
Bien et de l’Intérêt Général, comme de la Vérité et etc.).
Mais
il faut que cela vaille la peine d’écrire et en l’occurrence dans la situation
avec Monsieur M. comme avec vous c’est le cas.
Je
ne vous ai pas communiqué les détails au sujet, (au début), du refus de
m’augmenter de 145 euros à 160. Cela en réalité pourrait prendre de nombreuses
pages pour vous dire pourquoi mon curateur était dans l’erreur, abusé qu’il
était par des à première vue[s] et l’oubli de paramètres essentiels dont il
aurait dû tenir compte.
En
réalité, si vous avez lu le feuilleton vous savez maintenant pourquoi, au début,
il n’a pas voulu de cette augmentation.
C’est
qu’il partait en vacances et qu’il ne trouvait pas le temps de lire le
raisonnement de ma proposition.
Il
a remis cela à son retour de vacances en promettant de nous voir à ce sujet,
promesse qu’à son retour il a voulu honorer malgré le Coronavirus[340].
Si
je l’avais vu -(en chair et en os à l’occasion de ce rendez-vous)-
il est probable qu’il ne m’aurait augmenté qu’à 155 euros.
Il
a remarqué que je lui donnais par écrit le choix en lui rappelant que nous
réalisions suffisemment de » marge «, soit d’économies si on
passait à 160 euros, mais j’ai dû lui rappeler par téléphone que pour l’achat
des éléments de literie à renouveler, il n’avait pas voulu toucher à cette marge
au point de ne pas m’aider et de me contraindre à faire toutes les dépenses à
partir de mes économies, sur le point » argent de vie «
de mon budget.
Or
il avait oublié que par sécurité je ne peux dépenser que ce qui est au-dessus
de mille cinq cents euros à deux mille euros[341].
C’est
que Monsieur M. avait oublié ce paramètre -(voir le contenu de la note de bas de
page précédente -[ci-dessus])- me concernant et parce qu’il avait cru pouvoir
s’autoriser à penser qu’àpremièrevues en ayant mille sept cent euros sur mon
compte, je n’avais pas besoin de réaliser cinq euros d’économie en plus toutes
les semaines[342].
Monsieur
M. a finalement compris combien je disposai de peu de MFPMD -(acronyme
pour moyens financiers propres et mérités de droit)- par rapport aux différents frais que mes activités me
contraignent à régulièrement dépenser / débourser.
Aussi
ma dernière lettre que j’ai aussi adressée à sa collaboratrice, lui a rafraichi
la mémoire comme ce que je lui ai dit au téléphone et du coup il a accepté cent
soixante euros par semaine[343].
Ce
sont bien les oublis[344]
qui sont à l’origine de la plupart des problèmes.
Vous
comprendrez donc que dans le monde[345]
toujours privé[346]
de la vision du très saint paradis, celui qui omet un paramètre ou
plusieurs[347] est
celui auquel il convient qu’on lui rafraichisse la mémoire sur ce grand nombre
de points importants dont il a oublié l’existence[348]
voire les faits anciens dont il n’a pas encore pris connaissance, y
compris des raisonnements les plus justes[349].
Ce sont donc les êtres les plus conscients et ceux qui ont
une bonne mémoire qui peuvent changer le cours d’une décision injuste et
inappropriée, une fois qu’on tiendra compte[350]
de la majeure partie des éléments qui se sont plus exactement passés.
C’est
donc à la lumière de ces paramètres dont la récipiendaire, (vous, madame la
doctoresse B.), de la correspondance n’était pas au courant ou qu’elle -[que
vous]- avait -[avez]- oublié[351]
que de nombreuses injustices, voire sacrilèges ont, hélas, eu
quotidiennement lieu à mon égard / sujet -(à cause de ce que vous comprendrez
dans la missive attenante être, en fait très réellement et très véritablement[352]
des doses[353]
énormes, voire énormissimis…simissimes en tenant compte de cette autre échelle se
fondant / basant sur la masse du
neutrino, voire énormissimis…simissimes -(par rapport à cette dernière)- en
se fondant sur l’échelle atomique.
-(et/donc
je pèse mes mots. En rien je n’exagère, c’est écrit en toute objectivité et en
multidimensionnalité, donc aussi en synthèse y compris de paramètres dont je
tiens compte -(je vais les évoquer plus loin)- dont
peu de personnes pour le moment -[ne]- sont conscients, voire qui les
connaissent peut-être mais, hélas n’en tiennent pas compte, par conséquent
c’est écrit en toute vérité). Celui qui pensera le contraire -(soit que 25 mg
de ces deux produits c’est peu), ira un jour ou l’autre en enfer, voire obtiendra
pour son âme mathématiquement les plus tragiques réincarnations, foi de vos
dévoués serviteurs les bouddhahs – soit d’éveillé-par-acquis-de-conscience -
grand inspecteur, vos eanmeailleurs, car, par ailleurs, votre empereur)-
Le Xeplion au dosage de 50 mg
est criminel contre l’humanité, soit un véritable poison qui pousse au suicide,
s’il n’est pas donné accompagné de l’Artane 5 mg, au moins trois par jour -(un et demi le matin vers huit heures et un et
demi de six à douze heures après –[ce qui signifie que la nuit on peut s’en
passer si on dort, ce qui est possible avec un somnifère qu’on prescrira bien
qu’il ne soit pas obligatoire si le patient désire, par exemple, travailler de
nuit – aussi on pourra ajouter un autre comprimé d’Artane 5 mg pris de minuit à
deux heures du matin - cependant qu’on sait qu’il ne faut pas s’accoutumer pour
toujours à ces médicaments correcteurs qui ont à la longue des effets
secondaires indésirables, bien qu’il soit indubitable qu’avec l’Artane 5 mg -(et surtout pas / jamais de Lepticure ni
d’Akinéton – je les ai essayé tout[354]
deux, ils empirent les maux : cela devient
cauchemardesquissimis…simissime)- les effets les
plus douloureux, ceux des impatiences insupportabilissimis…simissimes ont
diminué au point d’être, quand ils ont lieu, « seulement »[355]
insupportab[i]lissimissimissimes]). Dans la
lettre attenante, je vous dirai / expliquerai pourquoi on ne peut, en fait, à
la lumière de mon expérience de grand inspecteur[356],
donner, au grand maximum du
maximum que 25 mg
N.
B. : suite après les deux paragraphes suivants ci-dessous :
-(ce
qui est en vérité sans l’ombre d’un doute déjà beaucoup trop car on peut être
de ceux qui souffrent réellement, à ce dosage de Risperdal 25 mg, de
quelques-uns des effets secondaires indésirables signalés dans la notice de ces
médicaments. En réalité, comme vous le découvrirez, en fait, 25 mg c’est
énormément. Rendez-vous compte : 25 fois un milligramme ! (Pour un
miniaturiste tel que moi – en attestent quelques-unes de mes œuvres peintes en
tant que Laury Aime, voire en tant que Laurie, mais aussi en tant que les G.
Ô., voire en tant que l’un ou l’autre de mes autres pseudonymes, c’est
effectivement immensément -(ces 25 mg)- au point de comprendre aisément
pourquoi ces injections aux -(à première-vues / entendues comme telles)- si
faible[s] dosage[s] ont des effets qui durent aussi longtemps : quinze
jours et pourquoi il y a eu, à partir de 2013, nécessité de mettre au point le
sevrage que vous savez j’ai mis au point avec madame la doctoresse Nicole
Koechlin, tant à cette dose de Risperdal 25 mg, je souffrais de l’effet
secondaire indésirable nommé, en langue vulgaire, impatience[s]. 25 mg, c’est
ce qui est, (vue à ces échelles microscopiques médicales), énormément trop,
surtout pour un sujet / patient ayant eu, comme moi, accès à l’éveil, par
acquis de conscience -(soit quelqu’un qui[357]
depuis vit en permanence en conscience[358],
soit en vérité, par conséquent qui est durant mes journées et mes veilles en
permanence lucide, conscient, ce qui par conséquent rend sensible[359],
victime des effets secondaires: une personne devenue consciente est beaucoup
plus sensible que toutes celles laipis, soit en partie plus ou moins
inconscientes). C’est en général le cas de tous les très / plus véritable[s]
princesses et prince[s] ou qui sont sur le point de le devenir, car, par
exemple, ils sont entrain de vivre, sur le plan sentimental, une histoire
d’amour du genre de celle de La Belle et
la bête, comme cela était en quelque[s] sorte[s] mon cas avant que, par
amour pour ma fiancée, je ne retrouve pour tous la raison cohérente, soit avec
cette raison la conscience et avec elle peu de temps après l’apparition autour
de mon doigt annulaire de l’anneau immatériel immaculé des hommes et des femmes
les plus véritablement mariés -(et si j’ai retrouvé ma conscience c’est, comme
vous le découvrirez dans l’un ou l’autre de mes écrits, en raison que je
l’avais perdue à cause de l’amnésie que j’avais eu à m’ingénier à contracter et
avec elle les conséquences
aliénantes[360]
pour approcher canoniquement[361],
le jour venu Michèle Finck, ma future fiancée car sinon
-(si je n’avais pas perdu la mémoire de ce qui s’était passé pour moi
d’exceptionnel en 1977, à Rome, à cause de mon apparition d’avance, en seconde
avant-première[362],
à cette occasion virtuelle dans le ciel et du sacrifice christique alors
proposé de ma séparation momentanée[363]
d’avec Christine et, du coup, de la perte de nos enfants que nous attendions en
immaculée conception. Elle avait treize ans et moi quatorze, nous étions
vierge[s]), je n’avais pas de nombreuses
probabilités de pouvoir aimer d’[a]Amour[364]
Michèle qui, en 1977 – j’avais quatorze ans et elle dix-sept - avait refusé -(dans la situation précise
dans laquelle nous nous trouvions –[qui pourtant nous le permettait
canoniquement[365]])- ma proposition[366]
de m’accorder[367]
exceptionnellement le droit à deux épouses légitimes, dont elle-même).
C’est
aussi cette quantité énormissime[368]
de 25 mg[369] de ces produits du Risperdal et/ou Xeplion
qui permettent de mieux comprendre pourquoi ils sont à l’origine de tant
d’effets secondaires indésirables. En effet, ce qui est proposé comme dosage
est en réalité immense à
l’échelle infinitésimale à laquelle travaillent dans le système sanguin ces
substances chimiques appelées médicaments neuroleptiques qui se dissolvent
en entrant alors dans le sang par les vaisseaux qui irriguent la partie du
muscle dans laquelle l’aiguille a pénétré et puis progressivement par
infiltration et légère transformation dans tous les appareils qui composent sur
le plan biologique[370]
chacun d’entre nous) –
de Xeplion ou de Risperdal 25 mg et pas plus qu’une seule
fois avant d’avoir, dès la fois suivante - il vaut mieux[371]
- à baisser le traitement de moitié -(car cela va durer respectivement un mois
et quinze jours supplémentaires à ce nouveau dosage qui devrait faire un peu
moins souffrir et permettre aux médecins de s’assurer de l’état de santé du
patient car s’il est bon, ils doivent alors baisser de nouveau de moitié moins le
dosage et ainsi de suite jusqu’à la dose minimale qu’on peut fixer à 0,03125 mg
pour ces deux substances, car il est peut-être inutile d’aller aux doses
suivantes de 0,015625, voire de 0,0078125 et suivantes d’autant qu’à l’échelle
humaine dans le système métrique cela fera assez/plutôt petit, voire minuscule
– cependant qu’à ces doses à première vues infimes, il s’agit d’un produit
médical qui continue à agir durant l’ensemble de ce mois et de ces quinze
jours. Si le patient n’a pas changé de comportement dans le mois ou ces quinze
jours, on peut s’autoriser à revenir d’une dose, soit à Xeplion 25 mg ou
Risperdal 25 mg si on était à Xeplion 12, 5 mg ou Risperdal 12,5 mg, de même
qu’on reviendra en arrière d’un cran, si on est à 0,125 mg, soit à 0,25 mg et
de la même manière pour toutes les autres doses. Mais cela ne peut être que si
la dose prescrite ne fait aucun effet.
N.
B. : suite après les deux paragraphes suivants ci-dessous :
Ces
médicaments peuvent faire l’effet -(auquel on a cru en
lisant les articles médicaux à leur sujet[372]),
en le vérifiant scientifiquement qu’ils pouvaient être, par exemple,
« calmant » -(or il ne le sont que parce qu’ils font souffrir
énormément[373] des
effets secondaires indésirables martyrisant[s], donc parce que la souffrance
est telle qu’on ne peut plus rien penser, dire ni faire, pas même dire combien
on souffre de martyrissimissimissimes à chaque fraction de seconde. Soit la vie
devenue plus horrible qu’un cauchemar[374],
par exemple comme il le fut pour moi à cause des acouphènes qu’ils engendrent,
même s’il y a parmi ces acouphènes des différentes catégories, donc à certains
moments plus supportable[s] que ceux qui le sont de manière
insupportabilissimis…simissimes, soit ce qu’on ne peut que guérir qu’en
supprimant ce Risperdal 50 mg et/ou ce Xeplion 50 mg, soit en s’interdisant de
les prescrire, voire en proposant une cure de sommeil à la place pour rejoindre
le moment à partir duquel le Xeplion 50 mg ou le Risperdal 50 mg ne font plus
d’effet, en supprimant de toute urgence et à jamais le renouvellement de la
dose et en priant le Ciel que lorsque la personne se réveillera elle n’aura
plus ces acouphènes les plus insupportabl[i]lissimis…simissime à vivre, car si
ce patient les a encore -(ces acouphènes maximals), il faut lui prescrire
aussitôt une autre cure de sommeil de plusieurs jours -(jusqu’à ce que ces
acouphènes aient disparu parce qu’il n’y a plus de Risperdal ou de Xeplion dans
le sang, voire d’autres neuroleptiques qui en auraient la cause ou/et
médicaments en cause, car si cette personne réveillée est entrain de souffrir
atrocement et de cette façon absolument insupportabilissimis…simissime, il
s’agit des acouphènes les plus forts – qui parfois passent une fois en position
debout – car il est probable que le points où ils apparaissent soit à un
endroit dans le cerveau que la composition médicale du Risperdal et/ou du
Xeplion qui circule dans le sang n’atteint que quand le patient est couché -(ce
qui a été mon cas) – aussi se mettre alors debout et attendre, voire s’adonner
si possible aux activités habituelles peut atténuer le volume de ces
acouphènes, voire comme je l’ai dit en écoutant l’eau couler ou/et des sons
neutres cependant que ce n’est que le patient qui sache si c’est insupportable
ou pas), ce qui est, par ailleurs toujours assez de temps pour que ces
« médicaments » du Risperdal comme du Xeplion aient agi sur le point
sur lequel on a cru qu’ils auraient une action bénéfique.
En
effet sur le plan médical quinze jours -(1 296 000 secondes)-
ou un mois -(ce qui est environ deux fois plus en nombre de secondes, soit
environ 2 592 000 secondes)- c’est, à l’échelle universelle, (surtout si
on souffre)- beaucoup plus de temps qu’on ne le croit en tant qu’êtres humains
limités -(que de choses se produisent en même temps dans l’Univers en une
seconde, y compris comme changements pour chacun d’entre nous, y compris dans
l’invisible[375] !
Aussi vous comprendrez plus aisément que donner 25 mg de Xeplion ou de Risperdal
pendant un mois c’est énormémentissimissimément[376]
de temps et vous vous garderez de croire possible le prescrire plus que cela,
qu’uniquement s’il y a récidive – ce qui peut se produire si le patient sait
qu’il est dans son droit[377]
et cela à tort ou à raison. Dans mon cas en 2017 quand on m’a hospitalisé de
force, il n’y avait pas eu récidive depuis 2013 et 2014 où on me donnait une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines[378]
et je n’avais eu en 2017 qu’une demi-journée de retard sur cent soixante-huit
heures -(soit sept semaines, donc 49 jours –[car
depuis plus d’un an et demi j’étais à demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines]. Si cela avait été cinquante jours
et non 49, cela ferait un retard de plus ou moins 1% sur cette prise régulière
de demi-dose Risperdal 25 mg toutes
les sept semaines. En fait cela fait exactement deux pour cent ce retard que
j’avais et vous comprendrez que j’avais largement la possibilité d’avoir encore
plus de retard). Soit autrement dit en secondes 43 200 -(quarante-trois
mille deux cent secondes, [ces douze heures de retard])- sur quatre million
deux cent trente-trois mille secondes -(ces sept semaines). Si vous divisez ce
dernier chiffre par le précédent, vous obtenez 97,98611…, soit, pour arrondir
environ 98%, ce qui signifie que mon « retard », (cette demi-journée
de retard)- était donc d’environ deux pour cent sur
les sept semaines, soit ces millions de secondes. Vous comprendrez qu’à ce
stade d’une demi-dose de Risperdal
toutes les sept semaines depuis
quasiment deux ans -(comme vous le découvrirez sur mon carnet d’injection),
nous pouvions nous permettre allègrement un retard d’au minimum dix pour cent,
voire de quinze à vingt pour cent -(donc d’environ une semaine)- sans danger[s]
aucun, soit de passer ainsi à la demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines -(mais j’anticipe ici sur ce que
vous lirez d’une façon plus détaillée dans la lettre que celle-ci introduit).
Les
personnes qui n’ont plus accès en eux-mêmes à la conscience, voire qui l’ont
noircie peuvent être[379]
moins sensibles aux effets secondaires de ces neuroleptiques qui sont de toute
manière prescrits à des dosages impossibles[380]
à supporter -(pour tous ceux qui ont accès à la conscience)- tant ils ont été
vérifiés par moi-même martyrisants au-dessus de 25 mg[381]
dont il conviendra donc dès la première injection, dans le cadre d’un sevrage
obligatoire[382], de
baisser la fois suivante à la moitié de ce dosage maximum et ainsi de suite de
moitié en moitié pour arriver enfin, à la fin de ce sevrage, à la dose aux
environ[s] de 1 mg -(qui n’est que seulement àpremièrevues petite, alors que si
vous prenez en considération l’échelle atomique, voire celle électronique,
voire celles d’autres particules encore plus petites comme les neutrinos, donc
de plus en plus sérieuses ces autres échelles – ce qui confirme que notre
appréciation des masses / poids / mesures, etc. n’est que relative à ces points
de repère[s]. Aussi en changeant d’échelle cela change notre façon d’apprécier
ces milligrammes qui -(pour nous donner une petite
idée dans le système décimale)- restent donc exprimés en chiffres et à cause de
cela à l’origine de ces dosages relatifs au choix de départ de l’échelle. C’est
la même chose pour toutes les autres mesures que vous soyez une fourmis ou que
comme moi vous mesuriez dans le ciel au moins trois kilomètres de hauteur[383]
visible dans le ciel des époques passées, ce que nous avons démontré
tous les jours dans le ciel, sur la ville de Rome, à partir de 1977, en fait
découverte cette année-là synchrone avec Paris 1967 et Paris 2005 où je me
trouvai aux mêmes moments, cependant que ceux-ci étant en partie virtuels et
ayant eu lieu à ces dates de 1977 et 1967 -(ce qui signifie que j’ai dû
être/passer à chacune de ces dates en chair et en os, successivement, soit que
j’ai eu à rejoindre chacune de ces époques[384]
en chair et en os pour vérifier que j’y étais bel et bien en chair et en os et,
effectivement, sur un autre plan, synchrones entre elles – il est probable que
cela ait à voir avec la vérification que ces époques aient bien réellement
existées[385]).
