CARE
17 Paris
ce 19 Juillet 2021,
Objet :
Permettez-moi de vous écrire pour vous faire part de notre dernière réaction à
l’avertissement que nous avons reçu pour notre participation au vote que les
responsables de Paris-Habitat ont proposé d’organiser pour le projet d’une
éventuelle « réhabilitation » de notre résidence qui conduirait à
nous faire déménager -(tous les locataires de notre résidence [: deux
immeubles !])- à les en croire au moins trois ans, et cela alors que j’ai
démontré dans les textes précédents
-(dont je vous ai fait
part[1]), d’une part
qu’il ne faut absolument
rien changer aux plans actuels de notre appartement et de tous ceux de
l’empilement[2] et
d’autre part que chacun des appartements pourraient être admirablement rénové[s][3],
(en bénéficiant en plus d’au-moins 50% des améliorations apparues nécessaires
dans le cadre de cette « réhabilitation », mais celles-ci dans le
cadre de ces rénovations intelligentes au cas par cas, infiniment préférables
car ne contraignant nullement à ces déménagements durant au moins trois ans !!!
Permettez-moi de me répéter, [d’autant que j’en sais quelque chose : cette
rénovation a eu lieu chez moi[4]
just’avant mon arrivée en août 2012 dans
l’appartement n°49 du 20 rue de l’École Polytechnique]:
j’en ai bénéficié et depuis lors le résultat est parfait parce que cette
rénovation a respecté les plans initiaux admirablement fonctionnels /
rationnels / justes tels quels) - tout au plus, (pour les plus grands d’entre eux –[ces
appartements]), en une quinzaine de jours
chacun.
Mes
chers voisins,
En
effet, cette « réhabilitation » serait sacrilège et rendrait très très incommode, voire totalement insupportable toute
existence dans ces appartements en déplaçant l’arrivée de l’eau et son
évacuation -(là, quand on entre dans l’appartement :)- just’après
la porte d’entrée -(donc à l’autre bout du
couloir, ce qui signifie au fond de l’appartement du point-de-vue de la
chambre-séjour à l’autre extrémité / bout)-, comme
les nouveaux plans cherchent, (hélas tout à fait à tort[5])- à
première[s]-vue[s] à le faire croire possible -(ce n’est pas le cas
après études des plus honnêtes / justes et -[financièrement]- désintéressées de
la question. Donc en conscience. D’autant plus que présent en personne dans les
lieux eux-mêmes en cause, cela s’est avéré impossible : en réalité des
plans sur la comète ! Par conséquent auxquels il faut, pour le plus
véritable bien et intérêt général, soit notre salut, absolument renoncer, même
si ces plans paraissaient tentant[s] et à premières-vues biens faits y compris
aimablement / poliment et respectueusement proposés et qui plus est, les
auteurs de ces plans ayant sincèrement cru bien faire en se donnant du mal pour, (en définitive si cela se concrétisait), ce qui s’est avéré pour l’instant -(avec l’ensemble
des plans proposés)- en réalité des sortes de lubies et/ou des sacrilèges -(d’architectes pas assez conscients)- envers plus véritable architecture, soucieuse, car
utile -(c’est l’une de ses raisons d’être), de/pour simplifier la vie des
occupants, donc -(cette architecture)- au plus réel service de l’être humain -(facilitant
l’existence en s’interdisant de la compliquer), ce qui vaut beaucoup mieux au
lieu, (en faisant le contraire de ce qui est scensé[6]
dans ce SPOK[7]), d’autant rechercher à compliquer -(au moins six à sept
fois par jour)- infiniment la vie des locataires au point, avec ces nouveaux
plans, de leur proposer une vie de plusieurs cauchemar[s] par jour – une
moyenne de sept par personne / habitant / locataire de ces appartements).
