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d’accord avec le maître des champs sur lesquels récolter, ce qui permettra le cas échéant
à celui qui paye d’augmenter un peu leur rétribution à l’insu des derniers arrivés -(puisque
ceux-ci seront les premiers payés à première vue le même prix que les premiers depuis tôt
le matin à travailler), si la prise de conscience de l’injustice à être payé le même prix que
ceux qui ont travaillé le moins devait poser problème[s], voire de trop grands
mécontentements, ceux-ci étant évoqués à mi-mots), soit ce qui les attend l’année
prochaine, voire dans les jours qui vont suivre s’il y a d’autres récoltes à faire -(en raison de
ce qui a été semé pour être récolté semaine après semaine[s] voire mois après mois. Donc
d’une manière chronologique en une espèce de dégradé étalé dans le temps dans les
champs pour obtenir quotidiennement ou/et hebdomadairement, voire mois par mois les
mêmes produits agricoles, de cette manière récoltés et étalés dans le temps des moissons
et/ou des récoltes pour garantir la persistance, voire une permanence plus longue de la
fraicheur de ces produits agricoles de la terre, jour après jour, venus à maturité vague après
vague de récoltes étalées non pas seulement dans les champs mais sur le temps des
récoltes dans les parcelles / terres parce que semées de manière échelonnée -(étalées
dans le temps pour répondre ainsi à une demande qui certainement se renouvelle
régulièrement au cours des mois au sujet de ces produits - donc pour en avoir régulièrement
à vendre sur les marchés de manière à répondre à la demande), ce que les propriétaires /
responsables des récoltes leur diront -(ce qui est sûr et certain c’est qu’il n’y a aucun d’entre
ces ouvriers qui aident gratuitement : ils veulent tous être payés -(ce qui signifie des avances
en trésorerie pour les patrons (responsables / meneurs de ces récoltes)- par conséquent au
cours des temps des calculs établis et à formuler avec l’aide des banquiers -(on comprend
ici qu’il y a de sérieuses raisons d’être, par exemple, affilié au Crédit Agricole car l’employeur
-(s’il n’a pas suffisamment d’économies et/ou d’argent pour payer les ouvriers après leur
première journée de travail doit trouver ces moyens financiers propres et mérités de droit -
[MFPMD]- dont il ne pourra [se] rembourser le montant qu’une fois les produits de la récolte
vendue à des grossistes et/ou à des détaillants car il va devoir aussi payer les intérêts - soit
la location - de l’emprunt en MFPMD aux fins de payer les dépenses de production des
produits agricoles mais aussi nécessaires à être dépensés pour acheminer ces produits
vers les lieux de vente). Pourtant c’est eux -(ces ouvriers agricoles)- et leurs respectives
familles qui auront besoin de ces produits récoltés, voire leurs descendants s’il s’agit pour
le moment de produits réservés à une autre classe sociale que la leurs, par exemple celle
des plus riches, ce qui il y a cinquante ans avait accès au saumons, voire au caviar et au
foie gras, etc.). La rémunération arrêtée est en échange de leur participation qui est donc
loin d’être bénévole, voire de concernés par le bien et intérêt général - (B. I. G.) : c’est parce
que ces heures de travail sont rémunérées ainsi globalement pour une journée de travail -
(qui commence à une heure et se termine à une autre)- qu’il y a des personnes à pourvoir
ces places / travaux / peines. Tous ont compris que gratuit ou/et bénévolement, les récoltes
ne seraient pas effectuées -(mais de nos jours, vous avez raison de dire que cela serait
l’objet de scandale[s], voire que ce texte pourrait même paraître scandaleux -(à quelques-
uns, du moins s’il ne faisait pas l’objet d’interprétations / explications, voire de mises-à-jour
durant l’homélie), bien que ce sur quoi il parle devrait permettre de comprendre la notion de
premier-dernier, voire celle paradoxale - c’est le moins qu’on puisse dire - de dernier-
premier, ce qui est donc illustré au sens » d’un peu expliqué « par/dans cette parabole.
Qu’ils aient travaillé douze heures, voire quatorze d’affilées en ayant peu de temps pour
reprendre des forces en mangeant probablement sur le pouce pour ne pas perdre de temps
à l’heure du déjeuner -(ce qui a peut-être été organisé - ce repas de la journée de travail
dans les champs par les responsables propriétaires de ces champs)- ou finalement
seulement deux heures -(les deux dernières de la fin de l’après-midi), les voilà -(ces ouvriers
embauchés sur le tard -(de cette -[première - mais cela est déduit car ce n’est pas dit]-
journée), voire tardivement au cours de la journée de travail)- à avoir la même somme /