Aussi
si vous prenez en compte cette taille que nous avons[386]
cela signifie qu’une seringue de Xeplion mesure au moins autour d’une centaine
de mètres de long, ce qui est, à l’aune de ce paramètre qui nous concerne tous,
donc à chaque fois, à injecter une quantité astronomique de ces produits
chimiques des neuroleptiques et cela même si à première vue petite -(cette dose). D’où que cela, en toute objectivité et
exactitude -(donc en vérité), ne soit nullement une » petite dose
«, ce qui est confirmé par la quantité des effets secondaires indésirables
en si grande quantité car ces doses ne sont nullement anodines mais en réalité
énormes à l’aune de cette autre échelle[387]
concernant la taille des êtres humains de cette planète soit vue à l’échelle
« électronique, soit d’encore plus près à l’échelle neutrinale[388])-
et cela parce que les fabricants de ces médicaments se sont bien moqués des
médecins -(les moins intelligents qui sont donc tombés dans le panneau, en
oubliant combien est dans les mesures les plus célestes / justes, grand[389],
énorme un milligramme[390]
de neuroleptique ! Puisque toutes les mesures sont des vérités relatives –
bien que dans des rapports d’exactitude de logique et de cohérences avec chacune
des autres mesures possibles -(il est à cause de cela
possible d’établir des équivalences, voire des tableaux d’équivalence en
prenant en considération qu’autour d’un mètre soixante-quinze, soit ce que je
mesure en hauteur cela correspond en réalité à entre trois mille et dix mille
mètres. Aussi c’est ce qu’on appelle le relatif et on établira deux
correspondances, celle dans laquelle un mètre soixante-quinze est égal à trois
mille mètres et celle où c’est égal à dix mille mètres. On obtiendra ainsi une
idée de l’échelle céleste y compris pour tout ce qui nous concerne, soit une
sorte d’échelle macroscopique. Ce qui vous explique pourquoi une clé USB peut
contenir autant de données. Cette clé n’est pas -[aus]si petite que cela, y
compris simplement vue en macroscopie, soit de -[très]- près – cependant que
ce » très près « à l’échelle microscopique est en réalité assez loin
– d’où le relatif d’une grande partie des vérités – celles-ci dépendent de plus
ou moins nombreux paramètres dont on va tenir compte ou pas – si on en tient
compte la vérité relative se modifie, si on n’en tient pas compte elle change
dans un sens contraire – d’où des sources de conflits entre les uns et les
autres). En ayant mis le premier seuil à 25 mg, en ayant fait le nécessaire pour
que ce soit à première vue[s] crédible -(car ayant à première vues l’apparence
de logique, voire de rationnel ou/et cartésien)- la série des dosages de plus
en plus grands / importants, en disant / prétendant donc
que 25 mg est le premier des dosages par rapport à cette série sur laquelle ils
ont fait fortune[391],
que c’était » peu « -(ce qui apparut
être ainsi le cas[392]
à la lumière des dosages plus importants allant, vous le savez, hélas
infiniment hélas, au-delà de 100 mg ! Soit une quantité
énormissimis…simissime [393]
de ces produit[s] chimique[s]). Ces marchands[394]
de mort vous ont fait entrer -(convaincu)- dans / d’une sorte de vérité
relative -(une échelle)- qui n’est que fort peu de la Vérité objective qui, à
travers moi et l’expérience menée / inspectée s’exprime en vous affirmant d’une
façon absolument certaine, juste, vraie sans un atome d’erreur, que 25 mg de
Risperdal ou de Xeplion, c’est vingt-cinq fois la dose de 1 mg -(ce qui est
déjà beaucoup, voire très important à l’échelle neutrinale, soit de celle des
neutrinos dans laquelle l’univers s’est entre autre[s] formé / constitué / créé
/ etc.), ce qui n’est pas 0,5 mg et encore moins 0,25 mg, voire 0,125 mg, ce
qui est pour toutes les personnes dotées d’une conscience, donc qui sont au
ciel de la raison, des dosages encore très/trop importants, car il y a
évidemment à notre disposition -(en toute logique)- encore la moitié moins et
de cette moitié moins, encore moitié moins et cela théoriquement jusqu’à
l’infini -(voir jusqu’à ce neutrino – ce qui n’est pas l’infini - ce qui prouve
qu’il existe bien un moyen d’arrêter cet infini et qu’il est donc lié au
moment, soit l’avancée du Temps mais aussi à la notion de point, comme à
d’autres paramètres à moins qu’il soit impossible à l’être humain, ce qui est
pensable bien qu’on sache en photo arrêter le temps comme quand le bras -(et le
saphir ou le diamant)- d’un tourne-disque en marche butte sur le microsillon
rayé – cela en théorie pourrait durer pour toujours à moins que les paramètres
liés à l’usure de l’appareil aient à devoir être pris en considération), le
produit en question -(le Xeplion)- étant, dès la dose de 25 mg, à l’origine
d’effets secondaires indésirables vérifiés par mes soins -(en tant que grand
inspecteur)- insupportab[i]lissimissimissimes, ce qui signifie que donner ces
« médicaments » doublement plus fort, soit 50 mg, cela est d’ors et
déjà à ce dosage de 50 mg insupportabilissimis…simissimes sur les divers points
que vous saurez, et à cause de cela très véritablement
criminellissimis…simissime comme ce fut le SPOK/cas à mon sujet quand on m’a
prescrit ces 50 mg de Xeplion sans le bon médicament correcteur, soit pendant
au moins deux ans -(ce qui signifie, vous le savez au moins, 730 jours, soit 17 520
heures[395].
Imaginez un peu ! Vous comprendrez qu’il y avait là des milliers
d’éternités –[donc de chances]- qui auraient permis d’arrêter de me martyriser
ainsi en me sevrant, comme je n’ai pas cessé de
le demander -[sachant pourquoi, comme vous le lirez]- du
Xeplion 50 mg comme nous avions fait à partir de 2013 avec le Risperdal 25 mg),
soit environ 1 051 200 minutes -(un million cinquante et un mille deux
cents minutes)-, soit soixante-trois millions soixante-douze mille secondes
-[j’ai écrit, avant, en toute lettre, 63 072 000 secondes]- durant
lesquelles millions de secondes j’eus à souffrir autant durant chacune des
secondes de chacune de mes activités / œuvres qui furent alors les miennes,
donc malgré le caractère insupportabilissimis…simissime des effets secondaires
indésirables de ce Xeplion, ce que vous trouverez -(ces effets indésirables)-
détaillés à la fin de la lettre attenante -(qui suivra, celle-ci étant en guise
d’introduction)- et pour mieux nous comprendre au sujet de la vérité relative
d’un milligramme, permettez-moi de vous rappeler que même les neutrinos, soit,
parait-il, les plus petites des particules connue[s] de notre temps ont une
masse -(donc agissent, rayonnent), et pour simplifier nous n’en dirons qu’une
des trois masses proposées en confirmation sur Wikipedia à leur sujet -(mais n’ayez crainte si nous ne devions pas
être composés de neutrinos nous le sommes au moins d’atomes de différentes
espèces, mais aussi de neurones et de synapses comme de globules rouges et
globules blancs dans notre système sanguin et à la réflexion faite, je renonce
de vous embarquer dans mon raisonnement, cependant que de l’avoir commencé[396]
concernant la masse des particules qui nous composent quasi infiniment plus
petites que les atomes dont vous connaissez l’existence, en sachant que leur
caractéristique sont d’être petites et de masse[s] faible[s], cependant que ces
mesures sont métriques et/ou exprimées en kilogrammes, ce qui signifie que
quand ces substances chimiques du Xeplion -(ou du Risperdal)- sont injectées
dans le corps d’un patient, elles sont charriées par le sang petit-à-petit
partout dans le corps, même si, à premières-vues, en « faibles »
doses[397] une
fois que ces substances atteignent le cerveau et rencontrent les neurones et
les synapses, il se produit certainement –[comme]- de[s] micro-explosions
-(voire du moins des interactions), voire peut-être – nous l’espérons[398]
des effets ne portant pas à conséquence[s][399]
mais ici ce qui se produit est peut-être catastrophique, voire, au pire,
probablement de même nature que les insupportabilissimiss…imissimes lancements
/ douleurs dont cette dose de Xeplion 50 mg est à l’origine sur les divers
points annoncés en tant qu’effets indésirables, soit dans les autres parties du
corps où elles ont lieu. Je veux dire que ces pointes que j’ai ressenties et
ces douloureusissimis…simissimes acouphènes, mais aussi les
douloureusissimis…simissimes impatiences, comme les maux de pieds et les
quintes de toux, comme les divers problèmes dermatologiques, mais aussi ma vue
qui a soudain un peu baissé -(voire les autres détails de ces effets
indésirables en fin de la missive suivante), sont des points qui nous
permettent d’avoir une idée de ce que ce produit du Xeplion 50 mg pourrait
causer comme effets dans le cerveau –(de mon côté
je rêve d’écrire sans souffrir autant, ce qui sera possible quand nous aurons
arrêté le Xeplion 50 mg, voire le Xeplion 25 mg, voire moins encore pour
pouvoir mieux écrire, ce dont tous nous bénéficierons – comme cela a déjà été
le cas de 2014 à 2017 quand j’étais à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines et petit à petit toutes les sept semaines soit ce qui est
possible cette demi-dose de Xeplion
25 mg toutes les sept semaines en progressivement commençant à demi-dose toute les quatre semaines
puis toutes les cinq semaines et ainsi de suite mais en ayant commencé à dose
de 25 mg de Xeplion toutes les cinq semaines, puis toutes les six semaines,
puis toutes les sept semaines pour arriver enfin à demi-dose de Xeplion 25 mg toutes les quatre semaines puis toutes
les cinq semaines, puis toutes les six semaines, puis toutes les sept semaines
pour arriver à quart de dose toutes les quatre semaines puis toutes les cinq
semaines, puis six semaines, puis sept semaines avant de terminer le sevrage
pour toujours)- en entrant en contact avec les
synapses par les neurones et cela même si l’I. R. M. qu’on m’a contraint comme
dépense[s] à faire m’a-t-on assuré est parfait. Je ne voudrais pas que vous
ayez sur la conscience les souffrances qui sont les miennes depuis que vous
êtes ma psychiatre[400].
Elles sont si démesurées quand elles ont lieu[401]
qu’à coup sûr ceux qui en sont responsables[402] obtiendront, en raison des souffrances dont
ils sont/furent donc à l’origine, les plus malheureusissimis…simissimes,
tragiquissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes et
tristissimis…simissimes et etc. réincarnations pour avoir cru possible faire
souffrir autant une personne de qualité, soit dans mon cas qui plus est :
un éveillé par acquis de conscience, soit un bouddhahs[403].
Je vous aurais prévenu d’avance comme je le fis au docteur Marcel[404]
qui s’entêta à mon sujet dans le mal comme, s’il vous plaît, vous lirez/découvrirez avant que je trouve
ce médicament correcteur de l’Artane 5 mg). Soit deux années d’une vie à chaque
seconde insupportabilissimissimissime au point que je finis par trouver les
moyens de me suicider quand heureusement j’eus l’idée, avant de le faire, dans
des douleurs effroyabilissimissimissimes d’essayer le correcteur Artane 5 mg,
ce qui m’a rendu les effets secondaires indésirables insupportables, ce qui est
mieux qu’insupportabilissimissimissimes, cependant que c’est très réellement à
chaque seconde insupportable, soit le martyr ce qui fait que, comme vous le
voyez, j’ai pris toutes les peines du monde pour vous écrire pour vous demander
d’arrêter de me contraindre de/à prendre ce Xeplion 50 mg -(puisque vous voyez
que j’arrive à écrire du mieux que je peux et que mes phrases sont cohérentes
et logiques, justes et vraies comme j’ai tenu depuis 2013 la promesse de ne
plus intervenir à travers Espace et Temps au-dessus des époques des années
suivantes : celles de 1967 et 1977 synchrones avec toutes celles faisant
suite aux années 2005, ce qui fut la cause des hospitalisations dont je fus
victime à partir de 2007 à 2013), voire dans un premier temps de passer à
Xeplion 25 mg pour effectuer de mois en mois le sevrage que vous avez vu
ci-dessus -(et vous verrez)- je vous conseille de me prodiguer / mettre en
place à mon sujet si vous ne voulez pas, comme moi, tout simplement arrêter le
Xeplion 50 mg du jour au lendemain).
Vous
devez aussi vous rappeler de penser que je ne ferai pas autant d’efforts d’écriture
en me donnant autant de peines /mal si ce dont je vais vous entretenir dans la
lettre suivante n’était pas comme ici vrai en absolu, donc n’en valait pas la
peine de mon point-de-vue d’eanmeailleurs[405]
dans l’Intérêt et le Bien Général[406]
y compris, bien sûr, celui de celle à qui je m’adresse en particulier, ma principale
interlocutrice, (vous, madame la doctoresse B. )- qui, sinon, si elle ne fait
pas ma volonté à mes divers titres officiels ou/et moins que cela, risque pour
elle-même les plus tragiques conséquences que sont les réincarnations post-mortem qu’elle obtiendra pour elle-même
si elle persiste professionnellement dans les erreurs médicales dans lesquelles
je l’ai hélas infiniment hélas trouvée à mon sujet –(mais j’ai compris que
c’était parce qu’elle n’avait pas été informée de la chronologie et de nombreux
points de ce qui m’est advenu depuis 2013. Aussi j’y remédie en espérant qu’à
la lumière de ces faits respectant la chronologie et autres considérations,
vous comprendrez enfin pourquoi j’ai continuellement insisté pour vous voir
reprendre le sevrage de madame la doctoresse Nicole Koechlin et me délivrer de
ces souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes devenues depuis un peu plus
d’un an, grâce au correcteur Artane 5 mg insupportabilissimes, ce qui est
beaucoup trop atroce à endurer et ce à quoi vous pouvez remédier en faisant
très simplement ce que je vous demande / conseille à mes divers titres et
compétences -(y compris dans les degrés de vérité[s] relatives et/ou absolues)-
en vous donnant enfin pour cela tous les paramètres et raisonnements les plus
clairs pour que vous compreniez enfin ce dont vous avez été, probablement
malgré vous -(ce qui sous-entend sans votre consentement en conscience), le
jouet / la victime).
C’est
donc parce qu’il y a mienne une très véritable nécessité, celle de cesser de
souffrir aussi injustement et inutilement que je me suis donné tous ces maux en
espérant que tous mes conseils en plus véritable Médecine que vous trouverez
dans ces pages vous séduiront et trouveront avec vous une future fan / groupie -(de
celles des devenues inconditionnellement miennes car ils/elles – ces fan / ces
groupies ont reconnu que je ne raisonne qu’en vérité, donc d’une façon toute
cohérente, ce qui ne se peut / doit que dans l’Intérêt et pour le Bien Général).
Salutations
très respectueuses,
Laurent-Marie
Granier.
P.
S. : Je n’ai pas fait construire à partir de 1977 tous les ordinateurs qui
existent actuellement[407]
si je n’étais pas au courant de ce qu’une des causes de tous les problèmes
venait de la mémoire[408]
au point d’avoir aussi signalé à ces années-là -(1977 et suivantes)-
que la filière des robots avait de l’avenir. Pour fonctionner pleinement les
robots doivent utiliser leur mémoire probablement reliée aussi aux moteurs de
recherche Internet[409].
D’où, pour l’instant, en l’absence de ceux-ci pour le grand public, la
nécessité de disques durs externes mais aussi de préserver en nous la mémoire
des paramètres essentiels / nécessaires, ce qui contraindra toujours les êtres
humains à négocier par écrit[410].
Ces ordinateurs sont devenus indispensables car ils nous assistent pour
rappeler les paramètres oubliés pourtant reliés à chacun des SPOK / cas
particuliers, etc. . Les omettre c’est aller vers des
problèmes car en ne prenant pas en considération un détail ou un autre[411]
on en devient un imposteur / usurpateur / charlatan en Médecine –(voire, sans
en avoir conscience – ce qui est le pire – assassin car à l’origine de/des
suicides des patients à cause des souffrances causées par les effets
secondaires indésirables de ces « médicaments » comme j’ai
découvert en Grand Inspecteur[412]
trop fortement dosés : dosés d’une façon totalement
disproportionnée, infiniment trop grande / importante, et cela parce qu’on a cru possible créer[413]
artificiellement[414]
des malades en leur prescrivant des neuroleptiques sans songer, dès la
première dose proposée[415],
à les en sevrer / libérer dès que possible car sinon, si on poursuit
dans la fausse croyance qu’il sont pour toujours malades
N.
B. : Suite à la fin du paragraphe suivant ci-dessous :
-(alors
que nous avons démontré depuis ma naissance, en nous utilisant nous-mêmes comme
cobaye de l’expérience, que l’auto-psychanalyse –[dans le cas d’un végétarien
comme moi en Occident]- et l’écriture, voire la -[simple]- psychanalyse -(pour
les autres pas encore végétariens), permet, avec la réalisation d’œuvres d’art
ou un emploi utile à tous car exercé en conscience, à plus ou moins long terme
la guérison de la plupart des maux/troubles psychiques qui ne proviennent la
grande majorité d’entre eux, parmi les autres causes[416]
de ce que la vision du très saint paradis, soit celle d’Ôz, et des synonymes de cette notion de
très saint paradis -(dont évidemment schtroumpf)-
nous a été retirée depuis des millions d’années[417]
et des conséquences qui en ont découlées)-
au lieu de croire qu’ils ont toutes les chances de guérir rapidement[418],
il s’agira de croyances à l’origine de très grandes pertes, voire
immensissimis…simissimes dans l’Intérêt et pour le Bien Général donc, (bien
entendu), y compris le nôtre – le vôtre et le mien - ce qui, vous pouvez
aisément l’imaginer / le comprendre, ne nous convient, bien sûr, nullement ni à
vous ni à … .
