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Note 165 de la lettre à H. B. -(seconde partie -[donc 2.5, cette note 165], considérée aussi, après cette note de bas de page 165 lue, comme troisième partie -[3.0]).

 

Fichier audio n°X

 

(N. B. : cliquez deux fois sur les liens -(comme celui ci-dessus en jaune phosphorescent)- pour obtenir la lecture à haute voix de ces fichiers audio :

 

donc cliquez une première fois, et comme cela ne marche pas ce qui est proposé, revenez en arrière à cette page-ci, puis cliquez une seconde fois -(de nouveau)- sur le laurYen -(se dit pour l'expression "lien hypertexte", s'écrit ainsi plus court)- et vous disposerez / entendrez le contenu du fichier son de la lecture de ce qui suit par mes soins en plusieurs fichiers audio en plus du texte lui-même.

 

Nous vous conseillons pour cela d'ouvrir dans une nouvelle fenêtre ou/et un nouvel onglet le fichier texte pour suivre des yeux la lecture de ce texte que vous entendrez à voix haute en raison que vous aurez atteint le fichier son correspondant |à ce qui suit, écrit]).

 

 

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Début de la note de bas de page 165:

(vous pouvez aisément l’imaginer en raison de ces données –[que j’ai développées dans cette lettre]- que je savais en détail pour nous gouverner au mieux. Données que le docteur Marcel n’a[vait] pas voulu entendre / prendre honnêtement en compte / considérer lors de notre rendez-vous au C. M. P. -(centre médico psychologique)- sept semaines et un demi-jour avant sa décision de mon ultime hospitalisation en avril 2017, il y a, aujourd’hui, à l’échelle universelle trois très longues années, d’autant plus longues que nous savons que Dieu « aurait fait le monde en six jours et que le septième jour, voyant combien il avait tout bien fait, Il s’est reposé »

–{[(ce qui un jour a été à l’origine de notre traditionnel repos du samedi et/ou du dimanche pour les peuples –[de la religion chrétienne et juive]- les plus économiquement avancés / développés, car les êtres humains, [qui ont réussi à acquérir la conscience, par conséquent qui ont compris cette notion de Dieu -(du moins comme une métaphore, voire une addition de toutes les plus belles, bonnes, bienfaisantes ou/et fécondes choses]- ont fini aussi par comprendre qu’il leur fallait au moins un jour par semaine consacré à d’autres activités que celles de leur profession pourtant à l’origine des CFPMD – acronyme de crédits financiers propres et mérités de droit, [soit la nouvelle appellation, (mise-à-jour)- de l’argent, au sens de monnaies d’échange]. Ce jour de repos permet de se consacrer à sa famille, voire aux enfants qu’on a obtenu de la femme qu’on aime, comme -[aussi de s’occuper -(avec le ravitaillement hebdomadaire)]- d’autres activités nommés hobbies. Les êtres humains savent que ces jours de repos, ils les doivent aussi aux progrès industriels générateurs / créateurs de richesses dans les pays les plus économiquement avancés / développés. Aussi ils sont allés jusqu’à créer le week end, ce qui est devenu essentiel pour se reposer ou/et comme on dit, se changer la tête, d’autant qu’on a pris conscience du nombre important de choses qu’on s’est données la peine de faire / produire durant, théoriquement, les cinq jours de la semaine consacrés en partie[s] aux activités professionnelles, sans compter le temps qu’il faudra consacrer aux courses pour avoir de quoi se nourrir et se vêtir, etc., ce qui prend au moins une après-midi par semaine y compris le rangement des denrées et/ou des achats d’une autre nature dont il est juste d’avoir à se reposer par exemple par le plaisir qu’on aura d’aller au Cinéma ou/et au Théâtre ou/et au Concert, etc. , ce qui est -[parfois]- fatigant notemment quand le spectacle en question n’avait aucun intérêt. Il y a aussi le temps qu’on doit pouvoir consacrer à ses enfants, à leurs devoirs scolaires, etc. et à leurs activités artistiques. D’où que trois jours de week-end par semaine ne seraient pas de trop pour se « reposer » et le corolaire !)]}.

La décision de cette hospitalisation, vous l’aurez enfin compris, était totalement déraisonnable, incohérente, arbitraire

-(soit le fruit de la subjectivité et, hélas infiniment hélas, de la méchanceté –[ce qui procède / provient souvent de l’ignorance, au sens négatif de ce mot qui en a parfois du positif dans d’autres SPOK]- de ce « médecin » - lire ici ce dernier mot entre-guillemets avec toute l’ironie que l’usage de ces guillemets induit depuis longtemps dans/en pareils SPOK/cas …),

et surtout, en raison du sevrage de 2014 à 2017, soit depuis trois ans -(à vous en croire :)- pratiquement parachevé / terminé / achevé.

Une décision sacrilègissimis…simissime envers moi et tous mes raisonnements exactissimis…simissimes sans un électron d’erreur dans tous les temps en sciences des sevrages, obligatoires pour toutes les personnes auxquelles ont été prescrits des neuroleptiques, en raison que le temps est, (par ailleurs), pour chaque malade, (constemment)- à l’œuvre et qu’une seconde -(de souffrance)- à l’échelle universelle c’est vraiment beaucoup beaucoup beaucoup trop de Temps ce qui est vrai aussi en nombre de réalisations / changements -(rien qu’à l’échelle de la population mondiale cela est énorme, par conséquent en extrapolant vous pouvez imaginer à l’échelle d’un système d’étoiles et de planètes habitées ce que peut-être une seconde, et en faisant mieux, vous parviendrez à imaginer ce que cela est à l’échelle galactique de plusieurs milliards d’étoiles, quand, pour avoir une idée de ce Temps à l’échelle universelle, vous aurez à ajouter tous les temps -(relatifs à)- /de chacune des millions de galaxies composée[s] d’étoiles et probablement quelques-unes d’entre elles de planètes aussi.

Evidemment c’est alors très difficile à calculer ! Moi-même qui la plupart du temps ne vis/t que dans ce temps-là, j’ai de très grandes difficultés à l’imaginer / le comprendre ce temps de l’éternité-moins-une-seconde, donc à chaque seconde moins une seconde, voire plus -(au sens de +)- une seconde, quand on connait / trouve enfin le secret de l’éternelle jeunesse.

Une seconde c’est alors réellement immensémentissimis…simissimément de temps, bien qu’à premières-vues -(àpremièrevue[s])-, en général -(quand on va bien)- ressentie, « rien du tout » -(sauf quand on souffre où c’est alors qu’on a une autre idée de cette seconde. Aussi la durée du Temps est relative des paramètres / problèmes auxquels on est occupé / confronté et de notre intérêt pour les résoudre), voire si peu, les opposés -(aller bien et aller mal)- comme s’annulant[s] ou/et se [re]joignant[s]).

Aussi ingérer les produits pharmaceutiques chimiques des neuroleptiques, en raison de leurs effets sur le psychisme mais aussi des effets indésirables physiquement parfois comme, nous l’avons vu avec moi, cela a été le cas /SPOK : martyrisant[s] et douloureusissimis…simissimes, et etc., cela ne peut se faire / proposer / prescrire -(que prendre ces « médicaments »)- que le moins de temps possible, par conséquent cela induit aussi, dès la première prise, un sevrage qu’on a, en tant que plus véritable médecin, le devoir d’annoncer à chacun des patients sans exception, en l’établissant de concert avec lui -(le patient)- qui doit pouvoir choisir la cadence des paliers de ces différents sevrages qui peuvent être proposés

à très très très très court terme : un mois, (soit la durée du Xeplion 25 mg d’une prise à la suivante – qui ne sera pas proposée car les effets secondaires sur un mois avec Xeplion 25 mg et/ou Risperdal 25 mg sont déjà énormément importants et très/si douloureux à vivre / supporter),

à très très très court terme : un mois et quinze jours,

à très très court terme : deux mois,

à très court terme : deux mois et demi,

à court terme : trois mois -(donc de façon dégressives, les doses, y compris pour la suite ci-dessous),

à court-moyen terme : quatre mois et demi,

à moyen terme : six mois et enfin

à long terme : sept mois et demi,

voire à très long terme : huit mois et demi,

à très très long terme : de neuf mois à neuf mois et demi,

à très très très long terme : de dix mois et demi à onze mois,

voire à très très très très long terme : de onze mois et demi à douze mois - ce qui, normalement, signifie une année de douze mois.

donc pour ces sevrages à -[très]- longs termes, (un » très « par trimestre en plus !)- le patient étant remis sur pieds -(guéri)- en un an grand maximum en raison de ce qu’il choisira -(pour accompagner son traitement sur le plan alimentaire)- comme sevrage pour, nous l’avons vu, un traitement qu’on peut lui proposer à base de ce « médicament » du Xeplion accompagné du correcteur Artane 5mg trois fois par jour -(ou en deux fois chaque jour)- sur au très grand maximum une année et

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-[à plus ou moins long terme, ce qui signifie que cela peut prendre trente ans une fois végétarien, voire plus encore de temps, voir dans certains SPOK moins que trente ans en se soignant de tout grâce à une élémentaire solution élégante alimentaire de nourriture exclusivement végétarienne qui a comme finalité de permettre de retrouver avec la conscience, la cohérence et la logique en soi-même grâce à l’éveil qui en résulte et]-

se guérir ainsi de tout

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(comme j’ai eu à le démontrer en toute transparence -[avec tous]– sur moi-même cobaye de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005 et cela jusqu’à nos jours)-

avec une alimentation végétarienne et si possible

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(si impossible l’auto-psychanalyse)-

un suivi psychanalytique car nous avons pu vérifier sur nous-mêmes que ce sont les efforts de paroles recherchant la vérité

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-[en soi-même, grâce à la plupart des esprits véridiques et -[de]- leurs documents -(leurs œuvres), voire aux autres aussi – ceux qui ne sont pas encore totalement conscients, donc vrais]-

qui sont guérisseuses avec cette alimentation des plus saines que ces patients ont fini par adopter, les médicaments ne devant être administrés –(car c’est la psychanalyse ou l’auto-psychanalyse accompagnés de nourriture végétarienne et non végétalienne – [il ne faudra jamais faire cette erreur]- qui va permettre de guérir)- qu’aux plus faibles doses

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(permettant ce travail psychanalytique car sinon à de trop fortes doses il est impossible tant la souffrance est alors immensissimis…simissime)-

qui sont dans le cas du Risperdal, 25 mg -(comme celui du Xeplion 25 mg)- comme étant, vous le verrez, en réalité, la plus forte de ces doses : la dose maximum

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(puisqu’on peut administrer, comme nous avons, par exemple, essayé de le faire / démontré avec la doctoresse N. K. 16,66 mg, 12,5 mg, 8,33 mg, 6,758 mg, 4,165 mg, 3,375 mg, 2,253 mg, 1,6875 mg, 1,126 mg et 0,84375 mg que nous arrondirons à 0,84 mg, voire 0, 85 mg si c’est impossible à fabriquer / faire en comprimé[s] ou en injection[s],

ce qui est, de mon point de vue de miniaturiste et d’explorateur de la dimension macroscopique

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(voir quelques-unes d’entre ces miniatures que j’ai peintes et utilisées avant les panonceaux de chacun des nouveaux chapitres / clips de / dans mon film La Momie à mi-mots : https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk),

encore trop pour retrouver son organisme en pleine forme et comme quand nous étions enfant n’ayant plus aucun besoin de ces poisons -(chimiques).

Je propose la même chose pour le Xeplion 25 mg même si, à cette heure où je relis ce texte -(que j’ai commencé au mois d’Octobre)- le 26 Décembre 2020, je ne l’ai pas encore essayé/testé -[sur moi-même]- (cependant tout ce que je déduis au sujet du Xeplion 25 mg est logiquement déduit de mon expérience du Risperdal 50 mg et du Xeplion 50 mg depuis mon hospitalisation de 2017 -(car comme je soufrais énormément du Xeplion 50 mg sans Artane 5 mg, nous avons voulu revenir avec la docteure A. au Risperdal 25 mg, ce que le docteur Marcel n’a pas accepté alors que j’étais à Xeplion 50 mg, ce qui l’a incité contre mon gré -(car cela faisait plus d’un an et demi -[47 304 000 secondes (de souffrances paroxysmiques)]- que l’on n’avait pas encore baisser le Xeplion 50 mg à 25 mg comme le docteur A. m’avait promis de le faire deux mois -(soit 5 256 000 secondes -[de souffrances paroxysmiquissimis…simissimes])- après la sortie de mon hospitalisation de 2017 au cours de laquelle on avait baissé le dosage du Xeplion 100 mg à 50 mg, dans la logique du sevrage qu’il est évident de mettre en place dès qu’on prescrit un des médicaments neuroleptiques quelqu’il soit, sevrage qui va donc de soi pour tous les neuroleptiques)- à m’imposer du Risperdal 50 mg à la place, ce qui m’a, en réalité, fait souffrir beaucoup plus que le Xeplion 50 mg -(ce que le docteur Marcel savait qui serait le cas y compris son assistante madame A. – si j’ai voulu revenir au Risperdal c’est que je pensais qu’on me prescrirait le Risperdal 25 mg comme cela s’était passé en 2013, ce qui avait permis de commencer, avec madame K. , le sevrage qui suivit en moins d’un an au point de parvenir en 2014 à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -[et cela jusqu’à 2017 où cette demi-dose était toutes les sept semaines] – aussi même si j’avais énormément souffert à Risperdal 25 mg -(mais beaucoup moins qu’à 50 mg à laquelle dose personne ne m’avait jamais contraint après l’hospitalisation de 2013, ce qui pourtant fut malheureusement le cas deux mois après l’hospitalisation abusive de 2017)- pendant deux mois, cela avait été plus supportable à partir de 12,5 mg, soit deux mois après et comme nous avions vu que tout se passait bien à 12, 5 mg, nous avons continué le sevrage de deux mois en deux mois jusqu’à 2014 pour aboutir à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, ce qui faisait beaucoup moins souffrir qu’à 12,5 mg tous les quinze jours et évidemment aussi moins souffrir qu’à cette demi dose toutes les trois semaines, puis toutes les quatre semaines et enfin toutes les cinq semaines en 2013, puis toutes les sept semaines en 2017 -[depuis presque deux ans])- et c’est pourquoi après cette expérience très malheureuse -[de Risperdal 50 mg]- nous avons dû revenir au Xeplion 50 mg pour lequel j’ai fini par trouver le bon correcteur, soit l’Artane 5 mg)- car j’ai pu comparer les effets secondaires indésirables des deux « médicaments » aussi je sais d’avance que ceux du Xeplion 25 mg seront un peu moins importants/douloureux -(ce qui est bon à prendre)- que ceux que j’ai eu avec le Risperdal 25 mg après mon hospitalisation de 2013 sur deux mois avant le début de mon sevrage que Madame K. a heureusement accepté de faire sous ma direction d’expert –(grand inspecteur car éveillé-par-acquis-de-conscience, donc vos dévoués serviteurs les bouddhahs docteurs en Arts et Sciences de l’Art (Cinéma-Télévision- audiovisuel- …)-, peintre qui plus est, soit expert en nuances et dégradés de couleurs, ce qui signifie expert en calculs exactes de ceux-là qui ont à voir avec tous les sevrages car il s’agit de diminuer, de façon logique, progressivement une couleur en y ajoutant peu à peu un peu plus de blanc ou d’une autre teinte qui va être à l’origine d’un dégradé, soit un synonyme possible de » sevrage « ce qui existe aussi en Musique quand on fait progressivement disparaitre dans une suite logique une note, voire le contraire, un sevrage inversé quand on réintroduit cette note de la même façon que, vous le savez, j’ai trouvé comment retrouver peu à peu -(en la rétablissant) la Vision du très saint paradis, soit d’Ôou ses synonymes d’Arcadie, d’Eden, d’Atlantide, voire de "Schtroumpf" etc. soit ce sevrage inversé : la prise progressive de la drogue, au sens ancien du terme signifiant médicament, de l’immensissimis…simissime Beauté de la Vision du très saint paradis -(à ne pas confondre avec le Nirvana duquel je vous écris, bien que souffrant continuellement des martyrs à cause du dosage excessif du Xeplion 50 mg)- cessaire à toute l’humanité)- malgré, vous le savez, depuis que vous avez pris la relève, mes constantes et nombreuses demandes à ce sujet -[de passer d’urgence à Xeplion 25 mg comme vous me l’aviez promis si j’attendais trois ans après mon ultime hospitalisation de 2017 au dosage de Xeplion 50 mg, ce que je fis au point que nous sommes, au moment où je vous écris à plus que trois ans et demi, ce qui est une demi année de plus -(soit 15 768 000 secondes – [quinze millions sept cent soixante-huit mille secondes – permettez-moi de vous rappeler sur un autre plan qu’une personne peut guérir d’une seconde à l’autre] - de souffrances insuportabilissimissimissimes)- arrêtée entre nous à souffrir à chacune des secondes des martyrs constants au divers endroits de mon corps -(que vous découvrirez décrits en détail[s] à la fin de cette missive), ce que vous aviez la possibilité de m’éviter en étant fidèle à votre parole donnée -(que j’avais acceptée – en laquelle j’avais en confiance cru alors que nous étions à un peu moins de deux ans et demi – soit soixante-dix-huit millions huit cent quarante mille secondes, [soit 78 840 000 secondes]- de mon ultime hospitalisation de 2017 et aussi éloignés que cela en ayant à ce point souffert vous m’avez imposé d’attendre plus de quinze millions sept cent soixante-huit mille –15 768 000 secondes supplémentaires de souffrances atrocissimisimissimes pour parvenir à ces trois années –[après mon hospitalisation de 2017]- que vous avez soudain décidées / décrétées au lieu de baisser mon traitement tout de suite comme je vous le demandais -(en sachant évidemment pourquoi il le fallait en vérité, de même que je sais en vérité, donc pour des raisons précises et exactes ce que je sais au point qu’on m’a entendu dans le ciel de ma voix de Vérité avant même ma naissance : une preuve de plus que je ne suis et ne sers que la Vérité et les vérités relatives au service de la Vérité)- en grand inspecteur vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs -(soit le premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à être devenu un éveillé par acquis de conscience, soit –[les]- bouddhahs, soit en réduisant infiniment : énormément de bienfaits scientifiques pour tous, ce qui s’est effectivement produit pour tous dans la réalité de 2005 à 2013 en synchrone avec 1967 et années suivantes et 1977 et années suivantes)- car je le savais inadéquat en raison de ce que je projetai de vous dire par écrit si vous vous escrimiez à me contraindre à ce dosage tant cela en raison de la complexité des paramètres à évoquer / atteindre et exposer me paraissait impossible à dire oralement –(cela fut la même chose au moment de mes premières hospitalisations à partir de 2007 et c’est pourquoi j’ai fait l’effort d’écrire aux présidents de la République et aux Papes comme au Cardinal Vingt-Trois les lettres que vous savez à partir de 2013, une fois après avoir déménagé du lieu, rue du Val de Grâce au cinquième étage du studio -(loué en partie par mes parents)- où on me voit et où on m’entend dans le Ciel à Rome en 1977 et où on m’entend à Paris à partir de 1967 en synchrone avec les années 2005 et suivantes, ce qui m’a permis de sauver la situation dans ces époques du passé, donc avec effet rétroactifs)– soit ce que j’ai fini par vous écrire dans cette lettre – car avant j’espérai à chacun de nos rendez-vous que vous baissiez le dosage du Xeplion dans/sur vos prescriptions mensuelles - dont vous avez reçu pour Noël 2020 la lettre d’introduction où j’explique plus qu’à mi-mots ce dont j’ai été victime avant que vous soyez chargée de ma personne par la docteur A. qui s’en allait à/pour Lyon en laissant le poste vacant que vous avez repris)- en raison de ce que cela faisait à peu près deux ans et demi que j’étais à Xeplion 50 mg à en souffrir autant et quand nous sommes arrivés à ces trois ans que j’ai accepté de souffrir -(chacune des secondes étant insupportablilissimissimissime à vivre -(malgré l’Artane 5 mg venu à mon secours ce qui était effectivement mieux qu’avant insupportab[i]lissimis…simissime), vous n’avez pas voulu respecter votre parole donnée de passer à Xeplion 25 mg, ce qui fut au paroxysme sacrilège à mon sujet au point de ne plus me donner d’autres choix de vous écrire pour vous expliquer en détail ce qui s’est passé avant que vous ne preniez le relais de la docteure A., donc de ce que vous ne saviez pas -(car si vous l’aviez su au sujet de l’hospitalisation de 2017 vous auriez naturellement baissé le dosage en comprenant un peu mieux ma situation plus qu’exceptionnelle, soit unique ou rarissimis…simissime, d’où précieuse pour tous à chacune des fractions de seconde)- soit de ce dont j’avais été victime alors que j’étais, vous me l’avez dit, « sevré du Risperdal 25 mg dès la demi-dose toutes les sept semaines, soit depuis 2015 », ce qui aurait dû nous conduire, en reprenant le sevrage -(duquel le docteur Marcel m’avait extirpé en m’hospitalisant de force sans aucun motif[s] recevable[s] / valable[s])- à baisser cette demi-dose de Risperdal 25 mg -(qu’il nous fallait absolument retrouver à Xeplion 50 mg)- ou mieux, de Xeplion 25 mg, à toutes les huit semaines pour finir d’arrêter ce « médicament » après l’étape de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, selon l’idée que j’avais d’avance très exacte de mon sevrage enfin totalement exactement réussi dans l’Intérêt et pour le Bien Général)-

En fait, vous l’aviez compris aisément et vous le comprendrez de nouveau facilement, il était/est impératif -(vital pour tous)- de -[me]- baisser le dosage du Xeplion 50 mg à 25 mg au bout de trois ans -(votre idée)- et cela pour reprendre le sevrage comme ce fut le cas avec madame K. , ce qui m’a permis dès 2014, soit un an après mon avant-dernière hospitalisation de 2013, de réaliser un très grand nombres d’œuvres sans avoir trop à souffrir dès la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines. Des œuvres et des découvertes que j’ai commencées à publier / partager -[pour l’instant à ce jour gratuitement]- sur Internet après mon hospitalisation de 2017, la plupart de ces découvertes ayant été faites entre 2014 et 2017 durant mon sevrage de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines à celle-ci toutes les sept semaines, avant la soudaine imprévue irruption plus que cauchemardesque du docteur Marcel chez moi alors que je n’avais que quelques heures de retard pour l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines – ce qui fut, son geste -(n’avait-il rien de mieux à faire que de nous faire perdre à tous autant de temps si précieux -(en raison des conséquences financières de mes interventions à ce jour interrompues à cause de lui et de son assistante madame la docteure N. K. , à travers Espace et Temps)-  à s’acharner sur mo-(depuis 2014 à Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines et depuis 2015 toutes les sept semaines – donc guéri)- ?), au paroxysme du sacrilège en Médecines des plus justes, (raisonnées, exactes, soit dans celles logiques et cohérentes)- par l’arbitrair-(soit du subjectif, de l’égoïsme dénué d’objectivité[s])- de sa décision totalement folle -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK)- de m’hospitaliser contraint et forcé alors que je ne faisais rien de mal en me consacrant depuis 2013 quotidiennement à mes lettres explicatives -(par ailleurs une préparation documentée à/pour l’élaboration d’un scénario pour le Cinéma – [ce qui est mon domaine : j’ai une maîtrise de Scénario qui a suivi ma License d’Animation Culturelle et Sociale -(option Cinéma)- à l’Université de Paris I - Sorbonne et un D. E. A. d’Adaptation d’Ouvrages Littéraires dans le même cadre -[A. C. S.]– pour le Cinéma]- à partir de ces lettres)- de ce qui s’était passé –(» d’incroyable mais vrai « pour nous tous à partir de 2005 à l’occasion de ma soudaine apparition audio-visuelle de ma personne immense -(de trois mille à dix mille mètres de hauteur / altitude)- dans le ciel de Rome alors en 1977 –[depuis / à partir de ces années 2005 et suivantes synchrones en ce qui nous concernait tous avec les années 1967 et 1977 et suivantes, mais aussi avec celles de 2015 et suivantes synchrones avec 2045 et suivantes])- et à mes découvertes photographiques et/ou vidéo durant mes récréations à l’élaboration de ces lettres qui, j’espère, seront enfin couronnées de succès en étant aussi par vous acceptées -(prises en compte / considération)- pour que je puisse enfin vérifier ce moindre mal : cette souffrance un peu moins forte que Xeplion 50 mg une fois à Xeplion 25 mg à l’occasion – sous votre contrôle - de la poursuite de mon sevrage du Xeplion, car pour l’instant je dois vous dire que j’ai encore pris, avant-hier matin, le 24 Décembre 2020, pour quatre nouvelles semaines, du Xeplion 50 mg -(et non du 25 mg, ce qui aurait été un beau cadeau de Noël, soit ce que j’attends de vous depuis plus de six mois – [en fait depuis début mai 2020, soit « trois ans après la sortie de mon hospitalisation » en reprenant ici votre proposition] – soit au moins 15 768 000 secondes d’attentes -(je minimise à six mois, alors qu’en réalité c’est au moins sept mois, [chacune de ces secondes me faisant souffrir des martyrs / tortures])- par rapport à votre parole donnée de porter à 25 mg la prescription de Xeplion 50 mg « au bout de trois années après la sortie de ma dernière et, nous l’espérons, ultime hospitalisation », et sinon, autrement vu, depuis trois ans après Juillet 2017 où l’on m’a fait passer -(deux mois après la sortie de mon hospitalisation)- de Xeplion 100 mg à Xeplion 50 mg, en me promettant la reprise de mon sevrage, ce que j’avais démontré en réalité -(après mon hospitalisation de 2013)- totalement réussi depuis 2014, soit depuis la doses de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines).

Aussi, depuis Juillet 2017, cela fait à ce jour du 26 Décembre 2020 depuis plus de trois ans : trois ans et demi. Ce qui vous en conviendrez est/a été/fut au paroxysme du sacrilégissimissimis…simissime envers ma/nôtre personne et ce qui est insupportab[i]lissimissimissime -(y compris avec le -[médicament]- correcteur : les deux à trois comprimés d’Artane 5 mg par jour au minimum en accompagnement et le Lexomil, un quart le matin et un quart l’après-midi, voire un demi le matin et le soir -(ce qui est obligatoire / conseillé / préférable, ces -[médicaments]- corolaires ou/et -[ce qui]- vaut mieux car sinon, je l’ai vérifié sur moi-même, (je sais donc de quoi je parle), il n’y a plus que l’issu du suicide -[comme possible]- aussi à ce dosage de 50 mg -(qui est en réalité insupportablis…simissimissime -(soit infiniment douloureux, douloureusissimis…simissime)- sans Artane 5 mg, (je vous prie de ne jamais oublier de prescrire l’Artane 5 mg, sinon vous serez considérée –[avec le Xeplion 50 mg, donc ses concepteurs]- comme la cause de ces suicides, ce qui de toute façon vous fera obtenir, ainsi qu’aux auteurs de ce « médicament » une réincarnation détestable après vos respectives morts)-

car à l’échelle universelle, ces 25 mg de Risperdal ou de Xeplion c’est en réalité énormissimis…simissime -(que vous le croyez ou pas – je ne crains pas vos certitudes / préjugés en la matière qui sont ceux d’une personne trop élémentaire, voire « innocente », donc qui est la victime

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous que je vous prie de lire

-(bien qu’à d’autres occasions/SPOK au contraire, croyant en bénéficier)- de stratégies commerciales perverses :

-(mais aussi)- des à-premièrevues ou/et des logiques les plus simples -(comme tous ceux qui ont cru devoir augmenter le prix du baril de pétrole au lieu de le baisser -[comme je le proposai de 1973 à 1977 pour le meilleur Intérêt de tous / général], s’ils avaient tenu compte d’autres paramètres très importants pour la meilleure des économies planétaires, ce qui aurait alors permis à la Création de vivre un autre » ou bien « de la Création, (celui compréhensible / [car] illustré dans les films de Smoking ; No smoking de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais), où la majeure partie des biens de consommation, non seulement de première nécessité mais aussi la plupart de tous ceux -[considérés]- superflus, aurai[en]t été gratuit[s] dans la perspective de réaliser les conditions économiques les meilleures pour restaurer globalement la Vision du très saint-paradis, soit celle d’Ôz, d’une façon enfin, en vérité, un peu plus fraternelle): hélas, il y a l’autre -(logique), la perverse, qui, en sacrilège, existe pour vous abuser. Celle des gradations plus importantes en nombre de milligrammes qu’on vous a aussi fait croire avoir le droit d’administrer / de prescrire -(en prévoyant que vous auriez la réaction élémentaire de tout le monde ainsi berné car trop confiant, voire la réaction d’une innocente, celle que vous avez eue

-(je vous l’ai déjà dit dans ma précédente lettre)-

comme tous ceux qui ont cru avoir le droit d’augmenter le prix du baril de pétrole au lieu, au contraire, comme nous le demandions

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(en toute connaissance de cause[s] et en ayant tenu compte de tout comme en ayant étudié d’avance toutes les interactions économiques / commerciales)-

de le baisser pour faire disparaître du jour au lendemain la pauvreté et la misère partout, ce qui a signifié pour vous

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(à cause de ces autres gradations –[de 50, 75, 100, 125 et 150 mg])-

que 25 mg c’est peu -(voire le moins possible)- et c’est ici que vous vous avez commis une véritable erreur

-(mais rassurez-vous c’est comme moi au début, si je n’avais pas un peu plus réfléchi à ce sujet et découvert, grâce au sevrage -(de 2013 à 2017)- du Risperdal 25 mg, qu’il y avait de façon grandement préférable toutes les doses possibles au-dessous de 25 mg

(Suite après les trois paragraphes / lignes suivant[e]s ci-dessous :)

-(par conséquent ce que vous avez dit –[sur le fait qu’il s’agit de la dose minimale]- est une vérité relative

(Suite après le prochain paragraphe ci-dessous :)

– [soit une vérité liée à une logique commerciale précise -(dont nous avons été vous et moi mais aussi l’Ensemble les victimes)- qui ne tient pas compte de tous les paramètres, y compris celui d’avoir à douter des à première[s]-vue[s], comme/mais aussi de cette logique trop simple, sur la base de ces autres paramètres]-

et non la Vérité),

(Suite du paragraphe trois paragraphes / lignes ci-dessus :)

en raison déjà à ce dosage de 25 mg des souffrances martyrisantissimissimes ou/et torturantissimissimissimes donc douloureusissimissimes -[de cette dose de 25 mg du Risperdal]).

L’origine de cette erreur est que, (passez-moi, s’il vous plait, l’expression), vous vous êtes faite -(en quelque sorte)- avoir

(Première suite après le paragraphe - ligne suivant[e] ci-dessous. Deuxième suite après les deux paragraphes / lignes suivantes ci-dessous)

– bien sûr au sens négatif de cette expression qui en a heureusement du meilleur dans d’autres SPOK-

-(comme moi au début, si je n’avais pas un peu plus réfléchi à ce sujet – (si je ne m’étais pas salutairement pour tous – [en Grand Inspecteur]- méfié – en m’imposant sur ce sujet le doute salvateur)-

paces « industriels – commerçant»

- N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(par la manière qu’ils ont eu de présenter dans le Commerce, [de distribuer sur le marché], ces produits à la vente en les déclinant –([à première[s]-vue[s], mais pas à la réflexion faite)- de la dose « la plus faible » -(selon eux)- à la dose la plus importante/forte – et, croyez-moi, c’est peu dire à l’aune des effets indésirables de cette dose « la plus faible » car en réalité avec les plus fortes, à partir de la dose de 50 mg, il s’agit de doses assassines, soit de véritables poisons qui mènent directement au suicide tant la souffrance des effets indésirables est, en réalité, insupportab[i]lissimis…simissime pour une personne végétarienne ayant découvert la sécurité qui existe dans l’être humain pour accéder à la conscience, soit ce qui rend alors sensible à la connaissance du bien et du mal])-

si j’ose dire, pharmaceutiques /-(chercheurs en Pharmacie : pharmaciens)- qui, malgré la connaissance des effets indésirables de leurs produits

voire comme je l’ai vérifié avec vous, vont affirmer qu’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -(en raison des doses plus importantes)- c’est « presque plus rien du tout » en comparaison avec ces plus méchants dosages -(s’étant révélés inhumains et criminels)- ceux de 50, 75, 100, 125 et 150 mg - d’autant plus que ceux qui les prescrivent comme ceux qui les ont fabriqué ne les ont probablement pas eux-mêmes testés sur eux-mêmes, donc les délivrent en à peu près inconscients de ce que représentent exactement comme/ces souffrances des effets indésirables qu’ils ont cependant à premières vue[s] noté[e]s après les tests effectués sur des cobayes avant de croire possible, dans ces conditions, la commercialisation de leur produit -(ce qui constituera une sorte de test pour repérer les médecins qui, malgré ces effets secondaires indésirables impossibles

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire aussi avant :

-(en conscience, soit humainement – si on avait ressenti soi-même les souffrances en question)-

à prescrire, croient pouvoir, au contraire, prescrire ce genre de « médicaments » pour une maladie ou une autre, par conséquent ainsi déterminer les médecins inconscients -(ou laipis)- des plus véritables médecins qui savent que toutes les maladies psychiques, comme un bon nombre de celles physiques -(y compris les problèmes de caries, donc de dentition mais aussi la plupart des cancers), sont dus, dans nos régions où l’on croit encore l’être humain omnivore

-(ce qui est àpremièrevues effectivement serait le SPOK/cas – mais qui n’est qu’une vérité relative -(donc qui n’existe qu’en raisons de paramètres précis dont on a tenu compte)– donc sur un certain plan, mais hélas pas sur tous les plans les plus justes à la réflexion faite pour la santé la meilleure)-

à une alimentation inadéquate / malsaine / erronée),

ont joué sur votre raison en vous faisant croire, parce qu’ils proposaient ces autres gradations -(effectivement de plus en plus importantes / fortes)- que la dose de 25 mg ne peut être que la plus faible -(suite après le paragraphe suivant ci-dessous)-

-(ce que nous avons démontré n’est pas vrai, puisqu’il existe, nous l’avons vu plus haut, toutes les demi-doses y compris les espacements de plus en plus lointains pour les ingérer comme nous l’avons démontré/fait dans le cadre de mon sevrage de 2013 à 2017– [ce qui est, nous le verrons aussi plus bas, obligatoire de s’imposer de faire pour l’ensemble des neuroleptiques]) –

donc seraient sans danger, alors que les doses au-dessus de celle de 25 mg impossibles à prescrire en raison des probabilités d’être suivies par les effets indésirables martyrisantissimis…simissimes ou torturantissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes, horribilissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, insupportabilissimis…simissimes et etc. comme ce fut le cas pour moi, malgré moi, cobaye mais/bien que Grand Inspecteur et vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs et … )-

Ces doses, en raison des insupportab[i]lissimis...simissimes douleurs/souffrances dont elles sont responsables conduisent, sans Artane 5 mg, directement au suicide du patient

–[(dès la dose de 50 mg de Xeplion -(et à fortiori pour la dose de Risperdal 50 mg), si celles-ci sont prescrites sans médicaments correcteurs -(comme l’Artane 5 mg, 3 fois par jour -(et si 25 mg de Xeplion, au moins deux fois par jour cette Artane 5mg)- et médicaments désangoissants -(pour retirer l’angoisse)- comme le Lexomil et son corolaire de somnifères, dont le Doliprane 1000 mg est l’un des plus faibles, voire complémentaire d’un plus véritable somnifère)].

Fichier audio XI

Mais revenons à nos industriels en Pharmacie -(pharmaciens)- de ces neuroleptiques prévoyant/créant ainsi -(à-première[s]-vue[s] et qui plus est : en ayant dans ces notices apparemment le mérite de donner le choix)- la réaction des cerveaux les plus élémentaires -(au sens ici de » trop élémentaires «)- qui pensent

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire aussi avant :

-(qu’à la vue de la progression de plus en plus importante/forte -(de la quantité en nombre de milligrammes)- de ces dosages proposés à la vente sur le Marché),

[qu’]ils peuvent conclure très simplement

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire aussi avant :

-(voire – c’est ça le pire, soit l’origine de l’erreur – logiquement !:)-

comme le vôtre -(de cerveau)- et/ou le mien, trop confiants -(sachez que je me le suis dit aussi – j’étais, comme vous, tombé dans le panneau), qu’à première vue[s] 25 mg « ce n’est rien », voire très peu -(évidemment à l’aune des autres dosages d’autres produits –[qui sont à ces dosages inoffensifs]- proposés dans le commerce).

-(Evidemment oui, sur un certain plan -(ne tenant pas compte de la logique commerciale de la mise sur le marché de ces dits neuroleptiques à des dosages de milligrammes qui à première vue, (« ô comme c’est joli ! » -[ici je vous prie d’y mettre le ton. Il est ironique en raison des guillemets 47 qui entourent l’expression, qui n’est donc pas encadrée par ceux nommés de 74]), montent de vingt-cinq en vingt-cinq milligrammes, donc d’une certaine façon progressent justes, voire -[tombent]-[si]-bien -(car, de plus, c’est si simple à comprendre cette progression d’ordre 25 en 25 mg), et à cause de cette logique apparemment la plus simple, soit très/trop élémentaire, en comparant les taux des gradations aussi perversement et aimablement proposé[e]s -(visiblement dans le soucis du « médecin » le moins médecin qui soit, donc de l’usurpateur en Médecine[s] qui, évidemment, n’aime pas qu’on lui complique l’existence), donc à première vue, à l’aune des gradations plus importantes / plus élevées en nombre de milligrammes qui tombent miraculeusement justes : 50, 75, 100, 125, 150, etc. qui rendent ainsi -(logiquement -[qui plus est !]: (une progression logique !)])- pour les profanes, 25 mg à premières vue[s] le plus faible des dosages, à l’aune des précédents dont la gradation est montée de 25 en 25 mg, donc quasiment symétriquement -(facile à comprendre). Donc - se dit-on - ces autres dosages ils tombent juste[s], soit dans une logique qu’on croira, [(] à cause de ces à-première-vue[s] [)], être la bonne, et ce 25 mg évidemment, toujours pour ce profane, (c’est certain)- la plus petite des doses -(alors qu’elle est, [je puis vous l’assurer en Grand Inspecteur – mais aussi en tant que peintre miniaturiste], car bouddha, soit homme de sciences –[ayant testé ces dosages sur moi-même], le maximum du maximum du maximum qu’on ait le droit d’oser -(avec toutes les plus infinies précautions dont celle du bon correcteur à administrer avec)- prescrire, mais uniquement accompagné du correcteur Artane 5 mg -(de deux à trois comprimés par jour)- mais pour un temps si possible le plus court qui soit et uniquement dans la perspective -(obligatoire)- du sevrage –[(dont nous avons ici parlé)- de ce « médicament »]- à mettre en place / -[à établir]- dès la première injection dont on sait que la dose prescrite permettra de repérer -(pour le jour de La Pesée de l’Âme -[de ces « médecins »]- donc au moment de leur mort), les « médecins » sans cœur -(car ils sont allés jusqu’à croire possible prescrire l’une ou l’autre de ces doses au plus haut point martyrisantissimis…simissimes dès 50 mg – au lieu, évidemment, (de façon préférable), de s’en abstenir -(se l’interdire)- totalement -(ce qui, toujours, vaudrait beaucoup mieux car, comme je l’ai démontré –[de 1963 à 1967, de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005, soit entre mes quatorze ans et mes quarante-deux ans]), donc aussi à la longue -(trente ans, voire plus longtemps encore comme régime alimentaire), on peut guérir psychiquement de -[quasiment – ici par prudence ce » quasiment « en raison d’une maladie psychique dont j’ignorerais l’existence et qui ne pourrait pas être guérie par l’alimentation végétarienne]- tout en se soumettant quotidiennement à cette alimentation végétarienne).

J’ai pu vérifier que ces dosages de 50 mg ne sont pas à prescrire à l’aune de ce qu’il existe de SAÉ -(acronyme de solutions alternatives élégantes)- pour guérir, comme, par exemples, la solution alternative élégante de la psychanalyse -(S. A. É . P.)- ou celle de l’auto-psychanalyse -(SAÉAP)- (pour ceux qui sont déjà devenus des végétariens)- comme alternative pour une plus véritable guérison -(car on aura à remonter intellectuellement –[grâce aux souvenirs]- de causes en effets jusqu’à l’origine du mal être, de manière à déterminer exactement cette cause, ce qui permet alors -[peu après de trouver / comprendre pourquoi le remède- [si possible préventif]- de l’élémentaire alimentation végétarienne, donc par cette nouvelle coutume / manière de se nourrir – comme je l’ai démontré sur moi-même comme cobaye de cette expérience de changement dans mon alimentation]- d’en guérir en retrouvant ma conscience et avec elle la cohérence logique / mathématique ce qui permet d’accéder alors aux dimensions sacrées de l’existence). C’est dans cette optique qu’il est impératif de se sevrer de tout neuroleptique qui, à cause de leurs différents effets – (j’ai vérifié) - empêchen-(dès le dosage de 25 mg de Risperdal sans correcteur)- de plus ou moins grandement refaire marcher / fonctionner autant que possible le cerveau pour ces plus véritables soins végétariens liés ainsi au meilleur des fonctionnements de la pensée analysée, soit de concer-(cette alimentation végétarienne)- avec une véritable psychanalyste ou/et auto-psychanalyse -(ce qui devrait mener tôt ou tard -[en passant par cette sorte de sécurité qui existe dans chaque âme / être humain s’étant égaré[e] dans le chemin de l’existence]- à -[finalement]- l’acquis-de-conscience), soit, si -(en occident)- on est déjà devenu végétarien -(comme je l’étais en partie laipis), seul, à l’occasion d’une auto-psychanalyse -(car c’est dans des difficultés extrêmes et en souffrant atrocement qu’on parvient à écrire -(penser)- en ayant dans le sang 50 mg de Xeplion par mois -(avec le correcteur Artane 5 mg deux à trois fois par jour - car sinon il n’est plus du tout possible de vivre à moins d’être devenu un insensible, ce qui, parait-il, existe. Mais j’ai jugé par acquis de conscience en toute objectivité et en cobaye : à 50 mg de Xeplion ou de Risperdal sans correcteur Artane 5 mg -(de deux à trois fois par jour), il n’est plus possible de vivre tant chaque instant est devenu douloureusissimis…simissime, martyrisantissimis…simissime, torturantissimis…simissime et au paroxysme du paroxysme insupportabilissimis…simissime, etc.), quand c’est encore plus difficile / impossible à supporter avec Risperdal 50 mg !

La SAEPV ou la SAEAPV -(végétarienne)- est ce qui peut, grâce à la mémoire peu à peu retrouvée grâce à tous les efforts psychanalytiques pour se souvenir en parlant ou/et écrivant ou en dessinant -(et etc.)- pour permettre de retrouver nos capacités d’analyses plus ou moins logiques de manière cohérente avec la vérité -(à géométrie variable à cause des paramètres et/ou catégories de vérités relatives dont on tient compte ou pas –[par conséquent qu’on n’a heureusement pas oubliées], soit une des étapes fondamentales pour essayer de guérir de ce qu’on éprouve comme difficultés à vivre. Si il convient absolumen–(c’est ici la Vérité multidimentionnelle et multicatégorielle, donc pas seulement relative, par conséquent tout bien pesé)- de se sevrer de tous les médicaments neuroleptiques, c’est qu’il faut éviter les obstructions dont sont responsables ces « médicaments » à cause de leurs conséquences et/ou effets secondaires indésirables -(psychiques et/ou physiques)- quelques fois, hélas, infiniment hélas, douloureusissimis…simissimes, martyrisant[s], torturant[s], au plus haut point et donc insupportab[i]lissimis…simissimes, et etc. -(par conséquent étant à l’origine d’une compréhension de la réalité faussée : qui n’est pas la bonne ou la plus synthétique et/ou objective qui soit, puisqu’en souffrant de la sorte on ne souhaite que mourir étant donné qu’à ces moment-là on oublie qu’il existait tous les moments où on se portait bien, soit ceux d’états qu’il conviendra de retrouver pour éviter de se suicider – puisqu’ils ont existé cela signifie qu’ils sont accessibles, qu’il s’agissait alors de l’état supportable de la vie et on peut aisément parier qu’il s’agissait de moments sans médicaments neuroleptiques. Aussi une personne est déclarée guérie quand elle n’a plus eu besoin de neuroleptiques au moins pendant trois années de suite, donc à l’issue d’un sevrage de ces substances chimiques faussant la réalité, ce qui signifie que le sevrage des neuroleptiques est absolument obligatoire sans exception dès la première prise de ces dits » neuroleptiques « et que le médecin qui aura prescrit des neuroleptiques à un patient sans lui avoir proposé dès la première dose de ces neuroleptiques les différents sevrages possibles de ces neuroleptiques qu’il veillera lui-même -(ou en chargeant un confrère / une consœur)- à mettre en œuvre dès la seconde prise de ces neuroleptiques -(si il y a lieu de recourir à cette seconde prise quinze jours ou un mois après la première prise)- perdra de cinq à dix années sa qualité de Médecin aux yeux de tous, donc n’aura plus le droit d’exercer la Médecine –(en ayant le devoir, s’il persiste à vouloir redevenir Médecin, de suivre des formations pour devenir capable d’élaborer / proposer très exactement tous les sevrages possibles sur –[au grand maximum]- une année - quand il reprendra du service, ce qui signifie que l’arrêt du médicament neuroleptique dès la première occurrence est vivement recommandé, voire souhaitable et correspond donc en réalité au premier -[stade de]- sevrage dès la fin de la première prise). C’est pour cette raison qui consiste à savoir faire / prescrire les différentes solutions possibles de sevrage qu’on exigeait aux étudiants -(avant de faire Médecine)- des études scolaires scientifiques, avec des Mathématiques, de la Physique et de la Chimie comme de la Biologie -(et/ou ce qu’on avait appelé » Sciences Naturelles «)- pour obtenir un Baccalauréat pouvant déboucher / faciliter -[sur]- des études de Médecine[s]. Celui qui n’est pas capable d’établir l’un ou l’autre des différents sevrages sur un an et cela dès la première prise de neuroleptiques mais aussi d’autres médicaments -(chimiques)- à l’origine de souffrances / effets secondaires indésirables, en veillant à ce que le sevrage soit effectif -(sur une année au grand maximum pour les cas les plus difficiles – attention ! si les souffrances générées sont d’une façon ou d’une autre forte, il convient d’arrêter aussitôt ces médicaments), donc une réalité, ne pourra jamais être considéré publiquement un médecin à part entière, mais seulement un imposteur / usurpateur / charlatan / tricheur /etc. en Médecine[s] des plus véritables. D’autre part, j’en profite pour dire que si une personne souffre après avoir ingéré un médicament quel qu’il soit – provenant aussi du monde de la Musique et/ou de la Peinture, etc. (Cinéma, Littérature, Chant, Sculpture, etc. comme d’autres formes de médicaments devra / doit cesser de se faire du mal avec ces «  médicaments » -(œuvres)- tout autant qu’il arrêtera d’ingérer une substance –[chimique]- qui lui est désagréable ou de laquelle il souffre –(à l’origine de cette souffrance) : on le sait, naturellement, la souffrance qu’on éprouve est une indication sacrée -(préservatrice de notre état de vivant, donc de notre vie. La souffrance a donc du positif -(elle n’est pas seulement à exprimer du négatif)- car elle permet d’éviter le pire, par exemple quand on commence à se brûler : on retire alors la partie du corps exposée aux flammes ou à d’autres causes du mal -(de souffrances)- qu’on ressent et cela signifie donc qu’il convient, dès qu’il y a souffrance d’arrêter / de faire cesser si possible immédiatement la cause de cette souffrance –(sauf que j’ai pu vérifier qu’il y a des états extrêmes de souffrance qui ne permettent plus de dire autour de soi qu’on est entrain de souffrir -(ce qui est alors le cauchemar le plus horrible à endurer)- qui est responsable des douleurs qu’on ressent –(par exemple après une opération chirurgicale comme l’appendicite après laquelle on aura à souffrir quelques jours comme après l’arrachage des dents de sagesse -(on sait alors, par expérience de ces opérations qu’on aura à souffrir au maximum une semaine, voire un peu plus aussi il convient de classer les souffrances dont on peut être l’objet et après cela de trouver toutes celles qui sont supportables de toutes celles qui ne le sont pas au-delà d’une dizaine de jours, voire un mois au grand maximum en sachant qu’il existe de celles qui ne durant que quelques secondes sont insupportabilissimis…simissimes au point qu’elle conduisent au suicide comme avec le Risperdal 50 mg et/ou Xeplion 50 mg sans le médicament correcteur Artane 5 mg – ce qui devrait faire cesser à jamais – soit tout de suite -(dès qu’on éprouve ces douleurs / souffrances)- la prescription de ces « médicaments ».

Avec les souffrances qu’on éprouve, il s’agit le plus souvent de sortes d’alertes : de renseignements extrêmement précieux que cet état d’avoir à supporter ces souffrance[s] dans une situation ou une autre, par exemple après avoir bu ou/et mangé quelque chose. Aussi il convient de comprendre que notre système nerveux existe / a pour fonction de nous renseigner au sujet des bonnes choses ou/et des moins bonnes (donc n’existe que pour nous permettre d’avoir du plaisir ou au contraire pour nous de ne pas en éprouver, voire en nous faisant souffrir de nous permettre de nous éloigner de la cause de la souffrance que nous éprouvons), voire / soit des déplaisantes ou celles à l’origine de ces souffrances. Celui qui continue à prescrire des médicaments qui font souffrir une personne et/ou un animal pacifique et inoffensif herbivore quadrupède -(APIQH)- -(ou des plantes comme des arbres), n’est pas / plus digne d’exercer / de pratiquer la Médecine qui ne peut, en théorie, être exercée que par des médecins végétariens, étant donné que nous avons pu vérifier et démontrer sur nous-même qu’on a, avec ce régime végétarien, finalement accès à la conscience et à la vérité de penser juste dans l’Intérêt et Bien Général, ce qui ne peut se produire -(dans les êtres humains)- qu’en se nourrissant exclusivement en végétarien -(et non végétalien)- étant donné qu’en s’imposant cette nourriture végétarienne on cesse d’être complice[s] de ceux qui croient possible à notre époque des SAÉ -(solutions alternatives élégantes)- faire du mal aux API – animaux pacifiques et inoffensifs, voire aux A. P. I. Q. H. : animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes, voire aux arbres – alors que les solutions alternatives élégantes -(SAÉ)- métalliques existent et sont là pour éviter de couper les troncs d’arbres, ce qui n’empêche pas de prélever, en échange de la protection de ces arbres -(par les Eaux et Forêts), des branches d’arbre, voire avec ces branches de fabriquer des contre-plaqués, et etc. , voire des poutres, planches, etc.).

