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Note 165 de la lettre à H. B. -(seconde partie -[donc 2.5, cette note 165], considérée aussi, après cette note de bas de page 165 lue, comme troisième partie -[3.0]).
donc
Début de la note de bas de page 165:
(vous pouvez
aisément l’imaginer en raison de ces données –[que j’ai développées dans cette
lettre]- que je savais en détail pour nous gouverner au mieux. Données que le
docteur Marcel n’a[vait] pas voulu entendre / prendre honnêtement en compte /
considérer lors de notre rendez-vous au C. M. P. -(centre médico psychologique)-
sept semaines et un demi-jour avant sa décision de mon ultime hospitalisation
en avril 2017, il y a, aujourd’hui, à l’échelle universelle trois très longues
années, d’autant plus longues que nous savons que Dieu « aurait fait le
monde en six jours et que le septième jour, voyant combien il avait tout bien
fait, Il s’est reposé »
–{[(ce qui un jour a été à l’origine de notre
traditionnel repos du samedi et/ou du dimanche pour les peuples –[de
la religion chrétienne et juive]- les
plus économiquement avancés / développés, car les êtres humains,
[qui ont réussi à acquérir la conscience, par conséquent qui ont compris cette
notion de Dieu -(du moins comme une métaphore, voire une addition de toutes les
plus belles, bonnes, bienfaisantes ou/et fécondes choses]- ont
fini aussi par comprendre qu’il leur fallait au moins un jour par semaine
consacré à d’autres activités que celles de leur profession pourtant à
l’origine des CFPMD – acronyme de crédits financiers propres
et mérités de droit, [soit la nouvelle appellation,
(mise-à-jour)- de l’argent, au sens de monnaies d’échange]. Ce jour de repos
permet de se consacrer à sa famille, voire aux enfants qu’on a obtenu de la
femme qu’on aime, comme -[aussi de s’occuper -(avec le
ravitaillement hebdomadaire)]- d’autres activités nommés hobbies.
Les êtres humains savent que ces jours de repos, ils les doivent aussi aux
progrès industriels générateurs / créateurs de richesses dans les pays les plus
économiquement avancés / développés. Aussi ils sont allés jusqu’à créer
le week end, ce qui est devenu essentiel pour se reposer ou/et
comme on dit, se changer la tête, d’autant qu’on a pris conscience du nombre
important de choses qu’on s’est données la peine de faire / produire durant,
théoriquement, les cinq jours de la semaine consacrés en partie[s] aux
activités professionnelles, sans compter le temps qu’il faudra consacrer aux
courses pour avoir de quoi se nourrir et se vêtir, etc., ce qui prend au moins
une après-midi par semaine y compris le rangement des denrées et/ou des achats
d’une autre nature dont il est juste d’avoir à se reposer par exemple par le
plaisir qu’on aura d’aller au Cinéma ou/et au Théâtre ou/et au Concert, etc. ,
ce qui est -[parfois]- fatigant notemment quand le spectacle en question
n’avait aucun intérêt. Il y a aussi le temps qu’on doit pouvoir consacrer à ses
enfants, à leurs devoirs scolaires, etc. et à leurs activités artistiques. D’où
que trois jours de week-end par semaine ne seraient pas de
trop pour se « reposer » et le corolaire !)]}.
La décision de cette hospitalisation, vous l’aurez
enfin compris, était totalement déraisonnable, incohérente, arbitraire
-(soit le fruit de la subjectivité
et, hélas infiniment hélas, de la méchanceté –[ce qui procède / provient
souvent de l’ignorance, au sens négatif de ce mot qui en a parfois du positif
dans d’autres SPOK]- de ce « médecin » - lire ici ce dernier mot
entre-guillemets avec toute l’ironie que l’usage de ces guillemets induit
depuis longtemps dans/en pareils SPOK/cas …),
et
surtout, en raison du sevrage de 2014 à 2017, soit depuis trois ans -(à vous en
croire :)- pratiquement parachevé / terminé / achevé.
Une décision sacrilègissimis…simissime envers moi et
tous mes raisonnements exactissimis…simissimes sans un électron d’erreur dans
tous les temps en sciences des sevrages, obligatoires pour toutes les
personnes auxquelles ont été prescrits des neuroleptiques, en raison que le
temps est, (par ailleurs), pour chaque malade, (constemment)- à l’œuvre et qu’une
seconde -(de souffrance)- à l’échelle universelle c’est
vraiment beaucoup beaucoup beaucoup trop de Temps ce qui est vrai
aussi en nombre de réalisations / changements -(rien qu’à
l’échelle de la population mondiale cela est énorme, par conséquent en
extrapolant vous pouvez imaginer à l’échelle d’un système
d’étoiles et de planètes habitées ce que
peut-être une seconde, et en faisant mieux, vous parviendrez à imaginer ce que
cela est à l’échelle galactique de plusieurs milliards d’étoiles, quand, pour
avoir une idée de ce Temps à l’échelle universelle, vous aurez à ajouter tous
les temps -(relatifs à)- /de chacune des millions de galaxies composée[s]
d’étoiles et probablement quelques-unes d’entre elles de planètes aussi.
Evidemment c’est alors très difficile à
calculer ! Moi-même qui la plupart du temps ne vis/t que dans ce temps-là,
j’ai de très grandes difficultés à l’imaginer / le comprendre ce temps de
l’éternité-moins-une-seconde, donc à chaque seconde moins une seconde, voire
plus -(au sens de +)- une seconde, quand on connait /
trouve enfin le secret de l’éternelle jeunesse.
Une seconde c’est alors réellement
immensémentissimis…simissimément de temps, bien qu’à premières-vues -(àpremièrevue[s])-, en général -(quand on va bien)- ressentie, « rien
du tout » -(sauf quand on souffre où c’est alors qu’on a
une autre idée de cette seconde. Aussi la durée du Temps est relative des
paramètres / problèmes auxquels on est occupé / confronté et de notre intérêt
pour les résoudre), voire si peu, les opposés
-(aller bien et aller mal)- comme s’annulant[s] ou/et
se [re]joignant[s]).
Aussi ingérer les produits pharmaceutiques chimiques
des neuroleptiques, en raison de leurs effets sur le psychisme mais aussi des
effets indésirables physiquement parfois comme, nous l’avons vu avec moi, cela
a été le cas /SPOK : martyrisant[s] et douloureusissimis…simissimes,
et etc., cela ne peut se faire / proposer / prescrire -(que prendre ces « médicaments »)-
que le moins de temps possible, par conséquent cela induit aussi,
dès la première prise, un sevrage qu’on a, en tant que plus véritable
médecin, le devoir d’annoncer à chacun des patients sans
exception, en l’établissant de concert avec lui -(le patient)- qui doit pouvoir
choisir la cadence des paliers de ces différents sevrages qui peuvent être
proposés
à
très très très très court terme : un mois, (soit la durée du Xeplion 25 mg
d’une prise à la suivante – qui ne sera pas proposée car les effets secondaires
sur un mois avec Xeplion 25 mg et/ou Risperdal 25 mg sont déjà énormément
importants et très/si douloureux à vivre / supporter),
à
très très très court terme : un mois et quinze jours,
à
très très court terme : deux mois,
à
très court terme : deux mois et demi,
à
court terme : trois mois -(donc de façon dégressives, les doses, y compris
pour la suite ci-dessous),
à
court-moyen terme : quatre mois et demi,
à
moyen terme : six mois et enfin
à
long terme : sept mois et demi,
voire à
très long terme : huit mois et demi,
à
très très long terme : de neuf mois à neuf mois et demi,
à
très très très long terme : de dix mois et demi à onze mois,
voire à
très très très très long terme : de onze mois et demi à douze mois - ce
qui, normalement, signifie une année de douze mois.
donc pour ces sevrages à
-[très]- longs termes, (un » très « par trimestre en plus !)- le
patient étant remis sur pieds -(guéri)- en un an grand maximum en raison de ce
qu’il choisira -(pour accompagner son traitement sur le plan
alimentaire)- comme sevrage pour, nous
l’avons vu, un traitement qu’on peut lui proposer à base de ce
« médicament » du Xeplion accompagné du correcteur Artane 5mg trois
fois par jour -(ou en deux fois chaque jour)- sur au très grand maximum une
année et
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-[à plus ou moins long
terme, ce qui signifie que cela peut prendre trente ans une fois végétarien,
voire plus encore de temps, voir dans certains SPOK moins que trente ans en se
soignant de tout grâce à une élémentaire solution élégante alimentaire de
nourriture exclusivement végétarienne qui a comme finalité de permettre de
retrouver avec la conscience, la cohérence et la logique en soi-même grâce à
l’éveil qui en résulte et]-
se
guérir ainsi de tout
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(comme j’ai eu à le démontrer en toute transparence -[avec tous]– sur moi-même cobaye de 1967 à 1977 et de 1977
à 2005 et cela jusqu’à nos jours)-
avec
une alimentation végétarienne et si possible
N. B. : suite après le paragraphe
suivant ci-dessous :
-(si impossible
l’auto-psychanalyse)-
un
suivi psychanalytique car nous avons pu vérifier sur nous-mêmes que ce sont les
efforts de paroles recherchant la vérité
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-[en soi-même, grâce à la
plupart des esprits véridiques et -[de]- leurs documents -(leurs œuvres), voire
aux autres aussi – ceux qui ne sont pas encore totalement conscients, donc
vrais]-
qui
sont guérisseuses avec cette alimentation des plus saines que ces patients ont
fini par adopter, les médicaments ne devant être administrés –(car
c’est la psychanalyse ou l’auto-psychanalyse accompagnés de nourriture
végétarienne et non végétalienne – [il ne faudra jamais faire cette erreur]-
qui va permettre de guérir)- qu’aux
plus faibles doses
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(permettant ce travail
psychanalytique car sinon à de trop fortes doses il est impossible tant la
souffrance est alors immensissimis…simissime)-
qui
sont dans le cas du Risperdal, 25 mg -(comme celui du Xeplion 25 mg)- comme
étant, vous le verrez, en réalité, la plus forte de ces doses : la dose
maximum
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(puisqu’on peut administrer, comme nous avons, par
exemple, essayé de le faire / démontré avec la doctoresse N. K. 16,66 mg, 12,5
mg, 8,33 mg, 6,758 mg, 4,165 mg, 3,375 mg, 2,253 mg, 1,6875 mg, 1,126 mg et
0,84375 mg que nous arrondirons à 0,84 mg, voire 0, 85 mg si c’est impossible à
fabriquer / faire en comprimé[s] ou en injection[s],
ce
qui est, de mon point de vue de miniaturiste et d’explorateur de la dimension
macroscopique
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(voir quelques-unes d’entre ces miniatures que j’ai
peintes et utilisées avant les panonceaux de chacun des nouveaux chapitres /
clips de / dans mon film La Momie à mi-mots : https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk),
encore
trop pour retrouver son organisme en pleine forme et comme quand nous
étions enfant n’ayant plus aucun besoin de ces poisons -(chimiques).
Je propose la même chose pour le Xeplion 25 mg même
si, à cette heure où je relis ce texte -(que j’ai commencé au mois d’Octobre)-
le 26 Décembre 2020, je ne l’ai pas encore essayé/testé -[sur moi-même]-
(cependant tout ce que je déduis au sujet du Xeplion 25 mg est logiquement
déduit de mon expérience du Risperdal 50 mg et du Xeplion 50 mg depuis mon
hospitalisation de 2017 -(car comme je
soufrais énormément du Xeplion 50 mg sans Artane 5 mg, nous avons voulu revenir
avec la docteure A. au Risperdal 25 mg, ce que le docteur Marcel n’a pas
accepté alors que j’étais à Xeplion 50 mg, ce qui l’a incité contre mon gré -(car
cela faisait plus d’un an et demi -[47 304 000 secondes (de souffrances
paroxysmiques)]- que l’on n’avait pas encore baisser le Xeplion 50 mg à 25 mg
comme le docteur A. m’avait promis de le faire deux mois -(soit 5 256 000
secondes -[de souffrances paroxysmiquissimis…simissimes])- après la sortie de
mon hospitalisation de 2017 au cours de laquelle on avait baissé le dosage du
Xeplion 100 mg à 50 mg, dans la logique du sevrage qu’il est évident de mettre
en place dès qu’on prescrit un des médicaments neuroleptiques quelqu’il soit,
sevrage qui va donc de soi pour tous les neuroleptiques)- à m’imposer
du Risperdal 50 mg à la place, ce qui m’a, en réalité, fait souffrir beaucoup
plus que le Xeplion 50 mg -(ce que le docteur Marcel savait qui serait le cas y
compris son assistante madame A. – si j’ai voulu revenir au Risperdal c’est que
je pensais qu’on me prescrirait le Risperdal 25 mg comme cela s’était passé en
2013, ce qui avait permis de commencer, avec madame K. , le sevrage qui suivit
en moins d’un an au point de parvenir en 2014 à la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines -[et cela jusqu’à 2017 où cette demi-dose était
toutes les sept semaines] – aussi même si j’avais énormément souffert à
Risperdal 25 mg -(mais beaucoup
moins qu’à 50 mg à laquelle dose personne ne m’avait jamais contraint après
l’hospitalisation de 2013, ce qui pourtant fut malheureusement le cas deux mois
après l’hospitalisation abusive de 2017)- pendant
deux mois, cela avait été plus supportable à partir de 12,5 mg, soit deux mois
après et comme nous avions vu que tout se passait bien à 12, 5 mg, nous avons
continué le sevrage de deux mois en deux mois jusqu’à 2014 pour aboutir à
la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, ce
qui faisait beaucoup moins souffrir qu’à 12,5 mg tous les quinze jours et
évidemment aussi moins souffrir qu’à cette demi dose toutes
les trois semaines, puis toutes les quatre semaines et enfin toutes les cinq
semaines en 2013, puis toutes les sept semaines en 2017 -[depuis presque deux
ans])- et c’est pourquoi après cette expérience très malheureuse -[de Risperdal
50 mg]- nous avons dû revenir au Xeplion 50 mg pour lequel j’ai fini par
trouver le bon correcteur, soit l’Artane 5 mg)- car
j’ai pu comparer les effets secondaires indésirables des deux « médicaments » aussi
je sais d’avance que ceux du Xeplion 25 mg seront un peu moins
importants/douloureux -(ce qui est bon à prendre)- que ceux que j’ai eu avec le
Risperdal 25 mg après mon hospitalisation de 2013 sur deux mois avant le début
de mon sevrage que Madame K. a heureusement accepté de faire sous ma direction
d’expert –(grand inspecteur car éveillé-par-acquis-de-conscience,
donc vos dévoués serviteurs les bouddhahs docteurs en Arts et Sciences de l’Art
(Cinéma-Télévision- audiovisuel- …)-, peintre qui plus est, soit expert en
nuances et dégradés de couleurs, ce qui signifie expert en calculs exactes de
ceux-là qui ont à voir avec tous les sevrages car il s’agit de diminuer, de
façon logique, progressivement une couleur en y ajoutant peu à peu un peu plus
de blanc ou d’une autre teinte qui va être à l’origine d’un dégradé, soit un
synonyme possible de » sevrage « ce qui existe aussi en Musique quand
on fait progressivement disparaitre dans une suite logique une note, voire le
contraire, un sevrage inversé quand on réintroduit cette note de la même façon
que, vous le savez, j’ai trouvé comment retrouver peu à peu -(en la
rétablissant) la Vision du très saint paradis, soit d’Ôz ou
ses synonymes d’Arcadie, d’Eden, d’Atlantide, voire de "Schtroumpf" etc.
soit ce sevrage inversé : la prise progressive de la drogue, au
sens ancien du terme signifiant médicament, de l’immensissimis…simissime
Beauté de la Vision du très saint paradis -(à
ne pas confondre avec le Nirvana duquel je vous écris, bien que souffrant
continuellement des martyrs à cause du dosage excessif du Xeplion 50 mg)- nécessaire
à toute l’humanité)- malgré, vous le savez,
depuis que vous avez pris la relève, mes constantes et nombreuses demandes à ce
sujet -[de passer d’urgence à Xeplion 25 mg comme vous me l’aviez promis si
j’attendais trois ans après mon ultime hospitalisation de 2017 au dosage de
Xeplion 50 mg, ce que je fis au point que nous sommes, au moment où je vous
écris à plus que trois ans et demi, ce qui est une demi année de plus -(soit
15 768 000 secondes – [quinze millions sept cent soixante-huit mille secondes –
permettez-moi de vous rappeler sur un autre plan qu’une personne peut guérir
d’une seconde à l’autre] - de souffrances insuportabilissimissimissimes)- arrêtée
entre nous à souffrir à chacune des secondes des martyrs constants au divers
endroits de mon corps -(que vous
découvrirez décrits en détail[s] à la fin de cette missive), ce
que vous aviez la possibilité de m’éviter en étant fidèle à votre parole donnée
-(que j’avais acceptée – en laquelle j’avais en confiance cru alors que nous
étions à un peu moins de deux ans et demi – soit soixante-dix-huit millions huit
cent quarante mille secondes, [soit 78 840 000 secondes]- de mon
ultime hospitalisation de 2017 et aussi éloignés que cela en ayant à ce point
souffert vous m’avez imposé d’attendre plus de quinze millions sept cent
soixante-huit mille –15 768 000 secondes supplémentaires de souffrances
atrocissimisimissimes pour parvenir à ces trois années –[après mon
hospitalisation de 2017]- que vous avez soudain décidées / décrétées au lieu de
baisser mon traitement tout de suite comme je vous le demandais -(en
sachant évidemment pourquoi il le fallait en vérité, de même que je sais en
vérité, donc pour des raisons précises et exactes ce que je sais au point qu’on
m’a entendu dans le ciel de ma voix de Vérité avant même ma naissance :
une preuve de plus que je ne suis et ne sers que la Vérité et les vérités
relatives au service de la Vérité)- en
grand inspecteur vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs -(soit
le premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine
-[H. A. H.]- à être devenu un éveillé par acquis de conscience, soit –[les]-
bouddhahs, soit en réduisant infiniment : énormément de bienfaits
scientifiques pour tous, ce qui s’est effectivement produit pour tous dans la
réalité de 2005 à 2013 en synchrone avec 1967 et années suivantes et 1977 et
années suivantes)- car je le savais
inadéquat en raison de ce que je projetai de vous dire par écrit si vous vous
escrimiez à me contraindre à ce dosage tant cela en raison de la complexité des
paramètres à évoquer / atteindre et exposer me paraissait impossible à dire
oralement –(cela fut la même chose au moment de mes premières
hospitalisations à partir de 2007 et c’est pourquoi j’ai fait l’effort
d’écrire aux présidents de la République et aux Papes comme au
Cardinal Vingt-Trois les lettres que vous savez à
partir de 2013, une fois après avoir déménagé du lieu, rue du Val de Grâce au
cinquième étage du studio -(loué en partie par mes parents)- où on me voit et
où on m’entend dans le Ciel à Rome en 1977 et où on m’entend à Paris à partir
de 1967 en synchrone avec les années 2005 et suivantes, ce qui m’a permis de
sauver la situation dans ces époques du passé, donc avec effet
rétroactifs)– soit ce que j’ai fini par
vous écrire dans cette lettre – car avant
j’espérai à chacun de nos rendez-vous que vous baissiez le dosage du Xeplion
dans/sur vos prescriptions mensuelles - dont
vous avez reçu pour Noël 2020 la lettre d’introduction où j’explique plus qu’à mi-mots ce
dont j’ai été victime avant que vous soyez chargée de ma personne par la
docteur A. qui s’en allait à/pour Lyon en laissant le poste vacant que vous
avez repris)- en raison de ce que
cela faisait à peu près deux ans et demi que j’étais à Xeplion 50 mg à en
souffrir autant et quand nous sommes arrivés à ces trois ans que j’ai accepté
de souffrir -(chacune des secondes étant
insupportablilissimissimissime à vivre -(malgré l’Artane 5 mg venu à mon
secours ce qui était effectivement mieux qu’avant
insupportab[i]lissimis…simissime), vous
n’avez pas voulu respecter votre parole donnée de passer à Xeplion 25 mg, ce
qui fut au paroxysme sacrilège à mon sujet au point de ne plus me donner
d’autres choix de vous écrire pour vous expliquer en détail ce qui s’est passé
avant que vous ne preniez le relais de la docteure A., donc de ce que vous ne
saviez pas -(car si vous l’aviez su au sujet de
l’hospitalisation de 2017 vous auriez naturellement baissé le dosage en
comprenant un peu mieux ma situation plus qu’exceptionnelle, soit unique ou
rarissimis…simissime, d’où précieuse pour tous à chacune des fractions de
seconde)- soit de ce dont j’avais
été victime alors que j’étais, vous me l’avez dit, « sevré du Risperdal 25
mg dès la demi-dose toutes les sept semaines, soit depuis
2015 », ce qui aurait dû nous conduire, en reprenant le sevrage -(duquel
le docteur Marcel m’avait extirpé en m’hospitalisant de force sans aucun
motif[s] recevable[s] / valable[s])- à baisser
cette demi-dose de Risperdal 25 mg -(qu’il nous fallait
absolument retrouver à Xeplion 50 mg)- ou mieux, de Xeplion 25 mg, à toutes les
huit semaines pour finir d’arrêter ce « médicament » après l’étape de
la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines,
selon l’idée que j’avais d’avance très exacte de mon sevrage enfin totalement
exactement réussi dans l’Intérêt et pour le Bien Général)-
En fait, vous l’aviez compris aisément et vous le
comprendrez de nouveau facilement, il était/est impératif -(vital pour tous)-
de -[me]- baisser le dosage du Xeplion 50 mg à 25 mg au bout de trois ans
-(votre idée)- et cela pour reprendre le sevrage comme ce fut le cas avec
madame K. , ce qui m’a permis dès 2014, soit un an après mon avant-dernière
hospitalisation de 2013, de réaliser un très grand nombres d’œuvres sans avoir
trop à souffrir dès la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines. Des œuvres et des découvertes que j’ai commencées à publier /
partager -[pour l’instant à ce jour gratuitement]- sur Internet après mon
hospitalisation de 2017, la plupart de ces découvertes ayant été faites entre
2014 et 2017 durant mon sevrage de la demi-dose de Risperdal
25 mg toutes les cinq semaines à celle-ci toutes les sept semaines, avant la
soudaine imprévue irruption plus que cauchemardesque du docteur Marcel chez moi
alors que je n’avais que quelques heures de retard pour l’injection de
cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines – ce qui fut, son geste -(n’avait-il rien de mieux à faire
que de nous faire perdre à tous autant de temps si précieux -(en
raison des conséquences financières de mes interventions à ce jour interrompues
à cause de lui et de son assistante madame la docteure N. K. , à travers Espace
et Temps)- à s’acharner sur moi -(depuis
2014 à Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines et depuis 2015 toutes les sept
semaines – donc guéri)- ?), au paroxysme du sacrilège en Médecines des plus
justes, (raisonnées, exactes, soit dans celles logiques et
cohérentes)- par l’arbitraire -(soit
du subjectif, de l’égoïsme dénué d’objectivité[s])- de
sa décision totalement folle -(au sens négatif
de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK)- de
m’hospitaliser contraint et forcé alors que je ne faisais rien de mal en me
consacrant depuis 2013 quotidiennement à mes lettres explicatives -(par
ailleurs une préparation documentée à/pour l’élaboration d’un scénario pour le
Cinéma – [ce qui est mon domaine : j’ai une
maîtrise de Scénario qui a suivi ma License d’Animation Culturelle et Sociale
-(option Cinéma)- à l’Université de Paris I - Sorbonne et un D. E. A.
d’Adaptation d’Ouvrages Littéraires dans le même cadre -[A. C. S.]– pour le
Cinéma]- à partir de ces
lettres)- de ce qui s’était passé –(»
d’incroyable mais vrai « pour nous tous à partir de 2005 à l’occasion de
ma soudaine apparition audio-visuelle de ma personne immense -(de
trois mille à dix mille mètres de hauteur / altitude)- dans
le ciel de Rome alors en 1977 –[depuis / à partir de ces années 2005 et
suivantes synchrones en ce qui nous concernait tous avec les années 1967 et
1977 et suivantes, mais aussi avec celles de 2015 et suivantes synchrones avec
2045 et suivantes])- et à mes découvertes photographiques
et/ou vidéo durant mes récréations à l’élaboration de ces lettres qui,
j’espère, seront enfin couronnées de succès en étant aussi par vous acceptées
-(prises en compte / considération)- pour que je puisse enfin vérifier ce
moindre mal : cette souffrance un peu moins forte que Xeplion 50 mg une
fois à Xeplion 25 mg à l’occasion – sous votre contrôle - de la poursuite de
mon sevrage du Xeplion, car pour l’instant je dois vous dire que j’ai encore
pris, avant-hier matin, le 24 Décembre 2020, pour quatre nouvelles semaines, du
Xeplion 50 mg -(et non du 25 mg, ce qui aurait été un beau cadeau de Noël, soit
ce que j’attends de vous depuis plus de six mois –
[en fait depuis début mai 2020, soit « trois ans après la sortie de mon
hospitalisation » en reprenant ici votre proposition] – soit
au moins 15 768 000 secondes d’attentes -(je
minimise à six mois, alors qu’en réalité c’est au moins sept mois, [chacune de
ces secondes me faisant souffrir des martyrs / tortures])- par
rapport à votre parole donnée de porter à 25 mg la prescription de Xeplion 50
mg « au bout de trois années après la sortie de ma dernière et, nous
l’espérons, ultime hospitalisation », et sinon, autrement vu, depuis trois
ans après Juillet 2017 où l’on m’a fait passer -(deux mois après la sortie de
mon hospitalisation)- de Xeplion 100 mg à Xeplion 50 mg, en me promettant la
reprise de mon sevrage, ce que j’avais démontré en réalité -(après mon
hospitalisation de 2013)- totalement réussi depuis 2014, soit depuis la doses
de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines).
Aussi, depuis Juillet 2017, cela fait à ce jour du 26
Décembre 2020 depuis plus de trois ans : trois ans et demi. Ce qui vous en
conviendrez est/a été/fut au paroxysme du sacrilégissimissimis…simissime envers
ma/nôtre personne et ce qui est insupportab[i]lissimissimissime -(y compris
avec le -[médicament]- correcteur : les deux à trois comprimés d’Artane 5
mg par jour au minimum en accompagnement et le Lexomil, un quart le matin et un
quart l’après-midi, voire un demi le matin et le soir -(ce
qui est obligatoire / conseillé / préférable, ces -[médicaments]- corolaires
ou/et -[ce qui]- vaut mieux car sinon, je l’ai vérifié sur moi-même,
(je sais donc de quoi je parle), il n’y
a plus que l’issu du suicide -[comme possible]- aussi à ce dosage de 50 mg -(qui
est en réalité insupportablis…simissimissime -(soit infiniment douloureux,
douloureusissimis…simissime)- sans Artane 5 mg, (je vous prie de ne jamais
oublier de prescrire l’Artane 5 mg, sinon vous serez considérée –[avec le Xeplion
50 mg, donc ses concepteurs]- comme la cause de ces suicides, ce qui de toute
façon vous fera obtenir, ainsi qu’aux auteurs de ce « médicament »
une réincarnation détestable après vos respectives morts)-
car à
l’échelle universelle, ces 25 mg de Risperdal ou de Xeplion c’est en réalité
énormissimis…simissime -(que vous le croyez ou pas – je ne crains pas vos
certitudes / préjugés en la matière qui sont ceux d’une personne trop
élémentaire, voire « innocente », donc qui est la victime
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous que je vous prie de lire
-(bien qu’à d’autres
occasions/SPOK au contraire, croyant en bénéficier)- de
stratégies commerciales perverses :
-(mais aussi)- des
à-premièrevues ou/et des logiques les plus simples -(comme tous ceux qui
ont cru devoir augmenter le prix du baril de pétrole au lieu de le baisser
-[comme je le proposai de 1973 à 1977 pour le meilleur Intérêt de tous /
général], s’ils avaient tenu compte d’autres paramètres très importants pour la
meilleure des économies planétaires, ce qui aurait alors permis à la Création
de vivre un autre » ou bien « de la Création, (celui compréhensible /
[car] illustré dans les films de Smoking ; No smoking de
S. E. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais), où la majeure partie des biens de
consommation, non seulement de première nécessité mais aussi la plupart de tous
ceux -[considérés]- superflus, aurai[en]t été gratuit[s] dans la perspective de
réaliser les conditions économiques les meilleures pour restaurer globalement
la Vision du très saint-paradis, soit celle d’Ôz, d’une façon enfin, en
vérité, un peu plus fraternelle): hélas, il y a l’autre -(logique), la
perverse, qui, en sacrilège, existe pour vous abuser. Celle des gradations plus
importantes en nombre de milligrammes qu’on vous a aussi fait croire avoir le
droit d’administrer / de prescrire -(en prévoyant que
vous auriez la réaction élémentaire de tout le monde ainsi berné car trop
confiant, voire la réaction d’une innocente, celle que vous avez eue
-(je vous l’ai déjà dit dans
ma précédente lettre)-
comme
tous ceux qui ont cru avoir le droit d’augmenter le prix du baril de pétrole au
lieu, au contraire, comme nous le demandions
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(en toute connaissance de
cause[s] et en ayant tenu compte de tout comme en ayant étudié d’avance toutes
les interactions économiques / commerciales)-
de le
baisser pour faire disparaître du jour au lendemain la pauvreté et la misère
partout, ce qui a signifié pour vous
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(à cause de ces autres gradations –[de
50, 75, 100, 125 et 150 mg])-
que 25
mg c’est peu -(voire le moins possible)- et c’est ici que vous vous avez commis
une véritable erreur
-(mais rassurez-vous c’est comme moi au début, si je
n’avais pas un peu plus réfléchi à ce sujet et découvert, grâce au sevrage -(de
2013 à 2017)- du Risperdal 25 mg, qu’il y avait de
façon grandement préférable toutes les doses possibles au-dessous
de 25 mg
(Suite après les trois
paragraphes / lignes suivant[e]s ci-dessous :)
-(par conséquent ce que
vous avez dit –[sur le fait qu’il s’agit de la dose minimale]- est une vérité
relative
(Suite
après le prochain paragraphe ci-dessous :)
– [soit une vérité liée à une logique commerciale
précise -(dont nous avons été
vous et moi mais aussi l’Ensemble les victimes)- qui
ne tient pas compte de tous les paramètres, y compris celui d’avoir à douter
des à première[s]-vue[s], comme/mais aussi de cette logique trop simple, sur la
base de ces autres paramètres]-
et non la Vérité),
(Suite du paragraphe
trois paragraphes / lignes ci-dessus :)
en raison
déjà à ce dosage de 25 mg des souffrances martyrisantissimissimes ou/et
torturantissimissimissimes donc douloureusissimissimes -[de cette dose de 25 mg
du Risperdal]).