[1] -(ce qui rend autrement dit bouddha : un
éveillé par acquis de conscience)
[2] -(la vérité)-
[3] -(voire immense, inouïe)
[4] Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimissimes
Princes Jean-Jacques Rousseau.
[5] -(une sorte de lettre à Dieu, du moins aux êtres
ayant eu accès à la conscience, ce qui revient quasiment au même)-
[6] -(même avec ses Mémoires d’Outre-Tombe et autres écrits dont sa correspondance stricto sensu)-
[7] -(cela demeure une lettre bien que devenu un
livre entier)-
[8] (malgré mes lettres
–[des e.mails dont je vous avais
envoyé copie par l’intermédiaire de François Martineau]- les plus claires que je lui ai adressées)-
[9] -(parce qu’il a fini par comprendre)
[10] -[ce qu’on appelle en langue vulgaire des
impatiences]
[11] –[dont celle-ci est l’introduction]-
[12] –[140 euros]
[13] -[à mesure des avancées de mon auto-psychanalyse
que j’ai poursuivi sous la forme de lettres aux présidents de la République
française et aux papes -(dont le pape émérite)]-
[14] -[au sens évidemment négatif de ce mot qui, dans
d’autres cas en a du positif
-(et c’est peu dire car il s’agit en réalité de sacrilège inconscience, celle
d’ignorant[s] (de personnes ayant trop peu
étudié le résultat des interactions commerciales à l’échelle globale, [donc au
sens négatif de ce mot d’ignorant qui en a du positif dans d’autres occasions],
criminels contre l’humanité, par conséquent en
leurs plus véritables intérêts)]-
[15] -(ce qui a été le cas)-
[16] -(il y a plusieurs millions d’années, à
l’origine de la scission que l’on sait dans l’espèce humaine, soit autrement
vue la vision d’Atlantide ou/et celle d’Ôz,
voire de l’Eden, voire de tous ses autres synonymes, comme peut l’être Arcadie,
ou/et/voire Schtroumpf)-
[17] –[avec ma fiancée de l’époque, S. A. I. S. S. S.
Sérénissimes Princesses Christine … Lang]-
[18] –[où j’étais apparu immensissisimissime dans ce
ciel – au moins trois mille mètres de hauteur, voire pour d’autres dix mille
mètres]-
[19] -(canonique en pareille situation)-
[20] -[la seule solution possible en pareille situation
précise]-
[21] -(qui fonctionnent à partir d’un certain niveau
de conscience, donc au préalable par acquis de conscience),
[22] -(sauf en légitime défense)
[23] -(de toute mon âme – mon père m’ayant interdit
de me battre physiquement, ce à quoi je me suis toujours plié d’autant plus que
peu de temps après j’allais découvrir l’exemplairis…simissime S. A. I. S. S. S.
L. P. Gandhi me confirmant que c’est la seule voie possible une fois devenu
éveillé par acquis de conscience, soit un des bouddhas)-
[24] Ce qui signifie de façon implicite que le droit
à la vie, le droit de vivre a été reconnu puisqu’on reconnaît en plus de ce
droit à la vie, le droit à la/une vie privée. Certes parce que le droit à la
vie a été reconnu, on pourrait alors dire que tous ceux qui tuent -(par
conséquent qui se conduisent en sacrilège du droit de vivre d’un tiers, voire
du droit de vivre des animaux pacifiques et inoffensifs, les API)- méritent la peine de mort puisqu’ils se
comportent à première-vue de manière sacrilège envers la vie d’êtres humains ou
d’animaux ayant le droit de vivre. Cependant ce qui advient en général est que
celui qui a tué appartient aux laipis -(acronyme
de -[strictement]- laïc,
[uniquement]- athée, [souvent]- inconscient, profane, ignorant, et
[sans même s’en rendre compte]- sacrilège,
au sens négatif de ces six mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK – situations précises, occasions, cas particulier -[car ici c de cas
et p de particulier = K de SPOK
–(autre acronyme, mais faisant exception en raison de c + p = k)]), soit à ceux qui n’ont plus accès que de façon
très/trop limitée à la conscience, soit ce qui nous contraint chrétiennement
–(voire bouddhiquement)- , soit charitablement à ne pas nous venger -(d’autant
plus que nous appartiendrions à tous ceux devenus des éveillés par acquis de
conscience, donc bouddhas)- car, en fait, celui qui a mal agi n’appartient plus
au monde des êtres les plus conscients, aussi d’une certaine manière -(sur un
certains plan)- parce qu’il n’est plus doté de conscience, voire si peu, il
bénéficie -[comme]- de circonstances atténuantes puisqu’il ne sait plus
pourquoi il convient de s’interdire de tuer ou/et de mal agir – c’est ce qui
fonde des rappels aux ordres, voire qui justifie pour ceux qui sont dotés d’une
conscience, la légitime défense.
Il n’y a que peu de personnes qui naissent totalement conscientes –(mais heureusement cela se produit, cependant que celle-ci,
la conscience, est liée à l’apprentissage du vocabulaire qui enseigne plus ou
moins à heureusement penser – ce qui advient dès la prime enfance, voire à
l’âge de raison), voire qui continuent à être
conscientes après leur naissance. C’est un état, celui de la conscience, qu’on
atteint au bout d’un parcours parfois difficile –(ce que j’ai eu
à démontrer de ma naissance à 1967, puis de 1967 à 1977 et à partir de 1977 à
2005 -[puis ensuite jusqu’à nos jours]- et c’est ce qui m’a permis, par
exemple, de me comporter en toute cohérence avec la situation que j’allais
découvrir une fois devenu Eveillé à partir de 2005, année que je découvrais
synchrone avec les années 1967 –[et suivantes]- et 1977 -[et suivantes], dans
l’exercice de mes fonctions d’empereur à partir de 1995 devenu en 2005
bouddhahs –[éveillé par acquis de conscience]- et cela parce qu’enfin les mots
pensés ou/et employés à l’aune de la métamorphose qui s’était imposée à moi,
disaient la vérité –[à tel point qu’on
m’entendait parlé à partir de 1967 et une autre fois à partir de 1977 alors que
ce que je disais ne s’était produit qu’à partir de 2005 – tant ma pensée est
vraie / juste / honnête / etc.]- et
n’appartiennent plus au mensonge. Une fois conscient on a enfin accès à la plus
véritable connaissance). Mais celui qui continue à se comporter en menteur
croit possible des manières d’être sacrilèges ou/et scandaleuses -(il est
insouciant). Aussi il croit possible tuer -(des animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes –
un A.P.I.Q.H.)- malgré l’existence des solutions
alternatives élégantes alimentaires
-(S. A. É. A.)- alors que j’ai pu démontrer et vérifier sur moi-même que la
véritable repentance existe, soit ce qui est préférable espérer d’un criminel
plutôt que recourir à la peine de mort et cela pour redonner une chance au
laipis -(au profane)- qui en constatant qu’il ne sera pas puni par la mort du
crime dont il est l’auteur entre dans les probabilités de modifier son jugement
plus ou moins erroné sur la Justice, voire à l’encontre des serviteurs de
l’Etat chargés, entre autre, de le juger. C’est parce qu’on doit partir du
principe que la métamorphose est/sera toujours possible -(l’objectif c’est de
faire advenir dans le malfaiteur la conscience, donc l’accès à la vérité)- car le
processus de la conversion existe mais pour cela, les représentants de l’Etat,
doivent s’interdire d’administrer la peine de mort -(depuis Jésus
Christ «» l’œil pour œil, dent pour dent «» n’est plus la solution -(la
loi du talion n’est, dans certaines régions, grâce à Lui plus en vigueur)- puisque l’accès au pardon est préférable
quand / dès que le criminel se repentira vraiment et à cette fin il convient de
créer les conditions pour que ce pardon soit possible)- de manière, le jour
venu, de permettre au criminel de regretter ses actes malheureux. Et puis très
logiquement aussi pour que les habitants d’une région dans laquelle le peine de
mort est interdite permettent de faire comprendre aux criminels virtuels
-(potentiels)- qu’ils n’ont pas le droit de recourir à leur tour au meurtre
-(puisque l’Etat, en matière de Justice, se l’interdit), donc de devenir
criminels puisque les responsables de l’Etat et la Justice s’interdisent -(de
manière exemplaire)- de recourir à cette peine de mort. De toute évidence cela
signifie dans chacun des Etats qui interdit la peine de mort qu’il applique la
recommandation biblique de « tu ne tueras point »
-(qui avant Jésus Christ est d’une certaine façon en contradiction avec la loi
du talion, elle aussi dans la Bible –[mais peut-être d’une partie de celle-ci
écrite avant ce commandement]. C’est comme si, grâce au Christ, il y avait eu,
avec les Évangiles, une sorte de mise à jour de la Bible)- , ce qui est fondamental et cela, en réalité, parce
qu’il y a un gouffre entre d’un côté tous ceux qui ont accès à la lumière de la
conscience, donc à la vérité et tous ceux qui sont -[encore]- dans les ténèbres
-(spirituelles), par conséquent qui aspireraient, en réparant -(expiant)- à
sortir de la noirceur de leurs péchés ou/et des actes malheureux autrefois
passibles de la peine de mort -(ce qui était en contradiction avec
l’interdiction de tuer – d’où la situation longtemps paradoxale de la Justice,
ce qui explique pourquoi il y a, en France séparation de l’Eglise et de l’Etat
depuis au moins un siècle, puisqu’en toute cohérence avec la religion celle-ci
était censée avoir interdit la peine de mort -[ne pas / jamais y recourir]-
alors que l’état laïc se l’autorisait -[du moins jusqu’à ce qu’on abolisse
cette peine de mort]- donc conformément à ce que la religion cohérente avec
elle-même donne à induire sur ce sujet de sa position, voire serait censée
prescrire / conseiller / recommander en toute logique avec son « tu ne
tueras pas », si c’était à elle de faire justice). C’est qu’hélas la
plupart des laipis – (ce mot employé dans le
sens négatif alors qu’il a du positif dans d’autres SPOK)- n’ont pas
encore conscience des conséquences désastreuses de leurs façons de procéder.
Aussi face à une personne qui ne comprend pas des principes ou/et des
commandements fondateurs que d’autres respectent et/ou suivent, on doit
renoncer à se comporter violemment car cela n’arrange rien, d’autant plus que
cette personne criminelle si bien traitée pourrait un jour ou l’autre enfin, à
son tour, accéder à la conscience, si elle décide enfin de mieux se comporter
et cela peut advenir à tout moment, ce désir de changement et ces repentirs
véritables : pour toujours -(ce qui signifie qu’ils seront à chaque
instant et cela même longtemps après)- se désir de réparer / expier. Infliger
la peine de mort à un laipis n’est jamais la solution puisque depuis longtemps
-(probablement depuis un moment précis dans son passé)- il ignore complètement
ce que cela est d’appartenir aux gens les plus conscients –(il ne peut pas
comprendre pourquoi il s’est mal comporté, aussi la peine de mort ne sert à
rien car ce qui est l’objectif de l’Etat, une de ses missions principales,
c’est que celui qui est malhonnête cesse de l’être, le reconnaisse pour pouvoir
enfin commencer à changer). Certes le criminel voit de loin avec des yeux qui
regardent à première vue ces personnes conscientes
-(comme s’il s’agissait d’autres lui-même, alors que ce n’est pas le cas)- mais sa condition de laipis ne lui permet pas encore
d’accéder à la Vérité puisqu’à partir d’un certain moment dans sa vie, il s’est
mis à penser mensongèrement, par exemple en s’autorisant à tuer un autre être
humain malgré l’existence du droit -[sacré]- à la vie -(qui
plus est privée ! Mais mot à mot l’expression » vie privée
« pourrait signifier » une vie privée sans vie -[publique] «. »
Privée « vient du verbe » priver « ce qui peut signifier
retirer / ôter / empêcher / refuser -(faire club, à part)- or qu’est-ce que la
vie ôtée, retirée, empêchée, refusée : privée, ce n’est pas la vie, la vie
privée, ce qui signifie que seule la vie publique serait en définitive juste,
la bonne. Cependant qu’en reconnaissant le droit à la vie privée on reconnaît
le droit à ce qui n’est pas la vie -(on la limite)- puisqu’en employant ce mot
de privée cela signifie que tous les publics –(sans exception)- n’ont pas accès
à ces moments -[privés]- en vertu de cette limitation qui pourrait être
arbitraire, donc avec de nombreuses probabilités d’être injuste). Quand donc que le changement aura lieu -(comme dans La Belle et la bête de S. A. I. S. S. S.
L. P. Jean Cocteau)- et de la bête hideuse qu’il est devenu parviendra-t-il à
changer / se métamorphoser en un véritable prince par les plus véritables
repentir -(mieux vaut tard que jamais) et réparation? C’est que celui qui est
devenu criminel a changé : son cerveau est entrain de devenir celui de la
réincarnation animale qu’il aura après sa mort. Pour redevenir être humain -(ecce homo – L’Homme de Vitruve)- il doit impérativement modifier sa façon de voir
pour évoluer et obtenir une meilleure réincarnation que celle qui l’a rendu
criminel. Lorsque les serviteurs d’un État applique la peine de mort, ils ne
donnent plus la possibilité à la personne à leurs yeux fautive de changer,
voire de finir par reconnaître ses torts, par conséquent d’expier / réparer.
Une fois morte la personne qui a été jugée coupable obtiendra cette
réincarnation de/en chien ou de/en chat, ou pire : de/en renard, de/en
tigre, de/en crocodile, de/en serpent ou de/en requin, voire pire encore :
une de celles d’un tyrannosaure dont on sait d’avance à notre époque qu’il
n’est resté que bien peu. La condamner à devenir l’un de ces animaux
-(différents en raison de la plus ou moins grande gravité de ses péchés,
sacrilèges, fautes, etc. )- est inhumain -(au sens du meilleur dont l’être
humain est capable : c’est ne pas montrer qu’on comprend en conscience
l’horreur de la situation dans laquelle se trouve un meurtrier coupable)-
tandis que commuer cette peine de mort en une peine de prison, voire à domicile
cette prison -(avec obligation d’un bracelet électronique), offre la
possibilité à celui qui est devenu criminel de changer, grâce aux nombres de
ses bonnes actions, voire, par exemple, grâce à des études qu’il reprendrait,
de nouveau possibles pour devenir un.e autre homme / femme lorsque le temps de
sa peine sera achevé : cette personne sortira à la fin de sa peine -(ce
qui lui aura peut-être permis durant ces temps de retrouver sa conscience – ce
que j’ai démontré et vérifié sur moi-même fait alors complètement
changer : on comprend alors ce qui était impossible à comprendre, comme
par exemple la notion de foi, de Dieu, etc.).
[25] Je relis le 15 Décembre 2020.
[26] – acronyme qui s’écrit toujours en minuscule
pour -[strictement]- laïque,
-[uniquement]- athée, ignorant, profane, inconscient et
-[sans même parfois s’en apercevoir]- sacrilège
–
[27] car
en conscience ce n’est jamais la solution idéale, mais aussi parce qu’il
y a une très véritable justice en ce monde car si ces personnes antagonistes
continuent à mal se conduire, elles obtiendront de toute façon à leur mort une
réincarnation en proportion de leurs péchés, soit une de celles -(les plus tragiquissimis…simissimes,
tristissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes,
et etc.)- animales, bien que pour l’atténuer un
peu de toutes ces horreurs certains d’entre ces espèces animales, grâce à leur
parèdre, aient une idée différente de l’amour)-
[28] (S. A. I. S. S. S. Sérénissimes Princesses
Michèle Finck)-
[29] -(en raison de ce que j’étais coincé et
handicapé par la situation exceptionnelle dans laquelle je suis d’empereur
devenu bouddhahs, soit éveillé par acquis de conscience, une première dans l’histoire de l’aventure humaine [H.A.H.])-
[30] Dans mon cas bouddha s’écrit ainsi :
bouddhahs -(bien que cela demeure le même sens : éveillé par acquis de conscience)- car je suis aussi empereur
et que c’est la première fois dans l’histoire
de
l’aventure humaine -(H.A.H.) qu’un empereur
devient un éveillé par acquis de conscience -(É.A.C.).
[31] -(puisque je les dépense dans l’Intérêt et pour
le Bien Général en raison de mes diverses activités qui nécessitent des
investissements même si, à premières vue[s], petits soient-ils)-
[32] [à cette heure-ci du Quinze Novembre 2020 où je
relis et corrige cette introduction à votre lettre]
[33] -(caméscope d’amateur[s], cartes mémoire à, si
possible, acheter périodiquement etc. -[puisque pour l’instant, le 15 Novembre
2020, en l’absence de producteur[s], je ne peux me permettre financièrement
d’accéder aux caméras des « professionnels »])-
[34] -[huile ou/et acrylique, ou/et aquarelle, etc.]-
[35] [je vous en ai un peu parlé à l’un de nos
rendez-vous –(pour qu’on ne me prenne pas pour un fou si on venait chez moi à
l’improviste sans prévenir –[ce qui a
malheureusement été le cas en 2017 alors que j’effectuai de nouveaux tests au
sujet de cette trouvaille, en essayant de mettre en œuvre une fois encore cette
découverte d’Intérêt Général –(une solution
alternative élégante – [SAÉ])- et en en enregistrant en photo et/ou vidéo
quelques résultats qui, renouvelés, auront certainement de l’avenir, du moins
de l’intérêt certain]- car il s’agit, je vous
l’ai dit, d’une découverte que j’ai faite par hasard dans mes water)-
[36] plusieurs jours après avoir uriné de deux à cinq
fois –[c’est selon le volume de l’eau au fond de cette cuvette],
[37] –[car la beauté véritable soigne toujours
beaucoup de maux]-
[38] –[ce qui plus ou moins à la longue permet
d’accéder à la conscience -(c’est-à-dire à la bouddhéité), par exemple dans le
cas où on l’aurait perdue, même seulement en partie]-
[39] -[j’insiste et souligne : végétarien et
buveur de thé, mais aussi une fois devenu un éveillé par acquis de conscience,
ce qui peut advenir dès la naissance, voire à l’âge de raison -(se situant
selon les cas de l’âge de quatre ans, [pour les précoces comme ce fut mon cas]-
et/ou sinon vers l’âge de sept ans)].
[40] -[en urinant dans l’eau, au fond de ces water]
[41] -(j’ai, entre le moment où je vous ai écrit ce passage
et le moment où je corrige, pu consacrer du temps à réaliser cette expérience
non pas dans les dimensions en centimètres du trou au/du fond des waters
–[l’origine de l’idée]- mais dans une bassine molle –[pour plaire à S. A. I. S.