Dans
ces courriers -(récapitulés
en toute transparence à l’adresse plus haut)- vous
trouverez les confirmations qu’il ne faut absolument rien changer aux plans
actuels concernant l’empilement où se trouve l’appartement que nous occupons
-(les différentes raisons dont il convient de tenir absolument compte y sont
développées / recensées / expliquées / présentées le plus clairement possible).
La
dernière lettre dont je souhaite que vous preniez connaissance -(pour que vous, les locataires, mes voisins, vous ayez
matière à vous opposer comme moi à ces travaux de « réhabilitation »
-[au profit de plus raisonnables et justes rénovations]), en réalité farfelues[8]
est à cette adresse :
.
Merci
de la lire -(comme, de ma main, les autres courriers aux
responsables de Paris-Habitat que vous trouverez rassemblés / réunis à l’adresse
ci-dessous, au-dessous du titre de ces lettres -[adressées] : » à Paris-Habitat « à
l’adresse :
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/accueil_lettres_a_personnalites.htm).
En
vous en remerciant du fond du cœur, veuillez agréer mes meilleures salutations
; évidemment respectueuses aux dames.
Vos dévoués
serviteurs -(voisins)-
Laurent-Marie Granier
P.
S. : Une suite en post-scriptum.
-(au message ci-dessus reproduit ici), vous
attend ci-dessous -(ce Post Scriptum), dans la version de cette lettre que vous [re]trouverez
ici
sur Internet, déjà accessible depuis la lettre :
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/parishabitat_pliez_dauphin_lemire_didier_19072021.html -(ce qui, après relecture, vous fera revenir ici pour découvrir le post-scriptum ci-dessous).
P.
S.[9]
au message ci-dessus à mes voisins :
(…)
De plus, si cela était, cela nous causerait bien d’autres torts sur le plan
personnel, (voire privé)- de vos dévoués serviteurs
que nous vous sommes et dont je n’ai, dans les précédents courriers à
Paris-Habitat, jusqu’à aujourd’hui, que seulement très faiblement esquissé /
dévoilé l’existence : [en fait]- à tous des pertes inestimables[10]:
En
effet, depuis que je me suis installé en Août 2012 à cette adresse du 20 rue de
l’École Polytechnique, en raison de la vue dont je bénéficie sur le petit
Observatoire de l’École Polytechnique depuis la fenêtre de la cuisine, j’ai
pris l’habitude de photographier[11],
les formes des nuages[12] y
compris de nuit, au point que j’ai alors eu l’idée de rebaptiser -(nommer de nouveau)- cet observatoire en fondant OINRÔz : les observatoires
interRégionaux[13]
des nuages d’Ôz[14].
Aussi
vous
pouvez découvrir pour le moment sur Face
Book un ou l’autre des albums photos et vidéos que j’ai publié[s] pour offrir et partager ces images avec qui le
souhaitera[15].
Ou alors un des[16] vidéo-nuages-diaporama de la série R de
Laurent-Marie Granier : ici, sur ce lien, par
exemple, l’un d’eux [17].
A partir de ces preuves d’images très souvent admirables, je compte créer
l’activité très aisée[18],
si possible rémunérées, de » sentinelles des Nuages d’Ôz «.