Car ces effets indésirables de ces neuroleptiques ne permettent que fort difficilement / rarement au patient d’accéder à sa mémoire -(celle du patient)- ni à sa propre parole -(toujours celle du patient), [parfois / susceptible d’être]- auto-guérisseuse. En effet, il n’y a que le travail oral ou/et écrit et/ou artistique -(voire d’autres activités, donc etc.)- qui puissent guérir une personne -(voir plus haut, paragraphe précédent)- qui, pour une raison ou une autre, se croit plus malade psychiquement qu’une autre, voire que les autres. Hélas, malheurs à ceux et celles, voire celui ou/et celle qui le lui a fait croire plus que ne le sont, hélas infiniment hélas, depuis des siècles, tous les occidentaux non végétariens. Aussi il convient de créer les conditions pour -(que ces échanges oraux et/ou par écrit ou/et par vidéo-téléphone ou/et par la réalisation d’œuvres d’art comme par exemple l’écriture de scénarii ou/et romans, nouvelles, etc. , voire comme je l’ai démontré avec La Momie à mi-mots -(https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk), soit le tournage de films / vidéos à des niveaux de responsabilité[s] plus ou moins important[e]s -(mise en scène, réalisation, montage, décoration, jeu d’acteur, etc.), qu’on puisse se guérir –(si tant est qu’il se soit agi d’un problème ayant à voir avec une maladie psychique qui durerait, étant donné que la crise, s’il y a eu crise –--(ce qui dépendra des point-de-vues au point de ne pas être -[en tenant compte d’autres paramètres), est, dès l’approche du psychiatre, voire du psychanalyste, terminée, voire dénouée dès qu’on en aura trouvé la/es cause[s], soit dès ce moment-là, de fortes probabilités d’en trouver le remède -(connu)- qui ne peut être un médicament neuroleptique qui, hélas, sont à l’origine de modification de l’état -(des états)- d’esprit du patient en créant des maux psychiques plus ou moins importants se traduisant aussi par tous les effets indésirables plus ou moins douloureux, martyrisant[s] et/ou insupportables). Soit à travers la réalisation de ces œuvres essayer d’entrer dans la vie active. La vérité de parole et/ou des écrits sont alors féconds pour des raisons qu’il va s’agir de comprendre pourquoi on s’est comporté de façon à inquiéter sa famille -(la/les causes recherchée[s] à ces effets mystérieux, originaux, différents)- dans laquelle on est né, voire les responsables qui se sont occupés de nous -(si, par exemple, on appartient à la catégorie des orphelins). Aussi ces SAÉ psychanalytiques sont fondamentales -(et doivent être prioritaires car, parce qu’elles permettent d’avancer intellectuellement, elles sont censées éviter au patient la béquille médicamenteuse des neuroleptiques qui, à cause de son dosage beaucoup trop important / fort ne guérira jamais personne mais confortera la personne dans son mal en lui faisant croire qu’elle est malade d’autant les souffrances qu’elle endure à cause des effets secondaires indésirables, par conséquent en créant artificiellement un[e] malade qui sinon aurait pu retrouver plus facilement sa/la conscience par le travail psychanalytique -(infiniment préférable aux neuroleptiques qui ne font que repousser la nécessité de travail, au sens psychanalytique)- et des activités artistiques, voire de bonnes lectures, de l’intérêt pour le Théâtre, la Musique, la Sculpture, la Peinture, etc. ce qu’on ne peut pratiquer pleinement qu’en vérité -(soit ce qui compte)- et non pas abruti par le[s] -(« médicament[s] »)-neuroleptique[s])- et c’est pourquoi il convient, pour retrouver ainsi la bonne voie, de ne plus être la proie des psychiatres, c’est-à-dire de ne plus ingérer de médicaments psychiatriques -(la recherche de la vérité de parole -[V. P.]- ayant pris le relais d’autant que la vérité et les vérités relatives existent très réellement sur chaque point obscure / incompréhensible)- soit ces neuroleptiques car, à partir d’un certain seuil, soit un certain dosage, ils faussent la réalité -(et ne permettent plus de rien faire tant la souffrance des effets secondaires indésirables est immense)- et par conséquent la plupart des réflexions qu’on pourrait voir se manifeste-(sans avoir à souffrir de l’un ou/et l’autres des effets indésirables –[qui modifient nos pensées et la réalité en faisant parfois -(soit dans certains SPOK, comme ce fut mon cas)- immensément souffrir – par conséquent ne plus connaître ni se rappeler l’état où on ne souffrait pas. Oui c’est ici l’horreur de l’horreur : on finit par croire qu’il est normal de souffrir aussi douloureusement tant psychiquement que physiquement car on a oublié qu’il y a un état normal dans lequel on ne souffre pas. Heureusement quelques secondes durant lesquelles on souffre un peu moins, nous rappellent qu’il y aurait cet état un instant supportable à avoir comme objectif de retrouver de façon continuelle / constante, par conséquent vous donne un peu d’espoir en sachant que pour que ces moments où on souffre moins s’imposent un jour continuellement, il est vital qu’on cesse de vous contraindre à prendre toutes les quatre semaines ces dosages plus qu’exorbitantissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes, torturantissimis…simissimes, insupportab[i]lissimis…simissimes et etc. de Xeplion 50 mg ou que Risperdal 50 mg -(voire déjà à 25 mg)- plus douloureux encore que Xeplion 50 mg avec Artane 5 mg deux à trois fois par jour -(attention, il faut néanmoins comprendre ici que Risperdal 25 mg fait moins souffrir que Xeplion 50 mg et bien entendu que Risperdal 50 mg qui sans le correcteur Artane 5 mg est continuellement infiniment douloureux : douloureusissimis…simissime, insupportabilissimis…simissime et etc. à cause des effets secondaires indésirables. Il est donc obligatoire d’administrer Risperdal 25 mg comme Xeplion 25 mg avec Artane 5 mg de deux à trois fois par jour en proposant dès la première injection un planning de sevrage plus ou moins long -(n’excédant jamais une année)- en sachant qu’en réalité il n’est pas possible de prescrire plus de 25 mg de Risperdal et/ou de Xeplion, donc qu’il est interdit de prescrire Xeplion 50 mg et -(surtout)- Risperdal 50 mg, même avec le correcteur Artane 5 mg deux à trois fois par jour).

Celui qui croit possible une guérison par la psychanalyse

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :

-(ce qui est avec l’ensemble des Arts et des sciences de l’Arts, comme en raison d’une activité professionnelle l’un des seuls moyens de guérison, soit comme je l’ai prouvé en rédigeant les 1300 pages aux Papes (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm) et les 1700 pages aux Présidents de la République (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm), comme la centaine de pages au Cardinal Vingt-Trois (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/cardinal_vingt_trois01.htm), alors que j’étais à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines depuis 2014, donc parce que -[comme]- sevré)-

ne peut pas supporter les médicaments qui sont à voiler la face, transformer la réalité qui alors est celle de marcher / fonctionner avec, en quelque sorte, « l’aid» -(ici y mettre le ton, qui est ironique à cause des guillemets 47 et non les guillemets 74)- de continuelles « béquilles médicamenteuses » -(en empruntant cette expression à Monsieur Salomon Resnik)- qui, hélas, font horriblement souffrir des effets secondaires indésirables –(quand ils se présentent. Aussi quand on souffre, on ne peut être que très rarement objectif -(je suis une exception et si je le suis, c’est parce que je m’impose des nombreux CARÉ / CATÔPRÉS -(acronymes de corrections, abrégés, thèse, antithèse, augmentations, précisions, relectures []élélaborations, sumés, synthèse[s]). Pour continuer à le demeurer -(objectif)- cela dépend donc du type et de l’intensité de ces souffrances). Pour réussir la psychanalyse, soit le jour venu retrouver un accès à la conscience, il est donc fondamental / impératif de se débarrasser le plus vite possible de ces « béquilles » -(médicamenteuses)- pour avoir accès -(sans plus être martyrisé par les effets secondaires indésirables)- à toute l’indispensable mémoire

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :

-(ce que j’ai vérifié et démontré exige des efforts incommensurables si on en a fait défaut de nombreuses années. Plus on est devenu amnésique de l’enfance qu’on a eu, plus on aura des difficultés à s’en [res]souvenir et si par malheur vous avez subi entre temps un lavage de cerveau, encore plus difficile car vous aurez à-premières-vues perdu ce qui pouvait contribuer à vous soigner si vous l’aviez retrouvé en vous, cependant que j’ai vérifié et démontré qu’à force d’efforts intellectuels -(mais ceux-ci furent immenses, à raison de quinze heures par jours de 2005 à 2013 et de 2013 à 2017 – ils n’ont probablement jamais été entrepris par personne), on peut remettre en marche son cerveau même s’il a été longtemps -(dans mon cas 27 ans, de 1977 à 2005)- amnésique de faits majeurs, soit clé[s] de voûte ou/et pierre[s] angulaire[s], car on peut aussi retrouver sa mémoire après ce lavage de cerveau l’ayant à-premières-sensation[s] détruite -(la mémoire). Ce sera difficile, mais on finit par retrouver ces souvenirs -(voire de vies antérieures en tant que bouddha, soit éveillé par acquis de conscience)- qui peuvent être importants / essentiels –(ce fut le cas pour moi)- pour se guérir par la parole car grâce à la mémoire retrouvée, on remet les choses dans la chronologie, donc dans l’ordre -(en s’interdisant absolument de tuer ou la moindre des violences physiques envers / sur quiconque)- par conséquent on comprend mieux les causes, voire où on s’est trompé, soit l’origine de l’erreur). Cependant cela ne sera possible que si on a depuis longtemps -(plus de dix ans, voire quinze, il vaut mieux)- cessé de fumer et qu’on est de ceux qui ne boivent pas d’alcool, voire très sobrement / rarement),

soit à son disque dur et donc à cette possibilité qu’elle -(la mémoire) / il -(le disque dur)- va offrir, au cours du travail psychanalytique, de retrouver tous les faits à l’origine de ce qui a fait croire à des psychiatres que vous n’alliez pas bien

Ceux-ci, hélas, s’ils sont de ceux qui n’ont pas encore eu accès à leur pleine conscience ont probablement des préjugés, par conséquent ont donc une idée de la » normalité «, voire de la conscience à l’image de la leur plus ou moins inexistante, ce qui n’est une bonne chose que très très superficiellement car ce qui en découle est une attitude subjective et égoïste -(ASNMNPAS – acronyme de » asens négatif de ces mots et non positif dans d’autres SPOK/cas p… «)- donc dangereux car cette « normalité » peut vite être vue comme despotique, voire tyrannique, voire pire : celle à privilégier l’inconscience, voire dans certains SPOK, à premières-vue[s] la qualité de laipis au sens NMNPAS -(asens négatif de ces mots et non positif dans d’autres SPOK/cas p… «)-, ce qui est effectivement dangereux car cela peut mener à la mort, tandis que le psychiatre qui aura suivi -(avant de le devenir –[psychiatre])- un profond travail psychanalytique -(mené jusqu’à son terme – ce qui peut, hélas, dans certains SPOK, ne jamais advenir), au point, une fois conscience obtenue, de devenir à son tour psychanalyste -(par acquis de conscience)- a de fortes probabilités d’exister avec moins de préjugés, puisqu’avec ce travail il aura finalement appris à penser juste comme à se méfier grandement des mots employés tant dans les rapports oraux qu’écrits

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :

-(car les rapports oraux ne permettent que rarement de penser juste -[trop de paramètres extérieurs et corollaires en plus des sons et des interactions physiques -(beauté ou pas du décor et des êtres en présence desquels on parle – donc des éléments subjectifs)- interagissent], même une fois la conscience retrouvée : tout se complique à l’extrême en raison de la quantité de paramètres dont la plupart des vérités sont faites -(bien qu’il y ait dans les propos écrits un peu plus de probabilités que cela soit / puisse être –[ayant été écrits à tête reposée dans des efforts de clarté et d’objectivité], lorsqu’ils sont le fruit de CARÉ, (voir de CATÔPRÉS)- soit avec le constant soucis d’une parole écrite qui permettent d’approcher chacune des vérités relatives constitutives de la vérité quand elles ne sont pas de celles à nous en éloigner, donc de niveau[x] inférieur[s]),

Il convient de douter de toute proposition / situation / certitude / généralité y compris des siennes comme de la nécessité des « médicaments », étant donné que si on fait partie des gens les plus véritablement cohérents avec la notion d’amour véritable cela n’a pu advenir qu’en devenant végétarien. En effet, j’ai pu vérifier que dans l’itinéraire de l’évolution spirituelle de mon âme -(en m’utilisant en tant que cobaye de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005, par conséquent de très nombreux moments sur lesquels travailler, penser, [ces moments antithétiques de ce à quoi nous croyons])- ayant le désir d’aimer véritablement sa fiancée, je suis passé par l’étape du désir de retrouver la cohérence en moi pour me permettre d’aimer plus justement / véritablement cette fiancée que je jugeai alors ma complémentaire au point, une fois retrouvée ma conscience de vouloir créer avec elle une famille, donc nous marier -(c’est ainsi que j’ai pu vérifier que ceux qui ne veulent pas d’enfants – (comme ce fut mon cas tout le long des années durant lesquelles j’ai eu à me conduire en laipis) - n’ont probablement pas encore de conscience, voire l’aurait perdue à un moment donné dans leur existence). C’est donc à ce soucis de cohérence avec les mots d’«» amour du prochain «», donc désir de vérité -(de ne plus me comporter sur certains points en menteur ou/et en tricheur, voire en imposteur), que je dois ma transformation -(métamorphose)- mais surtout cet acquis de conscience, (soit avec cette recherche de l’amour le plus véritable ce qui caractérise, -[le »« centre générateur »« de]- la civilisation chrétienne). On finit donc par aimer très réellement -(soit véritablement) - sa parèdre au point que tout acquière enfin du sens -(on comprend de nouveau y compris les choses les plus complexes). Mais pour que cela devienne la réalité cela a impliqué un changement important dans les habitudes culinaires, au point de contraindre à devenir végétarien. C’est alors une étape obligatoire qui rapprochera le patient du moment de la prise de conscience qui peut être par exemple illustrée par l’image du Cri de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Edvard Munch, voire quelques autres tableaux de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Vincent van Gogh et/ou de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Picasso ou/et d’autres immensissimis…simissimes peintres comme mon frère S. E. A. I. S. S. S. L. P. Luc-François Granier de Cuneo … d’Ôz)-

Car le danger vient de ce que le psychiatre -(pas encore psychanalyste, [ce qui devrait être interdit d’être psychiatre uniquement et pas psychiatre-psychanalyste – (P. P.)])- n’ayant pas encore accès à toute la lumière de la conscience, croit que le patient s’est comporté de façon folle, voire de façon inconsciente, au sens négatif de ces mots -(fou et inconscient)- qui en ont du positif dans d’autres SPOK/ cas …, soit comme un des laipis, on le sait, parfois sacrilège[s] -(sans même s’en rendre compte, par conséquent péchant par omission, voire en raison d’une tradition qui ne s’est pas imposée de/une mise-à-jour, soit en conservateur, au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK / cas …).

Mon conseil est qu’il convient donc aux psychiatres -(soucieux de la guérison de leur patient)- pas encore devenus de véritables psychanalystes -(ce qui devrait être obligatoire)- de proposer la plus faible -(et non la plus forte – comme hélas j’ai pu constater en Grand Inspecteur et … que c’est encore le cas dans certains établissements, dont les plus renommés comme Sainte-Anne car prescrits par certains « médecins » -(tous ceux ne s’étant pas contraints à devenir psychanalystes et donc n’ayant pas fait de mise-à-jour en conformité avec les lois les plus justes, ce qui rend alors leur patient artificiellement malade, vulnérable, faible, infiniment souffrant / torturé / martyrisé au plus haut degré tant psychiquement que physiquement ce qui n’est pas possible / acceptable / juste ni conforme avec la très juste loi de l’interdiction de la torture tant sur les animaux que sur les êtres humains : on n’a pas -(en conscience)- le droit de/à cela -(en raison du droit à la vie qui a été reconnu universellement mais aussi des droits des êtres humains), mais aussi de profiter d’un fait ou d’un autre pour rendre artificiellement malade une personne qui ne l’était que fort peu, voire pas du tout -(comme c’était mon cas depuis 2005 –[année de ma transformation en bouddhahs par conséquent durant laquelle j’ai commencé à être dans l’exercice de mes fonctions d’empereur et enfin un des plus véritable puisqu’ayant enfin accès à la conscience])- et cela d’autant plus -(c’est ici que ce qui s’est passé à mon sujet -[avec les hospitalisations]- est le plus » incroyable mais vrai « comme le plus injuste, soit impensable à imaginer)- qu’à cette date j’avais enfin retrouvé ma conscience, ce qui est pour tous les gens les plus censés -(donc vrais, voire scensés -[car censé + sensé = scensé]), au contraire, le signe -[terminal d’un nouveau départ]- de la guérison -(cette prise de conscience, au point d’être à l’origine, -[en poursuivant l’auto-psychanalyse -(et non la psychanalyse), car végétarien – (les végétariens n’ont pas besoin de psychanalyse car ils sont capables d’exercer sur eux-mêmes au besoin une auto-psychanalyse, ce qui sera suffisant à moins de trouver un psychanalyste végétarien pour pratiquer cette psychanalyse)]- de la progressive restitution de la mémoire à force, à partir de 2005, d’avertir les époques passées découvertes synchrones, étant donné que j’avais pu vérifier dans ce studio où je me trouvai 12 bis rue du Val de Grâce au cinquième étage, mais aussi dans ma mémoire, qu’effectivement on me voyait et on m’entendait dans le passé en 1977 et qu’on m’entendait -(seulement, donc sans me voir)- en 1967 parlant en virtuel, d’avance, depuis ces années 2005 !).

Aussi on a forcé violemment une personne agissant par acquis de conscience et dans l’exercice de ses fonctions -(pour le Bien et l’Intérêt Général)- de devenus un bouddha -(dans mon cas bouddhahs), soit un éveillé par acquis de conscience, à prendre des doses médicamenteuses très/trop importantes, au point de le faire souffrir infiniment atrocement alors que la plus véritable psychiatrie devrait servir à faire en sorte que le patient accepte de suivre une psychanalyse, voire continue son auto-psychanalyse -(comme c’était quotidiennement mon cas dans ce studio depuis 2005).

Dès la première ingestion -(ou injection), il convient -(de concert avec le patient)- de commencer aussitôt, avec l’aide d’un calendrier, le sevrage du patien-(car il s’agit de produits chimiques qui peuvent être à la longue très nocifs à cause de leurs effets secondaires indésirables qui touchent sur l’un ou l’autre d’entre eux un pourcentage important de personnes)- qui, c’est normal, une fois calmé -(avec une bonne nuit de repos, voire en lui prescrivant pour ça un somnifère)- donne, dès les premiers instants, des signes d’aller de mieux en mieux et cela dès qu’il se met au travail -(soit commence à s’auto-psychanalyser, voire s’exprime par les effets de l’un ou/et l’autre des Arts pratiqué[s]).

En effet, il convient de comprendre que tout médicament neuroleptique est à l’origine d’empêchements à être vraiment soi-même et cela d’autant plus qu’il s’agira avec ce patient -(comme ce fut mon cas)- d’un végétarien

N. B. :- Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire 

-(comme moi qui le suis progressivement devenu, car longtemps -(dans les périodes durant lesquelles je n’étais plus bouddha)- j’étais sûr d’être un omnivore à tendance carnivore, en raison du conditionnement familial -(dans lequel j’avais baigné / qui avait été le mien)- occidental qui, dans les années de mon enfance, proposait à la grande majorité des occidentaux de se nourrir ainsi).

Celui-ci, en Occident, trouvera difficilement un psychanalyste végétarien. Aussi le voilà à devoir s’imposer / être condamné à une auto-psychanalyse –(ce qui sera facilité par la quantité des diplômes obtenue.s à l’Université, voire grâce à son niveau scolaire s’il est plus jeune)- comme je l’ai faite en même temps qu’à partir de 2005 je communiquai à travers Espace et Temps aux années 1967 et à celles de 1977 à mon père nommé, (par l’opération du Saint-Esprit), empereur, toutes les informations nécessaires pour poursuivre la Reconstruction de l’après Seconde Guerre Mondiale et mettre un terme à la guerre froide comme grâce à mes informations détaillées -(et mes avertissements divers à raison d’une moyenne de huit heures par jour de 2005 à 2013), bâtir notre époqu-(soit celle où ses petits-enfants, mes nièces et neveux, allaient accéder, à leur tour, aux responsabilités -[y compris parentales])- à partir de toutes les données transmises.

Cela s’est produit à haute voix en même temps que je m’auto-psychanalysais dans le studio de la rue du Val de Grâce à partir de 2005 à 2013, avant mon déménagement à mon adresse actuelle qui a mis un terme à cette auto-psychanalyse comme à ces communications à travers Espace et Temps car j’ai dû me consacrer à l’écriture des explications de ces communications / interventions -(à travers Espace et Temps, du Ciel)- à effets rétroactifs aux années 1967 et suivantes et 1977 et suivantes.

En effet cette auto-psychanalyse à haute voix avait été nécessaire car j’avais en 2005 à me remettre d’une double amnésie. Celle entre 1967 et 1977 et celle entre 1977 et 2005 -(de vingt-sept années)- de l’existence de ma première promise, S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et comme convenu avec moi-même dans le passé, du Sacrifice que j’allai progressivement -(à mesure que s’égrainaient les jours à partir de 2005)- découvrir avoir fait avec C. L. , à partir de 1977 de nos enfants -(potentiellement attendus / virtuels)- avec C. L. , étant donné qu’en augmentant le prix du baril de pétrole -(au lieu de le baisser pour créer / faire advenir le Paradis partout, en mettant un terme définitif à la misère et à la pauvreté matérielle de tous les êtres humains sans exception)- toutes les personnes qui comptent très véritablement et cela par acquis de conscience -(à cause des multiples interactions économiques avec l’ensemble des autres paramètres)- voyaient bien qu’il leur serait absolument impossible de fonder une famille dans un monde où les prix n’allaient pas cesser d’augmenter -(mettre des enfants au monde pour les faire payer, « » vous moquez-vous des gens? « » selon Dieu ou/et Molière – c’est presque la même chose)- en raison qu’ils -(les prix)- répercutent, très logiquement et souvent très exactement au sens de justement, l’augmentation du prix du baril de pétrole -(soit celui du transport qui concerne tous les produits sans exception, ces prix étant donc tributaires de cette augmentation)- et cela à l’exception de deux ou trois d’entre eux, il est vrai et cela est assez important pour être mention -(car cela confirme que si on avait baissé le prix du baril de pétrole au prix où je disais qu’on avait tous intérêt à le vendre -(soit un centime de dollar le baril, voire 0,01 centime de dollar le baril ce qui serait beaucoup mieux étant donné qu’aucun enfant étant sur le point de naître n’a l’intention de gruger les autres et que se sont eux qui, dans l’avenir, à leur tour auront à préparer le monde de leurs enfants, voire de leurs petits-enfants et encore plus loin de la Résurrection des Morts, par conséquent qu’il y a devoir de l’Ensemble à faire en sorte que les prix soient indexés sur le pétrole coutant le moins cher possible -(et non le plus cher possible)- pour donner une valeur cohérente à tous les produits pas seulement du point-de-vue de ceux qui naîtront dans les familles les plus aisées financièrement parlant, mais aussi pour tous ceux naissant dans des contextes dans lesquels les prix les plus bas représentent des sommes plus importantes, voire -(parfois ou hélas souvent)- impossibles à dépenser, aussi cela serait une sorte d’ajustement mondial qui donnerait aussi le prix aux travaux pharaoniques -(genre celui de construire un pont / viaduc pour le train et les automobiles entre Cuba et la Floride)- qui seront à entreprendre dans l’avenir, en rendant tous les autres travaux le moins cher possible -(et non le plus cher, ce qui a été le cas à plus de cent onze dollars le baril en 2011 -(mais déjà en 2008), soit ce qui m’a déterminé plus que jamais à ce qu’on propose ce pétrole à la place à 0,01 centime de dollar le baril d’autant plus que c’est moi qui ai dicté du ciel, en le géolocalisant exactement, plus de cinquante pour cent des réserves actuelles de pétrole, soit miennes à plus d’un titre : celui de grand inspecteur car bouddhahs -(soit éveillé par acquis de conscience), empereur, donc eanmeailleurs -(car de mon cru empereur + bouddhahs = eanmeailleurs, un mot que j’ai inventé / créé pour cette situation exceptionnelle, soit ce SPOK et auquel j’ai donné aussi le/un sens figuré d’une recette végétarienne visible en vidéo sur Internet)- mais aussi découvreur de ces réserves géo-localisées par mes soins), tous les prix de tous les produits sans exception auraient baissé beaucoup -(selon mes plans depuis 1977)- plus qu’on était en droit de l’espérer en étant ainsi à l’origine d’un monde où il n’y aurait bientôt plus une seule dette -(donc de la possibilité de restaurer la vision du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe, soit Ôz ou/et Atlantide ou/et Arcadie et tous les synonymes de cette notion d’Eden -(comme celui du mot Schtroumpf)- qu’on me montra à Rome cinq pleines secondes en 1995 quand on me fit -[le]- nouvel empereur), mais aussi où ce qui serait gratuit ou/et extrêmement peu cher, concernerait la majorité des produits -(seuls ceux qui auraient valu plus d’un million et cent mille dollars de 2011-2014 auraient dû être vendu / été vendus un dollar, ce dernier ayant un pouvoir d’achat, on le voit ici, très/plus important, par conséquent enfin une très grande valeur, les gens continuant à être payés ce qu’ils sont, par conséquent tous multimillionnaires y compris les plus pauvres et/ou misérables), car ils ont continué à -[faire]- bénéficier de la loi de la quantité et de la rareté -(L. Q. R.)- ce qui a permis de voir baisser le prix de leurs produits à la vente, malgré l’augmentation du prix du baril de pétrole. Mais ces articles qui l’ont démontré possible -(malgré ces hausses du prix du baril de pétrole)- n’ont, évidemment pas été aussi nombreux que ça -(cependant que cela mérite d’être signalé notemment pour les écrans de télévision grâce au passage des écrans cubiques ou/et rectangulaires d’autrefois -(déjà en couleurs)- aux écrans plats, dont j’ai décrit en détails techniques comment les réaliser, comme les fax et les ordinateurs de bureau ou/et portables, lecteurs de CD-audio et DVD, que j’ai aussi décrit en détail pour qu’on puisse les élaborer petit à petit dès ces années 1977 et suivantes, et etc.).

Aussi ces « médecins » qui ont prescrit plus que la dose « minimum » de 25 mg –(ce que j’ai vérifié sur moi-même est en réalité la dose maximale possible à prescrire accompagné du médicament » correcteur « de l’Artane 5 mg deux à trois fois par jour et cela en ayant impérativement et normalement, dès la première prise/dose, à commencer à sevrer dès les quinze jours suivant[s], soit de quinze jours en quinze jours)- alors qu’ils étaient dans la connaissance / avertis des effets secondaires indésirables, obtiendront pour leur respective âme après la mort -(s’ils n’ont pas fait – avant d’exercer)- les efforts de devenir l’un des éveillés -[bouddhas]- par acquis de conscience)- les plus tragiques réincarnations avec tous leurs complices, bien que nous sachions qu’à première-vue[s] il ne savait pas cela –(au sujet de ces « médicaments » et/ni sur leur vie après la mort)- soit qu’ils font l’objet d’un test impitoyable et qu’en réalité la gradation maximale à pouvoir administrer 15 jours

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :

-(ce qui est immensément long comme temps à l’échelle universelle, y compris / et surtout à l’échelle médicale, étant donné qu’une seconde de souffrance c’est, nous en convenons tous, si cette souffrance est de celles grandes / importantes, insupportab[i]lissimis…simissime bien qu’elle -(ou qu’il – malgré que le mot » seconde « soit féminin)- soit grandement préférable cette seconde à plus longtemps, soit, par exemple trois ans comme c’est le cas pour moi depuis la dernière hospitalisation abusive de 2017, les médecins et le personnel médical n’ayant pas voulu baisser mon traitement, comme je n’ai pas cessé, en conscience -(soit par acquis de conscience, donc en éveillé, soit dans mon cas en bouddhahs), de le demander –(d’autant plus, à vous en croire –[donc selon votre point-de-vue –(et non le mien soucieux du moindre détail comme de la Vérité des mots ou/et des doses et ce qu’elles induisent comme sevrage exactement réussi]), que j’étais sevré depuis plus de trois ans -(dès la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit depuis 2014), obtiendront pour leur âme respective, à leur mort, ce qui les attend mathématiquement comme malheur en raison –[et proportion]- de ce qu’ils en ont créé à leurs patient)–

et pas plus – est -(s’il n’existe pas de comprimés en la matière pour ces « médicaments » du Risperdal et du Xeplion, mais aussi des autres neuroleptiques)- la plus « faible », soit celle de 25 mg -(/: Vingt-cinq), soit vingt-cinq fois un milligramme tous les quinze jours de cette chimie martyrisantissimis…simissime. Ce qui, je l’ai vérifié, sur moi-même quand j’étais à demi-dose de Risperdal 25 toutes les sept semaines, est encore quelque chose à souffrir ce un ou deux, voire trois milligrammes dont on sent, à ces dosages là -(uniquement à première-vues minimes et non en prenant en compte tous les paramètres, dont celui de l’échelle neutrinale -(de neutrino)- réelle et celui de la stratégie commerciale fondée sur la vérité relative de 25 mg comme point de départ – car ce point de départ, pour rendre ce « médicament »  plus supportable aurait pu être de 5 mg tous les quinze jours, voire d’une façon plus raisonnable encore moins, n’ayons aucune peur à le proposer en toute vérité / conscience: 1 mg, ce qui aurait été/serait - je vous prie de le croire, amplement suffisant et je puis vous le garantir : enfin sans effets secondaires indésirables, voire beaucoup moins qu’à 25 mg : vingt-cinq fois moins -(ce qui n’est pas à négliger comme nouvelle échelle de départ plus respectueuse de la santé du patient qui, sinon à de nombreuses probabilités d’être un de ceux qui auront à souffrir l’un ou/et l’autre des effets secondaires indésirables – ce qui est rendre cauchemardesquissimis…simissime la vie de ce patient -(sans Artane 5 mg qui en étant employé comme correcteur vivra alors sa vie cauchemardesquissimissimissime, ce qu’il vaut mieux de cauchemardesquissimis…simissime)- appartenant sous l’emprise de l’Artane 5 mg à tous ceux vivant continuellement dans des douleurs insupportab[i]lissimissimissimes -(ce qu’il vaut mieux en évitant le suicide du patient par ce qu’il gardera l’espoir de voir baisser le traitement dans le cadre du sevrage obligatoire de tous les neuroleptiques sans exception)- et non insupportab[i]lissimis…simissimes).

 

Fichier audio n°12

Le Risperdal, à ce dosage de 5 mg faisant cinq fois plus d’effets qu’à un milligramme -(et cinq fois moins qu’à 25 mg)- où il aurait – je puis vous l’affirmer et vous en rassurer - fait de l’effet, cependant que le devoir / l’obligation de se sevrer de cette dose de Risperdal 5 mg -(voire 1 mg)- prendrait, évidemment, beaucoup moins de temps, bien que cela soit aussi possible de deux semaines en deux semaines -(voire en plus de temps, si le patient n’est pas de ceux qui souffrent / souffreront -(= souffriront)- des effets indésirables comme ce fut mon cas)- en passant ainsi progressivement de quatorze jours -(deux semaines après)- en quatorze jours,

à moitié moins de 25 mg, soit 12,5 mg,

puis quatorze jours après à moitié moins encore : 6,25 mg,

puis à 5 mg,

puis quatorze jours après à moitié moins encore : à 2,5 mg,

puis quatorze jours après : 1,25 mg,

puis quatorze jours après à 0,625 mg -(en arrondissant à 0,63 mg),

puis ainsi de suite de quatorze jours en quatorze jours -(très logiquement)- à 0,3125 mg -(arrondi à 0,30 mg)-

puis de nouveau quatorze jours après à 0,5625 mg -(arrondi à 0,5 mg),

puis idem à 0,078125 mg -(arrondi à 0, 08 mg),

puis la fois suivante à 0,0390625 mg -(arrondi à 0,04 mg),

et quatorze jours après à 0,01953125 mg -(dose arrondie à 0, 02 mg)-

puis deux semaines après à 0,009765625 mg -(arrondi à 0, 01 mg),

ce qui serait alors la dose finale / terminale avant la fin du sevrage quinze ou quatorze jours après cette dose minimale de 0,01 mg -(où enfin on ne prend plus de Risperdal, donc on est complètement rétabli avec ce sevrage en quatorze fois quatorze jours -(valable aussi pour Xeplion 25 mg cependant qu’avec Xeplion 25 mg de mois en mois ces dosages, ce qui fait quatorze mois de traitement pour réussir ce sevrage),

soit 196 jours -(16 934 400 sec., soit 28 semaines).

Le sevrage déployé / détaillé ci-dessus peut être réalisé autrement vu au grand maximum en 392 jours -(soit 33 868 800 secondes – soit sur 56 semaines, un peu plus d’un an), soit deux fois plus long, sur deux fois plus de temps que le précédent, soit autrement vu -(ce sevrage)- en deux fois plus de temps que 196 jours -(le sevrage détaillé au-dessus du paragraphe précédent)- ce qui signifie qu’on reprend la même dose une fois de plus avant de passer à la dose deux fois moins forte – donc une étape de quatorze jours supplémentaires à chacun des dosages – donc à chaque nouveau dosage d’environ deux fois moins, prendre ce nouveau dosage deux fois quatorze jours après chacune des nouvelles doses, ce qui fait traîner en longueur du double de temps ce sevrage à un peu plus d’un an),

Voire – il vaudrait mieux – ce sevrage en 294 jours -(soit 42 semaines, soit 25 401 600 secondes)- soit autrement vu 1,5 fois plus de temps que 196 jours -(soit 16 934 400 secondes), soit 28 semaines à pouvoir de nouveau vivre comme autrefois sans médicament[s].

– N. B. : durant ce sevrage il est fortement conseillé de passer progressivement à une nourriture végétarienne pour tous ceux qui ne le sont pas avant le traitement : c’est bien ce changement d’alimentation qui va grandement contribuer à la longue -(sur plusieurs longues années – (un tableau concernant approximativement le nombre d’années qu’il faudra attendre -[tout en étant devenu végétarien]- avant de retrouver sa conscience est possible à l’aune de mon expérience, cependant que difficile à réaliser pour, en réalité, tout compte fait, obtenir un ordre d’idée[s] -[sans pouvoir garantir ces résultats à obtenir de façon certaine au point que nous pouvons affirmer que trente années végétarien donne de sérieuses probabilités d’accéder enfin à la conscience cependant que dans d’autres cas quarante, voire cinquante ans ou plus longtemps encore seront nécessaires])- au rétablissement du patient qui, parce qu’il va devenir végétarien, va pouvoir guérir, à la longue, de la grande majorité des maladies psychiques auparavant traitées avec des neuroleptiques car j’ai pu vérifier que la cause de l’anorexie comme de la schizophrénie, comme de la plupart des autres maladies psychiques n’existent qu’en raison de ce qu’alimentairement on s’est mis dans une situation paradoxale et incohérente avec les plus véritables sentiments qui nous animent d’habitude. L’alimentation carnée de chair animales est à l’origine de cette situation paradoxale et/ou incohérente -(c’est là la cause ou l’origine des problèmes)- alimentaire dans les pays occidentaux : en effet manger de la viande animale et/ou du poisson va dans le sens contraire de ce à quoi tend naturellement l’âme de chacun dès nos respectives naissance, comme dès l’âge de raison : la bonté (soit ce qui caractérise normalement la plupart d’entre nous). La méchanceté, la haine ayant pour origine des malentendus et des paramètres vitaux oubliés, voire qu’on n’a jamais su ni compris : c’est ici l’origine des comportements en prédateur[s], ce qui sera donc l’une ou l’autre des réincarnations suivantes parce qu’on s’est refusé à faire le Bien et on s’est habitué à voir la réalité du mauvais côté en devenant un des laipis – comme j’eus à le démontrer sur moi-même). Ces doses de moitié en moitié moins sont ce qu’elles sont en milligrammes pour nécessairement progressivement durant le sevrage mis en place adoucir le traitement, ce qui est totalement obligatoire avec ce sevrage absolument obligatoire dès la première dose de Risperdal ou/et de Xeplion (ne serait-ce que par devoir de/pour ne pas inquiéter le patient -(qui tant qu’il n’a pas le planning du sevrage peut être un de ceux dont les effets indésirables sont des plus torturant, douloureux et par conséquent qui doit être rassuré par la connaissance de la périodicité choisie du sevrage dont il a droit et dont il sera obligatoirement l’objet. Laisser le patient souffrir des effets secondaires sans lui annoncer la fin de son sevrage par le planning du sevrage -(des neuroleptiques)- dont il fera obligatoirement l’objet, est criminel contre l’humanité en raison de ce que sans ces informations -(à donner avant la première injection)- le patient croit alors, une fois le médicament injecté, qu’il aura à souffrir pour toujours les martyres et tortures de ces effets secondaires les plus douloureux. Aussi le médecin qui n’établira pas de concert avec son patient le planning du sevrage dégressif du Risperdal ou du Xeplion mais aussi de tous les autres neuroleptiques ne peut pas s’appeler un médecin mais uniquement un bourreau dépourvu de cœur : bref celui qui sera à l’origine du traumatisme psychique de chacun des patients à qui on aura injecté sans informations sur la durée du traitement -(au très grand maximum d’une année -(56 semaines comme écrit plus haut), mais il vaut mieux sur six mois -(28 semaines, comme inscrit plus haut), voire trois mois -(quatorze semaines comme inscrit dans le planning détaillé plus haut aux doses indiquées à ne jamais dépasser)- au grand maximum la dose de 25 mg de ces produits neuroleptiques), voire petit à petit éliminer les substances chimiques du Risperdal qui aux cinq doses proches de 25 mg et à 25 mg ont des effets secondaires considérables / nombreux / douloureusissimis…simissimes / etc. -(sans le médicament correcteur de l’Artane 5 mg)- dont certains d’entre eux hyper insupportables sur les gens pourvus d’une conscience, donc dès la prise de 25 mg, ce qui veut dire que ces souffrances existent aussi mais un peu moindres, à moitié moins, à 12,5 mg comme encore moins à un quart : 6,25 mg et bien sûr un peu moins encore à 5 mg et bien sûr à moitié moins : 2,25 mg et etc. ainsi de suite jusqu’à 0, 01 milligramme !)

Et si la première dose -(après celle qu’on prescrit en cas d’hospitalisation -(ou hospitalisation chez le patient)- au cours de laquelle aurait été délivrée la dose de 25 mg – ce qui est, (permettez-moi de vous le rappeler)- le maximum du maximum supportable -(avec de deux à trois comprimés d’Artane 5mg tous les jours)- car sinon insupportablis…simissimissime, voire pour une entrée à l’hôpital prescrire de préférence la dose de 12, 5 mg – donc au pire de 25 mg -(qui, avec l’Artane 5 mg rend à peine supportable le Risperdal comme le Xeplion à ces dosages), voire – il vaudrait mieux proposer une dose de 6,25 mg, car on pourrait commencer à la dose de Risperdal -(ou de Xeplion toutes les quatre semaines)- 1mg toutes les deux semaines, puis à la dose de 0,5 mg avant d’être mis au dosage de 0,25 mg et enfin à 0,125 mg car deux semaines après 0,0625 mg existe comme deux semaines après 0,03125 mais aussi deux fois moins existe, et ainsi de suite et cela parce que ces dosages au-dessous d’un milligramme permettent d’éviter les effets indésirables tout en étant toutes les deux semaines -(ce qui est énormément de secondes –[pour être précis 1 209 600 secondes, ces quatorze jours]- moins forts que un milligramme de Risperdal -(étant vingt-cinq fois moins fort que le dosage de 25 mg qui est à l’origine d’effets indésirables martyrisantissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes car torturantissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimes, insupportabilissimis…simissimes et etc. -(ces » issimissimissimes « étant bien la preuve que 25 mg de Risperdal tous les quatorze jours est au moins vingt-cinq fois trop fort, ce qui exige des plus véritables médecins de sevrer rapidement et précisément, tant la souffrance au dosage de 25 mg de Risperdal est trop élevée / douloureusissimis…simissime et si possible, dès les quatorze jours suivants à 12,5 mg, en sachant heureusement pour tous que le patient souffrira deux fois moins -(ce qui n’est pas encore beaucoup moins à ce stade du sevrage et de souffrance[s] -(bien qu’appréciable – je puis vous le garantir – pour l’avoir vécu –(donc tout ceci est inscrit en raison de l’expérience et très objectivement en cobaye de l’expérience mais aussi en bouddhahs, c’est-à-dire en grand inspecteur, soit en vérité multidimentionnelle et multicatégorielle – on peut donc s’y fier les yeux fermés car c’est la seule possibilité à l’aune de certains des effets secondaires indésirablissimis…simissimes dont sont responsables Risperdal et Xeplion. Aussi ce que j’ai dit pour Risperdal 25 mg est valable pour Xeplion 25 mg, mais tous les vingt-huit jours, soit toutes les quatre semaines - mais aussi pour tous les autres neuroleptiques probablement proposés chacun au moins vingt-cinq fois trop forts -(car c’est le cas de Risperdal 25 mg et cinquante fois trop fort Xeplion 50 mg – 1 mg faisant déjà des effets très/trop importants contraignant à sevrer dès la première prise jusqu’à 0, 01 milligramme), car il ne faut pas oublier qu’une seconde de souffrance de Risperdal 25 mg -(sans médicament correcteur)- c’est réellement insupportabilissimis…simissime par conséquent quinze jours l’enfer absolu psychique et physique de souffrances diverses à devoir supporter, soit l’horreurissimis…simissime, le douloureusissimis…simissime et etc. y compris quand quatorze jours plus tard -(attention cela représente 1 209 600 secondes ces 14 jours –[soit toutes les deux semaines ce Risperdal] – d’où -[que]- vous pouvez un petit peu mieux comprendre ce que cela représente comme souffrance)- on passera à 3, 125 -(arrondi à 3 mg)- et quatorze jours après à deux fois moins, soit 1, 5625 mg -(arrondi à 1, 5 mg), ce qui est, à cause des effets secondaires indésirables, croyez-moi encore de la souffrance -(mais je vous l’accorde : un peu moins que quatorze jours avant – voire pour certains insensibles aux effets du Risperdal ou du Xeplion « rien », voir infime, cependant que pour ceux qui à 25 mg ont souffert infiniment trop des effets indésirables, cela sera beaucoup moins de souffrance, voire au mieux la disparition de celles-ci, soit ce qui est évidemment souhaitable).

Ce n’est que vers 0,78125, (soit en arrondissant à 0, 75 mg)- qu’on trouve ce « médicament » à la limite du supportable, voire dans les cas les plus désespérés -(soit celui de personnes sensibles ayant acquis la conscience, donc vraies et s’étant débarrassées de la condition de laipis)- supportable et cela parce que petit à petit en baissant le dosage quelques » issimissimes « ont disparu en proportion -(au point, dans un premier temps, de voir disparaître progressivement les trois petits points au centre de ces mots érigés avec » ces issimissimes « à ces superlatifs absolus

N. B. : Autre suite après le paragraphe suivant ci-dessous entre crochet[s] à lire:

-[ayant à voir avec une appréciation de la douleur plus qu’infiniment insupportable et par conséquent commençant à être ceux-ci : martyrisantissimis..simissimes, douloureusissimis..simissimes, torturantissimis..simissimes, cauchemardesquissimis..simissimes, insupportab[i]lissimis..simissimes, puis parce qu’on a baissé la dose comme ci-dessus décrit de moitié en moitié en commençant à 12,5 mg, ces effets secondaires indésirables martyrisantissimis.simissimes, douloureusissimis.simissimes, torturantissimis.simissimes cauchemardesquissimis.simissimes, insupportabilissimis.simissimes, puis, parce qu’on a une fois de plus baissé la dose comme nous l’avons vu plus haut à la moitié de 12,5 mg soit 6,25 mg, arrondi à 6 mg, martyrisantissimissimissimes, douloureusissimissimissimes, torturantissimissimissimes cauchemardesquissimissimissimes, insupportabilissimissimissimes -(pour tous ceux sensibles aux effets secondaires –[comme ceux des impatiences et des acouphènes dont une seule seconde peut être, selon la méchanceté de ces acouphènes, martyrisantissimis…simissimes, torturantissimis…simissimes douloureusissimis…simissimes, au paroxysme du cauchemardesquissimis…simissimes, soit insupportab[i]lissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes, soit chacun de ces mots à l’infini de l’infini ce qu’ils sont déjà en valeur absolu comme genre de douleurs]-

ce qui est encore de la souffrance absolue)- et puis parce qu’on aura baissé le dosage sur 14 jours, soit deux semaines : martyrisantissimissimes, douloureusissimissimes, cauchemardesquissimissimes, torturantissimissimissimes insupportab[i]lissimissimes, ce qui, croyez-moi, est encore trop injustement souffrir, mais environ quinze jours après -(si on a baissé la dose de Risperdal ou de Xeplion ou des autres neuroleptiques), ce ne sera que martyrisantissime, douloureusissime, cauchemardesquissime, torturantissime insupportablissime, soit, vous en conviendrez aisément encore des superlatifs -(mais beaucoup moins absolus que les précédents, par conséquent donnant une meilleure idée de la souffrance -[à]- endurer/ endurée, voire renseignant le médecin du niveau / degré de souffrance endurée par le patient -(c’est ici la solution alternative élégante que je donne -(que j’ai trouvée)- pour évaluer sur quoi tabler avec la quantité et les « qualités » des degrés de souffrance dont j’ai fait l’objet. Pour que cela marche pour les autres -(comme premier remède qui permet aux soignants d’évaluer les degrés de souffrance des patients pour tous les maux existants)- il n’y a plus qu’à faire une sorte de tableau avec les mots de » douloureux « , » insupportable « , » cauchemardesque « , » martyrisant « , » torturant « , » tragique « et ces superlatifs de plus en plus absolus, voire infiniment absolus pour avoir une idée précise de la quantité de souffrance qu’est en train d’endurer une personne venue demander secours, on lui demandera d’entourer le mot d’insupportable ou/et de douloureux, etc. qui peuvent être aussi, à un autre endroit, précédés de l’adverbe » peu « , voire de ces mot de » moyennement « , » beaucoup « , » fort « , » très fortement « , » trop fortement « , etc. : de » fort « à » fortissimis…simissimément « et puis après inscrire » douloureux « : fortissimis…simissimément douloureux, voire à la ligne au-dessous » fortissimis…simissimément douloureusissime «, puis » fortissimis…simissimément douloureusissimissime «, puis à la ligne au-dessous » fortissimis…simissimément douloureusissimissimissime « , puis aux lignes suivantes ce » fortissimis…simissimément « suivi de douloureusissimis.simissime «, » douloureusissimis..simissime « et enfin » douloureusissimis…simissime « , ce qui est normalement dire » insupportabilissimis…simissime «, » cauchemardesquissimis…simissime « , » torturantissimissimissimes «, » atrocissimis…simissime à vivre/endurer - (nécessitant, [avec l’accord de l’intéressé / le patient], de façon absolument urgente au moins une cure de sommeil de plusieurs jours, en espérant qu’à chacun des réveils programmés la douleur sera un peu plus passée, voire aura disparue, voire sinon au moins descendue d’un ou de plusieurs crans). On peut donc représenter ces dires ci-dessus inscrits dans une sorte de tableau, voire sur une page avec ce que représentent ces mots et/ou expression[s] comme type[s] de souffrance[s]- selon les dosages, (ce que je viens un peu de tenter ci-dessus dans cette progression logique et cohérente), cependant qu’on s’est enfin rapproché de » martyrisant « , » douloureux « , » cauchemardesque « , » insupportable « , » tragique « , etc. , ce qui facilitera le choix du dosage suivant du Risperdal ou du Xeplion -(voire l’arrêt du médicament si la souffrance est au paroxysme ou infiniment, au point de vouloir en mourir, voire de demander la mort.

Celui-là qui la demande doit aussitôt faire l’objet -(à ce degré de souffrances)- d’une cure de sommeil d’au moins trois jours, voire plus longtemps si à son réveil, au bout de ces trois jours -(sans médicament si ce n’est celui de l’Artane 5 mg qu’on administrera par perfusion durant le sommeil pour éviter de réveiller le dormeur pour prendre ce médicament aux heures habituelles) - cette douleur dure encore à ce point qu’il ne démord pas de l’idée d’en finir – donc cela -(cette cure de sommeil)- peut être plus longue : d’une semaine, voire de quinze jours au cours desquels on aura arrêté complètement Risperdal ou Xeplion 25 mg -(ce que je rappelle ici est la dose maximale -(et non minimale – tous les médecins psychiatres qui croient pouvoir prescrire plus de 25 mg de ces deux substances sont hélas, infiniment hélas, dans l’erreur. Cela n’est – (croyez-moi, parole de bouddhahs soit d’éveillé par acquis de conscience, soit en Vérité sans un électron d’erreur puisque nous avons pu vérifier que tout ce que j’ai eu à transmettre du ciel des années 2005 l’avait été en 1967 et 1977 par ma voix de vérité avant même que ces époques se soient concrétisées dans la réalité), pas humainement possible car les effets indésirables sont à 50 mg -(sans correcteur Artane 5 mg)- infiniment insupportab[i]lissimis…simissimes et les autres mots marqués plus haut avec le même superlatif infiniment absolu)-, voire au dosage où le patient se trouve / est, ce qui dans le cas de Xeplion sera un mois et à cause de cela plus d’un mois de cure de sommeil, voire plusieurs mois de cure de sommeil -(pour que la personne ne souffre plus)- et bien sûr sans lui administrer aucun neuroleptique[s] de manière à faire disparaître ces effets indésirables abominab[i]lissimis…simissimes de souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes à l’origine de la volonté d’en finir : de se suicider, voire de tentatives de suicide. En effet, il se pourrait que trois mois de cure de sommeil sans aucun neuroleptique[s] ne soit pas suffisant pour atténuer la souffrance causée par ces effets indésirables du Risperdal ou du Xeplion dès la dose de 25 mg -(comme par exemple les acouphènes soit des bourdonnements insupportab[i]lissimis…simissimes dans les oreilles ou/et des impatiences du même genre ou des maux de pieds douloureusissimis…simissimes, ou des quintes de toux handicapantissimis…simissimes puisqu’elles débouchent sur des vomissements et d’autres effets indésirables que vous trouverez récapitulés en fin de lettre dans la notice -(copiée)- de ces médicaments les recensant), bien que cela pourrait l’être au moins pour quelques-uns de ceux qui ont entouré ou souligné le superlatif absolutissimis…simissime donc constitué de la terminaison » issimis…simissime « -(avec l’aide de ces terminaisons superlatives, il est donc beaucoup plus aisé d’établir une gradation / échelle qui servira à déterminer de manière précise le degré de douleur ou/et souffrance qu’un patient éprouve car cela décidera de la médication ou -[de]- l’arrêt de celle-ci, voire du changement de traitement, etc.)- ou de ses variantes -(avec un ou deux points, voire plus aucun point, entre » issimis «  et » simissime[s] « au lieu des trois qui signifient » infiniment «)- qui dans plusieurs SPOK signifient plus ou moins » infinimentissimis…simissimément –[douloureusissimis…simissime « et/ou » insupportablissimis…simissime, et etc.]- « qu’on n’oubliera pas d’inscrire dans les mots proposés au patient pour évaluer le degré de douleur dont il est victime et par conséquent passer à l’étape suivante -(après cette cure de sommeil à géométrie variable selon la périodicité de départ des quinze jours du Risperdal 25 mg ou [d’]un mois avec le Xeplion 25 mg)- à atteindre pour obtenir » supportable « 

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire si on veut

« soit -[seulement]- OK, donc l’expression de » cela ira « : soit l’acronyme C. I. qu’on peut lire » CI « prononcé » si « – (soit » oui « en italien qui se dit » si « et non » chi «  qu’on utilise en italien pour dire par exemple » chi siete ? « (qui êtes-vous ? ce chi est prononcé en français par » qui «)-, » ci «, par exemple, dans «» noi ci darem la mano, est prononcé » chi « en français » ou dans un autre exemple en italien dans le mot » skier « : sciare : prononcé » chiaré « en français qui n’est pas loin du mot » chiaro « en italien, ce qui signifie le mot de » clair «, par exemple dans l’expression » c’est clair ? «). Cela ira, c’est bon = OK ou C.B. . En effet, on retrouve » ci « dans » merci « ce qu’on emploi parfois pour dire » oui « ou » OK «),

cest-à-dire non-martyrisant, non douloureux, non cauchemardesque, non tragique non plus -(bien que cela ne sera pas non plus le rêve, soit tout à fait merveilleux -(ce qui ne peut advenir qu’une fois totalement sevré du Risperdal ou du Xeplion)- et bien sûr enfin supportable, soit très exactement ce qui a permis de petit à petit arriver à la notion de supportable, soit d’O. K. , donc de C. I. B. : -[acronyme de]- cela ira bien : voire c’est beaucoup mieux qu’avant (B. M. Q.) – ce qui doit être l’objectif de tous les plus véritables médecins vis-à-vis du patient tant hélas, infiniment hélas, il y a parfois des états véritablement insupportab[i]lissimis…simissimes à devoir plus ou moins momentanément endurer)-

Comme annoncé plus haut voici une sorte de  tableau récapitulatif -(adaptables à d’autres effets indésirables d’autres médicaments, voire aux états de santé ou/et états de souffrance)- de la gradation des souffrances en fonction des dosages en milligramme de Risperdal -(tous les 14 jours)- et de Xeplion -(tous les 28 jours)- établi à partir de mon expérience depuis 2013 de Risperdal 25 mg tous les quatorze jours sans le correcteur Artane 5 mg.