S. S. L . P. Salvador Dali]- que j’ai achetée spécialement à cette fin et
disposée dans la cuisine -(ce qui a au moins triplé la quantité / la surface
d’eau). Cela a donné un résultat assez satisfaisant qui laisse augurer –[par
extrapolation]- de résultats encore meilleurs dans de plus amples récipients
pour lesquels il conviendra d’adapter la quantité d’urine -(cinq fois dans un
waters -[puis attendre]- donnent de dix à quinze fois
-[peut-être moins – (cela dépend de la quantité urinée) – peut-être plus]- dans cette bassine molle, à un tiers remplie d’eau et
ici aussi attendre jusqu’à ce que se forment d’elles-mêmes ces merveilles à la
surface -[qu’on peut éclairer de tout/s côté[s] puis ar[t]chiver en photos
et/ou en vidéo et/ou cinéma]). J’ai à cette occasion pris des photos et tourné
au moins une ou deux séquences vidéo qui atteste/ront de la possibilité, sur
cette base annonciatrice, de renouveler l’expérience dans/avec de plus grands
formats pour obtenir d’autres merveilles de ce genre et donc, par la même
occasion, attester de ce que l’être humain végétarien et buveur de thé est, en
urinant simplement dans de l’eau qui sera environ une dizaine de jours après
éclairée –[en attendant le temps nécessaire que
le mélange prenne, en l’ayant ainsi fait reposer – (cela peut prendre plusieurs
jours en plus, voire sinon moins de temps)]- à
l’origine de formes qui, approchées macroscopiquement, [soit de près], sont de
très réelles merveilles, ce qui est donc aussi une preuve que cet être humain,
s’il s’en rendait compte –[prenait conscience de cela], ne peut d’aucune façon
se comporter en salaud –[il y a incompatibilité entre ces merveilles – de véritables petites œuvres d’art miniatures
parfois admirablement colorées naturellement – et
une réalité où cet être humain se comporterait en malhonnête – l’homme ou/et la
femme végétarienne et buveurs / buveuse de thé, conscients de la réalisation /
production naturelle de ces plus qu’admirables miniatures qui flottent à la
surface de l’eau ne pouvaient se comporter méchemment puisque le processus
d’uriner peut être, [en rassemblant comme nous
venons de le remarquer les conditions pour cela]- à
l’origine de tant de fééries et de merveilles)-
[42] –[ce qui n’empêche pas de l’être -(buveur de
café)- à d’autres heures]
[43] –[en passant par d’autres étapes – ce que vous
comprendrez mieux en lisant l’ensemble de mes œuvres et tout particulièrement
mes lettres aux
présidents de la République et aux
papes François et Benoît XVI sur mon site Internet à la
rubrique » lettres
envoyées «]
[44] -[ayant eu lieu en raison d’éveil, soit d’acquis
de conscience]
[45] [en
attendant qu’on mette en œuvre à l’échelle planétaire mon programme de
Restitution de la Vision du Très Saint Paradis]
[46] -(à cette date-ci du 15 Décembre 2020, [car nous
espérons dans des changements enfin radicaux, du moins plus intelligents])-
[47] –[au lieu du contraire et cela en raison des
cadences imposées pour gagner des revenus suffisemment pour payer les dépenses
auxquelles chacun d’entre nous se doit]-
[48] , (grâce à mes transmissions de 1977 en
direction de Rome depuis Paris)
[49] -(au sens négatif de ces six mots qui dans
d’autres occasions en ont du bon)-
[50] -(à une époque dans laquelle il n’y avait pas
même de langues et encore moins d’écriture –[par conséquent pas même la
possibilité de négocier autrement qu’en se battant en primitifs])
[51] -(à l’occasion de mon apparition d’avance dans
le ciel, à partir de 2005 synchrone avec 1967 et 1977)-
[52] -(père et fils)- [ce dont je me suis souvenu
petit à petit seulement ces derniers jours pour la première fois depuis 2005 et
1977, ce qui signifie que ma mémoire se rétabli lentement après les vingt-sept
année d’amnésie de 1977 à 2005, puisqu’il y a des faits fondamentaux -(comme ma
proposition de la solution alternative élégante des deux promises ou/et femmes
légitimes que j’avais proposée en 1977 à ma fiancée actuelle Michèle Finck, ce
dont elle n’avait pas voulu, ce qui a contraint à ma séparation sacrificielle
d’avec Christine Lang et la perte des enfants que j’attendais d’elle)- qui ne
me sont revenus à la mémoire qu’en 2017, malgré l’auto-psychanalyse quotidienne -(environ quinze heures par jour, ce qui m’a
longtemps fait soliloquer chez moi au point d’avoir été entendu dans le ciel
des années 1977 et années suivantes)- que j’ai
commencée publiquement à partir de 2005, quand je suis redevenu bouddhahs)-
[53] -(car c’est ce qui était le plus laid qui m’a
été donné à/de voir en toute ma vie [que cette tête de « femme »
d’une hideur incommensurable])-
[54] -(au sens négatif de ces mots qui peuvent en
avoir du positif dans d’autres SPOK/cas particuliers)-
[55] -(acronyme de situation[s] précise[s],
occasion[s], cas particulier[s] -[car
ici c de cas et p de particuliers = K de SPOK])
[56] – au sens négatif de ce mot qui en a du positif
dans d’autres SPOK -
[57] -[comme l’euro et les autres monnaies dont l’Ôz]-
[58] Ou » tout compte fait «.
[59] -(comme votre prédécesseure / prédécessrice madame A. ou/et le docteur
Jean-Luc Marcel)-
[60] –(d’où les / ces écrits que je crois vous avez
un peu parcourus quand je suis devenu votre patient – Madame la doctoresse A. ,
à son départ, vous les ayant transmis rassemblés)-
[61] -(alors que je souffre autant de ces effets
secondaires indésirables dont – comme un fait exprès - ce qu’on appelle
les » impatiences «)-
[62] -(en raison de ces quantité[s] de souffrances
les plus douloureuses qui soient de/à vivre)-
[63] -(sauf celui des acouphènes / bourdonnement dans
les oreilles qui [s]ont, en très grande partie, disparu[s])-
[64] -(acronyme exceptionnel de/pour situation[s] précise[s], occasion[s],
cas particulier[s], [car ici c de cas
et p de particulier = K de SPOK])-
[65] –[car elle venait du ciel –(à partir de 2005),
soit ce que nous avons découvert et prouvé être du point-de-vue de 1967 et 1977
le futur]-
[66] –[à l’âge de quatre ans en 1967, mais renouvelé
aussi à l’âge de mes quatorze ans]-
[67] –[elle avait treize ans]
[68] –[l’apparition]-
[69] –[dont on savait que je serai l’empereur suivant
mon père S. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Luc Granier … , bien que bouddhahs
synchrone avec les empereur-bouddhahs –(soit l’eanmeailleurs)- qu’à partir de
2005 je serais]-
[70] –[soit vu autrement notre ascendance qui
s’annonçait ainsi –(à travers cet anneau immatériel immaculé, feu vert pour
notre mariage)]
[71] -(ce qu’alors, dès 1973, mais surtout à partir
du moment où je fus fiancé avec Christine, soit en 1977, je ne cessai de dire /
proposer avec Elle)-
[72] -(et c’est peu dire : la Shoa, soit le
paroxysmiquissimis…simissime crime contre l’humanité – et c’est,
malheureusement, encore une fois peu dire, pas assez dire tant ce fut plus
qu’abjectissimis…simissime – hélas, infiniment hélas encore trop peu dire
l’indicible)-
[73] [c’est bien logique et cohérent avec ce qui
s’était passé en 1944-45 –(soit
le Débarquement des Alliés pour fermer / mettre un terme à jamais les/aux camps
de concentration, donc arrêter le massacre des barbares –[criminels contre
l’humanité que sont à l’époque les nazis], et –[stopper]- la.es séparation.s
contrainte.s et forcée.s manu militari
des couples mariés de façon sacrée –[devant Dieu et/ou ses synonymes /
semblables / équivalents])],
[74] -(ayant vécu cette dernière guerre), à l’aune de la teneur de mes
avertissements -(communications / transmissions -[salvatrices de cet »
ou bien « -(au sens Rénaisien illustré dans les films Smoking / No smoking)- de la Création])- depuis
l’année 2005, donc de celui que je serai dans le futur -(dans le Ciel à partir
de 2005 synchrone avec 1967 et 1977)
[75] -[comme une sorte de test pour déterminer si la
leçon de cette Seconde Guerre Mondiale avait porté]-
[76] -(donc refusent -[ces adultes / -(soi-disant)-
responsables]- en conscience de nous l’imposer)–
[77] –(soit Christine et Michèle)
[78] -[alors virtuelle]-
[79] -[que moi – (cela s’entendait)]
[80] -(un éveillé en 1977 par acquis de conscience,
devenu Horus, car le fils de l’empereur Jean-Luc Granier et de ma mère
Itala-France Granier-Joussin etc.)-
[81] -(et s’étant réservé depuis avant même sa
naissance à sa femme / promise, [ce qui est le cas de tous les bébés et ou
vrais enfants et cela même s’il existe des fœtus masculins qu’on voit, dans les
échographies, avoir des érections. Ils sont au stade où ils en sont de leur
développement intra-utérin en train de vivre d’avance une partie de leur vie
amoureuse future – voire leur mariage - comme j’ai eu à le vérifier dans les
années 2000 sur d’autres points : il existe effectivement un texte
manuscrit de ma personne -(dont je suis l’auteur)- durant lesquelles écritures
j’ai pu vérifier que la situation dans laquelle j’étais avait été vécue par moi
encore à l’intérieur du ventre de ma mère, ce dont je me souvins très
exactement à cause du SPOK précis dans lequel j’étais et qui avait été possible
en raison des efforts intellectuels incommensurables je faisais pour peindre un
des tableaux-partitions –(de la série pour le piano de ma fiancée Michèle)- que
j’avais peint / décoré dans les années 90])
[82] -[moi et elle – donc pluriel » ce aient «]-
[83] –[nous avons pu le vérifier en l’entendant dans
le ciel quand nous y étions, l’année en question]-
[84] –[il va de soi si on renonçait au sacrifice de
séparation]-
[85] -(d’un autre » ou bien « de la
Création, au sens rénaisien du terme / des termes » ou bien « qui a
été démontré admirablement dans les deux films Smoking ; No smoking
par Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les
Lordissimis…simissimes Princes Alain Resnais dans sces -[ses + ces = sces]-
illustrations de la loi des conséquences)-
[86] -(écrites de 2013 à 2017 pendant mon sevrage,
les premières versions à ce jour le 16 Décembre 2020 non suffisemment
corrigées, relues, etc. donc publiées sur mon site en urgence à l’état de quasi brouillon)
[87] -(depuis la salle des machines – voire par un
autre système qu’on m’a jusqu’à ce jour du 16 Décembre 2020 caché – présenté à
ma personne à l’intérieur de ma tête par mon père empereur)-
[88] -(pour être Dieu il faut au moins expliquer les
choses les plus importantes à retenir en Sciences Economiques et savoir
expliquer aux responsables des pays producteurs de pétrole -(l’OPEP)- ce que
j’ai finalement fait dans chacune de mes lettres
aux Présidents de la République française et aux
Papes, et que je viens de faire dans
ma lettre à Jean Gatty, économiste, soit ce qui permet, en baissant
le prix du baril de pétrole au maximum à un centime de dollar le baril, voire
mieux à 0,01 centime de dollar le baril, de tout rétablir financièrement et
faire disparaître dans l’heure qui suit toutes les formes de pauvretés et
misères matérielles du genre humain partout, ce que ce « Dieu », soit
un « dieu », ne s’est pas donné la peine de faire au point de nous
faire comprendre que c’est lui qui avait intérêt à ce que certains habitants de
cette planète vivent dans l’indigence et/ou la pauvreté et/ou la misère
matérielle -(probablement pour se faire passer aux yeux de ces misérables pour
Dieu quand il se mis à les aider) – une façon de faire méprisante / sacrilège
du meilleur du genre humain)-
[89] -(à ce titre de Dieu)-
[90] -(ce qui ne fut jamais le cas pour moi d’autant
que je n’ai, en conscience, rien à me reprocher, mais au contraire uniquement
motifs à me louer de moi-même comme d’autres personnes admirables)-
[91] -(ce qui devrait être interdit car irrespectueux -[de ce qu’induit le droit à la vie ayant été
reconnu]- de la fragilité des êtres humains et
des enfants. Cela m’était arrivé durant l’année 1967/1968 quand j’arrivai -(avec ma famille : ma mère, mon père et mes
frères et ma sœur)- à Rome - d’autant plus que
sans prévenir : donc une forme de torture – alors que celle-ci a été
abolie, comme la peine de mort, [du moins en Europe] – donc visiblement les auteurs de tels
agissements -[ouvrant le sol pour faire tomber / basculer la victime dans une
dimension noire et sombre], n’ayant visiblement pas fait de mise-à-jour pour
s’interdire, en toute[s] cohérence[s], ces manières de faire et respecter des
lois enfin plus justes car plus humaines -(donc au sens positif de ce mot), à
l’inverse se croyant donc au-dessus des lois les plus justes témoignant des
progrès du genre humain. En s’autorisant ces manœuvres sans avoir fait de
mise-à-jour, ils continuent à croire pouvoir se comporter en criminels contre
l’humanité parce qu’ils sont, (au lieu de préférablement changer), demeurés
incohérents et sacrilège[s] avec les / des lois les plus justes qu’ils ne
respectent pas)-
[92] -(comme s’il faisait partie d’une sorte de forme
d’accolade ({) se terminant derrière lui très loin de sa tête qui vient vers vous vers
le fond de l’abîme où vous vous trouvez –[ce serpent venant de plus haut]-
comme suspendu, mais vous ne parvenez pas à distinguer la fin du corps de ce
gigantesque serpent, sa queue),
[93] -(sans doute une réincarnation d’un prince qui
aurait mal tourné !)-
[94] -(comme ce fut le SPOK à chaque fois avec moi)-
[95] -(car une trappe s’est ouverte au sol,
directement depuis les cuisines de l’un de ses châteaux)
[96] -(soit du premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine –[H. A.
H.]- à être devenu un éveillé par acquis de conscience, soit les bouddhahs
-[satana(na!)nas])
[97] -(pour créer depuis/à partir de 1977 l’époque
actuelle)-
[98] –[aussi on dira
que celles-ci -(les vacances)- malgré les souffrances
insupportab[i]lissimis…simissimes et/ou douloureusissimis…simissimes l’ont été, forcées]-
[99] -[régulièrement, (depuis mars-avril 2005 à mon
déménagement fin 2012 – [pour mon adresse actuelle rue de l’Ecole
Polytechnique])]-
[100] InterRégional au sens d’Internationale ;
[101] -(soit de l’empire dont l’empereur est bouddhahs)-
[103] -(avec mes camarades du Lycée Chateaubriand, les
habitants de Rome dont les responsables de l’Italie, mes parents, les
dirigeants et le personnel du Vatican et Monsieur François Mitterrand accouru
en 1977 à Rome pour voir mon père et moi-même qui avait annoncé en synchrone
avec moi en 1967 et 1977, dans le Ciel -(la réalité qui serait vingt-sept ans
plus tard, si on s’entêtait contre le bon sens (comme en tenant compte des
leçons de l’Histoire à nous séparer Christine et moi qui nous aimions au point
d’avoir fait apparaître l’anneau immaculé immatériel à mon doigt annulaire)-
qu’il serait le prochain président)-
[104] En fidèle secrétaire de moi-même dans le futur.
[105] -(jusqu’en 2016 – donc de 2013 à 2016 - où j’ai
appris – je raconte comment ailleurs, que j’étais toujours au-dessus de Rome
autour de 1977 et de Paris autour de 1967)-
[106] -(dans le ciel autant immense que je l’avais été
de 2005 à 2013 – au moins trois mille mètres, voire peut-être dix mille mètres
- au-dessus de Rome 1977 à 1986)
[107] En espérant qu’ils feraient le nécessaire pour
que je poursuive mes communications en expropriant l’immeuble de la rue du Val
de Grâce à cette fin de me permettre de continuer ces communications /
transmissions à travers Espace et Temps mais cette fois-ci de façon plus officielle,
en raison de ma fonction d’eanmeailleurs par acquis de conscience, soit de
premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine (H. A. H. )- à être
devenu un éveillé par acquis de conscience -(soit un bouddhahs)- ce qui est
être libre de faire les meilleurs choix, de prendre des décisions en
responsable pour le plus grand intérêt du Bien Général (ce qui a donc été le
SPOK de 2005 à 2013.
[108] -(il restait encore de nombreux puits de pétrole
de plus petites dimensions à dicter, géolocaliser comme un très grand nombre de
données à transmettre tout azimuts -(dans toutes les autres catégories /
directions de responsabilités gouvernementales -[ou du secteur privé]-
possibles et cela pour chacune des régions de notre planète et leurs
responsables – ce que j’avais fait quotidiennement à partir de 2005 jusqu’à
2013)-
[109] -(soit ces Avertissements et la Dictée
Pharaonique)-
[110] En interrompant mes communications à travers
Espace et Temps à partir de 2013 je n’ai pas pu transmettre / prévenir /
avertir du coronavirus, ce que j’aurais pu si on m’avait laissé poursuivre ces
communications ! Aussi il n’y aurait pas eu pénurie de masque, etc.
[111] -(en tout cas notre couple sacrément béni -[par
mes soins]- du Ciel – [sans avoir été autant qu’il le fut, jamais je n’aurais
pu sauver à partir de 1967 et 1977 autant que ce le fut tous les jours notre
vieille planète à partir / depuis les années 2005 et suivantes])
[112] Je l’ai dit de trois mille mètres à dix mille
mètres de hauteur dans le Ciel de Rome à partir de 1977.