L’origine de cette erreur est que, (passez-moi, s’il
vous plait, l’expression), vous vous êtes faite -(en
quelque sorte)- avoir
(Première suite après le
paragraphe - ligne suivant[e] ci-dessous. Deuxième suite après les deux
paragraphes / lignes suivantes ci-dessous)
– bien sûr au sens négatif de cette expression qui en
a heureusement du meilleur dans d’autres SPOK-
-(comme
moi au début, si je n’avais pas un peu plus réfléchi à ce sujet – (si je ne
m’étais pas salutairement pour tous – [en Grand Inspecteur]- méfié – en
m’imposant sur ce sujet le doute salvateur)-
- par ces « industriels –
commerçants »
- N. B. : Suite
après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(par la manière qu’ils ont eu de présenter dans le
Commerce, [de distribuer sur le marché], ces produits à la vente en les
déclinant –([à première[s]-vue[s], mais pas à la réflexion
faite)- de la dose « la plus faible » -(selon eux)- à
la dose la plus importante/forte – et, croyez-moi, c’est peu dire à l’aune des
effets indésirables de cette dose « la plus faible » car en réalité
avec les plus fortes, à partir de la dose de 50 mg, il s’agit de doses
assassines, soit de véritables poisons qui mènent directement au suicide tant
la souffrance des effets indésirables est, en réalité, insupportab[i]lissimis…simissime
pour une personne végétarienne ayant découvert la sécurité qui existe dans
l’être humain pour accéder à la conscience, soit ce qui rend alors sensible à
la connaissance du bien et du mal])-
si
j’ose dire, pharmaceutiques /-(chercheurs en Pharmacie : pharmaciens)-
qui, malgré la connaissance des effets indésirables de leurs produits
voire comme je l’ai vérifié avec vous, vont
affirmer qu’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq
semaines -(en raison des doses plus importantes)- c’est « presque
plus rien du tout » en comparaison avec ces plus méchants dosages
-(s’étant révélés inhumains et criminels)- ceux
de 50, 75, 100, 125 et 150 mg - d’autant plus que ceux qui les prescrivent
comme ceux qui les ont fabriqué ne les ont probablement pas eux-mêmes testés
sur eux-mêmes, donc les délivrent en à peu près inconscients de ce que
représentent exactement comme/ces souffrances des effets indésirables qu’ils
ont cependant à premières vue[s] noté[e]s après les tests effectués sur des
cobayes avant de croire possible, dans ces conditions, la commercialisation de
leur produit -(ce qui constituera une sorte de test pour repérer les médecins
qui, malgré ces effets secondaires indésirables impossibles
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous à lire aussi avant :
-(en conscience, soit
humainement – si on avait ressenti soi-même les souffrances en question)-
à prescrire, croient
pouvoir, au contraire, prescrire ce genre de « médicaments » pour une
maladie ou une autre, par conséquent ainsi déterminer les médecins inconscients
-(ou laipis)- des plus véritables médecins qui savent que toutes les maladies
psychiques, comme un bon nombre de celles physiques -(y compris les problèmes
de caries, donc de dentition mais aussi la plupart des cancers), sont dus, dans
nos régions où l’on croit encore l’être humain omnivore
-(ce qui est àpremièrevues
effectivement serait le SPOK/cas – mais qui n’est qu’une vérité relative -(donc
qui n’existe qu’en raisons de paramètres précis dont on a tenu compte)– donc
sur un certain plan, mais hélas pas sur tous les plans les plus justes à la
réflexion faite pour la santé la meilleure)-
à une alimentation
inadéquate / malsaine / erronée),
ont joué sur votre
raison en vous faisant croire, parce qu’ils proposaient ces autres gradations -(effectivement
de plus en plus importantes / fortes)- que
la dose de 25 mg ne peut être que la plus faible -(suite
après le paragraphe suivant ci-dessous)-
-(ce que nous avons démontré n’est pas vrai, puisqu’il
existe, nous l’avons vu plus haut, toutes les demi-doses y compris les
espacements de plus en plus lointains pour les ingérer comme nous l’avons
démontré/fait dans le cadre de mon sevrage de 2013 à 2017– [ce qui est, nous le
verrons aussi plus bas, obligatoire de s’imposer de faire pour l’ensemble des
neuroleptiques]) –
donc
seraient sans danger, alors que les doses au-dessus de
celle de 25 mg impossibles à prescrire en raison des probabilités d’être
suivies par les effets indésirables martyrisantissimis…simissimes ou
torturantissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes,
horribilissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes,
insupportabilissimis…simissimes et etc. comme ce fut le cas pour moi, malgré moi,
cobaye mais/bien que Grand Inspecteur et vos dévoués serviteurs les
eanmeailleurs et … )-
Ces doses, en raison des
insupportab[i]lissimis...simissimes douleurs/souffrances dont elles sont
responsables conduisent, sans Artane 5 mg, directement au suicide du patient
–[(dès la dose de 50 mg de
Xeplion -(et à fortiori pour la dose de Risperdal 50 mg), si celles-ci sont
prescrites sans médicaments correcteurs -(comme
l’Artane 5 mg, 3 fois par jour -(et si 25 mg de Xeplion, au moins deux fois par
jour cette Artane 5mg)- et médicaments
désangoissants -(pour retirer l’angoisse)- comme
le Lexomil et son corolaire de somnifères, dont le Doliprane 1000 mg est l’un
des plus faibles, voire complémentaire d’un plus véritable somnifère)].
Mais revenons à
nos industriels en Pharmacie -(pharmaciens)- de ces
neuroleptiques prévoyant/créant ainsi -(à-première[s]-vue[s]
et qui plus est : en ayant dans ces notices apparemment le mérite de
donner le choix)- la
réaction des cerveaux les plus élémentaires -(au sens ici de » trop
élémentaires «)- qui pensent
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous à lire aussi avant :
-(qu’à la vue de la
progression de plus en plus importante/forte -(de la quantité en nombre de
milligrammes)- de ces dosages proposés à la vente sur le Marché),
[qu’]ils
peuvent conclure très simplement
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous à lire aussi avant :
-(voire – c’est ça le
pire, soit l’origine de l’erreur – logiquement !:)-
comme le
vôtre -(de cerveau)- et/ou le mien, trop confiants -(sachez
que je me le suis dit aussi – j’étais, comme vous, tombé dans le
panneau), qu’à première vue[s] 25
mg « ce n’est rien », voire très peu -(évidemment à l’aune des autres
dosages d’autres produits –[qui sont à ces dosages inoffensifs]- proposés dans
le commerce).
-(Evidemment oui, sur un
certain plan -(ne tenant pas compte de la logique commerciale de la mise sur le
marché de ces dits neuroleptiques à des dosages de milligrammes qui à première
vue, (« ô comme c’est joli ! » -[ici je vous prie d’y mettre le ton. Il est ironique en
raison des guillemets 47 qui entourent l’expression, qui n’est donc pas
encadrée par ceux nommés de 74]), montent
de vingt-cinq en vingt-cinq milligrammes, donc d’une certaine façon progressent
justes, voire -[tombent]-[si]-bien -(car,
de plus, c’est si simple à comprendre cette progression d’ordre 25 en 25
mg), et à cause de cette logique apparemment la plus simple,
soit très/trop élémentaire, en comparant les taux des gradations aussi
perversement et aimablement proposé[e]s -(visiblement
dans le soucis du « médecin » le moins médecin qui soit, donc de
l’usurpateur en Médecine[s] qui, évidemment, n’aime pas qu’on lui complique
l’existence), donc à première vue, à
l’aune des gradations plus importantes / plus élevées en nombre de milligrammes
qui tombent miraculeusement justes : 50, 75, 100, 125, 150, etc. qui
rendent ainsi -(logiquement -[qui plus est !]: (une
progression logique !)])- pour
les profanes, 25 mg à premières vue[s] le plus faible des dosages, à l’aune des
précédents dont la gradation est montée de 25 en 25 mg, donc quasiment symétriquement
-(facile à comprendre). Donc - se dit-on - ces autres dosages ils tombent
juste[s], soit dans une logique qu’on croira,
[(] à cause de ces à-première-vue[s] [)], être
la bonne, et ce 25 mg évidemment, toujours pour ce profane,
(c’est certain)- la plus petite des doses -(alors
qu’elle est, [je puis vous l’assurer en Grand Inspecteur – mais
aussi en tant que peintre miniaturiste], car bouddha, soit homme de sciences
–[ayant testé ces dosages sur moi-même], le
maximum du maximum du maximum qu’on ait le droit d’oser -(avec
toutes les plus infinies précautions dont celle du bon correcteur à administrer
avec)- prescrire, mais uniquement accompagné du correcteur
Artane 5 mg -(de deux à trois comprimés par jour)- mais
pour un temps si possible le plus court qui soit et uniquement dans la
perspective -(obligatoire)- du
sevrage –[(dont nous avons ici parlé)- de ce
« médicament »]- à mettre
en place / -[à établir]- dès la première injection dont on sait que la dose
prescrite permettra de repérer -(pour le jour de La
Pesée de l’Âme -[de ces « médecins »]- donc au moment de
leur mort), les
« médecins » sans cœur -(car ils sont
allés jusqu’à croire possible prescrire l’une ou l’autre de ces doses au plus
haut point martyrisantissimis…simissimes dès 50 mg – au lieu, évidemment,
(de façon préférable), de s’en abstenir -(se
l’interdire)- totalement -(ce
qui, toujours, vaudrait beaucoup mieux car, comme je l’ai démontré –[de
1963 à 1967, de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005, soit entre mes quatorze ans et
mes quarante-deux ans]), donc aussi à la longue
-(trente ans, voire plus longtemps encore comme régime alimentaire), on peut
guérir psychiquement de -[quasiment – ici
par prudence ce » quasiment « en raison d’une maladie psychique dont
j’ignorerais l’existence et qui ne pourrait pas être guérie par l’alimentation
végétarienne]- tout en se soumettant
quotidiennement à cette alimentation végétarienne).
J’ai pu vérifier que ces dosages de 50 mg ne sont pas
à prescrire à l’aune de ce qu’il existe de SAÉ -(acronyme de solutions alternatives élégantes)- pour
guérir, comme, par exemples, la solution alternative élégante
de la psychanalyse -(S. A. É .
P.)- ou celle de l’auto-psychanalyse -(SAÉAP)-
(pour ceux qui sont déjà devenus des végétariens)- comme
alternative pour une plus véritable guérison -(car
on aura à remonter intellectuellement –[grâce
aux souvenirs]- de causes en effets
jusqu’à l’origine du mal être, de manière à déterminer exactement cette cause,
ce qui permet alors -[peu après de
trouver / comprendre pourquoi le remède- [si possible préventif]- de
l’élémentaire alimentation végétarienne, donc par cette nouvelle coutume /
manière de se nourrir – comme je l’ai démontré sur moi-même comme cobaye de
cette expérience de changement dans mon alimentation]- d’en
guérir en retrouvant ma conscience et avec elle la cohérence logique /
mathématique ce qui permet d’accéder alors aux dimensions sacrées de
l’existence). C’est dans cette optique
qu’il est impératif de se sevrer de tout neuroleptique qui, à cause de leurs
différents effets – (j’ai vérifié)
- empêchent -(dès
le dosage de 25 mg de Risperdal sans correcteur)- de
plus ou moins grandement refaire marcher / fonctionner autant que possible le
cerveau pour ces plus véritables soins végétariens liés ainsi au meilleur des
fonctionnements de la pensée analysée, soit de concert -(cette
alimentation végétarienne)- avec
une véritable psychanalyste ou/et auto-psychanalyse -(ce
qui devrait mener tôt ou tard -[en passant par
cette sorte de sécurité qui existe dans chaque âme / être humain s’étant
égaré[e] dans le chemin de l’existence]- à -[finalement]- l’acquis-de-conscience), soit,
si -(en occident)- on est déjà devenu végétarien -(comme je l’étais en partie
laipis), seul, à l’occasion d’une auto-psychanalyse -(car c’est dans des
difficultés extrêmes et en souffrant atrocement qu’on parvient à écrire
-(penser)- en ayant dans le sang 50 mg de Xeplion par mois -(avec le correcteur
Artane 5 mg deux à trois fois par jour - car sinon il n’est plus du tout
possible de vivre à moins d’être devenu un insensible, ce qui, parait-il,
existe. Mais j’ai jugé par acquis de conscience en toute objectivité et en
cobaye : à 50 mg de Xeplion ou de Risperdal sans correcteur Artane 5 mg
-(de deux à trois fois par jour), il n’est plus possible de vivre tant chaque
instant est devenu douloureusissimis…simissime, martyrisantissimis…simissime,
torturantissimis…simissime et au paroxysme du paroxysme
insupportabilissimis…simissime, etc.), quand c’est encore plus difficile /
impossible à supporter avec Risperdal 50 mg !
La SAEPV ou la SAEAPV -(végétarienne)- est ce qui
peut, grâce à la mémoire peu à peu retrouvée grâce à tous les efforts
psychanalytiques pour se souvenir en parlant ou/et écrivant ou en dessinant
-(et etc.)- pour permettre de retrouver nos capacités d’analyses plus ou moins
logiques de manière cohérente avec la vérité -(à géométrie variable à cause des
paramètres et/ou catégories de vérités relatives dont on tient compte ou pas
–[par conséquent qu’on n’a heureusement pas oubliées], soit une des étapes fondamentales
pour essayer de guérir de ce qu’on éprouve comme difficultés à vivre. Si il
convient absolument –(c’est ici la Vérité
multidimentionnelle et multicatégorielle, donc pas seulement relative, par
conséquent tout bien pesé)- de
se sevrer de tous les médicaments neuroleptiques, c’est qu’il faut éviter les
obstructions dont sont responsables ces « médicaments » à cause de
leurs conséquences et/ou effets secondaires indésirables -(psychiques et/ou
physiques)- quelques fois, hélas, infiniment hélas, douloureusissimis…simissimes,
martyrisant[s], torturant[s], au plus haut point et donc
insupportab[i]lissimis…simissimes, et etc. -(par conséquent étant à l’origine
d’une compréhension de la réalité faussée : qui n’est pas la bonne ou la
plus synthétique et/ou objective qui soit, puisqu’en souffrant de la sorte on
ne souhaite que mourir étant donné qu’à ces moment-là on oublie qu’il existait
tous les moments où on se portait bien, soit ceux d’états qu’il conviendra de
retrouver pour éviter de se suicider – puisqu’ils ont existé cela signifie
qu’ils sont accessibles, qu’il s’agissait alors de l’état supportable de la vie
et on peut aisément parier qu’il s’agissait de moments sans médicaments
neuroleptiques. Aussi une personne est déclarée guérie quand elle n’a plus eu
besoin de neuroleptiques au moins pendant trois années de suite, donc à l’issue
d’un sevrage de ces substances chimiques faussant la réalité, ce qui signifie
que le sevrage des neuroleptiques est absolument obligatoire sans exception dès
la première prise de ces dits » neuroleptiques « et que le médecin
qui aura prescrit des neuroleptiques à un patient sans lui avoir proposé dès
la première dose de ces neuroleptiques les différents sevrages
possibles de ces neuroleptiques qu’il veillera lui-même -(ou en chargeant un
confrère / une consœur)- à mettre en œuvre dès la seconde prise de ces
neuroleptiques -(si il y a lieu de recourir à cette seconde prise quinze jours
ou un mois après la première prise)- perdra de cinq à dix années sa qualité de
Médecin aux yeux de tous, donc n’aura plus le droit d’exercer la Médecine –(en
ayant le devoir, s’il persiste à vouloir redevenir Médecin, de suivre des
formations pour devenir capable d’élaborer / proposer très exactement tous les
sevrages possibles sur –[au grand maximum]- une année - quand il
reprendra du service, ce qui signifie que l’arrêt du médicament neuroleptique
dès la première occurrence est vivement recommandé, voire souhaitable et
correspond donc en réalité au premier -[stade de]- sevrage dès la fin de la
première prise). C’est pour cette raison qui consiste à savoir faire /
prescrire les différentes solutions possibles de sevrage qu’on exigeait aux
étudiants -(avant de faire Médecine)- des études
scolaires scientifiques, avec des Mathématiques, de la Physique et de la Chimie
comme de la Biologie -(et/ou ce qu’on
avait appelé » Sciences Naturelles «)- pour
obtenir un Baccalauréat pouvant déboucher / faciliter -[sur]- des études de
Médecine[s]. Celui qui n’est pas capable d’établir l’un ou l’autre des différents
sevrages sur un an et cela dès la première prise de neuroleptiques mais aussi
d’autres médicaments -(chimiques)- à l’origine de souffrances / effets
secondaires indésirables, en veillant à ce que le sevrage soit effectif -(sur
une année au grand maximum pour les cas les plus difficiles – attention !
si les souffrances générées sont d’une façon ou d’une autre forte, il convient
d’arrêter aussitôt ces médicaments), donc une réalité, ne pourra jamais être
considéré publiquement un médecin à part entière, mais seulement un imposteur /
usurpateur / charlatan / tricheur /etc. en Médecine[s] des plus véritables.
D’autre part, j’en profite pour dire que si une personne souffre après avoir
ingéré un médicament quel qu’il soit – provenant aussi du monde de la Musique
et/ou de la Peinture, etc. (Cinéma, Littérature, Chant, Sculpture, etc. comme
d’autres formes de médicaments devra / doit cesser de se faire du mal avec
ces « médicaments » -(œuvres)-
tout autant qu’il arrêtera d’ingérer une substance –[chimique]- qui lui est
désagréable ou de laquelle il souffre –(à l’origine de cette
souffrance) : on le sait, naturellement, la souffrance qu’on éprouve est
une indication sacrée -(préservatrice de notre état de vivant, donc de notre
vie. La souffrance a donc du positif -(elle n’est pas seulement à exprimer
du négatif)- car elle permet d’éviter le pire, par exemple quand on commence à
se brûler : on retire alors la partie du corps exposée aux flammes ou à
d’autres causes du mal -(de souffrances)- qu’on ressent et cela signifie donc
qu’il convient, dès qu’il y a souffrance d’arrêter / de faire cesser si
possible immédiatement la cause de cette souffrance –(sauf
que j’ai pu vérifier qu’il y a des états extrêmes de souffrance qui ne
permettent plus de dire autour de soi qu’on est entrain de souffrir -(ce qui
est alors le cauchemar le plus horrible à endurer)- qui
est responsable des douleurs qu’on ressent –(par exemple après une opération
chirurgicale comme l’appendicite après laquelle on aura à souffrir quelques
jours comme après l’arrachage des dents de sagesse -(on sait alors, par
expérience de ces opérations qu’on aura à souffrir au maximum une semaine,
voire un peu plus aussi il convient de classer les souffrances dont on peut
être l’objet et après cela de trouver toutes celles qui sont supportables de
toutes celles qui ne le sont pas au-delà d’une dizaine de jours, voire un mois
au grand maximum en sachant qu’il existe de celles qui ne durant que quelques
secondes sont insupportabilissimis…simissimes au point qu’elle conduisent au
suicide comme avec le Risperdal 50 mg et/ou Xeplion 50 mg sans le médicament
correcteur Artane 5 mg – ce qui devrait faire cesser à jamais – soit tout de
suite -(dès qu’on éprouve ces douleurs / souffrances)- la prescription de ces
« médicaments ».
Avec les souffrances qu’on éprouve, il s’agit le plus
souvent de sortes d’alertes : de renseignements extrêmement précieux que
cet état d’avoir à supporter ces souffrance[s] dans
une situation ou une autre, par exemple après avoir bu ou/et mangé quelque
chose. Aussi il convient de comprendre que notre système nerveux existe / a
pour fonction de nous renseigner au sujet des bonnes choses ou/et des moins
bonnes (donc n’existe que pour nous permettre d’avoir
du plaisir ou au contraire pour nous de ne pas en éprouver, voire en nous
faisant souffrir de nous permettre de nous éloigner de la cause de la
souffrance que nous éprouvons), voire /
soit des déplaisantes ou celles à l’origine de ces souffrances. Celui qui
continue à prescrire des médicaments qui font souffrir une personne et/ou
un animal pacifique et inoffensif herbivore quadrupède
-(APIQH)- -(ou des plantes comme des arbres), n’est pas / plus digne d’exercer
/ de pratiquer la Médecine qui ne peut, en théorie, être exercée que par des
médecins végétariens, étant donné que nous avons pu vérifier et démontrer sur
nous-même qu’on a, avec ce régime végétarien, finalement accès à la conscience
et à la vérité de penser juste dans l’Intérêt et Bien Général, ce qui ne peut
se produire -(dans les êtres humains)- qu’en se nourrissant exclusivement en
végétarien -(et non végétalien)- étant donné qu’en s’imposant cette nourriture
végétarienne on cesse d’être complice[s] de ceux qui croient possible à notre
époque des SAÉ -(solutions alternatives élégantes)- faire
du mal aux API – animaux pacifiques et inoffensifs,
voire aux A. P. I. Q. H. : animaux pacifiques
et inoffensifs herbivores quadrupèdes,
voire aux arbres – alors que les solutions alternatives élégantes
-(SAÉ)- métalliques existent et sont là pour éviter de couper les troncs
d’arbres, ce qui n’empêche pas de prélever, en échange de la protection de ces
arbres -(par les Eaux et Forêts), des branches d’arbre, voire avec
ces branches de fabriquer des contre-plaqués, et etc. , voire des poutres,
planches, etc.).
Car ces effets indésirables de ces neuroleptiques ne
permettent que fort difficilement / rarement au patient d’accéder à sa mémoire -(celle du patient)- ni à sa propre parole -(toujours celle
du patient), [parfois / susceptible d’être]- auto-guérisseuse. En effet, il n’y
a que le travail oral ou/et écrit et/ou artistique -(voire d’autres activités, donc etc.)- qui
puissent guérir une personne -(voir plus haut,
paragraphe précédent)- qui, pour une raison ou
une autre, se croit plus malade psychiquement qu’une autre, voire que les
autres. Hélas, malheurs à ceux et celles, voire celui ou/et celle qui le lui a
fait croire plus que ne le sont, hélas infiniment hélas, depuis des siècles,
tous les occidentaux non végétariens. Aussi il convient de créer les conditions
pour -(que ces échanges oraux et/ou par écrit ou/et
par vidéo-téléphone ou/et par la réalisation d’œuvres d’art comme par exemple
l’écriture de scénarii ou/et romans, nouvelles, etc. , voire comme je l’ai
démontré avec La Momie à mi-mots -(https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk),
soit le tournage de films / vidéos à des niveaux de responsabilité[s] plus ou
moins important[e]s -(mise en scène, réalisation, montage, décoration, jeu
d’acteur, etc.), qu’on puisse se guérir
–(si tant est qu’il se soit agi d’un problème ayant à voir avec une maladie
psychique qui durerait, étant donné que la crise, s’il y a eu crise –--(ce qui
dépendra des point-de-vues au point de ne pas être -[en tenant compte d’autres
paramètres), est, dès l’approche du psychiatre, voire du psychanalyste,
terminée, voire dénouée dès qu’on en aura trouvé la/es cause[s], soit dès ce
moment-là, de fortes probabilités d’en trouver le remède -(connu)- qui ne peut
être un médicament neuroleptique qui, hélas, sont à l’origine de modification
de l’état -(des états)- d’esprit du patient en créant des maux psychiques plus
ou moins importants se traduisant aussi par tous les effets indésirables plus
ou moins douloureux, martyrisant[s] et/ou insupportables). Soit à travers la
réalisation de ces œuvres essayer d’entrer dans la vie active. La vérité de
parole et/ou des écrits sont alors féconds pour des raisons qu’il va s’agir de
comprendre pourquoi on s’est comporté de façon à inquiéter sa famille -(la/les causes recherchée[s] à ces effets mystérieux,
originaux, différents)- dans laquelle on est né,
voire les responsables qui se sont occupés de nous -(si, par exemple, on
appartient à la catégorie des orphelins). Aussi ces SAÉ psychanalytiques sont
fondamentales -(et doivent être prioritaires car, parce qu’elles permettent
d’avancer intellectuellement, elles sont censées éviter au patient la béquille
médicamenteuse des neuroleptiques qui, à cause de son dosage beaucoup trop
important / fort ne guérira jamais personne mais confortera la personne dans
son mal en lui faisant croire qu’elle est malade d’autant les souffrances
qu’elle endure à cause des effets secondaires indésirables, par conséquent en
créant artificiellement un[e] malade qui sinon aurait pu retrouver plus
facilement sa/la conscience par le travail psychanalytique -(infiniment
préférable aux neuroleptiques qui ne font que repousser la nécessité de
travail, au sens psychanalytique)- et
des activités artistiques, voire de bonnes lectures, de l’intérêt pour le
Théâtre, la Musique, la Sculpture, la Peinture, etc. ce qu’on ne peut pratiquer
pleinement qu’en vérité -(soit ce qui compte)- et non pas abruti par le[s]
-(« médicament[s] »)-neuroleptique[s])- et c’est pourquoi il
convient, pour retrouver ainsi la bonne voie, de ne plus être la proie des
psychiatres, c’est-à-dire de ne plus ingérer de médicaments psychiatriques -(la
recherche de la vérité de parole -[V. P.]- ayant pris
le relais d’autant que la vérité et les vérités relatives existent très
réellement sur chaque point obscure / incompréhensible)- soit
ces neuroleptiques car, à partir d’un certain seuil, soit un certain dosage,
ils faussent la réalité -(et ne permettent
plus de rien faire tant la souffrance des effets secondaires indésirables est
immense)- et par conséquent la
plupart des réflexions qu’on pourrait voir se manifester -(sans
avoir à souffrir de l’un ou/et l’autres des effets indésirables –[qui modifient
nos pensées et la réalité en faisant parfois -(soit
dans certains SPOK, comme ce fut mon cas)- immensément
souffrir – par conséquent ne plus connaître ni se rappeler l’état où on ne
souffrait pas. Oui c’est ici l’horreur de l’horreur : on finit par croire
qu’il est normal de souffrir aussi douloureusement tant psychiquement que
physiquement car on a oublié qu’il y a un état normal dans lequel on ne souffre
pas. Heureusement quelques secondes durant lesquelles on souffre un peu moins,
nous rappellent qu’il y aurait cet état un instant supportable à avoir comme
objectif de retrouver de façon continuelle / constante, par conséquent vous
donne un peu d’espoir en sachant que pour que ces moments où on souffre moins
s’imposent un jour continuellement, il est vital qu’on cesse de vous contraindre
à prendre toutes les quatre semaines ces dosages plus
qu’exorbitantissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes,
torturantissimis…simissimes, insupportab[i]lissimis…simissimes et etc. de
Xeplion 50 mg ou que Risperdal 50 mg -(voire déjà à 25 mg)- plus douloureux
encore que Xeplion 50 mg avec Artane 5 mg deux à trois fois par jour
-(attention, il faut néanmoins comprendre ici que Risperdal 25 mg fait moins
souffrir que Xeplion 50 mg et bien entendu que Risperdal 50 mg qui sans le
correcteur Artane 5 mg est continuellement infiniment douloureux :
douloureusissimis…simissime, insupportabilissimis…simissime et etc. à cause des
effets secondaires indésirables. Il est donc obligatoire d’administrer
Risperdal 25 mg comme Xeplion 25 mg avec Artane 5 mg de deux à trois fois par
jour en proposant dès la première injection un planning de
sevrage plus ou moins long -(n’excédant jamais une année)-
en sachant qu’en réalité il n’est pas possible de prescrire plus de 25 mg de
Risperdal et/ou de Xeplion, donc qu’il est interdit de prescrire Xeplion 50 mg
et -(surtout)- Risperdal 50 mg, même avec le correcteur Artane 5 mg deux à
trois fois par jour).