Tableau établi à partir de 2017, à la suite de mon expérience de Xeplion 50 mg toutes les quatre semaines et du Risperdal 50 mg -(tous les quatorze jours). Il est à préciser que Xeplion 50 mg est un peu plus supportable -(dans son absolument insupportabilité – [non supportable], soit insupportab[i]lissimis…simissime sans l’Artane 5 mg)- que le Risperdal 50 mg

1/ Effets secondaires indésirabillissimis…simissimes : martyrisantissimis...simissimes, torturantissimis…simissimes, douloureusissimis...simissimes, cauchemardesquissimis...simissimes,

insupportab[i]lissimis...simissimes, tragiquissimis…simissimes = 50 mg de Risperdal toutes les 14 jours, soit 1 209 600 secondes -(sans l’Artane 5 mg)- de ce type de souffrances et 50 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue au paroxysme du cauchemardesquissimis…simissime et etc. –[les corolaires ci-dessus]).

2/ Effets secondaires indésirabillissimissimissimes : martyrisantissimissimissimes, douloureusissimissimissimes, cauchemardesquissimissimissimes,

insupportab[i]lissimissimissimes, tragiquissimissimissimes, etc. = 50 mg de Risperdal -(avec Artane 5 mg de deux à trois comprimés deux fois par jour)- toutes les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 50 mg de Xeplion -(avec Artane 5 mg de deux à trois comprimés par jour)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimissimissime et etc.).

 

3/ Effets secondaires indésirabillissimis..simissimes -(on remarquera les deux points au centre de la terminaison qui étaient trois points au premièrement ci-dessus)-: martyrisantissimis..simissimes, douloureusissimis..simissimes, cauchemardesquissimis..simissimes,

insupportab[i]lissimis..simissimes, tragiquissimis..simissimes = 25 mg de Risperdal -(sans Artane 5 mg, de deux à trois comprimés deux fois par jour)- toutes les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 25 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimi..simissime et etc.).

4/ Effets secondaires indésirabillissimis.simissimes  -(on remarquera un point au centre de la terminaison qui étaient deux points au troisièmement ci-dessus)-: martyrisantissimis.simissimes, douloureusissimis.simissimes, cauchemardesquissimis.simissimes,

insupportab[i]lissimis.simissimes, tragiquissimis.simissimes = 12, 5 mg de Risperdal-(sans Artane 5 mg, de deux à trois comprimés deux fois par jour)- tous les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 12, 5 mg de Xeplion -(sans Artane 5 mg)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimis..simissime et etc.).

5/ Effets secondaires indésirabillissimissimissimes : martyrisantissimissimissimes, douloureusissimissimissimes, cauchemardesquissimissimissimes,

insupportab[i]lissimissimissimes, tragiquissimissimissimes = 6,25 mg -(si possible arrondi à 6 mg)- de Risperdal -(sans correcteur Artane 5 mg) toutes les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 6,25 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimissimissime et etc.).

6/ Effets secondaires indésirabillissimissimes : martyrisantissimissimes, douloureusissimissimes, cauchemardesquissimissimes,

insupportab[i]lissimissimes, tragiquissimissimes = 3, 125 mg -(de préférence arrondi à 3 mg)- à de Risperdal -(sans correcteur Artane 5 mg)- tous les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 3 mg de Xeplion -(sans correcteur Artane 5mg)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimissime et etc.).

 

7/ Effets secondaires indésirabillissimes : martyrisantissimes, douloureusissimes, cauchemardesquissimes,

insupportab[i]lissimes, tragiquissimes = 1,5625 mg -(arrondi à 1,5 mg)- de Risperdal toutes les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 1,5 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissime et etc.).

8/ Effet secondaires indésirable  : martyrisant, douloureux, cauchemardesque,

insupportable, tragique = 0,78125mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,75)- de Risperdal toutes les 14 jours -(sans correcteur Artane 5 mg), soit 1 209 600 secondes et 0,75 mg de Xeplion -(sans correcteur)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesque et etc.).

8/ Effets secondaires indésirable  : non-martyrisant, non-douloureux, non-cauchemardesque,

supportable, non-tragique = 0,390625 mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,4)- de Risperdal tous les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 0, 4 mg -(sans correcteur Artane 5 mg)- de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue non cauchemardesque et etc.).

9/ Effets secondaires nul : non-martyrisant, (O.K étape avant fin du sevrage), non-douloureux -(O.K étape avant fin du sevrage), non-cauchemardesque -(O.K. étape avant fin du sevrage)

Supportable -(O.K., étape avant fin du sevrage), non-tragique -(O.K. étape avant fin du sevrage) = 0,1953125mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,2 mg)- de Risperdal tous les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 0,2 mg de Xeplion -(sans correcteur Artane 5 mg)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue non cauchemardesque, (O. K. étape avant fin du sevrage)- et etc..

N. B. : permettez-moi de vous rappeler que tous ces mots qui doivent être entourés ou soulignés par le patient ont été inscrits en grande majorité d’entre eux sans que ce patient n’ait bénéficié du correcteur Artane 5 mg, ce qui signifie qu’il va falloir proposer ces mêmes choix de mots sur une autre feuille de papier pour faire le choix de ces mots représentant le degré de souffrance du patient une fois sous l’emprise du correcteur Artane 5 mg à ces différentes gradations.

10/ Et enfin la dernière étape du sevrage avant terminaison de la prise d’un dosage de Risperdal ou du Xeplion (sans Artane 5 mg) : effets secondaires nuls  : non-martyrisant, (O.K étape avant la fin définitive du sevrage), non-douloureux -(O.K étape avant la fin définitive du sevrage), non-cauchemardesque -(O.K. étape avant fin définitive du sevrage). Supportable -(O.K., étape avant la fin définitive du sevrage), non-tragique -(O.K. étape avant la fin définitive du sevrage) = 0,09765625 mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,1 mg)- de Risperdal toutes les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 0,1 mg de Xeplion -(sans correcteur Artane 5 mg)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue non cauchemardesque, (: O. K. , étape avant fin du sevrage)- et etc..

Aussi il faut comprendre que pour mesurer l’état de souffrance du patient il conviendra d’établir et de proposer, inspiré par les dix points qui précèdent d’autres listes semblables à ces dix points : la même liste pour chacune des gradations précédentes qui partent donc de 0,1 mg pour aboutir à 25 mg, voire à 50 mg sans bénéficier du correcteur Artane 5 mg, voire ces même gradations en bénéficiant au contraire du médicament correcteur de l’Artane 5 mg. En réalité ces dix points à proposer à cocher pour chacune des gradations de 0,1 mg à 25 mg avec ou sans correcteur.

En réalité on fera/établira la liste des gradations de 0, 01 à 25 mg en s’inspirant de la liste ci-dessus et pour chacune de ces gradations on proposera la liste des mots ci-dessus sans superlatif et avec les différents superlatifs jusqu’aux plus infiniment superlatifissimis…simissimes ! C’est ainsi qu’on pourra se rendre compte à partir de quel degré en milligramme[s] de substance médicamenteuse le patient souffre et cela plus ou moins car la suite de ces superlatifs de plus en plus infini est logique au point de créer une échelle de moins à infiniment –(hélas cela ne pourra concerner que la population alphabétisée, par conséquent sachant un peu lire / comprendre grâce à la langue qui donne accès à la logique et à la cohérence dans la pensée, donc aux vérités relatives telles que nous les cherchons ici pour déterminer le degré de souffrance d’une personne sous les effets des neuroleptiques en particulier -(sans le correcteur Artane 5 mg)- Risperdal 25 mg ou Xeplion 25 mg.

Mais j’ai le regret de vous dire que 0,1 mg de Risperdal ou de Xeplion cela a, dans le corps, dans le sang, encore des effets, qu’avec Artane 5 mg en tant que médicament correcteur on ne mesurera pas / plus, tant ils seraient, effectivement, imperceptibles à ce dosage, cependant qu’ils existent certainement encore à l’échelle universelle infinitésimale -(mais il est vrai que le corps ne ressent plus les effets d’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(cependant qu’on éprouve de petits effets les premiers jours de l’injection), ce qui doit correspondre à 0,5 milligramme, (voire tout au plus 1 à 3 milligrammes, voire 6 mg – on verra plus bas combien exactement)- quand il existe encore la possibilité de baisser cette demi-dose à toutes les huit semaines -(ce qui la rendra quart de 25 mg tous les mois), voire toutes les neuf semaines, ce qui serait approcher de ce 0,1 milligramme).

On ne peut parler de guérison -(si toute fois on aurait été considéré malade de quelque chose ayant donné nécessité à un psychiatre de prescrire au grand maximum Risperdal 25 mg une ou deux fois, voire trois fois quinze jours au très grand maximum ou une ou deux fois Xeplion 25 mg durant un mois)- en ayant été contraint à prendre du Risperdal 25 mg ou du Xeplion 25 mg –(ce qu’on ne pourra jamais donner/prescrire à une gradation plus élevée de 50 mg tant c’est alors douloureusissimis…simissime et insupportablissimis…simissime, et etc. –[voir plus haut la liste des autres mots qualifiant les souffrances obtenues des effets indésirables à ce dosage sans correcteur Artane 5 mg prescrit deux à trois fois par jour maximum]- qu’à partir du moment où on est totalement sevré de ces substances de Xeplion ou de Risperdal depuis au moins un an -(donc un an sans avoir recours aux médicament[s] neuroleptique[s] d’aucun type après l’année qui, au grand maximum -(sur 56 semaines)- a été utilisée pour sevrer progressivement du Risperdal 25 mg ou du Xeplion 25 mg). Par conséquent on doit comprendre que 0,1 mg de Risperdal ou de Xeplion -(ce qu’il vaut mieux car Risperdal fait un peu plus souffrir que le Xeplion au même dosage)- n’est pas « plus rien » car à l’échelle universelle cela demeure 0,1 mg -(ce qui est beaucoup / énorme à l’aune d’une autre forme de mesure des poids par exemple celle qui concerne la mesure de la masse des électrons et/ou des atomes ou comme celle qui mesure le poids / masse d’un neutrino ou d’un photon -(ce qui concerne les éléments microscopiques composant le Risperdal ou le Xeplion qui circuleront dans le sang, comme les globules et autres minuscules matières). N’oublions pas que le sang circule en nous avec des substances qui revêtent des formes et des poids à ces autres échelles de mesure[s] ayant été créées à cette fin de réussir à les mesurer précisément parce qu’alors on les distingue dans le sang comme des éléments dissociables. Aussi ces éléments sanguins chargés des milligrammes de ces médicaments circulent aussi entre les neurones et les synapses composant notre si précieux cerveaux, ce que la substance du Risperdal ou du Xeplion empruntent aussi comme chemin grâce au système circulatoire sanguin. D’où – vérifié par vos dévoués serviteurs vos eanmeailleurs - l’immense danger que représente ces neuroleptiques pour le cerveau, puisque nous avons pu vérifier qu’ils engendrent des acouphènes de différentes forces dont ceux les plus infinimentissimis…simissimément insupportab[i]lissimis…simissimement douloureusimissimis…simissimes soit ceux qui mènent directement au suicide du patient ayant été soumis à prendre 25 mg de Risperdal ou de Xeplion, le suicide devenant l’unique chance de salut pour cesser de souffrir et cela si les responsables médecins ayant prescrit ce Risperdal 25 mg ou ce Xeplion 25 mg, voire ce Xeplion 50 mg -(ce qui a été dans mon cas)- même avec l’Artane 5 mg, ne cessent pas aussitôt de prescrire ce Risperdal 50 ou ce Xeplion 50 mg pour que ces acouphènes cessent de se manifester à cause de ces neuroleptiques comme cela a été mon cas, le docteur Marcel ayant été coupable de cela puisqu’au lieu de poursuivre mon sevrage à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines -(ce qui aurait alors permis un quart de Risperdal 25 mg tous les mois comme cela devait être le cas, qui plus est, au bout de presque deux années à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines)- il m’a contraint et forcé à être hospitalisé de nouveau pour qu’à l’issue de l’hospitalisation de 2017 on me prescrive Xeplion 50 mg de manière à me faire souffrir encore plus atrocement y compris des acouphènes, tant que je n’ai pas trouvé le correcteur de l’Artane 5 mg pour m’éviter le suicide vers lequel je n’avais pas d’autre choix d’aller (tant la souffrance était des plus immensissims…simissime et cela parce que ce « médecin » ne voulait pas prendre compte des effets indésirables dont était l’auteur Xeplion 50 mg : une substance que nous avons pu remarquer être dès les 5 mg à l’origine de souffrances infernales, par conséquent dès 20 mg infernalissimis…simissimes -(soit un synonyme d’insupportab[i]lissimis…simissime, ce qu’elles furent -(au point d’en avertir à votre tour, comme je le fis à votre prédécesseure Madame A. et au docteur Jean-Luc Marcel y compris par les écrits dont vous avez hérités du dossier).

En conclusion 0,1 mg de Xeplion est une dose qui n’est pas » rien « -(ce que vous pensez comme je le crus dans un premier temps moi-même, abusés que nous avons été par l’existence de ces dosages proposés dans le commerce et qui parce qu’ils sont beaucoup plus importants que 25 mg font croire au plus benêts d’entre nous que 25 mg est peu, et 1 mg rien. Encore une fois 1mg de Risperdal ou de Xeplion c’est énorme dans ces échelles de mesure[s] des contenus et composés du système circulatoire sanguin. Et si on ne ressent plus rien vers 5 mg cela ne veut pas dire qu’entre les neurones et les synapses il n’y a pas des effets considérables au microscope qui se produisent. Ce n’est que vers 0,1 mg que ces substances ne produisent plus d’effets importants et permettent à chacun de nous de retrouver le fonctionnement normal que nous avions avant que ces substances étrangères chimiques ne fassent leurs effets, même à 0,1 mg qui n’est pas 0,01 milligramme, gradation à laquelle les effets indésirables sont évidemment moindres bien que ces effets ont lieu y compris à 0,000 1 milligramme, soit la meilleure échelle pour comprendre les effets du médicament qui circule dans le sang avec ces matières différentes liées à la composition de ce médicament. Je crois avoir bien démontré / prouvé à partir de 1977 dans le ciel de Rome, donc à tous -(y compris au Pape Saint Jean-Paul Premier qui en avait pris bonne note tous les jours avec l’ensemble des cardinaux et évêques, donc la hiérarchie Vaticane, mais aussi avec le peuple de Rome et les membres de l’administration italienne du Quirinal, le gouvernement de l’Italie, comme à François Mitterrand ayant alors fait tout spécialement le déplacement de Paris à Rome pour s’assurer que ce qu’on lui avait dit à Paris au sujet de son élection que j’avais annoncée et confirmée dans le / du Ciel de 1977 à Rome – soit alors avec la virtualité de la réalité future de mon être ainsi vue immensissimissimissime à partir de 1977)- ce qu’un être humain bien né et s’étant consacré par les arts qu’il exerce au bien comme à l’Intérêt Général, représente comme taille dans le ciel : de trois à 10 kilomètres de hauteur. Aussi, vous comprendrez aisément que le contenu d’une seringue de Xeplion cela représente à cette autre échelle la plus véritable, énormément fois plus que ce qu’à première vue on croit qu’elle contient -(en effet en macroscopie, soit en très gros plan la seringue et le contenu de celle-ci c’est immensément d’ingrédients chimique, même si seulement 0,1 milligramme -(ce dont les responsables et créateurs de ces produits médicaux n’ont pas tenu compte, ce qui explique l’existence de l’ensemble des effets indésirables dont sont responsables ces doses en réalité beaucoup plus importantes qu’on ne pense étant donné que d’habitude nous ne regardons pas le monde à cette échèle macroscopique ou, encore mieux, microscopique. C’est la même chose pour le comprimé d’Artane 5 mg : il s’agit, en réalité, la taille de ce comprimé d’une sorte de mini soucoupe volante qu’on ingère ! Il faut donc comprendre que 25 mg sont dans cet autre système de poids et -[de]- mesures -(qui concerne tous les êtres étant devenus des éveillés par acquis de conscience, soit des bouddhas, soit très véritablement des princes)- comme de nombreux kilogrammes de matières chimiques injectées dans le corps -(mesurant dans le Ciel de trois à dix mille mètres de hauteur)- pour petit à petit se répandre un peu partout dans ce corps grâce aux flux de la matière sanguine irrigant toutes les parties du corps et cela a, dans certains cas de tous ceux qui se sont débarrassés de l’animalité – au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK – en eux les conséquences des effets indésirables. Aussi je vous prie de comprendre que ces 25 mg -(et à fortiori 50 mg de Xéplion)- sont, en réalité, énormémentissimis…simissimément de cette chimie ayant les effets indésirables que je vous ai décrit pour ainsi dire totalement déboussolant mais surtout douloureusissimis…simissimes et insupportab[i]lissimis…simissimes sur le psychisme comme douloureusissimis…simissime et etc. physiquement. Par conséquent il faut faire ce que j’ai fait avec madame K. dès le mois suivant la dose de Risperdal 25 mg toutes les deux semaines, la procurer toutes les trois semaines, puis toutes les quatre semaines pour la proposer de nouveau tous les quinze jours, mais divisée à moitié, soit cette demi-dose tous les quinze jours et quinze jours après la donner toutes les trois semaines et enfin toutes les quatre semaines et puis toutes les cinq semaines – ce qui avait pris presqu’un an pour m’être prescrite toutes les cinq semaines -(cette demi-dose de Risperdal 25 mg)- et ainsi de suite jusqu’à toutes les neuf semaines. Voire si on craint une rechute du patient faire durer un peu plus le sevrage une fois à ce stade de demi-dose toutes les huit semaines, cette demi-dose devenant alors -[un]- quart de dose proposé[e] très logiquement de nouveau tous les mois -(et non plus toutes les huit semaines), soit toutes les quatre semaines et puis quinze jours après toutes les cinq semaines, et quinze jours après toutes les six semaines, et quinze jours après toutes les sept semaines -(ce quart de dose de Risperdal ou de Xeplion 25 mg)- et quinze jours après toutes les huit semaines, ce qui permet alors, avant cette huitième semaine de passer, à l’occasion de cette huitième semaine qui va venir, à la moitié de ce quart de dose de Risperdal 25 mg ou de Xeplion 25 mg tous les mois et quinze jours après toutes les cinq semaines et ainsi de suite jusqu’à la moitié de cette moitié du quart de 25 mg de R. comme de X. qui adviendra très logiquement une fois à huit semaines, ce qui permet alors de proposer la moitié de la moitié de ce quart de dose de Risperdal 25 mg ou de Xeplion 50 mg tous les mois, pour proposer cette moitié de moitié de quart de dose de Risperdal 25mg ou de Xeplion 25 mg quinze jour après toutes les cinq semaines et quinze jours après toutes les six semaines et quinze jours après toutes les sept semaines, ce qui nous permet d’arriver à la moitié de la moitié de la moitié de ce quart de dose de Risperdal 25 mg tous les mois ou toutes les quatre semaines !

Ceux qui voudront ici vous dire ce que cela signifie en milligrammes à chacun des réajustements du sevrage -(donc réajustement sevragiale : réalisés dans le cadre du sevrage)- le pourront aisément : au départ la dose la plus énormissimis…simissime qu’on puisse s’autoriser à prescrire : 25 mg ! (Et jamais plus car c’est déjà extrêmementissimissimissime douloureusissimissimissime à cette dose de 25 mg sans correcteur Artane 5 mg)- Ensuite la moitié de la dose = 12,5 mg, le quart de 25 mg étant 6,225 arrondi à 6,5 mg, la moitié de ce quart = 3,25 mg, la moitié de cette moitié de ce quart de 25 mg = 1,625 mg qu’on arrondi à 1,5 mg, puis la moitié de la moitié de cette moitié de ce quart = 0,75 mg de Risperdal 25 mg ou de Xeplion 25 mg et ainsi de suite en nombre de semaine jusqu’à ce 0,1 milligramme de Risperdal 25 mg ou Xeplion 25 mg – ce qui n’est pas difficile à comprendre et à faire au cours de ce sevrage, qu’on voit bien se déroule en douceur, très respectueux des tempi de l’être humain), 

La demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines -(ce à quoi j’espérais qu’on irait / tendait)- explique mon acharnement à demander de poursuivre le sevrage pour enfin passer –(ce que j’attendais depuis très/trop longtemps, pas seulement en Grand Inspecteur e -[tout ce que je puis être, avoir été, serai – soit immensément de choses dans l’Intérêt et pour le Bien Général, donc qu’on me doit y compris pour mes réincarnations précédentes]- mais simplement en patient)- de cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(ce qui était le cas depuis presque deux ans insupportablement longs à cause de ce que toutes les sept semaines, au bout de la troisième fois, j’attendais qu’on poursuive le sevrage)- à toutes les huit semaines, l’étape avant la réussite de ce sevrage quand nous serions à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, ce qui neuf semaines après une dernière prise de cette demi-dose toutes les neuf semaines aurait effectivement donné » -[presque]- plus rien « à ingérer -(m’injecter) - ou » plus rien « pour ceux qui ont, comme vous, le sens des arrondissements – soit d’arrondir le nombre de ces milligrammes du côté du zéro quand le dosage de ces médicaments se rapproche de ce zéro – si vous allez vers 1mg. Moi je vais vers 0,1 mg, voire vers 0, 01 mg, voire 0, 001 mg, voire dans d’autres cas 0, 0001 milligramme dans les calculs les plus exactes à réaliser. Nous sommes donc capables d’utiliser d’autres échèles – (ou échelles) – parce que ces substances sont hyper-dangereuses en raison des effets indésirables de ces substances empoisonnantes dans le corps et le cerveau tant elles sont douloureusissimis…simissimes à ces immensissimissimissimes dosages, dès 25 mg et 12,5 mg -(sans correcteur Artane 5 mg), ce qui signifie qu’à partir de 50 mg et au-dessus à 75 mg elles sont immensissimis…simissimement douloureusissimis…simissimes et etc. et à 100 mg et à 125 mg immensissimis…simissimement douloureusissimis…simissimes et etc. soit totalement invivab[i]lissimis…simissimes, donc à partir de 150 mg mais déjà 100 mg InsuPportab[i]lissimis…simissimes, voire invivab[i]lissimis…simissimes et etc. – et je vous prie de me croire, je minimise car en réalité chaque lettre de ces mots devrait être aussi grande que la Tour Eiffel, par conséquent autant de tours Eiffel que de lettres de chacun de ces mots côte à côte et là aussi je minime car la taille des maux dont on est alors la victime -(dont on souffre – mais on ne peut crier tant les douleurs sont atrocissimissimis…simissimes)- devrait s’inscrire, (chaque lettre), de la taille de la planète Jupiter. Aussi il faudrait toute une série de planètes de la taille de Jupiter, côte à côte, en train d’inscrire dans le cosmos l’un ou l’autre de ces mots affublé[s] de leur terminaison superlative tant la souffrance est alors à chaque fraction de seconde InsuPportab[i]lissimis…simissimes et immensissimis…simissime et atrocissimissimis…simissimes et etc. dès Risperdal 12,5 mg)- (et encore une fois je vous prie de me croire, je minimise)- et enfin assurer à jamais, en ce qui me concerne, la fin de la prise de neuroleptiques –(d’autant plus que j’avais pu écrire en toute transparence les lettres explicatives -[de ce qui n’avait pas pu être expliqué oralement aux médecins à cause de l’infinie complexité de mon SPOK/cas particulier canonique]- aux Présidents de la République françaises (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm) et celle aux Papes –[dont le Pape émérite]- (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm) comme celle au Cardinal Vingt-trois (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/cardinal_vingt_trois01.htm) – moi, évidemment pour tout le personnel médical guéri de ce qui, je le redis n’était pas une maladie, mais par acquis de conscience en légitime défense de l’Ensemble dans le passé comme dans le présent comme pour un meilleur futur, une vérification que la notion de devoir en conscience -(dans l’exercice de mes fonctions)- a existé / existait avec ces transmissions quotidiennes à travers Espace et Temps de mes Avertissements et de la Grande Dictée de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale, soit dans l’exercice de mes fonctions d’empereur devenu un éveillé – soit un bouddhahs - par acquis de conscience à partir de 2005, soit ce que j’avais absolument à faire -(c’était mon devoir de vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz)- pour éviter dans le passé aux années 1967 et suivantes, comme une seconde fois aux années 1977 et suivantes que la guerre froide ne se transforme de nouveau en guerre nucléaire mondiale et/ou apocalyptique puisqu’en intervenant à partir des années 2005 et suivantes, en synchrone avec ces années 1967 et 1977, nous avons donc tous pu vérifier d’avance qu’il y avait bien cet » ou bien « de la Création à réaliser / explorer en prenant appui, c’est-à-dire en se fondant sur le Sacrifice de mes enfants attendus et ma séparation -[momentanée]- avec l’une de mes légitimes promises : S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang – un sacrifice qui allait plaire / plairait aux laipis mais aussi à chacun des représentants du sacré, c’est-à-dire des responsables de chacune des religions intellectuellement admissibles qui vérifieraient -(puisque cela a marché pour Christine et moi : nous avons pu éviter la reprise de la guerre grâce à toutes les transmissions depuis 2005 sur 1967 et 1977)- que la notion de sacrifice personnel est effectivement féconde

-(elles le sont plus ou moins toutes -(intellectuellement admissibles)- malgré les points qui les fait différer et auxquels, parfois, on ne peut réussir à croire qu’en raison du niveau intellectuel atteint à/pour cet effet, soit ce qui exige donc de poursuivre l’évolution de chacun d’entre nous jusqu’à atteindre ces niveaux de progrès intellectuels permettant alors de croire à l’une ou l’autre des vérités relatives qui concernent plus particulièrement l/des détails dans ces religions. Aussi c’est comme si on entrait avec chacune des religions dans un système de pensées plus ou moins différents, mais en réalité qu’il faut considérer comme complémentaires les unes des autres pour accéder à la compréhension du sacré sous toutes ses formes et ces religions ou/et catégories comme des SAÉ, soit des solutions alternatives élégantes et/ou des ingrédients complémentaires comme pour la meilleure des salades de fruits et légumes (https://www.youtube.com/watch?v=OauwY0zSBsA) végétarienne et etc, voire des eanmeailleurs.

puisque les adultes des années 1967 ou ceux des années 1977, (suite après les deux paragraphes suivants qu’on peut néanmoins lire :)

(malgré la leçon de l’Histoire de la fin de la Seconde Guerre Mondiale avec Le Jour le Plus Long et/ou le Débarquement des Alliés qui avaient comme objectif, en raison de l’existence des anneaux de mariage, soit du sacrement du mariage -(S. M.)-, de délivrer les personnes internées dans les camps de concentration et ainsi favoriser de nouveau la réunion de ce qui restait d’êtres humains sauvés, appartenant aux diverses catégories de mots très injustement et inconcevablement utilisés -(au sens d’impossible à s’autoriser / imaginer ainsi)- persécutés à tort en tant qu’épouses ou époux et/ou enfants séparés de leurs parents ou à d’autres titres, alors que, chacun de ces êtres humains, au moins un univers si ce n’est des univers différents -(soit ce qui est très vaste et quantité astronomiques de choses et d’autres plus ou moins virtuelles et/ou reliées à chacune des diverses catégories scientifiques ou/et catégories et dimensions sacrées existantes y compris au contraire à titre simplement de laipis)- avant d’appartenir à l’une ou l’autre des catégories les désignant selon les moments quand ils essaient de faire croire qu’ils sont les mots en question les désignant, soit ce qu’ils seraient ce qui est possible comme la profession d’acteur nous en donne la preuve en nous permettant de changer de rôle, soit d’état ou/et d’univers – une profession qui est accessible au plus grand nombre, ce qui signifie que l’être humain peut être parce que, par ailleurs, acteur une quantité astronomique d’univers différents et par conséquent rarement, voire jamais un seul mot ou une seule ou deux catégories, d’autant plus de l’existence des dimensions différentes) –  

N. B. : suite après le paragraphe suivant

–{[(comme si chacun d’entre ces personnes n’appartenait pas, au sens de n’était pas en relation avec un grand nombre de catégories, religions, œuvres d’Art et/ou films, etc., mais aussi informations, etc.. Comme si chacune des personnes en question n’étaient pas un univers à lui/elle tout.e seule, voire plusieurs univers -(ne serait-ce que sonores : il y a un nombre quasi infini de Mozart différents rien qu’en musique sans parler de tous ceux différents dans chacune des autres catégories permettant de l’approcher comme bien d’autres dieux de la Musique)- soit un réceptacle de chacune des secondes vécue -(qui nous le savons représentent de nombreuses images – au moins vingt-cinq par seconde - dont le poids numérique est exprimé en méga-octets et pixels de couleurs et méga-octets de sons)- avec le contenu des données (numériques)- de chacune de ces secondes vécue à 360° mais aussi, grâce à la conscience en tenant compte d’innombrables paramètres intellectuels et spirituels, ce qui a, par exemple, permis à des êtres comme Marcel Proust d’écrire à La Recherche du Temps Perdu, mais aussi avant lui à François-René de Châteaubriand d’écrire Les Mémoires d’Outre-Tombe et à Jean-Jacques Rousseau d’écrire ses Confessions et à moi, par exemple, (en adéquation avec mon époque qui est celle, entre autres, des nouvelles technologies -[de l’image]- (N. T. I.)- et en dehors de ces lettres qui se basent sur beaucoup de souvenirs), de tourner en vidéo, à partir des années 1995, mais déjà avant, un grand nombre d’images qui se sont, dès qu’enregistrées, muées / transformées en souvenirs accessibles : des parties / morceaux de ma mémoire, soit ce qui pourrait un jour donner, une fois montées, la possibilité de retrouver / ressusciter ces temps à-premièrevus seulement perdus -(alors qu’ils nous ont fait gagner ces images – soit quantités non négligeables d’informations ou/et de mots / catégories pour les transcrire ou/et les ranger), ce qui atteste donc de ce que le disque dur de n’importe lequel des cerveaux contient comme souvenirs à 360° -(voire à 180° seulement, devant soi), à chaque seconde – soit dans les détails mais aussi en plan d’ensemble -(donc pas seulement en Omnimax)- de ces souvenirs »« matière à penser »«, à comprendre, à peindre, à faire des progrès, etc. voire matière à se repentir sincèrement quand il s’agit de véritables péchés ou/et fautes enregistrées, voire professionnelles, ce qui alors sera à l’origine de conséquences graves, soit toutes celles qui mènent à involuer au lieu, au contraire de bien plus préférablement -(pour la meilleure santé de nos âmes respectives)- de poursuivre l’évolution pour, au lieu de régresser, progresser, soit ainsi être, (si j’ose dire à ceux qui ont jeté un œil sur les vidéos en question: eanmeailleuralement :) - utiles au Bien et à l’Intérêt Général)]}-

N. B. : suite de la fin de la ligne deux paragraphes plus haut :

[Ils] ont cru possible séparer Christine de ma personne attendant d’Elle nos enfants, soit réaliser ce sacrifice à première vue proposé auquel, bien entendu, il aurait préférablement été convenu de -[le]- refuser puisqu’en conscience il n’était pas/plus acceptable, à la lumière de cette leçon de l’Histoire, apparemment comprise par tous – aussi nous avons eu avec les principaux responsables de cette génération des années 1920 -(qui accédait au pouvoir dans les années 1977 et suivantes)- que des pseudo et soi-disant adultes qui, en réalité, n’avaient pas encore tiré ces leçons de l’Histoire puisqu’ils crurent possible obéir à des ordres du Ciel auxquels il fallait, en conscience -(c’était ma position sur place en 1977), désobéir même s’ils provenaient de ma personne vue et entendue au/du Ciel et cette désobéissance à ces à-premier-entendu ordres était en conscience attendue par Christine et moi-même en 1977 d’autant plus qu’en toute cohérence nous avions demandé -(au cours de la Grande Dictée, soit du ciel)- de rendre légale l’Objection de Conscience –(en espérant qu’en toute logique mon père et ses amis objecteraient là où cela devait être, par conséquent à la « demande » de notre Sacrifice de séparation d’avec ma promise Christine qui serait à l’origine de la perte de ma descendance alors virtuelle, soit autrement-vue de mes ascendants, soit de ceux, mes enfants alors virtuels, qui m’avaient créé)- et de l’instituer -(ce droit à l’objection de conscience)- pour le service militaire français mais aussi de la plupart des nations appelées, au cours de ces transmissions à travers Espace et Temps, à s’unir dans le cadre de la Construction Européenne, pour devenir, grâce à l’instauration de la Monnaie Unique dont j’avais donné d’avance la valeur en francs, nos rRégions d’Europe, à l’intérieur de l’Union Européenne, ayant en commun une armée de métier -(soit de personnes croyant possible tuer ou se défendre en légitime défense alors que depuis longtemps l’interdit de tuer est une coutume très ancienne appartenant aux peuples les plus civilisés car il s’agit de tous ceux qui savent qu’une personne humaine c’est au moins -(avec tant d’autres choses possibles / virtuelles s’y attachant)- un univers de souvenirs, soit de ce qui est » matière à penser «, voire à images et/ou œuvres d’art) !

Nous n’avons toujours pas compris pourquoi des Mitterrand ou/et mon père S. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Luc Granier … -(empereur avant moi dans la chronologie des empereurs)- n’ont pas tout bonnement refusé ce Sacrifice de ma séparation avec Christine pour laquelle en 1977 à Rome, dans la salle de bain de ma grand-mère au quatrième étage du 22 via Mecenate, un anneau immatériel immaculé était apparu plus qu’un instant à mon doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés -(ce qui probablement signifiait l’accord de l’aîné de mes enfants pour s’incarner le jour venu – probablement après mon mariage avec Christine, ce qui signifiait que très probablement nous allions tout deux avoir de longues fiançailles nous donnant l’occasion de commencer à rétablir la vision du très saint-paradis d’avant la très grande catastrophe il y a plusieurs millions d’années)– pourtant ces soi-disant responsables -(adultes qui plus est alors que je n’avais que quatorze ans en 1977)- en nous ayant pour enfant[s] étaient mariés et étaient donc censés -(pour cela)- avoir connu Amour avec un grand A -(incompréhensible et totalement incohérente, [voire infiniment sacrilège]- donc leur adhésion à l’idée de croire possible ce sacrifice pour nous séparer si ce n’est que ce qu’ils ont alors décidé était, comme bien d’autres maux en ce monde, probablement causé par le fait qu’avec eux -(ces « adultes »), il ne s’agissait pas comme moi -(apparaissant immense d’avance dans le ciel)- de végétariens car nous avons pu vérifier qu’en étant omnivores à tendance carnivore l’être humain devient effectivement incohérent, par conséquent est capable de faire -(et c’est dans certains SPOK minimiser :)- des entorses aux injonctions de la conscience, voire être sourd en toute logique[s] à celles-ci, soit ne plus l’avoir, cette conscience[.] Perdue !? Et qui / quoi en serait la cause ? Voire si c’est la cause -(cette perte de la conscience, cette inconscience)- qui/quoi/que diable en serait l’effet ? J’ose ici une réponse ou trouver l’origine, hélas mille fois hélas, dans la pornographie et dans la haine -(dans un monde dans lequel il y a eu la disparition de la vision du très saint paradis depuis longtemps ce qui signifie qu’avec la vision d’Atlantide -(rétablie)- soit d’Ôz, soit la vision du très saint paradis, la pornographie ou/et les péchés de luxure ne seraient pas autant la cause des innombrables malheurs qui nous ont pourtant touché depuis la disparition de la vision du très saint paradis)- et le manque de respect de la chasteté).

Fichier audio n°13

Pour accéder au pouvoir -(et bénéficier de mes avertissements lointains et, à l’époque, virtuels), ils crurent possible séparer deux enfants -(Christine et moi)- qui, promis l’un à l’autre, s’aimaient d’Amour pur, en Vérité au point de faire apparaître d’avance dans le Ciel, avec moi y étant -(m’y trouvant d’avance), immensissimis…simisime en ces années 2005 et suivantes -(qu’on a ainsi découvertes -[alors]- synchrones avec celles de 1977 et 1967, donc avec ma personne, déjà dans le futur par mon truchement salvateur du passé -(donc à effet rétroactif), répandant jour après jour en véritable Corne d’Abondance des directives alors virtuelles, car, à l’époque où nous étions en chair et en os dans les années 1977 et suivantes, je n’avais pas encore rejoint en chair et en os ces années 2005 et suivantes desquelles j’étais apparu acoustiquement d’avance dans le ciel des années 1967 et suivantes et vu et entendu dans le ciel de Rome des années 1977 et suivantes. Aussi il était amplement encore temps de refuser Le Sacrifice de Séparation d’avec ma promise Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Sérénissimes Princesses Christine … Lang, voire de m’accorder exceptionnellement ce, qu’à la place, je demandai sur place en 1977 : l’accord pour épouser d’une part Christine … Lang et d’autre part Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Sérénissimes Princesses Michèle Finck puisque j’avais déjà démontré entre 1967 et 1977, mais déjà de ma naissance à 1967, combien les religions étaient essentielles, y compris / avec le Sacrement du Mariage pour, (en l’absence de la vision du très saint paradis -(le TSP) autour de nous tous -(comme cela sera le cas au contraire avec mon programme de restitution de la vision d’Ôz (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm) – celle d’avant la très grande catastrophe), élever les enfants le plus justement possible dans une ou l’autre des vérités relatives qui permettent -(en l’absence de la vision du très saint paradis rétablie – cette absence de la vision du T.S.P. a donné naissance à une autre création, voire autant de différentes qu’il y a d’êtres humains différents), à la longue, en les étudiant, d’approcher -[de]- la vérité sur tous les sujets / points).

Mais reprenons -(car vous comprendrez mieux tout cela en détail dans mes lettres explicatives aux personnalités sus-mentionnées)- : Oui, nous avons pu vérifier au cours du sevrage du Risperdal 25 mg, que chaque mg de Risperdal 25 mg est à l’origine de suffisemment d’effets indésirables au point de nous contraindre de faire en sorte que nous nous sevrions entièrement dès que possible de cette substance chimique empoisonnante -(et d’aucune façon guérisseuse de quoi que ce soit car uniquement à faire souffrir de ses effets indésirables et cela d’autant plus qu’en redevenant bouddhahs -[en 2005]- j’étais en très bonne voie de guérison –[de mes vingt-sept années d’amnésie canonique en pareil cas/SPOK]- puisque j’ai petit à petit, grâce à l’auto-psychanalyse, retrouvé ma mémoire et mis à profit de tous y compris rétroactivement -[en apparaissant dans les cieux d’époques du passé], la situation exceptionnelle, unique, que je vivais depuis le retour de ma conscience - CQFD)- car nous avons compris que 25 mg -[mais déjà la moitié de cette dose, donc 12,5 mg]- est, en réalité, véritablement le maximum du maximum de Risperdal qu’on puisse s’autoriser en conscience à administrer / prescrire quinze jours -(et pas plus, tant les effets indésirables sont torturisant[s] : donc à l’origine d’infinies tortures -(torturisantes / torturantes), donc martyrisantissimis…simissimes)- avant d’impérativement sevrer, en passant, dans cette logique élémentaire des demi-doses, à l’issue de ces deux semaines –(qui sont -[à l’échelle universelle à laquelle je vis]- des temps infiniment longuissimis…simissimes quand on souffre de la sorte de l’un ou l’autre de ces effets indésirables. En effet, dès qu’on souffre, le Temps parait très long et/voire insupportab[i]lissimis…simissime à vivre comme c’est le cas/SPOK :)- à, premièrement, cette dose de 25 mg toutes les trois semaines, puis, à l’issue de ces trois semaines, toutes les quatre semaines, ce qui va alors signifier l’équivalent d’une demi-dose de 25 mg pendant quinze jours, puis, cette demi-dose, à l’issue de ces deux semaines, toutes les trois semaines, puis à l’issue de ces trois semaines, toutes les quatre semaines, puis, si on n’est pas alors passé à quart de dose de Risperdal ou Xeplion 25 mg tous les quinze jours à l’issue de ces quatre semaines, la demi-dose toutes les cinq semaines, puis ainsi de suite : toutes les six semaines, puis à l’issue de ces six semaines, cette demi-dose toutes les sept semaines -(comme cela avait été le cas pour moi depuis 2015, mais, hélas, infiniment hélas, en y ayant mis beaucoup plus/trop de temps), puis -[à l’issue de ces sept semaines]- toutes les huit semaines jusqu’à cette demi-dose toutes les neuf semaines, quand, après cela deux fois de suite, le sujet est alors déclaré sevré et guéri de l’état dans lequel il s’était autrefois mis au point de nécessiter de lui prescrire Risperdal 25 mg ou Xeplion 25 mg et cette guérison en raison de l’absence de médication -(la médication a cessé)- au-delà de cette demi-dose toutes les neuf semaines. Il s’agirait de cette » crise « qu’il aurait eu plusieurs mois avant à l’origine de la décision -(plus ou moins juste et/ou compréhensible, en l’absence d’informations sur ce qui s’est réellement passé et a été alors compris par son entourage -[en l’absence d’informations concernant ce qu’on appelle les acquis de conscience -(ce qui est depuis toujours l’objectif de la Création pour chacun des êtres humains, donc cette » crise « injustement perçue en tant que telle et prise pour une » crise «, alors qu’avec cet » acquis de conscience «, il s’agit -(comme à la fin de La Belle et la Bête de S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Cocteau quand cette dernière -(la bête)- devient finalement un très véritable prince au service du Bien Général, d’une sécurité à découvrir dans l’être humain à la recherche du plus véritable amour soit d’une très réelle utilité dans l’Intérêt Générale)- de son hospitalisation -(soit, dans certains SPOK -[donc pour certains cas particuliers]- une façon sans cœur de procéder – puisque tout aurait pu s’arranger pour moi -(si le personnel médical avait essayé par des questions et des réponses écrites de trouver la cause de ce qui a fait que le patient -(moi, en l’occurrence)- se soit / s’est comporté un moment d’une façon originale / différente / surprenante / inhabituelle / étrange -(ce qui est un droit – ce droit à l’originalité, d’être -enfin]- pleinement artiste d’autant plus que je suis par ailleurs docteur en Arts et Sciences de l’Art -(cinéma – télévision – audiovisuel- …)- de l’Université de Paris I – Sorbonne pour laquelle j’ai mis en scène, produit, dirigé, monté, tourné, etc. La Momie-à-mi-mots -(la partie la plus importante de ma thèse de doctorat où il est effectivement question d’une sorte de métaphore d’états de l’être humain qui mènent à cet acquis de conscience, avant cette résurrection [-à/de la conscience], incarnée par S. A. I. S. S. S. S. P. Carolyn Carlson, soit La Danse, des états qui sont comme si on était mort ou/et qu’on n’existe presque pas. Tout juste une sorte de momie car avant cette résurrection à son être le plus véritable, on est -[comme]- dans la nuit cérébrale, soit dans les ténèbres, soit dans l’ignorance ou dans la situation de laipis -(acronyme d’exclusivement laïc, uniquement athée, ignorant, profane, inconscient, quelques fois sacrilège et cela parfois sans même s’en rendre compte ! Ces mots de laipis étant vus/entendus au sens négatif qu’ils revêtent quand dans d’autres SPOK il y a du positif en eux), puisqu’il n’a pas encore accès à la conscience -(soit -[autrement vu]- à l’âge de raison)- ce qui signifie qu’il se conduit de manière inconsciente, ce qui représente un très réel danger pour tous, au point d’expliquer la raison d’être de la monnaie, soit des crédits financiers propres et mérités de droit -(acronyme de CFPMD)-, une des solutions alternatives élégantes -(S. A. É.)- trouvées pour faire avancer les choses de manière à, le jour venu, tous retrouver la vision du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- et de celles des réincarnations qui sont bien évidemment en liaison avec la plus ou moins grande inconscience des uns et/ou des autres)- car en ce qui me concerne, s’était un cas de force majeure au sens où le passé –(où je me trouvai en même temps que dans le futur –[du point-de-vu de ce passé])- exigeait -(en conscience, c’est-à-dire tout bien pesé)- que j’intervienne en eanmeailleurs -(soit en pharaon devenu pour l’occasion bouddhahs)- pour éviter rétroactivement que la guerre ne reprenne, mais aussi proposer à la Terre des années 1967 et suivantes, mais aussi des années 1977 et années suivantes, une perspective -[d’avenir]- plus heureuse en réalisant – au lieu de se battre avec des armes de soldats / militaires - la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens ancien d’Internationale)- Mondiale que je proposai, (donc d’avance du futur)- étant donné que j’avais, (vers mes quatre ans, en 1967), eu en légitime défense -(parce que je me suis senti attaquer de partout dans l’invisible), à remonter d’avance le Temps -(vers ce futur – qui est d’avance le résultat de conséquences passées et -[j’avais]- pu, au passage, vérifier dans la réalité, d’avance, les effets de mes avertissements et cette Grande Dictée -(soit de cette Nouvelle Donne), soit la situation à partir de 2005 synchrone avec 1967 et 1977. Aussi c’était en conscience proposer ce qui éviterait de mettre le moins du monde possible le feu aux poudres, même si j’avais ordre -(par un de mes moi-mêmes – [il y en a au moins vingt-cinq de différents par seconde. Je vous prie de ne pas oublier que je suis cinéaste/vidéaste et monteur, soit une personne qui travaille constemment à la fraction de seconde]- dans le futur à partir de 2005)- pour que tout se passe comme cela s’était passé / déroulé -(pour que je retrouve un jour les paramètres qui me constituent avec cette conscience après une sorte de résurrection)- dans ce cas de figure de la Création, soit cet » ou bien « resnaisien -(de S. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais démontré dans Ses films de Smoking ; No smoking dans lesquels il suffit d’un petit changement dans la réalité pour obtenir une création / un film / des conséquences différent.e.s, ce qui est / sera / a été cet » ou bien «), dans lequel il était canonique de m’imposer l’amnésie de ce qui s’était déroulé dans le Ciel à partir de 1977 à Rome, par conséquent -(l’oubli)- de ma fiancée S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang, soit en 1977 ma -[première]- promise légitime pour, entre autre[s], explorer la condition de laipis -(celle, hélas pour eux, infiniment hélas, des [strictement]- laïcs, [uniquement]- athées, [souvent]- ignorants –[au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK], profanes, [souvent]- inconscients et -[par moments, voire sans même s’en rendre compte, donc par omission]- sacrilèges, ces mots constituant laipis dans leur acception négative alors que dans d’autres SPOK positifs), voire démontrer ainsi à tous ceux qui allaient suivre le processus de ces démonstrations –(comme celles qui avaient eu lieu de 1967 à 1977 après celles de ma naissance à 1967)- comment on en devient un -(de laipis – [ne s’écrit qu’en minuscule(s)])- quand on oublie enfant qu’on est destiné, en raison des enfants que -[virtuellement, (au sens de » possiblement « -[au sens de ce qu’il y ait des chances que …, voire si vous préférez, des probabilités])]- chacun de nous, naturellement, pourrait attendre de soi/lui-même et, normalement -(au sens de » naturellement «, soit de ce qui est évident)- de la femme qui en sera la mère. Par conséquent un paramètre que si on oublie sera, hélas infiniment hélas, comme j’eus à le démontrer, à l’origine d’une involution, soit ce qu’on a justement coutume d’appeler la période de l’adolescence -(qui, dans certains SPOK/cas, …, peut, hélas, infiniment hélas, s’éterniser)- puisqu’alors en se comportant en inconscient, on ne se prépare plus à cette perspective aux nombreuses responsabilités d’adulte, mais on va croire, par exemple, qu’on a le droit de se comporter en don Juan, par conséquent de se comporter légèrement, voire comme Casanova de manière inconsciente -(comme un de ces laipis qui, au lieu de vouloir devenir des purs esprits, vont vers des réincarnations très malheureuses), ce qui est l’origine de la dégradation du cerveau au point de se comporter progressivement en animal, au sens négatif de ce mot d’animal qui en a heureusement, dans d’autres SPOK/cas, … du plus positif. C’est alors,

-(comme je l’ai démontré sur/avec moi-même, durant cette adolescence forcée que j’ai dû m’imposer et à m’ingénier à/d’ obtenir de moi-même -(sans me souvenir aucunement que cette adolescence serait au départ une obligation pour ces Démonstrations dont j’ai dû oublier l’existence durant ces années d’amnésie[s])- en raison de l’amnésie de paramètres aussi importants que ceux que j’avais à oublier canoniquement pour éviter de faire du mal à S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck qui, en 1977 –[ce que j’aurais à redécouvrir au terme de mon auto-psychanalyse pas avant début 2017], n’avait pas voulu de ma solution alternative élégante -[S. A. É.]- des deux épouses)-,

qu’on se conduit en pécheur[s], donc qu’on se noircit sur des points capitaux le cerveau -(des connexions entre les synapses et les neurones ne se font plus d’autant plus que la mémoire a du mal à fonctionner), par conséquent qu’on régresse par rapport à celui qu’on était bébé ou/et dans la prime enfance. Si on ne change pas à temps pour devenir un véritable adulte -(donc en faisant le nécessaire pour s’abstraire / achever l’adolescence contractée), on obtiendr-(après la mort et La Pesée De Son Âme, -[malgré le sacrement de l’Extrême-Onction, si on ne s’est pas très véritablement repenti des péchés qu’on a commis y compris tous ceux par omission])- dans la vie suivante une réincarnation des plus malheureuse[s] -(malheureusissimis…simissime[s] et etc. : voir plus haut les autres superlatifs absolus que j’ai créé à ce sujet)- étant donné qu’on quitte alors -(pour vivre cet état d’adolescence)- le genre humain responsable et/ou consciencieux –(celui dans lequel, dès la prime enfance, on avait encore le feu sacré pour comprendre, apprendre, progresser, voire exercer sa mémoire en l’utilisant au mieux dans l’Intérêt Général qui, à cet âge-là, va bénéficier à la famille dont on est l’un des enfants fonctionnant, en raison de ce qu’il a encore accès à la conscience -(soit à la raison), donc à la lumière intérieure, soit à la Vérité, voire pour les plus extrémistes -(au sens positif de ce mot qui en a dans d’autres SPOK/cas du négatif)- au Saint-Esprit ! Ce qui, par exemple, permet alors de trouver les mots -(voir le remède qui peut être, par exemple, un suivi psychanalytique ou, pour les végétariens, auto-psychanalytique)- pour que, si possible, ce comportement trop original / différent de celui des autres ne se reproduise plus –(car hélas ou heureusement -[dans d’autres SPOK]- une grande partie des gens qui nous entoure[nt] est conformiste -(au sens de conditionné)- donc a ses habitudes et se conforme aux traditions au point d’en devenir des conditionnés à cause de plus ou moins nombreux préjugés qui proviennent de phrases dont on a cru de façon sonore qu’elles pourraient être entièrement vraies, cependant que si on s’était imposé de les étudier par écrit en thèse, antithèse synthèse et conclusion, on aurait pu découvrir qu’elles sont fausses à plus de cinquante pour cent, voire à plus que cela (63%, etc.)- ou/et vraies dans un si petit pourcentage qu’il ne concerne que certains SPOK -[cas particuliers, etc.]), pour éviter à cette personne d’être considérée à hospitaliser, donc pour éviter d’avoir à lui imposer des « médicaments » dont les probabilités qu’ils feront autant souffrir de l’un ou l’autre des effets indésirables sont importantes, en reculant / repoussant d’autant -(qu’ils seront pris)- la guérison qui ne peut avoir lieu qu’en se sevrant des médicaments neuroleptiques, parce qu’il n’y a que la parole, -(c’est-à-dire la pensée, la réflexion, les comparaisons, les analyses, objectives, les écritures, etc.)- qui puissent finalement guérir -(c’est-à-dire, grâce à la recherche de la vérité par des raisonnements de plus en plus justes et/ou honnêtes car c’est cela qui à la longue remet en marche le cerveau dans le bon sens pour devenir un adulte qui, sinon, avec tous les comportements d’adolescents, court grandement -(c’est-à-dire avec de très fortes probabilités)- le danger de régresser vers/à celui -(de cerveau)- de la future réincarnation animale en proportion des péchés commis -(durant cette adolescence ou même ayant été commis durant l’enfance)- dont on n’a pas été blanchi, ce qui signifie dont on ne s’est pas accusé publiquement -(ou plus discrètement durant une confession avec un représentant véritable -[et non faux], par conséquent ayant accès à la conscience, voire mieux encore au Saint-Esprit]- de Dieu)- en demandant très sincèrement pardon à Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Dieu-Jésus-Christ et/ou à Dieu-le-Père ou/et la Vierge Marie, de manière à pouvoir, le jour venu, (si on est véritablement sincèrement malheureux d’avoir commis ces péchés au point de ne plus jamais les commettre de nouveau)- accéder de nouveau à la conscience

–{[(cependant qu’il peut advenir que soudain, en raison des peines qu’on a prises ou qu’on s’est imposées, on accède enfin à la conscience -(comme ce fut mon cas à partir de 2005, ce qui a décidé alors de la poursuite de mon auto-psychanalyse à haute voix à mon adresse 12 bis rue du Val de Grâce dans ce studio –[situé aussi dans le ciel de Rome à partir de 1977 – cela ayant été vérifié par tous mes camarades écoliers du Lycée français de Châteaubriand à Rome y compris mes parents mais aussi par ma fiancée de l’époque S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang]- à raison d’en moyenne huit heures par jour de 2005 à 2013, (mais très souvent quinze heures par jour), mais aussi en même temps des transmissions à travers Espace et Temps qui se reproduisirent comme elles s’étaient déroulées à partir de 1967 -(et années suivantes)- et à partir de 1977 et années suivantes)- ce qui permet alors de demander sincèrement pardon pour les péchés commis durant toute la période au cours de laquelle on s’est comporté en inconscient, soit en laipis ou/et adolescent, car on n’avait pas tout à fait conscience de les avoir commis ces péchés et/ou ces fautes -(en les minimisant, voire en croyant même que c’était normal de les faire, voire de s’y abonner en s’habituant à les commettre), ce que j’ai démontré et ce qui signifie que Jésus disait/dit vrai quand il -[a]- dit : « Père pardonne-leur ce qu’ils font ; ils ne savent pas ce qu’ils font » ce qu’il faut lire -(entendre et comprendre dans le langage de notre époque)- comme/ainsi : « ils n’ont pas conscience des conséquences affreuses / abominables / horribles de leurs péchés dans le monde ni – (c’est moi qui ajoute ici en éveillé par acquis de conscience, soit en vos dévoués serviteurs les empereur-bouddhahs eanmeailleurs) - visiblement, pour leur respective âme !).

