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Accueil de "Diverses lettres envoyées"

 

Vers la suite: la lettre du 22 07 2021 -(en introduction à celle-ci ci-dessous)- à mes voisins pour une plus sage / raisonnable / juste rénovation au cas par cas et l'abandon du projet farfelu -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d'autres situations)- de réhabilitation compliquant l'existence de chacun des locataires de l'empilement où se trouve l'appartement que j'occupe, d'autant plus de plans qui ne tiennent pas debout car handicapant à l'extrême au lieu, au contraire, de faciliter l'existence des locataires, (la fonction même de l'architecture -[quand elle est utilement / justement conçue]).

 

A Fabrice Didier, mon voisin, pour accompagner la lettre qui suit cette entrée en matière, donc un message introductif résumant le problème ayant contraint mes inspections en conscience.

 

Cher voisin, (chère Sabine Lemire)

Après vous avoir croisé ce soir, j’ai pensé à vous envoyer le texte -(dont je vous ai parlé), ci-dessous -(sans attendre qu’il soit publié sur mon site, ce que je me propose de faire dans les jours qui viendront),

 

Si, -(par le biais de l’association que nous avons créée)- vous disposez des adresses Internet des autres voisins, je vous prie, s’il vous plaît, -(sans obligatoirement mentionner notre association, à moins que sa présidente et vous même y teniez - cela peut être de votre part une initiative à titre privée)- de leur transmettre à chacun le texte ci-dessous -(si cela vous pèse, je vous prie d’avoir l’amabilité de me transmettre la liste de ces adresses e.mail car je nous propose de le faire moi-même pour vous éviter cette peine).

 

En effet, je vous l’ai dit, j’ai l’intention d’en mettre au courant l’ensemble des locataires de notre résidence -(comme je l’ai fait dernièrement pour un précédent courrier dans lequel je suis déjà pour des rénovations au cas par cas et absolument opposé à cette «  réhabilitation »)- vous le verrez très gravement menacée par tant de légèreté et d’inconscience -(des plans sur la comète, évidemment ainsi inadmissibles et sacrilèges envers la plus véritable [a]Architecture n’ayant pas d’autres principale finalité que d’anticiper et soulager les personnes aux prises avec les difficultés matérielles de l’existence, voire handicapées par l’un ou l’autre des paramètres au point de, si possible, normalement, (habitat social oblige)- d’essayer de rendre plus vivable et agréable -(commode)- la vie -(et notamment celle des personnes âgées). 

 

Avec ce qui nous a été proposé comme plans c’est le contraire : cela met en grande difficulté une éventuelle personne âgée mais déjà des personnes de nôtre âge, voire plus jeunes et/ou enfants au point de rendre encore plus pénible la vie dans les habitations de mon empilement -(en ayant à devoir se rendre à chaque fois à la porte d’entrée de l’appartement au bout du couloir pour rejoindre les W. C, la douche, le lavabo pour se brosser les dents, ce qui occasionne à chaque fois, -(au moins cinq à six fois par jour chacun)- le double de trajet actuel - (ce qui une fois âgé même avec un déambulateur sera cauchemardesque -au moins une vingtaine de petits pas en plus à faire de la situation présente qui en exigerait déjà une vingtaine à vingt-cinq de pénibles avec un déambulateur pour se rendre à ces W. C. situés à l’heure actuelle au centre de l’appartement - ce qui fait, grosso modo, la moitié du chemin donc une peine divisée par deux - ce qui est donc beaucoup plus commode / juste / bien vu / agréable / rationnel / pensé / etc. / : bravo à l’architecte-auteur de ces immeubles situés sur l’arche -(à classer)- ouvrant sur l'Impasse des Bœufs !). 