Si
nous devions déménager trois ans ce serait donc -(en plus du cauchemar que cela
représenterait matériellement pour tous)- une perte immense pour tous :
Les photos de ces nuages qui nous manqueraient à tous[19],
ce qui est, hélas, infiniment hélas, (ces pertes)- déjà continuellement la
situation actuelle à l’échelle planétaire et cela depuis que j’ai pris
conscience, enfant, que certains jours, ces nuages tels qu’ils se présentent,
sont réellement des œuvres d’art fascinant[es], par certains aspects zen, au
point que cela nous permet, depuis août 2012[20],
(en minimisant peut-être ici)- une moyenne de cent images par semaine[21]
quand nous assistons émerveillés aux défilés de ces » merveilleux
nuages « plus ou moins monumentaux[22],
sculptés par l’invisible d’une adresse remarquable dans le [c]Ciel, au point -[parfois]-
de parvenir à nous faire comprendre / croire -[à]- la notion de Dieu :
vous verrez dans ces prises-de-vues: géniales sont -[parfois]- y compris
dans les détails, ces formes de nuages qui le sont relativement assez souvent cependant
qu’il ne faut pas oublier non plus les jours où ils n’ont, à première-vue, rien
d’intéressant[s], ce qui nous permet de nous reposer, ce temps gris ou sans
nuage[s], pour, par exemple, en profiter pour partager / publier les images les
plus intéressantes de ces prises de vue[s] -(des jours avec les nuages plus
féconds)- sur le plan plastique de parfois les sortes d’histoires qu’ils
narrent -(aussi l’être humain n’a jamais été seul sous le ciel, sans spectacle[s] :
autrefois, allongé dans les herbes, il avait les représentations qu’offrent ces
nuages -[parfois monumentaux]- aux formes originales imaginatives).
S’ajoute
à cela que j’ai décoré pour nvous[23] les murs de chez moi,
d’originaux de dessins que j’ai mis plus d’une cinquantaine d’années à réaliser
ainsi qu’ils sont proposés prêts – le jour venu - à être,
(une fois photographiés et vidéographiés – voire mieux : filmés sur
de la pellicule 70 mm scope au format Omnimax[24])-
color[i]és[25].
Souvent aussi des études de l’oiseaux De Media Patata[26],
dont, bien sûr, avant la douche[27],
de profil, le torse d’une femme nue -[et tatouée sur son bras]- à bec d’oiseau
et aux seins pointus, faisant face à une vache [probablement sacrée à cause de
la manière dont elle a été représentée]- merveilleuse).
Il
se trouve aussi que si les travaux devaient être effectués, l’Ensemble perdrait
ces très rares pastels -(aboutissement d’au
moins cinquante années de recherches en matières artistiques diverses
–[voir ici ma
thèse de doctorat en Art et Sciences de l’Art -(Cinéma-Télévision – Audiovisuel
[28]–
etc.)-, notemment avec/sur la réalisation de La Momie à Mi-Mots[29],
[30] et [31], film que vous trouverez
gratuit sur You Tube[32] et [33]]- d’un
artiste-peintre), mais aussi la cuisine dans laquelle j’ai créé ces
derniers temps la
recette sacrée[34]
de l’eanmeailleurs -(une révolution gastronomique)- que vous pouvez
découvrir[35] à
l’adresse suivante :
https://www.youtube.com/watch?v=OauwY0zSBsA[36].
Aussi
la cuisine telle qu’elle est[37] et utilisée
dans sa configuration actuelle historiquement comme un atelier de recherches, à
la fois sur le plan de recettes pleines d’avenir mais aussi sur le plan
photographique et vidéographique mais aussi pictural[38],
ce serait très malheureux que cette cuisine change de configuration parce que
les architectes auraient l’intention de se servir
-(en inconscients et à cause de cela
-[à leur insu devenus]- sacrilèges –
[I. S.])- du cagibi-placard de l’entrée pour y
mettre les W.C., le lavabo et la douche -(bien sûr très/trop éloignés du lit de
la chambre-à-coucher, comme, cet éloignement, vu à partir du –[depuis le]-
séjour. Alors que là où sont –[depuis l’origine]- ces
éléments de confort de première nécessité, ils sont au centre, donc à peu près
à égale distance de tous les points les plus éloignés de l’appartement), ce qui
nous ferait perdre cet espace de rangement tout à fait indispensable car, entre
autres, il permet d’entreposer de nombreuses choses[39],
dont celles dont on se sert les mois d’été l’hiver et celles dont on sert les
mois d’hiver l’été[40].