On comprendra alor-(quand chacune des personnes –[ou des patients]- retrouve enfin la conscience –[en sortant pour toujours de la condition de laipis, voire d’adolescent])- qu’il ne faut surtout pas croire que ces personnes sont devenues folles ni intervenir, à l’aide de médications médicamenteuses qui fait courir au patient le danger de modifier cette conscience qui a permis à cette personne de devenir enfin un adulte -(parmi les autres)- agissant / pensant en conscience –(c’est pourtant ce dont je fus victime par les médecins de Saint-Anne qui n’ont pas compris que tout ce que j’ai fait à partir de 2005, (les interventions à travers Espace et Temps en même temps que mon auto-psychanalyse à voix haute), je l’ai fait par Acquis de Conscience -[A. C.]- et dans l’exercice de mes fonctions d’eanmeailleurs pour le Bien et l’Intérêt Général, c’est-à-dire du premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à avoir retrouvé pleinement sa conscience, soit à être devenu un éveillé par acquis de conscience, soit ce qui est synonyme de bouddha, soit ce que je vous ai dit être le processus que S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Cocteau a illustré avec son film merveilleux de La Belle et la Bête quand, à la fin du film, la métamorphose advient / s’opère et que nous avons enfin l’avènement d’un très véritable prince qui advient / nait des situations précédentes en raison de cet acquis de conscience dont Il est le bénéficiaire -(mais l’Ensemble l’est avec Lui, donc en bénéficiera)- en quittant à jamais sa condition d’adolescent, de laipi-([strictement]- laïc, [uniquement] athée, [souvent] inconscient, profane, [souvent] ignorant, et -[sans s’en rendre compte, donc par omission quand c’est le cas]- sacrilège)- et etc. voire de ce qui le faisait agir en animal -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres situations précises/SPOK)]}-

Aussi les substances médicamenteuses sont totalement à proscrire -(quand ce qui advient chez un patient est –[comme ce fut mon cas]- l’acquis de conscience, soit l’accession à la bouddhéité : à l’éveil)- car c’est alors que grâce aux efforts cérébraux –(au sens d’intellectuels – soit ce qu’on appelle » le travail « psychanalytique), le patient, (soit la personne enfin devenue pleinement un être humain)- est en train d’apprendre de nouveau à penser, à analyser, à se souvenir -(y compris de ce que dans des SPOK / temps précis il/elle s’était abaissée à croire): à parler et/ou à écrire ou/et à œuvrer pour faire disparaître si possible une à une, voire d’un seul coup –(ce qui est à la longue dans certain cas possible – comme j’ai démontré que cela a été mon cas)- l’ensemble de ces connexions cérébrales endommagées / défectueuses par toutes les années -(tous les moments)- d’adolescence -(voir ici, pour illustrer, à l’heure du Pape François, l’histoire édifiante de la vie de saint François d’Assise qui, soudain, se [re]converti à la religion de ses parents à la suite d’une prise de conscience qui le mène à refuser de continuer à se comporter bêtement avec ses « amis », au sens négatif de ces deux derniers mots -[ami et bêtement]- qui en ont heureusement du positif dans d’autres SPOK)- donc plus ou moins d’irresponsable inconscient et/ou de laipis -(ce qui est synonyme, voire représente un des » i « de cet acronyme que nous avons développé / précisé à la fin du paragraphe précédent mais aussi de ce paragraphe)- de manière à accéder le jour venu aux dimensions sacrées de l’existence grâce à la conscience retrouvée de nouveau en état de marche –(il faut savoir que cela peut prendre beaucoup de temps et qu’il est vital, à partir d’un certain moment donné – si on ne l’était pas encore - de devenir végétarien pour que cela ait des chances de marcher le jour venu, ce qui, en vous faisant alors devenir un très véritable Artiste -(un de ceux qui comptent véritablement dans l’histoire de l’Art – [H. A.]- par conséquent qui sont exemplaires, à suivre)- vous permettra alors, entre autre[s] et au moins à votre tour, de devenir un très véritable psychanalyste -(ce que je suis devenu - soit dans ce nouvel état d’éveillé d’aider ainsi votre prochain en difficulté en raison de sces -(ses + ces = sces)- années d’adolescence au cours desquelles il/on s’est comporté, hélas infiniment hélas, en irresponsable insupportable inconscient, (voire en -[strictement]- laïc, -[uniquement]- athée, et profane soit en ignorant et sacrilège -(au sens négatif de ces mots acronymes de laipis qui, dans d’autres SPOK, en ont heureusement du plus positif)- contraire au plus véritable Bien Général -(soit à celui de la/votre descendance, une virtualité –[au sens de possibilité]- autrement-vue comme des ascendants): donc en une honte pour l’humanité des êtres humains les plus conscients / purs).

(Attention, veillez ci-dessous à bien compter le nombre de lettres en rouge pour raccorder les phrases entre elles en fonction du nombre de ces lettres rouges et vertes)

Avec les textes de ce patient -(car il peut être l’un de ceux qui éprouveront, en raison de la complexité de l’histoire de leur existence des difficultés à parler –[ce qu’on peut alors faire en s’enregistrant de façon audio et/ou vidéo]– ce qui peut être l’origine d’un bégaiement à cause de cette trop immense complexité de paramètres ayant été à l’origine de choix et d’attitudes précises comme les faits que certains médecins -(ayant des préjugés)- croient pouvoir monter en épingle de manière à justifier ainsi – [donc malhonnêtement, puisque c’est exagérer des choses anodines, au lieu, au contraire, de préférablement minimiser, ce qui, dans de nombreux SPOK est juste, parce qu’il vaut mieux, pour avoir la Paix, le faire] – leur proposition d’hospitaliser – ce qui fera perdre à tous chacune des secondes où la personne de ce patient aurait pu l’éviter, soit d’innombrables bienfaits dont il aurait pu être l’Auteur, voire la personne qui aidera un Auteur). Cela -(ces textes)- permettra/ont aussi de comprendre, l’antithèse -(à cette thèse de vouloir l’hospitaliser)- soit celle dans laquelle on découvrira -(comme ce fut mon cas)- que le patient avait de bonnes, que dis-je ? d’excellentissimis…simissimes raisons pour ce comportement un moment -(mais il est déjà passé de nombreuses secondes – [ce qui, je le souligne et répète, (à l’échelle universelle)- est infiniment de temps])- différent -(de celui, par exemple, des »« gens qui n’aiment pas qu’on reste dans son lit douillé, le jour du quatorze Juillet »« - (soit des communs des mortels)- puisqu’il y a de très nombreux paramètres / arguments justes / valables pour condamner des gens qui croient possible se débarrasser d’autres en les tuant

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire S. V. P. :

-(alors qu’on sait à cause du » Tu ne tueras pas « biblique qu’il est interdit de tuer et qu’en raison de ce que -[dans la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne -(au sens d’Internationale)- InterRégionale Mondiale], nous avons fait interdire la peine de mort dans l’Union Européenne –(en attendant qu’elle le soit partout)- et avons introduit dans le droit européen -(D. E.)- le droit anglais de la présomption d’innocence –(P. I.), donc que cette peine de mort a été supprimée / bannie, parce qu’il y avait matière, en raison de ce qu’on a contraint SAISSSSP Christine et à moi à sacrifier les enfants que nous attendions l’un de l’autre, en me traitant ensuite comme on m’a traité pendant vingt-sept ans de 1977 à 2005 alors qu’on avait bien remarqué qu’entre 1967 et 1977 -(mais déjà depuis ma naissance en 1963), -[que]- je m’étais conservé vierge pour ma promise -(qui de mon point-de-vue existait virtuellement – soit était de l’ordre du possible, donc comme une possibilité à venir mère de mes enfants)- avant que la situation en 2005 ne contraigne ceux qui ont accès à la salle des machines d’Ôz, d’Atlantide, du très saint-paradis, (de l’Eden, de Schtroumpf, et les synonymes de cette notion de très-saint-paradis, etc.), entre leurs mains pire que l’enfer, à me rendre, (à l’occasion de mon projet de mariage avec SAISSSSP Michèle Finck qui finalement commençait à se concrétiser plus sérieusement en 2005 qu’en 1995), l’élément fondamental de mémoire de ma promise SAISSSSP Christine … Lang – (ce qui a, dès lors, tout changé puisque je découvris que SAISSSSP Michèle Finck était au courant, mais ne m’avait rien dit)- en profitant aussi malignement / méchemment / traitreusement / et sur ce point indignes même du nom de pourriture ou/et de saleté qui sont, à la lumière de mes recherches photographiques sur ces termes, des mots à représenter de trop belles choses pour être donnés pour qualifier ces personnes ayant aussi malignement / méchemment / traitreusement profité de mon amnésie aliénante bien que canonique en pareil SPOK -(soit à cause de cela des traumatismes indélébiles à/sur ma personne y compris sur le plan sexuel): il y avait donc matière à donner cette peine capitale à chacun.e sans exception et hélas infiniment hélas, y compris aux à-première-vue[s] les plus honnêtes, voire aux plus saints se croyant sans péchés alors que nous nous trouvions en 1967 et 1977 bien après la Seconde Guerre Mondiale, surtout dans les années 1977, et ces « personnes » complices du sacrilège de ma séparation d’avec SAISSSSP impératrices Christine … Lang et avec elle de la perte de notre descendance qui s’était annoncée, en raison de l’apparition de l’anneau immatériel immaculé à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés, soit universellement mariés, soit, il va sans dire, au moins cosmiquement, au sens de galactiquement)-

parce qu’ils appartiennent pour quelques heures au cours de leur vie à une ou l’autre des catégories faisant l’objet de méfiances arbitraires

N. B. : suite après les trois petits paragraphes suivants ci-dessous à lire :

1/-(donc subjectives et non objectives, c’est-à-dire en conscience)- voire de plaintes calomnieuses à l’origine de généralisations intellectuellement -[objectivement]- inadmissibles –[d’autant que chacun.e de ces personnes différentes, par conséquent chacun.e –(comme)- un véritable univers contenant de très nombreuses données -(tant audio que souvenirs -[en]- 3D),

2/ à partir desquelles, par exemple, de nombreux textes sont possibles, voire de nombreuses réalisations cinématographiques ou/et vidéo mais aussi, des compositions musicales, des statues -[donc des sculptures], poèmes, chants, scénarii, story board -(donc films)- et/ou bandes-dessinées, architectures, etc. , donc des réalisations artistiques sont virtuellement de l’ordre du possible, comme, par exemple, la vie de S. A. I. S. S. S. L. P. Paul Gauguin l’a démontré : soudain Il a décidé d’être peintre alors qu’Il était marié et que, sur le plan professionnel, il s’occupait de finances])-

3/ soit celles -(des données)- de chacune des secondes vécues par chacun d’entre nous, ces souvenirs pouvant intervenir / aider dans le processus de création – ce qui explique / fonde / confirme le très juste commandement, (le très juste conseil au sens de recommandation :) de »« tu ne tueras pas »« car l’autre a engrangé un grand nombre de données importantes à partir desquelles connaissances il pourrait créer, voire, le jour venu accéder, à son tour, à la conscience)-

N. B. : Suite après les quatre paragraphes suivants à la suite l’un de l’autre ci-dessous :

Fichier Audio XIV

1/ et/ou de mépris pour les raisons subjectives plus ou moins obscures des laipis, donc plus ou moins fausses ou alors relativement vraies -(à l’époque, le 14 Juillet, les aristocrates, le clergé, les nobles, les chrétiens, etc., les représentants de catégories arbitrairement persécutées auxquelles les représentants du Tiers-Etat s’en prenaient aussi injustement -(en laipis)- soit en ignorants -(au sens négatif de ce mot d’ignorant qui en a du positif dans d’autres SPOK / situations précises, …)- comme cela se reproduisit plus d’un siècle après, [après]- la Première Guerre Mondiale -(mais déjà à l’époque du général Dreyfus)- contre les juifs, les handicapés, les homosexuels, les francs-maçons, les tsiganes, les chrétiens, etc. -(en ne sachant / voyant pas combien la Charité et la compassion pour les plus misérables, (au sens de pauvres, matériellement parlant)- motivait la plupart des membres de ces catégories dans les diverses nécessités d’étudier pour être le jour venu, à travers des compétences obtenues / acquises, soit les professions dont certaines de ces personnes s’étaient rendues capables, au service du Bien et de l’Intérêt Général, soit combien chacun d’eux méritait infiniment, soit tout ce qui pouvait, en nombre de secondes / minutes / heures, jours, semaines, mois et année[s], etc. être considéré à leur crédit envers lequel il y avait, (au contraire de s’en prendre aussi mensongèrement à eux), à être/se montrer reconnaissant, au lieu de se montrer possédés par cette haine aveugle à l’origine de toutes les formes de cécité[s] intellectuelle[s] ne permettant plus d’accéder à la compréhension de Dieu et de tous les paramètres liés à la notion de devoir[s].

2/ Une haine incompréhensible vis-à-vis de saints et -[de]- martyrs essayant de faire de leur mieux dans chacune des catégories de métiers exercés -[en conscience car sinon, on le sait, il y a » ruine de l’âme «], soit -(ces métiers et ces compétences)- leur plus véritable nationalité / religion -(la nationalité du travail / métier / activité qu’on exerce, ce qui signifie que la nationalité est donc un synonyme possibl-(à partir d’un certain degré de réflexion[s])- des mots de » métier « , » activité «, voire du culte auquel on croit -(du moins)- à certains moments, voire sur certains points de vérités relatives qui le concerne et/ou le fonde), cette dernière, [la religion], n’étant en réalité qu’un moyen pour accéder à ces responsabilités le plus fraternellement possible en s’agrégeant à des groupes de gens partageant, à certains moments, grâce à des cérémonies révélant l’existence du sacré, des espoirs -(aspirations), voire des manières de vivre semblables -(ayant des atomes crochus, c’est-à-dire des intérêts / points en commun, ce qui a été / est / sera à l’origine de l’adhésion aux sacrements, ces derniers étant autant d’étapes fondamentales de la croissance d’un enfant, voire au cours du développement au sens de l’évolution d’une personnalité, d’une âme, car ces sacrements, dont celui du Mariage, structurent le futur fidèle en lui faisant bénéficier de ce qui a été trouvé comme solution[s] alternative[s] élégante[s] dans les temps les plus lointains pour nous éviter le pire grâce à la religion. Chez les Catholiques il y a le Baptême, la Première Communion, la Confirmation, le Mariage, etc. qui sont des repères qui permettent à l’être humain de se structurer mais aussi, grâce au sacrement de l’Eucharistie, ce qui est au moins hebdomadaire -(une fois par semaine si possible)- et permet, de reconnaître en public qu’on a probablement péché -(voire sans même le savoir, donc par omission d’un ou plusieurs paramètres), de se repentir sincèrement de ces péchés qu’on aurait commis à notre insu, voire pire, en les sachant en conscience et d’être pardonnés par ce qu’on s’en repent sincèrement et on souhaite dans l’avenir ne plus recommencer, ce qui est vital parce que hélas, infiniment hélas, il existe de nombreuses formes de péchés -(fautes), ne serait-ce que les pensées injustes, trop subjectives ou ce qu’on appelle les mauvaises pensées comme la jalousie, la gourmandise, l’égoïsme, etc. soit tout ce qui empêche d’accéder pleinement à la lumière de sa/la conscience, ce qui, par contre, permet de comprendre pourquoi ces attitudes sont des péchés dont on a, bien sûr, à se repentir pour plus véritablement progresser / grandir poursuivre son évolution.

3/ Par exemple la gourmandise qui aura pour effet de faire grossir en poids une personne et qui empêche de partager un repas avec d’autres convive puisqu’on reprendra plusieurs fois du met proposé -(au lieu de s’en tenir à une seule fois en plus. Non, c’est tellement bon (https://www.youtube.com/watch?v=OauwY0zSBsA) cet eanmeailleurs (https://www.youtube.com/watch?v=eJjOhDWzwSk) qu’on en reprendra au moins trois fois ! En en laissant plus pour les autres en se comportant en gourmand ce qui est, on le voit bien dans cet exemple une forme d’égoïsme qui concerne l’alimentation -(cependant comme il s’agit d’une nourriture végétarienne, cet eanmeailleurs (https://www.youtube.com/watch?v=ds2nPEI7EGw)- cette forme d’égoïsme est moins grave que si on avait repris plusieurs fois du gigot d’agneau -(comme cela m’est arrivé plusieurs fois quand je n’étais pas encore végétarien).

4/ Mais aussi on comprendra que tuer une personne est un péché -(en raison de tout le virtuel bienfaisant dont cette personne pourrait / pouvait être à l’origine et c’est pourquoi les sacrifices humains ont été interdits car une personne sacrifiée représente toujours, quand elle demeure en vie, une bonne affaire et la possibilité d’aide pour l’Ensemble, y compris pour les personnes âgées comme aussi il/elle représente une possibilité de fonder / créer sa propre famille, ce qui représente la naissance d’enfants, soit sur le long terme des possibilités d’aide parce qu’on aura aidé cet enfant à grandir comme à comprendre pourquoi – comme j’ai eu à le démontrer - avoir de la religion est important / fondamental dans l’intérêt et pour le Bien Général)- si cette personne n’est pas tuée en légitime défense car en tuant un être humain on prive l’Ensemble de tous les aspects positifs de cette personne, soit des bons côtés qu’elle avait ou/et de l’utilité de cette personne, par conséquent de ses virtualités -(potentialités positives)- dont toutes celles qui pourraient amener cette personne à continuer à bien agir ou alors -[à]- finalement faire du bien, donc à changer jusqu’au point qu’à son tour cette personne se débarrasse à jamais de son adolescence soit autrement-vue de sa condition de laipis – c’est ici ce qu’on appelle une conversion. Aussi on s’interdit de tuer parce qu’on sait l’autre, un univers, sur le chemin des métamorphoses qui pourrai[en]t / devrai[en]t l’amener à ce qu’on a appelé l’éveil, soit à la bouddhéité par acquis de conscience, soit ce qui permettra d’éliminer, le jour venu, en soi tout ce qui était en train de vous transformer en l’un ou l’autre des animaux, au sens négatif de ce mot qui, dans d’autres SPOK, en a du positif – cela se produit, comme je l’ai démontré quand on ne veut plus se mentir à soi-même ou/et aux autres, voire qu’on recherche plus de cohérence en soi-même, qu’on ne veut plus se comporter en inconscient mais au contraire se comporter plus logiquement par rapport aux idéaux, projets, rêves les meilleurs pour la santé tant psychique que physique de tous)-

(N. B. : avec la suite ci-dessous –[au paragraphe suivant]- qui est reliée au texte, à quatre paragraphes ci-dessus -[en comptant celui avant cette dernière parenthèse], la suite plus précise, se rapportant à la fin de ce paragraphe précédent est après trois paragraphes -[plus bas]- ci-dessous).

5/1/ C’est alors qu’on découvre qu’on a des vérités relatives / croyances en commun avec d’autres car ces vérités sont intellectuellement compréhensibles / admissibles pour des raisons logiques / rationnelles, voire parce qu’ils avaient la foi, ce qui est un mystère à moins d’y accéder -(de le percer)- en raison de ce qu’on prend conscience que cette foi résulte de l’addition de chacune des solutions alternatives élégantes -[SAÉ]- réalisée[s] / trouvée[s] par des éveillés -(devenus des bouddhas par acquis de conscience)- avec les matières premières proposées à l’état brut / offertes par la Création s’étant, (à mesure que l’être humain a réfléchi / travaillé sur elle), diversifiée -(en de nombreuses catégories souvent généreuses en découvertes / trouvailles et/ou améliorations), soit des merveilles à étudier pour qu’elles délivrent leurs différentes propriétés sur des plans différents, comme j’en ai fait la démonstration avec ma trouvaille / découverte entre 2013 et 2017 des butterArts -(https://www.youtube.com/watch?v=GfPMrDfw8A4)- mais aussi celle des cheesomeltArts -(https://www.youtube.com/watch?v=-dgqyxj_Fyc)- et des orangeArts -(https://www.youtube.com/watch?v=w_C-zPWnx3Q)-  comme depuis longtemps des CloudArts -(https://www.youtube.com/watch?v=0dRhpYmlfSY -[publiées ces vidéos sur Internet entre 2017 et 2020]- étant donné que je suis apparu en 1977 immense dans le ciel de Rome -[et]- constitué de nuages -(ce qui, par la suite – mais déjà dans mon enfance, en raison d’une photo noir et blanc prise par ma mère d’une église avec un nuage dessus - m’a fait m’intéresser de plus près aux nuages), alors qu’il s’agissait d’une virtualité qui n’adviendrait dans la réalité en chair et en os qu’à partir de l’année 2005 – soit vingt-sept ans après - effectivement synchrone avec l’année 1977 mais aussi trente-sept ans après 1967 quand on m’y avait entendu intervenir avec ma voix de vérité du futur -(sans même avoir à utiliser un micro : ma voix émise par mes soins en 2005 entendue d’avance en 1967 et 1977 où nous avons pu sur place à partir de ces dates le vérifier quotidiennement durant les années qui suivirent). Aussi cela signifie que chacun de nous n’est pas seulement constitué des éléments physique -(sang, chair, peau, os, cerveau, etc.)- mais aussi qu’il est au ciel -(en effet au cours de l’Évolution l’être humain s’est petit à petit redressé au point de tenir debout, la tête dans le ciel : l’homo sapiens sapiens ne rampe plus, à moins d’y être contraint par exemple au cours d’exercices militaires durant lesquels il convient de le faire – aussi on le comprend bien mieux quand il affirme que parce qu’ « » il pense [juste]- il est/soit « » (» je pense donc je suis « ) - la pensée ne pouvant être vraie, juste qu’en liaison avec la conscience fonctionnant. D’où la nécessité pour l’homo sapiens sapiens d’accéder au moins à l’âge de raison), donc des nuages qui nous traversent, comme j’ai eu à le démontrer d’avance, ce qui signifie qu’une partie de nous s’est projetée d’avance dans le futur, ce qui se traduit dans le ciel par des apparitions d’êtres humains immenses constitués de nuages -(soit ce que nous paraissons dans le ciel d’époques passées et ce qui signifie qu’il y a bel et bien une mesure exacte au point qu’il est enfin possible d’affirmer qu’un pixel ou/et un électron soit, au ciel, bien plus grand que ce qu’on croit ou/et voit -(ce qui explique pourquoi on a découvert avec l’accélérateur de particules qu’il y a des particules élémentaires du genre du boson de Higgs et des photons encore plus petits, sauf que cet infime est dans la réalité plus grand qu’on ne le pense / imagine et qu’il y aurait encore plus petit bien que cela soit difficile à croire, cependant à l’aune de ma taille dans le ciel – comme ont pu le remarquer en 1977 mes parents, les élèves du Lycée Châteaubriand, et les habitants de Rome mais aussi le futur président François Mitterrand qui a fait spécialement le déplacement à Rome pour s’en assurer -(car j’avais alors annoncé du ciel son élection prochaine et donné des consignes à Monsieur le président de la République monsieur Valéry Giscard d’Estaing pour faciliter cette élection de Monsieur le Président de la République monsieur François Mitterrand) – qui est immense du point de vue de ces époques situées dans le passé -(de trois à dix kilomètres de haut, par conséquent une tête qui fait de trois cent à cinq cents mètres de diamètre – ce qui à première vue[s] mesure un mètre soixante-quinze, ma hauteur et environ vingt-cinq centimètres de diamètre pour la tête. Aussi il va falloir réétudier cette question des mesures, mais cela explique déjà beaucoup mieux pourquoi on peut mettre autant de giga-octets dans une clé USB à première vue[s] aussi petite -(aussi cela signifie qu’il va falloir nous méfier des à-première-vues, tout en conservant ces traditionnelles habitudes pour nos mesures, bien que nous aurons, un jour, à les traduire en mesure célestes – c’est ici que vous vous apercevrez que les milligrammes de Risperdal ou de Xeplion sont dans cette réalité ci-dessus des litres : des kilogrammes – d’où les tortures des effets indésirables)- mais aussi pourquoi la dimension macroscopique, celle de mes butterArts et cheesOmeletArts existe cependant qu’il est possible que la plupart des nuages soi[en]t en réalité beaucoup plus grands qu’à première-vues ils -[ne (le)]- sont), il y a peut-être -[probablement]- une particule plus petite encore que le photon et je trouve confirmation sur Internet au sujet du » neutrino « dont il faudra trouver la taille dans le ciel à partir des deux faits ci-dessus majeurs me concernant, soit d’une part l’idée que trois kilomètres = (égale :) environ un mètre soixante-quinze, ou d’autre part le fait que dix kilomètres = environ un mètre soixante-quinze !), soit pour ces faits importants, en tenant compte de ma taille dans le ciel de 1977 à Rome, mais aussi de celle que j’avais à Paris dans le ciel de 2015 -(soit dans trente ans, 2045), par conséquent de l’équivalence dans ces, à première-vue[s], démesures).

2/ Il y a donc, pour quelques-uns d’entre nous ayant accédé à la conscience un ciel, soit une forme de Paradis ou si on préfère -(pour ne pas confondre avec la vision du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe): Nirvana dans lequel quotidiennement nous baignons, ce qui veut dire aussi qu’il y a pour certains d’entre nous un purgatoire et pour d’autres un enfer -(cependant que beaucoup d’entre nous, grâce aux religions, sont entrain de quitter l’enfer pour le purgatoire comme d’autres quittent ce purgatoire pour rejoindre, par acquis de conscience, (ce qui va permettre de différencier le bien du mal)- ce Nirvana. Le purgatoire, je l’ai démontré, concerne tous les travaux qu’on s’impose pour réussir, le jour venu, à accéder à la conscience dans le cerveau. L’enfer c’est de se comporter bêtement et de trouver bon de pécher mais aussi d’être un des laipis ou si vous préférez de continuer à se comporter en un adolescent attardé -(au sens négatif de ces mots de » laipis « et » d’adolescent « qui peuvent en avoir du positif dans d’autres SPOK).

3/ Donc jusqu’à ces séquences vidéo -(les laurYens – liens hypertextes - ci-dessus)- d’art sacré dont j’eus l’idée une fois [re]devenu, à partir de 2005, en synchro avec ma personne en 1967 et celle de1977, un éveillé -(soit, dans mon cas les bouddhahs et cette terminaison de » hahs « car empereur depuis 1995, ce qui signifie en raison de ma métamorphose en bouddha, un eanmeailleurs, soit le premier des empereurs / pharaons de l’histoire de l’aventure humaine -[H.A.H.]- a être devenu les bouddhas : il y en a au moins vingt-cinq de différents par seconde, ce qui explique la marque du pluriel à » bouddhahs « comme à ma qualité d’eanmeailleurs)- par acquis de conscience car sur ces points du beurre, de l’omelette au fromage râpé, des oranges et des nuages, il avait manqué à la connaissance du genre humain, que je sache -(en dehors, pour les nuages, de quelques exceptions comme par exemple celle de S. A. I. S. S. S. L. P. Abel Gance dans son film Napoléon dans lequel ce metteur-en-scène-réalisateur-cinéaste et etc. filme quelques nuages présentés en fondus-enchaînés), l’aspect éminemment esthétique -(au sens de plastique)- de ce beurre, d’une omelette au fromage, du pourtour d’une orange pelée et enfin des Vidéo-Nuages-Diaporamas dont je suis l’[es] Auteur[s]).

Mais aussi, dans le sens contraire, de gens à première-vue[s] différents en les tuant ou en décrétant qu’avec ces catégories de personnes il s’agit de fous, soit de personnes qui se seraient comportées en inconscientes ou/et en laipis, voire si ce sont elles qui exercent le pouvoir, au contraire des personnes devenues plus conscientes, par conséquent capables d’agir » par acquis de conscience « donc en plus véritable responsables, soit ce qu’on appelait autrefois en » père de famille « 

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(ce qui peut se produire dès la prime enfance -(cet état de père de famille, voire dès les premiers jours d’un bébé mais aussi :), par exemple dès l’âge de raison –[il est en général un peu plus tardif, vers les sept ans, mais dans mon cas -[particulier]- ce fut vers mes quatre ans, donc, en raison des circonstances exceptionnelles je fus sur ce point plutôt précoce])–

ce que nous avons pu vérifier avoir été mon cas, car nous avons vérifié que tout ce qui m’a concerné à partir de 2005 s’était déroulé dans mes sommeils à partir de 1967 quand j’ai eu quatre ans -(mais aussi les sommeils entre ma naissance et mes quatre ans, y compris pour ce que j’ai vécu à partir de 2005, à l’âge de quarante-deux ans – mes sommeils de 1967 à 1977, de quatre ans à mes quatorze ans, ont concerné ce qui s’est déroulé pour nous de 1977 à 2005 et les sommeils à partir de 2005 l’avenir plus ou moins lointain)- et que je suis devenu un éveillé par acquis de conscience en ayant eu accès à cette période de/dans ma vie appelée »l’âge de raison« car hélas des forces obscures dans l’invisible autour de moi m’avaient attaqué en 1967 et à quatre ans j’avais dû me défendre en légitime défense, seul sans autres armes que ce qu’il y avait comme meubles et instruments de cuisine dans l’appartement de ma famille d’origine à Paris, square Contenot dans le XIIème arrondissement, là où mon père et ma mère -(mais aussi mes frères et ma sœur)- m’avaient momentanément laissé seul à devoir me débrouiller, y compris pour manger –(mais pour cela il y avait, avec du thé, des provisions en cuisine où je fis la découverte d’un petit ver blanc au plafond sur lequel je méditais au point de comprendre que s’il avançait ainsi, c’est qu’il était à la recherche de sa parèdre comme je compris je l’étais moi aussi de la mienne en l’apprenant du ciel –(à cause de mes interventions / communications / transmissions –[celles que j’aurais à découvrir trente-sept ans après qui s’étaient déroulées à partir de l’année 2005 synchrone avec l’année 1967]- que cela ne pouvait pas être -[ni]- ma sœur ni ma mère).

C’est en légitime défense de moi-même – donc de l’Ensemble y compris dans le passé - enfant de quatre ans en 1967 – c’est-à-dire dans l’état d’Horus un en Osiris -(alors mon père - par Isis -(alors ma mère - étant donné qu’à mon insu mon père était empereur et ma mère impératrice) – comprenant que j’avais à grandir pour devenir à mon tour Osiris -(comme mon père qui l’était à mes yeux)- que je n’ai pu me tirer de ce surprenant mais réel atroce cauchemar -(vécu en plein jour)- qu’en ayant à convoquer l’un ou/et l’autre de mes moi-mêmes dans l’avenir –(ce que j’ai pu vérifier avoir été à partir de 2005)- au cours de l’intervention du futur -([futur du point de vues de l’année 1967 et 1977]- à partir des années 2005 et suivantes que tous découvraient synchrones avec celles des années 1967 et suivantes mais aussi de 1977 et -[les]- années suivantes).

J’ai, (pour éviter maintes douleurs / cruautés / injustices à mon égard qui se produisaient dans l’invisible ayant à travers l’air autour de moi accès à mon corps – ce qui était douloureux - et à mon âme qui ne comprenait pas pourquoi), donc eu à vivre une sorte de métamorphose en -[un]- bouddha, soit en un éveillé par acquis de conscience, au point -[d’]- effectivement de devenir Horus en personne marchant sur un crocodile -(plus loin je découvrirai cette magnifique statue dans laquelle Horus maîtrise ce sur quoi il est debout : un crocodile, soit le sol de ce qui l’entoure)- étant donné que j’ai alors une fois encore -(comme parait-il je l’avais fait avant ma naissance – ce que m’a affirmé ma mère dans les années 2015 et suivantes)- confirmé du futur que mon père était le nouvel empereur et ma mère l’impératrice et cela parce que celui -[ou/et ceux]- de mes moi-mêmes vitrtuels qui intervenai[en]t alors du futur avai[en]t pu vérifier et prendre conscience de tout ce qu’on devait -(à la génération de mes grands-parents et -[à]- celle de mes parents et aux suivantes)- comme merveilles dans le monde entier, étant donné que j’ai pu, à partir de 2005, en synchrone avec les années 1977 et suivantes mais aussi ces années 1967 et suivantes -[en]- dicter un très grand nombre de détails à réaliser dans la plupart des domaines essentiels et de première[s] nécessité[s], à l’occasion des Avertissements ou/et de la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’internationale)- Mondiale à partir des années 2005 et suivantes synchrones avec les années 1977 et suivantes mais aussi quelque peu –(sur bien des points capitaux hypers-importants pour l’avenir de ces époques de 1967 et années suivantes comme par exemple ceux de la poursuite de la conquête spatiale -[C.S.]- et la réalisation du Concorde)- sur les années 1967 et suivantes).

Aussi nous comprenons que ceux qui n’ont pas accès à la conscience sont perdus dans le monde des ténèbres et ne peuvent s’en sortir sans l’aide de ceux qui ont accès à la conscience, soit au feu sacré de leur esprit, cependant que ceux qu’ils l’ont -(cette flamme – c’est ainsi qu’on l’appelait autrefois)- devront par prudence continuellement faire attention étant donné que ceux qui n’ont pas ce feu sacré sont / demeurent des laipis qui, parfois, au contraire de rechercher plus de lumière spirituelle, donc plus de compétences, vont à l’inverse vers la dégradation de leur esprit, par conséquent une fois morts vers ces réincarnations animales -(desquelles pourtant ils s’étaient sortis / affranchis quand, après la dernière d’entre les réincarnations dans la condition de l’un des APIQH – [animaux pacifiques inoffensifs quadrupèdes herbivores]- ils ont enfin obtenu le feu vert pour leur réincarnation terminale en l’un des bébés êtres humains homo sapiens sapiens –(ce qui n’est pas rien comme service pour le genre humain, à l’aune de ce dont cet homo sapiens sapiens sera capable de trouver comme solutions alternatives élégantes -[SAÉ]- admirables quand ce bébé d’être humain est correctement élevé !)- soit la finalité de la Création cet homo sapiens sapiens par acquis de conscience -(tant que ce bébé ou/et enfant n’a pas accès à sa conscience, soit à l’âge de raison, il n’est qu’un homo sapiens déjà capable de très nombreuses choses fondamentales mais ce ne sera que l’accès à la conscience qui fera de lui un homo sapiens sapiens, soit un éveillé donc un bouddha par acquis de conscience pour œuvrer -(la finalité)- par charité de manière à ce que se produise cette transformation / métamorphose de l’homo sapiens en homo sapiens sapiens soit des êtres humains de devoir parce qu’ils sont devenus très réellement ingénieux / géniaux.

Hélas ces laipis ont pris le chemin de l’involution au lieu de celui de l’évolution -(cela est arrivé aux meilleurs d’entre nous de s’être trompés un moment de chemin en raison, par exemple, d’adolescence prolongée -(ce que j’eus à démontrer), ce qui est synonyme de comportement d’inconscients -(soit de moments où on est privé de conscience – lire ici, par exemple, la vie édifiante de saint François d’Assise et l’histoire de son changement, de sa conversion; de sa mue)- et c’est pourquoi tous ceux qui ont accès à la conscience se doivent d’être continuellement sur leur garde -(et cela d’autant plus qu’ils n’auront pas connu de l’intérieur – pour l’avoir vécu eux-mêmes – une de ces adolescences qui empruntent alors le mauvais chemins, ce que j’ai démontré peut se produire chez certains enfants trop gâtés).

Ces mises-en-gard-(prudentes de/à tous ceux qui sont éclairés de l’intérieur)- vis-à-vis des laipis déplairont énormément aux laipis -(qui n’arrivent pas à comprendre pourquoi, alors qu’ils ont l’impression d’être dans le vrai, on les fuit, voire on est contraint de se méfier d’eux – ce qui est dramatique au sens de tragique – d’autant qu’ils croient -[entre eux]- être dans le vrai -(alors qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils sont, sur de nombreux points essentiels, devenus faux –(comme tous ceux qui condamnèrent le Christ à la crucifixion)- et cela – je l’ai démontré sur moi-même en tant que cobaye volontaire – (de l’expérience proposée du ciel – soit ce qui s’est déroulé pour moi à partir de 2005 du point de vue[s] de 1967 et 1977 -[dans le futur])- entre 1967 et 1977 -(en tant qu’enfant)- et de 1977 à 2005 -(en tant qu’adolescent et pseudo et soi-disant adulte dès 1981 -(quand j’eus dix-huit ans)– et cette adolescence obtenue artificiellement grâce à l’amnésie canonique -(qui devait être la mienne à partir de 1977)- de l’intervention divine dans le ciel de Rome à partir de 1977)- et cette amnésie pour obtenir de moi une adolescence – c’est ce qui caractérise le personnage de satan -(ou/et de Don Juan comme de Casanova)- soit avant moi les empereurs m’ayant précédé, une adolescence qui n’aurait jamais été si ces personnages n’avaient pas été amnésique[s] de très nombreux paramètres / facteurs essentiels qui sont nécessaires / indispensables d’avoir en tête pour s’autoriser à devenir un très véritable adulte.

C’est ainsi, à cause de ces divers oublis, qu’on perd le bon chemin, donc qu’on s’égare – (en raison de l’oubli de plus ou moins nombreux paramètres fondamentaux / essentiels), au point que nous avons pu voir, au cours de l’Histoire, que ces personnes étant sujettes à l’oubli de ces paramètres ont été capables du pire -(de ce qui est, en conscience, interdit / déconseillé depuis le commandement de » Tu ne tueras pas « dans les Écritures Saintes, celles-ci étant à l’origine d’innombrables solutions alternatives élégantes y compris en Architecture : tous les édifices -[dits / considérés comme] sacrés) : tuer / guillotiner des gens qui n’agissaient, à l’inverse de ces tueurs, qu’en conscience, (par conséquent pour le plus véritable Bien et Intérêt Général, donc en responsables comme, par exemple, la famille de S. E. A. I. S. S. S. L. P. François-René de Châteaubriand et Lui-même)- et cela à l’occasion de ce qu’on a appelé -[des]- révolution[s]. C’est qu’hélas, infiniment hélas, chacun de ces laipis -(aspirant, on le sait, à devenir si possible des artistes célèbres)- n’a/ont pas voulu comprendre la notion de chef-d’œuvre comme étant fondamentale pour leur éventuelle transformation / métamorphose en l’un de ceux ayant finalement obtenu ce feu sacré pour l’intellect, c’est-à-dire cet accès à la conscience en eux-mêmes, voire, pour certains d’entre eux, à mieux encore que cela : au Saint-Esprit ! (Ce qui ne peut advenir que si une fois conscient -(acquise au préalable cette conscience)- on fait l’effort d’étudier les religions à notre disposition en les comparant entre elles, par conséquent sans oublier les paramètres essentiels qui les différencient pour nous proposer le meilleur des saluts, voire en s’imposant de parvenir à comprendre tous les points à première-vues incompréhensible[s]. Aussi ces religions et les vérités relatives qu’elles véhiculent nécessitent une/l’ouverture d’esprit, donc antérieurement l’acquis de conscience, ce qui peut s’obtenir grâce à un travail psychanalytique sur soi-même -(et si on est végétarien une auto-psychanalyse ou une psychanalyse avec un psychanalyste végétarien), voire en se spécialisant dans l’une ou l’autre des disciplines universitaires, comme ce fut mon cas à Paris I-Sorbonne en Arts et Sciences de l’Art -(Cinéma – Télévision – Audiovisuel- ... )- par conséquent en me consacrant à la réalisation d’un projet d’Intérêt Général, voire pour le Bien Général, ce qui fut la/le SPOK avec le film La Momie à mi-mots -(https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk), mes divers tableaux-partitions autour du piano que j’ai décoré / peint, les miniatures que j’ai peintes et intégrées dans ce film, et mes autres réalisations vidéo, informatiques et audio-visuelles).

C’est que ces « médecins » qui interviennent sans l’être devenu -(médecins)- véritablement -(ce qui, nous l’avons compris ne se peut autrement - sous peine d’être considéré un imposteur, escroc, usurpateur, tricheur, etc. - que par acquis de conscience, sont encore, pour une bonne partie d’eux-mêmes -(c’est-à-dire de leur cerveau), dans plus ou moins la nuit cérébrale -(pas assez expérimentés, voire avec ces sortes d’œillères que sont les préjugés –(y compris en Médecine), soit hélas pour eux -(et leurs patients)- encore dans l’erreur.

En psychiatrie, ils font la très grave erreur de prescrire des médicaments neuroleptiques et croient ainsi soigner. Cela ne marche pas, ne pourra jamais marcher car la cause de tous les problèmes psychiques est, pour l’ensemble des patients occidentaux sans exception, l’écartèlement existant entre la recherche de l’amour, la consigne d’aider / aimer son prochain et l’habitude traditionnelle -(locale)- d’une nourriture d’omnivore à dominante carnée provenant d’animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes, les A. P. I. Q. H. qui sont l’objet de sacrilèges parce qu’il s’agit d’animaux ne faisant pas de mal à une mouche et qui par ailleurs produisent ce qui est essentiel pour/à l’être humain, dès sa naissance : le lait et son calcium indispensable pour accompagner / favoriser la croissance des enfants.

Aussi ces personnes qui affirment justement qu’ils aiment leur prochain -(comme la religion Catholique le conseille justement – il s’agit alors, bien entendu, d’amour spirituel destiné aux autres : »« aimer autrui comme soi-même »«)- sont à ne pas l’aimer en vérité –(car aimer c’est vouloir le mieux pour l’autre, soit lui éviter ainsi, par les meilleurs conseils tout ce qui pourrait lui être nuisible, voire lui éviter ainsi une réincarnation malheureuse, triste, tragique, cauchemardesque, etc.) puisqu’elles se comportent injustement en étant complices de ceux qui croient possible tuer les animaux pacifiques -[et]- inoffensifs herbivores quadrupèdes, les APIQH, qui, on le sait par de nombreuses preuves audiovisuelles –(documentaires / films animaliers)- je me répète : ne font pas de mal à une mouche, ce qui évidemment, de façon juste / logique, interdit -[en conscience]- de les occire / tuer / manger, d’autant plus qu’avec ces animaux pacifiques et inoffensifs, les A. P. I. , il s’agit, la plupart du temps, de la réincarnation qui précède celle en être humain homo sapiens sapiens, voire en homo sapiens dont, grâce aux diverses civilisations, la raison d’être, (soit l’objectif), est, à son tour, de devenir homo sapiens sapiens, soit ce qu’on appelle aussi un éveillé-par-acquis-de-conscience, donc un bouddha.

La situation est donc paradoxale pour chacun des occidentaux omnivores d’autant que dans les Écritures Saintes, Moïse a reçu l’ordre / le conseil de ne pas tuer - » tu ne tueras pas « - ce qui signifie évidemment aussi de ne pas tuer les APIQH, les insectes, et les plantes comme les arbres, etc. .

Aimer son prochain est donc possible si on s’interdit de -[le] tuer –(c’est une preuve qu’on lui donne qu’on l’aime même s’il ne s’est pas comporté comme il aurait fallu en pareille situation / SPOK)- mais, par soucis de cohérence -(de façon à ne pas faire mentir les mots, donc pour être logique avec ce qu’il y a de plus juste en nous, cela devrait commencer aussi par aimer les animaux pacifiques et inoffensifs, ces API, qui ont été avec les bouddhas, soit les éveillés par acquis de conscience, à l’origine de tous les bienfaits y compris culinaires de pâtisserie et/ou d’omelettes et/ou fromages, yaourts, etc. et récemment à l’origine de la découverte, par vos dévoués serviteurs vos eanmeailleurs, des butterArts et des cheesOmenetArts aux représentations paradisiaques si originales – ces représentations comme celles des orangeArt et de certaines des formes de nuages -(dans mes vidéo-nuages-diaporamas)- témoignent de l’existence du très-saint-paradis pas seulement dans le ciel mais sur terre, notemment avec le truchement de la plupart des arts et des sciences de l’Art.

Ce n’est pas juste, c’est faux de limiter la notion de » prochain « aux seuls êtres humains. Le prochain, les prochains sont aussi les espèces animales pacifiques -[et]- inoffensives herbivores quadrupèdes, les APIQH à qui on doit le beurre, la crème, les fromages, le lait, les yaourts et les autres dérivés. Ces APIQH sont les proches de l’être humain -(il y a de véritables interactions entre les êtres humains et les APIQH : depuis longtemps une dépendance des uns par les autres, qui, en raison de ces très véritables bienfaits nécessaires alimentairement à la meilleur santé des êtres humains, ont gagné vis-à-vis d’eux -(ces API)-, le devoir de protection des fermiers et des êtres humains qui ont donc l’obligation morale de leur en être reconnaissants en, par exemple, les protégeant -(en leur construisant un abri défendu)- à cause de ce que nous devons tous à ces APIQH : la plupart des délicieuses / divines recettes –(qui seraient impossible à réaliser sans beurre et sans crème, sans panna montata -(ital. : chantilly), sans fromage[s], etc. :)- des solutions alternatives élégantes culinaires -(SAÉC)- nous ayant fait comprendre qu’il a été parfaitement juste en Orient, (mais aujourd’hui, en raison de la mondialisation des échanges, partout ailleurs – les meilleurs idées de pays étrangers s’imposant partout quand / parce qu’elles sont vraies, justes en conscience), de considérer les auteurs de ces bienfaits : vache, brebis, chèvres et autres APIQH, au point d’avoir divinisé ces animaux qui ont acquis le droit d’être bien traités parce qu’ils sont si utiles pour les meilleurs saveurs alimentaires et en conséquence[s] sur le plan économique.

De nos jours, tous nous adhérons naturellement -(parce que ce qui anime l’être humain est, avec la recherche de la vérité, ce qui est juste ou plus juste encore, donc bien, bon et beau, par conséquent fécond)- à cela d’autant plus de ma récente découverte des butterArts pour réaliser les cheesOmeletArts. En effet le lait qui est une substance essentielle pour la croissance des enfants et des adolescents en raison du calcium nécessaire pour les os, est devenu[e] encore plus sacré[e] à l’aune des représentations merveilleuses de l’un ou l’autre de ces butterArts et de celles des cheesOmeletArts.

Quand on a un projet de mariage avec la personne qu’on aime, c’est qu’on souhaite constituer une famille pour être capable à deux, complémentaire l’un de l’autre, d’élever les enfants qui naîtront de cette union officielle. Nous avons aussi pu remarquer que la réalisation d’une famille se produit même à l’époque des contraceptifs -(ce qui signifie pour ceux qui vont à devoir élever ces enfants qu’ils sont réellement désirés, parce que sinon on ne ferait pas d’enfant comme tous ceux qui croient à cause de tout ce qui ne va pas que la vie est une damnation, voire que nous serions en enfer ! Or nous devons admettre que ce n’est pas entièrement vrai car depuis plusieurs dizaines d’années on est libre de choisir de fonder une famille ou au contraire de ne pas la créer et si on choisit de la voir se concrétiser c’est qu’on n’est plus misanthrope mais au contraire dans le désir d’aimer son prochain, d’être utile à des enfants, soit le plus souvent des personnes pacifiques et inoffensives. Or, dans une grande partie des cas, les réincarnations des enfants sont celles d’APIQH et ce désir d’aimer son prochain, parce qu’on a fait la découverte, à cause des innombrables solutions qui existent, que l’amour existe, cela nous fait comprendre qu’on doit aimer au sens de protéger tout ce qui est faible, voire sans défense comme le sont les bébés d’être humain homo sapiens sapiens à leur naissance.

C’est alors qu’on comprend aisément qu’on ne peut plus prendre le parti des animaux voraces et/ou parasites, voire qui sont capables de persécuter les APIQH et c’est ainsi, si on arrive à le comprendre en vérité, qu’on retrouve un peu plus la/de cohérence en soi et cela parce qu’on se prépare à recevoir un bébé et que celui-ci, comme la plupart des API, est sans défense, innocent, d’autant qu’il est pour être un bébé d’êtres humains une/la réincarnation d’un de ces APIQH !