 

Aussi cela, en Vérité, ne se peut aucunement car au lieu de nous faciliter la vie -(nous avons dit la fonction de l’[a]Architecture)- cela nous mettra tous, finalement, en grandes difficultés et à chaque fois dans l’embarras plusieurs fois tous les jours -(avec le continuel regret de la situation présente -(actuelle), en vérité admirable -(donc contentons-nous de ce que nous avons qui est somme toute épatant si rénové comme cela a été fait pour moi avant mon arrivée en 2013)-, sur de très nombreux points et maudissant éternellement les auteurs de pareils plans n’ayant ni queue ni tête et ceux qui abusés dans leur confiance -(les responsables de Paris-Habitat n’étant visiblement pas très calés en [a]Architecture pour s’être ainsi fait bernés par ces [soi-disant]« architectes »)- auront voulu réaliser ces plans délirants de faussaires en plus véritable [a]Architecture): vraiment des façons absurdes et sacrilèges -(envers l’être humain qui mérite le mieux et non le pire)- d’opérer en la matière!

 

 

En vous remerciant de la peine que vous prendrez à me lire -(si vous le souhaitez), veuillez agréer mes meilleures salutations,

 

Vos dévoués serviteurs,

 

Laurent-Marie Granier

 

 

 

Envoyé le 2 juillet 2021 à Madame la gardienne Sabine Lemire pour le transmettre aux intéressés Pliez et Dauphin

 

CARE 10

 

 

 

Bonjour messieurs Éric Pliez et monsieur Stéphane Dauphin -(aux bons soins de madame Sabine Lemire –[résidence Carmes-Ecole Polytechnique]),

 

Pour vous répondre au sujet du mois de Septembre -(comme vous l’indiquez dans votre dernière missive), permettez-moi de vous écrire une fois encore au sujet des travaux dans les appartements et parties communes rue de l’Ecole Polytechnique et rue des Carmes, (dans le cinquième arrondissement de Paris)- du ressort de Paris-Habitat, soit directement de votre responsabilité.

 

J’ai pourtant démontré dans mes autres courriers –(les précédents, [cherchez » Paris-Habitat «)- l’inutilité et le sacrilège que constitueraient les travaux de réhabilitation dans l’appartement 49 que j’occupe, et donc par extension, s’ils sont semblables[1] au-dessous et au-dessus de mon appartement, donc -(pour faire plus court et simplifier)- dans l’empilement qui concerne la superficie de mon appartement -(un deux pièces, le n°49)- au point que j’attendais que vous, les responsables de Paris-Habitat, renonçassiez / renonciez -(totalement)- à la votation -(à faire voter les locataires)- en renonçant aux travaux de réhabilitation au profit de ceux de rénovation, voire pour cela proposassiez / proposiez de nouveaux plans tenant compte de mes réflexions[2].

 

Je me suis rendu à une des dernières réunions mais la personne qui m’a reçu m’a dit que cette réunion ne me concernait pas d’autant qu’il connaissait mon point-de-vue[s] à cause des dernières missives que je vous ai adressées.

 