Celui qui croit possible une guérison par la
psychanalyse
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :
-(ce qui est avec l’ensemble des Arts et des sciences
de l’Arts, comme en raison d’une activité professionnelle l’un des seuls moyens
de guérison, soit comme je l’ai prouvé en rédigeant les 1300 pages aux Papes (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm)
et les 1700 pages aux Présidents de la République (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm),
comme la centaine de pages au Cardinal Vingt-Trois (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/cardinal_vingt_trois01.htm),
alors que j’étais à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
cinq semaines depuis 2014, donc parce que -[comme]- sevré)-
ne peut pas supporter
les médicaments qui sont à voiler la face, transformer la réalité qui alors est
celle de marcher / fonctionner avec, en quelque sorte, « l’aide » -(ici
y mettre le ton, qui est ironique à cause des guillemets 47 et non les
guillemets 74)- de continuelles « béquilles
médicamenteuses » -(en empruntant cette expression à Monsieur Salomon
Resnik)- qui, hélas, font horriblement souffrir des effets secondaires
indésirables –(quand ils se présentent. Aussi quand on
souffre, on ne peut être que très rarement objectif -(je suis une exception et si je le suis, c’est parce que je
m’impose des nombreux CARÉ / CATÔPRÉS -(acronymes de corrections, abrégés, thèse, antithèse, augmentations, précisions, relectures
[ré]élélaborations, résumés, synthèse[s]). Pour
continuer à le demeurer -(objectif)- cela dépend donc du type et de l’intensité
de ces souffrances). Pour réussir la
psychanalyse, soit le jour venu retrouver un accès à la conscience, il est donc
fondamental / impératif de se débarrasser le plus vite possible de ces « béquilles »
-(médicamenteuses)- pour avoir accès -(sans plus être martyrisé par les effets secondaires
indésirables)- à toute
l’indispensable mémoire
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :
-(ce que j’ai vérifié et
démontré exige des efforts incommensurables si on en a fait défaut de
nombreuses années. Plus on est devenu amnésique de l’enfance qu’on a eu, plus
on aura des difficultés à s’en [res]souvenir et si par malheur vous avez subi
entre temps un lavage de cerveau, encore plus difficile car vous aurez
à-premières-vues perdu ce qui pouvait contribuer à vous soigner si vous l’aviez
retrouvé en vous, cependant que j’ai vérifié et démontré qu’à force d’efforts
intellectuels -(mais ceux-ci furent immenses, à raison de
quinze heures par jours de 2005 à 2013 et de 2013 à 2017 – ils n’ont
probablement jamais été entrepris par personne), on
peut remettre en marche son cerveau même s’il a été longtemps -(dans
mon cas 27 ans, de 1977 à 2005)- amnésique
de faits majeurs, soit clé[s] de voûte ou/et pierre[s] angulaire[s], car on
peut aussi retrouver sa mémoire après ce lavage de cerveau l’ayant
à-premières-sensation[s] détruite -(la mémoire). Ce sera difficile, mais on
finit par retrouver ces souvenirs -(voire
de vies antérieures en tant que bouddha, soit éveillé par acquis de
conscience)- qui peuvent être
importants / essentiels –(ce fut le cas
pour moi)- pour se guérir par la
parole car grâce à la mémoire retrouvée, on remet les choses dans la
chronologie, donc dans l’ordre -(en
s’interdisant absolument de tuer ou la moindre des violences
physiques envers / sur quiconque)- par
conséquent on comprend mieux les causes, voire où on s’est trompé, soit
l’origine de l’erreur). Cependant cela ne sera possible que si on a depuis
longtemps -(plus de dix ans, voire quinze, il vaut
mieux)- cessé de fumer et qu’on est de ceux qui ne boivent pas d’alcool, voire
très sobrement / rarement),
soit à
son disque dur et donc à cette possibilité qu’elle -(la mémoire) / il -(le
disque dur)- va offrir, au cours du travail psychanalytique, de retrouver tous
les faits à l’origine de ce qui a fait croire à des psychiatres que vous
n’alliez pas bien
Ceux-ci, hélas, s’ils sont de ceux qui n’ont pas
encore eu accès à leur pleine conscience ont probablement des préjugés, par conséquent
ont donc une idée de la » normalité «, voire de la conscience à l’image de
la leur plus ou moins inexistante, ce qui n’est une bonne chose que très très
superficiellement car ce qui en découle est une attitude subjective et égoïste -(ASNMNPAS
– acronyme de » au sens négatif de
ces mots et non positif dans d’autres SPOK/cas
p… «)- donc dangereux car cette « normalité » peut
vite être vue comme despotique, voire tyrannique, voire pire : celle à
privilégier l’inconscience, voire dans certains SPOK, à premières-vue[s] la
qualité de laipis au sens NMNPAS -(au sens négatif
de ces mots et non positif dans d’autres SPOK/cas
p… «)-, ce qui est effectivement dangereux car cela peut mener à la mort,
tandis que le psychiatre qui aura suivi -(avant de le devenir –[psychiatre])-
un profond travail psychanalytique -(mené
jusqu’à son terme – ce qui peut, hélas, dans certains SPOK, ne jamais
advenir), au point, une fois
conscience obtenue, de devenir à son tour psychanalyste -(par
acquis de conscience)- a de fortes probabilités
d’exister avec moins de préjugés, puisqu’avec ce travail il aura finalement
appris à penser juste comme à se méfier grandement des mots employés tant dans
les rapports oraux qu’écrits
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :
-(car les rapports oraux ne permettent que rarement de
penser juste -[trop de paramètres extérieurs et corollaires
en plus des sons et des interactions physiques -(beauté ou pas du décor et des
êtres en présence desquels on parle – donc des éléments subjectifs)-
interagissent], même une fois la
conscience retrouvée : tout se complique à l’extrême en raison de la
quantité de paramètres dont la plupart des vérités sont faites -(bien qu’il y
ait dans les propos écrits un peu plus de probabilités que cela soit / puisse
être –[ayant été écrits à tête reposée dans des efforts de clarté et
d’objectivité], lorsqu’ils sont le fruit de CARÉ, (voir de CATÔPRÉS)- soit avec
le constant soucis d’une parole écrite qui permettent d’approcher chacune des
vérités relatives constitutives de la vérité quand elles ne sont pas de celles
à nous en éloigner, donc de niveau[x] inférieur[s]),
Il convient de douter de toute proposition / situation
/ certitude / généralité y compris des siennes comme de la nécessité des
« médicaments », étant donné que si on fait partie des gens les plus
véritablement cohérents avec la notion d’amour véritable cela n’a pu advenir
qu’en devenant végétarien. En effet, j’ai pu vérifier que dans l’itinéraire de
l’évolution spirituelle de mon âme -(en
m’utilisant en tant que cobaye de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005, par conséquent
de très nombreux moments sur lesquels travailler, penser, [ces moments
antithétiques de ce à quoi nous croyons])- ayant
le désir d’aimer véritablement sa fiancée, je suis passé par l’étape du désir
de retrouver la cohérence en moi pour me permettre d’aimer plus justement /
véritablement cette fiancée que je jugeai alors ma complémentaire au point, une
fois retrouvée ma conscience de vouloir créer avec elle une famille, donc nous
marier -(c’est ainsi que j’ai pu vérifier que ceux qui
ne veulent pas d’enfants – (comme ce fut
mon cas tout le long des années durant lesquelles j’ai eu à me conduire en
laipis) - n’ont probablement pas
encore de conscience, voire l’aurait perdue à un moment donné dans leur
existence). C’est donc à ce soucis de
cohérence avec les mots d’«» amour du
prochain «», donc désir de vérité -(de ne plus me comporter sur certains
points en menteur ou/et en tricheur, voire en imposteur), que je dois ma
transformation -(métamorphose)- mais surtout cet acquis de conscience, (soit
avec cette recherche de l’amour le plus véritable ce qui caractérise,
-[le »« centre générateur »« de]- la
civilisation chrétienne). On finit donc par aimer très réellement -(soit véritablement) - sa parèdre au point que tout
acquière enfin du sens -(on comprend de nouveau y compris les choses les plus
complexes). Mais pour que cela devienne la réalité cela a impliqué un
changement important dans les habitudes culinaires, au point de contraindre à devenir
végétarien. C’est alors une étape obligatoire qui rapprochera le patient du
moment de la prise de conscience qui peut être par exemple illustrée par
l’image du Cri de S.
E. A. I. S. S. S. L. P. Edvard Munch,
voire quelques autres tableaux de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Vincent van Gogh
et/ou de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Picasso ou/et d’autres
immensissimis…simissimes peintres comme mon frère S. E. A. I. S. S. S. L. P.
Luc-François Granier de Cuneo … d’Ôz)-
Car le danger vient de ce que le psychiatre -(pas
encore psychanalyste, [ce qui devrait être interdit d’être psychiatre
uniquement et pas psychiatre-psychanalyste – (P. P.)])-
n’ayant pas encore accès à toute la lumière de la conscience, croit que le
patient s’est comporté de façon folle, voire de façon inconsciente, au sens
négatif de ces mots -(fou et inconscient)- qui en ont du positif dans d’autres
SPOK/ cas …, soit comme un des laipis, on le sait, parfois sacrilège[s] -(sans
même s’en rendre compte, par conséquent péchant par omission, voire en raison
d’une tradition qui ne s’est pas imposée de/une mise-à-jour, soit en
conservateur, au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK
/ cas …).
Mon conseil est qu’il convient donc aux psychiatres -(soucieux
de la guérison de leur patient)- pas encore devenus de véritables
psychanalystes -(ce qui devrait être obligatoire)- de
proposer la plus faible -(et non la plus forte – comme hélas j’ai pu constater
en Grand Inspecteur et … que c’est encore le cas dans certains établissements,
dont les plus renommés comme Sainte-Anne car prescrits par certains
« médecins » -(tous ceux ne s’étant pas contraints à devenir
psychanalystes et donc n’ayant pas fait de mise-à-jour en conformité avec les
lois les plus justes, ce qui rend alors leur patient artificiellement malade,
vulnérable, faible, infiniment souffrant / torturé / martyrisé au plus haut
degré tant psychiquement que physiquement ce qui n’est pas possible /
acceptable / juste ni conforme avec la très juste loi de l’interdiction de la
torture tant sur les animaux que sur les êtres humains : on n’a pas -(en
conscience)- le droit de/à cela -(en raison du droit à la vie qui a été reconnu
universellement mais aussi des droits des êtres humains), mais aussi de
profiter d’un fait ou d’un autre pour rendre artificiellement malade une
personne qui ne l’était que fort peu, voire pas du tout -(comme
c’était mon cas depuis 2005 –[année de ma transformation en bouddhahs par
conséquent durant laquelle j’ai commencé à être dans l’exercice de mes
fonctions d’empereur et enfin un des plus véritable puisqu’ayant enfin accès à
la conscience])- et cela d’autant plus -(c’est
ici que ce qui s’est passé à mon sujet -[avec les hospitalisations]- est le
plus » incroyable mais vrai « comme le plus injuste, soit impensable
à imaginer)- qu’à cette date j’avais
enfin retrouvé ma conscience, ce qui est pour tous les gens les plus censés -(donc
vrais, voire scensés -[car censé + sensé = scensé]), au
contraire, le signe -[terminal d’un
nouveau départ]- de la guérison -(cette
prise de conscience, au point d’être à l’origine,
-[en poursuivant l’auto-psychanalyse -(et non la psychanalyse), car végétarien
– (les végétariens n’ont pas besoin de psychanalyse car ils sont capables d’exercer
sur eux-mêmes au besoin une auto-psychanalyse, ce qui sera suffisant à moins de
trouver un psychanalyste végétarien pour pratiquer cette psychanalyse)]- de
la progressive restitution de la mémoire à force, à partir de 2005, d’avertir
les époques passées découvertes synchrones, étant donné que j’avais pu vérifier
dans ce studio où je me trouvai 12 bis rue du Val de Grâce au cinquième étage,
mais aussi dans ma mémoire, qu’effectivement on me voyait et on m’entendait
dans le passé en 1977 et qu’on m’entendait -(seulement, donc sans me voir)- en
1967 parlant en virtuel, d’avance, depuis ces années 2005 !).
Aussi on a forcé violemment une personne agissant par
acquis de conscience et dans l’exercice de ses fonctions -(pour le Bien et
l’Intérêt Général)- de devenus un bouddha -(dans mon cas bouddhahs), soit un
éveillé par acquis de conscience, à prendre des doses médicamenteuses très/trop
importantes, au point de le faire souffrir infiniment atrocement alors que la
plus véritable psychiatrie devrait servir à faire en sorte que le patient
accepte de suivre une psychanalyse, voire continue son auto-psychanalyse -(comme
c’était quotidiennement mon cas dans ce studio depuis 2005).
Dès la première ingestion -(ou injection), il convient
-(de concert avec le patient)- de commencer aussitôt, avec l’aide d’un
calendrier, le sevrage du patient -(car
il s’agit de produits chimiques qui peuvent être à la longue très nocifs à
cause de leurs effets secondaires indésirables qui touchent sur l’un ou l’autre
d’entre eux un pourcentage important de personnes)- qui,
c’est normal, une fois calmé -(avec une bonne
nuit de repos, voire en lui prescrivant pour ça un somnifère)- donne,
dès les premiers instants, des signes d’aller de mieux en mieux et cela dès
qu’il se met au travail -(soit commence à s’auto-psychanalyser, voire s’exprime
par les effets de l’un ou/et l’autre des Arts pratiqué[s]).
En effet, il convient de comprendre que tout
médicament neuroleptique est à l’origine d’empêchements à être vraiment
soi-même et cela d’autant plus qu’il s’agira avec ce patient -(comme
ce fut mon cas)- d’un végétarien
N. B. :-
Suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire
-(comme moi qui le suis
progressivement devenu, car longtemps -(dans
les périodes durant lesquelles je n’étais plus bouddha)- j’étais
sûr d’être un omnivore à tendance carnivore, en raison du conditionnement
familial -(dans lequel j’avais baigné / qui avait été le
mien)- occidental qui, dans les années de mon enfance,
proposait à la grande majorité des occidentaux de se nourrir ainsi).
Celui-ci, en Occident, trouvera difficilement un
psychanalyste végétarien. Aussi le voilà à devoir s’imposer / être condamné à
une auto-psychanalyse –(ce qui sera
facilité par la quantité des diplômes obtenue.s à l’Université, voire grâce à
son niveau scolaire s’il est plus jeune)- comme
je l’ai faite en même temps qu’à partir de 2005 je communiquai à travers Espace
et Temps aux années 1967 et à celles de 1977 à mon père nommé, (par l’opération
du Saint-Esprit), empereur, toutes les informations nécessaires pour poursuivre
la Reconstruction de l’après Seconde Guerre Mondiale et mettre un terme à la
guerre froide comme grâce à mes informations détaillées -(et mes avertissements
divers à raison d’une moyenne de huit heures par jour de 2005 à 2013), bâtir
notre époque -(soit celle où ses petits-enfants, mes nièces et
neveux, allaient accéder, à leur tour, aux responsabilités -[y compris
parentales])- à partir de toutes
les données transmises.
Cela s’est produit à haute voix en même temps que je m’auto-psychanalysais
dans le studio de la rue du Val de Grâce à partir de 2005 à 2013, avant mon
déménagement à mon adresse actuelle qui a mis un terme à cette
auto-psychanalyse comme à ces communications à travers Espace et Temps car j’ai
dû me consacrer à l’écriture des explications de ces communications /
interventions -(à travers Espace et Temps, du Ciel)- à
effets rétroactifs aux années 1967 et suivantes et 1977 et suivantes.
En effet cette auto-psychanalyse à haute voix avait
été nécessaire car j’avais en 2005 à me remettre d’une double amnésie. Celle
entre 1967 et 1977 et celle entre 1977 et 2005 -(de vingt-sept années)- de
l’existence de ma première promise, S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et
comme convenu avec moi-même dans le passé, du Sacrifice que j’allai
progressivement -(à mesure que s’égrainaient les jours à partir de 2005)-
découvrir avoir fait avec C. L. , à partir de 1977 de nos enfants
-(potentiellement attendus / virtuels)- avec C. L. , étant donné qu’en
augmentant le prix du baril de pétrole -(au
lieu de le baisser pour créer / faire advenir le Paradis partout, en mettant un
terme définitif à la misère et à la pauvreté matérielle de tous les êtres
humains sans exception)- toutes les personnes qui
comptent très véritablement et cela par acquis de conscience -(à cause des
multiples interactions économiques avec l’ensemble des autres
paramètres)- voyaient bien qu’il leur
serait absolument impossible de fonder une famille dans un monde où les prix
n’allaient pas cesser d’augmenter -(mettre des enfants au monde pour les faire
payer, « » vous moquez-vous des gens? « »
selon Dieu ou/et Molière – c’est presque la même chose)- en raison qu’ils -(les
prix)- répercutent, très logiquement et souvent très exactement au sens de
justement, l’augmentation du prix du baril de pétrole -(soit
celui du transport qui concerne tous les produits sans exception, ces prix
étant donc tributaires de cette augmentation)- et
cela à l’exception de deux ou trois d’entre eux, il est vrai et cela est assez
important pour être mentionné -(car cela
confirme que si on avait baissé le prix du baril de pétrole au prix où je
disais qu’on avait tous intérêt à le vendre -(soit un centime de dollar le baril, voire 0,01 centime de
dollar le baril ce qui serait beaucoup mieux étant
donné qu’aucun enfant étant sur le point de naître n’a l’intention de gruger
les autres et que se sont eux qui, dans l’avenir, à leur tour auront à préparer
le monde de leurs enfants, voire de leurs petits-enfants et encore plus loin de
la Résurrection des Morts, par conséquent qu’il y a devoir de l’Ensemble à
faire en sorte que les prix soient indexés sur le pétrole coutant le
moins cher possible -(et non le plus cher possible)- pour donner
une valeur cohérente à tous les produits pas seulement du point-de-vue de ceux
qui naîtront dans les familles les plus aisées financièrement parlant, mais
aussi pour tous ceux naissant dans des contextes dans lesquels les prix les
plus bas représentent des sommes plus importantes, voire -(parfois ou hélas
souvent)- impossibles à dépenser, aussi cela serait une sorte d’ajustement
mondial qui donnerait aussi le prix aux travaux pharaoniques -(genre celui de
construire un pont / viaduc pour le train et les automobiles entre Cuba et la
Floride)- qui seront à entreprendre dans l’avenir, en rendant tous les autres
travaux le moins cher possible -(et non le plus cher, ce qui a été le cas à
plus de cent onze dollars le baril en 2011 -(mais déjà en 2008), soit ce qui
m’a déterminé plus que jamais à ce qu’on propose ce pétrole à la place à 0,01
centime de dollar le baril d’autant plus que c’est moi qui ai dicté du ciel, en
le géolocalisant exactement, plus de cinquante pour cent des réserves actuelles
de pétrole, soit miennes à plus d’un titre : celui de grand inspecteur car
bouddhahs -(soit éveillé par acquis de conscience), empereur, donc
eanmeailleurs -(car de mon cru empereur + bouddhahs = eanmeailleurs, un mot que
j’ai inventé / créé pour cette situation exceptionnelle, soit ce SPOK et auquel
j’ai donné aussi le/un sens figuré d’une recette
végétarienne visible en vidéo sur Internet)-
mais aussi découvreur de ces réserves géo-localisées par mes soins), tous les
prix de tous les produits sans exception auraient baissé beaucoup -(selon mes
plans depuis 1977)- plus qu’on était en droit de l’espérer en étant ainsi à
l’origine d’un monde où il n’y aurait bientôt plus une seule dette -(donc de la
possibilité de restaurer la vision du très saint paradis d’avant la très grande
catastrophe, soit Ôz ou/et Atlantide ou/et Arcadie et tous les
synonymes de cette notion d’Eden -(comme celui du
mot Schtroumpf)- qu’on me montra à Rome cinq pleines secondes en
1995 quand on me fit -[le]- nouvel empereur), mais
aussi où ce qui serait gratuit ou/et extrêmement peu cher, concernerait la
majorité des produits -(seuls ceux qui auraient valu plus d’un million et cent
mille dollars de 2011-2014 auraient dû être vendu / été vendus un dollar, ce
dernier ayant un pouvoir d’achat, on le voit ici, très/plus important, par
conséquent enfin une très grande valeur, les gens continuant à être payés ce
qu’ils sont, par conséquent tous multimillionnaires y compris les plus pauvres
et/ou misérables), car ils ont continué à
-[faire]- bénéficier de la loi de la quantité et de
la rareté -(L. Q. R.)- ce qui a permis de voir baisser le prix de
leurs produits à la vente, malgré l’augmentation du prix du baril de pétrole.
Mais ces articles qui l’ont démontré possible -(malgré
ces hausses du prix du baril de pétrole)- n’ont,
évidemment pas été aussi nombreux que ça -(cependant que cela mérite d’être
signalé notemment pour les écrans de télévision grâce au passage des écrans
cubiques ou/et rectangulaires d’autrefois -(déjà en couleurs)- aux écrans
plats, dont j’ai décrit en détails techniques comment les réaliser, comme les
fax et les ordinateurs de bureau ou/et portables, lecteurs de CD-audio et DVD,
que j’ai aussi décrit en détail pour qu’on puisse les élaborer petit à petit
dès ces années 1977 et suivantes, et etc.).
Aussi ces « médecins » qui ont prescrit
plus que la dose « minimum » de 25 mg –(ce
que j’ai vérifié sur moi-même est en réalité la dose maximale possible à
prescrire accompagné du médicament » correcteur « de
l’Artane 5 mg deux à trois fois par jour et cela en ayant impérativement et
normalement, dès la première prise/dose, à commencer à sevrer dès les quinze
jours suivant[s], soit de quinze jours en quinze jours)- alors
qu’ils étaient dans la connaissance / avertis des effets secondaires
indésirables, obtiendront pour leur respective âme après la mort -(s’ils
n’ont pas fait – avant d’exercer)- les efforts de devenir l’un des éveillés
-[bouddhas]- par acquis de conscience)- les
plus tragiques réincarnations avec tous leurs complices, bien que nous sachions
qu’à première-vue[s] il ne savait pas cela –(au sujet de ces
« médicaments » et/ni sur leur vie après la mort)- soit qu’ils font
l’objet d’un test impitoyable et qu’en réalité la gradation maximale à pouvoir
administrer 15 jours
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous à lire :
-(ce qui est immensément long comme temps à l’échelle
universelle, y compris / et surtout à l’échelle médicale, étant donné qu’une
seconde de souffrance c’est, nous en convenons tous, si cette souffrance est de
celles grandes / importantes, insupportab[i]lissimis…simissime bien qu’elle
-(ou qu’il – malgré que le mot » seconde « soit féminin)- soit
grandement préférable cette seconde à plus longtemps, soit, par exemple trois
ans comme c’est le cas pour moi depuis la dernière hospitalisation abusive de
2017, les médecins et le personnel médical n’ayant pas voulu baisser mon
traitement, comme je n’ai pas cessé, en conscience -(soit
par acquis de conscience, donc en éveillé, soit dans mon cas en
bouddhahs), de le demander –(d’autant
plus, à vous en croire –[donc selon votre
point-de-vue –(et non le mien soucieux du moindre détail comme de la Vérité des
mots ou/et des doses et ce qu’elles induisent comme sevrage exactement
réussi]), que j’étais sevré depuis
plus de trois ans -(dès la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes
les cinq semaines, soit depuis 2014), obtiendront
pour leur âme respective, à leur mort, ce qui les attend mathématiquement comme
malheur en raison –[et proportion]- de ce qu’ils en ont créé à leurs patient)–
et pas
plus – est -(s’il
n’existe pas de comprimés en la matière pour ces « médicaments » du
Risperdal et du Xeplion, mais aussi des autres neuroleptiques)- la
plus « faible », soit celle de 25 mg -(/: Vingt-cinq), soit
vingt-cinq fois un milligramme tous les quinze jours de cette chimie
martyrisantissimis…simissime. Ce qui,
je l’ai vérifié, sur moi-même quand j’étais à demi-dose de
Risperdal 25 toutes les sept semaines, est
encore quelque chose à souffrir ce un ou deux, voire trois milligrammes dont on
sent, à ces dosages là -(uniquement à première-vues minimes et non en prenant
en compte tous les paramètres, dont celui de l’échelle neutrinale -(de
neutrino)- réelle et celui de la stratégie commerciale fondée sur la vérité
relative de 25 mg comme point de départ – car ce point de départ, pour rendre
ce « médicament » plus supportable aurait pu être de 5 mg tous
les quinze jours, voire d’une façon plus raisonnable encore moins, n’ayons
aucune peur à le proposer en toute vérité / conscience: 1 mg, ce qui
aurait été/serait - je vous prie de le croire, amplement suffisant et je puis
vous le garantir : enfin sans effets secondaires indésirables, voire
beaucoup moins qu’à 25 mg : vingt-cinq fois moins -(ce qui n’est pas à
négliger comme nouvelle échelle de départ plus respectueuse de la santé du
patient qui, sinon à de nombreuses probabilités d’être un de ceux qui auront à
souffrir l’un ou/et l’autre des effets secondaires indésirables – ce qui est
rendre cauchemardesquissimis…simissime la vie de ce patient -(sans Artane 5 mg
qui en étant employé comme correcteur vivra alors sa vie
cauchemardesquissimissimissime, ce qu’il vaut mieux de
cauchemardesquissimis…simissime)- appartenant sous l’emprise de l’Artane 5 mg à
tous ceux vivant continuellement dans des douleurs
insupportab[i]lissimissimissimes -(ce qu’il vaut
mieux en évitant le suicide du patient par ce qu’il gardera l’espoir de voir
baisser le traitement dans le cadre du sevrage obligatoire de tous les
neuroleptiques sans exception)- et
non insupportab[i]lissimis…simissimes).
Le Risperdal, à ce
dosage de 5 mg faisant cinq fois plus d’effets qu’à un milligramme -(et cinq
fois moins qu’à 25 mg)- où il aurait –
je puis vous l’affirmer et vous en rassurer - fait
de l’effet, cependant que le devoir / l’obligation de se sevrer de cette dose
de Risperdal 5 mg -(voire 1 mg)- prendrait, évidemment, beaucoup moins de
temps, bien que cela soit aussi possible de deux semaines en deux semaines -(voire
en plus de temps, si le patient n’est pas de ceux qui souffrent / souffreront
-(= souffriront)- des effets indésirables comme ce fut mon cas)- en
passant ainsi progressivement de quatorze jours -(deux semaines après)- en
quatorze jours,
à moitié moins de 25 mg,
soit 12,5 mg,
puis quatorze jours après à
moitié moins encore : 6,25 mg,
puis à 5 mg,
puis quatorze jours après à
moitié moins encore : à 2,5 mg,
puis quatorze jours
après : 1,25 mg,
puis quatorze jours après à
0,625 mg -(en arrondissant à 0,63 mg),
puis ainsi de suite de
quatorze jours en quatorze jours -(très logiquement)- à 0,3125 mg -(arrondi à
0,30 mg)-
puis de nouveau quatorze
jours après à 0,5625 mg -(arrondi à 0,5 mg),
puis idem à 0,078125 mg
-(arrondi à 0, 08 mg),
puis la fois suivante à
0,0390625 mg -(arrondi à 0,04 mg),
et quatorze jours après à
0,01953125 mg -(dose arrondie à 0, 02 mg)-
puis deux semaines après à
0,009765625 mg -(arrondi à 0, 01 mg),
ce qui serait alors la
dose finale / terminale avant la fin du sevrage quinze ou quatorze jours après
cette dose minimale de 0,01 mg -(où enfin on ne prend plus de Risperdal,
donc on est complètement rétabli avec ce sevrage en quatorze fois quatorze jours -(valable
aussi pour Xeplion 25 mg cependant qu’avec Xeplion 25 mg de mois en mois ces
dosages, ce qui fait quatorze mois de traitement pour réussir ce sevrage),
soit
196 jours -(16 934 400 sec., soit 28 semaines).
Le sevrage déployé / détaillé ci-dessus peut être
réalisé autrement vu au grand maximum en 392 jours -(soit 33 868 800 secondes –
soit sur 56 semaines, un peu plus d’un an), soit deux fois plus long, sur deux
fois plus de temps que le précédent, soit autrement vu -(ce sevrage)- en deux
fois plus de temps que 196 jours -(le sevrage détaillé au-dessus du paragraphe
précédent)- ce qui signifie qu’on reprend la même dose une fois de plus avant
de passer à la dose deux fois moins forte – donc une étape de quatorze jours
supplémentaires à chacun des dosages – donc à chaque nouveau dosage d’environ
deux fois moins, prendre ce nouveau dosage deux fois quatorze jours après
chacune des nouvelles doses, ce qui fait traîner en longueur du double de temps
ce sevrage à un peu plus d’un an),
Voire – il vaudrait mieux – ce sevrage en 294 jours
-(soit 42 semaines, soit 25 401 600 secondes)-
soit autrement vu 1,5 fois plus de temps que 196 jours -(soit 16 934 400
secondes), soit 28 semaines à pouvoir de nouveau vivre comme autrefois sans
médicament[s].