Il y avait donc, quand nous étions de ceux qui mangeaient les APIQH, en réalité une situation incohérente à l’origine même de tous les comportements de fous -(au sens maladif de ce mot, donc négatif et non dans le sens positif qui concerne d’autres SPOK)- donc de nos décisions, de nos choix voraces et/ou égoïstes -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK/cas), en fait effectivement, en réalité pour tous une situation invivable sur le plan psychique, à l’origine de chacune de nos incohérences au point d’employer le mot d’ » amour « en croyant qu’il était compatible avec le fait -(ce qui ne tient pas debout car c’est faux)- de s’autoriser à tuer des API pour nous en nourrir -(mais on peut aussi penser à l’inverse que si cela a été le SPOK longtemps, on ait cru qu’on pouvait se l’autoriser comme preuve d’amour vis-à-vis de nos semblables, de même qu’on s’était permis de chasser avant de recourir à l’élevage à ces fins de nourritures carnées car il s’agissait d’avoir de quoi survivre / manger dans des régions de plus en plus éloignées des latitudes équatoriale qui furent le berceau de l’humanité)- donc, en fait, sans que cet amour soit totalement vrai / crédible puisque nous avons cru pouvoir manger des API et des APIQH -(animaux qui ne font pas de mal à une mouche)- en abusant de leur confiance, par conséquent en nous comportant injustement envers leur bonté, beauté et bienfaisance. C’est donc là la cause -(l’origine)- de tous nos dérèglements; de tous nos maux, de tout ce qui n’est pas juste, de toutes nos incohérences, mais aussi de ce que nous aimons la Musique et les œuvres d’Art, à travers cette recherche du beau, du bien, du bon, soit des preuves de l’existence de l’Amour autre qu’érotique, donc du Paradis, en fait, nous parlant d’un autre monde, celui de l’innocence car, hélas, nous nous sommes autorisés -(en mangeant les API ou/et les APIQH)- à créer -(avec cet élevage à des fins de bouche[rie]), l’enfer sur terre à l’origine du processus de réchauffement planétaire et de la désertification -(cependant nous ne le savions pas aussi exactement qu’à notre époque : il s’agissait d’un héritage que nous avons dû accepter –[à cause de nos facettes conservatrices, traditionalistes à l’origine de notre façon de reproduire des coutumes]- et entretenir en, hélas, le croyant juste et nous l’avons transmis à premières vues incontestable à nos enfants en raison de ces habitudes / traditions / préjugés non remis en cause, non mis-à-jour, en croyant, malgré les continuelles avancées des civilisations de plus en plus interconnectées –[mondialisation des échanges commerciaux]- que c’était normal / juste de nous en nourrir –[de ces animaux], en ne voyant pas que les solutions alternatives élégantes –[S. A. É.]- étaient de plus en plus nombreuses devant nous, proposées depuis longtemps pour nous offrir le choix de nous soigner de cette folie néfaste –[tirant son espèce –(à première-vue)- de légitimité de l’incohérence qu’il y avait eu à nous nourrir d’A. P. I. ou/et A. P. I. Q. H.]- et retrouver la cohérence avec Amour, soit la vérité de parole, soit la plus véritable justesse, par conséquent la vérité qui est sensibilité à la beauté, bonté, bienfaisance, compassion de l’Univers à notre égard, en un mot » Amour «. Non, dans nos régions tempérées, nous n’avions pas voulu de cette vérité orientale et/ou bouddhiste des religieux / lamas végétariens et nous avions préféré continuer à pécher avec les autres, certains d’entre nous sachant pourtant que c’était continuer à mal faire. Il n’est donc pas étonnant que la mort se soit manifestée y compris sous la forme de la solution élégante des réincarnations en animaux prédateurs malheureusissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, et etc. . C’est que nous avions préféré nous conduire en inconscient[s] des conséquences de nos actes et de nos choix, parce que nous avions oublié qu’aimer ne se peut que justement de choses très véritablement aimables donc sur tous les points, en toute honnêteté et cohérence s’empêcher de faire souffrir. C’est pourquoi il était urgent de trouver un moyen de pardonner nos péchés –[ce qui fut trouvé par le Christ : si nous nous repentions sincèrement de ces péchés]. Nous le savions, la plus véritable honnêteté est incompatible avec le meurtre d’API et/ou APIQH)- car en nous autorisant à manger les APIQH nous avions tous une partie de nous-mêmes à croire possible continuer à faire le mal et à cause de cela de croire fallacieusement avoir le droit de nous conduire à certains moments méchemment, voire injustement envers des animaux qui ne sont qu’aimables : bienfaisants et utiles sur tous les autres plans où ils nous aident. C’était donc là une des causes de tous nos problèmes

N. B. : La suite est après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(trouvée la cause, le remède n’est jamais trop loin. C’est ainsi qu’en 1977, en raison d’amour pour C. L. , je l’avais trouvée –[cette cause]- pour, avec le remède, faire disparaître la pauvreté et la misère matérielle -[de tous les pauvres et les misérables]- sur le champ : c’était le prix du baril de pétrole qui au lieu de baisser montait. Le remède était donc la baisse du prix du baril de pétrole, en raison de ce que j’avais eu à géo-localiser plus de cinquante pour cent des réserves de pétrole de nos jours, ce qui augmentait la quantité de pétrole au point normalement d’avoir, en raison de la loi de la quantité et de la rareté à en voir baisser le prix. Le pétrole n’était plus une rareté en voie de disparition : d’un seul coup plus de cinquante pour cent des réserves en plus géo-localisées du ciel d’où j’intervenais comme une virtualité future sous la forme de nuages. De quoi financer la transition vers les énergies propres : éoliennes, solaires, marée motrice, fluviales motrice, hydrogène, etc. . Aussi la cause de la misère et de la pauvreté matérielle était ce prix du baril de pétrole à sept dollars, soit sept cent fois trop cher -(car s’il avait été proposé à un centime de dollar, en raison de la répercussion de ce prix dans l’Économie, tous les autres prix auraient logiquement baissé, au point de rendre de très nombreuses choses, les biens de première nécessité, mais aussi quelques produits de luxe quasiment gratuits)- voire autrement vue soixante-dix mille fois trop cher. Ce qui aurait permis à 0,01 centime de dollar le baril de rembourser toutes les dettes de chacun des États et de créer les conditions pour retrouver assez rapidement, sur les vingt-quatre suivantes années, la vision du très saint paradis une heure toutes les cinq heures. (Voir (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm)-

et du doute dans lequel -[périodiquement]- chacun de nous étions -[au sujet]- honnêtement de nous-mêmes : des anges ? Au point de croire à tort ou à raison que l’être humain »« ne serait ni ange ni bête »« et que »« qui veut faire l’ange fait la bête »« -(cependant, on le sait, qu’il vaut toujours mieux essayer de faire l’ange - au risque d’y parvenir en ayant eu à pratiquer pour ça la méthode Coué, au risque de faire la bête –[comme ce fut le cas avec adolphe hitler]- et cela – devenir ange – est effectivement depuis longtemps possible : en fait depuis qu’il existe toutes les solutions alternatives élégantes -[S.A.É.]- des viandes et des chairs végétariennes ! Aussi la citation célèbre de S. A. I. S. S. S. L . P. Blaise Pascal concernait une époque dans laquelle il n’y avait pas encore -[dans/sur nos marchés]- autant de S. A. É. Végétariennes, ce qui permet à tous ceux qui le sont [végétarien]- de devenir -[à plus ou moins long terme]- véritablement des anges, ce dont nous avons tous besoin et ce qui a été le SPOK pour chacun de nous quand nous étions bébé et/ou enfant. C’est donc après l’âge de raison -[donc vers trois à sept ans]- que cela s’est parfois gâté pour ceux qui localement ne sont pas parvenu à continuer à se conduire en ange[s] d’autant plus aisément du recours à une nourriture trop carnée. Soit la cause qui rend « bête »).

Non, la réalité de notre alimentation omnivore -(en mangeant des API, voire de APIQH), signifiait que nous ne l’étions pas encore pleinement, des anges, et cela en raison des « libertés » que nous nous sommes autorisées en mangeant de la viande d’APIQH, ce qui était donc très véritablement pécher, voire -[un]- sacrilège car profondément injuste[s] envers des espèces animales par ailleurs aussi généreuses qu’elles sont à la ferme, en échange de leur protection par des paysans-fermiers, ce qui est aussi le SPOK des poules, des oies, des canards, etc., des API, à l’origine de la possibilité de réaliser un[e] butterArt pour des cheesOmeletArts !

Aussi nous comprenons tous que pour retrouver la cohérence en nous, soit la logique, il est aujourd’hui possibl-(mais cela l’était déjà autrefois, au moins depuis l’époque de l’invention du fromage râpé)- de guérir de toutes nos contradictions et des manques de cohérence, soit de tous les moments où nous étions illogiques, voire -(parfois, hélas, à notre insu – donc de bonne foi)- menteurs et cela ne peut être que grâce à l’étape où l’on devient végétarien, ce qui arrive de toute manière un jour ou l’autre pour les personnes âgées car la plupart d’entre elles perdent leur[s] dent[s]. En fait, nous avons tous été végétariens quand nous étions dans la prime enfance, avant d’avoir l’apparition de nos dents de lait -(grâce au calcium ingéré).

Encore une fois c’est en trouvant la cause, (soit l’origine d’un problème, comme celui de l’écartèlement dont chacun en Occident est l’objet entre d’un côté la condition d’ange et de l’autre la condition de diable, -[au sens satanique et négatif du terme qui peut en avoir du positif dans d’autres SPOK / cas particuliers, etc.]), que j’ai eu l’honneur de trouver / proposer le remède et celui-ci était élémentairement alimentaire, ce qui m’a permis, alors qu’empereur depuis 1995 de devenir à partir de 2005 un des bouddhahs, soit un éveillé par acquis de conscience –(en effet, j’ai eu en 1977 et les années suivantes synchrones avec 2005 et les années suivantes, à transmettre du ciel la liste de tous les fruits et légumes qu’on pouvait proposer en tant que solutions alternatives élégantes dès que possible dans les commerces, car ils n’étaient pas encore sur les marchés occidentaux)- et parce que je n’ai pas voulu tricher en me préparant à recevoir mes enfants, par conséquent dans le parcours initiatique qui fut le mien jusqu’au moment durant lequel on me rendit la mémoire de ce qui s’était passé dans le ciel de Rome en 197-(avec soudain la nécessité du sacrifice de séparation d’avec S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang, la perte avec elle de nos enfants alors virtuels)- et la découverte que celui qui intervenait immense dans le ciel était, par soucis de cohérence avec le mot d’amour devenu végétarien, soit alors en 1977 ma perspective d’avenir, au point, en raison de cohérence retrouvée grâce à cette condition de végétarien de monter au ciel -(d’accéder à ma conscience et à mon cerveau redevenu propre)- en redevenant bouddhahs, soit un éveillé par acquis de conscience comme je l’avais été à ma naissance mais aussi à partir de 1967 en synchrone d’avance avec 1977 et 2005 au point que ma voix s’est entendue avant ma naissance mais aussi à ces dates de 1967 et 1977 bien avant d’avoir été émise depuis les années 2005 sur ces époques précédentes. La Vérité étant retrouvée sur de nombreux points -(dont tous ceux alimentaires, soit la base ou/et le socle de chacune de nos existences en ange ou, au contraire, en démon)- car, en réalité, pour les êtres humains -(la Vérité)- existant de tout temps. C’est la raison pour laquelle on n’a pas le droit d’imposer à des omnivores de devenir végétariens : cette mutation ou/et transformation ne peut advenir qu’en raison de soif de cohérence et de vérité, par conséquent d’aspiration à la connaissance du sacré. Celui-ci – en témoignent les très nombreux temples ou/et édifice religieux - existe très réellement et c’est parce qu’il a été approché de différentes façons complémentaires -(par les religions ou/et l’absence de celles-ci)- qu’on a toujours fini par trouver les meilleurs SAÉ – solutions alternatives élégantes – pour se nourrir convenablement -(ceux qui ont continué à vouloir chasser pour se nourrir sont allés se perdre au pôle où ils n’ont pas/plus trouvé de solutions alternatives élégantes végétariennes. L’obsession de la viande animale pour se nourrir ayant conduit leurs lointains ancêtre à -[comme]- se perdre dans ces régions glacées).

Ces médecins occidentaux croient encore à notre époque qu’il faut / convient de se nourrir de viande des API et des APIQH. Ce qu’ils croient n’est en réalité que fondé sur la base de paramètres anciens devenus à la longue des préjugés car les mises-à-jour n’ont pas été effectuées -(pour être en adéquation – cohérents - avec notre époque, à partir des paramètres récents qui la caractérise / concerne sur le plan alimentaire. Aussi la non mise-à-jour périodique fausse la plupart des raisonnements des docteurs en psychiatrie qui ont fait l’impasse sur la spécialité / discipline universitaire médicale de la nutrition -(de nos jours une science indispensable, celle des nutritionnistes -[si seulement il s’agit de ceux qui ont vérifié sur eux-mêmes, comme je l’ai fait sur moi-même, qu’il est même possible d’être végétarien sans se nourrir de Fabaceae et autres pois chiches et/ou lentilles -(bref de protéines végétales - cependant que comme ces protéines végétales existent, il serait bien bête de s’en priver. En fait c’est parce que longtemps l’être humain a été chasseur et mangeur de viande animale qu’il s’est habitué aux protéines donc qu’il est convaincu qu’il ne peut s’en passer -(qu’elles sont dans son ADN). Or j’ai vérifié sur moi-même qu’on peut très facilement s’en passer grâce aux protéines végétales de substitution et cela jusqu’au moment où ces dernières ne sont plus nécessaires, soit au moment où on devient un éveillé par acquis de conscience, soit un des bouddhahs. Une fois cette conscience revenue, si on veut se passer de lentille, pois chiches et etc. noix, noisettes, et etc. c’est possible ce qui signifie que les protéines végétales, à l’aune des solutions alternatives de fruits et légumes et céréales et laitages ne sont même pas nécessaires, cependant que comme elles existent autant avoir le bonheur de les proposer à nos repas : cela crée de la variété : pourquoi se l’interdire, il n’y a pas de mal à ça), quand elle est utilisée intelligemment dans / pour la meilleure des perspectives sociale[s])- car rares sont ceux qui ont fait tous les efforts intellectuels pour qu’on puisse les considérer de véritables guérisseur[s] / médecins : la grande majorité d’entre eux ne se sont pas inoculés l’une ou l’autre de ces maladies psychiques pour en découvrir les effets de manière à faciliter la compréhension des mécanismes en cause et de cette façon aboutir à la découverte du remède. Ce genre d’attitude scientifique est rare et ne peut advenir que par acquis de conscience mais aussi dans un esprit sacrificiel qu’on doit surtout, dans ce SPOK/cas, à la religion catholique chrétienne. De mon côté en apparaissant auditivement en 1967 mais aussi visible et audible dans le ciel de 1977, nous étions rassurés d’avance que je pourrais guérir de la maladie, c’est pourquoi j’ai proposé aux années 1967 et 1977 de m’inoculer la cause de cette maladie -(l’amnésie de paramètres essentiels)- en faisant de moi un cobaye – tous les plus savants sachant d’avance, en raison de la teneur de mes communications / transmissions à travers Espace et Temps qu’à partir de 2005 je commencerais tous les jours -(à mesure des progrès de mes transmissions à travers Espace et Temps)- à toujours plus guérir, en raison de l’auto-psychanalyse publique -(audible et visible dans le ciel vingt-sept années avant qu’elle n’advienne dans la réalité)- mise en place à partir du moment où on me [re]donnerait la mémoire du fait majeur que j’avais dû oublier pour commencer mes Démonstrations. J’allais donc guérir à partir du moment où ces communications à travers Espace et Temps recommenceraient le jour venu à partir de 2005 ! Aussi ce qui s’est passé à partir de 2007-8 sur le plan psychiatrique n’aurait jamais dû se produire étant donné que j’étais dans l’exercice de mes fonctions de chercheur scientifique et d’eanmeailleurs -(pharaon -[devenu]- bouddhahs), sans parler ici en détail de ce que chacune des interventions « médicales » du Centre Médico Psychologique de l’hôpital Saint-Anne a fait perdre -(dans l’incompréhension de ce qui advenait / était en cours avec moi et qui pour être enfin compris a nécessité de me sevrer du Risperdal 25 mg pour que j’écrive mes lettres aux Papes et aux présidents de la République française pour leur expliquer la situation extrêmement complexe et unique dans laquelle je me suis trouvé à partir de 2005 sachant qu’en synchrone dans le ciel de 1977 –[soit ce que nous avons découvert être l’époque de 2005 et années suivantes]- je mesurai de trois à dix kilomètres de hauteur !!!)- comme quantité de milliards en or pur à l’Ensemble et cela en me contraignant à cesser de communiquer à travers Espace et Temps – des responsables politiques mais aussi médicaux précis étant coupables de toutes ces immensissimis…simissimes –[et c’est encore peu dire par rapport à ce qu’elles furent en réalité]- pertes).

 

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Ces mises-à-jour sont vitales dans toutes les disciplines, donc dans tous les domaines qui servent alors de virtuels / possibles médicaments, cependant que la guérison de la plupart les maladies psychiques ne s’obtient, (je l’ai démontré et vérifié sur moi-même, autrefois un grand mangeur de steaks tartare, de saumon et de beefsteak à la florentine, mais aussi de truites, de soles et d’espadon, mais aussi de jambon cru et à l’os comme de charcuteries et pâtés de foie-gras mais aussi de saucissons hongrois comme de gigots et de côtelettes d’agneau, etc. –[ayant fini par croire de bonne foi très jeune qu’il s’agissait de véritables bonnes choses, y compris les autres saucissons comme le chorizo, les saucisses et brochettes ou les grillades, mais aussi les huîtres et palourdes, crustacés, crevettes et langoustines, escargots, etc., homard)]- qu’en devenant végétarien longtemps et en menant de front un travail psychanalytique et, si possible, artistique. Je l’ai démontré à partir de 1990 – mais cet état de végétarien ne doit jamais être imposé brutalement, méchemment, dictatorialement par les autres –(qui ne peuvent, si ils sont végétariens, que conseiller à travers leur exemple cette façon différente de se nourrir à partir de leur propre expérience et/ou chemin spirituel). Cet état de végétarien doit cependant s’imposer comme une nécessité intérieure individuelle / particulière pour entrer à son tour dans la perspective ayant, à partir d’un certain moment, pour objectif de retrouver la cohérence et la vérité de parole avec sa plus véritable identité / âme -(celle qu’on avait enfant avant d’avoir été -[(pour des raisons historiques liée à l’histoire de l’aventure humaine –[H. A. H.]-, soit celle du développement et de l’évolution locale, donc régionales)- contraints et forcés –[car menacés ou/et battus ou/et grondés pour adopter ces coutumes contre notre volonté, soit en ayant ici à s’aliéner pour ressembler localement à monsieur-tout-le-monde]- à manger de la viande, du poisson et les corolaires autres chairs d’animaux plus ou moins pacifiques et inoffensifs –[A. P. I.]-).

Mais, cette métamorphose, je l’ai vérifiée, cela peut prendre, selon les individus, plus ou moins beaucoup de temps -(jusqu’à de très nombreuses années, donc très longtemps)- sans à première-vue aucun succès avant qu’on accède, grâce à cette condition de végétarien -(mais aussi grâce à l’amour d’une personne complémentaire qu’on aime en retour)- soudainement à la conscience -(soit à la vérité), en soi et/mais pour cela il est nécessaire de rassembler autour de soi et en soi d’autres conditions -(comme au préalable celle impérative d’arrêter de fumer – ce à quoi, évidemment on se doit pour ses enfants de manière à leur garantir des parents en bonne santé durant toute l’époque où ils seront élevés pour devenir à leur tour des adultes responsables – ce qui, nous l’avons dit, peut se produire dès la naissance, voire enfant au point de ne pas avoir à vivre l’adolescence). [Aussi]- c[C]ela est aussi possible parce qu’on boira –(de l’alcool)- sobrement / modérément, voire pas / plus du tout -[du moins]- durant la grossesse, mais aussi parce qu’on sera / demeurera / restera fidèle de corps et d’esprit -(durant les fiançailles à sa parèdre – ce qui devrait conduire dans un premier temps au concubinage, soit à l’union libre et enfin une fois la conscience retrouvée, aux plus véritables fiançailles dans la perspective du mariage pour créer les conditions officielles de sécurité minimum pour être en mesure d’élever les enfants qui naîtront de cette union ayant enfin accès, l’un par l’autre, aux dimensions sacrées de l’existence.

En général, en raison des études en Médecine, le personnel de Santé applique pour soigner des méthodes dont il n’est pas l’auteur. Ces méthodes, nous le soulignons, ne sont pas -(en général)- le fruit de leurs analyses personnelles, au sens d’expériences vérifiées et/ou résultants de leur[s] propre[s] recherche[s], cependant qu’il y a àpremièrevue[s] –(à-premières-vues ou/et entendus)- la nécessité d’établir de bons diagnostics pour comprendre et/ou rechercher les causes qui seraient à l’origine de la différence / des différences psychique[s] qui existe[nt] entre ces considérés médecins et la personne -(dont ils croient devoir prendre soin : leur patient – ces derniers, (les patients)- pour le devenir, ayant quelques fois fait l’objet d’un abus de confiance de ces médecins qui, au lieu de leur dire qu’ils n’ont qu’à devenir végétarien[s] pour se soigner à plus ou moins long terme de la grande majorité de leurs maux, les ont considéré des malades pour avoir à être chargé de les soigner –[donc par intérêt financier égoïste et de ce fait aucunement guérisseur car sacrilège vis-à-vis de la plus véritable Médecine qui considère / postule / présuppose la grande majorité des êtres humains comme guérissable[s] ou/et se portant bien sur un grand nombre de points importants / fondamentaux]- et auxquels ils ont prescrit des médicaments et cela avec ces « patients » trop confiants, quand il ne s’agit pas de véritable malades)- à première vue originale ou/et différente, (de manière à comprendre pourquoi il y a cette différence à cause de la situation précise originale qui a concerné ce patient, soit nous le soulignons, la nécessité de rechercher la/es cause[s]). Ces « médecins » pensent, parce que la personne est devant eux, que celle-ci serait atteinte de complications psychologiques voire psychiques et/ou malade -(mais ils oublient souvent de se dire que la situation de crise de cet être –[soit au bas mot un univers qu’être un être une fois acquise la/sa conscience]- devenu « patient » en raison du SPOK -[situation précise, etc.]- dans lequel ils sont, remonte déjà à très loin dans le temps même si elle ne s’est produite que cinq minutes auparavant, cela parce que cinq minutes à l’échelle universelle, c’est, en réalité, immensément de temps -(ce qui est déjà le cas d’une seconde à l’autre)- car c’est déjà le SPOK si cette « crise » -(à première vue de démence -[alors qu’en en connaissant les causes cette » crise « n’en serait peut-être ou/et plus sûrement plus une])- s’est produite une minute avant -(et on le sait le temps arrange bien les choses au point qu’il est donc probable que cette crise ne se reproduira -[jamais plus], d’autant qu’on aura parlé avec ce patient -(voire, ce qui est préférable avec les personnes scolarisées, leur proposer d’écrire pour expliquer ce qui s’est produit –[de quoi ce patient aurait été l’objet pour se mettre dans cet état à première vue différent de son état normal – par conséquent remonte par des efforts d’écritures aux causes de ce qui lui a modifié momentanément son comportement, au point que certains aient cru devoir le faire comparaître en face d’un psychiatre]- de manière chronologique, voire retrouver les causes de cette crise)- pour essayer de comprendre ce qui a mené cette personne à avoir le comportement différent de celui qui lui était plus habituel –(quand ce patient allait bien : normalement, ce qui est, bien entendu, un état qu’il peut donc retrouver dans les cinq minutes suivant sa/cette situation ayant été jugée de crise ou le point de départ, l’origine, de la transformation de cette personne –(soit, j’ai à le souligner, au bas mot un ou plusieurs univers s’il s’agit d’une de celle ayant acquis sa conscience)– en » malade « par des personnes ayant cru avoir intérêt à rendre cette personne » anormale « -(quand, paradoxalement, la majeure partie des plus véritables créations artistiques ne peuvent se produire qu’en refusant la/es norme[s] -(sauf toutes celles indispensables à/pour permettre l’éclosion de l’Art, soit la maîtrise de techniques à ces fins de les utiliser pour créer du nouveau, par conséquent du différent, de l’anormalité), inhabituelle, ce qui rend toutes les personnes accusant un tiers d’anormalité coupables de rechercher à monter en épingle des comportements bourgeois, au sens négatif de ce mot qui en a heureusement du positif dans d’autres SPOK/cas particuliers, ce qui est aussi le cas du mot » normal « qui en a donc du positif)- avec la complicité du médecin –(c’est alors – de son point-de-vue, une bonne affaire en cours)-, ce qui devrait toujours signifier une personne ayant la possibilité de guérir – ce qui, en fait, s’est probablement avéré durant ces cinq dernières minutes avant l’intervention du médecin ne se fondant que sur des faits de plus en plus lointains dans le temps / passé, donc déjà anciens sauf exception -(quand, par exemple, le patient va mal, souffre)- par conséquent un médecin -(s’il a choisi de faire partie des honnêtes hommes)- qui aurait dû en toute vérité considérer ce « patient » comme déjà guéri, à moins que cette personne, (soit des univers, une fois acquise la conscience), ne se plaigne de maux dont elle souffre devant le médecin, ce qu’il conviendra effectivement d’essayer de soulager).

Les études de/en Médecine sont à l’origine de conditionnements et/ou méthodes -(plus ou moins justes)- pour soigner en s’appuyant sur des siècles de tentatives en la matière et cela fait de chacun des étudiants accomplissant le cursus universitaire plus ou moins un vrai médecin, ce qu’en réalité il ne peut plus véritablement devenir que par acquis de conscience. En fait, quand le médecin n’est pas un éveillé par acquis de conscience (É. A. C.), il est souvent, sans même s’en rendre compte, sur certains points un laipis -(laïc, athée, ignorant, profane, inconscient, sacrilège – ces six mots de l’acronyme laipis, au sens négatif et positif qu’ils ont selon les SPOK : situations précises, occasions, cas particuliers car ici c de cas et p de particulier = k de SPOK)- soit un sacrilège envers la conscience et la vérité, donc envers la lumière. Et nous remarquons qu’il oublie que le moment où son patient fut considéré comme différent, voire » dérangé « n’est plus depuis très longtemps à l’échelle universelle médicale –(ces temps étant les plus longs existants car il y a, pour les juger tels, de virtuelles ou réelles très véritables souffrances. On le sait, par exemple, chez les dentistes : dans certains SPOK une seconde de souffrance à une dent non anesthésiée est infiniment longue à passer / supporter /endurer -(et c’est hélas semblable pour la majeure partie des effets indésirables des neuroleptiques. Aussi le patient est donc martyrisé, du moins l’objet de tortures -(ce qui rend le temps extrêmement long à passer, car dans ces conditions de souffrance, insupportable), ce qui est invivable, insupportab[i]lissimis…simissime et change pour ce patient la réalité en cauchemar d’autant plus que ces médecins veulent s’acharner pour le soigner avec l’aide de ces neuroleptiques trop fortement -(excessivement)- dosés par rapport à la plus juste / réelle dose minimale –(au point que ces « médicaments » en deviennent de très méchants dosages : inhumains / criminels, d’autant plus que ceux qui les prescrivent ne les ont pas eux-mêmes testés sur eux-mêmes, donc les délivrent sur la foi d’articles lus à leur sujet, en à peu près inconscients de ce que représente comme souffrances les effets indésirables que les auteurs de ces médicaments ont noté / listé / annoncé -(comme avertissements dans les notices accompagnatrices)- après les nombreux tests effectués avant la phase de commercialisation de ces « médicaments », puisqu’ils sont effectivement à l’origine de ces effets indésirab[i]lissimis…simissimes les plus insupportables, ce qui devrait conduire les médecins les plus intelligents à renoncer à prescrire cette « médication »  avec ces chimies autant empoisonnantes et cela – s’interdire d’y avoir recours - parce que le moment en cause -(ce qui s’est produit qui n’avait pas encore d’explications cohérentes, cartésiennes, objectives, satisfaisantes, logiques, etc.)- n’est déjà plus -(et cela depuis si longtemps ! – Même si ce n’est que dans la seconde suivante que la normalité – dans son acceptation positive - a été retrouvée par celui qu’on a - malheureusement pour lui -(et c’est ici parfois l’erreur des médecins n’ayant pas en eux accès à la plus véritable conscience)- fait devenir -(par abus de confiance)- « patient » parce qu’on a voulu le considérer à tort ou à raison comme malade en oubliant que s’il ne s’agit pas d’un éveillé par acquis de conscience, une fois la conscience de ce « patient » revenue, il sera un ou plusieurs univers dans tout ce qu’il entreprendra et/ou vivra, soit quantité incalculable de choses et/ou virtualités positives dans l’Intérêt et pour le Bien Général), voire ne se reproduira jamais plus si le patient le promet. (Permettez-moi de vous rappeler ici que chacun d’entre nous emploie –[parfois au cours de ses relations avec les autres, voire autrui]- pour demander un temps bref dont on a à ce moment-là besoin, l’expression » une seconde ! «, voire » deux secondes ! «. Tous savent alors que cela peut signifier très réellement une seconde ou deux, mais aussi bien plus qu’une seconde -(cela peut aller au-delà d’une minute, voire dans certains SPOK beaucoup plus, alors qu’au départ on avait demandé » une seconde «, voire » deux secondes «, on mesurera le temps que cette parenthèse demandée d’une seconde ou de deux secondes va être en réalité et cela pour une quantité d’actions parfois annoncée[s] étant de brève[s] durée[s], mais devant être impérativement – soit en rapport avec la situation, soit concernant un tout autre sujet dont on n’est pas forcément au courant. Celui envers lequel on a annoncé cette seconde ou ces deux secondes de parenthèse – et la personne (qui a eu recours à l’annonce de cette seconde ou des deux secondes, voire d’une minute ou deux à faire attendre), reviendra au sujet en cours en ayant accompli une tâche, voire en apportant de nouveaux paramètres, par exemple pour mieux soigner la situation lui ayant rappelé, à un moment donné, qu’il convenait d’interrompre le SPOK pour résoudre une autre situation qui exigeait ce temps. On comprend alors que la situation dans laquelle on joue un rôle est ouverte sur d’autres sujets, parfois complémentaires, parfois tout autres et que de brefs moments où on est contraint de s’abstraire, donc de quitter une situation donnée, sont possibles au point de démontrer qu’une marge de liberté existe, ne serait-ce que pour aller chercher un document, une preuve. On comprend alors que cette notion de seconde -[de temps]- peut être féconde, se rapporte à un autre sujet, voire quelque chose de complémentaire – et c’est en quelque sorte la même chose pour une personne qu’on a cru folle, voire psychiquement dérangée : dans la seconde qui suit ce qu’on lui reproche, elle n’est déjà plus ce qu’on a cru pouvoir légitimement lui reprocher et ceux qui continuent à lui reprocher un comportement inexpliqué en lui prescrivant des neuroleptiques aux effets indésirables aussi graves, importants, à l’origine de souffrances parfois insupportab[i]lissimis…simissimes n’avaient sûrement pas à prescrire ces substances chimiques aussi/autant torturantes / martyrisantes, insupportab[i]lissimis…simissimes. Il est donc juste qu’en raison de prescriptions à ce point à l’origine de souffrances insupportabilissimis…simissimes comme par exemple celles des acouphènes -(bruits de bourdonnements dans la tête et les oreilles plus ou moins forts au point qu’il y a ceux qui, si forts, sont autant insupportabilissimis…simissimes, paroxismiquissimis…simissimes d’effets de douleurs qu’il n’y a plus du point de vue du patient que l’issue par le suicide et, bien sûr, si on souhaite -(c’est un devoir)- l’éviter au patient, il faut aussitôt cesser de leur prescrire Risperdal 50 mg ou Xeplion 50 mg à l’origine de ces acouphènes et d’autres maux insupportab[i]lissimis…simissimes que vous saurez dans cette lettre en leur proposant dès qu’ils sont dans cette situation de douleurs dare-dare une cure de sommeil -(tout du long du temps où il y aura encore les effets de la dernière prise de l’un de ces deux médicaments)- pour que ce patient en se réveillant au moins deux mois après -(dans le cas du Xeplion qu’on aura cessé de prescrire)- cesse de souffrir autant)- ceux qui se sont acharnés à prescrire ces médicaments neuroleptiques à l’origine de telles douleurs obtiendront – c’est bien normal et logique, en un mot naturel - après leur mort, pour leur âme, les plus tragiquissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes, tristissimis…simissimes réincarnations –(soit celles qui concernent tous les usurpateurs / imposteurs / etc. en Médecine)- car ils se sont comportés en sacrilèges vis-à-vis d’une personne -[trop]- confiante qu’on n’avait évidemment pas le droit de torturer ainsi puisque l’usage de la torture -(comme martyriser)- mais aussi la peine de mort ont enfin, en toute cohérence avec ce qui en conscience est légitime, été interdites). Aussi cela signifie ici que chacun d’entre nous avons un système pour compter / vivre le temps qui passe, très personnel, original, propre à nous-mêmes, cependant la seconde, voire les deux secondes durant lesquelles la roulette va toucher la racine de la dent à extraire représente[nt] alors -(sans anesthésie), à l’échelle universelle, un temps extrêmement long selon si on appartient aux êtres sensibles ou pas -(aussi quand un médecin dit une seconde à son patient, pour obtenir de lui sa confiance avant d’opérer -(par exemple parce qu’il va chercher le produit anesthésique ou parce qu’il souhaite que son patient se taise de manière à pouvoir opérer), cela signifie – on le comprend au son/ton du médecin - entre une seconde de temps et un peu plus ou beaucoup plus de temps). Cependant que même si on appartient aux insensibles, voire à tous ceux qui veulent le faire croire, la seconde en question risque de faire très très mal. Et c’est ici qu’il est inacceptable de ne pas arrêter une médication qui fait autant souffrir des effets indésirables une personne -(un patient), car ces effets indésirables durent des journées et des nuits entières – soit ce qui n’est pas une seconde ou deux secondes -(ce qu’effectivement on arrive, le plus souvent, à supporter)- mais bien soixante secondes multipliées par soixante multipliées par vingt-quatre -[heures]- multipliées par une trentaine de journées pour un mois et dans mon cas multiplié par deux ans, soit vingt-quatre mois sans le correcteur Artane 5 mg qui, une fois trouvé par mes soins, a rendu un peu plus vivables les impatiences qui étaient telles qu’il n’y avait plus qu’une issue : le suicide et cela pareillement pour les acouphènes en position couché pendant la nuit, au point de me contraindre depuis 2017 quotidiennement au somnifère, avant que ces acouphènes de cette intensité insupportab[i]lissimis…simissimes n’aient miraculeusement disparu).

Si le médecin doute de la parole du patient, il se conduit déjà à ce stade en très véritable bourreau

-(on n’a pas le droit de ne pas croire un patient qui vous dit qu’il souffre. Si on ne le croit pas, on se comporte en sacrilège et on obtiendra l’une ou l’autre des réincarnations les plus malheureuses, les plus tristes, les plus cauchemardesques, les plus tragiques, et les plus etc. si on continue dans cette voie comme c’est la cas pour tous les menteurs et/ou usurpateurs et/ou tricheurs et/ou imposteurs, etc. après leur mort, cependant que le médecin pour pouvoir guérir une personne qui souffre doit croire que le médicament qu’il propose va réduire la souffrance, voire va faire disparaître la souffrance en cause. Aussi dans certains SPOK, on peut croire que le médecin fasse bien de ne pas croire à la souffrance d’un patient causée par des effets indésirables, en raison qu’il croit connaître un autre remède pour soulager de cette souffrance. C’est donc ici une position assez inconfortable du médecin vis-à-vis d’une personne souffrante car elle ne sera pas juste tant que le remède auquel il pensait n’a pas eu les fruits escomptés. Quand le patient a déterminé que les souffrances sont dues à l’un ou l’autre des médicaments prescrits, le médecin doit comprendre qu’il n’a plus le droit de continuer à le[s] lui prescrire ni le[s] remplacer par un médicament de la même famille des neuroleptiques : il y a, en raison des symptômes, allergie et ce sont bien eux qui sont la cause de la souffrance du patient. Aussi il appartient au médecin de cesser sur le champ de prescrire la cause de tant de maux / souffrances et cela d’autant plus que le patient appartient à tous ceux qui sont de très véritables médecins parce que végétariens comme Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimes Princes Léonard de Vinci : des éveillés par acquis de conscience : des bouddhas! En effet, la métamorphose en éveillé par acquis de conscience est/sera à l’origine d’un changement radical de l’être au point de faire de lui un pur esprit, ce qui est, entre autres, une personne enfin guérie de toutes les incohérences passées par le retour en lui d’une condition cervicale d’immaculé, soit avec un vrai regard, une vraie pensée, etc.. Enfin, grâce à cette sécurité découverte en soi-même comme un passage secret, on peut accéder au monde de la Vérité et de la connaissance. Aussi tout ce que l’on va dire ou écrire ou réaliser n’a pas d’autres fonctions que de permettre à tous ceux qui ne sont pas encore des éveillés par acquis de conscience de le devenir à leur tour. Aussi prendre de tels êtres pour des malades ou/et des fous -(et les contraindre à prendre des médicaments)- est criminel contre l’humanité puisque tout ce qu’ils accomplissent depuis le moment où ils ont eu enfin accès à leur conscience est médical / sacré).

en insistant pour la poursuite d’une médication chimique, à cause des effets indésirables insupportabilissimis…simissimes que, bien entendu, ce « médecin » devait s’interdire de créer chez le patient et cela d’autant plus qu’à cause de ces effets indésirables le patient réclamerait l’euthanasie -(en raison de la souffrance des effets indésirables de ces neuroleptiques), voire recherche à se suicider. Ce sont bien ces neuroleptiques qui sont la cause de ce changement chez le patient de son état normal à celui d’un patient souffrant excessivement -(aussi il est normal / logique que le médecin à l’origine de ces souffrances, parce qu’il ne baisse pas le dosage comme le patient le conseille / demande, obtienne après sa mort en raison des sacrilèges dont il a été l’auteur, l’une ou l’autre des plus tragiquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes et etc. réincarnations : il n’a pas voulu croire son patient qui disait vrai et ne l’a pas soulagé des maux que ce patient a enduré à cause des effets indésirables des neuroleptiques : cela exigeait de mettre tout de suite un terme au traitement, mais le  « médecin » a continué de prescrire la même sorte de médication en devenant ainsi à chacune des secondes de celui qui en a souffert sacrilège -(s’il ne change pas de position à temps en demandant sincèrement pardon à ce patient -(ou au Christ, voire à Dieu, donc en se repentant). S’il ne se repent pas véritablement, il obtiendra donc une des réincarnations qui concerne les sacrilèges et les bourreaux comme les gens insensibles à la souffrance des autres, soit à cause de cette insensibilité devenus -[comme]- inhumains, puisque le propre de l’être humain éveillé, soit devenu bouddha par acquis de conscience, (par conséquent entre autres très véritable médecin), est de pouvoir se mettre à la place d’autrui aux prises avec une situation donnée -(plus ou moins difficile), par conséquent d’aisément pouvoir compatir en s’interdisant, bien sûr, de jeter de l’huile sur le feu, soit de prescrire la plupart des médicaments aux effets indésirables touchant un pourcentage aussi important de SPOK ou alors dès qu’on a connaissance des effets indésirables qui ont affecté le patient). 

En fait le médecin, en continuant à prescrire un médicament aux effets aussi douloureux s’est conduit en faux médecins, comme il peut y avoir des faussaires dans d’autres spécialités / métiers / activités. Il s’agit donc d’une erreur médicale : il a oublié que cette personne, le patient, est différent[e] de tous les autres, donc qu’il s’agit toujours d’un cas exceptionnel et cela par exemple s’il s’agit, comme pour moi, d’une de celles, (de personnes)- qui ont eu finalement accès à la conscience -(soit à l’éveil), soit ce qui confirme, sur un autre plan effectivement que normalement chacun de nous devrait savoir se conduire, parce qu’il connaîtrait la raison d’être de ces lois au point que la présomption -(au sens de présumer / » donner comme probable «)- de la connaissance de la loi n’est pas, comme on le pense, en réalité, une fiction, une fois qu’on appartient à tous ceux qui ont accès à la conscience, ce qui devrait être une obligation -[morale], soit d’Intérêt et pour le Bien Général avant de s’autoriser à se marier ou/et avoir des enfants -(de manière à pouvoir prévenir / élever ces enfants s’ils étaient momentanément devenus inconscients, par conséquent les conseiller le mieux – ce qui est le devoir des parents -(responsables de leurs enfants jusqu’à leur majorité)- de nos jours facilité avec/par Internet où on peut trouver les raisons plus ou moins valables de l’existence de chacune de ces lois). C’est cet acquis de conscience qui permet de comprendre la plus ou moins justesse de toutes les lois les meilleures concernant chacun des SPOK / cas particulier car théoriquement ces dernières -(les lois)- ne pourraient pas être conçues sans avoir été considérées justes à un moment donné pour tous ceux qui ont accès à la conscience, soit tout bien pesé, par conséquent en liaison avec chacun des SPOK, cas particuliers -(soit ce qui est/sera à l’origine des amendements).

L’accès à cette sécurité -(qui existe dans chacun des êtres humains)- intérieure de la conscience, une fois débarrassé de la partie aliénée, ouvre sur la connaissance des mots et/ou des compétences -(ce qui, comme je l’ai démontré de 1963 à 1967, de 1967 à 1977, et de 1977 à 2005 comme de 2005 à nos jours, est à l’origine de cet état d’éveillé, soit ce qui est synonyme de bouddha, par conséquent pour les meilleurs raisonnements d’Intérêt Général)- ce qui est/sera à l’origine d’enrichissements collectifs -(de toute nature)- inestimables / infinis.

La cause c’est en général une origine logique -(qu’on peut approcher et comprendre de manière raisonnable, c’est-à-dire rationnelle, cartésienne, objective, logique, donc vraie –[car cohérent, sans mensonge ni irrationnel et subjectivité, ce qui comporte le défaut de se laisser aller à l’arbitraire -(ce qu’il faut donc exclure car c’est, pour de nombreux SPOK/cas particuliers, se comporter injustement), ces trois derniers mots -(mensonge, irrationnel, subjectivité)- concernent hélas, infiniment hélas, la plupart des laipis, soit tous ceux qui n’ont plus que trop peu de conscience, voire pas assez en se conduisant en inconscients -(donc au sens négatif de ce mot comme des trois précédents qui en ont du positif dans d’autres SPOK/cas), par conséquent qui sont proches de leur future réincarnation en l’un ou l’autre des animaux, (au sens négatif de ce mot qui en a, on le sait, du positif dans d’autres SPOK/occasions, situations précises, etc.)]).

Car ces 25 mg de Risperdal seront / ont été / sont, sans le médicament correcteur adéquat, hélas infiniment hélas pour le patient, (à cause des effets indésirables), des souffrances inadmissibles car épouvantables / atroces  : insupportabilissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes et etc., comme elles -[le]- furent pour moi - car, en réalité ce 25 mg de Risperdal c’est, pour l’être humain devenu un éveillé-par-acquis-de-conscience -(donc quelqu’un de -[devenu]- extrêmement sensible, puisqu’il a pu, par les peines qu’il s’est données, se débarrasser des effets de l’inconscient -[en lui]- et parce que nous avons, depuis 1977, enfin une idée précise / juste de la taille d’un être humain dans le ciel -(ce que j’ai [dé]montré) – en effet, quand l’être humain est debout, sa tête est dans le ciel parce que seuls le dessous de ses pieds sont sur le sol – il y a donc une distance entre le dessous de nos pieds, soit le plancher, et notre cerveau dans notre tête qui est effectivement dans le ciel et nous avons vu que j’avais au moins trois kilomètres de hauteur -(quand je suis apparu dans le ciel de Rome en 1977), voire, autrement-vu, ces trois kilomètres sont en réalité dix kilomètres -(ayant minimisé en disant trois kilomètres). C’est ici selon selon -(j’ai voulu cette répétition de selon, elle est donc à lire et à comprendre), mais ce qui est tout à fait certain ce sont ces au moins trois kilomètres où ma tête se trouvait dans le ciel] !), une dose immensissimis…simissime –(et cela je l’ai démontré en faisant comprendre à tous, [en – je me répète pour le souligner - apparaissant dans le ciel de Rome –(en mesurant alors au moins de trois à dix kilomètres de hauteur / d’altitude)])- combien, en réalité, certains êtres humains ayant eu accès à la conscience sont -[d’avance]- immenses dans le Ciel –(aussi, pour ceux-ci, la réalité est différente, car elle existe en proportion de leur taille et de l’étendue de leur conscience –[donc toutes proportions gardées]- dans leur cerveau -(dont la tête qui le contient mesure dans le ciel –[au-dessus d’une époque antérieure]- entre trois cents à cinq cents mètres de diamètre -[dans le ciel]!). Cette échelle concerne alors tous les objets qui entourent ces personnes plus conscientes, par conséquent cela est valable pour la seringue -(N. B. : suite après le paragraphe suivant).

-(qui, si, à première-vue, [elle]- mesure une dizaine de centimètres, pour ces personnes plus conscientes que les autres –(peut-être parce qu’elles ont plus étudié que les autres ou/et se sont mises à réfléchir), [elle]– mesure en fait -(dans le ciel situé au-dessus d’une époque antérieure comme ce fut le cas pour moi)- grosso modo, quinze mètres de long et le Risperdal 25 mg à l’intérieur de cette seringue au moins une dizaine de mètres -[que vous vouliez le croire ou pas c’est la vérité] – car les distances comme les mesures des / et les formes, (donc la taille des objets)- sont relatives à l’état de conscience de chacun –(c’est pourquoi on parle de degré[s] de vérité et on comprend donc plus facilement l’idée / la nécessité de maquette[s] à partir de plans d’architecture -(les distances, le placement des murs / cloisons, des meubles, des radiateurs, du matériel de salle de bain ou des waters, etc. sont ainsi réduits en deux dimensions sur les plans qui servent à réaliser une maquette pour permettre la vision en trois dimensions -(3D), donc de mieux comprendre. C’est alors que tous ceux qui ne parvenaient pas à comprendre les plans les comprennent mieux grâce à la maquette qui toutes proportions gardées donne une idée précise de ce qui sera construit en nous contraignant à faire l’effort de changer d’échelle en nous réduisant au point de croire que nous sommes déjà au moment où cette maquette est devenue réalité –(aussi un architecte, mais aussi un géographe ou quelqu’un qui a appris à lire des cartes, comprend bien cette notion de relatif lié à la notion de mesure[s]. Ce qu’elles représentent à travers ces plans ou/et cette maquette ou/et cette carte est liée à une échelle qui est la plupart du temps inscrite / annoncée / chiffrée pour qu’on se fasse une idée de ce relatif auquel on assiste et/ou qu’on nous annonce. Ce sera donc à cette échelle que travaille un architecte –(soit, en général, une personne consciente)- pour représenter une réalité qui est parfois des centaines de fois plus grande ! Aussi la taille -(la mesure)- des objets dans la réalité – ceux qui nous entourent - c’est belle et bien une vérité relative en rapport à la notion d’échelle -(selon qu’on accède ou pas à la conscience, les mesures de ces objets changent – soit selon l’échelle qu’on choisit qu’ils aient)- et cela sera le SPOK / cas pour tous les êtres ayant eu accès à la conscience et l’inverse, soit de plus en plus petits, pour tous ceux qui ont perdu leur conscience au point que ces réflexions sur les distances et/ou mesures n’aient aucun intérêt pour eux ne s’intéressant pas au relatif –(qui permet de relativiser). Autrement dit tous ceux qui appartiennent au gens les plus conscients –(ce qui peut advenir quand on a souffert ou parce qu’on a étudié les sciences exactes)- savent qu’un tracé de quelques centimètres peut signifier un mur ou une cloison de plusieurs dizaines de mètres, voire plus ou moins si on change d’échelle –(c’est donc le choix de l’échelle qui est fondamental), tandis que tous ceux qui ont perdu leur conscience, par conséquent qui agissent en inconscients, voire en laipis, n’en ont rien à faire puisqu’ils croient que cela ne les concerne pas ou alors rarement -(ils savent que s’ils sont confrontés à un problème de mesure[s], ils trouveront bien une personne qui a étudié pour les rassurer ou/et leur expliquer ce qu’il convient de comprendre, voire qu’ils ne comprennent pas), cependant qu’ils savent que celui qui a dessiné les plans mais aussi le chef du chantier sait reporter dans la réalité ces distances représentées en petit sur le plan, la maquette ou/et la carte géologique ou/et géographique, pour donner les consignes. Effectivement un lavabo qui sur le plan mesure de deux à trois centimètres fait au moins cinquante à soixante-quinze centimètres de diamètre. Il en va de même pour les êtres humains représentés dans la maquette ou/et sur les plans : ils mesurent, par exemple cinq à six centimètres de haut alors que dans la réalité ils mesurent un mètre soixante-quinze -(aussi cela signifie qu’ils regardent la maquette en étant eux-mêmes des personnes mesurant ces cinq à six centimètres. C’est alors qu’ils comprennent un peu mieux la notion de relatif comme quand on scanne des lieux et que cela devient des séquences vidéo au point d’avoir l’impression en regardant la télévision qu’on est bien entrain de découvrir un lieu de[puis] l’intérieur – par exemple des passages secrets construits autrefois par les napolitains dans leur ville ou alors des reconstitutions de temples anciens en Égypte réalisées en 3D). D’où le relatif lié à notre système de mesure, sauf qu’on ne savait pas, jusqu’à 1977 qu’une personne d’environ un mètre-soixante-quinze centimètres comme moi, une fois qu’elle est devenue un éveillé par acquis de conscience en 2005, mesure d’avance dans la réalité du ciel où elle est apparue, au moins trois kilomètres de haut, alors que celle-ci – toujours moi - dans cette autre époque où elle est apparue dans le ciel, soit celle de l’époque précédente située vingt-sept années auparavant, mesure toujours un mètre soixante-quinze. Aussi ce un mètre-soixante-quinze est, dans le ciel de l’époque antérieure, égal à au moins trois kilomètres de haut, ce qui signifie que la personne qui vit - comme ce fut mon cas – dans le studio au cinquième étage au 12 bis dans la rue du Val de Grâce à Paris -(Cinquième arrondissement,) sachant qu’elle est vue dans le ciel de Rome situé dans cette époque de vingt-sept ans auparavant, en 1977 synchrone avec Paris 2005, comprend que tout ce qui l’entoure est en réalité démesuré, soit beaucoup plus grand qu’elle ne le pensait / -(que je ne le pensais): les deux mètres vingt centimètres -(2 m. 20)- ou quarante centimètres -(2 m. 40 cm.)- du plafond de ce studio sont, toutes proportions gardées avec la découverte que je fis, à environ cinq kilomètres -(dans le ciel de l’époque de 1977 et des années suivantes), si ce n’est pas à treize kilomètres dans le ciel de Rome de l’époque antérieure des années 1977 et années suivantes synchrones avec celles de 2005 et années suivantes. Ce qui signifie que chacun des objets et/ ou meubles, mais aussi parois ou cloisons sont beaucoup plus loin qu’on s’est habitué à le penser à cause du système métrique qu’on a l’habitude d’utiliser. En réalité ces points sont distants comme ils l’étaient quand nous étions petits quand nous ne savions pas encore marcher, les nounours ou/et les points à atteindre nous paraissaient très lointains. C’est en prenant l’habitude de marcher que nous avons pu rapprocher les choses qui nous entouraient -(et qui étaient sinon impossibles à atteindre)- et cela de plus en plus proches plus nous allions vite en nous déplaçant à pied dans le lieu que nous habitions petits et si nous utilisions la trottinette, encore plus proches à tel point que nous avons considéré que le système métrique était juste, voire facile à comprendre : un mètre c’était -(pour nombreux à le penser)- une petite distance -(aussi les distances dépendent plus ou moins de l’état de conscience de celui qui les apprécie). Nous ne pouvions pas encore savoir qu’il pourrait être égal à deux kilomètres, sauf pour tous ceux qui ont fait des mathématiques ou qui sont devenus géographes, ou/et architectes ou/et géologues, etc. qui ont pris l’habitude de changer facilement d’échelle -(soit autrement vu de base, [au sens de la base 2 qui est égale à un et zéro, la base trois, idem, la base quatre idem : toujours un et zéro pour le chiffre 4 en base 4 et idem pour les bases suivantes])- ce qui concerne parfois les physiciens, les mécaniciens et les chimistes, mais aussi les très véritables Artistes qui réduisent des paysages plus ou moins immenses ou/et des corps toutes proportions gardées dans des toiles de plus ou moins grandes dimensions, voire sont capables à partir d’un décor en maquette de le reporter dans la réalité, par exemple sur une scène de théâtre ou/et en studio dans des dimensions beaucoup plus importantes. Ceux-ci comprennent bien qu’une petite distance comme par exemple de vingt-cinq à trente centimètres peut être égale à trois cents à cinq cents mètres, parce qu’ils ont compris la notion de » comme «, comme les marionnettistes siciliens qui en bougeant des marionnettes hautes d’à peu près un mètre, en réalité représentent des personnes ayant de un mètre soixante-quinze à deux mètres, voire moins ou plus que cela si ces marionnettes étaient dans la réalité des êtres humains)-

et le contenu de la seringue de Risperdal 25 mg – (pour mieux comprendre cette réalité / idée -[dans laquelle je vis et dans laquelle probablement de nombreuses autres personnes vivent], donc pour un peu l’illustrer, il convient d’avoir en tête un des Laurel & Hardy qui, dans une des séquences du film en question, se déroule dans une salle-de-bain ou/et une douche dont tous les éléments qui la composent, (lavabo, baignoire, bidet, douche, petits meubles spéciaux pour salle-de-bain, etc. verre-à-dent, brosse-à-dents, …)- sont soudainement devenus immenses, ce qui a pour effet de rapetisser nos deux Artistes / Acteurs en beaucoup moins grands que des nains, à cause de ce soudain et inexplicable changement des dimensions du décor devenu si disproportionné, au point de créer à nos deux protagonistes de nombreux nouveaux problèmes dans cette situation dangereuse où, effectivement, la réalité est autant que cela devenue à géométrie variable / changeante. C’est avec ce film –[dont nous aurons à retrouver le titre]- une illustration de la notion de relatif en mesure au point qu’on puisse comprendre les films dans lesquels on met une sorte de sous-marin habité par une équipe de chirurgiens dans le corps d’une personne qu’il faut sauver d’une maladie précise. Pour obtenir cela on réduit ce sous-marin et ses occupants et on injecte cette machine dans une veine et cela permet avec cette science-fiction de voyager dans le corps d’une personne à l’échelle microscopique, par conséquent de prendre connaissance des principaux organes).