En effet, vous le savez et pouvez le lire à l’adresse ci-dessous à la rubrique » Paris-Habitat « : http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/accueil_lettres_a_personnalites.htm,  dans la copie de mes divers courriers à nvôtre[3] organisme, j’ai expliqué combien cela serait préjudiciable et sacrilège de procéder à la « réhabilitation » envisagée par les architectes chargés par Paris-Habitat de celle-ci, plutôt, comme j’en ai plusieurs fois conclu l’augure, d’une infiniment plus adéquate / utile / juste rénovation au cas par cas -(confiée à d’autres architectes si ceux-ci actuellement s’y refusent comme ils en font mine en croyant nous menacer en disant que ce sont les travaux qu’ils ont décidé ou sinon ce n’est rien[4] ; ils n’en manquent pas sur le marché de concurrents compétents. Ce qui fera nous passer des services de ceux-ci se conduisant en enfants-gâtés puisqu’ils n’ont, pour l’instant, pas voulu tenir compte de mes diverses expertises et observations, alors que la dame qui est venue au début du processus avec un questionnaire émanant du bureau de ces architectes -(auxquels vous avez fait appel), nous a dit absolument très courtoisement compter sur notre manière de voir dans le lieu où nous vivons pour bénéficier de notre vécu, voire de nos éclairages originaux fondés sur nos respectives expériences de vie dans ces logements : elle nous a dit : « nul autre que vous savez les qualités et les défauts de l’appartement que vous occupez et c’est pourquoi nous vous demandons votre collaboration / aide » - ce qui avait fondé sa prise de rendez-vous accompagnée de l’un des architectes qui durant les réponses à ses questions étudiait l’appartement comme a pris connaissances de mes représentations décoratives sacrées au pastel sur les murs)- ce qui prendrait, (avec un autre architecte, voire simplement en retrouvant –[si possible]- la même équipe qui a rénové mon appartement avant que je m’y installe en 2013), des travaux de tout au plus quinze jours par appartement -(sans modifier les plans de façon à contraindre une personne âgée, voire celle-ci munie d’un déambulateur, de quinze à vingt-cinq petits pas à faire supplémentairement à ceux qu’elle fait déjà quotidiennement pour se rendre aux W. C. –[qui sont donc excellemment placés là où ils –(le)- sont]- comme se sont avérés très bien placés la douche et le lavabo, puisqu’en raison de la disparition de la porte entre le séjour et la chambre – [ce qui a fait gagner de la cloison –(en fermant ces espaces), donc a augmenté l’espace pour les étagères des deux côtés du mur ainsi terminé / créé / fini / muré / abouti là où il y avait cette porte, (donc en rendant la cloison continue)], j’ai dû installer mon lit dans ce qui était à l’origine -(avec cette porte)- considéré le séjour[5] pour être proche de cette douche et ce lavabo ainsi beaucoup mieux placés : à deux pas du lit, ce qui est pratique pour se laver les dents comme pour se doucher, donc à très peu de mètres du lit – (en effet ainsi placé le lit avant de se coucher, cela me permet de me brosser les dents à trois pas de la sortie centrale de mon lit-canapé et de me doucher à un pas de plus : quatre pas, voire autrement vu, si je m’assieds au bout du lit-canapé pour sécher -(après la douche), à trois pas seulement. Aussi vous conviendrez aisément avec moi que telle qu’elle est cette configuration spatiale des divers éléments salle-de-bain sont, dans l’état actuel, parfaitement placés tels qu’ils -[le]- sont : On ne peut mieux placés : Cela est vrai pour les waters dont l’entrée est de mon lit située à neuf pas de la sortie de ce lit et à dix pas de mon bureau d’où je vous écris. Un bureau que j’ai placé après l’entrée de la chambre au bout du couloir. L’entrée de ces waters étant placée à trois pas de la sortie de la cuisine et à huit pas de l’entrée de mon appartement, donc somme[s] toute[s] de façon centrale, ce qui est cohérent avec la meilleure utilité et le meilleur état de fonctionnement de ce deux pièces).

 

Je pensai que l’ensemble de mes courriers aurai[en]t fait faire machine arrière à vous autres responsables de Paris-Habitat qui auriez au moins pu dire qu’à la lumière de mes écrits évidemment vous renonciez aux travaux[6] dans l’empilement où se trouve mon appartement, en conséquence[s] aux/des peines que j’ai prises pour vous expliquer dans le menu détail et le plus clairement possible pourquoi il faut, dans cet empilement, renoncer -[totalement]- aux diverses propositions de plans qui nous feraient perdre la surface de rangement du placard / cagibis -(situé très à propos, [d’une façon]- juste car très utiles là où ils le sont dans ce qui constitue l’entrée)- mais aussi le lieu où se trouve actuellement la douche et le lavabo aérés, comme aussi le lieu où se trouve -(nous en avons conclu : merveilleusement et très justement bien placée)- la cuvette des W. C. -(dans le couloir, nous l’avons vu, grosso modo au centre de l’appartement).