[113] -( : ils abandonnent tant la tâche est dans
certains SPOK -[situations précises, …]- surhumaine à cause de l’ignorance -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans
d’autres circonstances/SPOK)- dans laquelle se
complaisent ces personnes)-
[114] –[ces peines, ces difficultés pour écrire de
façon claire ce à quoi j’ai été soudainement confronté, en tant qu’empereur, à
partir de 2005, à l’occasion de mon nouvel accès à la bouddhéïté, soit à
l’Eveil par acquis de conscience]-
[115] -(se situant entre l’âge de quatre ans et l’âge
de sept ans, voire plutôt ou plus tard dans certains cas/SPOK –[dans certains
contextes familiaux, voire au contraire jamais dans d’autres], voire dès avant
la naissance dans le/les dernier.s mois de grossesse de la maman)-
[116] -(j’ai donc fait partie à ce sujet des
précoces)-
[117] -(de 1967 à 1977 concernant la nécessité vitale
oui ou non d’appartenir, dès la prime enfance, à l’une des religions
officielles intellectuellement admissibles
–[même si – j’ai vérifié sur moi-même en toute transparence avec tous - pour la
Catholique – sur bien des points mystérieux difficile à croire quand on
appartient aux contextes familiaux par tradition des laipis]- pour continuer à être conscient, voire retrouver cette
conscience si on devait l’avoir perdue, voire faciliter l’accès à cette
conscience)-
[118] -(soit ce qui en fait achevait mes Secondes
Démonstrations – les premières ayant eu lieu de
ma naissance à 1967 - à ce sujet en m’étant
utilisé en cobaye),
[119] -(où j’achevai, entre autres, les Troisièmes
Démonstrations à ce sujet en raison de ce que je n’ai pas fait, depuis ma
rencontre avec ma fiancée Michèle Finck, semblant de me préparer à notre
mariage dans son aspect sacré et non administratif qui est une chose simple /
facile / évidente)-
[120] -(en ce qui me concerne personnellement en tant
que devenu bouddhahs, soit éveillé par acquis de conscience)-
[121] – (j’ai, à ce sujet, pu, en 2015, me filmer en
vidéo dans le Ciel au-dessus de la Mairie de Paris. Dans ce plan vidéo, je suis
au premier plan en chair et en os, tournant un selfie en vidéo et au-dessus de moi, derrière moi, dans le ciel
bleu, constitué de nuages, ma tête immense –[au
moins située à trois mille mètres d’altitude, si ce n’est en réalité beaucoup
plus, vers dix mille mètres !]- comme cela
s’était passé à Rome à partir de 1977)-
[122] -(celui de la rue de l’’Ecole Polytechnique dans
lequel je suis en permanence depuis que j’ai retrouvé ma conscience en 2005,
soit celle d’un -[enfin]- éveillé / bouddhahs)-
[123] -(y compris celle à
madame Nicole Koechlin[123]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/nicole_koechlin.htm
[124] (nous l’espérons), ayant le dessein de devenir
plus véritable médecin que vous ne l’êtes déjà -(donc cherchant à progresser
plutôt que le néfaste contraire)-
[125] -(soit celles d’empereur devenu bouddhahs, donc
eanmeailleurs, [mot que j’ai aussi forgé pour désigner une recette végétarienne
que je vous ai présentée, mais aussi pour informer qu’il signifie un
empereur-bouddhahs et en tant que bouddhahs, par conséquent, le titre de Grand
Inspecteur, mais aussi dans le Temps et l’Espace l’un des patrons des plus
véritables chirurgiens et des médecins -(puisque les plus véritables Médecine,
Chirurgie, etc. n’ont pu voir le jour sur cette planète que par acquis de
conscience soit en devenant l’un des éveillés de chacune des époques, tant
chacune de ces disciplines a recours à la recherche de la Vérité et au moins à
celle des vérités relatives -(de/dans chacune des catégories), exemptes de
mensonges, ce qui, j’ai eu à le démontrer et à le vérifier sur moi-même n’est
pas le cas de tous ceux qui deviennent inconscients au sens négatif de ce mot
qui en a du positif dans d’autres SPOK), mais aussi étant donné que je suis
très véritable peintre pas seulement en tant que ma signature de Laury Aime
-(Aime est le nom d’une de mes granmères –[grands-mères]- et Laurent-Marie =
Laurie ou/et Laury)- mais aussi, peintre, en tant que l’une ou l’autre de mes
identités dont celle de Les G. Ô. , mais aussi en tant que Laurent-Marie
Granier … docteur de l'Université en Arts et Sciences de l’Art,
(Cinéma-Télévision-Audiovisuel-...)- de l’Université de Paris I-Sorbonne où
j’ai enseigné, ce qui, ces Arts et Sciences de l’Art sont au moins, depuis S. A.
I. S. S. S. L. P. Vermeer, des formes incontestables de Médecines),
[126] -(avec tout le respect qu’elles méritent dont
celles de producteur réalisateur metteur-en-scène, monteur, chef opérateur,
etc.)-
[127] -(j’ai une maîtrise de la même université en
Scénario et un DEA en Adaptation)-
[128] -(alors assistante du docteur Marcel à l’hôpital
Sainte-Anne)-
[129] –[dans le cadre du sevrage convenu entre nous,
celui que je lui ai alors proposé en espérant qu’il soit rapide : en peu
de mois, d’autant que je souffrais de manière insupportabilissimis…simissime
des acouphènes et des impatiences comme dans mes pieds et sur mon cuir chevelu,
et etc. . Ce que vous lirez plus en détail en fin de lettre attenante dans
laquelle je reproduis la notice du Xeplion en vous surlignant les effets
secondaires indésirables dont j’ai été et suis à cette heure-ci d’environ
quinze heures le 19 Décembre 2020, hélas toujours / encore victime])-
[130] -(en effet avoir la chance d’accéder à la
conscience en soi cela permet d’être – entre autre - comme un.e très véritable
[a]Auteur.e, ce qui permet par exemple dans le cadre d’un scénario de créer une
foultitude de personnages différents pour réussir, à travers eux et les
paramètres qui régissent leur vraisemblance, à guérir – une des fonctions de
l’Art et des Sciences de l’Arts -(ma spécialité en Cinéma, Audiovisuel,
Télévision, … à Paris I-Sorbonne)- ce qui en général peut advenir vers la fin
d’un film ou d’une pièce de théâtre, au moment du dénouement, de manière
cathartique)-
[131] –[quelques-unes de mes compétences qui sont au
moins de cinquante prouvées et vérifiées de tous durant l’élaboration à la
sortie en salle de La Momie à mi-mots mais déjà dans les années antérieures
comme celles qui ont suivies]-
[132] -(voir mes inventions des vidéo-nuages-diaporamas,
et mes autres vidéos sur mes peintures, mes vidéo-butterArts,
mes vidéo-cheesOmeletArts,
mes vidéo-OrangeArts
et celles sur les eanmeailleurs
–[ma délicieusissimis…simissime recette végétarienne salvatrice, etc.])
[133] -[comme un merveilleux médicament / remède qu’on
se contraindrait ainsi à prendre régulièrement en ayant seulement à revoir ce
film]– à mi-mots et comme dans une
sorte de métaphore, on dirait qu’il parle ainsi de cet acquis de conscience au
préalable nécessaire pour déboucher sur une sorte de résurrection, une
renaissance à la/une plus véritable vie qui est/sera au service des générations
à venir, grâce aux arts de la Musique, Danse, Sculpture, etc. , Peinture[s]
volante[s] –(les cerfs-volants peints, mais aussi les miniatures que j’ai
peintes –[en tant que Laury Aime]- à l’aquarelle, avant mes marblings qui introduisent chacun des
chapitres), bref grâce aux Arts et Sciences de l’Art, Cinéma, etc.)-
[134] -(si celui-ci a[vait] été détérioré)-
[135] -(dans les années 1990 j’en avais écrit le
scénario avec Michèle Finck après une hospitalisation, alors que j’étais à
l’époque amnésique de ce qui s’était déroulé pour nous tous, à partir de 1977,
dans le Ciel de Rome –[c’est la raison pour laquelle au lieu de me dire ce
pourquoi on préféra m’hospitaliser]. Aussi j’avais montré avec cette amnésie
que cela conduit à se profaner ce qui m’avait aliéné au point qu’on crut bon
m’hospitaliser quelques jours à l’hôpital de Villejuif, cependant qu’à cette
occasion personne –[alors que tous au courant]- ne me rappela la cause de ce
que je n’allais pas bien ni que, (comme de 1967 à 1977 et de ma naissance à
1967), j’étais en train de démontrer que sans l’aide des sacrements des
religions officielles intellectuellement, voire mystérieusement admissibles,
voire les plus soucieuses de cohérence, donc mises-à-jour, il est très
difficile, voire impossible, de retrouver le chemin de sa conscience -(la
sécurité dans chaque être humain), ce que visiblement j’avais commencé à faire
dans ce scénario parce que j’ai alors compris que si j’avais retrouvé ma santé
intellectuelle / psychique, je le devais à toutes les activités humaines les
plus utiles et artistiques dont j’étais capable, ce que j’avais essayé de
traduire / illustrer dans ce scénario de La Momie à mi-mots
puisque dans la première partie de ce film l’actrice principale, Carolyn
Carlson ne va pas bien -(comme cela en avait été le cas pour moi)- jusqu’à en
mourir -(ce qui heureusement n’avait pas été mon cas)- et enfin, effectivement,
grâce aux diverses activités qui ont lieu autour d’elle alors momifiée, elle
trouve le moyen de renaître à elle-même et aux générations à venir. En réalité
c’est nous tous qui avons œuvré sans même nous en apercevoir –(comme quand un
enfant grandi à notre insu)- à sa renaissance, au point qu’elle a probablement
aussi retrouvé sa conscience pour, en renouant avec son plus véritable être,
recommencer à jouer son rôle après cette mort et cette résurrection, riche de
la connaissance de cette période où elle a été morte – en fait un peu comme
Jésus après sa résurrection comme le comprendra Jean-Yves Masson à mi-mots -(soit entre les lignes)- dans
son article au sujet de La Momie à mi-mots)-
[136] –(en effet dans la première partie de La Momie-à-mi-mots
l’actrice principale du film, la chorégraphe et danseuses étoile de l’Opéra de
Paris S. A. I. S. S. S. S. P. Carolyn Carlson, ne va pas bien, elle se sent
persécutée jusqu’à en mourir puis une fois morte elle doit trouver la force de
renaître à elle-même enfin guérie, grâce à la Danse et à l’Art -(la Fontaine Carpeaux)-
car elle a retrouvé le sens de la vie, celui de prendre la responsabilité de
conduire les générations à venir vers un monde enfin pacifié et dans lequel les
nationalités ne compteront pas autant que cela a été, hélas et/mais
heureusement -(sur d’autres points)- le cas. C’est dire si je m’y connais au
sujet de la schizophrénie étant donné que depuis que je suis de nouveau
bouddhahs -(2005), sans avoir renoncé au fait qu’on m’a contraint et obligé à
être votre empereur, je connais la cause de la schizophrénie, par conséquent -(comme c’est en général le cas pour tous les
problèmes / maladies, dont on a déterminé en vérité -[soit sans un atome
d’erreur dans tous les temps et tous les univers]- la cause)- je sais / connais aussi le meilleur des remèdes pour
en être soigné / délivré à plus ou moins long-terme, ce que vous lirez dans la
lettre attenante).
[137] -(car je suis aussi acteur, voire commentateur
des images que je tourne, dans quelques-uns de mes films et/ou vidéos ou/et
scénarii)
[138] -[au
cours d’une réunion
environ sept semaines avant mon ultime hospitalisation d’avril 2017 et cela
devant son assistante la jeune psychiatre madame la doctoresse A.]-
[139] –[l’attente insupportablement longue / excessive
pour passer à l’étape suivante hyper-logique -(dès les deux mois suivant la
prise de cette demi-dose)- du sevrage et donc baisser,
comme on le devait, en toute cohérence avec le sevrage initié en 2013, une fois de plus la dose du Risperdal]-
[140] -[par conséquent aussi la logique mathématique /
scientifique entre autres]-
[141] -(c’est-à-dire l’inconscient ou celui/celle qui
n’a pas encore accès à cette conscience en lui/elle-même)-
[142] -(l’expérience de l’âge nous aidant)-
[143] –[grâce au -(parfois)- subit accès à la
conscience -(ce qui a pu se produire chez
certains d’entre nous dès la naissance, donc dès -[que]- tout petit ou aux
différents âges d’enfant, voire plus tard)- qui
sinon peut prendre beaucoup de temps à advenir])
[144] –(il manquait des paramètres dont on ne savait
pas qu’ils existaient et qui, en s’additionnant, permettent de modifier
certaines des certitudes erronées).
[145] -(et/ou de profondeur et/ou de savoir[s])-
[146] -[cérébrale à cause, entre autres causes, d’une
adolescence mal vécue aboutissant au rétrécissement de leur cerveau alors les
handicapant, les empêchant de penser et voir en toute vérité la réalité de leur
temps]-
[147] -[c’est-à-dire à un niveau de pourcentage plus
important que cinquante pour cent]-
[148] –[quatre à sept ans, voire avant pour certains
esprits en avance, voire après pour les retardés, voire jamais dans certains
cas, ce qui complique tout à l’extrême pour tous les éveillés par acquis de
conscience]-
[149] -(donc de la liberté de créer enfin dans le bon
sens, pour à son tour, modestement essayer de délivrer ceux qui se sont laissés
aller à des comportements plus inconscients menant[s] aux erreurs / fautes et
au[x] mensonge[s]),
[150] –(depuis ce moment transcendant)-
[151] -(le droit au changement, à la métamorphose, à
la mue)-
[152] -(alors déjà empereur me précédent, ce dont je
ne savais rien sur place)-
[153] -(au sens d’actes d’amour advenus pour nous
engendrer vivant[s])-
[154] – [S.É.J.] est par exemple dans le mot »
séjour « ! N’est-ce pas, parfois, en liaison avec le secret de l’éternelle jeunesse quand
un » séjour «, par exemple en vacances avec une personne aimée -(amour)-
nous comble de bonheur? S.É.J. + O.U.R. = séjour.
[155] -(dont pour l’instant nous ne savions rien)-
[156] D’où ce qui justifie la nécessité de la Presse
et des Informations, par conséquent des différentes formes de Mémoire[s] et/ou
des Archives nous en faisant part pour suivre cette constante Évolution.
[157] -(comme je l’ai démontré plusieurs fois au cours
de mon existence à l’état de bébé, d’enfant et d’adolescent)-
[158] -(qui ont beaucoup comptés et que, si possible,
de nombreuses personnes connaissent / voire voudront avoir l’amabilité de
retenir / se souvenir)-
[159] -([et non le p[l]u[s]. (Merci S. É. A. I. S. S.
S. L. P. Raymond Devos) : [j’ai encore une fois mis les pieds dans le
plat !]).
[160] -(au sens négatif de ces mots qui en ont du
positif dans d’autres SPOK)-
[161] -(ayant, à ce moment-là, requis la nécessité de
l’action –[de l’aide]- de la conscience)-
[162] (Une de ces idées géniales –[en conscience]- fut
à partir d’un moment donné, localement, l’invention de l’écriture soit des
systèmes de correspondances mathématiques entre le son, la forme, le sens,
l’originalité de la langue, la tradition locale, la pensée, et les mesures,
donc les chiffres et/ou calculs, poids, etc.).
[163] –[c’est pareil pour le titre d’une vidéo, d’un
film, d’un tableau ou d’une sculpture, d’une musique, il faut bien des mots
pour les désigner, retrouver, archiver, voire des chiffres ou/et des icônes
pour les classer, voire des dates, code-barres, etc.]–
[164] -(acronyme de/pour solution alternative élégante)-
[165] (donc une vérité relative en liaison avec des
besoins de première nécessité, donc liée aux statistiques)-
[166] -(à moins qu’il n’ait, une fois écrit le
chapitre, trouvé cette idée de traduire / résumer, en guise de titres et de ces
sous-titres, les mots-clés développés dans le chapitre, ce qui a peut-être été
le SPOK)-
[167] -(car ils auraient pu l’être beaucoup plus si
Châteaubriand était rentré dans d’autres détails y compris psychologiques)-
[169] -[différentes].
[170] -(donc dans le cadre de l’histoire particulière
en question)
[171] -(comme aux débuts d’Internet quand il fallait
écrire chaque mot suivi du signe » plus « pour obtenir les réponses -[grâce aux moteurs de recherche]- des occurrences à propos de ces mots)-
[172] -(au sens de montage cinématographique)-
[173] –[c’est la même chose en architecture ou en
mécanique : il convient d’avoir les plans ou une idée du prototype ou de
la maquette, pour se lancer dans la réalisation d’un immeuble, d’une villa,
d’une maison ou d’un château, etc. ou d’un nouveau modèle de d’automobile ou/et
d’avion, etc. Il est donc probable que la Création ait un objectif autre que
celui de la fin du monde, même si à première vue pour de nombreuses personnes
cela n’est pas vrai / croyable. Il se pourrait que ces personnes que nous
résumons par l’acronyme de » laipis « ne parviennent pas à comprendre
cela, parce qu’elles ne disposent pas encore dans leur respectifs cerveaux des
paramètres dont on tient compte pour parvenir à croire le contraire, soit qu’il
y ait pour chacun de nous une finalité à la Création].
[174] -(comme l’activité)
[175] ce dernier mot toujours écrit en minuscule[s] –[ce serait sacrilège, donc laipis, de l’écrire en
majuscule pour des raisons que je connais, même si ce mot de laipis est employé
dans le sens le plus positif qu’il aurait dans d’autres cas particuliers /
occurrences]- même si pouvant donc avoir du bon dans d’autres
SPOK).
[176] -[ce qui ne devrait, en théorie, se pouvoir
qu’en conscience – Mais comment vérifier le degré / stade de conscience de
quelqu’un ?]
[177] -(à cette conscience comme si, une fois trouvée,
s’était la / une renaissance à une plus véritable vie. Pour cela -(comme à
l’occasion de la mue imago d’une libellule)- on
s’est alors débarrassé pour toujours du menteur en soi, puisqu’on accède alors
à une plus véritable vision de la réalité et/ou écoute et/ou sensations, etc.)-
[178] -(et avant-cela un
synopsis, voire une
sorte de résumé)-
[179] -(libres d’interprétation[s] -[qui peuvent être
interprétées par chacun différemment, soit en fonction de l’imagination de
chacun comme tous les textes le sont plus ou moins])-
[180] -(j’ai un D. E. A. à Paris I-Sorbonne en
Adaptation -[de textes littéraires au Cinéma ou/et pour la Télévision, etc.],
c’est donc une chose que je suis censé savoir faire et qui, à chaque fois,
comporte le titre de l’œuvre à adapter : ce titre ou même cette absence de
titre, voire un chiffre à la place -(en
attendant de lui en donner un – ce peut être un titre provisoire, celui de la
date à laquelle on se trouve avant le moment où apparaîtra la nécessité du
titre à donner à ce scénario / roman / essai / poème / etc.– soit toutes les
pages du scénario rassemblées avec le sens de chacune d’elles dans ce.s mot.s
composant ce titre, ce qui représente des quantités d’informations réduites à
quelques mots – c’est la même chose pour un/des tableau.x, il est / sont
souvent relié.s à un titre et d’autres indications)- s’ouvrent
sur des pages contenant des informations écrites, soit le développement que
l’[a]Artiste, soit l’[é]Écrivain -(le
[s]Scénariste en l’occurrence)- a voulu lui
donner. On sait alors qu’il y a des probabilités qu’on va explorer à travers la
lecture de ce texte un cas ou plusieurs SPOK : ce développement qui
visiblement peut être / est vital. Dans nos civilisations depuis longtemps
interconnectées notemment grâce à Internet
-(donc pas seulement par le Télégraphe ou/et le Téléphone et la Télévision,
mais aussi par la Visio-conférence et plus récemment par la vidéophonie)- ce qui a signifié de nombreux intérêts financiers en
jeu, il est probable que ce scénario émanant de ma plume n’aurait pas fait
l’objet de ce travail, s’il ne l’avait pas été -(vital).