Aussi le contenu d’une seringue de 25 mg de Risperdal, c’est, pour tous ceux qui sont ainsi conscients d’exister de manière céleste, par conséquent qui ont accès à la conscience et aux raisonnements les plus cohérents et/ou logiques, immensément plus que ce qui, à première[s]-vue[s], paraît. Ces milligrammes sont en réalité -(et en vérité pour ces personnes qu’on sait très sensibles comme peuvent l’être certains princes et princesses de conte[s] de fées)- comme de véritables kilogrammes -[de poisons chimiques]- (N. B. suite après le paragraphe / la parenthèse suivant[e])

(car le poids de la personne devenue consciente est, [même s’il parait être à première vue celui de monsieur-tout-le-monde], un poids beaucoup plus important qu’il ne parait, car ce poids est à –[comprendre à]- l’aune -[en proportion]- des trois à dix kilomètres qu’il/elle -(c’est-à-dire moi en l’occurrence aux moments de mes apparitions dans le ciel, à partir de 1977 sur Rome [alors que dans les faits cela s’est produit à Paris à partir de 2005], constitué de nuages)- mesure -(dans le ciel, bien qu’à première-vue en 2005 mesurant un mètre soixante-quinze. Aussi on comprend pourquoi ces neuroleptiques sont insupportabilissimis…simissimes, car le dosage de 25 mg qui, paraît-il, serait un des plus faible, est en réalité –[à l’aune de ces dimensions que j’ai –(qui transforment dans la réalité les distances, les poids et les mesures vécues dans un monde macroscopique, par conséquent à l’origine d’une différente façon de voir / vivre la réalité)]- immensissimis…simissime, par conséquent évidemment insupportab[i]lissimis…simissime, douloureusissimis…simissime, etc.), soit cette difficulté à endurer de manière continuelle / permanente)-

dans cette réalité céleste, ce qui alors explique pourquoi il y a autant d’effets indésirables à ce point insupportabilissimis…simissimes, martyrisant[s], cauchemardesquissimis…simissimes, ce qui peut avoir des conséquences tragiquissimis…simissimes.

 

Fichier audio n°16

Les effets indésirables que -[le]- Risperdal 25 mg donne, produisent des cascades de micros accidents vasculaires cérébraux -(M. A. V. C.). Or, en réalité, ces micros accidents vasculaires cérébraux ne sont qu’à première-vues inexistants car, pour l’instant, à ce qu’il parait, si infimes qu’ils sont indétectables par I. R. M. , parce qu’on n’a pas encore tenu compte des nouvelles mesures conformes à ma découverte –

(N. B. : suite après la parenthèse suivante)

-(prouvée à partir de 1977 -[d’avance synchrone en ce qui me concerne avec 2005 et 1967]- aux yeux de tout Rome –[de mes camarades les élèves du Lycée Châteaubriand de Rome, mes parents et Monsieur François Mitterrand -(ayant fait le déplacement tout spécialement pour me voir dans le ciel de Rome, car en 1977 j’avais annoncé dans le ciel – donc à partir de 2005 synchrone avec cette époque de 1977 qu’il serait élu président à partir de 1981) comme aux yeux des touristes à Rome comme à ceux des habitants du Vatican] –

des plus réelles dimensions des êtres humains devenus conscients -(cela aurait impliqué de chercher ces MAVC –[micro accidents vasculaires cérébraux]- sur des agrandissements des images obtenues par résonance magnétique ou/et par d’autres biais. Ces micro accidents vasculaires cérébraux -(bien qu’à premières-vues infimes, voire inexistants car indétectables)- ont cependant une taille -(en faisant la mise-à-jour à partir de ce qu’on a découvert en raison de mes apparitions dans le ciel de Rome à partir de 1977), soit des dimensions, beaucoup plus importantes qu’on ne pouvait le croir–[avant mon apparition visuelle et sonore dans le ciel de Rome 1977 à la taille / mesure que j’avais alors -(au bas mot trois mille mètres de haut, voire dix mille autrement vu), ce qui a modifié la donne], abusés que nous sommes plus ou moins tous par notre système de mesure traditionnel déjà ancien -(auquel, dans certains SPOK, nous avons raison d’être fidèles car il s’agit de la vérité relative d’une échelle facilement compréhensible car élémentaire -(le système décimal)- qui, en tant que variable relative, est juste / cohérente à utiliser comme on en a depuis longtemps l’habitude, cependant qu’en omettant de penser qu’il s’agit d’une vérité relative au système métrique et en omettant de proposer un système qui serait mis-à-jour à partir de ce qu’on a appris avec / sur moi -(dont la dimension / la taille dans le ciel était au moins de trois kilomètres, [alors que je mesure dans la réalité environ un mètre soixante-quinze]- nous ne disposons pas encore, que je sache à cette heure-ci du huit Janvier 2021, d’un système de mesure qui tienne compte de la dimension chirurgicale, soit macroscopique de la réalité et encore moins qui tienne compte de ce que un mètre soixante-quinze = au moins trois kilomètres, si ce n’est dix kilomètres, ce qui est peut-être -(voire sûrement)- le cas – aussi pour couper la poire en deux disons 6,5 kilomètres !), donc en tenant compte de ce qui s’est passé dans le ciel de Rome à partir du début de l’année 1977 quand j’y suis apparu dans le ciel immensissime dans ce que j’appelle donc les dimensions célestes. Nous ne sommes, avec le système métrique, que dans un exact relatif qui est en réalité à géométrie variable -(en raison de la notion d’échelle), voire avec ce système métrique loin du plus hyperissimis…simissime exact à l’échelle des dimensions du neutrino -(qui serait ce qu’il y a de plus petit), ou alors du photon -(ou de la particule la plus petite sur Terre qui est peut-être à trouver dans la fumée, voire plus facilement dans l’air)- qui ont donc une dimension très précise dans cette nouvelle échelle s’appuyant sur ma découverte qu’un mètre soixante-quinze égal -(dans le ciel)- de cinq à 6, 5 kilomètres, voire seulement trois kilomètre ou alors dix, soit loin de la vérité de ce qu’endurent comme existence les gens les plus consciencieux. Car tant qu’on restera dans cette approche de la vérité relative de notre système métrique décimal ou/et » système international d’unité « nous sommes tous, en réalité, dans une sorte de compromis concernant les mesures, soit une approche de la réalité qui peut constituer une forme d’approximation pour approcher la Vérité de la réalité des gens les plus conscients, ce qui est en général le cas de tous ceux qui pratiquent la micro-chirurgie, voire les Arts et les Sciences de l’Art du point de vue des miniaturistes et/ou enlumineurs des textes sacrés anciens qui déjà avaient conscience de la notion -(à géométrie variable)- de point / (punctum) au point qu’une étoile lointaine dont nous avons une petite idée grâce à notre système solaire, est probablement aussi un autre système solaire et pas seulement un point, soit, en réalité, probablement beaucoup de choses à découvrir quand nous parviendrons à rejoindre l’un de ces points qui en s’approchant d’un de nos vaisseaux nous réserve probablement des surprises comme quand les astronautes ont rejoint la Lun-(bien que celle-ci ne soit pas ce qu’on appelle un point, vue de la Terre comme la Terre l’est depuis Mars), voire sont rentrés sur Terre. De nos jours grâce à la télévision et aux images scientifiques, on a tous compris que l’infiniment petit peut être mis en relation avec l’infiniment grand. Ces nuances dépendent donc de la distance : ce n’est qu’à partir d’une certaine distance que l’un des soleils qui composent notre galaxie, voire l’une des galaxies ne sont que des points lumineux dans un ciel sans Lune et sans la réverbération des lumières de nos villes -(donc un ciel nocturne à la campagne, à la mer ou à la montagne).

Depuis mon apparition dans le ciel de Rome en 1977 mesurant -(alors que je mesure en réalité un mètre soixante-quinze)- au moins trois kilomètres de haut, une de nos réalités concernant le système des mesures est donc à comprendre / percevoir en tenant compte de cette découverte fondamentale / très importante -(pour la suite)- concernant les êtres humains les plus conscients – ce qui explique[rait] la raison d’être des gigantesques statues du bouddha, au point que la tête d’un bouddha, soit la mienne d’éveillé par acquis de conscience, mesure dans le ciel –(soit là où elle est, en fait, continuellement -[sauf quand je suis allongé pour dormir ou me reposer]- vue effectivement dans le ciel depuis des époques antérieures)- autant que nous l’avons dit -(environ deux cent cinquante mètres de diamètre -[largeur dans le ciel]- sur le double en hauteur – soit la/en longueur), ce qui est diamétralement à l’opposé des lilliputiens, soit des hommes et des femmes dessinés dans la bande-dessinée des Petits-Hommes par l’admirab[i]lissimis…simissime S. A. I. S. S. S. L. P. Pierre Seron. Tout cela nous ayant permis de mieux comprendre qu’il y a des niveaux de conscience différents, par conséquent une variété de point-de-vue[s] qui vont de celui des Petits-hommes à ceux des grand.e.s-hommes/femmes et que, forcément, la vérité objective, voire multi-dimensionnelle existe sur tous les points, au point de pouvoir penser que l’Univers dans lequel nous sommes est pluriel, cependant qu’il se pourrait qu’il[s] -(ces univers)- ne représente[nt] qu’un point depuis un autre univers, voire -[depuis]- d’autres univers -(ce que sont aussi, vus autrement, chacun des êtres humains comme potentialité avant de choisir l’une ou l’autre catégorie à laquelle s’affilier de temps en temps, ce qui signifie qu’ils sont continuellement à changer, se modifier, voire en métamorphose, comme les plus véritables acteurs capables d’explorer d’une façon plus professionnelle ces univers très distincts / différents). Aussi ce qui nous intéressera, c’est de rechercher les moyens pour rejoindre des points précis sur ces points -(ces univers constitués de galaxies)- car il nous est permis de croire, grâce à des séries aussi exceptionnelles que celles de Star Trekque nous pourrons coloniser d’autres systèmes solaires comme dans les meilleurs films de science-fiction. Mais comment y parvenir sans comprendre que pour certains d’entre nous, 25 mg de Risperdal, c’est, en exagérant un peu, aussi grand que Notre-Dame qu’on injecte dans une personne qui sait de façon continuelle -(il a cela précisément à l’esprit)- qu’un atome, à l’aune de ce rapport entre 1 m 75 et trois kilomètres, possède une taille égale à x mètres -(ici il conviendra de calculer la valeur de ce[t] x à partir des correspondances entre 1 mètre 75 et trois kilomètres –[pour cela j’ai divisé 3 000 mètres par 1 mètre 75 et j’ai obtenu pour x environ la valeur de 1 714 fois plus], voire avec 6,5 km de hauteur et non plus trois kilomètres –[ici le rapport est d’environ 3714 fois plus, la valeur de x]- ou alors si dix kilomètres de hauteur –[environ 5 714 fois plus, (la valeur de cet x est donc différente en fonction de chacune de ces distances / hauteurs que j’ai démontrées avoir dans le ciel, soit le futur depuis les années 1977 et suivantes alors que sur terre, en 1977 j’approchai, à quatorze ans, de ma taille d’adulte de 1 m 75, ce qui serait quelques années plus tard)]. Aussi on comprend qu’on n’a pas le droit d’administrer des neuroleptiques à des dosages, en réalité, aussi exorbitantissimis…simissimes et on comprend aussi pourquoi, (ayant découvert que certains psychiatres s’autorisent à donner des dosages plus importants encore), ces derniers obtiendront, en raison des atrocissimis…simissimes souffrances ainsi causées à leurs patients, (en raison des effets indésirables de ces neuroleptiques), des réincarnations dans l’un ou l’autre des animaux les moins intelligents qui soient parce qu’ils se seront autorisés, en très véritables bourreaux -(alors que la torture et la peine de mort ont été abolies au moins pour commencer dans l’Espace Européen en même temps que chacun d’entre nous considéré comme à première vue innocent, comme depuis longtemps dans le Droit Britannique), à « soigner » en torturant de façon insupportab[i]lissimis…simissime, sans comprendre qu’ils n’avaient pas le droit d’administrer à cause de ces douloureusissimis…simissimes souffrances, plus qu’un milligramme de Risperdal ou de Xeplion -(voire, au pire, cinq mg -[au grand maximum]- tous les quinze jours pour le Risperdal et 5 mg tous les mois pour le Xeplion), ce qui, hélas, infiniment hélas, fait déjà -(avec un mg)- de grands effets dans une personne / un patient ayant accédé à la conscience, soit à la Vérité dans l’Intérêt Général et pour le Bien Général -(n’oublions pas qu’à l’aune des plus véritables mesures qui concernent l’être humain dans le ciel, soit celle que j’ai démontrée avoir, un milligramme d’une substance chimique de neuroleptique est beaucoup plus important qu’elle ne paraît -(mais on comprend mieux en raison des mini-clés USB et du nombre considérable de Giga-octet elles enregistrent. Ces capacités de pixels, soit d’octets est si importante qu’on comprend aisément tout ce qui pourrait contenir les dimensions des produits neuroleptiques comme quantité énorme d’électrons. Aussi cela permet de comprendre le monde macroscopique des quantités et de savoir qu’une goutte d’eau c’est, dans le monde de ceux qui sont au ciel, vraiment très très grand à tel point qu’on comprend pourquoi en archiver les formes qu’elles se mettent à représenter autour et sur l’évier de la cuisine. Inoculer ces produits des neuroleptiques en sachant qu’ils sont, sans Artane 5 mg, à l’origine de souffrances incommensurab[i]lissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, insupportab[i]lissimis…simissimes et etc., c’est comprendre pourquoi ceux qui se seront autorisés à cela, les psychiatres qui ont cru en inconscients cela possible, obtiendront pour leur respectives âmes des réincarnations les plus laides et méchantes, cauchemardesques, celles des animaux les moins intelligents alors qu’ils ont eu, en s’incarnant en être humain, la chance de s’en être affranchi en ayant obtenu avant la réincarnation en être humain, toutes celles en animaux pacifique et inoffensifs (les A. P. I.), souvent celles des herbivores quadrupède -(les A.P.I.H.Q.)- les étapes obligatoires avant, une fois mort, d’obtenir le feu vert pour la réincarnation en être humain, ce qu’ils étaient censé demeurer -(pacifiques, inoffensifs et végétariens)- au lieu de devenir des carnivores bourreaux en croyant pouvoir autant faire souffrir leurs congénères / patients -(en abusant de leur confiance, fondé qu’on a cru être à prescrire ces médicaments par des renseignements au sujet de ces médecines qu’on n’a pas eu l’honnêteté de vérifier soi-même avant de les prescrire. Donc soi-même plus ou moins abusé par ceux qui ont conçu le produit), voire en n’ayant jamais compris que quand on prescrit un milligramme de Risperdal ou de Xeplion on a le devoir d’aussitôt proposer dans les délais si possible les plus rapides un sevrage dégressif de manière à envisager dès que possible que le patient ne devienne jamais un addict, soit ne soit contraint pour toujours à ces doses qui, en réalité, sont déjà très importantes -(beaucoup plus qu’on ne pourrait à première vue le croire)- à ce milligramme -(tous les plus véritables peintres miniaturistes vous le confirmeront eux qui, par acquis de conscience, savent ce que font des atomes de couleur[s] dilués dans une goutte d’eau. il faut comprendre que le Risperdal et/ou le Xeplion, mais aussi l’Aldol sont de véritables poisons qui peu à peu se répandent dans le corps et provoquent sans Artane 5 mg des effets indésirables insupportab[i]lissimis…simisisimes dès la dose de 25 mg : des douleurs atroces et permanentes dans les pieds, des quintes de toux horribles à supporter qui débouchent sur des vomissements, des impatiences qui sont de constantes tortures, les acouphènes qui font horriblement souffrir à chacune des fractions de secondes quand ils ne sont pas des plus faibles déjà insupportables ou qu’ils disparaissent miraculeusement une fois en position debout cependant qu’ils font cauchemardesquement mal une fois couché au point qu’il soit nécessaire de prendre un somnifère toutes les nuits, et puis les autres maux que vous découvrirez en détail à la fin de cette missive non pas dans les notes de bas de page comme ici, mais à la fin de cette lettre où je reproduis la notice d’accompagnement du Xeplion en surlignant en jaune phosphorescent tous les effets secondaires dont je suis, depuis 2017, victime ou j’ai été victime à cause de certains d’entre eux qui ont disparu ou/et se sont estompés).

Aussi chacun de ces psychiatres courent un très important danger tant qu’ils n’intègreront pas qu’un mètre soixante-quinze -(en réalité pour être plus précis entre un mètre soixante-quinze et un mètre et demi -[à quatorze ans]), voire deux mètres -(approximativement la taille du Général de Gaulle)-, donc la hauteur d’un être humain est égale à au moins trois kilomètres dans le ciel -(voire autrement vu 6 500 mètres, voire autrement vu 10 000 mètres). Je n’ai pas réussi à savoir si, en 1977, dans le ciel je mesurais 3000 ou 10 000 mètres et c’est pourquoi j’ai décidé de faire comme si j’avais – quand cela s’est produit dans le ciel de Rome à partir de 1977 - mesuré 6 500 mètres : j’ai finalement coupé la poire en deux. Par conséquent qu’on peut déterminer les dimensions d’une seringue de 25 mg de Risperdal ou de 25 mg de Xeplion dans le ciel et qu’elle est, en réalité, égale à … -(en admettant que la dose de Risperdal ou de Xeplion 50 mg se trouve dans une préparation-seringue -(ce qui est le cas)- de 5,5 cm de long, soit 0,055 mètres sur un centimètre de large, soit 0,01 mètre, nous pouvons trouver mathématiquement les dimensions de cette seringue dans le ciel avec sa « préparation » de Risperdal ou de Xeplion. Le produit mesure dans le ciel où nous mesurons 3 000 mètres, voire 6 500 mètres, voire autrement vu 10 000 mètres de haut, 94,27 mètres si trois mille mètres de haut, 204, 27 mètres si 6500 mètres de haut et 314,27 mètres si dix mille mètres de haut, et 17,14 mètres de large si trois mille mètres de hauteur, 37,14 mètres de large si six mille cinq cent mètres de hauteur et 57,14 mètres de large si dix mille mètres de hauteur, en toute logique -(d’où sans exagérer l’idée que cette injection est grande comme le contenu d’un temple ou le contenu d’une église !).

C’est pareil pour le poids d’une personne consciente : il n’est pas seulement de quatre-vingt-cinq kilogrammes -(quand il a au moins dix kg de trop à perdre comme moi ces temps-ci des années 2010 à 2020 où je vais m’ingénier à les perdre, voire en perdre plus encore à partir de 2021 pour pouvoir recommencer à jouer au Tennis)- mais, à l’aune de ce un mètre soixante-quinze qui est égal à, nous l’avons dit – en coupant la poire en deux, six kilomètres cinq cents mètres de hauteur, en nous donnant alors un ordre d’idée de ce poids dans le ciel en quintaux, voire en tonnes, ils se conduiront -(ces psychiatres) – comme tous ceux qui ont mis au point ces poisons » pharmacologiques « en véritables imposteurs, usurpateurs dans la plus véritable des Médecines, car ils n’ont pas pris en compte ce paramètre très important qui nous a tous concernés à partir de 1977 quand je suis apparu avec cette taille-là d’au moins trois kilomètres à 10 km de hauteur -(donc 6,5 km)- dans le ciel de Rome 1977, alors que nous avons pu vérifier, à partir de 2005, j’avais en réalité à première-vue(s) mon mètre soixante-quinze cm dans le studio du 12 bis de la rue du Val de Grâce à Paris, en découvrant alors plus exactement cette notion du relatif concernant les poids et les mesures multidimensionnelles des êtres humains ayant eu accès à la conscience -(soit à la bouddhéité), ce qui nous fut confirmé en 2015 quand je me suis vu -(et filmé par mes soins en vidéo – il existe donc les preuves)- une fois encore d’avance dans le ciel de Paris à une trentaine d’années-lumière de nous en 2015, donc dans le futur en 2045, encore une fois immense dans le ciel, mesurant probablement une dizaine de kilomètres de haut, soit nous avons dit que nous dirons seulement 6,5 kilomètres -(comme nous avons arrêté cette mesure plus haut en faisant un compromis entre trois kilomètres et dix kilomètres), ce qui avait été le SPOK/cas en 1977 à Rome alors que j’intervenais d’avance depuis les années 2005 et suivantes. Par soucis de clarté nous avons donné les mesures de cette seringue en partant du principe que la mesure de ce que je représente dans le ciel est 6 500 mètres -(et non pas seulement, comme plus haut, 3 000 mètres ou dix mille mètres, soit dix kilomètres). Aussi 0, 055 mètre -(la dimension en longueur de la seringu-[sans l’aiguille ni ce qui permet de pousser à l’intérieur de la seringue la mixture pharmacologique – donc sans ce poussoir]- de Xeplion 50 mg en 2020)- multiplié par 3 714 -(la valeur du rapport qu’un mètre soixante-quinze cm a quand ce mètre soixante-quinze correspond à 6 500 mètres dans le ciel, soit 3714 fois la hauteur de ce mètre soixante-quinze)- est égal à 204,27 mètres sur 37,14 mètres de large, soit l’épaisseur à première-vue à notre époque de un centimètre vu depuis les années 1977 et suivantes dans le ciel !).

Ces M. A.V. C. -(micro accidents vasculaires cérébraux)- sont aussi à l’origine des acouphènes -(même si un IRM ne les détecte pas et cela se produit dans la zone du cerveau liée aux fonctions de l’ouïe). En effet, de même qu’il y a des lancements de pointes piquantes douloureuses à l’intérieur des pieds, (avec ceux-ci qui font à partir des premiers lancements continuellement souffrir), il y en a parfois ailleurs : dans les jambes, dans le genou, dans l’estomac ou le tronc, au niveau des bronches -(ce qui produit les quintes de toux), mais aussi dans l’estomac ces lancements -(heureusement assez rares. Mais quand ils se produisent cela est martyrisant, douloureusissimis…simissime, au point d’être insupportab[i]lissimis…simissime)- et cela on en comprendra aisément la cause en raison de l’appareil circulatoire sanguin qui, bien sûr, irrigue aussi ce produit du Risperdal ou du Xeplion dans le cerveau -(en comprenant que la taille de celui-ci est en réalité beaucoup plus importante qu’on ne le croyait, les neurones et les synapses étant aussi beaucoup plus grands qu’on ne le croit), et dans lequel se produisent ces M.A.V.C. qui, peut-être, se réparent d’eux-mêmes, cependant qu’il y a aussi tous les autres effets indésirables que j’ai, comme sus-dit, surlignés vers la fin de cette missive, dans la copie de la notice du Xeplion que j’ai collée à la fin de ce texte pour vous faire comprendre que nous devons arrêter dès que possible ce traitement infiniment martyrisant, à cause de ces maux aux pieds, mais aussi, sans parler en détails des allergies dermatologiques, des continuelles impatiences et des quintes de toux -(dont le Xeplion est à l’origine comme c’était le SPOK/cas avec Risperdal 25 mg jusqu’à la demi-dose de Risperdal toutes les cinq semaines où ces effets indésirables se calmèrent un peu : se firent moins sentir) - comme des problèmes dermatologiques concernant mon cuir chevelu mais aussi ma figure : aux coins de ma bouche, sur le nez et sur ma paupière gauche comme au-dessus des sourcils gauche, soit cette espèce de dermite séborrhéique -(dont je suis victime)- diagnostiquée par la dermato. Et ces effets indésirables sont donc en réalité à ce -(à-premièrevue[s])- -(selon vous, voire quelques-uns de vos collègues n’étant pas suffisemment dans la conscience et la connaissance du Temps autant que le sont tous les éveillés / bouddhas par acquis de conscience)- « faible » dosage, en très grands nombre douloureusissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes donc insupportabilissimis…simissimes et etc. sans le médicament correcteur Artane 5 mg trois fois par jour. Avec cet Artane, pour ces 50 mg, quand ils se manifestent, ils sont douloureusissimissimissimes, martyrisantissimissimissimes donc torturantissimissimissimes -(alors que la torture a été interdite en France y compris dans l’Union Européenne et que je vous ai entendu dire récemment quand je me suis plaint à vous des effets invivables du Xeplion 50 mg que la Médecine et vous-mêmes n’étiez pas là pour faire souffrir – ce qui a malheureusement été le cas pour moi depuis 2017), donc un léger mieux quoiqu’insupportabilissimissimissimes).

Bien sûr ce que je viens de décrire concerne le sevrage le moins long qui soit possible imposer à un être humain aux prises avec un des antipsychotiques / neuroleptiques de ce genre -(mais je me dois en conscience d’avertir celui ou/et celle -[des médecins]- qui prescrira le sevrage le plus long, voire, en sacrilège, plus long qu’en une seule année -(ce qui est en réalité le maximum du maximum de temps à ne jamais dépasser pour un sevrage, à moins que les troubles dont le patient serait victime ne l’aient conduit à quelques monstrueuses bévues – soit toutes celles où le cœur – au sens spirituel, compatissant, de ce terme - est absent)- en l’avertissant ici qu’il obtiendra pour lui-même

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-(tout médecin qu’il soit, comme pour tous ceux qui lui ont fait confiance et qui sont ainsi devenus ses complices, pharmaciens y compris)- [en raison des souffrances dont les prescriptions de ce « médecin » est à l’origine, voire (parce) qu’il ne voudra pas admettre être -(ces prescriptions du Xeplion 50 mg comme du Risperdal 50 mg)- à l’origine de l’un ou l’autre des effets indésirables -(parce que ce « médecin » a cru pouvoir s’autoriser à oublier l’existence de l’échelle la plus exacte concernant les mesures de l’être humain dans le ciel, soit celle que nous avons comprise plus haut, mais aussi de l’un ou l’autre des effets indésirables pourtant signalés dans la notice – ce qui a été, hélas le cas pour moi pendant deux ans à partir de 2017, le docteur Jean-Luc Marcel affirmant que ce n’était pas le Xeplion à l’origine des acouphènes, alors que sur la notice du Xeplion 50 mg comme sur celle du Risperdal 25 mg et 50 mg, il est inscrit que ces produits peuvent, dans certains SPOK/cas -(donc sur certains sujets / patients), générer des bourdonnements dans les oreilles, ce qui est une partie de la définition du mot acouphènes. Le docteur Marcel qui ne voulait le croire à travers son assistante, madame A., demanda contre mes avis –(soit la vérité en la matière, puisque grand-inspecteur, éveillé par acquis de conscience, soit le bouddha avec mes semblables dans l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à l’origine de tous les progrès en Médecine, alors que je lui donnais la cause certaine de ces acouphènes, impatiences et maux de pieds comme de ma dermite séborrhéique - effets indésirables apparus lors de mon hospitalisation de 2017- en lui demandant de cesser au plus vite de me prescrire le Xeplion 50 mg puisqu’avant 2017 j’étais en réalité pratiquement sevré du Risperdal 25 mg à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines –[depuis presque deux années]- et donc que l’hospitalisation qu’il avait décidé pour moi était abusive, impossible)- que je consulte un otorhinolaryngologiste, mais aussi que je fasse un I. R. M. comme aille chez un podologue, ce qui a fait que durant tous ces temps je continuai le matin à mon réveil à souffrir de ces acouphènes et, durant la journée et la nuit, des autres effets indésirables, ce qui était atrocissimis…simissime et insupportablissimis…simissime -(en l’absence du bon médicament correcteur de l’Artane – ce que j’ai trouvé seulement au bout de deux ans)- à vivre au point que cela me faisait continuellement réclamer y compris par écri-(je ne me serai pas donné ce mal à écrire le plus clairement possible si ce n’était pas réellement tout à fait insupportabilissimis…simissime et vital pour moi)- qu’on cesse de me prescrire le Xeplion, voire qu’on continue mon sevrage en le baissant à Xeplion 25 mg pour faire baisser en proportion ces acouphènes, ces impatiences, ces maux de pieds et le corolaire dont vous prendrez connaissance plus en détail[s] vers la fin de cette missive dont c’est ici une des notes de bas de page],

après sa mort, la plus tragiquissimis…simissime, affreusissimis…simissimissime, horrib[i]lissimissimis…simissime, tristissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissime, malheureusissimis…simissime et etc. réincarnation, car il s’agit là, avec les sevrages sur une année, en réalité du plus long et pénible sevrage qu’on puisse imposer / imaginer avec ces neuroleptiques -[à un autre être humain]-

N. B. : la suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire

(car déjà un sevrage en/sur un seul mois, c’est, à ces degrés de souffrance[s] de quelques-uns des effets indésirables, infiniment immensément long, à l’aune de ce que peut être une journée comme temps à vivre à l’échelle universelle pour un être / un patient ayant eu accès à la conscience, ce qui est évidemment aussi le cas pour une heure de temps, voire pour une minute ou même quelques secondes de souffrances de ce genre – donc je vous prie d’imaginer ce qu’elles ont pu être quand on me donna, en croyant bien faire, les correcteurs du Lepticure et de l’Akinathon qui augmentèrent mes souffrances : cela -(d’imaginer)- vous ne le pourrez pas car c’est inimaginable comme souffrances / martyrs / tortures physique et psychique)-

dont on a[urait] hélas oublié que sa vie / son existence s’inscrit dans le Temps

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-(qui normalement fait bien les choses, voire qui peut être la cause d’un rétablissement du patient dès la seconde suivante -[de]- l’origine du problème ayant été, pour ces médecins à l’origine de l’hospitalisation)-

soit celui -([de temps]- parce qu’on souffre alors)- infiniment long à chacune des secondes où l’on souffre, à cause de l’un ou/et l’autre des effets indésirables.

Aussi il existe le sevrage moyen qui se déroule sur six mois, ce qui est encore très long -(il faut diviser par deux tout ce que je viens d’écrire là où nous avons parlé du plus ou moins long terme avec le sevrage sur un an, donc comprendre que ce que j’ai proposé sur un an se déroulera alors sur six mois et faire en toute logique les calculs pour cela)- et avec le sevrage sur trois mois -(ce qui est, quand on souffre y compris des effets indésirables déjà/encore à ce stade, un sevrage trop long car :)- il y a le sevrage sur un mois -(qui doit être celui qu’on préférera proposer –(le moins long des sevrages à moins de rechercher pour son âme de médecin une de ces tragiquissimis…simissimes et etc. réincarnation[s] qui attendent tous ceux qui font en laipis -(acronyme d’[uniquement]-laïcs, [strictement]- athées, [souvent]- ignorants, profanes, [souvent]- inconscients, et -[sans même le savoir/vouloir]- sacrilèges)- souffrir autrui d’une chose ou d’une autre. (Permettez-moi de vous rappeler que vous m’avez dit vendredi 8 janvier 2021 que la Médecine n’avait pas pour objectif de faire souffrir -(ces propos m’ont alors rassuré à votre sujet -[cependant j’ai pensé que depuis 2017 je ne fais que souffrir et que je vous ai dit ce qu’il convient de faire pour me l’éviter d’autant plus que j’ai prouvé quand j’étais à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines – soit presque deux ans - que j’allais bien depuis demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit depuis 2014 - puisque j’ai pu me consacrer aux explications que vous savez de ce qui s’était produit exactement d’exceptionnel -(en 1967 et 1977 et à partir de 2005)- aux papes et aux présidents de la République française -(vous pouvez à cette adresse lire ce que j’ai résumé au Président Macron)- à l’occasion de mes communications à travers Temps et Espace], et j’ai à cette occasion aussi pensé que les Médecines tiraient leurs raisons d’être que pour le contraire, soit de faire cesser la souffrance alors que je vous faisais part des souvenirs concernant les souffrances infligées aux patients lors des premiers jours d’une hospitalisation quand vous m’avez dit que le protocole mis au point habituellement pour ce début d’hospitalisation d’un patient est, en général, de lui imposer une dose de 150 mg de Risperdal et je vous ai alors dit -(rassuré de parler à une personne qui a la même conception que moi de la Médecine guérisseuse, ne trouvant sa raison d’être que pour soulager des souffrances, soit les faire disparaître quand elles sont là)- traumatisé par mes diverses hospitalisations précédentes à partir de 2007, qu’hélas, infiniment hélas, à cette dose de Risperdal 150 mg -(voire de Xeplion 150 mg)- cela, sans exagérer aucunement -(grosso modo toutes proportions gardées), provoque des souffrances tant physiques que psychiques

atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimis…simissimes,

N. B. : suite après le paragraphe suivant à lire

(avec Xeplion atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimes [soit un « … simissimissimis … » de moins qu’avec Risperdal, ce qu’il convient de faire, ce … simissimissimis … de moins pour chacun des mots suivants (cauchemardesque, martyrisant, torturant, douloureux, insupportable, inhumain, tragique), si Risperdal 150 mg est donné avec le correcteur Artane 5 mg trois fois par jour car nous verrons plus bas ce que cela fait comme souffrances avec les « correcteurs » Lepticure et/ou Akinéton)])-

cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissimes,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

et je vous prie de me croire, je n’exagère pas tant la situation de cette entrée en hospitalisation est à ce point au paroxysm simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime du tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime…, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissimes,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

avec Risperdal 150 mg !!!

(En vérité, je crois, qu’on se croit alors psychiquement aussi incompris et humilié et persécuté comme ont dû l’éprouver / le souffrir infiniment injustemenissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime ceux qui ont connu les camps de concentration, tellement on souffre horriblement – voir ci-dessus la liste des mots en superlatifs absolus et c’est cela à chaque fraction de seconde – soit invivab[i]lissimis…simissimissimis…simissimis…simissimissimis…simissimissimi… …. ). A tel point qu’il serait souhaitable que vous retrouviez de façon certaine les identités de ceux qui ont mis au point un tel « protocole » d’entrée en hospitalisation pour que tous puissent connaître les noms de ce[s] criminel[s] contre l’humanité et les plus véritables médications ou la plus véritable Médecine -(celle à laquelle nous croyons vous et moi, celle qui ne cherche pas à créer artificiellement des malades, ce qui est bien évidemment le cas avec des souffrances de cet ordre, car effectivement après une dose de Risperdal de cette importance -(150 mg -[ou 100 mg, mais déjà de 50 mg])- on est réduit à encore moins au/du néant cérébrale : la souffrance est telle qu’on croit qu’il n’y a pas une personne du personnel hospitalier qui ne soit qu’uniquement au paroxisme du sadisme complètement nazi, soit en raison de ce qu’on subit comme tortures et martyrs) chaque fraction de seconde, la méchanceté incarnée. Le monde de Dieu, soit celui de la bonté, du soulagement de la souffrance, de la beauté, de la bienfaisance, de la fécondité, du bonheur n’existe plus du tout – et on croit alors que c’est à jamais, soit pour toujours car on ne fait que souffrir –(à tel point qu’on n’arrive même plus à en parler, le dire en étant sûr que si on se plaint personne ne va le croire car c’est – ces souffrances psychiques et physiques au paroxysmissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime du possible et de l’inimaginable en temps normal (au point qu’on croit que ces temps normaux n’ont jamais existé : on ne peut parvenir à parler, chaque membre du personnel hospitalier n’apparait plus que comme un complice des médecins ayant prescrit cet hyperissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…sime poison qui a transformé la réalité comme un cauchemardesquissimis…simissimis …simissimis…simissimis…simissimis …simissime, soit la torture au paroxysmissimis…simis simissimis…simissimis…simissimis …simissime -(et croyez-moi je minimise encore tant c’est invivab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimissimissimis…simississimissimi… du possible inimaginable -(en temps normaux), ce qui est évidemment absolument interdit de faire à autrui et on se jure alors de ne jamais plus attendre des enfants de soi-même dans un monde où on a autorisé à faire autant de mal -(physique et psychique en cherchant aussi hypocritement et fallacieusement à faire croire qu’on soigne)- car il pourrait y avoir une probabilité de souffrir autant- (et si cela ne serait pas un.e fils/fille, un.e petit-fils/fille, voire plus loin un arrière-petit-fils/fille, voire plus loin encore. En effet les souffrances sont tellement douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes

que la vie en est devenue insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes: et bien sûr on ne peut pas trouver un mot pour en parler tellement chacun des médecins et du personnel hospitalier apparaissent comme les plus sadiques individus).

Aussi c’est en grand inspecteur, vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs -(soit l’empereur devenu bouddhahs à partir de 2005)- que j’ai pu vérifier à plusieurs reprises ces souffrances infligées aux entrants en hospitalisation psychiatriques à Sainte-Anne et parce que cela fait autant souffrir que cela -(des personnes, qui plus est, éveillées par acquis de conscience – donc guéries de tout - comme je l’étais dans l’exercice de mes fonctions eanmeailleuriales – soit de pharaon-bouddhahs), nous avons ici, vous et moi, un combat à mener pour faire cesser à jamais de telles pratiques « médicales », soit une telle ignominie et maltraitance et etc. chez nous dans l’eanmeailleurs -(soit le nom d’un empire qui est dirigé par un empereur qui est, à force d’avoir eu à souffrir de l’incompréhension des autres, devenu bouddhahs, moi, depuis février-mars 2005, et qui, bien entendu ne peut pas admettre / supporter qu’on traite aussi cruellement / mal des gens qui auraient été considérés avoir momentanément besoin de soins avec pour commencer ces doses exorbitantissimis…simissimis…simissimes de Risperdal ou de Xeplion - ce que je n’ai pas pu vérifier qu’à ces dosages -(150 mg)- fait autant mal que le Risperdal – peut-être un tout petit peu moins mal donc avec un …simissimis… de moins -(cependant que comme Xeplion c’est proposé avec Akinéton ou Lepticure, cela grosso modo multiplie par un virgule cinq -(1,5), voire deux -(avec l’Akinéton)- les douleurs – car ces correcteurs n’agissent nullement mais font souffrir de 1,5 à deux fois plus, ce qui signifie

atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimis…simissimement, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissimement,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimemement

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimeMENT,

Horribil[i]ssimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimeMENT).

 

Interruption. Cela reprend après la parenthèse ci-dessous car ce qui précède (en ayant eu à me remémorer combien j’ai, à chacune des fois que j’ai été hospitalisé eu à souffrir, m’a donné l’idée de vous proposer une sorte de méthode pour évaluer la souffrance de tous ceux qui sont en difficulté -(nous espérons passagère)- qui en éprouvent. Cette sorte de méthode en vingt-trois points pourrait être plus précise dans son extension logique en environ cent points, voire dans un premier temps en une cinquantaine de points qui découleront logiquement à partir de cette proposition -(de départ):

Méthode d’évaluation de la souffrance -(pour tenter médicalement de La Diminuer en fonction des réponses) :

Proposition d’une sorte de méthode pour évaluer la souffrance individuelle d’un patient à l’occasion, par exemple, de [la] prise de médicaments neuroleptiques, voire après avoir subi un accident, un traumatisme, etc. : à faire remplir -(avec un double à conserver par le patient qui aura donc à évaluer à partir des phrases ci-dessous deux fois, [une fois pour les médecins et le personnel des infirmiers, une fois pour lui-même]- pour s’y référer si besoin):

Stade un -(à présenter au patient si la personne peut encore parler, voire lire et écrire car il aura à cocher, voire encercler les phrases se rapprochant le plus de son état de souffrance):

Cela ne fait pas mal. Cela n’est pas du tout cauchemardesque, ni martyrisant, pas de tortures, non douloureux, non insupportable ni inhumain ou tragique, n’est pas horrible à souffrir / endurer.

Stade deux : cela fait peu mal, peu cauchemardesque, peu martyrisant, peu torturant, peu douloureux, peu insupportable, peu inhumain, peu tragique, peu horrible à endurer / souffrir.

Stade trois : cela fait cauchemardesquement mal, c’est martyrisant, c’est une torture, c’est douloureux, c’est insupportable, c’est inhumain, c’est tragique, horrible, etc..

Stade quatre : cela fait cauchemardesquissimement mal, c’est martyrisantissime, c’est torturantissime, douloureusissime, insupportab[i]lissime, inhumainissime, c’est tragiquissime, horriblissime, invivabilissime, etc.

(Veuillez barrez les mots en trop, voire entourer les mots désignant le type de vos souffrances en désignant celles-ci avec une autre couleur, par exemple rouge : f pour physiques, p pour psychiques)

Stade cinq : cela fait cauchemardesquissimissimement mal, c’est martyrisantissimissime, c’est torturantissimissime, c’est douloureusissimissime, c’est insupportab[i]lissimissime, c’est inhumainissimissime, c’est tragiquissimissime, horriblissimissime, invivabilissimissime, etc.

 

Fichier audio XVII

Stade six : cela fait cauchemardesquissimissimissimement mal, c’est martyrisantissimissimissime, c’est torturantissimissimissime, c’est douloureusissimissimissime, c’est insupportab[i]lissimissimissime, c’est inhumainissimissimissime, c’est tragiquissimissimissime, horriblissimissimissime, invivabilissimissimissime, etc.

Stade sept : cela fait cauchemardesquissimis…simissimement mal, c’est martyrisantissimis…simissime, c’est torturantissimis …simissime, c’est douloureusissimis…simissime, c’est insupportab[i]lissimis…simissime, c’est inhumainissimis…simissime, c’est tragiquissimis…simissime, horriblissimis…simissime, invivabilissimissimis…simissime, etc.

Stade huit : cela fait cauchemardesquissimis…simis…simement mal, c’est martyrisantissimis…simis…sime, c’est torturantissimis …simis…sime, c’est douloureusissimis…simis…sime, c’est insupportab[i]lissimis…simis…sime, c’est inhumainissimis…simis…sime, c’est tragiquissimis…simis…sime, horriblissimis…simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simissime, etc.

Stade neuf : cela fait cauchemardesquis…simis…simis…simement mal, c’est martyrisantis…simis…simis…sime, c’est torturantis…simis …simis…sime, c’est douloureusis…simis…simis…sime, c’est insupportab[i]lis…simis…simis…sime, c’est inhumainis…simis…simis…sime, c’est tragiquis…simis…simis…sime, horriblissimis…simis…simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simis…simissime, etc.

Stade dix : cela fait cauchemardesquis…simis…simis…simis…simement mal, c’est martyrisantis…simis…simis…simis…sime, c’est torturantis…simis …simis…simis…sime, c’est douloureusis…simis…simis…simis…sime, c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…sime, c’est inhumainis…simis…simis…simis…sime, c’est tragiquis…simis…simis…simis…sime, horrib[i]lissimis…simis…simis…simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.

Stade onze : cela fait cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal, c’est martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est torturantis…simis …simis…simis…simis…sime,

c’est douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est horrib[i]lissimis…simis…simis…simis… simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.

 

Stade 12 : cela fait cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal,

c’est martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est torturantis…simis …simis…simis…simis…sime,

c’est douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est horrib[i]lissimis…simis…simis…simis…simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.

 

Stade 13 : cela fait

cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal,

c’est martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est torturantis…simis …simis…simis…simis…sime,

c’est douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est horrib[i]lissimis…simis…simis…simis… simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis… sime, etc. .

 

 

 

Stade 14: cela fait

cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal, c’est martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est torturantis…simis …simis…simis…simis…sime, c’est douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime, horrib[i]lissimis…simis…simis…simis…simis…sime, invivab[i]lissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.

 

Stade 15 : cela fait

cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simis…simement mal,

c’est martyrisantis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est torturantis…simis …simis…simis…simis…simis…sime,

c’est douloureusis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est inhumainis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est tragiquis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,

c’est horrib[i]lissimis…simis…simis…simis… simis…simis…sime, invivab[i]lissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.

Stade 16 :

C’est cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, etc. .

 

Stade 17 :

C’est cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, etc. .

 

Stade 18

C’est atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimemE

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimeme

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, et etc. .

Stade 19 :

C’est atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, et etc. .

 

Stade 20 :

C’est atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, et etc. .

 

Stade 21

C’est atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimeme,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, et etc. .

 

Stade 22 :

c’est

atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, et etc. .

 

enfin stade 23 -(même si on pourrait logiquement continuer, voire parfaire ce qui précède), c’est : atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,

martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,

torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime

inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,

tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,

invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, et etc. .

 

Pour le sevrage sur trois mois, il conviendra de diviser par quatre tous mes dires concernant le plus ou moins très long terme -(le sevrage sur un an)- et pour le sevrage sur un mois très logiquement -[diviser]-par douze celui sur une année

Aussi, à premièresidées / premièridée

-(N. B. : suite après le paragraphe suivant)

–[pour première-idée / premières-idées, dans le registre de à premières-vue[s] ou/et à première-entendu / à-premièrentendu / àpremièrentendu / àpremiéressenti pour » à premier ressenti «, donc àpremiégoût = à première saveur – et cela j’aurai pu l’écrire dans une note de bas de page aux notes de bas de page, car je n’oublie pas que cette partie de ce texte est une note de bas de page, ce qui fonde une fois de plus -(comme chacune de ces parenthèses et/ou entre-crochets, voire entr’accolades), la nécessité de proposer dans Word, selon ma déjà vieille idée de la fin des années 1990, des notes de bas de page gigognes -(qui de cette manière pourraient parfois même aller à/vers l’infini de notes de bas de page aux notes de bas de page, d’autant plus que reliées entre elles par l’élaboration de signets ou/et de décalage, voire de couleurs), pour éviter, comme ici, soudain, d’avoir à ouvrir notre propos sur un autre plan qu’on découvre par/après l’ouverture d’une parenthèse qui pourrait amener à changer de sujet comme ici, dans cette note de bas de page, car soudain cela concerne un autre aspect de la pensée, une autre catégorie d’informations, voire d’eanmeailleurations -(pour plaire à S. E. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Jacques Rousseau comme synonyme d’améliorations : eanmaeilleurations), celui de notre soucis de faire avancer, à mesure que nous pensons / pansons par écrit sur d’autres sujets, par conséquent aussi, comme ici, dans le domaine de l’écriture -(sur le plan technique), soit notre intérêt d’améliorer la présentation de la langue que nous utilisons avec ces notes de bas de page qui seraient finalement gigognes])-

cela fera des jours comme -(si c’était)- des mois -(du sevrage le plus long sur une année)- et il conviendra de comprendre que la dose de Risperdal 25 mg ou/et celle de Xeplion 25 mg correspondra, en réalité, à ce qui est, à l’heure où j’écris ces lignes, commercialisé encore à 150 mg, soit avec ce 25 mg la -[nouvelle]- dose maximum qu’on a cru à tort pouvoir être proposée dans des dosages plus importants / forts -(bien qu’effectivement heureusement les souffrances causées par les effets indésirables à 25 mg sont évidemment moindres qu’à 50, 75, 100, … 150 -(ce qui ne veut pas dire qu’à 25 mg elles ne sont pas, sans correcteur Artane, insupportablissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes, et etc.) – soit ce qui deviendrait avec ce dosage de 25 mg le maximum possible commercialisable –(avec interdiction de proposer des dosages plus forts / importants, en sachant que les effets sont déjà à ce dosage de 25 mg, sans le correcteur Artane 5 mg trois fois par jour, infiniment douloureux

-(N. B. : suite après les quatre paragraphes suivants)

-([et si on comprend cela à cause des effets indésirables de Risperdal 25 mg et/ou probablement de/du Xeplion 25 mg -(que j’attends depuis plus de trois ans qu’on me prescrive pour vérifier

N. B. : suite après le paragraphe suivant :

–(ce qui en toute logique élémentaire n’est pas indispensable en raison qu’en 2013 j’ai été, avant mon sevrage, un ou deux mois au dosage de Risperdal 25 mg et donc que je sais de quoi je parle en sachant qu’il est probable que Xeplion 25 mg soit un petit peu moins douloureux que Risperdal 25 mg, [car c’est le SPOK / cas avec Xeplion 50 mg par rapport à Risperdal 50 mg], ce qui est toujours bon à prendre, donc, en attendant, à prescrire -(ce Xeplion 50 mg)- à la place de Risperdal 50 mg, pour soulager un peu ces patients à qui on a cru possible prescrire ces neuroleptiques, cependant que cela doit être eanmeailleuralement -(impérativement -[d’un empire dont le pharaon est bouddhahs])- accompagné du médicament correcteur nommé Artane 5 mg de deux à trois fois par jour, voire un et demi le matin et douze heures après une moitié, voire un Artane 5 mg entier),

à moins d’avoir enfin l’intelligence de comprendre –(cela s’adresse ici aux plus véritables médecins, soit tous ceux qui le sont par acquis de conscience, donc devenus bouddhas : éveillés])- qu’il faut cesser immédiatement -(dès que possible)- le traitement du Xeplion car j’en souffre continuellement infiniment sur tous les points décrits à la fin de cette courrierIne -(variante féminine pour -[un]- » courriel «), à cause des effets indésirables que l’on sait et parce que nous sommes aujourd’hui fin janvier 2021 à beaucoup plus de trois ans de ma dernière hospitalisation en 2017 et qu’en lisant cette lettre on comprendra avoir été -(cette hospitalisation)- totalement abusive -(car arbitraire, le fruit de la subjectivité d’un « médecin » croyant à tort pouvoir se fonder sur à première vue le «  retard » que j’avais eu de quelques heures pour l’injection de la demi-dose -(et non pas la dose entière – tant depuis longtemps je n’avais, en réalité, toujours moins besoin de cette médication parce que j’étais considéré sur la voie de la guérison par la docteure N. Koechlin)- de Risperdal 25 toutes les sept semaines, pour exiger sans même prévenir courtoisement et manu militari se donner le droit de m’hospitaliser de nouveau plus de quatre années après la précédente hospitalisation à l’origine de la mise en place dès la seconde dose de Risperdal 25 mg en 2013 du sevrage ayant abouti en 2017 depuis près de deux ans à la demi-dose -(et non la dose – c’est vous redire – ici bien évidemment ironique : - combien j’avais besoin de ce « médicament » ou alors sans ironie, (simplement en vérité :), vous dire combien je n’avais nul besoin de ce médicament)- de Risperdal 25 mg à ce moment-là de l’avancée du sevrage, toutes les sept semaines –(par conséquent croyant possible -(le docteur Marcel)- détruire d’un seul coup tous nos efforts pour retrouver la condition normale d’être humain affranchi de la nécessité d’être accompagné par des »« béquilles médicamenteuses »«. En réalité on comprendra -(cette ultime hospitalisation)- qu’elle aurait été préférable -[de]- n’avoir jamais été -(sauf à première-vue[s] sur le plan sentimental puisqu’à l’issue de cette hospitalisation de 2017, j’ai, tant je souffrais, mais aussi pour d’autres raisons, renoué avec mon ex-fiancée –[de laquelle je m’étais séparée depuis 2005 au moment où j’ai eu à découvrir qu’on me voyait et entendait dans le ciel de Rome en 1977 et que je devais aider du mieux que je pourrais mon père alors, (comme la plupart d’entre nous tous -[l’entendant]- et/avec moi-même dans le passé en 1977), confirmé en Saint-Esprit empereur, en ayant quant-à-moi en conscience et en légitime défense et avec l’aide de l’esprit-saint à transmettre la Très Grande Dictée de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale et à prévenir / avertir des diverses catastrophes dont toutes celles naturelles qui allaient se produire de 1977 aux années 2010], ce qui aurait pu ne jamais advenir sinon), par conséquent cela en raison de ce qui s’est passé avant cette dernière hospitalisation -(ce qu’on apprendra dans cette lettre)- d’inadmissible : en 2017, je devrais être depuis longtemps totalement sevré et non à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines comme c’était le SPOK/ cas depuis près de deux ans ! Ce qui aurait pu être au bout de trois fois sept semaines -(cette demi-dose de Risperdal 25mg toutes les sept semaines), si madame la doctoresse N. Koechlin avait compris la logique du sevrage que j’avais simplement mis au poin-(en grand inspecteur et futur patron –[entre autres]- de la Médecine et de la Chirurgie car vos dévoués serviteurs les bouddhahs)- pour me permettre à terme de retrouver une vie normale -(sans avoir à subir les effets de médicaments d’autant plus que bouddhahs, c’est-à-dire » éveillé par acquis de conscience « depuis début 2005, soit en intervenant à travers Espace et Temps dans l’exercice de mes fonctions, soit en accomplissant mes devoirs en conscience / car conscient, par conséquence n’ayant nul besoin de médication[s] d’aucune sorte. Car en raison de la situation exceptionnelle découverte à partir de 2005 -(cette ouverture céleste de l’Espace et des Temps coïncidant[s] : 1967 = 1977 = 2005)- je me devais, en conscience, dans l’exercice de mes fonctions pour nous aider tous dans le passé à éviter que la Seconde Guerre Mondiale ne reprenne, d’intervenir à travers Espace et Temps pour sauver la situation de cette planète en proposant avec de très nombreuses autres choses la Construction de l’Union Européenne – en fait ce qui avait eu lieu dans ce cas de figure – ce »« ou bien »« -(au sens d’Alain Resnais dans ses films Smoking ; No smoking)-  - de la Création). En effet à la troisième fois où je vins prendre la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, j’attendais fort logiquement que la doctoresse K. me prescrive pour la fois suivante cette demi-dose toutes les huit semaines trois fois de suite pour passer ensuite à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, ce qui advenu trois fois aurait été la fin raisonnée / logique de mon sevrage. Or au bout de plus d’une année et demie à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, j’avais découvert que la doctoresse K. n’avait probablement de sa vie proposé un sevrage à l’un de ses patients -(malgré ce qui est fondamental de s’imposer d’accomplir avec les patients pour de très nombreux médicaments, dont les neuroleptiques), puisque toutes les sept semaines, elle proposait / reconduisait la poursuite des injections toutes les sept semaines -(dans le carnet d’injection -[dont je vous ai remis récemment les photocopies / impressions couleurs], à l’occasion d’une des premières fois -(la demi dose)- toutes les sept semaines, il y a eu retour -(cela c’est reproduit une autre fois la fois d’après), à toutes les six semaines -(en raison d’un problème de voisinage : sans m’en rendre compte j’avais mis la radio trop forte après dix heures du soir et comme il y avait eu plainte, on a cru que de nouveau je n’allais pas bien – ce qui est bien évidemment faux, ce n’était pas moi qui parlais/t : cela peut arriver à n’importe qui d’oublier que le volume est un peu trop fort et il n’y a là aucune raison d’hospitaliser ni d’augmenter le dosage du Risperdal 25 mg, ce qui pourtant avait été fait à ma demande.