 

Cela signifie pour les habitants de l’empilement où se trouve mon appartement qu’il ne faut absolument pas réaliser les plans proposés parce qu’en expert et à force de détails, j’ai bien signalé qu’il convient, au contraire, d’absolument conserver la configuration actuelle des appartements de cet empilement -(s’ils ont été rénovés comme mon appartement)- où se trouve mon appartement, voire – si cela n’est pas encore le cas dans les autres appartements de mon empilement, au cours de rénovations les rendre semblables au mien -(puisque mon appartement a bénéficié d’une rénovation en 2013 avant mon installation et que celle-ci –[cette rénovation]- est en très grande partie parfaitement réussie -(c’est probablement au cours de celle-ci qu’on a décidé de supprimer la porte qui permettait d’aller du séjour à la chambre sans passer par le couloir, ce qui a eu pour heureux effet en conséquence[s] en plus de nous offrir la possibilité de placer deux étagères Billy d’Ikéa -(un espace de rangement en plus pas négligeable)- de me faire placer mon lit dans ce séjour et ma table de travail dans la chambre, ce qui explique pourquoi il ne faut plus toucher à rien dans l’appartement tel qu’il est, exemple à suivre -(au sens d’appartement témoin)- pour rénover les appartements situés au-dessus et au-dessous du mien dans mon/l’empilement : il convient donc de proposer pareil au cours de ces futures rénovations, voire de rétablir cette ouverture de porte -[en sachant que cela fera perdre de l’espace étagères de rangement et contraindra certains comme c’est le SPOK[7] pour moi à faire du séjour la chambre-séjour et de la chambre un séjour-bureau]).

 

Pour les autres empilements, Paris-Habitat ne m’a pas demandé mon avis[8] cependant que je puis assurer à l’aune de l’analyse[9] de mon appartement -(comme de celui » témoin « sur lequel je me suis aussi exprimé à l’aune de celui un étage au-dessus ayant été présenté vidé -[de ses occupants]- mais non rénové)- que l’architecte d’origine de ces immeubles[10] a su admirablement tirer parti de l’espace en plaçant le cagibi / placard après l’entrée[11] et le cabinet des W. C. , tout de suite après l’entrée de la cuisine, comme la douche et le lavabo là où ils sont admirablement[12] placés avec tant d’originalité -(avec la lucarne[13] sur la façade de l’Impasse des Bœufs permettant une plus grande hygiène pour l’aération, et cela d’autant plus quand il n’y avait pas encore de cloison entre le lavabo et l’espace W. C., ce que cette aération de petite taille –[par cette lucarne]- pouvait alors rejoindre -[par la médiation des courants-de-vent[14]]).

 

Je rappelle que chacune des innovations[15] sont des choses / travaux qui, en dehors de l’arrivée et l’évacuation de l’eau, peuvent être réalisées en quelques après-midi de travail[16] et que seules ces colonnes de l’évacuation de l’eau comme de l’arrivée de l’eau que ces architectes veulent arbitrairement -(et non de façon plus objective, juste -[ce qui est le cas actuellement là où elles sont car là où elles sont cela est parfaitement scensé[17] / cohérent], donc c’est en fait de leur part subjectivement[18], en enfants-gâtés[19] -[au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK])- changer de place, contraint à ce déménagement de tous les locataires pendant trois ans, alors qu’en lisant mes lettres on se doit -(pour l’empilement où se trouve mon appartement), absolument de ne rien changer de la place où se trouvent ces éléments qu’on peut, au besoin, changer pour des neufs -(en les dévissant -[ces colonnes d’arrivée et d’évacuation]- en haut vers le plafond et en bas au sol pour les échanger avec de nouveaux tuyaux et en les laissant dans l’emplacement qu’elles ont sans les avoir à changer de place et à cause de cela, erreur / sacrilège d’architecte n’ayant pas voulu / cherché à comprendre pourquoi ces choix fondamentaux avaient été faits par l’architecte de départ[20], contraindre à déménager tous les locataires trois ans -(c’est totalement déraisonnable au sens de fou –[mais au sens négatif de ce mot qui en a heureusement du positif en d’autres SPOK[21]]- d’autant que démontré inutile, donc à préférablement s’interdire)- comme faire perdre l’espace de rangement du très pratique et essentiel cagibi-placard -(donc réduire la surface de rangement de l’appartement d’autant, ce qui est faire perdre de l’espace)- comme à cause de cela changer en très grande partie la cuisine, ce qui n’est d’aucune façon souhaitable -(celle-ci étant tout-à-fait justement opérationnelle comme elle est / telle qu’elle est avec ses deux éviers et la place pour la machine pour le linge et celle pour la vaisselle comme le frigidaire[22] et les armoires-placards de rangement[s])- et cela d’autant plus que le locataire aura à se rendre dans l’entrée dans cet ancien cagibi devenu de manière farfelue -(en faisant ces plans sur la comète)- toilette pour laver ses dents plusieurs fois par jour en même temps qu’y retourner pour chacun de ses besoins en se fatiguant pour cela au moins doublement que cela est la situation précise actuelle parce que la cuvette des W. C. est en toute objectivité et logique et cohérence architecturale excellemment placée là où elle se trouve avec ces éléments d’arrivée et d’évacuation de l’eau[23] avant que je n’ai eu à conclure en Vérité qu’ils sont très intelligemment / justement / très économiquement[24] placés comme ils le sont actuellement.