[181] -[remarque : le z de ce mot d’Ôz est en
italique en raison de ce que nous y garantissant ainsi les droits
d’[a]Auteur[s]-/-(autrefois inscrit: auteur[s])]-
[182] -(une fois bouddhahs, soit éveillé par acquis de conscience -[É. A. C.])-
[183] -[le T. G. V.]-
[184] -(au sens de racontables : inracontables /
irracontables)-
[185] –[soit en guise de souper, de petit-déjeuner, à
la récréation de dix heures et demi à onze heures du matin –(selon les
habitudes des régions du monde), d’apéritif, de déjeuner, de dessert, de tea-time et de dîner, où au cours de la
nuit, si on devait avoir un petit creux, y compris dans la journée, à un autre
moment]-
[186] -(les autres synonymes de ces mots comme
synonymes de très-saint-paradis, [bien qu’en détail ils diffèrent l’un de
l’autre])-
[187] Mais il s’agissait d’un rêve d’autrefois. En
fait, vu autrement, cela s’est déroulé au cours d’un sommeil dans le passé,
donc à l’occasion d’un rêve -(ou cauchemar), soit celui qui se déroule dans le
sommeil de la naissance à l’âge de raison, voire au cours d’une des nuits de
sommeil entre l’âge de raison et l’âge de quatorze ans -(pour les garçons),
soit au cours d’un des sommeils, donc en rêve, de l’âge de ces quatorze ans et
l’âge où nous avons accès – grâce à la sécurité qui existe sur ce point dans l’être
humain - à la conscience si nous faisons partis de ceux qui n’ont pas encore eu
accès à celle-ci. Aussi ce que nous vivons dans la réalité est vécu durant l’un
ou l’autre de ces sommeils / rêves passés / anciens car quand nous nous
endormons nous rejoignons le futur -(comme si nous nous téléportions dans ce
futur)- où nous vivons donc dans ce qui sera une future réalité, bien que cela
ait été matière à rêver au cours de nos enfances respectives, voire entre
quatorze et par exemple quarante-deux ans. Ce qui signifie que ce que nous
allons vivre dans le futur comme réalité nous l’avons déjà vécu à l’occasion de
l’un ou l’autre de nos rêves de bébés, d’enfant et/ou d’adolescents. Ce qui
signifie que la réalité dans laquelle nous œuvrons est comme un de nos rêves
passés -(ce qui explique cette sensation de » déjà-vu « que nous
avons parfois, au point de nous demander à ce moment-là si nous ne rêvons pas –
ce que j’ai pu vérifier est effectivement la vérité). Aussi la réalité qui nous entoure est en fait
un ancien rêve qui est devenu réalité.
[188] -(ce qui explique l’existence de la plupart des
prophéties les plus justes)-
[189] -(étant en relation avec un/des moments précis
de notre passé – résultant du passé)
[190] -(la loi des conséquences étant ainsi vérifiée
d’avance par chacun d’entre nous durant nos sommeils respectifs – c’est en cela
que la réalité que nous vivons est une forme de rêve : elle a été un/des
rêve[s] mais au moment où nous la vivons elle n’est plus seulement un rêve ou
un cauchemar, elle est réalité, soit un très grand nombre de choses /
paramètres qui vont s’ajouter en nous à toutes nos précédentes minutes vécues)-
[191] -(en nous y -[comme]- catapultant, voire
autrement-dit -(autremendi[t] ©)- téléportant)-
[192] -(qui se situe selon les individus de quatre à
sept ans, voire plus tard chez certains, [voire plus tôt], voire, hélas
infiniment hélas, jamais pour d’autres)-
[193] -(mais déjà bien avancé car de celui –[de fœtus
–(s’il n’était que singulier et non pluriel)]- qui ouvre les yeux et les ferme
pour dormir)-
[194] -(ce qui signifie qu’il n’est pas encore tapé à
partir d’un clavier d’ordi. et qu’il est quelque part chez moi)-
[195] –(probablement intense, plus lumineuse que les
précédentes car de celles-ci point le/de souvenir[s] au dernier mois de
grossesse de ma mère)-
[196] Donc » prénataux «.
[197] -[ou alors de temps à autres, donc rarement des
boissons avec un taux très faible d’alcool comme le cidre, la bière, etc. –
mais je dois dire que quand cela s’est produit pour moi cela faisait longtemps
que je ne buvais plus d’alcool même de la bière et du cidre – cela ne m’a pas
empêché plus tard, de boire de nouveau du cidre ou des vins excellents comme le
Sauternes et d’autres, mais sobrement, voire rarement]-
[198] -(à l’un des moments où nous étions endormis)-
[199] -(la réalité ayant rejoint ce rêve d’autrefois)-
[200] -(d’où la très grande difficulté, pour certains
d’entre nous, de décrire les rêves et/ou cauchemars)-
[201] -(il se pourrait que des moments de ce que nous
vivons au moment où nous les vivons dans la réalité soient fractionnés en
moments brefs appartenant à chacune de ces époques passées au moment de ces
sommeils, comme s’il y avait des correspondances entre les heures de ces
différentes périodes de sommeil avec celles que nous vivons dans la réalité),
[202] -(au cours de l’un ou l’autre de mes sommeils au
cours de ces périodes se suivants, différentes)-
[203] (donc en fait des séquences de sommeil
complémentaires en tant que séquences de rêve[s] s’étant déroulé[s]
/-(déroulées)- durant ces sommeils au cours de ces époques se suivant[s] l’une
après l’autre – chacune produisant ou faisant connaître une partie -(donc
quelques séquences)- de la journée à vivre dans la réalité diurne -(soit en
situation d’éveillé)- de/dans l’avenir !) -
[204] -(dans l’invisible soudain -[en raison d’un
médicament qu’on m’avait demander d’ingérer]- devenu visible pour moi, soit
comme la découverte d’une autre dimension)-
[205] -(mais aussi avec mes OrangeArts et mes vidéoNuageDiaporamas
et les LepetitArts –[une découverte récente que je n’ai pas
encore, à ce jour du 19 Décembre 2020 publiée, mais aussi avec quelques-unes de
mes photos -(qu’il convient – certaines parmi elles - de regarder le plus loin
possible de l’écran)- sur Instagram
au nom de lauriegranier])-
[206] –(et non à mi-mots ou
entre les lignes ou/et en filigrane
comme c’est le cas pour tous ceux qui se comportent de façon[s] honnête[s] et
transparente)-
[207] -(avec quelques-unes de mes lettres, dont celles
citées / rejoignables par laurYens – soit pour faire plus court que l’expression »
lien hypertexte « : laurYen = lien hypertexte - ci-dessus)-
[208] -(sauf évidemment en légitime défense quand on
ne peut pas faire autrement)-
[209] -(qui parfois se manifeste sous sa forme
définitive, soit en image[s], par extrapolation dans le cerveau et en raison
d’accès à la conscience)-
[210] -(variante de l’acronyme CARÉ pour corrections, abrégés ou, au contraire, ôgmentations,
relectures, [ré]élaboration, résumé)
[211] -(ils s’imposent à s’infliger par soucis de plus
grande clarté / vérité pour être finalement compris de tous)-
[212] -[oui, prononcé / entendu ainsi, au lieu de
dire / lire » de Vinci « !)]
[213] -(ce qui n’est pas skier bien qu’en italien sciare
le signifie, ce qu’il ne faut pas confondre cependant qu’il y a ligne en commun
de tracée entre le verbe skier et scier – l’invention d’un mot découlant
de la pensée, soit de calculs logiques)
[214] (en raison de ce qu’ils représentent comme
quantité de travaux et de patience -[par soucis de vérité / de clarté dans les
développements concernant un ou plusieurs sujets à traités)-
[215] -(puisqu’on dissipe d’avance la plupart des
malentendus en les anticipant)
[216] – (» in « se prononce » ine
«, soit ce qui signifie » dans « en anglais : » in « -
n’oublions pas que le » i « comme le » l « et
etc. peuvent-être vus phalliques, Isis oblige ©)-
[217] -(surtout quand le vin n’est pas de bonne
qualité)
[218] (A moi-même ici avant cette nouvelle parenthèse
et en hommage à Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les
Lordissimes Princes Reymond Devos)
[219] -(sous-entendu » de l’endroit
nommé «)-
[220] (grâce à la clarté de la raison en ces CARÉ –[corrections, etc. ]- par
acquis de conscience)
[221] (voire une variante un peu tirée par les
cheveux : Léonard Devin Si … [∆evinSi …])-
[222] -(pas seulement mais aussi depuis toujours sauf
que c’est depuis l’invention de la Photographie qu’on s’en rend mieux compte)-
[223] -(mais cela madame et monsieur Toulemonde ne le
savaient pas avant l’invention du Cinéma et des images subliminales)
[224] -(quand on regarde une seconde un sujet / objet
/ quelque chose / etc.)
[225] -(ce qui est difficile à voir, voire impossible.
Cela a ici un peu à voir avec la notion d’image subliminale en vidéo où nous
trouvons deux demi-trames par image, bien qu’en photo il est / soit courant
qu’on capture / prenne / fasse une image au cinquantième de seconde),
[226] -(ce qui était par exemple déjà possible au
début du XXème
siècle avec un appareil de photo nommé / de la marque Sigrist)
[227] (voire -[cette image]- 3D)
[228] (soit à-troisièmes-vues, à-quatrièmes-vues, à
cinquièmes-vues, soit à-troisièmevues, à-quatrièmevues, à-cinquièmevues, soit
àtroisièmevues, àquatrièmevues, àcinquièmevues, soit àtroisièmevue[s],
àquatrièmevue[s], àcinquièmevue[s], etc., des équivalences)
[229] – (corrections,
abrégés, ôgmentations © –[mot peu heureux mais qui sait ? ... pour celui
qui comprendra pourquoi – l’explication en question existe en vérité
-[relative], aussi elle me donne le droit d’oser,(par Osiris) »
ôgmentation(s) «. Maintenant je ne vais pas donner cette explication pour
voir si sans ces explications ce mot a de l’avenir], relecture, (ré)élaborations)-
[230] -(il est effectivement question de » vue[s]
«, donc de » voir «, ce qui est en rapport avec la vision :
l’Optique)
[231] -(à la première vue, [ce qui explique qu’à
première vue soit ainsi inscrit], voir par exemple Les Mémoires d’Outre-Tombe de François-René de Chateaubriand, Tome
2, nrf, livre trente-huitième, chap. 6. : « A la première vue, je me pris de goût pour ce militaire à crocs gris, etc. », édition
Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade, 4ème trimestre 1976, p. 684 – d’où la
variante peu heureuse d’àlapremièrevue, etc.)-
[232] -(de ne pas y toucher en raison de son origine,
malgré cette mise-à-jour que je fais au fur et à mesure de mes progrès / textes
/ avancées),
[233] -(selon le Wiktionnaire invariable)-
[234] -(plus ou moins cinquante années de recherche[s]
diverses)
[235] -(c’est ainsi qu’on trouvera sans doute d’autres
mots traditionnellement au singulier qui pourraient être écrits au pluriel et
dans ce cas le » s « entrecrochets : -[s]- s’impose)
[236] -(assassinés à des fins de boucherie, donc pour
tous ceux qui ne sont pas encore avancés au stade le plus haut
-(spirituellement)- de la civilisation, celle des végétariens en Orient ou/et
dans les pays/régions les plus pauvres où certains ne trouvent pas / ne gagnent
pas les moyens financiers pour acheter de la viande d’animaux pacifiques et
inoffensifs, les API à manger)-
[237] -(comme, par exemple, dans le film de S. A. I.
S. S. S. L. P. Djibril Diop Manbéty -(Touki
Bouki)
[238] -[honnêtement, ce qu’on essaie d’être quand on a
la chance d’écrire, à moins d’être un malhonnête, cela allait sans être dit]
[239] -(ce qu’on ne peut devenir plus véritablement
que par acquis de conscience)-
[240] -(pour démontrer combien cela peut être grave,
nocif, malheureux)-
[241] Ou : -(dont a bénéficié la Bande-Dessinée)-
[242] Voir plus haut pour ce pluriel.
[243] –(si ce n’est différent parce qui le caractérise
dans l’exercice de ses fonctions)-
[244] -(y compris en ne prenant pas la peine
d’expliquer aux responsables de l’Opep la loi de la quantité et de la rareté
sur laquelle sont fondées toutes les activités commerciales)
[245] Et, je vous prie de me croire, je minimise.
[246] -(l’exportation des savoirs, de l’éducation, ce
qui n’a pas de prix -[ou qui est le fruit de
milliers d’années de civilisation à transmettre]- ou
alors infini car chacune des informations scientifiquement vraie / exactes est
le fruit / résulte de la conscience, une sécurité à trouver / dénicher en soi,
si on devait appartenir aux malheureux qui l’ont perdue)-
[247] –(ce qui signifie que la métamorphose existe /
est possible : un changement radical peut s’opérer alors -[ce jeu d’échec étant une métaphore de
l’antagonisme existant depuis longtemps entre d’un côté les immaculés, (les
anges – le Saint-Esprit)- et les noirs, les diables / démons, au sens négatif
de ce mot qui en aurait du positif dans d’autres situations / SPOK]-: de simple pion devenir aussi complexe qu’une reine ou
un cavalier, voire un fou ou une tour)-
[248] -(puisque je suis intervenu dans le Ciel
–[depuis l’année 2005]- en synchrone avec ces années-là de 1967 et 1977)-
[249] -(synchrone avec 2005 qui est synchrone avec
1967 et 1977)-
[250] -(comme je m’en suis souvenu quand j’ai peu à peu
retrouvé ma mémoire grâce à mon auto-psychanalyse –[qui a donc eu lieu dans le
ciel]- à partir de 2005, après ces vingt-sept années d’amnésie)-
[251] -(quoi qu’ à-premièrevues les mêmes)-
[252] -(ces informations sont celles qu’elles sont
parce qu’il y a progression dans l’histoire en cours. Aussi il s’agit avec les
détails dessinés dans chacune des cases, de nouveaux paramètres cohérents avec
l’économie du récit)
[253] -(personnages s’inscrivant dans le Temps et
l’Espace à cause de la progression diégétique ; il y a donc un avant et un
après la case sur laquelle on s’attarde)-
[254] -(bien qu’à premières vue[s] les mêmes -[pour
les reconnaître]- mais ceux-ci plongés dans un décor et auteurs d’actions
nouvelles)-
[255] -(erreur typographique que je laisse dans la
catégorie des lapusus, pardon lapsus typographiques, pour nous donner matière à
sourire, voire rire)-,
[256] -(S. A. I. S. S. S. L. P. Raymond Devos nous a
expliqué pourquoi dans un grand nombre de ses sketches)-
[257] -(du genre de celle d’à première vue)-
[258] -(toutes des facettes d’une personne instruite)-
[259] -(Le jeu
des chiffres et des lettres mais
aussi ce qui pourrait signifier une logique manquant de cohérence ;
logqiue)-
[260] –(car enfin viennent les explications, soit les
causes exactes pour lesquelles on les a commises – ces causes nous permettent
alors d’y remédier, du moins d’y réfléchir plus sérieusement à cette fin)-
[261] -(peut s’écrire dans d’autres variantes : à
premièrevues / à-premièrevues / à première[s] vue[s] / àpremièrevue[s] /
à-premièrevue[s])-
[262] -(qui est souvent une vérité, du moins une
vérité relative)-
[263] -(pour de plus amples détails lire ici mes
lettres aux Papes et aux
Présidents de la République)-
[264] -[comme les pionniers / pionnières à l’origine
des différentes inventions pour créer Internet]-
[265] -(comme pour les fax et les répondeurs, etc.)-
[266] -(dont j’avais sur Internet les noms comme les
noms des entreprises à créer avec le nombre de personnel / salariés et la
valeur de l’action cotée à la Bourse dans les années 2005-2010 comme les
identités des présidents directeurs généraux)-
[267] -(mais aussi, comme moi, un très grand
empereur)-
[268] -(avant d’avoir été fait empereur, mais aussi
une fois empereur)
[269] -[à vous en tant que ma nouvelle psychiatre
depuis plus d’un an, madame la doctoresse B. n’étant plus sous l’espèce de
tutelle qu’exerçait sur vous le docteur Jean-Luc Marcel en tant que chef de
service],
[270] –(par conséquent dont je sais que ce sens est
une vérité relative logique qui permet de penser ou/et de traduire les idées
qui se forment selon le SPOK en plusieurs dimensions dans ma tête)-
[271] -(qui est aussi une recette
végétarienne que j’ai créée / inventée et dont on peut regarder sur
Internet au moins deux vidéos
que j’ai signées)-
[272] -(rien qu’avec mon remède du prix du baril de
pétrole à un centime de dollar ou/et celui encore meilleur de 0,01 centime de
dollar le baril et très récemment de 0,0001 centime de dollar le baril)
[273] -(qui peuvent se produire aussi dans le passé,
donc rétroactivement)-
[274] -(une fois effectivement découvertes ces
réserves aux points que j’ai indiqués)-
[275] -(avec mon père, ma famille et tous les gens de
bonne volonté)-
[276] -(pour justement rendre possible mes
interventions salvatrices à travers Espace et Temps le jour venu, donc pas
seulement -(ces transmissions)- de manière virtuelles, ce qu’elles avaient été
d’avance en avant-première en 1967 et 1977 mais dans la réalité à effets
rétroactifs à partir de 2005, vérifié à partir de ce moment-là -(2005)- une fois
encore synchrone avec ces époques du passé, la réalité ayant enfin rejoint ce
que nous avons alors découvert avait été virtuel en 1967 et 1977 -(des
avant-premières)- en raison des enfants -(que
j’attendais de Christine … Lang, mais aussi de ceux que j’attendais de Michèle
Finck)- s’étant en quelque sorte manifestés par
la présence -(en 1967, 1977 et 2005)- à mon doigt annulaire des hommes les plus
véritablement mariés d’un anneau immatériel immaculé)-
[277] -(c’est pourquoi écrire, comme penser juste
parce qu’on écrit, est un art très difficile)
[278] -(mais à notre époque celui qui veut en savoir
plus sur un sujet peut, en cherchant sur Internet, trouver d’autres
explications fécondes – aussi les points qu’il n’a pas compris, encore
àpremièrevues obscurs, peuvent se révéler moins sombres qu’ils n’étaient
autrefois sans cet outil miraculeux / merveilleux qu’est Internet)
[279] -(comme par exemple tout ce qui est bâti de
grand sur notre planète depuis 1977 dont les tunnels, comme celui sous la
Manche et les tunnels dans les Alpes, et/ou les retenues d’eau -(digues)- et
ponts etc.)