Une autre fois j’ai eu la nuit après avoir écouté la radio à réaliser en même temps que je tournai une séquence vidéo un commentaire à faire –[alors que c’était la nuit : un tournage improvisé, à la dernière minute en raison d’une opportunité / découverte, soit une chance à ne pas laisser passer en raison de la matière première du talc. En fait j’avais été inspiré et je décidai d’en faire part en vidéo avant d’avoir à publier cette séquence sur Internet -(ici, comme précédemment des voisins se sont plaints – évidemment j’étais prêt à m’excuser : mais l’Art n’attend pas : il fallait battre le fer tant qu’il était chaud, cela ne se serait pas présenté mieux le lendemain : je réalisai donc le prototype de cette séquence vidéo avec mon commentaire improvisé tout du long à partir de l’idée que j’avais eu avec cette découverte. Et comme je n’ai plus fait de bruit durant six semaines on est revenu au dosage toutes les sept semaines puisque les plaintes ont cessé, ce qui signifiait sinon que madame la doctoresse K. trouvait que cela était le bon dosage toutes les sept semaines)- et que le docteur Marcel venait de découvrir la réalité de ce sevrage en cours, ce qui le fit s’opposer à sa poursuite et cela en dépit de la logique scientifique des plus véritables sevrages sans un atome d’erreur possible dans tous les temps -(bref qui fonctionnent très bien d’autant plus qu’établis en toute logique avec la finalité de la Médecine qui est de parvenir à ce que les patients aient à se débarrasser à jamais des substances chimiques des médicaments pour retrouver, comme quand ils étaient enfant, une vie normale sans plus avoir besoin de médicaments – soit ce qui fonde la notion de sevrage, voire de l’inverse : la prise raisonnée progressive d’un médicament comme cela sera le SPOK/cas pour que nous puissions tous retrouver la Vision du Très Saint Paradis d’avant la très grande catastrophe -(vous lirez que l’usage du variateur de plus en plus sur vingt-quatre ans est comme si nous augmentions progressivement la dose d’une chose plus qu’essentielle : la Beauté de la Création -(ce qui, par ailleurs, confirme l’existence de Dieu en chacun de nous)– ce rétablissement de la vision d’Ôz, soit celle du très saint paradis -(T.S.P.), n’est possible que de façon très logique et de manière cohérente dans/avec ce programme). Visiblement le docteur Marcel n’avait pas les compétences en Mathématique ou/et Logique élémentaire et alors qu’à cette demi-dose de Risperdal 25 mg je pouvais travailler sans éprouver que très peu de souffrance, voire pas du tout, le voilà tout d’un coup, après avoir appris que nous en étions là du sevrage -(soit quasiment à la fin de celui-ci), à décider, de manière en réalité irrationnelle -(car son motif n’était pas recevable / acceptable)- et contrairement à ce que nous attendions s’il avait été un véritable médecin -(soit un de ceux ayant eu accès à la conscience, soit un de ceux très véritablement Éveillés, donc soignant de façon juste parce que rationnels, logiques et sachant que la vérité existe en Médecine comme dans chacune des autres disciplines scientifiques en raison qu’il convient de déterminer la cause des maux dont on souffre pour trouver les remèdes), d’une façon méchante et indigne de sa condition, de cette hospitalisation de 2017 sous prétexte que j’avais eu, sans faire exprès, une demi-journée de retard -(sur sept semaines, soit quarante-neuf jours !)- pour le renouvellement périodique de l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25 mg -(il n’avait rien de mieux à faire que venir me déranger chez moi – [où, si j’avais eu en effet ce retard, on aurait pu/dû me joindre par téléphone pour que je vienne au CMP - centre médico-psychologique - dès le lendemain de ce « jour de retard », voire dès le matin suivant ce retard -(puisqu’on l’avait constaté au CMP pour alerter ce chef de service)- comme cela avait été le cas avec l’irruption de ce « médecin » avec son équipe à mon réveil chez moi, le lendemain du « jour de retard » sur quarante-neuf jours -(la périodicité de l’injection)! Tout véritable médecin Suisse –[pourtant ayant la réputation d’être archi précis]- vous dira que j’avais, dans ces conditions – soit dans ce / en pareil SPOK, évidemment depuis longtemps le droit à ce jour de retard, à ce dosage, en fait depuis plus d’un an et demi]- sans me prévenir téléphoniquement, sans me donner la chance -[courtoise / polie]- d’expliquer pourquoi / la cause -[de]- ce retard -(en fait j’avais été pris par mes activités en m’étant abstrait de tout pour avancer dans mes divers travaux en cours et j’avais laissé passer cette journée de la fin de la septième semaine sans me rendre compte ce jour-là que j’avais à me rendre au CMP. Aussi je tombai des nues quand ce « médecin » se présenta devant ma porte alors que cela n’était pas rangé -[chez moi]- assez pour recevoir quelqu’un)- et de m’en excuser, croyant être dans son bon droit en pénétrant chez moi manu militari alors que j’étais en train de poursuivre, entre autres, une de mes diverses recherches d’Intérêt Général et pour le bien Général en empereur-bouddhahs grand inspecteur, soit en tant que vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs avec toutes mes autres compétences et facultés alors la plupart du temps -(depuis 2013)- consacrées au service de mes lettres d’explications aux Papes et aux présidents de la République de ce qui s’était passé d’exceptionnel pour nous tous à partir de 2005 -(mes apparitions quotidiennes dans le ciel du passé depuis mon adresse rue du Val de Grâce), mais aussi de la réalisation d’images exceptionnelles dont je vous ai parlées en vous en confiant le secret -(je vous en ai montrées), c’est-à-dire comment j’avais à les réaliser – mon hospitalisation de 2017 ayant repoussé de plusieurs mois la réalisation de celles-ci comme cela a été à l’origine de ce que ma sœur a cru en se rendant chez moi pour ranger l’appartement durant mon absence que je n’allais effectivement pas bien en découvrant -(alors que j’avais été conduit à Sainte Anne)- que je m’étais servi d’un seau à la place de la cuvette des W. C., ce que j’avais compris je devais m’imposer de faire pour obtenir les images que j’ai depuis obtenues -(en vous prévenant d’avance pour lever toute ambiguïté au cas où on viendrait chez moi durant une de mes absence)- au fond de la cuvette des waters, en raison que je suis un buveur de thé et que vous avez pu constater, comme moi, que si on laisse plusieurs jours sans tirer la chasse d’eau les urines de quelqu’un ayant bu du thé, on obtient de réelles merveilles merveilleusissimis…simissimes dans ce peu d’eau stagnante ! Pour cette découverte aussi, il avait fallu que je devienne un bouddhahs étant donné qu’elle allait contre les préjugés qui consistent à tirer la chasse d’eau après avoir été aux toilettes -(W. C.). Non, ayant été constipé, je n’étais pas allé pendant deux jours à la selle où je ne m’étais rendu que pour uriner et comme je n’avais pas tiré la chasse d’eau selon mes habitudes, le troisième jour, j’avais vu apparaître dans l’eau des formes que j’ai voulu regarder de plus près en utilisant mon caméscope pour les photographier si je les trouvais intéressantes, ce qui a été la SPOK/cas … au-dessus de mes espérances : incroyables mais vraies : des merveilles : l’homme avait donc été conçu pour être végétarien et buveur de thé pour avoir le droit de découvrir les merveilles dont il était capable simplement en urinant dans le peu d’eau qui stagne au fond de la cuvette des W. C. ! J’avais avec ces photos la preuve qu’un être humain végétarien devenu Éveillé par acquis de conscience (bouddha)- pouvait réaliser chez lui, dans ses waters petit à petit de merveilleuses représentations dont certaines d’entre elles les plus fantastiques. Aussi quelques jours avant l’irruption du docteur Marcel chez moi, j’avais décidé de réaliser une série de nouvelles images et c’est pourquoi j’avais utilisé mon seau pour les matières fécales, donc pour mes selles – seau que je dus laisser dans l’appartement dans lequel ma sœur ferait du rangement persuadée en voyant ces selles dans ce seau que je n’allais pas bien alors que c’était en raison de recherches scientifiques et éminemment artistiques que je m’étais privé des W. C. pour y créer de nouvelles images grâce à mon nouveau procédé)-

Donc le docteur Marcel était venu chez moi pour me conduire à l’hôpital malgré le fait que cela faisait plus d’un an et demi que cette demi-dose -(et non dose entière)- de Risperdal 25 mg c’était mon traitement toutes les sept semaines et cela alors que nous devions -(cela avait été convenu avec la doctoresse K.)- depuis au moins un an et demi passer à cette demi-dose toutes les huit semaines, donc comme si tous nos patients efforts pour réussir mon sevrage et le retour à la vie normale étaient à détruire, à ne pas prendre en considération[s], soit en croyant possible m’injecter de nouveau -(a-t-il dit à cause de ce/mon retard – quelques heures sur quarante-neuf jours !!!!)- 150 mg de Risperdal pour me torturer en nous faisant perdre tous les bénéfices du sevrage suffisemment accompli depuis quasiment deux ans puisque vous avez reconnu, doctoresse Hortense Boulanger qu’à partir de la demi-dose -(et non la dose complète)- de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit à partir de 2014 -(donc trois ans et non deux)- j’étais -[comme]- sevré – ce qui s’était donc très bien passé et ce que j’avais mis à profit dans mes lettres fleuves aux Papes et au Présidents de la République)- et cela alors qu’à ce dosage de cette demi-dose de Risperdal 25 mg d’une part je pouvais arrêter de prendre ce médicament, mais aussi, d’autre part, je devais passer à cette demi-dose toutes les huit semaines, voire à cause de cela nous offrir la possibilité d’avoir un retard d’une semaine -(or je ne l’ai eu que de quelques heures ce retard !!!)- ne serait-ce que pour faciliter l’étape suivante avec la décision du sevrage à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines, ce qui signifie en réalité qu’avec ce à première-vue « retard » il n’y avait en réalité nul retard de ma part car j’avais l’embarras du choix en nombre de jours de à premières-vue[s] « retard » étant donné que cela faisait plus d’un an et demi que nous devions être à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines -(et non toutes les sept semaines)! Au lieu de comprendre en quoi consiste la logique d’un sevrage -(ce qui lui aurait fait du bien – ne serait-ce que pour apprendre à en réaliser – ce qui est une des raisons d’être médecin (les sevrages) - le docteur Marcel s’est acharné à me rendre malade artificiellement alors que je ne l’étais plus depuis 2014 quand nous étions passé à demi-dose de Risperdal 25 toutes les cinq semaines ! C’est donc à cause de lui que je n’ai pas pu reprendre mes communications à travers Espace et Temps pour aider mon père confirmé à son poste d’empereur depuis 1977 en synchrone avec les années 2005. Aussi à cause de ces hospitalisations nous avons tous perdu collectivement mais aussi chacun de nous des sommes de crédits financiers propres et mérités de droit -(C.F.P.M.D.)- astronomiques et plus encore, comme un très grand nombre de solutions élégantes que j’aurais pu -(eu le temps de)- trouver sur Internet et que j’aurai pu continuer à dicter à travers Espace et Temps -(notemment pour mieux aider que je ne l’ai fait tous ceux qui avaient le SIDA dans le passé mais aussi dicter une liste de près de trois mille puits de pétrole, des gisements moins importants que ceux -(dont j’ai eu à dicter les points de géolocalisation), représentants au moins cinquante et un pour cent des réserves dès les années 1985, et etc. mais aussi j’aurais pu dicter comment rétablir la vision d’Ôz)- si le docteur Marcel s’était seulement donné la peine de comprendre ce que représentaient d’exceptionnel comme virtualités / possibilités pour nous tous mes interventions dans le passé – celles-ci ayant été ainsi vérifiées avoir eu lieu d’avance et en même temps à partir de 1967 et 1977 tandis qu’elles eurent lieu dans la réalité à partir de 2005]-

Fichier audio XVIII

et ce qui va être dès qu’on aura interdit à la vente les dosages de 50, 75, 100, 125 et 150 mg et etc. parce qu’ils sont absolument criminels contre l’humanité, car ils sont les dosages qui poussent au suicide à cause de la souffrance causée par certains des effets indésirables qui sont à mesure qu’on augmente le dosage de plus en plus -(à mesure que l’on prescrit l’un ou l’autre de ces dosages, en les augmentant)- intolérab[i]lissimis…simissimes, au sens d’insupportabilissimis…simissimes –(je sais de quoi je parle, je n’exagère pas / aucunement, ces souffrances causées à partir du Risperdal 25 mg ou/et du Xeplion 25 mg sont aussi horribles / affreuses / martyrisantes / torturantes / insupportables / douloureuses / etc. / … que ça, (sauf probablement un tout petit peu moins pour Xeplion 25 mg), ce qui contraint eanmeailleural[l]ement, au sens d’impérativement, à/de sevrer).

Aussi ce 25 mg de Risperdal, à cause de ses effets indésirables, ce sera comme -[autrefois – ce qui est hélas toujours le cas au moment où je corrige / CARÉ -(corrige, augmente, abrège, relis, []élabore)- cette note de bas de page]- 150 m-(soit le plus haut dosage possible, donc un nouveau maximum mais un maximum soucieux du patient : de le faire le moins possible souffrir)- sauf que c’est heureusement 25 mg, soit -(ce qui sera)- le maximum du maximum -(aussi on pourra comprendre que 150 mg = 25 mg, l’échelle ayant changé car la barre ayant été mise enfin plus raisonnablement à ce dosage de 25 mg comme maximum on est alors soucieux de faire souffrir le moins possible le patient -(bien que n’ayez crainte il souffrira – j’ai vérifié avec le Risperdal 25 mg, c’est encore horriblissimis…simissime à vivre à 25 mg, cependant que s’il s’agit du Xeplion 25 mg il est probable que cela le soit un peu moins), mais en sachant qu’on doit, dès que possible, sevrer à partir de ce dosage de 25 mg, soit sur un an, soit sur six mois, soit sur trois mois, soit le plus vite possible sur un mois -(donc passer de cette dose de 25 mg à plus rien du tout au bout d’un mois, ce qui, n’ayez crainte aura été douloureux)- avec les nouveaux dosages qu’on trouvera un peu plus bas pour une médecine enfin plus humaine / juste et respectueuse de l’univers, voire des univers qu’est / que sont, de façon générale, » un « patient, soit » un « être humain ayant eu, nous l’espérons pour lui, accès à sa conscience).

25 mg de Risperdal ou de Xeplion, c’est le maximum qu’un être humain normal puisse supporter / encaisser psychiquement et physiquement -(N. B. : suite après le paragraphe suivant – ce paragraphe aurait normalement figuré dans une note de bas de page gigogne si on avait suivi mon conseil de les créer à ce sujet dans le logiciel de traitement de texte Word depuis la fin des années 90 quand j’en ai eu l’idée et cette note de bas de page aurait été probablement plus aisée à lire)

-(tous ceux qui vous diront qu’on peut prescrire au-delà –[donc plus]- de 25 mg –[évidemment avec le corollaire du médicament correcteur –(comme l’Artane 5 mg), car sans correcteur c’est, à 25 mg de Risperdal ou de Xeplion, douloureusissimis…simissime et insupportab[i]lissimis…simissime et etc. et …, donc à la limite de l’impossible à vivre / supporter tant cela fait mal – d’où la nécessité de commencer le sevrage aux doses –(tenant compte de mon expérience d’homme de Sciences exactes)- ci-dessous dès le mois suivant, voire au très grand maximum trois mois après]- mentent et obtiendront mathématiquement l’une ou l’autre des réincarnations les plus malheureusissimis…simissimes et etc. qui attendent les charlatans, faussaires, menteurs, tricheurs, comme tous ceux qui font souffrir, etc.)-

et, bien sûr, en prenant avec, trois comprimés par jour d’Artane 5 mg -[en tant que correcteur]- et un demi Lexomil réparti en deux prises d’un quart distantes de douze heures –(cependant que si le patient demeure encore angoissé on peut prescrire un peu plus d’un quart de Lexomil – bien que cela ait des effets indésirables qu’on pourrait éviter en se tenant à deux fois un quart par jour, ce qui n’est pas non plus obligatoire car cela ne concerne que ceux qui seraient angoissés avec Xeplion 25 mg, voire Xeplion 12,5 mg, voire Xeplion 6,25 mg ou Xeplion 3,125 – à ce dosage comme aux suivants : Xeplion 1,5625, soit 1,5 mg et Xeplion 0,75 mg il est probable qu’on n’ait plus besoin de Lexomil. Aussi à mesure qu’on atteindra ces dosages les plus petits, on aura à parallèlement sevrer du Lexomil le patient, sauf qu’on ne pourra pas sevrer de l’Artane 5 mg étant donné qu’il est très probable que ces dosages à première vues faibles sont toujours à générer des effets indésirables des impatiences et des maux dans les pieds comme aussi des toux et etc. -(les problèmes dermatologiques)- mais surtout, hélas infiniment hélas, dans certains cas / SPOK le pire du pire avec les bourdonnements dans les oreilles -(soit les acouphènes qui, peut-être, à ces doses plus faibles ne se manifesteraient pas / plus), voire tous les autres effets indésirables, cependant qu’ils seront logiquement beaucoup moins importants / forts -(donc un peu plus supportables par le patient ainsi en plus réelle voie de guérison)- qu’aux dosages au-dessus de 25 mg). Il y a, ne l’oublions pas, aussi un somnifère à prescrire -(si le patient rencontre des difficultés à/pour dormir)- comme le Zopiclone 7,5 mg comme/ou/et -(alors en plus)- un cachet de Doliprane 1000 mg.

Je le répète ce dosage de 150 mg, comme celui de 100 mg, 75 mg et 50 mg doivent être à jamais interdits par tout car, je les ai vérifiés sur moi-même en vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz, soit vos pharaons et vos bouddhahs, donc aussi à titre de Grand Inspecteur quand, le jour de mon hospitalisation, on m’a, parait-il, (aux dires de l’infirmier François Martineau et à vous croire récemment), administré au moins 150 mg de Risperdal, voire une autre substance qui serait l’équivalente de Risperdal 150 mg -(soit si ce n’est pas du Risperdal une substance dont je vous prie d’avoir la gentillesse de me retrouver le nom ainsi que le dosage dont je fus victime, tant les souffrances qu’elle génère, tant physiques que psychiques, sont inadmissibillis…simissimes car insupportab[i]lissimis…simissimes et extrêmement douloureusissimis…simissimes et etc, , au paroxysme de ces mots mis au cube -(à la puissance 3), voire plus encore – soit si affreux / atroce à vivre que nous sommes contraints de mettre / lire ces mots ci-dessus en gras et en majuscules à bien plus qu’au carré d’eux-mêmes ou/et au cube, soit ce qui est infiniment insupportabilissimis…simissime, donc le mot érigé à la puissance infinie, soit ce qui a duré à chacune des secondes durant toute l’hospitalisation avant, (en 2013, à la sortie de cette hospitalisation et à mon retour chez moi), de me prescrire le Risperdal 25 mg – dont, vous savez, j’eu-(en raison des archi-douleurs qu’il me procurait certes inférieures de celles de 150 mg, cela est évident, mais tout de même à cette dose de 25 mg douloureusissimis…simissimes et insupportabilissimis…simissimes et etc.)- à me sevrer de trois mois en trois mois jusqu’à 2014. Puis, hélas, infiniment hélas, de façon moins rapide jusqu’à 2017. Substance qui m’a été de nouveau -(à moins qu’il ne se soit agi d’une autre -[substance])- administrée au début de mon ultime hospitalisation d’/en avril 2017, alors que la torture a été interdite depuis longtemps dans l’Union Européenne -(par conséquent dans la rRégion France aussi). Ce qu’on me fit souffrir au cours de cette hospitalisation de 2017 -(et à la sortie de celle-ci), qu’on se le dise, est la torture au paroxysme de l’insupportabilissimis…simissime. Aussi il convient de faire le nécessaire pour que cela n’advienne plus jamais à/pour quiconque, d’autant que ces tortures ne sont pas seulement physiques mais psychiques comme à l’origine des acouphènes -(N. B. : Suite à la fin du paragraphe suivant).

-(un des effets indésirable du Risperdal et/ou du Xeplion –[inscrit[s] sur la notice d’accompagnement de ces produits pharmaceutiques en tant que » bourdonnements dans les oreilles «, ce qui est effectivement l’une des explications de ce mot d’acouphène[s] dont on n’a pas inscrit le mot pour des raisons qu’il serait réservé aux gens les plus savants, soit normalement les médecins qui sont censés -[une fois ces acouphènes présentés en tant que » bourdonnements dans les oreilles «]- rétablir dans leur tête, voire/donc faire le lien quand on leur parlera d’acouphène(s) les sachant, [parce qu’ils doivent savoir la définition de ce mot]- entre autres, l’équivalent]),

-[(ce qui est le malheur des malheurs, soit malheureusissimis…simissime et parfaitement synonyme du paroxysme de l’insupportabilissimis…simissime car au plus haut degré du douloureusissimis…simissime, bien qu’il y en ait -[de]- plusieurs sortes des acouphènes avec ceux qui sont moins insupportabilissimis…simissimes que les insupportabilissimis…simissimes, soit ceux que j’eus la chance d’avoir quand heureusement une fois en position debout quelques temps, les plus forts -(soit -[les]- absolument invivabilissimis…simissimes, disparaissaient au profit des tout juste supportables mais qui sont à la longue, eux aussi, insupportabilissimis…simsissimes et invivabilissimis…simssimes cependant qu’un peu moins que les plus atroces au point, heureusement, après un certain temps de disparaître en donnant la place au merveilleux silence.

Ce sont donc les molécules du Xeplion 50 mg –(attention leurs tailles ne sont pas aussi petites qu’on [ne] le croit)- mais aussi de la substance qu’on m’a inoculée à mon arrivée à Sainte-Anne qui, une fois dans le sang, va naturellement irriguer le cerveau, au point, en position couché, donc quand on dort ou qu’on se repose un certain temps, de déclencher ces acouphènes les plus atroces et/ou au paroxysme de l’invivabilissimis…simissime car il s’agit de souffrances absolues -(au sens négatif de ce dernier mot et non positif, ce qu’il a dans d’autres SPOK), cependant que la position debout modifiant la qualité de l’irrigation cervicale modifie la nature de ces acouphènes ou/et bourdonnements au point de les rendre -(dans mon SPOK/cas particulier)- un peu plus supportables que les pires des pires et enfin après quelques temps de ces tortures ou/et martyrs de laisser enfin place au silence alors autant réparateur qu’il me donnait espoir qu’en comprenant combien je souffrais, on allait cesser de m’administrer -(évidemment)- contre mon gré la cause de ces souffrances, soit ce Xeplion 50 mg ou ce Risperdal 50 et cela aussi en toute logique avec l’Abolition de la torture et si on ne le croyait pas possibl-(comme je le savais à contrario possible et à appliquer / faire en pareil cas)- de supprimer tout simplement cette dose de Xeplion 50 mg d’une seule fois pour, comme je le demandais / proposais / suppliais / conseillais / etc. , ne plus me donner aucune espèces de médication ou alors

-(N. B. : Suite à la fin du paragraphe suivant ci-dessous).

 

–(étant donné que, depuis 2013, soit plus de sept ans, je ne communique plus à travers Espace et Temps de la manière qui fut la mienne à partir de 2005 jusqu’à 2013 depuis le studio de la rue du Val de Grâce sur les années 1967 et 1977 -(et/car je ne dérange plus mon voisinage, soit depuis que je me suis installé, en 2013, à ma nouvelle adresse rue de l’École Polytechnique pour écrire mes lettres explicatives des Sacrifices -(auxquels tous les responsables de 1967 et de 1977 me contraignirent alors que je n’étais âgé que de quatre ans et de quatorze ans)- aux très-saints-pères les Papes Benoît XVI et François, mais aussi aux présidents de la République française comme à d’autres personnalités)-

me sevrer par le palier de Xeplion 25 mg et enfin par étapes, comme je le fis avec l’accord de Madame la doctoresse Nicole Koechlin au point qu’en 2014 je devais prendre une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines ce qui signifie en 2017 que j’étais -[comme]- sevré depuis trois ans quand le docteur Marcel a décidé -(comme un malade mental, à contrario de toutes les logiques les plus exactes et vraies en Médecine[s])- de m’hospitaliser alors qu’on m’injectait une demi-dose de Risperdal toutes les sept semaines, soit que nous étions entrain de nous approcher de la fin du sevrage après la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines vers laquelle nous allions, ce qui malheureusement n’a pas pu se produire à cause du sacrilège de cette dernière hospitalisation décidée totalement arbitrairement, donc de façon abusive et sacrilège et en ayant pour motif des excuses totalement irrecevables que vous savez je vous ai dites dans mes derniers messages – car si je devais avoir posé un problème par mes rires -(en relisant les lettres que j’écrivais)- ou en continuant une ou deux fois ma psychanalyse à haute voix chez moi après dix heures du soir ou pour d’autres raisons, vous m’avez bien rassuré en me disant qu’on n’a pas le droit de mettre quelqu’un à l’asile psychiatrique autant de temps où je le fus -(et empoisonné par les doses exorbitantes / torturantes / martyrisantes / invivables / insupportables / etc. du produit dont je ne sais pas encore le nom)- parce qu’il rit une ou deux fois après dix heures du soir, ni pour avoir eu dix heures de retard pour une injection d’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, soit hélas la cause qui a été avancée / donnée -(sur laquelle s’est appu)- pour rendre à première-vue « légitime » -(juste)- cette hospitalisation forcée par le docteur Marcel ce matin-là d’Avril 2017 à mon domicile quand il vint me chercher pour m’hospitaliser alors que j’avais oublié que la veille j’avais au moins jusqu’à cinq heures de l’après-midi pour renouveler mon injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, soit ce qui devait décider ma psychiatre madame A. à me prescrire cette demi-dose de Risperdal 25 mg -(en toute logique avec la poursuite et la fin du sevrage initié début 2013)- toutes les huit semaines, puisque vous pouvez le vérifier, j’étais depuis plus d’une année à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines ! Aussi, je le redis ici aussi -(au risque de me devoir répéter), donc je le maintiens tout-à-fait : mon retard de quelques heures, soit la raison invoquée par le docteur Marcel, ne sera jamais acceptable par tous les plus véritables médecins étant donné qu’à ce dosage de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines depuis plus d’une année et demi -(je vous ai fait et remis une copie couleur de mon carnet d’injections qui l’atteste), je pouvais, sans problème[s], avoir une à deux semaines de retard, voire -(ce que j’avais espéré depuis 2014 que Madame la doctoresse Nicole Koechlin comprendrait, quand nous étions arrivé à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines)- cesser à jamais les injections de ces demi-doses de Risperdal 25 mg -(et me déclarer guéri – ce pourquoi j’avais été autant patient avec elle depuis 2013), car tout médecin véritablement intelligent voyait bien qu’on pouvait décider, dès ce moment-là, que c’était en réalité la fin du sevrage, sans avoir à attendre l’étape de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines voire toutes les huit semaines ni l’injection qui suivrait toutes les neuf semaines ! Aussi j’espérais que le docteur Jean-Luc Marcel comprendrait que s’il avait quelque chose d’autre à me reprocher que cet infime retard d’une demi-journée – (ce qui n’était apparemment pas le cas puisqu’il insistait en me répétant que c’était le fait que j’avais oublié de venir la veille au Centre Médical Psychologique pour l’injection de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines) – il pouvait me contraindre de repasser à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines, voire toutes les cinq semaines pour nous éviter cette hospitalisation qui n’avait aucun sens puisqu’elle ne s’appuyait sur aucune cause[s] recevable[s], étant donné qu’à ce dosage de Risperdal 25 mg, soit cette demi-dose toutes les sept semaines, mon « retard » pour l’injection toutes les sept semaines n’était, sur le plan médical comme logique ou mathématique -(ce sur quoi s’appuient tous les sevrages les plus exactes et cohérents donc justes comme celui qui était en cours avec moi depuis 2013)- pas encore un retard suffisant pour être acceptable en tant que tel avec ce genre de conséquences disproportionnées / démesurées à l’origine d’une nouvelle hospitalisation et hélas des souffrances en définitives incommensurables qui furent les miennes jusqu’à aujourd’hui)]-

Soit une substance en réalité -(au sens d’en conscience)- impossible à prescrire -(celle qu’on m’administra au début de cette dernière « hospitalisation ».

Est-ce qu’on peut appeler » hospitalisation « une situation qui vous fait souffrir des milliards de milliards de milliards de milliards et plus encore de fois plus de ce qu’en raison du sevrage réussi du Risperdal 25 mg vous ne souffriez presque plus à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines ? Moi je dis non, car ici c’est rendre artificiellement malade une personne qui allait très bien au point qu’on ne peut que penser qu’on fait l’objet des maux les pires, bien qu’on se rassure un peu en comprenant qu’on n’est pas en camp de concentration en raison de plusieurs points de différences indéniables, cependant les douleurs sont telles qu’on est certain qu’on va mourir d’un instant à l’autre et c’est alors qu’on espère en mourir le plus vite possible –(cependant que comme on s’est vu d’avance -[en 2015] – et vidéographié dans le ciel trente ans plus loin, soit en 2045, on sait que cela ne va être le SPOK/cas)- d’où qu’on souffre très injustement de ne pas pouvoir mourir car ce qu’on éprouve comme douleurs tant physiques que psychiques est impensable à imaginer : l’horreurissimis….simissime et etc. -(tous les autres mots qu’on a déjà lus plus haut avec les superlatifs vraiment absolus que j’ai créés pour l’occasion)- et c’est encore peu dire car jamais aucun mot ne pourra réussir à traduire ces douleurs / maux, mais seulement donner une idée, ce qui est déjà bon à savoir / comprendre -(grâce à la transcription de la réalité par la médiation des mots, soit l’écriture)- par tous ceux qui chercheront à soulager d’autant de maux, soit normalement les médecins et les infirmiers. Or ce sont eux qui prescrivent des doses aussi douloureusissimis…simissimes et insupportabilissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes et à l’origine de ces tortures infinies / extrêmes tant psychiques que physiques -(acouphènes, impatiences, maux dans les pieds, toux, etc.)- alors que torturer quelqu’un est interdit en Europe -(par conséquent en France et bien sûr à Paris). La personne en cause -(soit moi-même)- ne souffrait nullement ni s’était de quelque façon conduite en dérangée / absurde -(soit de manière non logique ni incohérente) / inconscientes / voire folle / dépravée / etc. .

C’est à ne plus rien y comprendre, soit le monde à l’envers et totalement incohérent avec les objectifs les plus véritables de la / en Médecine qui elle – je l’ai démontré sur moi-même – soigne véritablement / vraiment puisque une personne ne souffrira plus psychiquement ni physiquement, une fois devenue végétarienne depuis longtemps -(ce qui est à la portée de chacun et qui peut se réaliser comme un progressif sevrage des charcuteries, des pâtés, des viandes et des poissons, etc. sur plus ou moins longtemps, donc grâce à un sevrage raisonné à géométrie variable)- étant donné que nous avons pu vérifier de 1967 à 1977 mais aussi de 1977 à 2005 que la cause de la plupart des maladies psychiques proviennent d’une situation alimentaire qui est, dans cette époque qui est la nôtre, encore -(localement)- fausse / injuste / inappropriée et incohérente -(à l’origine des souffrances animales des animaux pacifiques et inoffensifs – ce qui n’est pas acceptable)- avec les aspirations et les objectifs les plus nobles de chacun et de chacune des religions mises-à-jou-(ayant fait leur mise-à-jour en tenant compte des avancées / progrès, mais aussi des avancées des corolaires des autres religions)- soit en raison de cette situation alimentaire occidentale à l’origine -(la cause)- de tous les types d’incohérences vis-à-vis de ces objectifs désirables / attrayants / séduisants, les plus nobles des uns et des autres, en raison de ce qu’on veut coller / correspondre / incarner le mot d’Amour -(du moins pour se comporter en amour[s])- y compris vis-à-vis des représentants des religions les plus belles / admirables / souhaitables / meilleures / idéales / merveilleuses / plus justes / etc. permettant, qui plus est – si devenu[s] végétarien[s] depuis de nombreuses années -(comme j’eus à le démontrer en m’utilisant moi-même comme cobaye public / officiel) - de retrouver cette conscience, soit avec elle la Vérité, voire pour cela de l’approche-(au sens de comprendre pourquoi)- par toutes celles plus relatives -(dont celles proposées par les religions)- permettant de se faire une idée très /plus réelle du Saint-Esprit).

Cette substance qu’on m’a donc injectée à mon arrivée à Sainte-Anne est totalement criminelle contre l’humanité à ce dosage auquel il me fut, contre mon gré, administré, avant qu’à ma sortie trois ou quatre semaines après de Sainte-Anne, on me prescrive une dose de 100 mg de Xeplion jusqu’en juillet 2017 où je suis passé -(dans le cadre du sevrage décidé et promis par Madame la doctoresse A.)- à cette dose de Xeplion 50 mg -(et cela d’autant plus de l’énormissimis…simissime contraste ou/et différence de traitement : car cela faisait depuis 2014 que j’étais quasiment sevré en ayant une injection d’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines), ce qui est toujours insupportablissimis…simissime et inadmissibilissimis…simissime car toujours douloureusissimis…simissime et invivablissimis…simissime bien que, bien sûr, deux fois moins qu’à Xeplion 100 mg -(qui est au paroxysme du paroxysme du paroxysme infiniment douloureusissimis…simissime et insupportabilissimis…simissime et etc. , mais évidemment un tiers de moins qu’à 150 mg, ce qui est une évidence élémentaire qui en dit un peu plus long que pour 100 mg à l’aune de ce que c’est -[que]- le Xeplion à 50 mg sans le bon correcteur -(j’ai mis deux ans à trouver le bon correcteur qui est l’Artane 5 mg -(trois comprimés par jour -[ou deux et demi – ce qu’il vaut mieux)]- en deux prises à peu près toutes les douze heures – en fait la seconde prise neuf heures après la première avant le petit-déjeuner ou après)- car le correcteur qu’on m’a donné durant l’hospitalisation n’était pas le bon puisqu’il augmentait la douleur au lieu de la diminuer -(je l’ai ensuite vérifié après une période atrocissimis…simissime, insupportablissimis…simissime et invivablissimis…simissime sans correcteur): il s’agissait du Lepticure qui était prescrit d’office, mais on avait le choix avec l’Akinéton qui lui, je l’ai aussi vérifié ensuite, quand j’étais à 50 mg de Xeplion, fait encore plus mal. Aussi rend presqu’aussi douloureux 50 mg de Xeplion que 100 mg !).

Aussi ce que vous comprendrez -(dans cette lettre à toutes fins utiles )- est aussi que :

Ces dosages de Xeplion -(comme de Risperdal)- 50 mg, 75 mg, 100 mg, etc. sont,

N. B.: Suite après les seize paragraphes suivants ci-dessous :

[1]-(comme pour ces autres neuroleptiques de l’aldol qu’on a cru, dans les années 90, pouvoir me les prescrire quelques semaines à des dosages martyrisantissimis…simissimes donc insupportab[i]lissimis…simissimes et etc. -(qui auraient pu m’être évités parce que tous -[les responsables / les dirigeants -(dont ma mère impératrice et mon père empereur)]- étaient au courant, depuis 1977, de l’origine de ce que je ne serai pas au mieux de ma forme durant cette période 1977-2005 à cause d’amnésie exigée pour réaliser de façon canonique en pareil SPOK mes sacrifices de séparation -(d’avec mes promises S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck)- à partir de 1963, 1967 et 1977. En effet, tous savaient

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous

[2]-(à l’exception de ma personne amnésique des périodes de mes apparitions dans le ciel, trente-sept et vingt-sept ans avant d’avoir rejoint en chair et en os l’emplacement d’où ces apparitions / émissions s’étaient produites. Aussi ces apparitions avaient été -(trente-sept et vingt-sept ans avant que je n’ai à les [re]vivre en chair et en os)- des ante-prima –[des avanpremières / avant-premières]- en virtuel et non du réel, ce qui n’adviendrait dans la réalité qu’à partir de 2005 – soit du futur -[vu]- depuis -(à partir des)- les points de 1967 et 1977 où ces apparitions / elles étaient advenues)-

[3] Suite de la fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :

que je n’allais pas bien -(à partir de 1977)- en raison de l’amnésie canonique que j’avais dû m’imposer de ma fiancée Christine comme aussi de mes apparitions en 1967 et 1977 en ante-prima dans le ciel, [moi]- immense, sous la forme de nuages. Une amnésie que j’avais dû m’ingénier à obtenir de moi pour pouvoir, le jour venu, rencontrer ma seconde promise –(qui avait été ma première promise à ma naissance en 1963, avant la naissance de ma seconde promise Christine et dont nous avions su par mes apparitions tant audio que visibles/visuelles dans le ciel à partir de 1977 qu’elle existait très réellement dans le cas de figure de la Création dans lequel on nous contraindrait, Christine et moi, à partir de 1967 et de nouveau à partir de 1977 à nous séparer sacrificiellement et à perdre les enfants que nous attendions -(potentiellement / très probablement en raison de ce que j’avais vu apparaître à mon doigt annulaire des hommes mariés un anneau immatériel immaculé, soit le centre de l’aîné de mes enfants, voire la confirmation que d’avance il/elle se savait marié.e à son tour attendant ses enfants -(mes petits-enfants)- qui dans le futur avaient probablement donné leur feu vert se sachant mariés eux-aussi avant la naissance et ainsi de suite infiniment pour constituer la pyramide de mes descendants ayant trouvé chacun leur parèdre adamantine des origines et tout cela durant Le Rétablissement de la Vision d’Ôz que Christine et moi proposions avec l’accord de ma seconde épouse Michèle Finck de laquelle on nous confirmait depuis les années 2005 et suivantes que j’avais également une pyramide de descendants puisque l’anneau immatériel immaculé était réapparu vers 2005 à mon doigt annulaire des êtres humains les plus véritablement mariés)- l’un de l’autre, [donc avant même nos respectives naissances, ce qui avait probablement décidé de nos respectives réincarnations]). Ainsi, amnésique de ces exceptionnelles apparitions tant visuelles qu’audio de ma personne à partir de 1977 -(et uniquement sonores à partir de 1967)- et de mes sacrifices avec Christine, j’avais pu rejoindre S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck sans lui vouloir aucun mal d’autant plus du par moment inconscient, soit laipis que j’avais ainsi, à cause de cette amnésie, pu devenir. Aussi cette amnésie que je dus contracter était, à cause de cela, dans ce SPOK/ cas … , absolument indispensable : l’unique possibilité / solution

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous

[4]-(c’est-à-dire en évitant de me venger, voire de lui reprocher avec Christine notre sacrifice de séparation et à cause de cela la perte de mes/nos enfants d’avec Christine, voire d’autres choses, étant donné que nous avions appris d’avance du ciel -(où j’étais, (à partir de 1967 et de nouveau à parti de 1977), apparu – donc à ces dates-là d’un de mes moi-mêmes d’avance dans le futur, le ciel s’étant révélé ainsi être depuis 1967 trente-sept ans plus loin dans le futur et depuis 1977 vingt-sept années plus loin dans le futur, soit 2005), à partir de 1967 et années suivantes, mais une fois encore à partir de 1977 et années suivantes, [en ce qui me concerne ces deux années synchrones avec l’année 2005], que Michèle était réellement une de mes promises officielles puisque j’avais eu pour elle l’apparition de l’anneau immatériel immaculé à partir de 2005, ce qui confirmait que nous attendions nos enfants).

[5] Suite de la fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :

Aussi je devais rejoindre Michèle canoniquement par rapport à la situation dont nous avions été Christine et moi les victimes, puisque S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck n’avait pas voulu, en 1977, par téléphone

N. B. : Suite avec la proposition après le paragraphe suivant ci-dessous

[6]-(alors que nous faisions ainsi connaissance, moi depuis Rome et elle à Strasbourg – moi-même -[aux yeux de tous]- dans le ciel ayant transmis à l’âge de quarante-deux ans le numéro de téléphone de Michèle à Strasbourg à ma personne vingt-sept ans plus jeune en chair et en os dans le passé, à partir de 1977 âgé[e] de quatorze ans)-

N. B. : Suite de la fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus

[7]de ma proposition

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous

[8]-(des deux femmes légitimes –[Christine et elle Michèle] que j’aurais à épouser puisqu’en raison de l’anneau apparu pour l’une comme pour l’autre -(en 1977 et à partir de 2005), j’attendais donc -(depuis avant-même nos naissances respectives)- de l’une et de l’autre, des enfants)-

Suite de la fin de la proposition avant le paragraphe précédent ci-dessus

[9]en tant que vos dévoués serviteurs empereur et bouddha[hs], (soit ce que j’ai fini par appeler un eanmeailleurs et qui est synonyme d’» éveillé par acquis de conscience «), ce qui allait me contraindre à m’ingénier à devoir devenir un strictement laïc, un uniquement athée, souvent un ignorant, à me profaner en devenu souvent un inconscient et sur certains points, sans même le savoir, un sacrilège, soit un des laipis -(avec ce mot, il s’agit d’un acronyme des initiales en noir plus foncé des mots précédents dont la première lettre a été imprimée plus foncée)- pour, le jour venu, aborder Michèle canoniquement -(au sens de conformément -[c’est-à-dire en conséquence de]- à ce qui s’était passé à partir de 1977 pour nous tous -(et en 1967)- avec mon apparition audio-visuelle à Rome dans le ciel moi, à l’âge de quarante-deux ans en 2005, devenu dans le ciel de 1977 immense

N. B. : Suite après les six paragraphes suivants ci-dessous,

[10]/[1]–[(canoniquement, c’est-à-dire en droit[s] et devoir[s], conformément à la situation aussi exceptionnelle –[que la mienne avec Christine]- soit le,a -(le/la)- SPOK analysé.e en conscience -(que je retrouvais en moi progressivement à partir de 2005 par ce » travail « au sens psychanalytique), ce qui avait décidé dans les années 2005 et suivantes de cette amnésie à partir de 1977 suivant mes fiançailles cosmiques universelles si » incroyables mais vraies « avec Christine -(en réalité une sorte de mariage céleste -[avec mes interventions et apparitions depuis le ciel, ma personne mesurant – c’est une moyenne - six mille cinq-cents mètres constituée de nuages]- que nous avons eu à découvrir et à vérifier être placé vingt-sept ans après 1977, soit en 2005 ! Cette année 2005 et les années suivantes marchant / fonctionnant synchrones avec les années 1967 et suivantes et les années 1977 et suivantes).

[11]/[2]En fait il s’était agi d’une sorte de mariage hyperissimis…simissime sacré que je célébrais grâce à ma mémoire revenue -(dans le cadre auto-psychanalytique dans lequel j’étais)- du ciel en 2005 où, à mesure que les jours s’égrainaient, j’en avais le souvenir qu’il avait été sur Terre à partir 1977 -(mais déjà la fois précédente à partir de 1967 et années suivantes)- où j’avais été / j’étais avec Christine tandis que mon double -[dans le ciel (du futur)] – devenu immense - mais alors, du point de vu de 1977, virtuel : une virtuali -(ce n’est qu’à partir de 2005 que cet autrefois considéré comme -[du]- » virtuel « est devenu réalité ! D’où qu’il existe un décalage entre ce qui est virtuel – (c’est-à-dire, si on veut, possible) – et la réalité. Et c’est ainsi qu’on peut faire les meilleurs choix -(grâce à ce décalage au service des meilleures prévisions)- pour éviter ce qu’on sait être -(grâce au virtuel – [par exemple la conception en images 3D, mais aussi les idées, dont celles qui se révèlent :])- néfaste[s]). Tandis qu’en 2005 cela se reproduisait

N. B. suite après le paragraphe suivant ci-dessous

[12]/[3]-(parce que j’avais découvert entre autre[s] que Michèle m’avait caché des éléments de mon passé qu’elle connaissait, dont ce qu’avait représenté Christine pour moi en 1977 et dont je n’avais, en très grande majorité, plus rien su)-

Suite de la fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :

[13]/[4]en tant que souvenir qui me redonnait peu à peu la mémoire de ce qui s’était produit en 1977 et en 1967 et cela dans/depuis mon studio et au Jardin du Luxembourg, au cours de mon auto-psychanalyse et de la reproduction de façon multidimensionnelle

N. B. suite après le paragraphe suivant ci-dessous

[14]/[5]-(donc, entre autre, à la fois sous une forme privée, au sens de confidentielle entre moi-même ayant quarante-deux ans avec moi-même ayant quatorze ans, mais aussi publique car dans mon souvenir j’avais assisté à ces apparitions sonores avec les élèves de mon lycée français de Rome, le lycée Châteaubriand, mais aussi les romains, les touristes à Rome, mes parents, François Mitterrand et les habitants du Vatican en/depuis 1977),

N. B. : Suite de la fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :

[15]/[6]vingt-sept ans après, des Avertissements, soit de la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale dans le cadre de cette psychanalyse à haute voix dans ce studio à raison d’une moyenne de huit heures par jour de 2005 à 2013, contribuant, grâce à mes consultations d’Internet, voire du Quid et autres sources, à très progressivement me redonner la mémoire dans l’exercice de mes nouvelles fonctions d’eanmeailleurs -(mot de mon cru auquel j’ai donné le sens d’ »empereur-bouddhahs « :)- liées à ma condition d’empereur -(depuis 1995)- devenu, à la suite de mes divers travaux artistiques, à partir de 2005 -(à la suite d’une subite métamorphose)- bouddhahs. Soit un éveillé par acquis de conscience)]-

[16] Suite de la fin du paragraphe avant les six paragraphes précédents ci-dessus :

en raison de ce que cela signifiait d’avoir Christine et moi à nous séparer sacrificiellement pour Michèle et pour tous, en perdant les enfants que -[potentiellement]- nous attendions Christine et moi l’un de l’autre, en raison de l’accord / l’incitation de l’Univers pour/à notre mariage, à cause de l’apparition -(quelques secondes)- de l’anneau immatériel immaculé -(quand j’étais ce jour-là de 2005 –[alors que je déménageai pour le studio de la rue du Val-de-Grâce]- dans la pénombre de l’entrée du studio que j’habitai 32 rue Pierre Nicole à Paris Vème)- à mon doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés après avoir pris soin chacun de devenir l’un des bouddhas, soit un des éveillés / responsables par acquis de conscience),

(Suite de la fin du paragraphe avant les seize paragraphes précédents ci-dessus :)

beaucoup trop fortement dosés et je l’affirme en toute vérité, à ces dosages -(voire celui de 25 mg sans les médicaments corolaires du correcteur Artane 5 mg dont nous avons parlés)- responsables des suicides et/ou tentatives car leurs effets indésirables sont des plus atrocissimis…simissimes, pénibilissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes, douloureusis…simissimes, insupportabilissimis…simissimes, et etc., ce qui est hélas, infiniment hélas, encore le cas/SPOK à 25 mg, mais heureusement un peu moins, voire beaucoup moins qu’à 100 mg -(quatre fois moins)- et infiniment moins qu’à 150 -(six fois moins) !

Logique -(dans celle -[de logique]- des plus simples -[au sens d’élémentaires], voire des innocents -[cependant qu’ayant été scolarisés]- qui est à-premières-réflexions faites la bonne -(de logique), celle de la logique que vous avez utilisée pour dire que 50 mg de Xeplion c’est « un peu » plus que 25 mg -(deux fois plus)- à l’aune des 150 mg existants, sans tenir compte du fait que 25 mg est, en réalité, le maximum du maximum qu’on puisse -(après mes vérifications à ce sujet de bouddhahs grand inspecteur)- en conscience administrer à un patient -(avec le médicament correcteur sus-mentionné)- et sans avoir, à cause de cela, le jour du Jugement Dernier, soit le jour de votre mort à le regretter en obtenant alors, en raison du mal et/ou de la souffrance dont vous aurez été l’auteure, l’une ou l’autre des réincarnations les plus malheureuses et etc. , car en ayant cru pouvoir prescrire plus que 25 mg de Xeplion -(ou de Risperdal 25 mg tous les quinze jours)- toutes les quatre semaines, vous avez torturé -(alors que la torture est interdite, [pas seulement en France et dans l’Espace Européen car il s’agit d’une loi juste et cohérente -(celle de l’interdiction de la torture en raison du respect qu’on doit aux êtres humains vivants). Cette loi qu’on doit absolument appliquer concerne évidemment partout toutes les autres rRégions -(au sens de nations)- du monde])- car vous vous êtes conduite -(sans le savoir / sans en être consciente)- en inconsciente et en très véritable bourreau / sacrilège envers ma personne, étant donné que 25 mg de Risperda-(j’ai pu le vérifier sur moi-même dès 2013)- comme je suppose de Xeplion

N. B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous

-(bien qu’à ce sujet je me base sur mon expérience de 50 mg -[y compris de Risperdal – le Xeplion, avec le correcteur Artane 5 mg, je l’ai vérifié, faisant à 50 mg un tout petit peu moins souffrir -(que le Risperdal 50 mg), ce qui est toujours ça de bon à prendre]- ce qui signifie qu’on est en droit de penser qu’on pourrait avoir pour Xeplion 25 mg un tout petit peu moins de souffrance que le Risperdal 25 mg – ce qui est, une fois encore, bon à gagner)-

Suite du paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :

font constemment horriblement souffrir et etc.- voir plus haut la liste des superlatifs enfin véritablement absolus à répéter / relire / redire ici !).