 

Aussi pourquoi -(après les peines et plaisirs de mes différents courriers)- ne pas avoir répondu pour nous dire que les responsables de Paris-Habitat tenaient compte de mes expertises et remettaient naturellement à plus loin -(en renonçant grâce à mes éclairages à ce genre de réhabilitation)- la rénovation de chacun des appartements, et de tous ceux déjà vides -(des locataires ayant déménagé / disparu à d’autres adresses)- pour y loger à tour de rôle[25] le temps de ces rénovations -(du moins les meubles gênant[s] celles-ci)- chacun des locataires et effectuer par d’autres responsables de chantier, architectes ou/et simplement maçons expérimentés -(donc d’autres entreprises à convoquer et à mettre naturellement en concurrence), la rénovation que sont en droit d’attendre les locataires -(tous les dix à quinze ans, s’il y a lieu)- qui n’ont pas bénéficié d’une rénovation comme moi avant mon installation en Août 2012 où comme celle qui a permis rue des Carmes de recevoir tous les locataires à tour de rôle de manière responsable / courtoise[26] durant toutes ces étapes où il a été question de réhabilitation et non de ce que j’ai proposé pour une plus juste rénovation[27] comme j’en ai cependant conclu dans le plus véritable Intérêt Général et Bien Général, en vos dévoués serviteurs ?

 

Mes meilleurs salutations; respectueuses aux dames,

 

 

 

Laurent-Marie Granier

Vers la suite: la lettre du 22 07 2021 -(en introduction à celle-ci ci-dessous)- à mes voisins pour une plus sage / raisonnable / juste rénovation au cas par cas et l'abandon du projet farfelu -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d'autres situations)- de réhabilitation compliquant l'existence de chacun des locataires de l'empilement où se trouve l'appartement que j'occupe, d'autant plus de plans qui ne tiennent pas debout car handicapant à l'extrême au lieu, au contraire, de faciliter l'existence des locataires, (la fonction même de l'architecture -[quand elle est utilement / justement conçue]).