De plus tous nous perdrions les originaux des études de l’oiseau De Media Patata[41],
-(y compris dessinés nombreux sur le chauffe-eau[42])-
mais aussi toutes les représentations d’oiseaux, des animaux et la femme nue
dont les contours sont dessinés dans cette cuisine, dans le couloir, dans ma
chambre au-dessus de l’entrée vers le lavabo et la douche -(à trois pas de mon
lit-canapé), entièrement décorée à la main par mes soins de très véritable
artiste-peintre -(ayant
à son actif plusieurs expositions[43])-
ayant enfin eu accès aux dimensions sacrées de l’existence par cette sécurité inattendue[44]
-(qui existe dans l’être
humain)- de l’acquis-de-conscience. Aussi cela
serait une perte de revenus pour la personne chargée de faire visiter cet
appartement à ma disparition !
Vos dévoués serviteurs les
eanmeailleurs d’Ôz.
S. … Laurent-Marie Granier … Lang d’Ôz.
[1] -(et que vous pouvez retrouver adressés à Paris-Habitat sur
mon site Internet à l’adresse suivante :
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/accueil_lettres_a_personnalites.htm)
[2] -(au-dessus et au-dessous de celui
dont je suis locataire au cinquième étage, 20 rue de l’École Polytechnique)-
[3] –(comme
le mien qui a été refait avant mon arrivée à cette adresse)
[4] -(admirable
comme pour l’appartement où nous avons été reçu par les architectes de
Paris-Habitat)-
[5] -(nous le savons parce que nous
vivons / sommes sur place et ainsi capable[s] de faire la différence avec la
réalité actuelle en extrapolant / imaginant judicieusement à partir de ces
plans : en mesurant, (par conséquent en prévoyant leurs effets) : hélas
dans ce cas, des conséquences à la longue très néfastes / inutiles / sacrilèges
/ injustes / compliquant l’existence au lieu de la simplifier : à chaque
fois, six à sept fois par jours par personne, une distance -(pour ces
déplacements pour rejoindre ces toilettes-douche)- d’environ le double de celle
qu’elle est actuellement, donc beaucoup trop importants)-
[6] -(sensé +
censé = scensé)-
[7] -(acronyme
d’exception pour/de situation
précise,
occasion, cas
particulier -[car ici c de
cas + p de
particulier = k de SPOK])
[8] au sens
négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK.
[9] -(publié
uniquement ici sur Internet, ce qui signifie qu’il n’a pas été remis aux
intéressés sur papier)-
[10] -(tant
financières que spirituelles – pour les plus grands bienfaits de nos
respectives âmes - et bien sûr ces pertes importantes directement pour moi
–[qui en serait à première-vue[s] la principale victime, cependant que vous
comprendrez aisément qu’en réalité cette perte sera pour l’Ensemble et bien sûr
pour chacun de vous])
[11] -(avec
cet observatoire au premier plan)
[12] -(bien
sûr seuls les jours où ils en ont de belles et/ou intéressantes – ce qui est
plus souvent qu’on ne le pense)-
[13] -(au sens
d’Internationaux)-
[14] -(un des
noms abréviatif du système solaire / stellaire dans lequel nous vivons ;
en fait ce diminutif pour simplifier l’un des noms plus complets qu’il a, celui
de -[R]Ôz[e/a/u/….