– N. B. : durant ce sevrage il est fortement
conseillé de passer progressivement à une nourriture végétarienne pour tous
ceux qui ne le sont pas avant le traitement : c’est bien ce changement
d’alimentation qui va grandement contribuer à la longue -(sur plusieurs longues
années – (un tableau concernant approximativement le
nombre d’années qu’il faudra attendre -[tout en étant devenu végétarien]- avant
de retrouver sa conscience est possible à l’aune de mon expérience, cependant
que difficile à réaliser pour, en réalité, tout compte fait, obtenir un ordre
d’idée[s] -[sans pouvoir garantir ces résultats à obtenir de façon certaine au
point que nous pouvons affirmer que trente années végétarien donne de sérieuses
probabilités d’accéder enfin à la conscience cependant que dans d’autres cas
quarante, voire cinquante ans ou plus longtemps encore seront
nécessaires])- au rétablissement du
patient qui, parce qu’il va devenir végétarien, va pouvoir guérir, à la longue,
de la grande majorité des maladies psychiques auparavant traitées avec des
neuroleptiques car j’ai pu vérifier que la cause de l’anorexie comme de la
schizophrénie, comme de la plupart des autres maladies psychiques n’existent
qu’en raison de ce qu’alimentairement on s’est mis dans une situation
paradoxale et incohérente avec les plus véritables sentiments qui nous animent
d’habitude. L’alimentation carnée de chair animales est à l’origine de cette
situation paradoxale et/ou incohérente -(c’est là la
cause ou l’origine des problèmes)- alimentaire dans les pays occidentaux :
en effet manger de la viande animale et/ou du poisson va dans le sens contraire
de ce à quoi tend naturellement l’âme de chacun dès nos respectives naissance,
comme dès l’âge de raison : la bonté (soit ce qui caractérise normalement
la plupart d’entre nous). La méchanceté, la haine ayant pour origine des
malentendus et des paramètres vitaux oubliés, voire qu’on n’a jamais su ni
compris : c’est ici l’origine des comportements en prédateur[s], ce qui
sera donc l’une ou l’autre des réincarnations suivantes parce qu’on s’est
refusé à faire le Bien et on s’est habitué à voir la réalité du mauvais côté en
devenant un des laipis – comme j’eus à le démontrer sur moi-même). Ces doses de
moitié en moitié moins sont ce qu’elles sont en milligrammes pour
nécessairement progressivement durant le sevrage mis en place adoucir le
traitement, ce qui est totalement obligatoire avec ce sevrage absolument
obligatoire dès la première dose de Risperdal ou/et de Xeplion (ne serait-ce
que par devoir de/pour ne pas inquiéter le patient -(qui tant qu’il n’a pas
le planning du sevrage peut être un de ceux dont les effets
indésirables sont des plus torturant, douloureux et par conséquent qui doit
être rassuré par la connaissance de la périodicité choisie du sevrage dont il a
droit et dont il sera obligatoirement l’objet. Laisser le patient souffrir des
effets secondaires sans lui annoncer la fin de son sevrage par le planning du
sevrage -(des neuroleptiques)- dont il fera obligatoirement
l’objet, est criminel contre l’humanité en raison de ce que sans ces
informations -(à donner avant la première injection)- le patient croit alors,
une fois le médicament injecté, qu’il aura à souffrir pour toujours les
martyres et tortures de ces effets secondaires les plus douloureux. Aussi le
médecin qui n’établira pas de concert avec son patient le planning du
sevrage dégressif du Risperdal ou du Xeplion mais aussi de tous les autres
neuroleptiques ne peut pas s’appeler un médecin mais uniquement un bourreau
dépourvu de cœur : bref celui qui sera à l’origine du traumatisme
psychique de chacun des patients à qui on aura injecté sans informations sur la
durée du traitement -(au très grand maximum d’une année -(56 semaines comme
écrit plus haut), mais il vaut mieux sur six mois -(28 semaines, comme inscrit
plus haut), voire trois mois -(quatorze semaines comme inscrit dans
le planning détaillé plus haut aux doses indiquées à ne jamais
dépasser)- au grand maximum la dose de 25 mg de ces produits neuroleptiques), voire
petit à petit éliminer les substances chimiques du Risperdal qui aux cinq doses
proches de 25 mg et à 25 mg ont des effets secondaires considérables / nombreux
/ douloureusissimis…simissimes / etc. -(sans le médicament correcteur de l’Artane
5 mg)- dont certains d’entre eux hyper insupportables sur les gens pourvus
d’une conscience, donc dès la prise de 25 mg, ce qui veut dire que ces
souffrances existent aussi mais un peu moindres, à moitié moins, à 12,5 mg
comme encore moins à un quart : 6,25 mg et bien sûr un peu moins encore à
5 mg et bien sûr à moitié moins : 2,25 mg et etc. ainsi de suite jusqu’à
0, 01 milligramme !)
Et si la première dose -(après celle qu’on prescrit en
cas d’hospitalisation -(ou hospitalisation chez le patient)- au cours de
laquelle aurait été délivrée la dose de 25 mg – ce qui est, (permettez-moi de
vous le rappeler)- le maximum du maximum supportable -(avec de deux à trois
comprimés d’Artane 5mg tous les jours)- car sinon
insupportablis…simissimissime, voire pour une entrée à l’hôpital prescrire de
préférence la dose de 12, 5 mg – donc au pire de 25 mg -(qui, avec l’Artane 5
mg rend à peine supportable le Risperdal comme le Xeplion à ces dosages), voire
– il vaudrait mieux proposer une dose de 6,25 mg, car on pourrait commencer à
la dose de Risperdal -(ou de Xeplion toutes les quatre semaines)- 1mg toutes
les deux semaines, puis à la dose de 0,5 mg avant d’être mis au dosage de 0,25
mg et enfin à 0,125 mg car deux semaines après 0,0625 mg existe comme deux
semaines après 0,03125 mais aussi deux fois moins existe, et ainsi de suite et
cela parce que ces dosages au-dessous d’un milligramme permettent d’éviter les
effets indésirables tout en étant toutes les deux semaines -(ce qui est énormément
de secondes –[pour être précis 1 209 600 secondes, ces quatorze
jours]- moins forts que un milligramme de Risperdal -(étant
vingt-cinq fois moins fort que le dosage de 25 mg qui est à l’origine d’effets
indésirables martyrisantissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes car
torturantissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissimes,
insupportabilissimis…simissimes et etc. -(ces » issimissimissimes
« étant bien la preuve que 25 mg de Risperdal tous les quatorze jours est
au moins vingt-cinq fois trop fort, ce qui exige des plus véritables médecins
de sevrer rapidement et précisément, tant la souffrance au dosage de 25 mg de
Risperdal est trop élevée / douloureusissimis…simissime et si possible, dès les
quatorze jours suivants à 12,5 mg, en sachant heureusement pour tous que le
patient souffrira deux fois moins -(ce qui n’est pas encore beaucoup moins à ce
stade du sevrage et de souffrance[s] -(bien qu’appréciable – je puis vous le
garantir – pour l’avoir vécu –(donc tout ceci est inscrit en raison de
l’expérience et très objectivement en cobaye de l’expérience mais aussi en
bouddhahs, c’est-à-dire en grand inspecteur, soit en vérité multidimentionnelle
et multicatégorielle – on peut donc s’y fier les yeux fermés car c’est la seule
possibilité à l’aune de certains des effets secondaires
indésirablissimis…simissimes dont sont responsables Risperdal et Xeplion. Aussi
ce que j’ai dit pour Risperdal 25 mg est valable pour Xeplion 25 mg, mais tous
les vingt-huit jours, soit toutes les quatre semaines - mais aussi pour tous
les autres neuroleptiques probablement proposés chacun au moins vingt-cinq fois
trop forts -(car c’est le cas de Risperdal 25 mg et cinquante fois trop fort
Xeplion 50 mg – 1 mg faisant déjà des effets très/trop importants contraignant
à sevrer dès la première prise jusqu’à 0, 01 milligramme), car il ne faut pas
oublier qu’une seconde de souffrance de Risperdal 25 mg -(sans médicament
correcteur)- c’est réellement insupportabilissimis…simissime par conséquent
quinze jours l’enfer absolu psychique et physique de souffrances diverses à
devoir supporter, soit l’horreurissimis…simissime, le
douloureusissimis…simissime et etc. y compris quand quatorze jours plus tard -(attention
cela représente 1 209 600 secondes ces 14 jours –[soit toutes les deux
semaines ce Risperdal] – d’où -[que]- vous pouvez un petit peu mieux comprendre
ce que cela représente comme souffrance)- on
passera à 3, 125 -(arrondi à 3 mg)- et quatorze jours après à deux fois moins,
soit 1, 5625 mg -(arrondi à 1, 5 mg), ce qui est, à cause des effets secondaires
indésirables, croyez-moi encore de la souffrance -(mais je vous
l’accorde : un peu moins que quatorze jours avant – voire pour certains
insensibles aux effets du Risperdal ou du Xeplion « rien », voir
infime, cependant que pour ceux qui à 25 mg ont souffert infiniment trop des
effets indésirables, cela sera beaucoup moins de souffrance, voire au mieux la
disparition de celles-ci, soit ce qui est évidemment souhaitable).
Ce n’est que vers 0,78125, (soit en arrondissant à 0,
75 mg)- qu’on trouve ce « médicament » à la limite du supportable,
voire dans les cas les plus désespérés -(soit
celui de personnes sensibles ayant acquis la conscience, donc vraies et s’étant
débarrassées de la condition de laipis)- supportable
et cela parce que petit à petit en baissant le dosage quelques »
issimissimes « ont disparu en proportion -(au point, dans un premier
temps, de voir disparaître progressivement les trois petits points au centre de
ces mots érigés avec » ces issimissimes « à ces superlatifs absolus
N. B. : Autre suite après le paragraphe
suivant ci-dessous entre crochet[s] à lire:
-[ayant à voir avec une appréciation de la douleur
plus qu’infiniment insupportable et par conséquent commençant à être
ceux-ci : martyrisantissimis..simissimes, douloureusissimis..simissimes,
torturantissimis..simissimes, cauchemardesquissimis..simissimes,
insupportab[i]lissimis..simissimes, puis parce qu’on a baissé la dose comme
ci-dessus décrit de moitié en moitié en commençant à 12,5 mg, ces effets
secondaires indésirables martyrisantissimis.simissimes,
douloureusissimis.simissimes, torturantissimis.simissimes
cauchemardesquissimis.simissimes, insupportabilissimis.simissimes, puis, parce
qu’on a une fois de plus baissé la dose comme nous l’avons vu plus haut à la
moitié de 12,5 mg soit 6,25 mg, arrondi à 6 mg, martyrisantissimissimissimes,
douloureusissimissimissimes, torturantissimissimissimes
cauchemardesquissimissimissimes, insupportabilissimissimissimes -(pour
tous ceux sensibles aux effets secondaires –[comme ceux des impatiences et des
acouphènes dont une seule seconde peut être, selon la méchanceté de ces
acouphènes, martyrisantissimis…simissimes, torturantissimis…simissimes
douloureusissimis…simissimes, au paroxysme du cauchemardesquissimis…simissimes,
soit insupportab[i]lissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes, soit chacun
de ces mots à l’infini de l’infini ce qu’ils sont déjà en valeur absolu comme
genre de douleurs]-
ce qui est encore de la souffrance absolue)- et puis
parce qu’on aura baissé le dosage sur 14 jours, soit deux semaines :
martyrisantissimissimes, douloureusissimissimes, cauchemardesquissimissimes,
torturantissimissimissimes insupportab[i]lissimissimes, ce qui, croyez-moi, est
encore trop injustement souffrir, mais environ quinze jours après -(si on a
baissé la dose de Risperdal ou de Xeplion ou des autres neuroleptiques), ce ne
sera que martyrisantissime, douloureusissime, cauchemardesquissime,
torturantissime insupportablissime, soit, vous en conviendrez aisément encore
des superlatifs -(mais beaucoup moins absolus que les précédents, par
conséquent donnant une meilleure idée de la souffrance -[à]- endurer/ endurée,
voire renseignant le médecin du niveau / degré de souffrance endurée par
le patient -(c’est ici la solution alternative élégante que je donne -(que j’ai
trouvée)- pour évaluer sur quoi tabler avec la quantité et les
« qualités » des degrés de souffrance dont j’ai fait l’objet. Pour
que cela marche pour les autres -(comme premier remède qui permet aux soignants
d’évaluer les degrés de souffrance des patients pour tous les maux existants)-
il n’y a plus qu’à faire une sorte de tableau avec les mots
de » douloureux « , » insupportable « , »
cauchemardesque « , » martyrisant « , » torturant « , »
tragique « et ces superlatifs de plus en plus absolus, voire infiniment
absolus pour avoir une idée précise de la quantité de souffrance qu’est en
train d’endurer une personne venue demander secours, on lui demandera
d’entourer le mot d’insupportable ou/et de douloureux, etc. qui peuvent être
aussi, à un autre endroit, précédés de l’adverbe » peu « , voire de
ces mot de » moyennement « , » beaucoup « , » fort
« , » très fortement « , » trop fortement « ,
etc. : de » fort « à » fortissimis…simissimément « et
puis après inscrire » douloureux « : fortissimis…simissimément
douloureux, voire à la ligne au-dessous » fortissimis…simissimément
douloureusissime «, puis » fortissimis…simissimément douloureusissimissime
«, puis à la ligne au-dessous » fortissimis…simissimément
douloureusissimissimissime « , puis aux lignes suivantes ce »
fortissimis…simissimément « suivi de douloureusissimis.simissime
«, » douloureusissimis..simissime « et enfin »
douloureusissimis…simissime « , ce qui est normalement dire »
insupportabilissimis…simissime «, » cauchemardesquissimis…simissime
« , » torturantissimissimissimes «, »
atrocissimis…simissime à vivre/endurer - (nécessitant, [avec l’accord de
l’intéressé / le patient], de façon absolument urgente au moins une cure de
sommeil de plusieurs jours, en espérant qu’à chacun des réveils programmés
la douleur sera un peu plus passée, voire aura disparue, voire sinon au moins
descendue d’un ou de plusieurs crans). On peut donc représenter ces dires
ci-dessus inscrits dans une sorte de tableau, voire sur une page avec ce que
représentent ces mots et/ou expression[s] comme type[s] de souffrance[s]- selon
les dosages, (ce que je viens un peu de tenter ci-dessus dans cette progression
logique et cohérente), cependant qu’on s’est enfin rapproché de »
martyrisant « , » douloureux « , » cauchemardesque
« , » insupportable « , » tragique « , etc. , ce qui
facilitera le choix du dosage suivant du Risperdal ou du Xeplion -(voire
l’arrêt du médicament si la souffrance est au paroxysme ou infiniment, au point
de vouloir en mourir, voire de demander la mort.
Celui-là qui la demande doit aussitôt faire l’objet
-(à ce degré de souffrances)- d’une cure de sommeil d’au moins trois jours,
voire plus longtemps si à son réveil, au bout de ces trois jours -(sans
médicament si ce n’est celui de l’Artane 5 mg qu’on administrera par perfusion
durant le sommeil pour éviter de réveiller le dormeur pour prendre ce
médicament aux heures habituelles) - cette
douleur dure encore à ce point qu’il ne démord pas de l’idée d’en finir – donc
cela -(cette cure de sommeil)- peut être plus longue : d’une semaine,
voire de quinze jours au cours desquels on aura arrêté complètement Risperdal
ou Xeplion 25 mg -(ce que je
rappelle ici est la dose maximale -(et non minimale – tous les médecins
psychiatres qui croient pouvoir prescrire plus de 25 mg de ces deux substances
sont hélas, infiniment hélas, dans l’erreur. Cela n’est –
(croyez-moi, parole de bouddhahs soit d’éveillé par acquis de conscience, soit
en Vérité sans un électron d’erreur puisque nous avons pu vérifier que tout ce
que j’ai eu à transmettre du ciel des années 2005 l’avait été en 1967 et 1977
par ma voix de vérité avant même que ces époques se soient concrétisées dans la
réalité), pas humainement possible
car les effets indésirables sont à 50 mg -(sans correcteur Artane 5 mg)-
infiniment insupportab[i]lissimis…simissimes et les autres mots marqués plus
haut avec le même superlatif infiniment absolu)-, voire
au dosage où le patient se trouve / est, ce qui dans le cas de Xeplion sera un
mois et à cause de cela plus d’un mois de cure de sommeil, voire plusieurs mois
de cure de sommeil -(pour que la personne ne souffre plus)- et bien sûr sans
lui administrer aucun neuroleptique[s] de manière à faire disparaître ces
effets indésirables abominab[i]lissimis…simissimes de souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes
à l’origine de la volonté d’en finir : de se suicider, voire de tentatives
de suicide. En effet, il se pourrait que trois mois de cure de sommeil sans
aucun neuroleptique[s] ne soit pas suffisant pour atténuer la souffrance causée
par ces effets indésirables du Risperdal ou du Xeplion dès la dose de 25 mg -(comme
par exemple les acouphènes soit des bourdonnements insupportab[i]lissimis…simissimes
dans les oreilles ou/et des impatiences du même genre ou des maux de pieds douloureusissimis…simissimes,
ou des quintes de toux handicapantissimis…simissimes puisqu’elles débouchent
sur des vomissements et d’autres effets indésirables que vous trouverez
récapitulés en fin de lettre dans la notice -(copiée)- de ces médicaments les recensant), bien
que cela pourrait l’être au moins pour quelques-uns de ceux qui ont entouré ou
souligné le superlatif absolutissimis…simissime donc constitué de la
terminaison » issimis…simissime « -(avec
l’aide de ces terminaisons superlatives, il est donc beaucoup plus aisé
d’établir une gradation / échelle qui servira à déterminer de manière précise
le degré de douleur ou/et souffrance qu’un patient éprouve car cela décidera de
la médication ou -[de]- l’arrêt de celle-ci, voire du changement de traitement,
etc.)- ou de ses variantes -(avec
un ou deux points, voire plus aucun point, entre » issimis « et »
simissime[s] « au lieu des trois qui signifient » infiniment
«)- qui dans plusieurs SPOK signifient plus ou moins »
infinimentissimis…simissimément –[douloureusissimis…simissime
« et/ou » insupportablissimis…simissime, et etc.]- « qu’on
n’oubliera pas d’inscrire dans les mots proposés au patient pour évaluer le
degré de douleur dont il est victime et par conséquent passer à l’étape suivante -(après
cette cure de sommeil à géométrie variable selon la périodicité de départ des
quinze jours du Risperdal 25 mg ou [d’]un mois avec le Xeplion 25 mg)- à atteindre
pour obtenir » supportable «
N.
B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire si on veut
« soit -[seulement]- OK,
donc l’expression de » cela ira « : soit
l’acronyme C. I. qu’on peut lire » CI « prononcé » si « –
(soit » oui « en italien qui se dit » si « et non »
chi « qu’on utilise en italien pour dire par exemple » chi
siete ? « (qui êtes-vous ? ce chi est prononcé en français
par » qui «)-, » ci «, par exemple, dans
«» noi ci darem la mano, est prononcé » chi « en
français » ou dans un autre exemple en italien dans le mot » skier
« : sciare : prononcé » chiaré « en
français qui n’est pas loin du mot » chiaro « en italien, ce qui
signifie le mot de » clair «, par exemple dans
l’expression » c’est clair ? «). Cela ira,
c’est bon = OK ou C.B. . En effet, on retrouve »
ci « dans » merci « ce qu’on emploi parfois pour
dire » oui « ou » OK «),
c’est-à-dire
non-martyrisant, non douloureux, non cauchemardesque, non tragique non plus
-(bien que cela ne sera pas non plus le rêve, soit tout à fait merveilleux -(ce
qui ne peut advenir qu’une fois totalement sevré du Risperdal ou du
Xeplion)- et bien sûr enfin
supportable, soit très exactement ce qui a permis de petit à petit arriver à la
notion de supportable, soit d’O. K. , donc de C. I. B. : -[acronyme
de]- cela ira bien : voire c’est beaucoup mieux qu’avant
(B. M. Q.) – ce qui doit être l’objectif de tous les plus véritables médecins
vis-à-vis du patient tant hélas, infiniment hélas, il y a parfois des états
véritablement insupportab[i]lissimis…simissimes à devoir plus ou moins
momentanément endurer)-
Comme annoncé plus haut voici une sorte de tableau récapitulatif -(adaptables à
d’autres effets indésirables d’autres médicaments, voire aux états de santé
ou/et états de souffrance)- de la gradation des souffrances en fonction
des dosages en milligramme de Risperdal -(tous les 14 jours)- et de Xeplion -(tous
les 28 jours)- établi à partir de mon expérience depuis 2013 de Risperdal 25 mg
tous les quatorze jours sans le correcteur Artane 5 mg.
Tableau établi à partir de 2017, à la suite de mon
expérience de Xeplion 50 mg toutes les quatre semaines et du Risperdal 50 mg -(tous les quatorze jours). Il est à préciser que Xeplion 50
mg est un peu plus supportable -(dans son
absolument insupportabilité – [non supportable], soit
insupportab[i]lissimis…simissime sans l’Artane 5 mg)- que
le Risperdal 50 mg
1/ Effets secondaires
indésirabillissimis…simissimes : martyrisantissimis...simissimes,
torturantissimis…simissimes, douloureusissimis...simissimes,
cauchemardesquissimis...simissimes,
insupportab[i]lissimis...simissimes,
tragiquissimis…simissimes = 50 mg de Risperdal toutes les 14 jours, soit
1 209 600 secondes -(sans l’Artane 5 mg)- de ce type de souffrances
et 50 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes
-(de vie devenue au paroxysme du cauchemardesquissimis…simissime et etc. –[les
corolaires ci-dessus]).
2/ Effets secondaires
indésirabillissimissimissimes : martyrisantissimissimissimes,
douloureusissimissimissimes, cauchemardesquissimissimissimes,
insupportab[i]lissimissimissimes,
tragiquissimissimissimes, etc. = 50 mg de Risperdal -(avec Artane 5 mg de deux
à trois comprimés deux fois par jour)- toutes les 14 jours, soit
1 209 600 secondes et 50 mg de Xeplion -(avec Artane 5 mg de deux à
trois comprimés par jour)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200
secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimissimissime et etc.).
3/ Effets secondaires indésirabillissimis..simissimes -(on
remarquera les deux points au centre de la terminaison qui étaient trois points
au premièrement ci-dessus)-: martyrisantissimis..simissimes,
douloureusissimis..simissimes, cauchemardesquissimis..simissimes,
insupportab[i]lissimis..simissimes,
tragiquissimis..simissimes = 25 mg de Risperdal -(sans Artane 5 mg, de deux à
trois comprimés deux fois par jour)- toutes les 14 jours, soit
1 209 600 secondes et 25 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours,
soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimi..simissime
et etc.).
4/ Effets secondaires indésirabillissimis.simissimes
-(on remarquera un point au centre de la terminaison qui étaient deux points au
troisièmement ci-dessus)-: martyrisantissimis.simissimes,
douloureusissimis.simissimes, cauchemardesquissimis.simissimes,
insupportab[i]lissimis.simissimes,
tragiquissimis.simissimes = 12, 5 mg de Risperdal-(sans Artane 5 mg, de deux à
trois comprimés deux fois par jour)- tous les 14 jours, soit
1 209 600 secondes et 12, 5 mg de Xeplion -(sans Artane 5 mg)- tous
les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue
cauchemardesquissimis..simissime et etc.).
5/ Effets secondaires indésirabillissimissimissimes :
martyrisantissimissimissimes, douloureusissimissimissimes,
cauchemardesquissimissimissimes,
insupportab[i]lissimissimissimes,
tragiquissimissimissimes = 6,25 mg -(si possible arrondi à 6 mg)- de Risperdal
-(sans correcteur Artane 5 mg) toutes les 14 jours, soit 1 209 600
secondes et 6,25 mg de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200
secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimissimissime et etc.).
6/ Effets secondaires indésirabillissimissimes :
martyrisantissimissimes, douloureusissimissimes, cauchemardesquissimissimes,
insupportab[i]lissimissimes,
tragiquissimissimes = 3, 125 mg -(de préférence arrondi à 3 mg)- à de Risperdal
-(sans correcteur Artane 5 mg)- tous les 14 jours, soit 1 209 600
secondes et 3 mg de Xeplion -(sans correcteur Artane 5mg)- tous les vingt-huit
jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesquissimissime
et etc.).
7/ Effets secondaires indésirabillissimes :
martyrisantissimes, douloureusissimes, cauchemardesquissimes,
insupportab[i]lissimes,
tragiquissimes = 1,5625 mg -(arrondi à 1,5 mg)- de Risperdal toutes les 14
jours, soit 1 209 600 secondes et 1,5 mg de Xeplion tous les
vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue
cauchemardesquissime et etc.).
8/ Effet secondaires indésirable
: martyrisant, douloureux, cauchemardesque,
insupportable,
tragique = 0,78125mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,75)- de
Risperdal toutes les 14 jours -(sans correcteur Artane 5 mg), soit
1 209 600 secondes et 0,75 mg de Xeplion -(sans correcteur)- tous les
vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue cauchemardesque
et etc.).
8/ Effets secondaires indésirable
: non-martyrisant, non-douloureux, non-cauchemardesque,
supportable,
non-tragique = 0,390625 mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,4)- de
Risperdal tous les 14 jours, soit 1 209 600 secondes et 0, 4 mg
-(sans correcteur Artane 5 mg)- de Xeplion tous les vingt-huit jours, soit
2 419 200 secondes -(de vie devenue non cauchemardesque et etc.).
9/ Effets secondaires nul : non-martyrisant, (O.K
étape avant fin du sevrage), non-douloureux -(O.K
étape avant fin du sevrage), non-cauchemardesque -(O.K. étape avant fin du
sevrage)
Supportable -(O.K., étape avant fin du sevrage),
non-tragique -(O.K. étape avant fin du sevrage) = 0,1953125mg -(si possible et
de préférence arrondi à 0,2 mg)- de Risperdal tous les
14 jours, soit 1 209 600 secondes et 0,2 mg de Xeplion -(sans
correcteur Artane 5 mg)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200
secondes -(de vie devenue non cauchemardesque, (O. K. étape avant fin du
sevrage)- et etc..
N. B. : permettez-moi de vous rappeler que tous
ces mots qui doivent être entourés ou soulignés par le patient ont été inscrits
en grande majorité d’entre eux sans que ce patient n’ait bénéficié du
correcteur Artane 5 mg, ce qui signifie qu’il va falloir proposer ces mêmes
choix de mots sur une autre feuille de papier pour faire le choix de ces mots
représentant le degré de souffrance du patient une fois sous l’emprise du
correcteur Artane 5 mg à ces différentes gradations.
10/ Et enfin la dernière étape du sevrage avant
terminaison de la prise d’un dosage de Risperdal ou du Xeplion (sans Artane 5
mg) : effets secondaires nuls :
non-martyrisant, (O.K étape avant la fin définitive du sevrage), non-douloureux
-(O.K étape avant la fin définitive du sevrage), non-cauchemardesque -(O.K.
étape avant fin définitive du sevrage). Supportable -(O.K., étape avant la fin
définitive du sevrage), non-tragique -(O.K. étape avant la fin définitive du
sevrage) = 0,09765625 mg -(si possible et de préférence arrondi à 0,1 mg)- de Risperdal toutes les 14 jours, soit
1 209 600 secondes et 0,1 mg de Xeplion -(sans correcteur Artane 5
mg)- tous les vingt-huit jours, soit 2 419 200 secondes -(de vie devenue
non cauchemardesque, (: O. K. , étape avant fin du sevrage)- et etc..
Aussi il faut comprendre que pour mesurer l’état de
souffrance du patient il conviendra d’établir et de proposer, inspiré par les
dix points qui précèdent d’autres listes semblables à ces dix points : la
même liste pour chacune des gradations précédentes qui partent donc de 0,1 mg
pour aboutir à 25 mg, voire à 50 mg sans bénéficier du correcteur Artane 5 mg,
voire ces même gradations en bénéficiant au contraire
du médicament correcteur de l’Artane 5 mg. En réalité ces dix points à proposer
à cocher pour chacune des gradations de 0,1 mg à 25 mg avec ou sans correcteur.
En réalité on fera/établira la liste des gradations de
0, 01 à 25 mg en s’inspirant de la liste ci-dessus et pour chacune de ces
gradations on proposera la liste des mots ci-dessus sans superlatif et avec les
différents superlatifs jusqu’aux plus infiniment superlatifissimis…simissimes !
C’est ainsi qu’on pourra se rendre compte à partir de quel degré en
milligramme[s] de substance médicamenteuse le patient souffre et cela plus ou
moins car la suite de ces superlatifs de plus en plus infini est logique au
point de créer une échelle de moins à infiniment –(hélas cela ne pourra
concerner que la population alphabétisée, par conséquent sachant un peu lire /
comprendre grâce à la langue qui donne accès à la logique et à la cohérence
dans la pensée, donc aux vérités relatives telles que nous les cherchons ici
pour déterminer le degré de souffrance d’une personne sous les effets des
neuroleptiques en particulier -(sans le correcteur Artane 5 mg)- Risperdal 25
mg ou Xeplion 25 mg.