[1] –(ces appartements -[comme on me l’a confirmé]- à l’exception de celui du premier étage)-

[2] -(qui bénéficient de mes cinquante-huit années, [mon âge], en matière d’[a]Architecture comme de mon doctorat en Art et Sciences de l’Art à Paris I-Sorbonne, comme de mes diverses réalisations cinématographiques et vidéo – [la maîtrise des décors, donc l’architecture, joue une très grande importance pour exercer en tant que metteur-en-scène réalisateur – par exemple Jacques Tati], comme en mes qualités de peintre, photographe, scénariste, etc. )

[3] -(nôtre + vôtre = nvôtre, dans d’autres cas/SPOK –[voir plus loin pour la signification de cet acronyme]- vnôtre)-

[4] -(donc pas même les travaux dans les parties communes qui sont pourtant – vous le savez – les plus nécessaires, voire pour certains urgents en raison du délabrement : les fils et les tuyaux visibles à l’air libre, ce qui, sur un autre point, donne un côté Beaubourg – centre George Pompidou – en miniature : charmant)

[5] – (ce lit fait aussi canapé durant la journée, il permet de recevoir une ou plusieurs visite[s] et/ou de s’y reposer à toutes les heures -[d’autant plus qu’il s’agirait d’un handicapé, habitat social oblige])–

[6] -(mais pas à ceux dans les parties communes et on sait, [je vous l’ai dit], pourquoi ils ont à être fait : certaines des détériorations ont été faites à dessein de décider les gens à voter pour ces travaux à effectuer dans les parties communes, voire pour plus : voter, le jour venu, pour les travaux de réhabilitation – donc en fait des locataires, comme Madame la Maire du 5ème, contraints et forcés et abusés par l’état des à-première-vue[s], par conséquent : pas très joliment -[au sens de courtoisement] – ces points, ce qui contraste avec l’impression que vous vouliez donner avec les soins qui ont constamment été pris pour nous tenir au courant de l’évolution des préparatifs aux travaux qui je vous préviens une autre fois ne peuvent être que de rénovation en renonçant totalement une fois pour toutes à cette « réhabilitation » à cause de plans échafaudés sur la comète – donc pas acceptables / jouables / justes / cohérents avec les paramètres fondateurs d’une Architecture Sociale -(respectée par l’architecte de départ)- car ayant des effets / conséquences en définitive très malheureuses pour les locataires alors – si travaux de « réhabilitation » faits - devenant/us -[de]- véritables victimes de ces façons de croire possibles ce qui est, nous l’avons plusieurs fois démontré, rationnellement et en toute logique et cohérence -[je répète : démontrés – qui plus est- par nos soins d’eanmeailleurs]- impossible, voire n’ayant pas infiniment préférablement souhaité fonder leurs réflexions sur une plus véritable [a]Architecture ©-[(celle)- du Cœur]- c’est-à-dire en pensant plus véritablement aux autres – en se mettant à la place de chacune des catégories de personnes susceptible[s] d’habiter dans ces appartements - que rechercher à faire plaisir / satisfaire de manière sacrilège – voire comme les laipis -(soit l’acronyme pour désigner les strictement laïcs, uniquement athées, inconscients, profanes, ignorants et sacrilèges – au sens négatif de ces mots qui en ont, heureusement, du positif dans d’autres SPOK)- à son -[faux]- égo).

[7] acronyme de situation[s] précise[s], occasion[s], cas particuliers car ici c de cas et p de particulier[s] = k de SPOK.

[8] -(ce pourquoi je me tiens à votre disposition, si vous souhaitez bénéficier de mes nombreuses compétences ayant fait de moi un éveillé-par-acquis-de-conscience)-

[9] -(en bénéficiant des temps de mon vécu dans cet appartement, soit de mon expérience de locataire : « personne d’autres que vous ne savez les points positifs et les points négatifs de vos respectifs appartements « - [je cite une fois encore/de plus cette dame que vous aviez envoyée avec l’architecte qui n’a, en définitive, pas compris les raisons -(très valables, justes, cohérentes)- ayant été à l’origine de l’état actuel des appartements])-

[10] -(qui forment aujourd’hui la résidence Carmes-Ecole Polytechnique)-

[11] -(ce qui, par exemple, facilite la vie après les courses au marché)-

[12] -(au sens de rationnellement et justement conçus tels quels)-

[13] -[ce qui est un élément historique en architecture sociale qu’il convient de respecter – ce qui m’a déterminé aux démarches que vous savez -[avec l’arche centrale et etc.]- pour faire classer ces immeubles]-

[14] ou courant d’air : courandair[s], voire courandevent[s].