/w/y/s]- et de -[R]Ôz[e/a/u/…. /i/s]-
pour la question des nuages)
[15]
https://www.facebook.com/laurentmarie.granier/photos_albums
[16] -[à, si
vous voulez, chercher sur Internet même ainsi en italiques :]-
[18] -(au sens
de facile - un jour ou l’autre)-
[19] -(puisqu’en
amateur – vous le savez au sens de celui qui aime - je prends en photos et en
vidéo ces nuages dans l’Intérêt Général et pour le Bien de tous –[des moments
de récréation[s], gratuitement consacrés / offerts à vos intérêts, en vos
dévoués serviteurs])
[20] -(quand
je me suis installé à cette adresse)
[21] -(que je
compte publier dès que possible pour les partager avec qui [en] voudra)-
[22] -(mais
des monuments plus ou moins mégalos, en métamorphose[s] car mouvant[s] – donc
qu’on peut également suivre en vidéo – [selon le point-de-vue[s] :]- de
véritables histoires qui passent, défilent pour nous : [comme]-l’ancêtre
du cinéma sur grand écran)-
[23] -(nous +
vous = nvous et dans d’autres cas, vnous)-
[24] -(pour la Géode - voire en 35 mm
pour être l’objet d’un traitement informatique, voire photographiés à la
chambre pour en faciliter le transfert)-
[25] -(donc
par le biais des possibilités photographiques, informatiques et électroniques,
voire cinématographiques et/ou vidéo car pour l’instant il s’agit, avec
ces dessins –[que j’ai réalisés au pastel à l’huile], des contours d’animaux).
[27] -(encadrée
par les montant[s] d’une porte d’entrée à ce petit espace lavabo et cette douche)
[29] -(une de
mes possibles cartes de visite car une de mes compétence, celle des
réalisations audio-visuelles :)-
[31] film
d’Art et d’Essai, poétique, musical et dansé avec Carolyn Carlson, premier
rôle, Jean Rouch, Philippe Léotard, Anne-Laure Meury,
Michèle Finck, etc. autres intervenants
[32] à
l’adresse https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk
[33] -(permettez-moi de préciser que ce
film a obtenu en 1996 le
Premier Prix Andreï Tarkovski pour la
Création Artistique et Langage Cinématographique au cours d’un festival
International de Cinéma organisé par l’Université de Médecine[s] de Buenos
Aires -[Département de Psychiatrie et Psychanalyse],
Argentine)-
[34] -(car
elle est celle d’une personne, moi/nous, ayant eu, entre autres pour ça, accès
à la conscience, donc devenu bouddhahs par acquis-de-conscience)-
[35] -(le
premier épisode sur deux, cet eanmeailleurs –[se prononce/dit »
enmêilleurs « ]- ayant été à cette occasion pour
la troisième fois vidéographié)-
[36] -(ce premier volet pouvant
vous mener vers sa continuation
en une autre vidéo –
donc à l’origine en deux épisodes sur le sujet)
[37] (avec ses
deux éviers devant la fenêtre à l’origine de mes premiers sinkArts,
[ : art dans l’évier - ce qui m’a permis d’ouvrir une nouvelle voie de
recherche artistique au point d’avoir eu l’idée de poser des
web cam au
plafond, à l’aplomb de ces éviers comme au-dessus de chacun des feux d’une
cuisinière, mais aussi au-dessus de chaque poubelle])-
[38] -(j’y ai,
par exemple, peint un tableau-affiche pour ma mère, etc.)
[39] -(trottinette,
garde-robe, caddie pour les courses au marché du coin, serviettes et couettes, etc.)
[40] -(voir ici où j’ai détaillé cela
dans mes courriers aux responsables de Paris-Habitat dont copie
à
Madame la Maire du Vème arrondissement)
[41]
-(https://www.youtube.com/watch?v=g5N7YNyuHd0)
[42] En parfait état de fonctionnement
au point de rendre bête -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres
SPOK)- le changement de radiateur proposé et qui sont tels qu’ils sont -(depuis
la rénovation de 2012)- parfaits sur le plan du volume qu’ils occupent en développant
durant les mois les plus froids une chaleur constante au degré près qu’on est
libre de choisir et/ou obtenir du chauffe-eau, l’eau de la douche ou celle des
éviers et du lavabo étant aussi chaude qu’on le souhaitera grâce au mélangeur
précis – donc un chauffe-eau qui n’est pas obligatoire de changer -(d’autant
plus qu’il est habillé par les représentations de De Media Patata, l’oiseau de
l’eanmeailleurs d’Ôz).
[44] -(cependant que très longtemps recherchée)-