Mais j’ai le regret de vous dire que 0,1 mg de Risperdal
ou de Xeplion cela a, dans le corps, dans le sang, encore des effets, qu’avec
Artane 5 mg en tant que médicament correcteur on ne mesurera pas / plus, tant
ils seraient, effectivement, imperceptibles à ce dosage, cependant qu’ils
existent certainement encore à l’échelle universelle infinitésimale -(mais il
est vrai que le corps ne ressent plus les effets d’une demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(cependant
qu’on éprouve de petits effets les premiers jours de l’injection), ce
qui doit correspondre à 0,5 milligramme, (voire tout au plus 1 à 3
milligrammes, voire 6 mg – on verra plus bas combien exactement)- quand il
existe encore la possibilité de baisser cette demi-dose à
toutes les huit semaines -(ce qui la rendra quart de 25 mg tous les mois),
voire toutes les neuf semaines, ce qui serait approcher de ce 0,1 milligramme).
On ne peut parler de guérison -(si
toute fois on aurait été considéré malade de quelque chose ayant donné
nécessité à un psychiatre de prescrire au grand maximum Risperdal
25 mg une ou deux fois, voire trois fois quinze jours au très grand
maximum ou une ou deux fois Xeplion 25 mg durant un mois)- en ayant
été contraint à prendre du Risperdal 25 mg ou du Xeplion 25 mg –(ce
qu’on ne pourra jamais donner/prescrire à une gradation plus élevée de 50 mg
tant c’est alors douloureusissimis…simissime et insupportablissimis…simissime,
et etc. –[voir plus haut la liste des autres mots qualifiant les souffrances
obtenues des effets indésirables à ce dosage sans correcteur Artane 5 mg
prescrit deux à trois fois par jour maximum]- qu’à
partir du moment où on est totalement sevré de ces substances de Xeplion ou de
Risperdal depuis au moins un an -(donc
un an sans avoir recours aux médicament[s] neuroleptique[s] d’aucun type après
l’année qui, au grand maximum -(sur 56 semaines)- a été utilisée pour sevrer
progressivement du Risperdal 25 mg ou du Xeplion 25 mg). Par
conséquent on doit comprendre que 0,1 mg de Risperdal ou de Xeplion -(ce
qu’il vaut mieux car Risperdal fait un peu plus souffrir que le Xeplion au même
dosage)- n’est pas « plus
rien » car à l’échelle universelle cela demeure 0,1 mg -(ce qui est
beaucoup / énorme à l’aune d’une autre forme de mesure des poids par exemple
celle qui concerne la mesure de la masse des électrons et/ou des atomes ou
comme celle qui mesure le poids / masse d’un neutrino ou d’un photon -(ce qui
concerne les éléments microscopiques composant le Risperdal ou le Xeplion qui
circuleront dans le sang, comme les globules et autres minuscules matières). N’oublions
pas que le sang circule en nous avec des substances qui revêtent des formes et
des poids à ces autres échelles de mesure[s] ayant été créées à cette fin de
réussir à les mesurer précisément parce qu’alors on les distingue dans le sang
comme des éléments dissociables. Aussi ces éléments sanguins chargés des
milligrammes de ces médicaments circulent aussi entre les neurones et les
synapses composant notre si précieux cerveaux, ce que la substance du Risperdal
ou du Xeplion empruntent aussi comme chemin grâce au système circulatoire
sanguin. D’où – vérifié par vos dévoués serviteurs vos eanmeailleurs -
l’immense danger que représente ces neuroleptiques pour le cerveau, puisque
nous avons pu vérifier qu’ils engendrent des acouphènes de différentes forces
dont ceux les plus infinimentissimis…simissimément
insupportab[i]lissimis…simissimement douloureusimissimis…simissimes soit ceux
qui mènent directement au suicide du patient ayant été soumis à prendre 25 mg
de Risperdal ou de Xeplion, le suicide devenant l’unique chance de salut pour
cesser de souffrir et cela si les responsables médecins ayant prescrit ce
Risperdal 25 mg ou ce Xeplion 25 mg, voire ce Xeplion 50 mg -(ce qui a été dans
mon cas)- même avec l’Artane 5 mg, ne cessent pas aussitôt de prescrire ce
Risperdal 50 ou ce Xeplion 50 mg pour que ces acouphènes cessent de se
manifester à cause de ces neuroleptiques comme cela a été mon cas, le docteur
Marcel ayant été coupable de cela puisqu’au lieu de poursuivre mon sevrage
à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines -(ce
qui aurait alors permis un quart de Risperdal 25 mg tous les mois comme cela
devait être le cas, qui plus est, au bout de presque deux années à demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines)- il
m’a contraint et forcé à être hospitalisé de nouveau pour qu’à l’issue de
l’hospitalisation de 2017 on me prescrive Xeplion 50 mg de manière à me faire
souffrir encore plus atrocement y compris des acouphènes, tant que je n’ai pas
trouvé le correcteur de l’Artane 5 mg pour m’éviter le suicide vers lequel je
n’avais pas d’autre choix d’aller (tant la souffrance était des plus
immensissims…simissime et cela parce que ce « médecin » ne voulait
pas prendre compte des effets indésirables dont était l’auteur Xeplion 50 mg :
une substance que nous avons pu remarquer être dès les 5 mg à l’origine de
souffrances infernales, par conséquent dès 20 mg infernalissimis…simissimes
-(soit un synonyme d’insupportab[i]lissimis…simissime, ce qu’elles furent -(au
point d’en avertir à votre tour, comme je le fis à votre prédécesseure Madame
A. et au docteur Jean-Luc Marcel y compris par les écrits dont vous avez
hérités du dossier).
En conclusion 0,1 mg de Xeplion est une dose qui n’est
pas » rien « -(ce que vous pensez comme je le crus dans un premier
temps moi-même, abusés que nous avons été par l’existence de ces dosages
proposés dans le commerce et qui parce qu’ils sont beaucoup plus importants que
25 mg font croire au plus benêts d’entre nous que 25 mg est peu, et 1 mg rien.
Encore une fois 1mg de Risperdal ou de Xeplion c’est énorme dans ces échelles
de mesure[s] des contenus et composés du système circulatoire sanguin. Et si on
ne ressent plus rien vers 5 mg cela ne veut pas dire qu’entre les neurones et
les synapses il n’y a pas des effets considérables au microscope qui se
produisent. Ce n’est que vers 0,1 mg que ces substances ne produisent plus
d’effets importants et permettent à chacun de nous de retrouver le
fonctionnement normal que nous avions avant que ces substances étrangères chimiques
ne fassent leurs effets, même à 0,1 mg qui n’est pas 0,01 milligramme,
gradation à laquelle les effets indésirables sont évidemment moindres bien que
ces effets ont lieu y compris à 0,000 1 milligramme, soit la meilleure échelle
pour comprendre les effets du médicament qui circule dans le sang avec ces
matières différentes liées à la composition de ce médicament. Je crois
avoir bien démontré / prouvé à partir de 1977 dans le ciel de Rome, donc à tous
-(y compris au Pape Saint Jean-Paul Premier qui en avait pris bonne note tous
les jours avec l’ensemble des cardinaux et évêques, donc la hiérarchie
Vaticane, mais aussi avec le peuple de Rome et les membres de l’administration
italienne du Quirinal, le gouvernement de l’Italie, comme à François Mitterrand
ayant alors fait tout spécialement le déplacement de Paris à Rome pour
s’assurer que ce qu’on lui avait dit à Paris au sujet de son élection que
j’avais annoncée et confirmée dans le / du Ciel de 1977 à Rome – soit alors
avec la virtualité de la réalité future de mon être ainsi vue
immensissimissimissime à partir de 1977)- ce qu’un être humain bien né et
s’étant consacré par les arts qu’il exerce au bien comme à l’Intérêt Général,
représente comme taille dans le ciel : de trois à 10 kilomètres de hauteur.
Aussi, vous comprendrez aisément que le contenu d’une seringue de Xeplion cela
représente à cette autre échelle la plus véritable, énormément fois plus que ce
qu’à première vue on croit qu’elle contient -(en effet en macroscopie, soit en
très gros plan la seringue et le contenu de celle-ci c’est immensément
d’ingrédients chimique, même si seulement 0,1 milligramme -(ce dont les
responsables et créateurs de ces produits médicaux n’ont pas tenu compte, ce
qui explique l’existence de l’ensemble des effets indésirables dont sont
responsables ces doses en réalité beaucoup plus importantes qu’on ne pense
étant donné que d’habitude nous ne regardons pas le monde à cette échèle
macroscopique ou, encore mieux, microscopique. C’est la même chose pour le
comprimé d’Artane 5 mg : il s’agit, en réalité, la taille de ce comprimé
d’une sorte de mini soucoupe volante qu’on ingère ! Il faut donc
comprendre que 25 mg sont dans cet autre système de poids et -[de]- mesures -(qui
concerne tous les êtres étant devenus des éveillés par acquis de conscience,
soit des bouddhas, soit très véritablement des princes)- comme
de nombreux kilogrammes de matières chimiques injectées dans le corps
-(mesurant dans le Ciel de trois à dix mille mètres de hauteur)- pour petit à
petit se répandre un peu partout dans ce corps grâce aux flux de la matière
sanguine irrigant toutes les parties du corps et cela a, dans certains cas de
tous ceux qui se sont débarrassés de l’animalité –
au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK – en
eux les conséquences des effets indésirables. Aussi je vous prie de comprendre
que ces 25 mg -(et à fortiori 50 mg de Xéplion)- sont,
en réalité, énormémentissimis…simissimément de cette chimie ayant les effets
indésirables que je vous ai décrit pour ainsi dire totalement déboussolant mais
surtout douloureusissimis…simissimes et insupportab[i]lissimis…simissimes sur
le psychisme comme douloureusissimis…simissime et etc. physiquement. Par
conséquent il faut faire ce que j’ai fait avec madame K. dès le mois suivant la
dose de Risperdal 25 mg toutes les deux semaines, la procurer toutes les trois
semaines, puis toutes les quatre semaines pour la proposer de nouveau tous les
quinze jours, mais divisée à moitié, soit cette demi-dose tous
les quinze jours et quinze jours après la donner toutes les trois semaines et
enfin toutes les quatre semaines et puis toutes les cinq semaines – ce qui
avait pris presqu’un an pour m’être prescrite toutes les cinq semaines -(cette demi-dose de Risperdal 25 mg)- et ainsi
de suite jusqu’à toutes les neuf semaines. Voire si on craint une rechute du
patient faire durer un peu plus le sevrage une fois à ce stade de demi-dose toutes
les huit semaines, cette demi-dose
devenant alors -[un]- quart de dose proposé[e] très
logiquement de nouveau tous les mois -(et non plus toutes les huit semaines),
soit toutes les quatre semaines et puis quinze jours après toutes les cinq
semaines, et quinze jours après toutes les six semaines, et quinze jours après
toutes les sept semaines -(ce quart de dose de Risperdal ou de Xeplion 25 mg)-
et quinze jours après toutes les huit semaines, ce qui permet alors, avant
cette huitième semaine de passer, à l’occasion de cette huitième semaine qui va
venir, à la moitié de ce quart de dose de Risperdal 25 mg ou
de Xeplion 25 mg tous les mois et quinze jours après toutes les cinq semaines
et ainsi de suite jusqu’à la moitié de cette moitié du quart de
25 mg de R. comme de X. qui adviendra très logiquement une fois à huit
semaines, ce qui permet alors de proposer la moitié de la moitié de ce
quart de dose de Risperdal 25 mg ou de Xeplion 50 mg tous les mois,
pour proposer cette moitié de moitié de quart de dose de
Risperdal 25mg ou de Xeplion 25 mg quinze jour après toutes les cinq semaines
et quinze jours après toutes les six semaines et quinze jours après toutes les
sept semaines, ce qui nous permet d’arriver à la moitié de la moitié de
la moitié de ce quart de dose de Risperdal 25 mg tous les mois ou
toutes les quatre semaines !
Ceux qui voudront ici vous dire ce que cela signifie
en milligrammes à chacun des réajustements du sevrage -(donc réajustement
sevragiale : réalisés dans le cadre du sevrage)-
le pourront aisément : au départ la dose la plus énormissimis…simissime
qu’on puisse s’autoriser à prescrire : 25 mg ! (Et jamais plus car
c’est déjà extrêmementissimissimissime douloureusissimissimissime à cette dose
de 25 mg sans correcteur Artane 5 mg)- Ensuite la moitié de la dose =
12,5 mg, le quart de 25 mg étant 6,225 arrondi à 6,5 mg, la
moitié de ce quart = 3,25 mg, la moitié de cette moitié de ce
quart de 25 mg = 1,625 mg qu’on arrondi à 1,5 mg, puis la
moitié de la moitié de cette moitié de ce quart = 0,75 mg de Risperdal
25 mg ou de Xeplion 25 mg et ainsi de suite en nombre de semaine jusqu’à ce 0,1
milligramme de Risperdal 25 mg ou Xeplion 25 mg – ce qui n’est pas difficile à
comprendre et à faire au cours de ce sevrage, qu’on voit bien se déroule en
douceur, très respectueux des tempi de l’être humain),
La demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les neuf semaines -(ce à quoi
j’espérais qu’on irait / tendait)- explique
mon acharnement à demander de poursuivre le sevrage pour enfin passer –(ce
que j’attendais depuis très/trop longtemps, pas seulement en Grand Inspecteur et … -[tout
ce que je puis être, avoir été, serai – soit immensément de choses dans
l’Intérêt et pour le Bien Général, donc qu’on me doit y compris pour mes
réincarnations précédentes]- mais
simplement en patient)- de cette demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(ce
qui était le cas depuis presque deux ans insupportablement longs à cause de ce
que toutes les sept semaines, au bout de la troisième fois, j’attendais qu’on
poursuive le sevrage)- à toutes les huit
semaines, l’étape avant la réussite de ce sevrage quand nous serions à
cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les neuf
semaines, ce qui neuf semaines après une dernière prise de cette demi-dose toutes
les neuf semaines aurait effectivement donné » -[presque]- plus
rien « à ingérer -(m’injecter) - ou » plus rien « pour ceux
qui ont, comme vous, le sens des arrondissements – soit d’arrondir le nombre de
ces milligrammes du côté du zéro quand le dosage de ces médicaments se
rapproche de ce zéro – si vous allez
vers 1mg. Moi je vais vers 0,1 mg, voire vers 0, 01 mg, voire 0, 001 mg, voire
dans d’autres cas 0, 0001 milligramme dans les calculs les plus exactes à
réaliser. Nous sommes donc capables d’utiliser d’autres échèles – (ou échelles)
– parce que ces substances sont hyper-dangereuses en raison des effets
indésirables de ces substances empoisonnantes dans le corps et le cerveau tant
elles sont douloureusissimis…simissimes à ces immensissimissimissimes dosages,
dès 25 mg et 12,5 mg -(sans correcteur Artane 5 mg), ce qui signifie qu’à
partir de 50 mg et au-dessus à 75 mg elles sont immensissimis…simissimement
douloureusissimis…simissimes et etc. et à 100 mg et à 125 mg immensissimis…simissimement
douloureusissimis…simissimes et etc. soit totalement invivab[i]lissimis…simissimes,
donc à partir de 150 mg mais déjà 100 mg InsuPportab[i]lissimis…simissimes,
voire invivab[i]lissimis…simissimes et
etc. – et je vous prie de me croire, je minimise car en réalité chaque lettre
de ces mots devrait être aussi grande que la Tour Eiffel, par conséquent autant
de tours Eiffel que de lettres de chacun de ces mots côte à côte et là aussi je
minime car la taille des maux dont on est alors la victime -(dont on souffre –
mais on ne peut crier tant les douleurs sont atrocissimissimis…simissimes)-
devrait s’inscrire, (chaque lettre), de la taille de la planète Jupiter. Aussi
il faudrait toute une série de planètes de la taille de Jupiter, côte à côte,
en train d’inscrire dans le cosmos l’un ou l’autre de ces mots affublé[s] de
leur terminaison superlative tant la souffrance est alors à chaque fraction de
seconde InsuPportab[i]lissimis…simissimes et
immensissimis…simissime et atrocissimissimis…simissimes et
etc. dès Risperdal 12,5 mg)- (et encore une fois je vous prie de me croire, je
minimise)- et enfin assurer à jamais,
en ce qui me concerne, la fin de la prise de neuroleptiques –(d’autant
plus que j’avais pu écrire en toute transparence les lettres explicatives -[de
ce qui n’avait pas pu être expliqué oralement aux médecins à cause de l’infinie
complexité de mon SPOK/cas particulier canonique]- aux Présidents de la République françaises (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm)
et celle aux Papes –[dont le Pape émérite]- (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm)
comme celle au Cardinal Vingt-trois (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/cardinal_vingt_trois01.htm)
– moi, évidemment pour tout le personnel médical guéri de
ce qui, je le redis n’était pas une maladie, mais par acquis de conscience en
légitime défense de l’Ensemble dans le passé comme dans le présent comme pour
un meilleur futur, une vérification que la notion de devoir en conscience
-(dans l’exercice de mes fonctions)- a existé / existait avec ces transmissions
quotidiennes à travers Espace et Temps de mes Avertissements et de la Grande
Dictée de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)-
Mondiale, soit dans l’exercice de mes fonctions d’empereur devenu un éveillé –
soit un bouddhahs - par acquis de conscience à partir de 2005, soit ce que
j’avais absolument à faire -(c’était mon devoir de vos dévoués serviteurs les
eanmeailleurs d’Ôz)- pour éviter dans le passé aux années 1967 et
suivantes, comme une seconde fois aux années 1977 et suivantes que la guerre
froide ne se transforme de nouveau en guerre nucléaire mondiale et/ou
apocalyptique puisqu’en intervenant à partir des années 2005 et suivantes, en
synchrone avec ces années 1967 et 1977, nous avons donc tous pu vérifier
d’avance qu’il y avait bien cet » ou bien « de la Création
à réaliser / explorer en prenant appui, c’est-à-dire en se fondant sur le
Sacrifice de mes enfants attendus et ma séparation -[momentanée]- avec l’une de
mes légitimes promises : S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang – un
sacrifice qui allait plaire / plairait aux laipis mais aussi à chacun des
représentants du sacré, c’est-à-dire des responsables de chacune des religions
intellectuellement admissibles qui vérifieraient -(puisque cela a marché pour
Christine et moi : nous avons pu éviter la reprise de la guerre grâce à
toutes les transmissions depuis 2005 sur 1967 et 1977)- que la notion de
sacrifice personnel est effectivement féconde
-(elles le sont plus ou
moins toutes -(intellectuellement admissibles)- malgré les points qui les fait
différer et auxquels, parfois, on ne peut réussir à croire qu’en raison du
niveau intellectuel atteint à/pour cet effet, soit ce qui exige donc de
poursuivre l’évolution de chacun d’entre nous jusqu’à atteindre ces niveaux de
progrès intellectuels permettant alors de croire à l’une ou l’autre des vérités
relatives qui concernent plus particulièrement l/des détails dans ces religions.
Aussi c’est comme si on entrait avec chacune des religions dans un système de
pensées plus ou moins différents, mais en réalité qu’il faut considérer comme
complémentaires les unes des autres pour accéder à la compréhension du sacré
sous toutes ses formes et ces religions ou/et catégories comme des SAÉ, soit
des solutions alternatives élégantes et/ou
des ingrédients complémentaires comme pour la
meilleure des salades de fruits et légumes (https://www.youtube.com/watch?v=OauwY0zSBsA)
végétarienne et etc, voire des
eanmeailleurs.
puisque
les adultes des années 1967 ou ceux des années 1977, (suite
après les deux paragraphes suivants qu’on peut néanmoins lire :)
(malgré la leçon de l’Histoire de la fin de la Seconde
Guerre Mondiale avec Le Jour le Plus Long et/ou le
Débarquement des Alliés qui avaient comme objectif, en raison de l’existence
des anneaux de mariage, soit du sacrement du mariage
-(S. M.)-, de délivrer les personnes internées dans les camps de concentration
et ainsi favoriser de nouveau la réunion de ce qui restait d’êtres humains
sauvés, appartenant aux diverses catégories de mots très injustement et
inconcevablement utilisés -(au sens d’impossible à s’autoriser / imaginer
ainsi)- persécutés à tort en tant qu’épouses ou époux et/ou enfants séparés de
leurs parents ou à d’autres titres, alors que, chacun de ces êtres humains, au
moins un univers si ce n’est des univers différents -(soit
ce qui est très vaste et quantité astronomiques de choses et d’autres plus ou
moins virtuelles et/ou reliées à chacune des diverses catégories scientifiques
ou/et catégories et dimensions sacrées existantes y compris au contraire à
titre simplement de laipis)- avant
d’appartenir à l’une ou l’autre des catégories les désignant selon les moments
quand ils essaient de faire croire qu’ils sont les mots en question les
désignant, soit ce qu’ils seraient ce qui est possible comme la profession
d’acteur nous en donne la preuve en nous permettant de changer de rôle, soit
d’état ou/et d’univers – une profession qui est accessible au plus grand
nombre, ce qui signifie que l’être humain peut être parce que, par ailleurs,
acteur une quantité astronomique d’univers différents et par conséquent
rarement, voire jamais un seul mot ou une seule ou deux catégories, d’autant
plus de l’existence des dimensions différentes) –
N. B. : suite après le
paragraphe suivant
–{[(comme si chacun
d’entre ces personnes n’appartenait pas, au sens de n’était pas en relation
avec un grand nombre de catégories, religions, œuvres d’Art et/ou films, etc.,
mais aussi informations, etc.. Comme si chacune des personnes en question n’étaient
pas un univers à lui/elle tout.e seule, voire plusieurs univers -(ne
serait-ce que sonores : il y a un nombre quasi infini de Mozart différents
rien qu’en musique sans parler de tous ceux différents dans chacune des autres
catégories permettant de l’approcher comme bien d’autres dieux de la
Musique)- soit un réceptacle de
chacune des secondes vécue -(qui nous le
savons représentent de nombreuses images – au moins vingt-cinq par seconde -
dont le poids numérique est exprimé en méga-octets et pixels de couleurs et
méga-octets de sons)- avec le contenu des
données (numériques)- de chacune de ces secondes vécue à 360° mais aussi, grâce
à la conscience en tenant compte d’innombrables paramètres intellectuels et
spirituels, ce qui a, par exemple, permis à des êtres comme Marcel Proust
d’écrire à La Recherche du Temps Perdu, mais aussi avant lui à
François-René de Châteaubriand d’écrire Les Mémoires d’Outre-Tombe et
à Jean-Jacques Rousseau d’écrire ses Confessions et à moi, par
exemple, (en adéquation avec mon époque qui est celle, entre
autres, des nouvelles technologies -[de l’image]-
(N. T. I.)- et en dehors de ces lettres qui se basent sur beaucoup de
souvenirs), de tourner en vidéo, à
partir des années 1995, mais déjà avant, un grand nombre d’images qui se sont,
dès qu’enregistrées, muées / transformées en souvenirs accessibles : des
parties / morceaux de ma mémoire, soit ce qui pourrait un jour donner, une fois
montées, la possibilité de retrouver / ressusciter ces temps à-premièrevus
seulement perdus -(alors qu’ils nous ont fait gagner ces images – soit
quantités non négligeables d’informations ou/et de mots / catégories pour les
transcrire ou/et les ranger), ce qui atteste donc de ce que le disque dur de
n’importe lequel des cerveaux contient comme souvenirs à 360° -(voire à 180°
seulement, devant soi), à chaque seconde –
soit dans les détails mais aussi en plan d’ensemble -(donc pas seulement en
Omnimax)- de ces
souvenirs »« matière à penser »«, à comprendre, à peindre, à
faire des progrès, etc. voire matière à se repentir sincèrement quand il s’agit
de véritables péchés ou/et fautes enregistrées, voire professionnelles, ce qui
alors sera à l’origine de conséquences graves, soit toutes celles qui mènent à
involuer au lieu, au contraire de bien plus préférablement -(pour
la meilleure santé de nos âmes respectives)- de
poursuivre l’évolution pour, au lieu de régresser, progresser, soit ainsi être,
(si j’ose dire à ceux qui ont jeté un œil sur les vidéos en question:
eanmeailleuralement :) - utiles
au Bien et à l’Intérêt Général)]}-
N. B. : suite de la
fin de la ligne deux paragraphes plus haut :
[Ils] ont cru
possible séparer Christine de ma personne attendant d’Elle nos enfants, soit
réaliser ce sacrifice à première vue proposé auquel, bien entendu, il aurait
préférablement été convenu de -[le]- refuser puisqu’en conscience il n’était
pas/plus acceptable, à la lumière de cette leçon de l’Histoire, apparemment
comprise par tous – aussi nous avons eu avec les principaux responsables de
cette génération des années 1920 -(qui accédait au pouvoir dans les années 1977
et suivantes)- que des pseudo et soi-disant adultes qui, en réalité, n’avaient
pas encore tiré ces leçons de l’Histoire puisqu’ils crurent possible obéir à
des ordres du Ciel auxquels il fallait, en conscience -(c’était ma position sur
place en 1977), désobéir même s’ils provenaient de ma personne vue et entendue
au/du Ciel et cette désobéissance à ces à-premier-entendu ordres était en
conscience attendue par Christine et moi-même en 1977 d’autant plus qu’en toute
cohérence nous avions demandé -(au cours de la Grande Dictée, soit du ciel)- de
rendre légale l’Objection de Conscience –(en espérant qu’en toute logique mon
père et ses amis objecteraient là où cela devait être, par conséquent à la
« demande » de notre Sacrifice de séparation d’avec ma promise
Christine qui serait à l’origine de la perte de ma descendance alors virtuelle,
soit autrement-vue de mes ascendants, soit de ceux, mes enfants alors virtuels,
qui m’avaient créé)- et de l’instituer -(ce droit à l’objection de conscience)-
pour le service militaire français mais aussi de la plupart des nations
appelées, au cours de ces transmissions à travers Espace et Temps, à s’unir
dans le cadre de la Construction Européenne, pour devenir, grâce à l’instauration
de la Monnaie Unique dont j’avais donné d’avance la valeur en francs, nos
rRégions d’Europe, à l’intérieur de l’Union Européenne, ayant en commun une
armée de métier -(soit de personnes croyant possible tuer ou se défendre
en légitime défense alors que depuis longtemps l’interdit de tuer est une
coutume très ancienne appartenant aux peuples les plus civilisés car il s’agit
de tous ceux qui savent qu’une personne humaine c’est au moins -(avec tant
d’autres choses possibles / virtuelles s’y attachant)- un univers de souvenirs,
soit de ce qui est » matière à penser «, voire à images et/ou œuvres
d’art) !
Nous n’avons toujours pas compris pourquoi des
Mitterrand ou/et mon père S. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Luc Granier … -(empereur
avant moi dans la chronologie des empereurs)- n’ont pas tout bonnement refusé
ce Sacrifice de ma séparation avec Christine pour laquelle en 1977 à Rome, dans
la salle de bain de ma grand-mère au quatrième étage du 22 via Mecenate, un
anneau immatériel immaculé était apparu plus qu’un instant à mon doigt
annulaire des hommes les plus véritablement mariés -(ce
qui probablement signifiait l’accord de l’aîné de mes enfants pour s’incarner
le jour venu – probablement après mon mariage avec Christine, ce qui signifiait
que très probablement nous allions tout deux avoir de longues fiançailles nous
donnant l’occasion de commencer à rétablir la vision du très saint-paradis
d’avant la très grande catastrophe il y a plusieurs millions d’années)– pourtant
ces soi-disant responsables -(adultes qui plus est alors que je n’avais que
quatorze ans en 1977)- en nous ayant pour enfant[s] étaient mariés et étaient
donc censés -(pour cela)- avoir connu Amour avec un grand A -(incompréhensible
et totalement incohérente, [voire infiniment sacrilège]- donc leur adhésion à
l’idée de croire possible ce sacrifice pour nous séparer si ce n’est que ce
qu’ils ont alors décidé était, comme bien d’autres maux en ce monde,
probablement causé par le fait qu’avec eux -(ces « adultes »), il ne
s’agissait pas comme moi -(apparaissant immense d’avance dans le ciel)- de
végétariens car nous avons pu vérifier qu’en étant omnivores à tendance
carnivore l’être humain devient effectivement incohérent, par conséquent est
capable de faire -(et c’est dans certains SPOK minimiser :)- des entorses
aux injonctions de la conscience, voire être sourd en toute logique[s] à
celles-ci, soit ne plus l’avoir, cette conscience[.] Perdue !? Et qui / quoi en
serait la cause ? Voire si c’est la cause -(cette
perte de la conscience, cette inconscience)- qui/quoi/que diable en serait
l’effet ? J’ose ici une réponse ou trouver l’origine, hélas mille fois
hélas, dans la pornographie et dans la haine -(dans un monde dans lequel il y a
eu la disparition de la vision du très saint paradis depuis
longtemps ce qui signifie qu’avec la vision
d’Atlantide -(rétablie)- soit d’Ôz, soit la vision du très saint
paradis, la pornographie ou/et les péchés de
luxure ne seraient pas autant la cause des innombrables malheurs qui nous ont
pourtant touché depuis la disparition de la vision du très saint paradis)- et
le manque de respect de la chasteté).