[15] -(que le groupe d’architectes à qui Paris-Habitat a demandé de proposer de nouveaux plans)

[16] -(relire à ce sujet mes différents courriers -[chercher à cette adresse internet » Paris-Habitat «]- dans lesquels j’insiste sur le fait qu’il s’agit avec la plus grande partie de ces propositions d’accessoires fabriqués d’avance dans les ateliers correspondants et qu’il n’y a qu’une fois faits –[comme par exemple les portes d’entrée coupe-feu des appartements]- à poser dans les appartements dont les plans d’origine et la configuration actuelle seraient respectés)-

[17] Sensé + censé = scensé.

[18] et non dans le processus de la recherche de la Vérité comme soucieux de ce qui leur appartiendrait de droit s’ils étaient de plus véritables propriétaires -(ce que je vous rappelle vous êtes, responsables de Paris-Habitat auxquels je m’adresse). C’est comme si -(trop confiants)- on leur avait signé un blanc-seing avec la perspective alléchante de ces travaux de « réhabilitation » -(pour se débarrasser d’un problème, d’autant qu’assurés de disposer des financements pour ce faire, voire de la renommée – nous l’espérons non usurpée - de ces « architectes ». Aussi ces « architectes » -[en fête]- se croient alors tout permis -(du genre » on peut -[tout]- casser « pour avoir encore plus de MFPMD -(moyens financiers propres et mérités de droit)- et ne pas se contenter des parties communes à rénover – ce qui a été -(pour commencer)- le cas dans les parties communes pour faire apparaître les tuyaux et ainsi faire croire aux locataires et à madame la Maire du Vème inspectant qu’il y avait des travaux à faire dans ces parties communes – ce qui fut vrai à cause de cela et ce qui était déjà vrai, sans prendre cette peine ou ce stupide « plaisir » -[cette casse]. Elle n’était donc pas nécessaire en faisant appel pour ça à des ouvriers dénués de scrupules -(obéissant[s] à des ordres auxquels toute plus véritable conscience que la leur leur aurait interdit)- pour se faire passer pour des barbares ayant recours à cette forme d’intimidation alors qu’en réalité – on le voit bien avec les réunions par précaution - on aspire à se comporter en gentilshommes soucieux de recueillir les meilleurs avis)- y compris de ne pas respecter ce qui a été trouvé de façon sacrée : le juste emplacement pour les W. C. des appartements de mon empilement avec cette arrivée d’eau et celles de l’évacuation qui bien que très exactement placés le sont maintenant, dans les plans arrêtés, totalement arbitrairement -(sans logique et cohérence avec la recherche de la Vérité en Architecture -[qui est quand elle bien pratiquée synonyme de commodité], sauf celle de plans sur la comète)- remis en question de façon déraisonnable / folle -(au sens négatif de ce mot qui en a parfois du positif dans d’autres SPOK)- par ce qui soudain transforme ces « architectes » en enfants-gâtés qui plus est – ce qui n’est pas excusable – pour l’instant encore -(cependant que j’espère pas pour toujours)- sourds aux meilleurs -(ou aux plus véritables)- des conseils / raisonnements / arguments -(les miens de très véritable expert et qui plus est ayant comme ancien beau-frère l’architecte et urbaniste et … Nicolas Michelin -(que vous pouvez consulter ; il est probable – connaissant son cœur et sa délicatesse -(ce dont toute plus véritable architecture nécessite)- qu’il vous confirmera mes avis – bien que je ne l’ai pas encore dérangé pour cela, donc qu’il n’en sait rien. Vous verrez s’il ne concluera pas pour l’appartement 49 et ceux -(des appartements)- de l’empilement comme je le fis également pour l’appartement témoin), ce qui n’est pas rien et qui plus est ma personne dans les murs, locataire sur place y ayant vécu plusieurs années -(donc en bénéficiant de mon expérience comme vous le vouliez)- dans ces espaces en question objets de ces plans -[sacrilèges])- oubliant -(parce qu’ils croient pouvoir s’amuser en enfants-gâtés à faire ce dont ils ont envie -[en provocateurs délirant] – à cause de l’assurance -[qui seraient ?]- de ces financements publics)- de chercher comme moi à comprendre le pourquoi de chacun des espaces actuels -(l’origine de l’état des choses / lieux)- des appartements tels qu’ils sont et des raisons fondamentales / fondatrices de l’emplacement de chacun des éléments comme celui du système de circulations aquatiques dans cet empilement -[constitutif de ces immeubles de la résidence].