[280] -(mais aussi de la difficulté que j’ai de parler –[oralement et non par écrit si ce n’est la
difficulté inhérente à écrire]- de certains
sujets car je sais que pour traiter pleinement ces sujets et éviter les
malentendus en raison -[en fait]- de la complexité de chacun d’entre eux, il
serait préférable de les avoir écrits / élaborés CARÉ[s])-
[281] sauf tous ceux de nombreuses fois corrigés /
relus / abrégés / ôgmentés / réélaborés -[sufisemment])
[282] -(à cause de la part de subjectivité, sauf quand
on appartient aux éveillés par acquis de conscience, soit aux bouddhas qui ont
à cœur d’exprimer leur état de multidimensionnalité ou/et multidisciplinarité
synthétique)
[283] -(parfois proposés comme dispentiateurs, [pardon dispensateurs
– permettez-moi de conserver ce lapsus typographique pour en sourire]- de
vérités universelles)-
[284] -(pour une ou plusieurs cause[s] / raison[s]
parfois liées à la présence des uns ou/et des autres : nationalité,
religion, fonction exercée, célébrité, beauté ou pas des interlocuteurs, âge,
couleur du chandail, diplômes reconnus ou pas, chaussures, habillement, barbe,
cheveux longs ou pas, provincial ou pas, amis en commun, aisance -(au sens de
financière ou pas)- dans la vie, possession[s] de famille, et pour une femme
maquillage ou pas, vêtements, bijoux, nombre d’enfants, responsabilités, etc.,
etc.),
[285] -(qui, en raison de la difficulté et de la
complexité des sujets -[comme des niveaux de
lecture et du sens des sons qu’on émettra]- est,
sur le plan de l’oralité, hélas, infiniment hélas, d’avance voué à quasiment
l’échec. En fait, si on y pense, un nombre restreint de choses peuvent être
réglées oralement. Les véritables architectes le savent eux qui passent du
temps à améliorer leurs plans en posant calques après calques ce qui attestera
des étapes de leur progression / pensée dans un SPOK -(cela
n’exclut pas, dans d’autres cas, qu’un architecte expérimenté, voire débutant –
voire même pas architecte, mais compétent dans cette autre discipline qu’il
maîtriserait - ait la réponse juste à suivre, y compris en traitant oralement
le sujet. Gardons-nous de généraliser). Mais les sujets élaborés par écrit
récemment, voire dans la journée durant laquelle on va en parler publiquement
ont une chance -[oralement]- d’être un peu compris d’un auditoire. Rappelons
que les traités internationaux sont des documents écrits comme les
constitutions),
[286] -(car les choses peuvent avoir changées dans les
secondes, minutes, etc. qui précèdent, voire vont peut-être changer sur ces
points en fonction de paramètres auxquels on n’a[vait]- pas pensé)
[287] –(à cause des paramètres intrinsèquement liés
-[au sens de constitutifs]- à la prise de parole)-
[288] –(il n’y a donc que les vrais qui fonctionnent
aussi il y a les vrais mécanismes et tous ceux auxquels il manque la cohérence
pour fonctionner – comment acquérir cette cohérence ? C’est là la question
-[pour tous]. De quoi, de quel[s] paramètre[s] dépend-elle ? Quelle est la
cause des dérèglements [de l’esprit]?),
[289] (ceux qui sont à l’initiative / origine de ce
rêve/cauchemar)-
[290] -(lâchement)-
[291] du / des
[292] -(ou de posséder ce dormeur)-
[293] – c’est ici une chose inacceptable en toute
cohérence avec les plus justes lois et Droit des êtres humains -
[294] -(peut-être même de préjugés, voire au contraire
de choses qu’il a jugé en conscience les meilleures qui soient dans l’intérêt
et pour le Bien Général)-
[295] N’oublions pas ce que j’ai dit plus haut :
certains de ces rêves sont causés par la projection de nous-même dans le futur
où quasi quotidiennement nous regardons – certains d’entre nous – la télévision
en couleurs ou l’écran d’un ordi. Nous avons donc été visiter une journée,
voire une soirée dans le futur synchro avec l’époque où en chair et en os nous
dormons et tout ce qui s’y déroule nous parait une fois réveillés impossible à
comprendre car il s’agit, par exemple, de films ou/et de spectacles auxquels
nous avons assisté. Cependant qu’il existe aussi des rêves et/ou cauchemars que
nous ont transmis des personnes ayant accès à la salle des machines –(ce qui
est alors autre chose, cependant qu’on y manipule des images tridimensionnelles
pour obtenir des effets voulus non par celui qui dort en toute confiance et qui
en est la victime mais par ceux qui, en prédateurs, profitent de l’innocence et
de notre confiance de dormeur – soit qui contreviennent en sacrilèges et en
incohérents aux droits les plus élémentaires de chacun.e des êtres humains).
[296] -(que l’accès à la conscience durant l’état de
veille prend en considération[s]),
[297] -(soit ce qui est le propre de l’être humain
pensant en toute honnêteté et conscience -[de douter dans certains SPOK])-
[298] -(en fonction)-
[299] -(aussi là où ont été forgés ces rêves pour
profiter de l’état d’inconscience de la future victime de ce rêve, [devenue en
très grande partie inconsciente durant le sommeil])
[300] -(ou les auteurs)-
[301] –(ce qui est la moindre des choses en raison des
considérables peines qu’un momentané dormeur prend durant sa journée –[de
travaux]- avant d’avoir, c’est juste, [c’est normal], à se reposer –[ainsi
confiant]- dans le sommeil qui, nous l’avons
[re]découvert[,] plus haut, concerne aussi une
journée de l’avenir, donc du futur, qu’on rejoint ainsi en dormant avant de
nous réveiller chacun dans la réalité de l’époque dans laquelle on vit)
[302] –(consentantes -
c’est ici le tragique de cette situation !)-
[303] -(au sens négatif de cette expression qui
d’autres SPOK pourrait en avoir du positif pour certains)-
[304] -(qu’ils ont alors le loisir et l’intelligence
de mettre en relation avec les images et les sons regardées)-
[305] -(cela ne se passe pas à cent quatre-vingt degrés
comme à La Géode, en Omnimax à La
Villette)
[306] -(autrement-dit ; autrement-peint ;
autremendits)-
[307] -(qui ne sont pas ceux de La Géode)
[308] -[en conscience]-
[309] -(si on ne travaille pas la nuit)
[310] -(en général plus ou moins conscient)-
[311] -(au sens négatif de ce mot qui dans d’autres
SPOK en a du plus positif)-
[312] ou » soi-même «.
[313] En profitant d’une façon sacrilège d’une
personne confiante momentanément inconsciente.
[314] -(pour, par exemple, l’avilir ou/et l’intéresser
-[autant artificiellement que ce fut]- à la/sa sexualité)-
[315] (puisqu’on découvre effectivement qu’il s’agit
d’une sécurité dans l’être humain)-
[316] Ici se pose la question de tous ceux qui n’y ont
pas encore accès -(à cette conscience)- et cela induit un comportement
non-violent et très respectueux des différences qu’on a -(une fois pourvus de
cette conscience)- d’avec tous ceux qui ne l’ont pas encore et si ces derniers,
de plus, ont accès à la salle des machines, ils se conduisent de manière
injuste envers celui qui est devenu l’un des éveillés par acquis de conscience
-(un des bouddhas), soit en réalité – qu’on le veuille ou non, celui qui
devrait avoir les instruments de cette salle des machines pour les utiliser de
façon à ce que tous ceux qui ont perdu leur conscience puisse la retrouver à
leur tour car sinon le monde est à l’envers et se comporte injustement envers
tous ceux qui ont accès à cette conscience quand tous ceux qui ont perdu cette
conscience sont dans l’ignorance de ce qu’elle offre comme bienfaits et vision
de la réalité enfin de l’autre côté du miroir, donc en vérité. C’est
probablement ce qui s’est passé très longtemps sur cette planète et ce qui
signifie qu’il faut y mettre un terme de manière à ce que tous ceux qui ont
accès à la conscience puissent soigner, le jour venu, tous ceux qui l’ont
perdue – ce qui ne sera possible que quand la salle des machines sera rendue à
ceux qui vivent en conscience, donc de vérités relatives au service de la
vérité et à cause qu’ils sont conscients, continuellement en légitime défense
de ceux qui sont devenus inconscients.
[317] –(car que je sache, il n’est pas, à l’heure
actuelle où je CARE –[corrige, augmente, abrège, relis, [ré]élabore]- ce
texte, le 21 Décembre 2020, encore possible de [re]visionner ses propres rêves
et/ou cauchemars pour en faciliter l’analyse comme cela a été proposé par S. A.
I. S. S. S. L. P. Win Wenders, (alors
visionnaire et qui sait ? Prophète à la fin de l’un de Ses films dans les
années 1980-90 dans lequel on assistait -(vers la fin du film)- à une jeune
fille qui disposait d’une sorte de boîte pour se repasser ses rêves, les écrans
plats n’existant[s] pas encore), pour les
analyser –(qui sait ? avec l’aide d’un
psychanalyste ayant achevé sa psychanalyse, au point de retrouver sa
conscience, par conséquent d’avoir ainsi accédé au droit d’aider à son tour
autrui -[pour ce faire]), si possible durant la
veille, plus conscient que quand ils se sont déroulés lorsque le patient dormait -(en bénéficiant parfois pour cela, si c’est le.a
SPOK, de l’état d’éveillé / bouddha), voire
sinon de façon inconsciente mais réveillé, ce qui sera[it] -[dans certains cas
certainement –(très)]- dangereux)-
[318] –(soit ce qui permet, une fois végétarien depuis
quelques / plusieurs années –[cela peut être plusieurs dizaines d’années avant
d’y parvenir :], de raisonner de façon cohérente et/ou juste, mais aussi
de se repérer, voire de ne pas/plus se perdre, etc.)-
[319] –[au sens négatif de ce mot qui en a du positif
dans d’autres SPOK]-
[320] -[à distance et lâchement, comme de manière
non-fraternelle ni respectueuse de ce qu’induisent les droits des êtres humains
à être naturellement respectés durant leur repos dans le sommeil]–
[321] -(en raison de l’absence -[momentanée]- de la
conscience)-
[322] -(bien que sur un autre plan, la plupart des
rêves puisent dans la mémoire proche et/ou lointaine -(ancienne), mais d’une
façon plus ou moins loufoque)-
[323] -(comme je l’ai prouvé en démontrant comment on
devient satan, soit l’empereur, en ayant dû m’ingénier à contracter -[à partir
de fin 1977 début 1978]- une amnésie d’un fait majeur, pierre angulaire de mon
existence, CQFD avec ma fiancée S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et
l’amnésie de mon apparition immense dans le ciel de Rome en cette seconde
avant-première virtuelle qu’elle fut -(la
première ayant eu lieu auditivement seulement en 1967 dans le ciel de Paris)- vingt-sept années avant que cela ne se produise dans
la réalité à partir de 2005, dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs,
soit du premier des pharaons / empereurs de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- [re]devenu un
éveillé -(comme cela fut le cas en 1967 et 1977
synchrone pour moi avec 2005)- par acquis de
conscience, soit bouddhahs)-
[324] -(trop peu de mémoire. D’où l’importance des
instruments disposant de mémoire[s] artificielle[s] qui le confirme)
[325] Celui qui en est victime est bien à plaindre. Il
s’est laissé posséder par ce qui sera à l’origine de régressions cérébrales,
soit à/vers la réincarnation animale qui sera la sienne une fois mort. Aussi
cette absence de conscience, c’est à éviter par tous les moyens. Mais comment
faire, comment vivre, sans un minimum d’inconscience -(car il convient d’éviter
des péchés par excès de conscience dans un monde où les inconscients sont
nombreux – d’autant qu’on souhaite les mener à leur tour vers cet acquis de
conscience -(soit à l’état d’éveillé, donc de bouddha), voire plus loin
encore : dans la connaissance / compréhension du Saint-Esprit),
donc au sens positif de ce mot d’inconscience qui, dans d’autres
situations -[SPOK]-, en a du négatif ?
[326] -(qui en a du positif dans d’autres SPOK),
[327] -(en raison de momentanée[s] plus ou moins
grande[s] inconscience[s] dans les différentes phases du sommeil)-
[328] -(car cela sera à l’origine de leurs futures
réincarnations dans le sens contraire au sens qui mène à celle en l’être humain
conscient)-
[329] –(qui se caractérise par la bonté, la générosité
et les vertus en liaison avec la conscience. La méchanceté -(comme la mort), au
sens négatif de ces mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK, n’ayant pas
été inventée par Dieu ou/et l’Amour mais, hélas, infiniment hélas pour Lui, par
son contraire, [et de plus localement sur cette
planète]- satan alors
possédé par la haine et ses corolaires d’inconscience[s], de profanation[s]
et / ou sacrilège[s], et etc. , soit ce qui est à l’origine de la noirceur
d’âme, de l’égoïsme, des mensonges, de l’ignorance, des vices, des maladies
génétiques, des malheurs, etc. au sens négatif de ces derniers mots qui, dans
d’autres SPOK/cas particuliers, etc. pourraient en avoir du positif)- inhumain.
[330] -(et leurs corolaires sacrilèges)-
[331] -(tous les plus grands auteurs et leurs
respectives œuvres l’ont, au cours des millénaires, incessemment prouvé)-
[332] –[par exemple celui d’un frère à/pour une sœur –
cela peut arriver dans certains contextes familiaux]-
[333] –[et très peu avec la pornographie en tout cas
au sens négatif de ce mot qui pourrait en avoir du positif dans d’autres SPOK]-
[334] –[peut-être même agréables]-
[335] –[alors que la torture a été officiellement
abolie, ce qui signifie donc, en toute cohérence, que l’on n’a pas/plus le
droit de réaliser / imposer des cauchemars]-
[336] –[au sens négatif de ce mot qui en a du positif
dans d’autres SPOK]-
[337]-[en raison de l’anneau immatériel immaculé
découvert / vérifié, dans mon cas, quelques secondes à mon doigt annulaire des
êtres humains les plus véritablement mariés en réalité –(comme on l’aura appris
à mon sujet)- dès avant ma conception]-
[338] –[si le[s] nid[s] et etc. pour les accueillir
est/sont prêts]
[339] –[au détriment de l’inconscience – (on le voit
bien ici, celle qui mène au péché, aux fautes, rendant faillible)- au sens
négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK]-
[340] –(qui m’a poussé à lui demander de régler cela
par courriels pour éviter les microbes à respirer au Centre Médical
Psychologique -[C. M.P.]- lors de la réunion qu’il proposait avec madame
Ophélia Abdoul)
[341] –(toujours à ma disposition par précaution en
prévoyant le pire -(dans/pour l’une ou l’autre de mes activités
artistiques)-, par exemple d’avoir à acheter un nouveau caméscope – ce qui sera
nécessaire quand on passera à la vidéo 8K, voire au 16K et ainsi de suite –
donc que la définition des caméscopes grand public augmentera de manière à
faciliter ainsi les agrandissements de détails dans les images en conservant au
moins la qualité du 4 à 8K, même sur une petite portion des images agrandies)
[342] -(et évidemment c’était pécher par omission,
donc sans penser à ma situation exceptionnelle / particulière liée aux dépenses
engendrées par mes activités, soit des
investissements que j’ai régulièrement à m’imposer de faire pour les servir –
bien sûr si j’avais plus de moyens pour louer un atelier je pourrais réaliser
des tableaux ou/et des sculptures en ayant aussi les dépenses pour les stocker
et ainsi intéresser quelque[s] acheteur[s] – pour l’instant tout cela reste
hors de ma portée : je dois me contenter de ce j’ai à ma disposition)
[343] -(comme d’éviter le déplacement qu’il se
proposait aimablement de faire à ce sujet pour en parler avec madame Ophélia
Abdoul. Il avait donc oublié qu’en période de coronavirus, il convient d’éviter
les réunions qu’on peut régler par le dialogue écrit, voire par téléphone, voire
encore mieux par visiophonie)
[344] -(encore une fois les problèmes de mémoire –
voir plus haut - à l’origine – la cause elle-même – dans l’histoire de l’aventure humaine –[H. A. H.]- du premier des
satan[s], soit du premier des empereurs qui s’est laissé posséder par la
haine : une entité sans corps, d’un noir absolu, hideusissimis…simissime
et horriblissimis…simissime, d’environ deux mètres carrés sur cinq à dix
centimètres d’épaisseur que j’ai découverte / constatée morte -(s’étant
probablement auto-détruite), prisonnière, au cours de l’hiver 2005 -(alors que
je me promenai au Jardin du Luxembourg à Paris après déjeuner), dans
l’épaisseur de la glace, à droite du jet d’eau au centre du bassin du
Luxembourg -(quand on a la façade arrière du Palais Médicis, vue côté jardin,
donc l’arrière du palais devant soi). J’en ai déduit que cette haine
m’attendait, moi l’empereur suivant mon père Jean-Luc Granier, pour essayer de
me posséder à mon tour -(comme probablement elle -[le]- fit des empereurs nous
précédant, voire de l’un ou l’autre des despotes / tyranneaux locaux et/ou gnap
-[dans une des premières aventures des Schtroumpfs]), mais au lieu
de cela, j’ai eu à constater en grand inspecteur eanmeailleurs -(soit vos
dévoués serviteurs pharaon + bouddhahs)- mais aussi à mes divers autres titres
liés à mes diverses compétences / maîtrises -(doctorats et etc.), donc en
Vérité, que cette entité était effectivement raide morte -(stecchita, en italien)- avec sa face de haine la plus noire -(ainsi aussi noire que cela
–[ce que j’ai en souvenir concernant cette figure de la haine raide morte dans
l’épaisseur de cette glace]- elle formait une
tâche qui se détachait de la transparence de l’épaisseur blanche et translucide
de la glace)- dans la cécité cérébrale absolue
-(qu’elle s’était auto-générée à cause de sa nature même de haine, soit celle –
dans cet état - d’une « personne » n’arrivant plus à réfléchir et/ou
à penser par elle-même)-
[345] -(à cette heure-ci de 15 heures le Vendredi 24
Décembre 2020)-
[346] -(malgré la quantité de solutions alternatives
élégantes)-
[347] -[d’indispensables]-
[348] -(et qui concerne la vie de chacun en société),
[349] –(soit ce qui n’est possible que par écrit, tant
la complexité de ces faits sont difficiles à dire / exprimer oralement
puisqu’il s’agit pour chacun d’entre eux de conséquences, donc de choses
reliées à des antécédents d’où la plus ou moins grande complexité /
difficulté).