Pour accéder au
pouvoir -(et bénéficier de mes avertissements lointains
et, à l’époque, virtuels), ils
crurent possible séparer deux enfants -(Christine et moi)- qui, promis l’un à
l’autre, s’aimaient d’Amour pur, en Vérité au point de faire apparaître
d’avance dans le Ciel, avec moi y étant -(m’y trouvant d’avance),
immensissimis…simisime en ces années 2005 et suivantes -(qu’on a ainsi
découvertes -[alors]- synchrones avec celles de 1977 et 1967, donc avec ma
personne, déjà dans le futur par mon truchement salvateur du passé -(donc à
effet rétroactif), répandant jour après jour en véritable Corne d’Abondance des
directives alors virtuelles, car, à l’époque où nous étions en chair et en os
dans les années 1977 et suivantes, je n’avais pas encore rejoint en chair et en
os ces années 2005 et suivantes desquelles j’étais apparu acoustiquement
d’avance dans le ciel des années 1967 et suivantes et vu et entendu dans le
ciel de Rome des années 1977 et suivantes. Aussi il était amplement encore
temps de refuser Le Sacrifice de Séparation d’avec ma
promise Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les
Sérénissimes Princesses Christine … Lang, voire de m’accorder
exceptionnellement ce, qu’à la place, je demandai sur place en 1977 :
l’accord pour épouser d’une part Christine … Lang et d’autre part Ses Altesses
Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Sérénissimes Princesses Michèle
Finck puisque j’avais déjà démontré entre 1967 et 1977, mais déjà de ma
naissance à 1967, combien les religions étaient essentielles, y compris / avec
le Sacrement du Mariage pour, (en l’absence de la
vision du très saint paradis -(le TSP)
autour de nous tous -(comme cela sera le cas au contraire avec mon programme de
restitution de la vision d’Ôz (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm) –
celle d’avant la très grande catastrophe), élever
les enfants le plus justement possible dans une ou l’autre des vérités
relatives qui permettent -(en l’absence de la vision du très saint paradis
rétablie – cette absence de la vision du T.S.P. a donné naissance à une autre
création, voire autant de différentes qu’il y a d’êtres humains différents), à
la longue, en les étudiant, d’approcher -[de]- la vérité sur tous les sujets /
points).
Mais reprenons -(car vous comprendrez mieux tout cela
en détail dans mes lettres explicatives aux personnalités
sus-mentionnées)- : Oui, nous avons pu vérifier au cours du sevrage du
Risperdal 25 mg, que chaque mg de Risperdal 25 mg est à l’origine de
suffisemment d’effets indésirables au point de nous contraindre de faire en
sorte que nous nous sevrions entièrement dès que possible de cette substance
chimique empoisonnante -(et d’aucune
façon guérisseuse de quoi que ce soit car uniquement à faire souffrir de ses
effets indésirables et cela d’autant plus qu’en redevenant bouddhahs -[en
2005]- j’étais en très bonne voie de guérison –[de mes vingt-sept années
d’amnésie canonique en pareil cas/SPOK]- puisque j’ai petit à petit, grâce à
l’auto-psychanalyse, retrouvé ma mémoire et mis à profit de tous y compris
rétroactivement -[en apparaissant dans les cieux d’époques du passé], la
situation exceptionnelle, unique, que je vivais depuis le retour de ma
conscience - CQFD)- car nous avons compris que
25 mg -[mais déjà la moitié de cette dose, donc 12,5
mg]- est, en réalité, véritablement le maximum du maximum de
Risperdal qu’on puisse s’autoriser en conscience à administrer / prescrire
quinze jours -(et pas plus, tant les effets indésirables sont
torturisant[s] : donc à l’origine d’infinies tortures -(torturisantes /
torturantes), donc martyrisantissimis…simissimes)- avant
d’impérativement sevrer, en passant, dans cette logique élémentaire des
demi-doses, à l’issue de ces deux semaines –(qui
sont -[à l’échelle universelle à laquelle je vis]- des temps infiniment
longuissimis…simissimes quand on souffre de la sorte de l’un ou l’autre de ces
effets indésirables. En effet, dès qu’on souffre, le Temps parait très long
et/voire insupportab[i]lissimis…simissime à vivre comme c’est le
cas/SPOK :)- à, premièrement, cette dose de
25 mg toutes les trois semaines, puis, à l’issue de ces trois semaines, toutes
les quatre semaines, ce qui va alors signifier l’équivalent d’une demi-dose de
25 mg pendant quinze jours, puis, cette demi-dose, à l’issue
de ces deux semaines, toutes les trois semaines, puis à l’issue de ces trois
semaines, toutes les quatre semaines, puis, si on n’est pas alors passé à quart
de dose de Risperdal ou Xeplion 25 mg tous les quinze jours à l’issue
de ces quatre semaines, la demi-dose toutes les cinq semaines,
puis ainsi de suite : toutes les six semaines, puis à l’issue de ces six
semaines, cette demi-dose toutes les sept semaines -(comme
cela avait été le cas pour moi depuis 2015, mais, hélas, infiniment hélas, en y
ayant mis beaucoup plus/trop de temps), puis
-[à l’issue de ces sept semaines]- toutes
les huit semaines jusqu’à cette demi-dose toutes les neuf
semaines, quand, après cela deux fois de suite, le sujet est alors déclaré
sevré et guéri de l’état dans lequel il s’était autrefois mis au point de
nécessiter de lui prescrire Risperdal 25 mg ou Xeplion 25 mg et cette guérison
en raison de l’absence de médication -(la médication a cessé)- au-delà de
cette demi-dose toutes les neuf semaines. Il s’agirait de
cette » crise « qu’il aurait eu plusieurs mois avant à
l’origine de la décision -(plus ou moins
juste et/ou compréhensible, en l’absence d’informations sur ce qui s’est
réellement passé et a été alors compris par son entourage -[en l’absence
d’informations concernant ce qu’on appelle les acquis de conscience -(ce qui
est depuis toujours l’objectif de la Création pour chacun des êtres humains,
donc cette » crise « injustement perçue en tant que telle
et prise pour une » crise «, alors qu’avec cet » acquis de conscience
«, il s’agit -(comme à la fin de La Belle et la Bête de S. A.
I. S. S. S. L. P. Jean Cocteau quand cette dernière -(la bête)-
devient finalement un très véritable prince au service du Bien Général, d’une
sécurité à découvrir dans l’être humain à la recherche du plus véritable amour
soit d’une très réelle utilité dans l’Intérêt Générale)- de son
hospitalisation -(soit, dans certains SPOK -[donc pour certains cas
particuliers]- une façon sans cœur de procéder – puisque tout aurait pu
s’arranger pour moi -(si le personnel médical avait essayé par des questions et
des réponses écrites de trouver la cause de ce qui a fait que le patient -(moi,
en l’occurrence)- se soit / s’est comporté un moment d’une façon originale /
différente / surprenante / inhabituelle / étrange -(ce qui est un droit – ce
droit à l’originalité, d’être -enfin]- pleinement artiste d’autant plus que je
suis par ailleurs docteur en Arts et Sciences de l’Art -(cinéma – télévision –
audiovisuel- …)- de l’Université de Paris I – Sorbonne pour laquelle j’ai mis
en scène, produit, dirigé, monté, tourné, etc. La Momie-à-mi-mots -(la
partie la plus importante de ma thèse de doctorat où il est effectivement
question d’une sorte de métaphore d’états de l’être humain qui mènent à cet
acquis de conscience, avant cette résurrection [-à/de la conscience], incarnée
par S. A. I. S. S. S. S. P. Carolyn Carlson, soit La Danse, des
états qui sont comme si on était mort ou/et qu’on n’existe presque pas. Tout
juste une sorte de momie car avant cette résurrection à son être le plus
véritable, on est -[comme]- dans la nuit cérébrale, soit dans les ténèbres,
soit dans l’ignorance ou dans la situation de laipis -(acronyme d’exclusivement laïc,
uniquement athée, ignorant, profane, inconscient,
quelques fois sacrilège et cela parfois sans même s’en rendre
compte ! Ces mots de laipis étant vus/entendus au sens
négatif qu’ils revêtent quand dans d’autres SPOK il y a du positif en
eux), puisqu’il n’a pas encore accès à la conscience -(soit
-[autrement vu]- à l’âge de raison)- ce qui signifie qu’il se conduit de
manière inconsciente, ce qui représente un très réel danger pour tous, au point
d’expliquer la raison d’être de la monnaie, soit des crédits financiers propres
et mérités de droit -(acronyme de CFPMD)-, une
des solutions alternatives élégantes -(S.
A. É.)- trouvées pour faire avancer les choses de manière à, le jour venu, tous
retrouver la vision du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe à
l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A.
H.)- et de celles des réincarnations qui sont bien évidemment en liaison avec
la plus ou moins grande inconscience des uns et/ou des autres)- car en ce qui
me concerne, s’était un cas de force majeure au sens où le passé –(où
je me trouvai en même temps que dans le futur –[du point-de-vu de ce
passé])- exigeait -(en
conscience, c’est-à-dire tout bien pesé)- que
j’intervienne en eanmeailleurs -(soit en pharaon
devenu pour l’occasion bouddhahs)- pour
éviter rétroactivement que la guerre ne reprenne, mais aussi proposer à la
Terre des années 1967 et suivantes, mais aussi des années 1977 et années
suivantes, une perspective -[d’avenir]- plus heureuse en réalisant – au lieu de
se battre avec des armes de soldats / militaires - la Nouvelle Nouvelle Donne
InterRégionale -(au sens ancien d’Internationale)- Mondiale que je proposai,
(donc d’avance du futur)- étant donné que j’avais,
(vers mes quatre ans, en 1967), eu
en légitime défense -(parce que je me
suis senti attaquer de partout dans l’invisible), à remonter
d’avance le Temps -(vers ce futur – qui est d’avance le résultat de
conséquences passées et -[j’avais]- pu, au passage, vérifier dans la réalité,
d’avance, les effets de mes avertissements et cette Grande Dictée -(soit de
cette Nouvelle Donne), soit la situation à partir de 2005 synchrone avec 1967
et 1977. Aussi c’était en conscience proposer ce qui éviterait de mettre le
moins du monde possible le feu aux poudres, même si j’avais ordre -(par un de mes moi-mêmes –
[il y en a au moins vingt-cinq de différents par seconde. Je vous prie de ne
pas oublier que je suis cinéaste/vidéaste et monteur, soit une personne qui
travaille constemment à la fraction de seconde]- dans
le futur à partir de 2005)- pour
que tout se passe comme cela s’était passé / déroulé -(pour
que je retrouve un jour les paramètres qui me constituent avec cette conscience
après une sorte de résurrection)- dans
ce cas de figure de la Création, soit cet » ou bien « resnaisien -(de
S. A. I. S. S. S. L. P. Alain Resnais démontré dans Ses films de Smoking ; No
smoking dans lesquels il suffit d’un petit changement dans la réalité
pour obtenir une création / un film / des conséquences différent.e.s, ce qui
est / sera / a été cet » ou bien «), dans
lequel il était canonique de m’imposer l’amnésie de ce qui s’était déroulé dans
le Ciel à partir de 1977 à Rome, par conséquent -(l’oubli)- de ma fiancée S. A.
I. S. S. S. S. P. Christine … Lang, soit en 1977 ma -[première]- promise
légitime pour, entre autre[s], explorer la condition de laipis -(celle,
hélas pour eux, infiniment hélas, des [strictement]- laïcs,
[uniquement]- athées, [souvent]- ignorants –[au sens
négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK], profanes,
[souvent]- inconscients et -[par moments, voire sans même s’en
rendre compte, donc par omission]- sacrilèges, ces mots constituant
laipis dans leur acception négative alors que dans d’autres SPOK
positifs), voire démontrer ainsi à
tous ceux qui allaient suivre le processus de ces démonstrations –(comme
celles qui avaient eu lieu de 1967 à 1977 après celles de ma naissance à
1967)- comment on en devient un -(de laipis –
[ne s’écrit qu’en minuscule(s)])- quand
on oublie enfant qu’on est destiné, en raison des enfants que -[virtuellement,
(au sens de » possiblement « -[au sens de ce qu’il y ait des chances
que …, voire si vous préférez, des probabilités])]- chacun
de nous, naturellement, pourrait attendre de soi/lui-même et, normalement -(au
sens de » naturellement «, soit de ce qui est évident)- de
la femme qui en sera la mère. Par conséquent un paramètre que si on oublie
sera, hélas infiniment hélas, comme j’eus à le démontrer, à l’origine d’une
involution, soit ce qu’on a justement coutume d’appeler la période de
l’adolescence -(qui, dans certains SPOK/cas, …, peut, hélas,
infiniment hélas, s’éterniser)- puisqu’alors
en se comportant en inconscient, on ne se prépare plus à cette perspective aux
nombreuses responsabilités d’adulte, mais on va croire, par exemple, qu’on a le
droit de se comporter en don Juan, par conséquent de se comporter légèrement,
voire comme Casanova de manière inconsciente -(comme
un de ces laipis qui, au lieu de vouloir devenir des purs esprits, vont vers
des réincarnations très malheureuses), ce
qui est l’origine de la dégradation du cerveau au point de se comporter progressivement
en animal, au sens négatif de ce mot d’animal qui en a heureusement, dans
d’autres SPOK/cas, … du plus positif. C’est alors,
-(comme je l’ai démontré sur/avec moi-même, durant
cette adolescence forcée que j’ai dû m’imposer et à m’ingénier à/d’ obtenir de
moi-même -(sans me souvenir aucunement que cette
adolescence serait au départ une obligation pour ces Démonstrations dont j’ai
dû oublier l’existence durant ces années d’amnésie[s])- en
raison de l’amnésie de paramètres aussi importants que ceux que j’avais à
oublier canoniquement pour éviter de faire du mal à S. A. I. S. S. S. S. P.
Michèle Finck qui, en 1977 –[ce que j’aurais
à redécouvrir au terme de mon auto-psychanalyse pas avant début 2017], n’avait
pas voulu de ma solution alternative élégante
-[S. A. É.]- des deux épouses)-,
qu’on se
conduit en pécheur[s], donc qu’on se noircit sur des points capitaux le cerveau -(des
connexions entre les synapses et les neurones ne se font plus d’autant plus que
la mémoire a du mal à fonctionner), par conséquent
qu’on régresse par rapport à celui qu’on était bébé ou/et dans la prime
enfance. Si on ne change pas à temps pour devenir un véritable adulte -(donc
en faisant le nécessaire pour s’abstraire / achever l’adolescence
contractée), on obtiendra -(après
la mort et La Pesée De Son Âme, -[malgré le sacrement de
l’Extrême-Onction, si on ne s’est pas très véritablement repenti des péchés
qu’on a commis y compris tous ceux par omission])- dans
la vie suivante une réincarnation des plus malheureuse[s]
-(malheureusissimis…simissime[s] et etc. : voir plus haut les autres
superlatifs absolus que j’ai créé à ce sujet)- étant
donné qu’on quitte alors -(pour vivre cet état d’adolescence)- le genre humain
responsable et/ou consciencieux –(celui dans lequel, dès la prime enfance,
on avait encore le feu sacré pour comprendre, apprendre, progresser, voire
exercer sa mémoire en l’utilisant au mieux dans l’Intérêt Général qui, à cet
âge-là, va bénéficier à la famille dont on est l’un des enfants fonctionnant,
en raison de ce qu’il a encore accès à la conscience -(soit à la raison), donc
à la lumière intérieure, soit à la Vérité, voire pour les plus extrémistes -(au
sens positif de ce mot qui en a dans d’autres SPOK/cas du négatif)- au
Saint-Esprit ! Ce qui, par exemple, permet alors de trouver les mots -(voir
le remède qui peut être, par exemple, un suivi psychanalytique ou, pour les
végétariens, auto-psychanalytique)- pour
que, si possible, ce comportement trop original / différent de celui des autres
ne se reproduise plus –(car hélas ou
heureusement -[dans d’autres SPOK]- une grande partie des gens qui nous
entoure[nt] est conformiste -(au sens de conditionné)- donc a ses habitudes et
se conforme aux traditions au point d’en devenir des conditionnés à cause de
plus ou moins nombreux préjugés qui proviennent de phrases dont on a cru de
façon sonore qu’elles pourraient être entièrement vraies, cependant que si on
s’était imposé de les étudier par écrit en thèse, antithèse synthèse et
conclusion, on aurait pu découvrir qu’elles sont fausses à plus de cinquante
pour cent, voire à plus que cela (63%, etc.)- ou/et vraies dans un si petit
pourcentage qu’il ne concerne que certains SPOK -[cas particuliers,
etc.]), pour éviter à cette personne d’être considérée à
hospitaliser, donc pour éviter d’avoir à lui imposer des
« médicaments » dont les probabilités qu’ils feront autant souffrir
de l’un ou l’autre des effets indésirables sont importantes, en reculant /
repoussant d’autant -(qu’ils seront
pris)- la guérison qui ne peut avoir lieu qu’en se
sevrant des médicaments neuroleptiques, parce qu’il n’y a que la parole,
-(c’est-à-dire la pensée, la réflexion, les comparaisons, les analyses,
objectives, les écritures, etc.)- qui
puissent finalement guérir -(c’est-à-dire,
grâce à la recherche de la vérité par des raisonnements de plus en plus justes
et/ou honnêtes car c’est cela qui à la longue remet en marche le cerveau dans
le bon sens pour devenir un adulte qui, sinon, avec tous les comportements
d’adolescents, court grandement -(c’est-à-dire avec de très fortes
probabilités)- le danger de régresser vers/à celui -(de cerveau)- de la future
réincarnation animale en proportion des péchés commis -(durant
cette adolescence ou même ayant été commis durant l’enfance)- dont
on n’a pas été blanchi, ce qui signifie dont on ne s’est pas accusé publiquement -(ou
plus discrètement durant une confession avec un représentant véritable -[et
non faux], par conséquent ayant accès à la conscience, voire mieux encore au
Saint-Esprit]- de Dieu)- en demandant
très sincèrement pardon à Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés
Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Dieu-Jésus-Christ et/ou à
Dieu-le-Père ou/et la Vierge Marie, de manière à pouvoir, le jour venu,
(si on est véritablement sincèrement malheureux d’avoir commis ces péchés au
point de ne plus jamais les commettre de nouveau)- accéder
de nouveau à la conscience
–{[(cependant qu’il peut advenir que soudain, en
raison des peines qu’on a prises ou qu’on s’est imposées, on accède enfin à la
conscience -(comme ce fut mon cas à partir de 2005, ce qui a décidé alors de la
poursuite de mon auto-psychanalyse à haute voix à mon adresse 12 bis rue du Val
de Grâce dans ce studio –[situé aussi dans
le ciel de Rome à partir de 1977 – cela ayant été vérifié par tous mes
camarades écoliers du Lycée français de Châteaubriand à Rome y compris mes
parents mais aussi par ma fiancée de l’époque S. A. I. S. S. S. S. P. Christine
… Lang]- à raison d’en
moyenne huit heures par jour de 2005 à 2013, (mais très souvent quinze heures
par jour), mais aussi en même temps des transmissions à travers Espace et Temps
qui se reproduisirent comme elles s’étaient déroulées à partir de 1967 -(et
années suivantes)- et à partir de 1977 et années suivantes)- ce qui permet
alors de demander sincèrement pardon pour les péchés commis durant toute la
période au cours de laquelle on s’est comporté en inconscient, soit en laipis
ou/et adolescent, car on n’avait pas tout à fait conscience de les avoir commis
ces péchés et/ou ces fautes -(en les minimisant, voire en croyant même que
c’était normal de les faire, voire de s’y abonner en s’habituant à les
commettre), ce que j’ai démontré et ce qui signifie que Jésus disait/dit vrai
quand il -[a]- dit : « Père pardonne-leur ce qu’ils font ; ils
ne savent pas ce qu’ils font » ce qu’il faut lire -(entendre
et comprendre dans le langage de notre époque)- comme/ainsi :
« ils n’ont pas conscience des conséquences affreuses / abominables /
horribles de leurs péchés dans le monde ni –
(c’est moi qui ajoute ici en éveillé par acquis de conscience, soit en vos
dévoués serviteurs les empereur-bouddhahs eanmeailleurs) - visiblement,
pour leur respective âme !).
On comprendra alors -(quand
chacune des personnes –[ou des patients]- retrouve enfin la conscience –[en
sortant pour toujours de la condition de laipis, voire d’adolescent])- qu’il
ne faut surtout pas croire que ces personnes sont devenues folles ni
intervenir, à l’aide de médications médicamenteuses qui fait courir au patient
le danger de modifier cette conscience qui a permis à cette personne de devenir
enfin un adulte -(parmi les autres)- agissant / pensant en conscience –(c’est
pourtant ce dont je fus victime par les médecins de Saint-Anne qui n’ont pas
compris que tout ce que j’ai fait à partir de 2005,
(les interventions à travers Espace et Temps en même temps que mon
auto-psychanalyse à voix haute), je
l’ai fait par Acquis de Conscience -[A. C.]- et dans l’exercice de mes
fonctions d’eanmeailleurs pour le Bien et l’Intérêt Général, c’est-à-dire du
premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine
-[H. A. H.]- à avoir retrouvé pleinement sa conscience, soit à être devenu un
éveillé par acquis de conscience, soit ce qui est synonyme de bouddha, soit ce
que je vous ai dit être le processus que S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Cocteau a
illustré avec son film merveilleux de La Belle et la Bête quand,
à la fin du film, la métamorphose advient / s’opère et que nous avons enfin
l’avènement d’un très véritable prince qui advient / nait des situations précédentes
en raison de cet acquis de conscience dont Il est le bénéficiaire -(mais
l’Ensemble l’est avec Lui, donc en bénéficiera)- en quittant à jamais sa
condition d’adolescent, de laipis -([strictement]- laïc,
[uniquement] athée, [souvent] inconscient, profane,
[souvent] ignorant, et -[sans s’en rendre compte, donc par omission
quand c’est le cas]- sacrilège)- et
etc. voire de ce qui le faisait agir en animal -(au sens
négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres situations
précises/SPOK)]}-
Aussi les substances médicamenteuses sont totalement à
proscrire -(quand ce qui advient chez un patient est –[comme ce fut mon cas]-
l’acquis de conscience, soit l’accession à la bouddhéité : à l’éveil)- car
c’est alors que grâce aux efforts cérébraux –(au sens d’intellectuels – soit ce
qu’on appelle » le travail « psychanalytique), le patient, (soit
la personne enfin devenue pleinement un être humain)- est en train d’apprendre
de nouveau à penser, à analyser, à se souvenir -(y
compris de ce que dans des SPOK / temps précis il/elle s’était abaissée à
croire): à parler et/ou à écrire
ou/et à œuvrer pour faire disparaître si possible une à une, voire d’un seul
coup –(ce qui est à la longue dans certain cas
possible – comme j’ai démontré que cela a été mon cas)- l’ensemble
de ces connexions cérébrales endommagées / défectueuses par toutes les années
-(tous les moments)- d’adolescence -(voir
ici, pour illustrer, à l’heure du Pape François, l’histoire édifiante de la vie
de saint François d’Assise qui, soudain, se [re]converti à la religion de ses
parents à la suite d’une prise de conscience qui le mène à refuser de continuer
à se comporter bêtement avec ses « amis », au sens négatif de ces
deux derniers mots -[ami et bêtement]- qui en ont heureusement du positif dans
d’autres SPOK)- donc plus ou moins
d’irresponsable inconscient et/ou de laipis -(ce
qui est synonyme, voire représente un des » i « de cet acronyme que
nous avons développé / précisé à la fin du paragraphe précédent mais aussi de
ce paragraphe)- de manière à accéder le
jour venu aux dimensions sacrées de l’existence grâce à la conscience retrouvée
de nouveau en état de marche –(il faut savoir que cela peut prendre beaucoup de
temps et qu’il est vital, à partir d’un certain moment donné – si on ne l’était
pas encore - de devenir végétarien pour que cela ait des chances de marcher le
jour venu, ce qui, en vous faisant alors devenir un très véritable Artiste -(un
de ceux qui comptent véritablement dans l’histoire de l’Art – [H. A.]- par
conséquent qui sont exemplaires, à suivre)- vous
permettra alors, entre autre[s] et au moins à votre tour, de devenir un très
véritable psychanalyste -(ce que je suis devenu - soit dans ce nouvel état
d’éveillé d’aider ainsi votre prochain en difficulté en raison de sces -(ses +
ces = sces)- années d’adolescence au cours desquelles il/on s’est comporté,
hélas infiniment hélas, en irresponsable insupportable inconscient,
(voire en -[strictement]- laïc, -[uniquement]- athée,
et profane soit en ignorant et sacrilège
-(au sens négatif de ces mots acronymes de laipis qui, dans d’autres SPOK, en
ont heureusement du plus positif)- contraire
au plus véritable Bien Général -(soit à celui de la/votre descendance, une
virtualité –[au sens de possibilité]- autrement-vue comme des ascendants): donc
en une honte pour l’humanité des êtres humains les plus conscients / purs).