[19] Ou » enfangâté[s] «. 

[20] -(il est vrai que pour cela il faut avoir appris à lire en vérité des plans d’architecte dans des contextes urbains précis en parvenant à comprendre la cohérence des plans les plus justes et savoir les comparer, c’est-à-dire le pourquoi de chacun des espaces au service des meilleurs ou/et plus féconds / justes fonctionnements. Aussi avant de proposer une réhabilitation comprendre le pourquoi de chacune des cloisons, de chacune des utilités -[W. C. , lavabo, douche, etc.]- existantes dans les plans d’origine, ce qui est mon travail d’inspecteur car éveillé-par-acquis-de-conscience, donc ayant sur chaque point la vérité la plus juste pour tous)

[21] Acronyme pour/de situation[s] précise[s], occasion[s], cas particulier[s] car ici c de cas et p de particulier[s] = k de SPOK.

[22] -[au point, j’ai mesuré, qu’il pourrait même y en avoir deux, ce qui est de beaucoup préférable à un seul, car cela fait gagner du temps pour les courses : on a chaque semaine plus d’espace réfrigéré à sa disposition avec deux qu’avec un seul : en effet, dans la situation actuelle, cela est donc possible de disposer aussi d’un congélateur -(d’autant plus qu’encouragé à cela en raison de la proximité de Picard à deux pas, place du Panthéon). Aussi il ne faut surtout pas modifier les plans actuels de l’espace cuisine]-

[23] -(qui ont posé problème à l’équipe d’architectes)-

[24] -(cela évite des temps perdus comme cela évite de se fatiguer à devoir se rendre à chaque fois que nécessaire tout au bout de l’appartement. Je vous prie de vous imaginer à la place de la personne âgée ayant à faire cela une moyenne de sept fois par jour – cela devient vite un véritable cauchemar en plus des difficultés de la « vieillesse ennemie ». Et c’est pourquoi je vous prie de renoncer à ces « réhabilitations » au profit de plus judicieuses rénovations au cas par cas plus respectueuses des admirables plans d’origine qui n’ont jamais contraint les occupants des appartements en question à autant d’efforts inutiles parce que la place actuelle de la cuvette de ces W. C. a été justement déterminée là où ils doivent absolument demeurer : après étude[s] il faut honnêtement admettre qu’il n’y a donc pas de solution[s] alternative[s] élégante[s] -[S.A.É.]- meilleure[s] que la configuration actuelle)-

[25] -(avec le déménagement de tout ce qui peut empêcher de peindre -[remettre-à-neuf]– et changer le linoléum des appartements)-

[26] -(pour bénéficier de leurs bienfaisants avis plus ou moins éclairés. Cela – on le voit bien avec moi - parfois dépend ici du niveau d’études endurées / suivies, des expériences professionnelles, des compétences acquises dont ils font alors bénéficier les responsables ayant à mener le projet d’autant plus que ceux-ci non pas pris la peine de vivre de longues heures dans les immeubles en cause)-

[27] (respectueuse cette dernière des plans d’origine qui se sont avérés, après mes analyses =(ou -[autrement vues]- inspections), admirablement conçus / élaborés / échafaudés probablement en raison d’un anneau de mariage non usurpé, celui alors de l’architecte d’origine et sa famille que nous saluons ici avec reconnaissance comme bienfaitrice)-

 


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