Aussi imaginez un peu six fois plus -(comme douleurs qu’à 25 mg à 150 mg, voire quatre fois plus à 100 mg, trois fois plus à 75 mg, et deux fois plus à 50 mg de ce qui est déjà à 25 mg des plus pénib[i]lissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes, douloureusis…simissimes, insupportabilissimis…simissimes et etcétéraïssimis…simissimes -(dans le registre des maux à souffrir en victime[s] sans les deux à trois comprimés du correcteur Artane 5 mg deux fois par jour et etc. –[les autres médicaments, soit les corolaires plus ou moins facultatifs / nécessaires selon le patient comme le quart ou la moitié d’un comprimé de Lexomil deux fois par jour et le somnifère], ce qui a été le cas pour moi pendant deux ans), si vous pouviez encore vous exprimer oralement ou/et par écrit, ce qui vous sera alors -(en raison de la quantité de souffrance dont vous êtes la victime)- plus ou moins impossible, vous auriez pu le dire et l’écrire -(y compris en cochant les expressions proposées plus haut pour déterminer le degré de souffrances infligé[es] par les effets indésirables de ces neuroleptiques)-, si vous n’étiez pas comme paralysé de souffrance[s] insupportabilissimis…simissimes et etc., qu’en ajoutant logiquement en souffrant ainsi autant de » …simis… « de plus

N. B. : Suite dans le paragraphe suivant mais aussi la seconde suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

-(et en proportion de combien vous souffrez ou avez souffert)- là où il y a les trois petits points à l’intérieur et plus ou moins au centre, mais légèrement décalée[s] de chacune de ces terminaisons de superlatifs absolus qu’en toute logique j’ai créé[e]s parce que j’ai souffert cela -(et souffre cela bien qu’un peu moins grâce à l’Artane 5 mg, correcteur que j’ai trouvé moi-même, qui me permet d’écrire comme d’être à mes autres activités. Cependant -(au sens de malheureusement)- que cela advient avec beaucoup trop de difficultés à surmonter et de constantes souffrances)-

N. B. : Suite du paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :

pour essayer de faire part / rendre compte de l’infinité de maux / souffrances -(que/dont vous souffrirez en prenant ces « médicaments » à ces dosages de 25 mg qui restent / sont encore :)- les plus douloureusissimis…simissimes -(ce qui explique les réincarnations de prédateurs qui attendent chacun des pseudo et soi-disant[s] « psychiatres » les ayant prescrit

N. B. : Voir ici la suite après le paragraphe suivant ci-dessous mais aussi après les huit prochains petits paragraphes, donc au neuvième paragraphe

[1] -(vous voyez comme je vous aime : je vous avertis d’avance au lieu de me venger des souffrances injustes dont je suis la victime. Demandez-vous ici si vous tenez tant que cela à obtenir pour votre âme après votre mort, en raison de la souffrance dont vous avez été l’auteure, (à cause de ces médicaments beaucoup trop fortement dosés), avec les auteurs de ces médicaments et leurs complices à tous les niveaux, l’une ou l’autre de ces tragiquissimis…simissimes, tristissimissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes et etc. réincarnations de prédateurs au lieu d’obtenir toutes celles les plus utiles à l’être humain, voire si vous suivez les meilleurs conseils la condition de pur esprit).

N. B. : Suite du paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :

Fichier audio XIX

[2] -(ayant perdu -(ces psychiatres)- les raisonnements les plus logiques / rationnels les plus vrais tenant compte aussi, avant de prescrire de nombreux autres paramètres comme ceux de » à qui profite le crime « de ces prescriptions rendant ainsi, (avec ces dosages exorbitants de souffrances diverses plus qu’insupportabilissimis…simissimes et douloureusissimis…simissimes et etc. causées par les effets indésirables), artificiellement malade

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :

[3] -(en s’appuyant arbitrairement sur des présomptions irréalistes / fausses de noms de maladies pour s’autoriser la prescription de dosages -[tout à fait excessifs]- de « médicaments » déclarés pouvant soigner précisément ce que pourrait représenter comme état l’un de ces mots désignant des maladies comme ils pourraient servir tout aussi « bien » contre n’importe quoi d’autre, voire n’importe quelle maladie, ce qui conforte alors celui qui les prescrit dans la croyance qu’il se serait alors comporté en Médecin -(en ayant été abusé par/dans sa crédulité, voire -[dans]- son innocence). Oui ! Bien sûr : une caricature de Médecin ! Donc ici de façon imbue -(alors que pour soigner une personne, comme un Etat, d’un mal quelconque, il faut/convient/est conseillé de remonter à la cause -[sûre et certaine / à 100%]- pour en trouver ensuite le remède en s’interdisant jusqu’à là de prescrire les remèdes inadéquats car alors on a cherché à se faire passer pour un médecin en inventant mensongèrement / faussement le mal dont souffrirait cette patient.e en ayant eu alors l’embarras du choix pour désigner à sa fantaisie ce mal parmi, hélas infiniment hélas, tous les autres mots désignant les autres maux existants / possibles. C’est alors qu’en n’ayant pas trouvé la véritable cause dont souffrirait ce.tte patient.e, soit la très véritable origine d’un problème ou du mal d’un.e patient.e,, on ne se conduit que comme une caricature de médecin, soit en un.e imposteur.e / -(impostrice)- et un.e usurpateur/trice -(en très/plus véritable Médecine), soit en l’un ou l’autre des charlatans que S. A. I. S. S. S. L.nP. [Jean-Baptiste]- Molière -(en très véritable Auteur/Créateur et etc., [soit avec cet etc. des bibliothèques à son sujet de véritables compétences et d’états géniaux différents])- déjà dénonçait dans l’Intérêt et pour le Bien Général en nous ayant tous averti de l’existence de ces innombrables faussaires en, (pourtant parfois - heureusement devenue dans bien des cas)- sacro-sainte Médecine – car l’une des plus véritables -(Médecines -[avec celle des autres religions et les Arts et Sciences de l’Art, celles du bouddhahs que je suis])- existe)-

N. B. : Suite du paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :

[4] -quelqu’un qui ne l’est pas spécialement, voire qui ne l’est pas du tout dans mon cas

N. B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :

[5] -(vous le voyez bien, en devenant végétarien dans les années 90, je suis finalement, en 2005, redevenu hyper-cohérent et vrai comme dans mon enfance à l’âge de raison car bouddhahs, soit soudain un » éveillé « par acquis de conscience -(ce qu’à la vérité on ne peut reprocher à personne car cela a signifié de s’infliger des peines incommensurablissimis…simissimes, soit les efforts qu’il faut pour le devenir, hyper-cohérent et vrai)- en dehors de ce que la prescription du Risperdal 25 mg -(mais aussi du Xeplion 50 mg)- m’a effectivement rendu malade, oui, mais de souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes car douloureusissimis…simissimes. Aussi ces souffrances disparaîtraient toutes sans exception si vous acceptez de cesser de me prescrire le Xeplion 50 mg -(car si j’insiste autant pour cela c’est, bon Dieu, parce qu’il le faut parce que c’est vrai que durant ces écritures comme durant mes autres activités que vous savez -(comme toutes celles dont vous ne savez encore rien)- je souffre affreusement / horriblement, infiniment et injustement trop. Comprenez-moi je voudrais que ça cesse et vous avez le pouvoir de le faire en me supprimant, comme je ne cesse de vous le demander, Xeplion 50 mg d’autant que vous parviendrez à comprendre pourquoi en lisant toute cette lettre. Je vous prie d’arrêter le traitement comme je vous l’ai plusieurs fois demandé en Grand Inspecteur, en empereur, en bouddhas, donc en eanmeailleurs dans l’exercice de mes fonctions, mais aussi en tant que le maître dans toutes les autres compétences nécessaires à mes diverses activités cinématographiques, vidéographiques, photographiques, de peintre et d’écrivain, tant passées qu’actuelles),

N. B. : Suite du paragraphe 4 précédent le paragraphe ci-dessus :

[6] si ce n’est d’handicapé au paroxysme du paroxysme sur un autre plan

N. B. : Suite avec le paragraphe suivant mais aussi après le paragraphe suivant ci-dessous -(décidemment les notes de bas de pages gigognes nous manquent. Avec cette mienne invention de ces notes gigognes cela serait plus simple / aisé d’écrire) :

[7] -(celui d’être le premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à être dès sa conception un pharaon immaculé en raison que soudain en 2005 je devins bouddhahs -(comme le jour de ma naissance, mais aussi en 1967 et 1977), soit ce qui se traduit par éveillé par acquis de conscience, ce qui a changé la destinée de toute l’humanité en raison, à partir de cette soudaine prise de conscience en/de 2005, de mes communications / transmissions à effets rétroactifs à partir de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, mais plus spécialement, en ma présence pour m’en assurer, à partir de 1967 et 1977),

[8] mais qui croit devoir faire confiance à des personnes les plus scolarisées / soi-disant spécialistes et/ou reconnues par des pairs ou alors éprouve de réelles difficultés à communiquer tant son cas est complexe – ce qui m’a contraint à devoir faire de colossaux efforts d’auto-psychanalyse et d’écritures -[saintes]- pour déterminer ces causes ou/et l’origine de ce que j’ai dû me contraindre à faire -(les communications salvatrices)- à partir de 2005, une fois [re]devenu un éveillé par acquis de conscience)-

[9] -(et leurs complices les infirmiers, mais aussi les directeurs d’hôpitaux psychiatriques, et ou secrétaires de telles institutions, comme les ministres de la Santé et/ou leurs responsables chefs d’Etat)- qui auront cru possible[s] prescrire

N. B. : Suite après le petit paragraphe suivant ci-dessous :

-[en couvrant ce personnel de leur autorité] -(ou/et participer de près ou de loin en tant que famille du/de la patient.e à ces prescriptions martyrisantissimis…simissimes)-

N. B. : Suite du paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :

ce poison du Risperdal ou/et du Xeplion -(qui, qui plus est, n’ont, bien sûr, qu’immensément / infiniment très peu à voir avec la schizophrénie

Suite après le petit paragraphe suivant ci-dessous à lire :

-(ce pour quoi, à première-vue[s], ces médicaments seraient prescrits car à ce stade de « réussite[s] ». Evidemment lire ce mot de » réussite « avec toute l’ironie possible qu’il est d’usage d’utiliser dans les SPOK/cas … comparables, avec les mots mis entre-guillemets dans ce sens 4 -[et non 7])-

et son origine, ce qui en en sachant la cause comme je la sais -(en Vérité car vos dévoués serviteurs les bouddhahs eanmeailleurs, soit très véritable médecin depuis ma prime enfance – un enfant véritable – soit comme tous ceux devenus éveillés par acquis de conscience -[un enfant]- cela ne cesse de soigner ses prochains)- permet enfin -(en raison de mon expérience dans le domaine)- d’en trouver le plus véritable remède

Suite au premier caractère rouge du paragraphe suivant ci-dessous, voire autrement cette suite : après le paragraphe ci-dessous :

-(car cette schizophrénie provient, en occident, de la paradoxale incohérence de notre alimentation -(occidentale)- avec les meilleurs conseils prodigués -[résultant des]- par les religions intellectuellement admissibles -(ayant été fondées sur la notion de cœur, d’amour et de compassion, et leurs corolaires vertus pour donner des règles de vie à des personnes qui pourraient sinon se perdre dans l’existence au point, au lieu d’évoluer, d’involuer et par conséquent n’avoir comme perspective d’avenir que l’une ou l’autre des réincarnations animales plus ou moins intelligentes et en raison de cela grandement éloignées de la plus véritable condition humaine enfin débarrassée de cette animalité au sens négatif de ce mot qui heureusement dans certains autres SPOK en aurait du meilleur, soit du bon, du plus positif). Cette dichotomie -(cette division / coupure, ce paradoxe)- entre les naturelles aspirations des uns et/ou des autres au bien et de l’autre côté tout ce qui porte au mal transparait aussi dans les Arts et sciences de l’Art comme dans la plupart des programmes de télévision des enfants, donc en toute logique, (et saute aux yeux quand ces enfants sont / demeurent cohérents)- quand ils sont vrais ou/et raisonnent justement -(soit logiquement)- ils sont naturellement justes et par conséquent des défenseurs des animaux pacifiques et inoffensifs -(les API) -(cet amour, par exemple qu’ils ont des personnages de Walt Disney étant le reflet des meilleurs enseignements religieux non-violents). Donc cette alimentation occidentale est en contradiction avec toutes les aspirations / objectifs cohérents les plus sains, justes et spirituels. Mais on le sait il s’agit d’un héritage local, civilisationnel, régional -(circonscrit sur notre globe)- d’une des étapes du développement humain, donc d’une des étapes de l’Évolution grâce aux progrès de la civilisation en marche -(se construisant)- telle qu’elle poursuit -(avec ces coutumes de viandes –[et de charcuteries], ou pêcheries de ces API ayant fait, malgré eux-mêmes, de la plupart d’entre nous -(en croyant avoir le droit de les ingérer)- des prédateurs au lieu, au contraire, de[s] bouddhas -(la finalité de la condition humaine), soit de véritables éveillés par acquis de conscience -(É. A. C.)- ayant ainsi le feu sacré de la spiritualité la plus pure, donc alors naturellement au service de la recherche de ce qui est le plus vrai ou/et véritablement le meilleur en valeur absolu pour l’alimentation de nos organismes véhiculant/portant nos respectives âmes, celles-ci, c’est normal

N. B. : Suite après le petit paragraphe suivant (à lire) :

-(pour éviter la folie -[au sens négatif de ce mot qui peut dans d’autres SPOK en avoir du positif], ce à quoi on se doit naturellement)-

recherchant à être cohérentes ou/et vraies. Aussi, les uns et les autres, en occident nous sommes arrivés à une époque où il n’y avait pas encore, du point de vue des plus gâtés, toutes les solutions alternatives élégantes -(S. A. É.)- pour se nourrir en végétariens -(comme c’est, grâce à la succession ininterrompue des bouddhas –[soit des éveillés par acquis de conscience –(ÉAC)], depuis longtemps le SPOK/cas en Orient)- et l’un ou l’autre occidental nous avons reproduit -(sans nous méfier)- en l’intégrant en nous -(comme si c’était la Vérité comme possible[s])- les manières ancestrales de nos familles d’accueil, sûres de devoir nous croire omnivores -(alors que pour la majorité des indiens -(d’Inde), soit plus d’un milliard de personnes, elles sont sûres et certaines -[en Vérité]- (en ayant renoué en cela avec les plus lointaines époques où les armes n’existaient pas)- que l’être humain, (malgré l’existence des canines dans la mâchoire -[des êtres humains]- attestant de précédentes réincarnations dans lesquelles ces dents, plus développées, ont joué un rôle probablement de carnivore – donc avec ces canines comme le rappel que chacun d’entre nous est passé par la réincarnation de chien ou de chat ou de singe carnivore, par conséquent qu’il nous faudra éviter avec toutes les formes de régressions involutives)- soit/est végétarien et évidemment descende de nos ancêtres les plus éloignés qui ne connaissant pas encore les armes pour chasser et se nourrissaient des fruits des arbres tant qu’il -(l’être humain)- demeurât nu et innocent dans la zone Équatoriale, (berceau de l’humanité dans laquelle zone il n’y avait nul besoin de vêtements en raison de la météo toujours des plus agréable / excellente, d’autant plus de la vision du Très Saint Paradis -(d’Ôz)- (avant la très grande catastrophe –[tgc – (s’écrit toujours en minuscule)])- qui était alors partout autour de chacun et sur chacun)- avant la très grande catastrophe de la scission / division / coupure qui fut à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- car après cette tgc, à cause de la chasse et du processus de désertification lié à celle-ci comme à l’élevage intensif, il fallut recommencer à migrer vers d’autres régions -(plus au nord ou plus au sud de cet équateur africain d’origine, mais aussi plus à l’Est)- qui, en raison de la météo différente de celle équatoriale ont contraint à se vêtir l’hiver comme peu à peu à sortir des cavernes, (l’habitat naturel), en trouvant la SAÉ – solution alternative élégante - des premières architectures -(en bois ou en pierre)- qui se sont développées plus loin grâce à l’invention de la scie mais aussi, pour commencer, des haches -(de/en pierre - autre étape de l’H. A. H. – l’histoire de l’aventure humaine – au point de devenir une arme)- dans ces régions alors explorées hors des zones d’origine équatoriales au point d’amener certains de ces ancêtres les plus éloignés à se sédentariser en créant ainsi la notion de hameau, puis de village dans la forêt, puis à la campagne une fois défrichée -(cette forêt)- en raison de la découverte – une étape fondamentale de l’Évolution - de l’Agriculture qui a concerné ceux qui faisaient la découverte des SAÉ végétales et/ou végétariennes,

Suite après le petit paragraphe suivant ci-dessous -(qu’on peut néanmoins se donner la peine ou/et le plaisir de lire) :

-(donc à premièrevue[s] aussi la SAÉ – solution alternative élégante de l’élevage qui grâce au commerce -(une autre étape importante de l’Évolution fondée tout d’abord sur les échanges, le troc)- a permis de développer les premières villes grâce à la notion/création de l’argent, au sens de monnaie, soit ce que nous avons appelé crédits financiers propres et mérités de droit – C.F.P.M.D. et ses variantes : revenus … -[R.F.P.M.D.], moyens … -[M.F.P.M.D.], etc.)- et si omnivores, c’est parce que nos ancêtres ont aimé -(au sens d’attachés spirituellement, les ayant comme des exemples locaux à suivre)- leurs ancêtres plus éloignés s’étant pliés à ces habitudes / façons de faire / vivre datant d’époques encore plus lointaines, quand avant la solution alternative élégante de l’élevage, il n’y avait que la chasse comme moyen de subsistance –(ce qui alors prenait beaucoup de temps – [pour illustrer ici voir, par exemple, les albums de bandes-dessinées de Rahan] – et n’en laissait que peu à la culture des champs à cause de ce que les territoires étaient majoritairement constitués de forêts dont on s’est d’abord servi, (comme encore de nos jours en Amazonie)- pour édifier des maisons en bois avant, ailleurs -(dans d’autres régions plus techniquement avancées)- de les construire en pierre, puis, pour varier, en briques, une des SAÉ avant, au XIXème siècle, d’essayer de généraliser la SAÉ des structures et des poutres en métal, et etc.)-

Suite du paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :

pour se sustenter et varier -(offrir du nouveau)- de l’alimentation due à la chasse et/ou à l’élevage et ces ancêtres, s’ils ont fait une mise-à-jour en raison de l’élevage, la SAÉ -(ce qui fit cesser les pratiques d’anthropophages de tous ceux dont on s’est alors heureusement défendu, en légitime défense, par/avec la création d’armes),

Aussi se sustenter en omnivore et non en exclusivement végétarien cela a donc été mathématiquement à l’origine d’une sorte d’écartèlement psychique qu’on fait bien de nommer schizophrénie -(donc en fait une maladie très occidentale liée à l’état d’omnivore, soit à la paradoxale non adéquation -(des aspirations de chacun à la bonté encouragés à cela par les différentes religions de l’ [a]Amour), avec la réalité qui nous offre / propose des produits à l’origine -(en raison de la quantité des meilleures solutions alternatives élégantes végétariennes), de la méchanceté -(aussi des personnes bonnes sont devenues à leur insu, à cause de leur alimentation à l’origine de comportements traditionnels non remis en question ou/et mis à jour car des besoins devenus / vus aussi -(pas seulement ceux de réalistes en conséquence et à première-vue cohérence avec l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- dans nos régions occidentales)- comme des preuves de méchanceté. D’où l’écartèlement entre le bien et le mal et, en remède, le besoin d’être plus véritablement cohérent[s] en renonçant à la méchanceté en soi et en s’imposant, à partir de l’exemple de très véritables saints comme S. E. A. I. S. S. S. L. P. Dieu Léonard de Vinci -(qu’on ferait bien au moins de canoniser en saint –[si on ne veut pas croire qu’il était Dieu]- et mettre au Panthéon à Paris à l’aune de ce qu’on lui doit de génial partout), de devenir végétarien car sinon -(il y a les probabilités du danger de :)- schizophrène, donc ce clivage, cette dichotomie sera pour les omnivores -(ce que, ne le nions pas, nous sommes, en l’ayant du moins toujours à l’esprit grâce à Dieu, tous. Ne serait-ce que par sécurité et en raison de réincarnations précédentes à toutes celles, les dernières, avant la réincarnation en être humain, en API – animaux pacifiques et inoffensifs - herbivores quadrupèdes = APIQH ; celle de chien et/ou de chat par lesquelles nous sommes probablement tous plus ou moins passés avant d’obtenir en raison de très bonnes conduites une des réincarnations en APIQH -(étant le passage obligé avant d’obtenir le droit à la réincarnation en être humain). Aussi on comprend que c’est véritablement bête, au sens négatif et non positif de ce mot de » bête « dans d’autres SPOK, que de rechercher autant que cela d’involuer à la condition animale dépourvue d’esprit, soit celle de laipis, au lieu du contraire : évoluer, c’est-à-dire progresser vers la condition d’éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit en l’un des bouddhas)- en s’imposant continuellement de périodiques mises à jour et cela d’autant plus des temps actuels / modernes / contemporains qui nous offrent toutes les SAE de nourritures végétariennes), l’origine de l’incohérence avec cependant toutes les aspirations à être utiles et bons, donc à bien faire, par conséquent -[l’origine aussi]- de la schizophrénie : écartelés, comme dans La Nuit du Chasseur de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Charles Laughton entre le bien et le mal

-(voir, par exemple ici, pour illustrer, l’excellent film du Doctor Jekyl et Mister Hyde)–

car le Bien, heureusement, en valeur absolu existe -(nous en avons pris connaissance avec, par exemple, le sacrifice de Jésus Christ comme ceux – des sacrifices - de tous les saints et les martyrs, mais aussi grâce à quelques textes sacrés plus anciens de l’Ancien Testament – comme aussi à l’occasion de ma séparation sacrificielle et la perte de ma descendance d’avec S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang, ce qui a permis de me rendre la mémoire quand tout a recommencé à partir de 2005, une fois redevenu un éveillé par acquis de conscience), par conséquent est une perspective praticable / un très réel objectif / un choix possible / juste / bon / bienfaisant / beau / vrai -(et évidemment en toute logique – ce qu’il convient de reconnaître car sinon on est un menteur, soit intellectuellement un/des malhonnête[s] - n’autorise pas en conscience de/à nous nourrir

-(autant injustement qu’on se l’était autorisé dans les temps où les SAÉ – solutions alternatives élégantes – n’existaient pas encore sur nos marchés),

d’animaux pacifiques et inoffensifs, soit des API et/ou herbivores quadrupèdes, les APIQH)-

au point, à l’inverse, pour certains d’entre nous de ne pas/plus en savoir la cause car cela s’est produit pour tous entre notre naissance et l’âge de quatre ans -(en général, pour les plus avancés des enfants, l’âge de raison, soit l’âge de la première rentrée à l’Ecole Maternelle)- où/quand nous avons contracté certaines des mauvaises habitudes régionales / traditionnelles culinaires de nos ancêtres et cela par amour pour eux -(en cherchant à leur ressembler au lieu de remettre en cause leurs traditions au fur et à mesure de la découverte de S. A. É. A. -[alimentaires]), au lieu préférablement de nous méfier d’eux ayant de fortes probabilités de véhiculer des préjugés en matière alimentaire -(ayant -[très probablement]- été victimes de ces nombreux préjugés et n’ayant pas cru pouvoir mettre en doute ces à-premières-vues bienfaits traditionnels)- au point, à l’âge de raison, par acquis de conscience, de repérer ce qui n’était pas/plus cohérent chez eux, donc d’être vigilant comme le Petit Poucet –[ou/et Léonard de Vinci]- ou/et vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz)-

Ces parents n’ayant pas poursuivi leur évolution en toute conformité / logique avec les progrès accomplis par la civilisation. Et cela par tous ceux qui ont continué à se nourrir d’A.P.I. au point d’être à l’origine même du réchauffement planétaire et de la prédation ou/et du vampirisme des don Juan -(autre maladie, le don juanisme !)- qui est / résulte de certaines des manières d’être d’adolescent[s], causées par les choix malheureux de départ pour s’alimenter car ils ont à l’origine de nombreux malentendus / incompréhensions / manque de réflexion[s] les plus honnêtement pensées, (la mise-à-jour conformément à nos principales avancées n’ayant, dans encore de trop nombreux SPOK/cas particul… , pas été faite)- voire des injustices qu’on a, en complice[s], eu la lâcheté d’accepter ou parfois d’en être les auteurs comme ce fut mon cas enfant, sous la contrainte et l’intimidation de mon père ayant été convaincu par des pseudo et soi-disant médecins de la génération de ses parents de la nécessité des protéïnes provenant de la viande animale des API, au lieu de chercher / consommer les protéines SAÉ végétales -(qui font exactement le même effet, sans avoir eu besoin que les auteurs de celles-ci ne se rendent complice de ceux qui croient encore possible faire le mal en versant le sang d’animaux innocents pacifiques et inoffensifs -(AIPI), soit s’attaquer lâchement à ces SAE alors que ces SAÉ existent pour nous permettre de vivre d’une façon cohérente avec les notions de bien, beau, bon, fécond, etc. , ce qui évite alors de devenir schizophrène -(le choix du bien ayant été fait car il est totalement possible depuis longtemps en Europe –[au moins depuis la Renaissance, à l’époque de S. É. A. I. S. S. S. L. P. Léonard de Vinci]- dans tous les cas, soit pour chacun des SPOK, soit chacune des situations précises, donc étant en fait depuis longtemps à la portée de quiconque / tous)- et cela parce que se nourrir en végétarien permet tôt ou tard de devenir -(comme j’ai eu l’honneur de le démontrer en toute logique avec le mot d’amour mais aussi parce que j’avais en perspective de futures responsabilités paternelles à devoir assumer, donc à la recherche d’une plus grande cohérence en moi), l’un des éveillés-par-acquis-de-conscience puisqu’on ne pactise plus avec ceux qui croient encore possible de nos jours -(malgré toutes les SAE existantes)- le mal ou/et la méchanceté et qui prétendront mensongèrement être cohérent[s] avec la civilisation ou/soit une idée erronée de l’être humain -(alors que la plus véritable -[civilisation]- est / doit être en adéquation avec les principales caractéristiques des coutumes de ces ancêtres les plus lointains qui ne disposaient pas d’armes et qui ne se nourrissaient que de fruit[s] des arbres, soit en fructivores, bien qu’en suite, plus loin dans le temps vers notre époque, en raison des découvertes des céréales, des légumes et des variétés de champignons, et des produits laitiers, etc. soit des SAE, nous ayons tous gagné en possibilité de varier -[de]- notre ordinaire, car/puisqu’il existe plusieurs milliers de recettes végétariennes -[dont déjà, pour vous donner un premier exemple, toutes celles, (sept cents : 700), dans le livre de Walter Pedrotti, Il Nuovo Cucchiaio Verde aux éditions DemetrA, 2001 -(deuxième édition)], ce qui est amplement suffisant pour manger de façon variée tout au long d’une année -(en pouvant, l’année suivante recommencer à zéro et ainsi de suite en étant assurés que cette variété de saveurs ou/de goûts attestent / témoignent avec la recette de l’eanmeailleurs dont j’ai eu l’honneur d’être l’inventeur de l’existence enfin possible du dévoilement du très saint paradis (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm)- dans ce monde)- soit, à cause de cela, de connaître les plus véritables plaisirs -[de manger.]- de la table – qui, pour l’instant, en raison de cette pléthore de SAÉ n’a pas interdit la chasse ni l’élevage pourtant à l’origine des effets de serre, donc du réchauffement planétaire mais aussi de tous les actes violents -(soit de barbarie ou/et de brutes)- au sens négatif de ce mot, qui peut en avoir du plus positif dans d’autres SPOK/cas … y compris sur ce sujet sur un autre plan qui est précisément le fait que dans certaines régions l’élevage reste àpremièrevue[s] une bonne SAÉ à la chasse, ce qui fait perdre du temps et rapporte beaucoup moins que l’élevage qui est, nous l’avons dit, malheureusement à l’origine de la désertification -(Sahara et autres déserts)- et des émissions trop importantes de CO2. Voire pour/à cause de ça le désert qui s’est développé en Égypte pharaonique de part et d’autre du Nil, mais aussi les autres déserts -(de notre planète)- au départ causés par l’élevage -[des API et des APIQH]- intensif aux fins de boucherie alors qu’on pourrait amplement se contenter de l’élevage aux fins de pâtisseries : crèmerie ou/et fromages, et/ou produits lactés / laitiers, voire aux fins de tissages de laine. Pourquoi rechercher le beurre et l’argent du beurre quand on peut déjà se contenter largement des bienfaits les plus élaborés, soit tous ceux apparus historiquement peu à peu avec le[s] pProgrès et/ou mises-à-jour culinaires / alimentaires qui nous évitent de nous mal conduire, soit en préhistoriques – attardés mentaux – omnivores, au lieu de nous conduire bien de chez nous, en réels produits des plus véritables bienfaits / avancées de notre civilisation ?)-

Fichier audio n°XX

Mais l’élevage à des fins de bouche[rie] est en réalité, tout bien pesé, à l’origine -(la cause)- de l’incohérence qui se manifeste dans les propos de tous ceux n’ayant pas songé à -[se]- mettre à jour

-(de faire une misàjour – mise-à-jour)-

avec notre époque des nombreuses solutions alternatives élégantes végétariennes : SAÉV grâce à, (depuis la Découverte des Amériques), notre civilisation de la mondialisation des échanges commerciaux :

-(lire ici pour SAÉV : » çaÈve « pour faire un peu d’esprit et rendre plus facile -(faciliter)- la compréhension de ceux qui auront déjà oublié ce que SAÉV signifie)-,

par conséquent à poursuivre leur évolution en fonction des nouveaux paramètres qui, déjà anciens, induisaient naturellement -[à]- des changements des/dans les habitudes alimentaires -(dont l’origine est parfois fondée sur des bases le plus souvent ataviques / traditionnelles, par conséquent d’un héritage qui explique qu’on y ait adhéré localement en en devenant conservateurs, sans chercher à remettre ces coutumes en cause en fonction des nouveaux paramètres et des SAÉV. C’est ainsi qu’on cesse régionalemen-(au sens de localement – en ayant conscience que ce mot de » localement « est à géométrie[s] variable[s])- d’évoluer ou/et de progresser au point d’être parfois même dans une sorte de cécité intellectuelle, à cause de ces certitudes anciennes -(d’un autre temps dont on a hérité)- dont l’origine était conforme à d’autres époques dont les vérités relatives constitutives de ces choix alimentaires n’ont pas bénéficié de remises en question à cause de l’apparition sur nos marchés de ces SAÉV à l’origine de très nombreuses recettes exquisissimis…simissimes, donc divinissimis…simissimes, soit délicieusissimis…simissimes).

Car la diversité des fuseaux horaires comme des latitudes et longitudes, (soit celles de la Géographie), a créé

-(avant que le Commerce InterRégional -[au sens d’International]- ne s’impose partout en raison du fondamental intérêt qu’il revêt ne serait-ce que pour acheminer les produits de première nécessité)-

en matière d’alimentation des vérités relatives paradoxales -(y compris dans/pour la recherche de la vérité en la matière de la meilleure alimentation pour l’être humain digne de cette appellation –[dans ce qu’elle peut avoir de mieux au sujet de l’être humain]), d’autant plus des paramètres historiques -(chronologiques)- comme démographiques -(statistiques)- comme des autres paramètres qu’on devrait avoir présents à l’esprit dont tous ceux sociologiques et psychologiques mais aussi concernant le mimétisme, soit de reproduire ce qu’une personne ou un groupe d’êtres humains fait, à partir d’exemples de personnalités admirées -(aimées)- et cela concerne donc l’Éducation car c’est bien durant les quatre premières années de nos existences respectives, en tant qu’enfant dans sa prime jeunesse atteignant l’âge de raison –(car, vers sept ans, ou avant dans certains SPOK, on ne comprend alors que ce qui logique et bien / justement raisonné), que ces -(mauvaises)- habitudes furent, hélas infiniment hélas, prises localement en matière alimentaire et cela parce qu’on a été les uns et les autres contraints et forcés de/à manger de la viande, de la charcuterie, des poissons -(sans dents, par conséquent de ceux pacifiques et inoffensifs), mais aussi des coquillages comme les huitres, les moules, etc. , des escargots, etc. -(et contraint à nous en nourrir par l’intimidation -[de la part]- de nos aînés si nous nous y refusions, car pour ce comportement irrespectueux / totalitaire / tyran / despotique, nos aînés ont cru entendre / transmettre la vérité en matière alimentaire -(alors qu’il s’agissait avec l’alimentation ainsi proposée d’une vérité relative, circonstancielle – liée à une époque précise non en avance sur son temps, par conséquent traditionnelle, au sens de conservatrice non progressiste - et non de la vérité)- au sujet de la meilleure des alimentation[s] à transmettre / déclarer, cependant qu’ils n’ont pas assez réfléchi à ce qui n’était en la matière qu’une vérité relative et non pas la vérité -(alors beaucoup trop complexe pour être connue de tous –[car objective et en accord / en toute cohérence avec la conscience ; elle tient compte de tous les paramètres et non de quelques-uns seulement à première[s]-vue[s] bons]- et en raison de cela en hauts lieux respectée et servie car efficiente notemment pour obtenir les meilleures guérisons, voire toutes celles qui seraient miraculeuses)- mais des variétés de vérités relatives -(et non la Vérité)- de niveaux de compréhensions de degrés différents -(liés aux paramètres / arguments dont on tient compte –[hélas, si on en oublie un seul dans le raisonnement, on ne trouve pas la vérité -(nuancée)- sur chacun des sujets les plus complexes pour se déterminer dans les meilleurs choix à prendre en raison des responsabilités]- au sujet de ces aliments. Par exemple il y a des vérités relatives qui ont longtemps affirmé -(persuadé d’avoir pensé honnêtement et objectivement, donc apparemment de bonne foi)- que c’est bon de manger tous les produits carnés de viandes des API et APIQH y compris bon pour la santé et les gens qui l’affirment semblent en être convaincus, le croient sincèrement par conséquent semblent ici dire la vérité, alors que ce qu’ils disent n’est alors qu’une vérité relative -(du genre de celle qui autrefois faisait à certains « médecin» -(lire avec le son ironique qui s’impose ce mot de médecin entre guillemets)- pratiquer la saignée ce qui était à l’origine des anémies de plus en plus grandes et qui tuait, si trop longtemps pratiquées, le patient qui perdait peu à peu toute sa force, son énergie, au point d’en mourir. Belle façon de soigner ! lire ici ces derniers mots avant le point d’exclamation, évidemment de façon ironique !)- relevant de ce qui est devenu préju –(soit ce qui n’a pas assez été analysé à la lumière de nombreuses catégories / disciplines / nouveautés / paramètres / facteurs / disciplines scientifiques), d’autant plus qu’ils s’appuient sur des paramètres d’une époque ayant évolué assez pour proposer quotidiennement les admirables / délicieuses / divines / etc. SAÉV -(acronyme de solutions alternatives élégantes végétariennes proposées)- par tous les plus précieux lama. Ceux qui ont eu accès à dessiner des choses compréhensives comme certains mandalas, soit qui ont eu accès à la possibilité de représenter du compréhensible, donc non seulement au discernement des vérités relatives et/ou des mensonges, voire des inexactitudes mais à la Vérité, soit à la conscience, comme ce plus grand peintre de la Renaissance, S. E. A. I. … Léonard de Vinci). Aussi ce qu’ils ont cru possible manger -(ces viandes animales des API, voire des APIQH)- c’est, vu d’une certaine manière, comme si cela était fait d’innocente faço-(à l’aune de la réalité de notre époque ne portant pas spécialement à conséquences néfastes ou au mal car il s’agit, avec ces mets en accord avec notre civilisation des solutions alternatives élégantes -(SAÉ - depuis les premières chasses ou/et des premiers élevages)- de solutions alternatives élégantes qui nous ont à tous parues bonnes pour éviter de se conduire en ce qu’il y a de pire, d’indigne, voire d’absolument impossible, voire de totalement tabou de la part de n’importe quel être ayant profité d’un ou deux bienfaits de la civilisation -(voire qui serait seulement au stade, au début de ce film, de L’Enfant sauvage de S. A. I. S. S. S. L. P. François Truffaut). Soit ce qui ne peut advenir que grâce aux éveillés par acquis de conscience, par conséquent en devenant un être humain au sens le plus vrai / juste : voire parachevé)- et évidemment de totalement inadmissible par tous et bien sûr et évidemment de totalement interdit, soit de complètement tabou : -(défendu - sauf, par ce qu’omnivores, en situation de force majeure à cause de la météo comme dans la fameuse séquence de La Ruée vers l’Or de S. E. A. I. S. S. S. L . P. Charlie Chaplin -(où ce problème / sujet est un peu évoqué de façon à première vue comique. Or il s’agit là d’une situation en réalité tragiquissimis…simissime, [mais, pour rire et détragidifier / détragiquifier–(rendre moins tragique la situation)]- nos deux mangeurs qui étaient prêts à devenir anthropophages se limiteront au cuir et aux clous de l’une des chaussures de Charlot – qui court donc le danger de prendre froid par ses pieds à l’air dans ce rigoureux hiver])- ou comme dans le film dont le sujet est, parait-il, un accident d’avion dans les Andes -[ou ailleurs] ? Parait-il basé sur un fait réel ; (je n’ai pas encore vu ce film mais j’en connais vaguement le sujet et l’imagine :)- perdus, les rescapés par miracle, à mille lieux de la civilisation, ce qui aurait pu être traité comme sujet par S. E. A. I. S. S. S. L. P. Antoine de Saint-Exupéry quand il a rencontré en Petit Prince le renard -(pâle. Mais c’est autre chose et il ne faut pas confondre avec S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Rouch)- dans le désert) : en raison, ce tabou absolu d’autant plus que la peine de mort est interdite, a été abolie comme il est interdit de torturer – car sous la torture on va dire tout ce que l’autre qui vous torture cherche à entendre. Par conséquent rien de véritablement vrai -(soit de ce qu’on peut dire en ayant à l’esprit tous les paramètres y compris liés à la légitime défense de soi-même et des siens, ce qu’on doit respecter étant le droit de chacun y compris de ceux qui ont fait le mal). Il faut qu’on arrive à comprendre que chacun des êtres humains -(y compris tout ceux qui sont encore, sur certains points, dans le mal)- va avoir un jour ou l’autre, la possibilité d’accéder en lui-même à la conscience, soit alors de devenir, à partir de ce moment-là, pluriel, comme les plus grands et véritables artistes ou/et acteurs –[S. A. I. S. S. S. L. P. Orson Wells ou/et Charles Laughton et/ou Gérard Philippe, Michel Simon, Harry Baur, Michael Lonsdale, etc. ]- au moins un ou/et plusieurs univers différents, par conséquent avec les personnages qu’ils incarnent à l’écran, voire dans leur existence d’être très précieux pour tous)- l’anthropophagisme, ce qui est, ce tabou -(nous l’avons dit :)- pierre angulaire, clé de voûte et/ou une des avancées fondatrices de chacune des sociétés / civilisation des êtres humains car c’est à un autre degré de la pensée, -(tenant compte de plus nombreux paramètres y compris religieux et sacrés), en fait pécher car, en réalité, continuer à manger en omnivore, malgré l’existence de toutes les solutions alternatives élégantes végétariennes porte au mal dans nos régions, à notre époque en raison des paramètres qui ont été omis dans les raisonnements de ces personnes qui se considèrent omnivores pour s’autoriser ces pratiques à cause de ceux qui, en occident, nous ont, alors qu’enfant[s] – donc abusant de notre confiance - incité à manger ces viandes d’API et / ou d’APIQH pour nous en nourrir, fiers de ne plus se comporter comme des laipis -(par conséquent de croire avoir accès au sacré en la matière), soit à certains moments des barbares / sauvages au sens négatif de ces mots qui en ont du posituif -(pardon, positif)- dans d’autres SPOK)- ce que nous avons fait, voire parce qu’on nous y a contraint -(si nous étions de ceux n’en voulant pas)- par intimidation / force / brutalité mal polie, etc. -(donc au sens négatif de ces expressions qui, dans d’autres situations précises, … , donc SPOK, en auraient du meilleur, soit du positif), indigne de l’être humain plus véritable, soit de l’honnête homme -(le fils / produit des civilisation les plus évoluées, au sens positif de ce mot de civilisation qui en aurait du négatif dans d’autres SPOK – donc purs produits de l’intelligence, soit de la lumière, éclairés : illuminati)- donc au sens ancien de cette expression de civilisation, mais d’un honnête-homme -(H. H.)- enfin honnête homme del tutto -(entièrement)- comme le sont la plupart des lamas -(précieux)- tibétains, soit un très véritable gentleman n’ayant plus à porter le masque, donc qui serait -(en étant devenu végétarien)- enfin constemment dans le vrai car cohérent, grâce au choix qu’il a fait des SAÉV pour son élémentaire alimentation et celle de sa famille, ses descendants en voyant loin pour eux – leur temps, leur monde - avant leur venue au monde : le futur est végétarien ou ne sera pas : c’est ce qu’on comprend avant un très / plus véritable mariage car peu à peu on a découvert les qualités et la bonté de l’autre qu’on a appris à aimer, et ce sont elles, ces qualités qui vous changent d’adolescent parfois méchant, égoïste, injuste, laipis, à désireux de bien faire au point d’aimer autrui de loin mais avec bonté autant que celle-ci à/pour soi-même et aux siens pour se traiter soi-même avec le même esprit bienfaisant / fécond – en essayant de mettre en pratique » d’aimer autrui autant que soi-même «).

Manger en omnivore c’était donc une vérité à premièrentendue -(à première-entendu.e.[s])- et non del tutto -(entièrement. Soit à plus de cinquante pour cent), soit celle absolument vraie, c’est-à-dire tout mûrement réfléchi / pesé, au point de comprendre alors que cette vérité à laquelle nous avions cru n’était pas entièrement la Vérité mais seulement en partie / un degré de la vérité –(celle-ci s’expliquant en raison de facteurs précis dans l’omission d’autres paramètres / arguments qui auraient porté à un autre degré la vérité et par conséquent alors des choix de vie différents, car plus en adéquation avec ce niveau de vérité -[plus juste et/ou exacte]), voire hélas, infiniment hélas, en réalité –(en creusant un peu, c’est-à-dire en se donnant la peine de penser ou/et de disserter en toute honnêteté avec thèse, antithèse synthèse et conclusion), de nos jours un mensonge ! qui nous aura abusé au point de croire possible défendre ce way of life -(c’est-à-dire cette façon de vivre, traditionnelle, conservatrice -(dont on connait les à premières-vues bonnes raisons d’être. Hélas ici asens négatif dce[s] mot[s] qui dans d’autres SPOK a/ont dpositif – [ASNDCMQDDASEAODP] – ici j’ai essayé de trouver un mot acronyme pour cette phrase / proposition qui revient assez souvent, mais c’est raté, à moins qu’on réduise à S. N. M. A. S. P. soit SNMASP pour gagner de la place)– ce qui peut paraître -[seulement]- à première-vue bon, d’autant qu’il n’y a pas seulement en occident qu’on mange de la viande animale des API et APIQH, mais dans un grand nombre d’autres contrées pas spécialement occidentales, ce qui signifie que la maladie de la schizophrénie est une conséquence d’une ou plusieurs incohérences –(d’un écartèlement psychologique pas encore résolu, probablement remontant à la prime enfance, celle où on a pris l’habitude de manger de la viande des API, durant le temps de la naissance à quatre ans, voire dans d’autres SPOK entre la naissance et l’âge de sept ans). C’est par l’auto-psychanalyse comme par l’étude de ces communications orales, c’est-à-dire la recherche de la vérité, mais aussi la réflexion sur les éléments encore de notre mémoire, donc si possible en ingénieur savant -(et par acquis de conscience, mais aussi, [pourquoi pas une fois compris ce que ce mot peut revêtir comme sens], avec l’aide du Saint-Esprit)- que je suis arrivé à connaître / pénétrer l’origine de la schizophrénie –(la maladie de tous ceux qui croient être omnivores et s’autorisent ces viandes animales des API – animaux pacifiques et inoffensifs, voire – en croyant ici être cohérents - celles aussi de prédateurs carnivores), soit ses causes, son origine, ce qui m’a permis de proposer en tant que médecin malgré moi -(bien que grand inspecteur et en tant que bouddhahs patron des chirurgiens et des médecins)- la meilleure des SAÉ -(le meilleur des remèdes)- avec une alimentation végétarienne qui, je l’ai vérifié sur moi-même, permet -(mais il ne faut pas être pressé / impatient et/car cela peut prendre trente ou quarante ans, voire plus ou moins de temps dans d’autres SPOK/cas … )- de retrouver la conscience, ce qui permet alors de plus facilement approcher et rechercher / servir la Vérité au cas par cas, soit SPOK par SPOK -(situation précise, occasion, cas particulier, car ici avec cet acronyme il s’agit d’une exception qui confirme la règle : K résulte de c de cas plus p de particulier alors que le S est celui de situation, le P de précise et le O d’occasion, soit ce SPOK qui veut dire situation précise, occasion, cas particulier)- par ce qu’on est alors comme la Statue de la Liberté, à penser oréolairement © -(ou oréolèrement © : dans toutes les directions autour d’un cercle)- en liaison avec toutes les directions et/ou catégories, matières, disciplines, donc, d’une certaine façon, en multidimension, à ne pas oublier que c’est aussi grâce à cette tradition de l’alimentation carnée combattue -(mais bien entendu comprises dans ses causes héritées collectivement, donc combattue avec intelligence et respect de tous ceux qui sont encore prisonniers de cette manière antique / traditionnelle -(dans certaines régions)- de se nourrir car elle est devenue une sorte de mécanisme / d’habitude / way of life égoïste au SNMASP : asens négatif dcmot qui dans d’autres SPOK ea dpositif)- que les plus grandes œuvres de l’esprit sont apparues possibles -(avec, par exemple, Ses Éminences Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Léonard de Vinci qui nous a donné l’exemple, par ses nombreuses œuvres -(de végétarien)- de sces -(ses + ces = sces)- possibles SAÉV - solutions alternatives élégantes végétariennes qui remontent donc avec Lui à longtemps car c’est alors autour du règne de François Premier, ce qui signifie que se nourrir ainsi en végétarien c’est depuis longtemps en occident, donc qu’on n’est plus obligé de se nourrir à la Rabelais. Par conséquent que le changement de notre alimentation -(pour avoir la vie éternelle en raison de l’accès à la conscience)- était possible au moins dès 1470 -(si ce n’est bien avant)- si nos ancêtres avaient compris, en raison de l’œuvre immensissimis…simissime et génialissimis…simissime et etc. de Léonard de Vinci qu’il donnait là la voie à suivre en exemplaire pour accéder au génie de l’être humain éveillé -(soit bouddha)- par acquis de conscience, soit à la compréhension du mystère de l’Homme de Vitruve -(qu’entre-parenthèse en raison du cercle dans lequel il s’inscrit, comme au centre d’une rosace, on pourrait un jour présenter tournant sur lui-même)-, soit Son Ecce Homo auquel, on le sait, j’ai récemment rendu hommage avec la représentation qui est sur la couverture du livret de Poésie Shéhé Resistance de Michèle Finck, ma fiancée)].

Fichier audio XXI

A cause de notre naturelle prédisposition à aimer les API(QH)É -(animaux pacifique inoffensifs -[quadrupèdes herbivores] et etc.), ce que fort heureusement tous nous -(naturellement)- [re]cherchons à faire à partir du moment où nous trouvons anormale la loi de la jungle -(pour gouverner les relations entre les membres de la société humaine), soit celle où les animaux prédateurs -(les plus forts)- s’attaquent en lâche[s] et méchemment à ces API ou/et APIQH, au lieu de s’attaquer, comme ils le doivent, à pire qu’eux -(ce qui serait alors la plus véritable loi de la jungle), mais aussi si nous défendons ces APIQH c’est parce qu’il s’agit avec chacun d’eux de la réincarnation précédent à leur mort la réincarnation en être humain, mais aussi de réincarnations de la plupart des animaux prédateurs s’étant bien comportés durant leur réincarnation en chien ou en chat. A leur mort les âmes de ces chiens et ces chats, s’ils se sont bien comportés, obtiennent une réincarnation en l’un ou l’autre des APIQH qui n’ont pas d’autres objectifs, à cause de leur patience, à leur mort de se réincarner en l’un ou l’autre des êtres humains, soit la finalité au sens d’aboutissement de la Création sur cette planète, ce qui permet une fois bébé, quand on grandira, d’obtenir l’acquis de conscience dès l’âge de raison, soit une sécurité dans l’être humain de manière à ce qu’il retrouve le chemin du bien, du bon et du beau, ce qu’on regagne effectivement dans le décors qui nous entoure -(et encore plus quand le Très Grand Variateur dans la salle des machines, révèle, comme ce fut le cas quand je devins en 1995 le nouvel empereur, le très saint paradis d’avant la très grande catastrophe, il y a plusieurs millions d’années à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine – H. A. H.), soit, hélas infiniment hélas, ce qui a été à l’origine de l’apparition sur terre de la haine, soit cette figure humaine sans corps que j’ai eu l’honneur de constater en grand inspecteur, en bouddhahs et en empereur, par conséquent en eanemeailleurs, morte durant l’hiver 2005 dans l’épaissieur, pardon l’épaisseur, de la glace du bassin central -(à droite du jet d’eau quand on regarde la façade côté jardin, soit l’arrière du Palais des Médicis au Jardin du Luxembourg à Paris), soit une entité qui probablement essayait dans l’invisible de prendre possession de l’empereur que je suis -(ce qui n’a visiblement pas marché). Cependant que ce jour-là comme fossilisée dans sa haine la plus noire et la plus affreusissimis…simissime -(et c’est peu dire – rien au monde ne fut jamais aussi laid – soit comme la sorcière de Blanche-Neige)- comme dans la totale cécité intellectuelle, elle est morte pour toujours, ce qui signifie que depuis lors cette haine n’existe plus. Cela mesurait, à l’échelle universelle, en exagérant un peu pour éviter de minimiser, deux à trois mètres carrés avec une épaisseur probablement de cinq à dix centimètres et c’est cette chose que Dieu n’a jamais créé -(qui s’est donc créée peut-être en réaction à Dieu incompréhensible pour quelques-uns, voire incroyable à travers chacune de ses œuvres – voire auquel on ne peut croire parce qu’intellectuellement on n’y parvient pas malgré le nombre de religions)- qui avait, au cours des siècles et des millénaires dressé les uns contre les autres en prenant dans l’invisible -(comme un mauvais vent)- possession de personnes qui en devenaient alors almiénées, pardon (c’est un lapsus typographique sur lequel j’entends, le jour venu, devoir méditer) : aliénées et par conséquent qui se conduisaient en despotes, tyrans, criminels contre l’humanité, et etc.),

Car quand le très grand variateur de la vision du très saint paradis est actionné de manière à nous révéler partout les merveilles d’Ôz, soit du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe, soit autrement vue Atlantide, l’Eden, Schtroumpf et tous les synonymes de ces mots essayant d’approcher la notion de beau et/ou d’admirable, voire de bienfaisance et de fécond, tout le monde sans exception croira en l’existence de Dieu et sera guéri par cette immensissimis…simissime beauté qu’on pourra à la fin de mon programme pour la restitution de la vision d’Ôz -(soit –[comme vous l’avez lu]- à mettre en œuvre dès que possible sur les prochaines vingt-quatre années), voir une heure toutes les cinq heures !

 

 

 

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Laurent-Marie Granier,
Laurie Granier ou/et Laury Granier.

De Media Patata

Eanmeailleurs d'Ôz

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Révision : 01 décembre 2021