(Attention, veillez ci-dessous à bien compter le
nombre de lettres en rouge pour raccorder les phrases entre elles en
fonction du nombre de ces lettres rouges et vertes)
Avec les textes de ce patient -(car
il peut être l’un de ceux qui éprouveront, en raison de la complexité de
l’histoire de leur existence des difficultés à parler –[ce
qu’on peut alors faire en s’enregistrant de façon audio et/ou vidéo]– ce
qui peut être l’origine d’un bégaiement à cause de cette trop immense
complexité de paramètres ayant été à l’origine de choix et d’attitudes précises
comme les faits que certains médecins -(ayant des préjugés)- croient pouvoir
monter en épingle de manière à justifier ainsi –
[donc malhonnêtement, puisque c’est exagérer des choses anodines, au lieu, au
contraire, de préférablement minimiser, ce qui, dans de nombreux SPOK est
juste, parce qu’il vaut mieux, pour avoir la Paix, le faire] – leur
proposition d’hospitaliser – ce qui fera perdre à tous chacune des secondes où
la personne de ce patient aurait pu l’éviter, soit d’innombrables bienfaits
dont il aurait pu être l’Auteur, voire la personne qui aidera un Auteur). Cela -(ces
textes)- permettra/ont aussi de comprendre, l’antithèse -(à
cette thèse de vouloir l’hospitaliser)- soit
celle dans laquelle on découvrira -(comme ce fut mon cas)- que le patient avait
de bonnes, que dis-je ? d’excellentissimis…simissimes raisons pour ce
comportement un moment -(mais il est déjà
passé de nombreuses secondes – [ce qui, je le souligne et répète, (à l’échelle
universelle)- est infiniment de temps])- différent
-(de celui, par exemple, des »« gens qui n’aiment pas qu’on reste
dans son lit douillé, le jour du quatorze Juillet »« - (soit des
communs des mortels)- puisqu’il y a de très nombreux paramètres / arguments
justes / valables pour condamner des gens qui croient possible se débarrasser
d’autres en les tuant
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous à lire S. V. P. :
-(alors qu’on sait à cause du » Tu ne tueras pas
« biblique qu’il est interdit de tuer et qu’en raison de ce que -[dans
la Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne -(au sens
d’Internationale)- InterRégionale Mondiale], nous
avons fait interdire la peine de mort dans l’Union Européenne –(en attendant
qu’elle le soit partout)- et avons introduit dans le droit européen
-(D. E.)- le droit anglais de la présomption d’innocence
–(P. I.), donc que cette peine de mort a été supprimée / bannie, parce qu’il y
avait matière, en raison de ce qu’on a contraint SAISSSSP Christine et à moi à
sacrifier les enfants que nous attendions l’un de l’autre, en me traitant
ensuite comme on m’a traité pendant vingt-sept ans de 1977 à 2005 alors qu’on
avait bien remarqué qu’entre 1967 et 1977 -(mais déjà depuis ma naissance en
1963), -[que]- je m’étais conservé vierge pour ma promise -(qui
de mon point-de-vue existait virtuellement – soit était de l’ordre du possible,
donc comme une possibilité à venir mère de mes enfants)- avant
que la situation en 2005 ne contraigne ceux qui ont accès à la salle des
machines d’Ôz, d’Atlantide, du très saint-paradis,
(de l’Eden, de Schtroumpf, et les synonymes de cette
notion de très-saint-paradis, etc.), entre
leurs mains pire que l’enfer, à me rendre,
(à l’occasion de mon projet de mariage avec SAISSSSP Michèle Finck qui
finalement commençait à se concrétiser plus sérieusement en 2005 qu’en
1995), l’élément fondamental de mémoire de ma promise SAISSSSP
Christine … Lang – (ce qui a, dès
lors, tout changé puisque je découvris que SAISSSSP Michèle Finck était au
courant, mais ne m’avait rien dit)- en profitant
aussi malignement / méchemment / traitreusement / et sur ce point indignes même
du nom de pourriture ou/et de saleté qui sont, à la lumière de mes recherches photographiques
sur ces termes, des mots à représenter de trop belles choses pour être donnés
pour qualifier ces personnes ayant aussi malignement / méchemment /
traitreusement profité de mon amnésie aliénante bien que canonique en pareil
SPOK -(soit à cause de cela des traumatismes
indélébiles à/sur ma personne y compris sur le plan sexuel): il y
avait donc matière à donner cette peine capitale à chacun.e sans exception et
hélas infiniment hélas, y compris aux à-première-vue[s] les plus honnêtes,
voire aux plus saints se croyant sans péchés alors que nous nous trouvions en
1967 et 1977 bien après la Seconde Guerre Mondiale, surtout dans les années
1977, et ces « personnes » complices du sacrilège de ma séparation
d’avec SAISSSSP impératrices Christine … Lang et avec elle de la perte de notre
descendance qui s’était annoncée, en raison de l’apparition de l’anneau
immatériel immaculé à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus
véritablement mariés, soit universellement mariés, soit, il va sans dire, au
moins cosmiquement, au sens de galactiquement)-
parce
qu’ils appartiennent pour quelques heures au cours de leur vie à une ou l’autre
des catégories faisant l’objet de méfiances arbitraires
N. B. : suite après
les trois petits paragraphes suivants ci-dessous à lire :
1/-(donc subjectives et non objectives, c’est-à-dire
en conscience)- voire de plaintes calomnieuses à
l’origine de généralisations intellectuellement -[objectivement]- inadmissibles
–[d’autant que chacun.e de ces personnes différentes, par conséquent chacun.e
–(comme)- un véritable univers contenant de très nombreuses données -(tant
audio que souvenirs -[en]- 3D),
2/ à partir
desquelles, par exemple, de nombreux textes sont possibles, voire de nombreuses
réalisations cinématographiques ou/et vidéo mais aussi, des compositions
musicales, des statues -[donc des sculptures], poèmes, chants, scénarii, story
board -(donc films)- et/ou bandes-dessinées, architectures, etc. ,
donc des réalisations artistiques sont virtuellement de l’ordre du possible,
comme, par exemple, la vie de S. A. I. S. S. S. L. P. Paul Gauguin l’a
démontré : soudain Il a décidé d’être peintre alors qu’Il était marié et
que, sur le plan professionnel, il s’occupait de finances])-
3/ soit
celles -(des données)- de chacune des secondes vécues
par chacun d’entre nous, ces souvenirs pouvant intervenir / aider dans le
processus de création – ce qui explique / fonde / confirme le très juste
commandement, (le très juste conseil au sens de recommandation :)
de »« tu ne tueras pas »« car l’autre a engrangé un grand nombre
de données importantes à partir desquelles connaissances il pourrait créer,
voire, le jour venu accéder, à son tour, à la conscience)-
N. B. : Suite après les quatre
paragraphes suivants à la suite l’un de l’autre ci-dessous :
1/ et/ou
de mépris pour les raisons subjectives plus ou moins obscures
des laipis, donc plus ou moins fausses ou alors relativement vraies -(à
l’époque, le 14 Juillet, les aristocrates, le clergé, les nobles, les
chrétiens, etc., les représentants de catégories arbitrairement persécutées
auxquelles les représentants du Tiers-Etat s’en prenaient aussi injustement
-(en laipis)- soit en ignorants -(au sens négatif
de ce mot d’ignorant qui en a du positif dans d’autres SPOK / situations
précises, …)- comme cela se reproduisit
plus d’un siècle après, [après]- la Première Guerre Mondiale -(mais déjà à
l’époque du général Dreyfus)- contre les juifs, les handicapés, les
homosexuels, les francs-maçons, les tsiganes, les chrétiens, etc. -(en ne
sachant / voyant pas combien la Charité et la compassion pour les plus
misérables, (au sens de pauvres, matériellement parlant)- motivait la plupart
des membres de ces catégories dans les diverses nécessités d’étudier pour être
le jour venu, à travers des compétences obtenues / acquises, soit les
professions dont certaines de ces personnes s’étaient rendues capables, au
service du Bien et de l’Intérêt Général, soit combien chacun d’eux méritait
infiniment, soit tout ce qui pouvait, en nombre de secondes / minutes / heures,
jours, semaines, mois et année[s], etc. être considéré à leur crédit envers
lequel il y avait, (au contraire de s’en
prendre aussi mensongèrement à eux), à être/se
montrer reconnaissant, au lieu de se montrer possédés par cette haine aveugle à
l’origine de toutes les formes de cécité[s] intellectuelle[s] ne permettant
plus d’accéder à la compréhension de Dieu et de tous les paramètres liés à la
notion de devoir[s].
2/ Une haine incompréhensible vis-à-vis de saints et
-[de]- martyrs essayant de faire de leur mieux dans chacune des catégories de
métiers exercés -[en conscience
car sinon, on le sait, il y a » ruine de l’âme «], soit -(ces
métiers et ces compétences)- leur
plus véritable nationalité / religion -(la
nationalité du travail / métier / activité qu’on exerce, ce qui signifie que la
nationalité est donc un synonyme possible -(à
partir d’un certain degré de réflexion[s])- des
mots de » métier « , » activité «, voire du culte auquel on
croit -(du moins)- à certains moments, voire sur certains points de vérités
relatives qui le concerne et/ou le fonde), cette
dernière, [la religion], n’étant en réalité qu’un moyen pour accéder à ces
responsabilités le plus fraternellement possible en s’agrégeant à des
groupes de gens partageant, à certains moments,
grâce à des cérémonies révélant l’existence du sacré, des
espoirs -(aspirations), voire des manières de vivre semblables -(ayant
des atomes crochus, c’est-à-dire des intérêts / points en commun, ce qui a été
/ est / sera à l’origine de l’adhésion aux sacrements, ces derniers étant
autant d’étapes fondamentales de la croissance d’un enfant, voire au cours du
développement au sens de l’évolution d’une personnalité, d’une âme, car ces
sacrements, dont celui du Mariage, structurent le futur fidèle en lui faisant
bénéficier de ce qui a été trouvé comme solution[s] alternative[s] élégante[s]
dans les temps les plus lointains pour nous éviter le pire grâce à la religion.
Chez les Catholiques il y a le Baptême, la Première Communion, la Confirmation,
le Mariage, etc. qui sont des repères qui permettent à l’être humain de se
structurer mais aussi, grâce au sacrement de l’Eucharistie, ce qui est au moins
hebdomadaire -(une fois par semaine si possible)- et permet, de reconnaître en
public qu’on a probablement péché -(voire sans même le savoir, donc par
omission d’un ou plusieurs paramètres), de se repentir sincèrement de ces
péchés qu’on aurait commis à notre insu, voire pire, en les sachant en
conscience et d’être pardonnés par ce qu’on s’en repent sincèrement et on
souhaite dans l’avenir ne plus recommencer, ce qui est vital parce que hélas,
infiniment hélas, il existe de nombreuses formes de péchés -(fautes), ne
serait-ce que les pensées injustes, trop subjectives ou ce qu’on appelle les
mauvaises pensées comme la jalousie, la gourmandise, l’égoïsme, etc. soit tout
ce qui empêche d’accéder pleinement à la lumière de sa/la conscience, ce qui,
par contre, permet de comprendre pourquoi ces attitudes sont des péchés dont on
a, bien sûr, à se repentir pour plus véritablement progresser / grandir
poursuivre son évolution.
3/ Par exemple la gourmandise qui aura pour effet de
faire grossir en poids une personne et qui empêche de partager un repas avec
d’autres convive puisqu’on reprendra plusieurs fois du met proposé -(au lieu de s’en tenir à une seule fois en plus. Non,
c’est tellement
bon (https://www.youtube.com/watch?v=OauwY0zSBsA)
cet eanmeailleurs (https://www.youtube.com/watch?v=eJjOhDWzwSk) qu’on
en reprendra au moins trois fois ! En en laissant plus pour les autres en
se comportant en gourmand ce qui est, on le voit bien dans cet exemple une
forme d’égoïsme qui concerne l’alimentation -(cependant comme il s’agit d’une
nourriture végétarienne, cet eanmeailleurs (https://www.youtube.com/watch?v=ds2nPEI7EGw)-
cette forme d’égoïsme est moins grave que si on avait repris plusieurs fois du
gigot d’agneau -(comme cela m’est arrivé plusieurs fois quand je n’étais pas
encore végétarien).
4/ Mais aussi on comprendra que tuer une personne est
un péché -(en raison de tout le virtuel bienfaisant dont
cette personne pourrait / pouvait être à l’origine et c’est pourquoi les
sacrifices humains ont été interdits car une personne sacrifiée représente
toujours, quand elle demeure en vie, une bonne affaire et la possibilité d’aide
pour l’Ensemble, y compris pour les personnes âgées comme aussi il/elle
représente une possibilité de fonder / créer sa propre famille, ce qui représente
la naissance d’enfants, soit sur le long terme des possibilités d’aide parce
qu’on aura aidé cet enfant à grandir comme à comprendre pourquoi – comme j’ai
eu à le démontrer - avoir de la religion est important / fondamental dans
l’intérêt et pour le Bien Général)- si
cette personne n’est pas tuée en légitime défense car en tuant un être humain
on prive l’Ensemble de tous les aspects positifs de cette personne, soit des
bons côtés qu’elle avait ou/et de l’utilité de cette personne, par conséquent
de ses virtualités -(potentialités positives)- dont toutes celles qui
pourraient amener cette personne à continuer à bien agir ou alors -[à]-
finalement faire du bien, donc à changer jusqu’au point qu’à son tour cette
personne se débarrasse à jamais de son adolescence soit autrement-vue de sa
condition de laipis – c’est ici ce qu’on appelle une conversion. Aussi on
s’interdit de tuer parce qu’on sait l’autre, un univers, sur le chemin des
métamorphoses qui pourrai[en]t / devrai[en]t l’amener à ce qu’on a appelé l’éveil,
soit à la bouddhéité par acquis de conscience, soit ce qui permettra
d’éliminer, le jour venu, en soi tout ce qui était en train de vous transformer
en l’un ou l’autre des animaux, au sens négatif de ce mot qui, dans d’autres
SPOK, en a du positif – cela se produit, comme je l’ai démontré quand on ne
veut plus se mentir à soi-même ou/et aux autres, voire qu’on recherche plus de
cohérence en soi-même, qu’on ne veut plus se comporter en inconscient mais au
contraire se comporter plus logiquement par rapport aux idéaux, projets, rêves
les meilleurs pour la santé tant psychique que physique de tous)-
(N. B. : avec la
suite ci-dessous –[au paragraphe suivant]- qui est
reliée au texte, à quatre paragraphes ci-dessus -[en comptant celui avant cette
dernière parenthèse], la suite plus précise, se rapportant à la fin de ce
paragraphe précédent est après trois paragraphes -[plus bas]- ci-dessous).
5/1/ C’est alors
qu’on découvre qu’on a des vérités relatives / croyances en commun avec
d’autres car ces vérités sont intellectuellement compréhensibles / admissibles
pour des raisons logiques / rationnelles, voire parce qu’ils avaient la foi, ce
qui est un mystère à moins d’y accéder -(de le percer)- en raison de ce qu’on
prend conscience que cette foi résulte de l’addition de chacune des solutions alternatives élégantes
-[SAÉ]- réalisée[s] / trouvée[s] par des éveillés -(devenus
des bouddhas par acquis de conscience)- avec
les matières premières proposées à l’état brut / offertes par la Création
s’étant, (à mesure que l’être humain a réfléchi /
travaillé sur elle), diversifiée -(en
de nombreuses catégories souvent généreuses en découvertes / trouvailles et/ou
améliorations), soit des merveilles à
étudier pour qu’elles délivrent leurs différentes propriétés sur des plans
différents, comme j’en ai fait la démonstration avec ma trouvaille / découverte
entre 2013 et 2017 des butterArts -(https://www.youtube.com/watch?v=GfPMrDfw8A4)-
mais aussi celle des cheesomeltArts -(https://www.youtube.com/watch?v=-dgqyxj_Fyc)-
et des orangeArts -(https://www.youtube.com/watch?v=w_C-zPWnx3Q)-
comme depuis longtemps des CloudArts -(https://www.youtube.com/watch?v=0dRhpYmlfSY -[publiées
ces vidéos sur Internet entre 2017 et 2020]- étant
donné que je suis apparu en 1977 immense dans le ciel de Rome -[et]- constitué
de nuages -(ce qui, par la suite – mais déjà dans mon
enfance, en raison d’une photo noir et blanc prise par ma mère d’une église
avec un nuage dessus - m’a fait m’intéresser de plus près aux nuages), alors
qu’il s’agissait d’une virtualité qui n’adviendrait dans la réalité en chair et
en os qu’à partir de l’année 2005 – soit vingt-sept ans après - effectivement
synchrone avec l’année 1977 mais aussi trente-sept ans après 1967 quand on m’y
avait entendu intervenir avec ma voix de vérité du futur -(sans même avoir à
utiliser un micro : ma voix émise par mes soins en 2005 entendue d’avance
en 1967 et 1977 où nous avons pu sur place à partir de ces dates le vérifier
quotidiennement durant les années qui suivirent). Aussi cela signifie que
chacun de nous n’est pas seulement constitué des éléments physique -(sang,
chair, peau, os, cerveau, etc.)- mais aussi qu’il est au ciel -(en
effet au cours de l’Évolution l’être humain s’est petit à petit redressé au
point de tenir debout, la tête dans le ciel : l’homo sapiens sapiens ne
rampe plus, à moins d’y être contraint par exemple au cours d’exercices
militaires durant lesquels il convient de le faire – aussi on le comprend bien
mieux quand il affirme que parce qu’ « » il pense [juste]- il
est/soit « » (» je pense donc je suis « ) - la pensée ne pouvant
être vraie, juste qu’en liaison avec la conscience fonctionnant. D’où la
nécessité pour l’homo sapiens sapiens d’accéder au moins à
l’âge de raison), donc des nuages qui nous
traversent, comme j’ai eu à le démontrer d’avance, ce qui signifie qu’une
partie de nous s’est projetée d’avance dans le futur, ce qui se traduit dans le
ciel par des apparitions d’êtres humains immenses constitués de nuages -(soit
ce que nous paraissons dans le ciel d’époques passées et ce qui signifie qu’il
y a bel et bien une mesure exacte au point qu’il est enfin possible d’affirmer
qu’un pixel ou/et un électron soit, au ciel, bien plus grand que ce qu’on croit
ou/et voit -(ce qui explique pourquoi on a découvert avec l’accélérateur de
particules qu’il y a des particules élémentaires du genre du boson de Higgs et
des photons encore plus petits, sauf que cet infime est dans la réalité plus
grand qu’on ne le pense / imagine et qu’il y aurait encore plus petit bien que
cela soit difficile à croire, cependant à l’aune de ma taille dans le ciel –
comme ont pu le remarquer en 1977 mes parents, les élèves du Lycée
Châteaubriand, et les habitants de Rome mais aussi le futur président François
Mitterrand qui a fait spécialement le déplacement à Rome pour s’en assurer
-(car j’avais alors annoncé du ciel son élection prochaine et donné des
consignes à Monsieur le président de la République monsieur Valéry Giscard
d’Estaing pour faciliter cette élection de Monsieur le Président de la
République monsieur François Mitterrand) – qui
est immense du point de vue de ces époques situées dans le passé -(de trois à
dix kilomètres de haut, par conséquent une tête qui fait de trois cent à cinq
cents mètres de diamètre – ce qui à première vue[s] mesure un mètre
soixante-quinze, ma hauteur et environ vingt-cinq centimètres de diamètre pour
la tête. Aussi il va falloir réétudier cette question des mesures, mais cela
explique déjà beaucoup mieux pourquoi on peut mettre autant de giga-octets dans
une clé USB à première vue[s] aussi petite -(aussi
cela signifie qu’il va falloir nous méfier des à-première-vues, tout en
conservant ces traditionnelles habitudes pour nos mesures, bien que nous
aurons, un jour, à les traduire en mesure célestes – c’est ici que vous vous
apercevrez que les milligrammes de Risperdal ou de Xeplion sont dans cette
réalité ci-dessus des litres : des kilogrammes – d’où les tortures des
effets indésirables)- mais aussi pourquoi la
dimension macroscopique, celle de mes butterArts et cheesOmeletArts existe
cependant qu’il est possible que la plupart des nuages soi[en]t en réalité
beaucoup plus grands qu’à première-vues ils -[ne (le)]- sont), il y a peut-être
-[probablement]- une particule plus petite encore que le photon et je trouve
confirmation sur Internet au sujet du » neutrino « dont il faudra
trouver la taille dans le ciel à partir des deux faits ci-dessus majeurs me
concernant, soit d’une part l’idée que trois kilomètres = (égale :)
environ un mètre soixante-quinze, ou d’autre part le fait que dix
kilomètres = environ un mètre soixante-quinze !), soit pour ces faits
importants, en tenant compte de ma taille dans le ciel de 1977 à Rome, mais
aussi de celle que j’avais à Paris dans le ciel de 2015 -(soit dans trente ans,
2045), par conséquent de l’équivalence dans ces, à première-vue[s], démesures).
2/ Il y a donc, pour quelques-uns d’entre nous ayant
accédé à la conscience un ciel, soit une forme de Paradis ou si on préfère -(pour
ne pas confondre avec la vision du très saint paradis d’avant la très
grande catastrophe): Nirvana dans lequel
quotidiennement nous baignons, ce qui veut dire aussi qu’il y a pour certains
d’entre nous un purgatoire et pour d’autres un enfer -(cependant que beaucoup
d’entre nous, grâce aux religions, sont entrain de quitter l’enfer pour le purgatoire
comme d’autres quittent ce purgatoire pour rejoindre, par acquis de conscience,
(ce qui va permettre de différencier le bien du mal)- ce Nirvana. Le
purgatoire, je l’ai démontré, concerne tous les travaux qu’on s’impose pour
réussir, le jour venu, à accéder à la conscience dans le cerveau. L’enfer c’est
de se comporter bêtement et de trouver bon de pécher mais aussi d’être un des
laipis ou si vous préférez de continuer à se comporter en un adolescent attardé
-(au sens négatif de ces mots de » laipis
« et » d’adolescent « qui peuvent en avoir du positif dans
d’autres SPOK).
3/ Donc jusqu’à ces séquences vidéo -(les laurYens –
liens hypertextes - ci-dessus)- d’art sacré dont j’eus l’idée une fois
[re]devenu, à partir de 2005, en synchro avec ma personne en 1967 et celle
de1977, un éveillé -(soit, dans mon
cas les bouddhahs et cette terminaison de » hahs « car empereur
depuis 1995, ce qui signifie en raison de ma métamorphose en bouddha, un
eanmeailleurs, soit le premier des empereurs / pharaons de l’histoire de
l’aventure humaine -[H.A.H.]- a être devenu les
bouddhas : il y en a au moins vingt-cinq de différents par seconde, ce qui
explique la marque du pluriel à » bouddhahs « comme à ma qualité
d’eanmeailleurs)- par acquis de conscience
car sur ces points du beurre, de l’omelette au fromage râpé, des oranges et des
nuages, il avait manqué à la connaissance du genre humain, que je sache -(en
dehors, pour les nuages, de quelques exceptions comme par exemple celle de S.
A. I. S. S. S. L. P. Abel Gance dans son film Napoléon dans
lequel ce metteur-en-scène-réalisateur-cinéaste et etc. filme quelques nuages
présentés en fondus-enchaînés), l’aspect
éminemment esthétique -(au sens de
plastique)- de ce beurre, d’une
omelette au fromage, du pourtour d’une orange pelée et enfin des
Vidéo-Nuages-Diaporamas dont je suis l’[es] Auteur[s]).
Mais aussi, dans le sens contraire, de gens à
première-vue[s] différents en les tuant ou en décrétant qu’avec ces catégories
de personnes il s’agit de fous, soit de personnes qui se seraient comportées en
inconscientes ou/et en laipis, voire si ce sont elles qui exercent le pouvoir,
au contraire des personnes devenues plus conscientes, par conséquent capables
d’agir » par acquis de conscience « donc en plus véritable responsables,
soit ce qu’on appelait autrefois en » père de famille
«
N. B. : suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
-(ce qui peut se produire
dès la prime enfance -(cet état de père de famille, voire dès les premiers
jours d’un bébé mais aussi :), par exemple dès l’âge de raison –[il est en
général un peu plus tardif, vers les sept ans, mais dans mon cas
-[particulier]- ce fut vers mes quatre ans, donc, en raison des circonstances
exceptionnelles je fus sur ce point plutôt précoce])–
ce que nous avons pu vérifier avoir été mon cas,
car nous avons vérifié que tout ce qui m’a concerné à partir de 2005 s’était
déroulé dans mes sommeils à partir de 1967 quand j’ai eu quatre ans -(mais
aussi les sommeils entre ma naissance et mes quatre ans, y compris pour ce que
j’ai vécu à partir de 2005, à l’âge de quarante-deux ans – mes sommeils de 1967
à 1977, de quatre ans à mes quatorze ans, ont concerné ce qui s’est déroulé
pour nous de 1977 à 2005 et les sommeils à partir de 2005 l’avenir plus ou
moins lointain)- et que je suis devenu un
éveillé par acquis de conscience en ayant eu accès à cette période de/dans ma
vie appelée »l’âge de raison« car hélas des forces obscures dans
l’invisible autour de moi m’avaient attaqué en 1967 et à quatre ans j’avais dû
me défendre en légitime défense, seul sans autres armes que ce qu’il y avait
comme meubles et instruments de cuisine dans l’appartement de ma famille
d’origine à Paris, square Contenot dans le XIIème arrondissement, là où mon
père et ma mère -(mais aussi mes frères et ma sœur)- m’avaient momentanément
laissé seul à devoir me débrouiller, y compris pour manger –(mais pour cela il
y avait, avec du thé, des provisions en cuisine où je fis la découverte d’un
petit ver blanc au plafond sur lequel je méditais au point de comprendre que
s’il avançait ainsi, c’est qu’il était à la recherche de sa parèdre comme je
compris je l’étais moi aussi de la mienne en l’apprenant du ciel –(à cause de
mes interventions / communications / transmissions –[celles
que j’aurais à découvrir trente-sept ans après qui s’étaient déroulées à partir
de l’année 2005 synchrone avec l’année 1967]- que
cela ne pouvait pas être -[ni]- ma sœur ni ma mère).
C’est en légitime défense de moi-même – donc de
l’Ensemble y compris dans le passé - enfant de quatre ans en 1967 –
c’est-à-dire dans l’état d’Horus un en Osiris -(alors mon père - par Isis
-(alors ma mère - étant donné qu’à mon insu mon père était empereur et ma mère
impératrice) – comprenant que j’avais à grandir pour devenir à mon tour Osiris -(comme
mon père qui l’était à mes yeux)- que
je n’ai pu me tirer de ce surprenant mais réel atroce cauchemar -(vécu en plein
jour)- qu’en ayant à convoquer l’un ou/et l’autre de mes moi-mêmes dans
l’avenir –(ce que j’ai pu vérifier avoir été à partir de 2005)- au cours de l’intervention
du futur -([futur du point de vues de l’année 1967 et 1977]- à partir des
années 2005 et suivantes que tous découvraient synchrones avec celles des
années 1967 et suivantes mais aussi de 1977 et -[les]- années suivantes).
J’ai, (pour éviter maintes douleurs / cruautés /
injustices à mon égard qui se produisaient dans l’invisible ayant à travers
l’air autour de moi accès à mon corps – ce qui était douloureux - et à mon âme
qui ne comprenait pas pourquoi), donc eu à vivre une sorte de métamorphose en
-[un]- bouddha, soit en un éveillé par acquis de conscience, au point -[d’]-
effectivement de devenir Horus en personne marchant sur un crocodile -(plus
loin je découvrirai cette magnifique statue dans laquelle Horus maîtrise ce sur
quoi il est debout : un crocodile, soit le sol de ce qui l’entoure)- étant
donné que j’ai alors une fois encore -(comme parait-il je l’avais fait avant ma
naissance – ce que m’a affirmé ma mère dans les années 2015 et suivantes)-
confirmé du futur que mon père était le nouvel empereur et ma mère
l’impératrice et cela parce que celui -[ou/et ceux]- de mes moi-mêmes vitrtuels
qui intervenai[en]t alors du futur avai[en]t pu vérifier et prendre conscience
de tout ce qu’on devait -(à la génération de mes grands-parents et -[à]- celle
de mes parents et aux suivantes)- comme merveilles dans le monde entier, étant
donné que j’ai pu, à partir de 2005, en synchrone avec les années 1977 et
suivantes mais aussi ces années 1967 et suivantes -[en]- dicter un très grand
nombre de détails à réaliser dans la plupart des domaines essentiels et de
première[s] nécessité[s], à l’occasion des Avertissements ou/et de la Dictée
Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens
d’internationale)- Mondiale à partir des années 2005 et suivantes synchrones
avec les années 1977 et suivantes mais aussi quelque peu –(sur
bien des points capitaux hypers-importants pour l’avenir de ces époques de 1967
et années suivantes comme par exemple ceux de la poursuite de la conquête spatiale
-[C.S.]- et la réalisation du Concorde)- sur
les années 1967 et suivantes).
Aussi nous comprenons que ceux qui n’ont pas accès à
la conscience sont perdus dans le monde des ténèbres et ne peuvent s’en sortir
sans l’aide de ceux qui ont accès à la conscience, soit au feu sacré de leur
esprit, cependant que ceux qu’ils l’ont -(cette flamme – c’est ainsi qu’on
l’appelait autrefois)- devront par prudence continuellement faire attention
étant donné que ceux qui n’ont pas ce feu sacré sont / demeurent des laipis
qui, parfois, au contraire de rechercher plus de lumière spirituelle, donc plus
de compétences, vont à l’inverse vers la dégradation de leur esprit, par
conséquent une fois morts vers ces réincarnations animales -(desquelles
pourtant ils s’étaient sortis / affranchis quand, après la dernière d’entre les
réincarnations dans la condition de l’un des APIQH – [animaux pacifiques inoffensifs quadrupèdes herbivores]-
ils ont enfin obtenu le feu vert pour leur réincarnation terminale en l’un des
bébés êtres humains homo sapiens sapiens –(ce qui n’est pas
rien comme service pour le genre humain, à l’aune de ce dont cet homo
sapiens sapiens sera capable de trouver comme solutions alternatives
élégantes -[SAÉ]- admirables quand ce bébé d’être humain est correctement
élevé !)- soit la finalité de la Création cet homo sapiens sapiens par
acquis de conscience -(tant que ce bébé ou/et enfant n’a pas accès à sa
conscience, soit à l’âge de raison, il n’est qu’un homo sapiens déjà
capable de très nombreuses choses fondamentales mais ce ne sera que l’accès à
la conscience qui fera de lui un homo sapiens sapiens, soit un
éveillé donc un bouddha par acquis de conscience pour œuvrer -(la finalité)-
par charité de manière à ce que se produise cette transformation / métamorphose
de l’homo sapiens en homo sapiens sapiens soit
des êtres humains de devoir parce qu’ils sont devenus très réellement ingénieux
/ géniaux.
Hélas ces laipis ont pris le chemin de l’involution au
lieu de celui de l’évolution -(cela est arrivé aux meilleurs d’entre nous de s’être
trompés un moment de chemin en raison, par exemple, d’adolescence prolongée
-(ce que j’eus à démontrer), ce qui est synonyme de comportement d’inconscients -(soit
de moments où on est privé de conscience – lire ici, par exemple, la vie
édifiante de saint François d’Assise et l’histoire de son changement, de sa
conversion; de sa mue)- et c’est pourquoi tous
ceux qui ont accès à la conscience se doivent d’être continuellement sur leur
garde -(et cela d’autant plus qu’ils n’auront pas connu de l’intérieur – pour
l’avoir vécu eux-mêmes – une de ces adolescences qui empruntent alors le
mauvais chemins, ce que j’ai démontré peut se produire chez certains enfants
trop gâtés).
Ces mises-en-garde -(prudentes
de/à tous ceux qui sont éclairés de l’intérieur)- vis-à-vis
des laipis déplairont énormément aux laipis -(qui n’arrivent pas à comprendre
pourquoi, alors qu’ils ont l’impression d’être dans le vrai, on les fuit, voire
on est contraint de se méfier d’eux – ce qui est dramatique au sens de tragique
– d’autant qu’ils croient -[entre eux]- être dans le vrai -(alors qu’ils ne se
rendent pas compte qu’ils sont, sur de nombreux points essentiels, devenus faux
–(comme tous ceux qui condamnèrent le Christ à la crucifixion)- et cela – je
l’ai démontré sur moi-même en tant que cobaye volontaire –
(de l’expérience proposée du ciel – soit ce qui s’est déroulé pour moi à partir
de 2005 du point de vue[s] de 1967 et 1977 -[dans le futur])- entre
1967 et 1977 -(en tant qu’enfant)- et de 1977 à 2005 -(en tant qu’adolescent et
pseudo et soi-disant adulte dès 1981 -(quand j’eus dix-huit ans)– et cette
adolescence obtenue artificiellement grâce à l’amnésie canonique -(qui devait
être la mienne à partir de 1977)- de l’intervention divine dans le ciel de Rome
à partir de 1977)- et cette amnésie pour obtenir de moi une adolescence – c’est
ce qui caractérise le personnage de satan -(ou/et de Don Juan comme de
Casanova)- soit avant moi les empereurs m’ayant précédé, une adolescence qui
n’aurait jamais été si ces personnages n’avaient pas été amnésique[s] de très
nombreux paramètres / facteurs essentiels qui sont nécessaires / indispensables
d’avoir en tête pour s’autoriser à devenir un très véritable adulte.