[350] -(logiquement)-
[351] -(ou même ne tenait pas compte pour des raisons
diverses la/vous concernant, voire parce qu’elle/vous a[vez] appris à régler le
problème sur la base d’une méthode spécifique dont elle/vous n’a[vez] pas
encore compris qu’elle n’est pas/plus appropriée à la situation -[au SPOK], par
conséquent qui serait à mettre à jour en raison des nouveaux paramètres que
vous lirez, dont, hélas, infiniment hélas, quand ils furent oralement évoqués,
elle n’avait -[vous n’aviez]- pas eu la curiosité d’en comprendre plus
célestement la justesse et les conséquences de décisions à prendre sur le
champ)
[352] –(du moins à l’échelle -[où / à laquelle]- il
convient en plus véritable Pharmacie de travailler)-
[353] - quoi qu’à première[s] vue[s] vous pensiez à ce
sujet –
[354] ou » tous «.
[355] -(ce » seulement « est à lire sur le
ton ironique : c’est ici un anti-mot, comme on dit une anti-phrase, soit
pour dire le contraire de ce qui est signifié)-
[356] -[sur ce sujet exploré par mes soins aussi en
cobaye – ce qui fait que je puis vous donner la solution, soit le remède, par
ce que j’en ai vérifié sur moi-même les causes avec l’ensemble des souffrances
de divers types que vous avez su -(dans le dossier de mes anciens courriers),
mais que je vais rappeler le moment venu]
[357] [même si cela -[ne]- s’est déroulé progressivement à partir de 2005 après vingt-sept années d’amnésie]
[358] -(sauf, évidemment, quand je dors)
[359] -(d’où à mon sujet les effets secondaires douloureusissimis…simissimes – et malgré ce superlatif absolu, croyez-moi, je minimise)-
[360] -(car, nous l’avons prouvé de 1977 à 2005, c’est la perte de la mémoire qui peut rendre bête – au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPÖK - quelqu’un)-
[361] -(par rapport à la situation précise du cas particulier exceptionnel dans lequel j’étais à cette occasion, donc ce qu’exigeait le SPOK – acronyme de situation précise, occasion, cas particulier -[car ici c de cas et p de particulier = K de SPOK])-
[362] La première des avanpremières –(avant-premières - ayant eu lieu en ma présence, [moi âgé de quatre ans])- s’est déroulée à partir de 1967.
[363] -(au moins vingt-sept ans)-
[364] -(véritable)-
[365] Au risque d’avoir à demander - en raison du SPOK exceptionnel- une dérogation spéciale au Saint-Père, le pape pour ce faire.
[366] -(soit la solution alternative élégante)-
[367] en raison que j’étais devenu bouddhahs et que je devais être l’empereur suivant mon père quand cela serait possible -(mais d’une façon sûre et certaine à partir de 1995, si Michèle refusait ma solution des deux épouses)-
[368] -(et je pèse mes mots, soit ce qui signifie qu’ils sont inscrits en conscience, donc indubitables à l’échelle où je suis / me trouve, celle entre autres d’un peintre miniaturiste sachant ce qu’un point peut représenter dans notre monde à géométrie variable)-
[369] -(quoique que vous puissiez penser je minimise encore en ne la considérant qu’ainsi énormissime à l’aune des effets secondaires martyrisantissimissimissimes)-
[370] ou -[en]- sciences naturelles.
[371] – soit le mois suivant pour le Xeplion, soit quinze jours après l’injection pour le Risperdal – (ce qui est de très nombreuses secondes d’éternité[s] -[si toute fois cette dernière devait exister])-
[372] Donc si ces textes sont/disent vrais –sont scientifiquement exactes - en absolu -(ce dont on doutera jusqu’au jour où on aura vérifié ces médicaments sur soi-même, ne nous contentant pas de » on dit « écrits par on ne sait qui – s’il s’agit d’une personne ayant acquis une conscience ou au contraire d’une personne n’en étant pas encore pourvue).
[373] [pas]- drôle de « calme », un calme pareil -(si c’est un de ceux-là -(de calmes), ce n’en n’est, bien sûr, pas un d’acceptable !)
[374] Et je vous prie de me croire, je minimise, soit je réduis à un mot ce qui est/sont des douleurs psychiques et un état de souffrances indescriptibles et cela dès Risperdal 25 mg et/ou Xeplion 25 mg, soit ce qui me fait affirmer/ dire en toute vérité que ces dosages de 25 mg sont le maximum absolu à ne jamais dépasser car sinon la personne, sans le correcteur Artane 5 mg, va vouloir se suicider, voire se suicidera –(ce qui sera de la faute du « médecin » qui aura prescrit au-dessus de 25 mg le Risperdal ou le Xeplion -(aussi cela sera lui et ses complices les infirmiers, comme tous ceux qui le couvrent administrativement qui obtiendront pour chacune des souffrances dont le patient aura été victime, une réincarnation tragiquissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissime, malheureusissimis…simissime, tristissimissimis…sime et etc. -(car évidemment coupable : il n’avait pas à donner un produit qui a autant d’effets secondaires martyrisantissimis…simissimes. On comprend ce qui signifie que les réincarnations qu’on obtient en étant devenu intellectuellement un escroc ou/et en faisant souffrir un autre que soi, sont mathématiques et justes : on est naturellement puni pour le mal qu’on a fait plutôt que le bien qu’on pouvait faire en ne donnant au grand maximum que la dose de 25 mg -(ce qui est déjà vingt-cinq fois trop / plus qu’un milligramme ce qui est déjà beaucoup trop dangereux comme à l’origine d’effets secondaires, voire sans effets secondaires mais un élément étranger à un corps sain, en bonne santé ce que nous devons être sans être jamais dépendants de médicaments chimiques neuroleptiques – soit une bonne santé fruit d’une alimentation végétarienne des plus saines donc sans dépendre, si possible, d’aucun médicament)- en la proposant avec un sevrage sur six mois au grand maximum, voire sur un an dans le pire des cas / SPOK -(ce qui est immensément de temps à souffrir, ce qui signifie que cela va représenter un danger non seulement pour le patient mais aussi pour le « médecin » qui, visiblement n’a pas conscience de ce que représente une seconde de souffrance, par conséquent qui ressemble déjà à sa future réincarnation en l’un des animaux plus ou moins inconscient, soit celle d’un ancien imposteur, soit celle d’escroc sur le plan médical. En effet, une seconde à l’échelle universelle c’est énormément de temps -(de choses qui se sont passées / sont advenues y compris dans l’invisible autour de chacun d’entre nous), ce qui signifie qu’il convient de privilégier les sevrages sur deux semaines, voire trois semaines ou un mois, ou au pire de trois mois, cependant qu’il existe les plus pénibles de six mois et de six mois et quinze jours, voire trois semaines ou sept mois, et ainsi de suite semaine par semaine supplémentaire jusqu’à un an, le très grand maximum des sevrages. Pas plus longtemps car tout/tous ceux qui prescriront au-delà d’un an des neuroleptiques obtiendront avec tous leurs complices infirmiers mais aussi personnel de pharmacie et/ou industriels en Pharmacie et chercheurs industriels producteurs de ces neuroleptiques ces réincarnations désastreuses, horribles à vivre étant donné qu’en obtenant celle d’un être humain on s’en était affranchi donc que la vie en l’un des êtres humains avait donc d’autres objectifs que celle de régresser. Ce qui signifie pour les âmes en cause un retour à une réincarnation par laquelle on était passé avant d’avoir obtenu une de celles de l’un ou l’autre des animaux pacifiques et inoffensif herbivores quadrupèdes -(APIQ), ce qui est le passage obligé avant la réincarnation suivante en être humain. Aussi nous avons alors des personne qui ont régressé au lieu de progresser. Elles se sont permises de faire souffrir un patient, donc d’abuser de la confiance de ce patient – ce qui est bien évidemment, en conscience, donc en vérité inadmissible et ce qui sera donc à l’origine de la réincarnation suivante du « médecin » en question et de tous ses complices : il s’agissait de faux médecins comme d’êtres humains non parvenus à être un de ceux agissant en conscience, donc mathématiquement, soit très exactement mais l’un de ceux ayant cru possible par mimétisme, donc comme des copieurs et sans penser par eux-mêmes – soit péchant par omission ce qui signifie qu’il ne professait pas en conscience mais en tricheurs -(sur le plan intellectuel, non délivrés - libres), ce qui est bien sûr inadmissible pour tous sans exception à cause de ces souffrances des effets secondaires qu’on a le droit de ne pas avoir à subir, dont on a bien sûr le droit de ne jamais en être victime[s] – ceux ayant cru le contraire étant donc voué à ces réincarnations de prédateurs, donc pire que mort).
[375] Ce que nous ne savons pas -(mais qu’on a le droit d’imaginer, car ce qui est du domaine virtuel pourrait – qui sait ? – être, voire ne pas être).
[376] Je vous prie d’accueillir ce néologisme avec tout le respect qu’il mérite logiquement.
[377] ou/et comme moi dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs -(soit d’empereur-éveillé par acquis de conscience – vous comprenez que cela a aussi à voir avec ce qu’on a pris l’habitude de nommer » la conscience professionnelle «).
[378] -(ce qui pour vous n’est, en vous citant, rien – cependant que je puis vous affirmer très objectivement le contraire : c’est encore beaucoup trop par rapport à un état normal où on n’a pas à être sous médicament[s] neuroleptique[s] d’aucune sorte[s])-
[379] sont peut-être -(moins sensibles …).
[380] au moins vingt-cinq fois trop forts.
[381] -(mais déjà à 25 mg)-
[382] Dès la première injection à établir, proposer au patient en toute transparence -(car il convient de ne pas l’inquiéter en ne lui donnant pas le choix d’un des programmes possibles de sevrage[s]). Aussi il faut lui faire comprendre l’aspect dégressif et logique de chacun des sevrages : du plus court – une seule prise de Xeplion 25 mg ou Risperdal 25 mg -(ce qui lui donne quinze jours pour guérir, voire avec le Xeplion un mois en sachant que ce Xeplion 25 mg fait un peu moins souffrir que le Risperdal 25 mg – ce que bien sûr il vaut mieux prescrire car en prescrivant méchement le Risperdal 25 mg alors qu’on pouvait prescrire le Xeplion 25 mg on obtiendra en tant que « médecin » comme avec tous les complices les plus tragiques réincarnations), au plus long -(nous l’avons vu)- sur un an de moitié de dose en moitié de dose!
[383] -(si ce n’est, vu autrement, en réalité dix mille mètres !),
[384] -(synchrones entre elles)-
[385] Et cela pour avoir, grâce à mon histoire très véritable et non une fiction, des preuves que les voyages dans le temps seront un jour possible[s].
[386] -(celle de trois mille mètres, voire de dix mille mètres, voire en coupant la poire en deux de six mille cinq cent mètres)-
[387] Celle dans laquelle je vis continuellement en tant que peintre miniaturiste -(donc en permanence conscient des détails), par conséquent œuvrant dans la dimension macroscopique -(ce qui explique pourquoi on peut conserver dans de petite clé USB autant de giga octets -[Go]- dans à première-vue[s] un si petit volume).
[388] A partir de » neutrino «, la plus petite particule.
[389] C’est le cas pour certains microbes ou/et virus : ils ont eux aussi des tailles à-premièrevues petites mais en réalité capables de faire de grand dégâts même si à-premièrevues invisibles car minuscules. Cependant qu’au microscope cette taille sera visible, voire impressionnante.
[390] Donc tout dépend de l’échelle de mesure[s] sur laquelle on se base, en fait tout dépend de la base dans laquelle on compte -(rappelez-vous, c’était au cours élémentaire première année, soit pour notre génération, la onzième : les bases ! Ce qui nous avait fait comprendre le relatif, voire un peu mieux les notions de vérités relatives).
[391] -(en créant artificiellement avec les effets secondaires indésirables des maux physiques et psychiques d’une ampleur cauchemardesque au point d’être ainsi, à partir d’un certain seuil sans médicaments correcteurs comme l’Artane 5 mg, à l’origine des tentatives de suicide de certains patients)-
[392] -(tant on a – nous espérons pour ces responsables sans préméditation - ainsi abusé de la crédibilité des ignorants au sens positif et négatif de ce mot)-
[393] -(et je vous prie de me croire en toute logique avec ce que je viens de dire je minimise même si à première vue ce superlatif serait juste – en réalité c’est plus important que cet énormissimis…simissime !)-
[394] -(souhaitons-le pour eux : malgré eux – il est possible qu’ils aient cru, dans leur temps sincèrement, bien faire en raison de points précis dont nous ne sommes pas encore au courant et qu’en prenant en considération cela les ait conduit à développer leur produit dans/à cette échelle)-
[395] -(dix-sept mille cinq cents vingt heures soit soixante-trois millions soixante-douze mille secondes de souffrances insuportabilissimis…simissimes : 63 072 000 secondes)
[396] -(si cela nous évite de rentrer dans des réflexions dans lesquelles j’ai cru un instant devoir vous mener)-
[397] -(cependant que cela se dissout dans les muscles puis dans les poumons pour concerner le système sanguin qui irrigue toutes les parties du corps dont le cerveau – d’où le danger extrême que ces neuroleptiques représentent au point, évidemment, qu’il vaudrait mieux jamais en prescrire)-
[398] -(mais nous n’en sommes pas certains car c’est selon les moments et les lieux où cela se produit dans la tête)-
[399] -(ce qui nous parait soudain impossible à écrire car ce ne peut être vrai – vous le savez comme moi la plupart des choses que nous faisons, disons, porte à conséquence -[et si nous disons faux hélas aussi] – ce qui signifie qu’il y a aussi de sérieuses probabilités de conséquences quand cela se produit dans l’infinitésimal dans le cerveau ou/et dans notre corps)-
[400] –(car ce sont les mêmes que celles depuis juillet 2017, sauf qu’à partir de 2019 elles sont un peu moins fortes, donc un peu moins douloureusissimis…simissimes donc douloureusissimissimissimes)–
[401] -(pour celles qui sont ponctuelles et non celles qui sont continuelles aux pieds ou en tant qu’impatiences, si douloureuses)-
[402] -(en ayant fabriqué et mis sur le marché ces produits martyrisant[s] comme en suggérant / conseillant de les prescrire, mais aussi en les prescrivant)
[403] -(il est normal / logique / cohérent qu’il y ait une justice dans l’Univers, soit dans le/ce processus des réincarnations).
[404] -(par l’entremise de l’infirmier François Martineau)-
[405] –(premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à avoir eu accès à la bouddhéité)-
[406] -(je vous prie de ne pas oublier que c’est bien l’empereur devenu à partir de 2005 bouddhahs, c’est-à-dire vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs qui s’adressent à vous)-
[407] -(comme tous ceux qui sont passés à la casse pour nous permettre d’arriver aux plus récents aux services de nos écrits / pensées les meilleurs ou plus justes)-
[408] -(celle des paramètres concernant chacun de nous)-
[409] Et c’est bien de la mémoire de la chronologie de mon sevrage jusqu’à la demi-dose de Risperdal 25 mg que vous n’êtes pas au courant très exactement -(je vous apporterai comme vous me l’avez demandé la copie de mon carnet d’injection, voire celui-ci où vous comprendrez plus clairement comment cela s’est déroulé et en combien de temps nous arrivâmes à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, soit de votre point-de-vue le sevrage comme si achevé, donc terminé depuis 2014 où j’étais à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit en 2017 près de deux ans où j’allais très bien -(puisque cela m’a permis d’écrire mes lettres inachevées aux papes et celles aux présidents de la République française – du moins jeter les premières bases de lettres que j’ai encore à relire)- avant que le docteur Marcel arbitrairement, parce qu’il découvrait que j’étais depuis longtemps -(près de trois ans)- comme sans médicament, n’ait décidé sur un coup de tête inexplicable -(fou, au sens de totalement incohérent, arbitraire, sans logique et sans motif valable)- de m’hospitaliser contre tous nos intérêts les plus précieux -(vitaux à tous)- dont celui de décider qu’à ce point du sevrage il était urgent de passer à la demi-dose de Risperdal toutes les huit semaines – ce qui était préférable et que j’attendais depuis au moins une année et demie – voire mieux encore de me déclarer guéri -(puisque depuis 2014 à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(ce à quoi, contre toute attente, il n’a pas voulu reconnaître en me replongeant -[en m’hospitalisant de nouveau]- dans les souffrances les plus atroces au lieu – s’il avait motif de le croire – en 2017 où j’étais à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, de passer de nouveau à cette demi-dose toutes les six semaines, voire toutes les cinq semaines -(voire toutes les quatre semaines -[s’il y avait motif valable pour cela], cependant qu’il n’y avait aucune raison[s] / matière -[valable]- en conscience de le faire d’autant plus qu’inspecté ! Cette hospitalisation comme ses suites a donc été de continuels sacrilèges envers notre très sainte et déjà tant/trop martyrisée personne).
[410] –(les / certains écrits restent -[des référents], ils sont la preuve, depuis longtemps un peu partout dans le monde, que la mémoire est primordiale / essentielle. Ils sont là pour rappeler le[s] paramètre[s] à ne pas omettre / oublier comme, pour donner un exemple parmi beaucoup d’autres, celui de la vieillesse qui doit se préparer dès les premières années de scolarité –[grâce aux meilleurs conseils des instituteurs]- en sachant qu’il y a des probabilités pour que cela soit difficile à vivre / supporter même si la civilisation propose déjà àpremièrevues des solutions alternatives -[à-premières-vues]- élégantes).
[411] -(qui pourtant avait de l’importance)-
[412] -(car vos dévoués serviteurs les bouddhahs)-
[413] -(comme le docteur Marcel et son entourage, alors que j’étais sain de corps et d’esprit – donc en bonne santé car [re]devenu éveillé –[bouddha]- par acquis de conscience, soit comme j’ai eu à le démontrer plusieurs fois au cours de mon existence depuis ma naissance en 1963, grâce à cette sécurité qui existe pour / dans chacun des êtres humains),
[414] –(ce qui est très différent de naturellement)-
[415] (en l’annonçant d’avance aux intéressés -[les patients]- pour les rassurer),
[416] -(dont l’histoire de l’aventure humaine –[H. A. H.]- dont celle des peuplements des différentes régions)
[417] -(vue autrement des milliards et infiniment plus encore de milliards d’années – en comptant / additionnant pour cela le nombre d’années de chacun des individus ayant peuplé cette planète et de ceux qui peupleraient d’autres systèmes solaires)-
[418] -(parfois dans la seconde qui suit celle où ils se sont cru malade)
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