C’est ainsi, à cause de ces divers oublis, qu’on perd
le bon chemin, donc qu’on s’égare – (en raison de l’oubli de plus ou moins
nombreux paramètres fondamentaux / essentiels), au point que nous avons pu
voir, au cours de l’Histoire, que ces personnes étant sujettes à l’oubli de ces
paramètres ont été capables du pire -(de
ce qui est, en conscience, interdit / déconseillé depuis le commandement
de » Tu ne tueras pas « dans les Écritures Saintes, celles-ci étant à
l’origine d’innombrables solutions alternatives élégantes y compris en
Architecture : tous les édifices -[dits / considérés comme]
sacrés) : tuer / guillotiner des
gens qui n’agissaient, à l’inverse de ces tueurs, qu’en conscience,
(par conséquent pour le plus véritable Bien et Intérêt Général, donc en
responsables comme, par exemple, la famille de S. E. A. I. S. S. S. L. P. François-René
de Châteaubriand et Lui-même)- et
cela à l’occasion de ce qu’on a appelé -[des]- révolution[s]. C’est qu’hélas,
infiniment hélas, chacun de ces laipis -(aspirant, on
le sait, à devenir si possible des artistes célèbres)- n’a/ont pas voulu comprendre
la notion de chef-d’œuvre comme étant fondamentale pour leur éventuelle
transformation / métamorphose en l’un de ceux ayant finalement obtenu ce
feu sacré pour l’intellect, c’est-à-dire cet accès à la conscience en
eux-mêmes, voire, pour certains d’entre eux, à mieux encore que cela : au
Saint-Esprit ! (Ce qui ne peut advenir que si une fois conscient -(acquise au préalable cette conscience)- on fait l’effort
d’étudier les religions à notre disposition en les comparant entre elles, par
conséquent sans oublier les paramètres essentiels qui les différencient pour
nous proposer le meilleur des saluts, voire en s’imposant de parvenir à
comprendre tous les points à première-vues incompréhensible[s]. Aussi ces
religions et les vérités relatives qu’elles véhiculent nécessitent
une/l’ouverture d’esprit, donc antérieurement l’acquis de conscience, ce qui
peut s’obtenir grâce à un travail psychanalytique sur soi-même -(et si on est
végétarien une auto-psychanalyse ou une psychanalyse avec un psychanalyste végétarien),
voire en se spécialisant dans l’une ou l’autre des disciplines universitaires,
comme ce fut mon cas à Paris I-Sorbonne en Arts et Sciences de l’Art -(Cinéma
– Télévision – Audiovisuel- ... )- par conséquent en me consacrant à la
réalisation d’un projet d’Intérêt Général, voire pour le Bien Général, ce qui
fut la/le SPOK avec le film La Momie à mi-mots -(https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk),
mes divers tableaux-partitions autour du piano que j’ai décoré / peint, les
miniatures que j’ai peintes et intégrées dans ce film, et mes autres
réalisations vidéo, informatiques et audio-visuelles).
C’est que ces « médecins » qui interviennent
sans l’être devenu -(médecins)- véritablement -(ce qui, nous l’avons compris ne
se peut autrement - sous peine
d’être considéré un imposteur, escroc, usurpateur, tricheur, etc. - que
par acquis de conscience, sont encore, pour une bonne partie d’eux-mêmes
-(c’est-à-dire de leur cerveau), dans plus ou moins la nuit cérébrale -(pas
assez expérimentés, voire avec ces sortes d’œillères que sont les préjugés –(y
compris en Médecine), soit hélas pour eux -(et leurs patients)- encore dans
l’erreur.
En psychiatrie, ils font la très grave erreur de
prescrire des médicaments neuroleptiques et croient ainsi soigner. Cela ne
marche pas, ne pourra jamais marcher car la cause de tous les problèmes
psychiques est, pour l’ensemble des patients occidentaux sans exception,
l’écartèlement existant entre la recherche de l’amour, la consigne d’aider /
aimer son prochain et l’habitude traditionnelle -(locale)- d’une nourriture
d’omnivore à dominante carnée provenant d’animaux pacifiques
et inoffensifs herbivores quadrupèdes, les
A. P. I. Q. H. qui sont l’objet de sacrilèges parce qu’il s’agit d’animaux ne
faisant pas de mal à une mouche et qui par ailleurs produisent ce qui est
essentiel pour/à l’être humain, dès sa naissance : le lait et son calcium
indispensable pour accompagner / favoriser la croissance des enfants.
Aussi ces personnes qui affirment justement qu’ils
aiment leur prochain -(comme la
religion Catholique le conseille justement – il s’agit alors, bien entendu,
d’amour spirituel destiné aux autres : »« aimer autrui comme
soi-même »«)- sont à ne pas l’aimer en
vérité –(car aimer c’est vouloir le mieux pour l’autre, soit
lui éviter ainsi, par les meilleurs conseils tout ce qui pourrait lui être
nuisible, voire lui éviter ainsi une réincarnation malheureuse, triste,
tragique, cauchemardesque, etc.) puisqu’elles
se comportent injustement en étant complices de ceux qui croient possible tuer
les animaux pacifiques -[et]- inoffensifs herbivores quadrupèdes,
les APIQH, qui, on le sait par de nombreuses preuves audiovisuelles
–(documentaires / films animaliers)- je me répète : ne font pas de mal à
une mouche, ce qui évidemment, de façon juste / logique, interdit -[en
conscience]- de les occire / tuer / manger, d’autant plus qu’avec ces animaux pacifiques
et inoffensifs, les A. P. I. , il s’agit, la plupart du
temps, de la réincarnation qui précède celle en être humain homo
sapiens sapiens, voire en homo sapiens dont, grâce
aux diverses civilisations, la raison d’être, (soit l’objectif), est, à son
tour, de devenir homo sapiens sapiens, soit ce qu’on appelle aussi
un éveillé-par-acquis-de-conscience, donc un bouddha.
La situation est donc paradoxale pour chacun des
occidentaux omnivores d’autant que dans les Écritures Saintes,
Moïse a reçu l’ordre / le conseil de ne pas tuer - » tu ne tueras pas « -
ce qui signifie évidemment aussi de ne pas tuer les APIQH, les insectes, et les
plantes comme les arbres, etc. .
Aimer son prochain est donc possible si on s’interdit
de -[le] tuer –(c’est une preuve qu’on lui donne qu’on l’aime même s’il ne
s’est pas comporté comme il aurait fallu en pareille situation / SPOK)- mais,
par soucis de cohérence -(de façon à ne pas faire mentir les mots, donc pour
être logique avec ce qu’il y a de plus juste en nous, cela devrait commencer
aussi par aimer les animaux pacifiques et inoffensifs,
ces API, qui ont été avec les bouddhas, soit les éveillés par acquis de
conscience, à l’origine de tous les bienfaits y compris culinaires de
pâtisserie et/ou d’omelettes et/ou fromages, yaourts, etc. et récemment à
l’origine de la découverte, par vos dévoués serviteurs vos eanmeailleurs, des butterArts et des cheesOmenetArts aux
représentations paradisiaques si originales – ces représentations comme celles
des orangeArt et de certaines
des formes de nuages -(dans mes vidéo-nuages-diaporamas)-
témoignent de l’existence du très-saint-paradis pas seulement dans le ciel mais
sur terre, notemment avec le truchement de la plupart des arts et des sciences
de l’Art.
Ce n’est pas juste, c’est faux de limiter la notion
de » prochain « aux seuls êtres humains. Le prochain, les prochains
sont aussi les espèces animales pacifiques -[et]- inoffensives herbivores quadrupèdes,
les APIQH à qui on doit le beurre, la crème, les fromages, le lait, les yaourts
et les autres dérivés. Ces APIQH sont les proches de l’être humain -(il y a de
véritables interactions entre les êtres humains et les APIQH : depuis
longtemps une dépendance des uns par les autres, qui, en raison de ces très
véritables bienfaits nécessaires alimentairement à la meilleur santé des êtres
humains, ont gagné vis-à-vis d’eux -(ces API)-, le devoir de protection des
fermiers et des êtres humains qui ont donc l’obligation morale de leur en être
reconnaissants en, par exemple, les protégeant -(en leur construisant un abri
défendu)- à cause de ce que nous devons tous à ces APIQH : la plupart des
délicieuses / divines recettes –(qui seraient impossible à réaliser sans beurre
et sans crème, sans panna montata -(ital. : chantilly),
sans fromage[s], etc. :)- des solutions alternatives élégantes
culinaires -(SAÉC)- nous ayant fait
comprendre qu’il a été parfaitement juste en Orient, (mais aujourd’hui, en
raison de la mondialisation des échanges, partout ailleurs – les meilleurs
idées de pays étrangers s’imposant partout quand / parce qu’elles sont vraies,
justes en conscience), de considérer les auteurs de ces bienfaits : vache,
brebis, chèvres et autres APIQH, au point d’avoir divinisé ces animaux qui ont
acquis le droit d’être bien traités parce qu’ils sont si utiles pour les
meilleurs saveurs alimentaires et en conséquence[s] sur le plan économique.
De nos jours, tous nous adhérons naturellement -(parce
que ce qui anime l’être humain est, avec la recherche de la vérité, ce qui est
juste ou plus juste encore, donc bien, bon et beau, par conséquent
fécond)- à cela d’autant plus
de ma récente découverte des butterArts pour réaliser les cheesOmeletArts.
En effet le lait qui est une substance essentielle pour la croissance des
enfants et des adolescents en raison du calcium nécessaire pour les os, est
devenu[e] encore plus sacré[e] à l’aune des représentations merveilleuses de
l’un ou l’autre de ces butterArts et de celles des cheesOmeletArts.
Quand on a un projet de mariage avec la personne qu’on
aime, c’est qu’on souhaite constituer une famille pour être capable à deux,
complémentaire l’un de l’autre, d’élever les enfants qui naîtront de cette
union officielle. Nous avons aussi pu remarquer que la réalisation d’une
famille se produit même à l’époque des contraceptifs -(ce
qui signifie pour ceux qui vont à devoir élever ces enfants qu’ils sont
réellement désirés, parce que sinon on ne ferait pas d’enfant comme tous ceux
qui croient à cause de tout ce qui ne va pas que la vie est une damnation,
voire que nous serions en enfer ! Or nous devons admettre que ce n’est pas
entièrement vrai car depuis plusieurs dizaines d’années on est libre de choisir
de fonder une famille ou au contraire de ne pas la créer et si on choisit de la
voir se concrétiser c’est qu’on n’est plus misanthrope mais au contraire dans
le désir d’aimer son prochain, d’être utile à des enfants, soit le plus souvent
des personnes pacifiques et inoffensives. Or, dans une grande partie des cas,
les réincarnations des enfants sont celles d’APIQH et ce désir d’aimer son
prochain, parce qu’on a fait la découverte, à cause des innombrables solutions
qui existent, que l’amour existe, cela nous fait comprendre qu’on doit aimer au
sens de protéger tout ce qui est faible, voire sans défense comme le sont les bébés
d’être humain homo sapiens sapiens à leur naissance.
C’est alors qu’on comprend aisément qu’on ne peut plus
prendre le parti des animaux voraces et/ou parasites, voire qui sont capables
de persécuter les APIQH et c’est ainsi, si on arrive à le comprendre en vérité,
qu’on retrouve un peu plus la/de cohérence en soi et cela parce qu’on se
prépare à recevoir un bébé et que celui-ci, comme la plupart des API, est sans
défense, innocent, d’autant qu’il est pour être un bébé d’êtres humains une/la
réincarnation d’un de ces APIQH !
Il y avait donc, quand nous étions de ceux qui
mangeaient les APIQH, en réalité une situation incohérente à l’origine même de
tous les comportements de fous -(au sens maladif
de ce mot, donc négatif et non dans le sens positif qui concerne d’autres
SPOK)- donc de nos décisions, de nos choix voraces et/ou
égoïstes -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres
SPOK/cas), en fait effectivement, en réalité pour tous une situation invivable
sur le plan psychique, à l’origine de chacune de nos incohérences au point
d’employer le mot d’ » amour « en croyant qu’il était compatible avec
le fait -(ce qui ne tient pas debout car c’est faux)- de s’autoriser à tuer des
API pour nous en nourrir -(mais on peut
aussi penser à l’inverse que si cela a été le SPOK longtemps, on ait cru qu’on
pouvait se l’autoriser comme preuve d’amour vis-à-vis de nos semblables, de
même qu’on s’était permis de chasser avant de recourir à l’élevage à ces fins
de nourritures carnées car il s’agissait d’avoir de quoi survivre / manger dans
des régions de plus en plus éloignées des latitudes équatoriale qui furent le
berceau de l’humanité)- donc, en fait, sans que
cet amour soit totalement vrai / crédible puisque nous avons cru pouvoir manger
des API et des APIQH -(animaux qui ne
font pas de mal à une mouche)- en
abusant de leur confiance, par conséquent en nous comportant injustement envers
leur bonté, beauté et bienfaisance. C’est donc là la cause -(l’origine)- de
tous nos dérèglements; de tous nos maux, de tout ce qui n’est pas juste, de
toutes nos incohérences, mais aussi de ce que nous aimons la Musique et les
œuvres d’Art, à travers cette recherche du beau, du bien, du bon, soit des
preuves de l’existence de l’Amour autre qu’érotique, donc du Paradis, en fait,
nous parlant d’un autre monde, celui de l’innocence car, hélas, nous nous
sommes autorisés -(en mangeant les API ou/et les APIQH)- à créer -(avec
cet élevage à des fins de bouche[rie]), l’enfer
sur terre à l’origine du processus de réchauffement planétaire et de la
désertification -(cependant nous ne le savions pas aussi
exactement qu’à notre époque : il s’agissait d’un héritage que nous avons
dû accepter –[à cause de nos facettes conservatrices,
traditionalistes à l’origine de notre façon de reproduire des coutumes]- et
entretenir en, hélas, le croyant juste et nous l’avons transmis à premières
vues incontestable à nos enfants en raison de ces habitudes / traditions /
préjugés non remis en cause, non mis-à-jour, en croyant, malgré les
continuelles avancées des civilisations de plus en plus interconnectées –[mondialisation
des échanges commerciaux]- que
c’était normal / juste de nous en nourrir –[de ces animaux], en ne voyant pas
que les solutions alternatives élégantes
–[S. A. É.]- étaient de plus en plus nombreuses devant nous, proposées depuis
longtemps pour nous offrir le choix de nous soigner de cette folie néfaste –[tirant
son espèce –(à première-vue)- de légitimité de l’incohérence qu’il y avait eu à
nous nourrir d’A. P. I. ou/et A. P. I. Q. H.]- et
retrouver la cohérence avec Amour, soit la vérité de parole, soit la plus
véritable justesse, par conséquent la vérité qui est sensibilité à la beauté,
bonté, bienfaisance, compassion de l’Univers à notre égard, en un mot »
Amour «. Non, dans nos régions tempérées, nous n’avions pas voulu de cette
vérité orientale et/ou bouddhiste des religieux / lamas végétariens et nous
avions préféré continuer à pécher avec les autres, certains d’entre nous
sachant pourtant que c’était continuer à mal faire. Il n’est donc pas étonnant
que la mort se soit manifestée y compris sous la forme de la solution élégante
des réincarnations en animaux prédateurs malheureusissimis…simissimes,
tristissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes,
cauchemardesquissimis…simissimes, et etc. . C’est
que nous avions préféré nous conduire en inconscient[s] des conséquences de nos
actes et de nos choix, parce que nous avions oublié qu’aimer ne se peut que
justement de choses très véritablement aimables donc sur tous les points, en
toute honnêteté et cohérence s’empêcher de faire souffrir. C’est pourquoi il
était urgent de trouver un moyen de pardonner nos péchés –[ce
qui fut trouvé par le Christ : si nous nous repentions sincèrement de ces
péchés]. Nous le savions, la plus véritable honnêteté est incompatible avec le
meurtre d’API et/ou APIQH)- car en
nous autorisant à manger les APIQH nous avions tous une partie de nous-mêmes à
croire possible continuer à faire le mal et à cause de cela de croire
fallacieusement avoir le droit de nous conduire à certains moments méchemment,
voire injustement envers des animaux qui ne sont qu’aimables :
bienfaisants et utiles sur tous les autres plans où ils nous aident. C’était
donc là une des causes de tous nos problèmes
N. B. : La suite
est après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(trouvée la cause, le
remède n’est jamais trop loin. C’est ainsi qu’en 1977, en raison d’amour pour
C. L. , je l’avais trouvée –[cette cause]- pour, avec
le remède, faire disparaître la pauvreté et la misère matérielle -[de
tous les pauvres et les misérables]- sur
le champ : c’était le prix du baril de pétrole qui au lieu de baisser
montait. Le remède était donc la baisse du prix du baril de pétrole, en raison
de ce que j’avais eu à géo-localiser plus de cinquante pour cent des réserves
de pétrole de nos jours, ce qui augmentait la quantité de pétrole au point
normalement d’avoir, en raison de la loi de la quantité et de la rareté à en
voir baisser le prix. Le pétrole n’était plus une rareté en voie de
disparition : d’un seul coup plus de cinquante pour cent des réserves en
plus géo-localisées du ciel d’où j’intervenais comme une virtualité future sous
la forme de nuages. De quoi financer la transition vers les énergies
propres : éoliennes, solaires, marée motrice, fluviales motrice,
hydrogène, etc. . Aussi la cause de la misère et de la
pauvreté matérielle était ce prix du baril de pétrole à sept dollars, soit sept
cent fois trop cher -(car
s’il avait été proposé à un centime de dollar, en raison de la répercussion de
ce prix dans l’Économie, tous les autres prix auraient logiquement baissé, au
point de rendre de très nombreuses choses, les biens de première nécessité,
mais aussi quelques produits de luxe quasiment gratuits)- voire
autrement vue soixante-dix mille fois trop cher. Ce qui aurait permis à 0,01
centime de dollar le baril de rembourser toutes les dettes de chacun des États
et de créer les conditions pour retrouver assez rapidement, sur les
vingt-quatre suivantes années, la vision du très saint paradis une
heure toutes les cinq heures. (Voir (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm)-
et du doute dans
lequel -[périodiquement]- chacun de nous étions -[au sujet]- honnêtement de
nous-mêmes : des anges ? Au point de croire à tort ou à raison
que l’être humain »« ne serait ni ange ni bête »« et
que »« qui veut faire l’ange fait la bête »« -(cependant, on le
sait, qu’il vaut toujours mieux essayer de faire l’ange - au risque d’y
parvenir en ayant eu à pratiquer pour ça la méthode Coué, au risque de faire la
bête –[comme ce fut le cas avec adolphe hitler]- et cela – devenir ange – est
effectivement depuis longtemps possible : en fait depuis qu’il existe
toutes les solutions alternatives élégantes
-[S.A.É.]- des viandes et des chairs végétariennes ! Aussi la citation
célèbre de S. A. I. S. S. S. L . P. Blaise Pascal
concernait une époque dans laquelle il n’y avait pas encore -[dans/sur
nos marchés]- autant de S. A. É. Végétariennes, ce qui permet à tous ceux qui
le sont [végétarien]- de devenir -[à plus ou moins long terme]- véritablement
des anges, ce dont nous avons tous besoin et ce qui a été le SPOK pour chacun
de nous quand nous étions bébé et/ou enfant. C’est donc après l’âge de raison -[donc vers trois à sept ans]- que cela s’est parfois gâté
pour ceux qui localement ne sont pas parvenu à continuer à se conduire en
ange[s] d’autant plus aisément du recours à une nourriture trop carnée. Soit la
cause qui rend « bête »).
Non, la réalité de notre alimentation omnivore -(en
mangeant des API, voire de APIQH), signifiait que nous ne l’étions pas encore
pleinement, des anges, et cela en raison des « libertés » que nous
nous sommes autorisées en mangeant de la viande d’APIQH, ce qui était donc très
véritablement pécher, voire -[un]- sacrilège car profondément injuste[s] envers
des espèces animales par ailleurs aussi généreuses qu’elles sont à la ferme, en
échange de leur protection par des paysans-fermiers, ce qui est aussi le SPOK
des poules, des oies, des canards, etc., des API, à l’origine de la possibilité
de réaliser un[e] butterArt pour des cheesOmeletArts !
Aussi nous comprenons tous que pour retrouver la
cohérence en nous, soit la logique, il est aujourd’hui possible -(mais
cela l’était déjà autrefois, au moins depuis l’époque de l’invention du fromage
râpé)- de guérir de toutes nos contradictions et des manques
de cohérence, soit de tous les moments où nous étions illogiques, voire -(parfois,
hélas, à notre insu – donc de bonne foi)- menteurs
et cela ne peut être que grâce à l’étape où l’on devient végétarien, ce qui
arrive de toute manière un jour ou l’autre pour les personnes âgées car la
plupart d’entre elles perdent leur[s] dent[s]. En fait, nous avons tous été
végétariens quand nous étions dans la prime enfance, avant d’avoir l’apparition
de nos dents de lait -(grâce au calcium ingéré).
Encore une fois c’est en trouvant la cause, (soit
l’origine d’un problème, comme celui de l’écartèlement dont chacun en Occident
est l’objet entre d’un côté la condition d’ange et de l’autre la condition de
diable, -[au sens satanique et négatif du terme qui peut
en avoir du positif dans d’autres SPOK / cas particuliers, etc.]), que j’ai eu
l’honneur de trouver / proposer le remède et celui-ci était élémentairement
alimentaire, ce qui m’a permis, alors qu’empereur depuis 1995 de devenir à
partir de 2005 un des bouddhahs, soit un éveillé par acquis de conscience –(en
effet, j’ai eu en 1977 et les années suivantes synchrones avec 2005 et les
années suivantes, à transmettre du ciel la liste de tous les fruits et légumes
qu’on pouvait proposer en tant que solutions alternatives élégantes dès que
possible dans les commerces, car ils n’étaient pas encore sur les marchés
occidentaux)- et parce que je n’ai pas voulu tricher en me préparant à recevoir
mes enfants, par conséquent dans le parcours initiatique qui fut le mien
jusqu’au moment durant lequel on me rendit la mémoire de ce qui s’était passé
dans le ciel de Rome en 1977 -(avec soudain la
nécessité du sacrifice de séparation d’avec S. A. I. S. S. S. S. P. Christine …
Lang, la perte avec elle de nos enfants alors virtuels)- et
la découverte que celui qui intervenait immense dans le ciel était, par soucis
de cohérence avec le mot d’amour devenu végétarien, soit alors en 1977 ma
perspective d’avenir, au point, en raison de cohérence retrouvée grâce à cette
condition de végétarien de monter au ciel -(d’accéder
à ma conscience et à mon cerveau redevenu propre)- en
redevenant bouddhahs, soit un éveillé par acquis de conscience comme je l’avais
été à ma naissance mais aussi à partir de 1967 en synchrone d’avance avec 1977
et 2005 au point que ma voix s’est entendue avant ma naissance mais aussi à ces
dates de 1967 et 1977 bien avant d’avoir été émise depuis les années 2005 sur
ces époques précédentes. La Vérité étant retrouvée sur de nombreux points -(dont tous ceux alimentaires, soit la base ou/et le socle
de chacune de nos existences en ange ou, au contraire, en démon)- car,
en réalité, pour les êtres humains -(la Vérité)- existant de tout temps. C’est
la raison pour laquelle on n’a pas le droit d’imposer à des omnivores de
devenir végétariens : cette mutation ou/et transformation ne peut advenir
qu’en raison de soif de cohérence et de vérité, par conséquent d’aspiration à
la connaissance du sacré. Celui-ci – en témoignent les très nombreux temples
ou/et édifice religieux - existe très réellement et c’est parce qu’il a été
approché de différentes façons complémentaires -(par les religions ou/et
l’absence de celles-ci)- qu’on a toujours fini par trouver les meilleurs SAÉ – solutions alternatives élégantes
– pour se nourrir convenablement -(ceux qui ont continué
à vouloir chasser pour se nourrir sont allés se perdre au pôle où ils n’ont
pas/plus trouvé de solutions alternatives élégantes végétariennes. L’obsession
de la viande animale pour se nourrir ayant conduit leurs lointains ancêtre à
-[comme]- se perdre dans ces régions glacées).
Ces médecins occidentaux croient encore à notre époque
qu’il faut / convient de se nourrir de viande des API et des APIQH. Ce qu’ils
croient n’est en réalité que fondé sur la base de paramètres anciens devenus à
la longue des préjugés car les mises-à-jour n’ont pas été effectuées -(pour être en adéquation – cohérents - avec notre époque, à
partir des paramètres récents qui la caractérise / concerne sur le plan
alimentaire. Aussi la non mise-à-jour périodique fausse la plupart des
raisonnements des docteurs en psychiatrie qui ont fait l’impasse sur la
spécialité / discipline universitaire médicale de la nutrition -(de
nos jours une science indispensable, celle des nutritionnistes -[si
seulement il s’agit de ceux qui ont vérifié sur eux-mêmes, comme je l’ai fait
sur moi-même, qu’il est même possible d’être végétarien sans se nourrir
de Fabaceae et autres pois
chiches et/ou lentilles -(bref de protéines végétales - cependant que comme ces
protéines végétales existent, il serait bien bête de s’en priver. En fait c’est
parce que longtemps l’être humain a été chasseur et mangeur de viande animale
qu’il s’est habitué aux protéines donc qu’il est convaincu qu’il ne peut s’en
passer -(qu’elles sont dans son ADN). Or j’ai vérifié
sur moi-même qu’on peut très facilement s’en passer grâce aux protéines
végétales de substitution et cela jusqu’au moment où ces dernières ne sont plus
nécessaires, soit au moment où on devient un éveillé par acquis de conscience,
soit un des bouddhahs. Une fois cette conscience revenue, si on veut se passer
de lentille, pois chiches et etc. noix, noisettes, et etc. c’est possible ce
qui signifie que les protéines végétales, à l’aune des solutions alternatives
de fruits et légumes et céréales et laitages ne sont même pas nécessaires,
cependant que comme elles existent autant avoir le bonheur de les proposer à
nos repas : cela crée de la variété : pourquoi se l’interdire, il n’y
a pas de mal à ça), quand elle est utilisée
intelligemment dans / pour la meilleure des perspectives sociale[s])- car
rares sont ceux qui ont fait tous les efforts intellectuels pour qu’on puisse
les considérer de véritables guérisseur[s] / médecins : la grande majorité
d’entre eux ne se sont pas inoculés l’une ou l’autre de ces maladies psychiques
pour en découvrir les effets de manière à faciliter la compréhension des
mécanismes en cause et de cette façon aboutir à la découverte du remède. Ce
genre d’attitude scientifique est rare et ne peut advenir que par acquis de
conscience mais aussi dans un esprit sacrificiel qu’on doit surtout, dans ce
SPOK/cas, à la religion catholique chrétienne. De mon côté en apparaissant
auditivement en 1967 mais aussi visible et audible dans le ciel de 1977, nous
étions rassurés d’avance que je pourrais guérir de la maladie, c’est pourquoi
j’ai proposé aux années 1967 et 1977 de m’inoculer la cause de cette maladie
-(l’amnésie de paramètres essentiels)- en faisant de moi un cobaye – tous les
plus savants sachant d’avance, en raison de la teneur de mes communications /
transmissions à travers Espace et Temps qu’à partir de 2005 je commencerais
tous les jours -(à mesure des progrès de mes transmissions à travers Espace et
Temps)- à toujours plus guérir, en raison de l’auto-psychanalyse publique
-(audible et visible dans le ciel vingt-sept années avant qu’elle n’advienne
dans la réalité)- mise en place à partir du moment où on me [re]donnerait la
mémoire du fait majeur que j’avais dû oublier pour commencer mes
Démonstrations. J’allais donc guérir à partir du moment où ces communications à
travers Espace et Temps recommenceraient le jour venu à partir de 2005 !
Aussi ce qui s’est passé à partir de 2007-8 sur le plan psychiatrique n’aurait
jamais dû se produire étant donné que j’étais dans l’exercice de mes fonctions
de chercheur scientifique et d’eanmeailleurs -(pharaon -[devenu]- bouddhahs),
sans parler ici en détail de ce que chacune des interventions «
médicales » du Centre Médico Psychologique de l’hôpital Saint-Anne a fait
perdre -(dans l’incompréhension de ce qui advenait / était en cours avec moi et
qui pour être enfin compris a nécessité de me sevrer du Risperdal 25 mg pour que
j’écrive mes lettres aux Papes et aux présidents de la République française pour
leur expliquer la situation extrêmement complexe et unique dans laquelle je me
suis trouvé à partir de 2005 sachant qu’en synchrone dans le ciel de 1977
–[soit ce que nous avons découvert être l’époque de 2005 et années suivantes]-
je mesurai de trois à dix kilomètres de hauteur !!!)- comme quantité de
milliards en or pur à l’Ensemble et cela en me contraignant à cesser de
communiquer à travers Espace et Temps – des responsables politiques mais aussi
médicaux précis étant coupables de toutes ces immensissimis…simissimes –[et
c’est encore peu dire par rapport à ce qu’elles furent en réalité]- pertes).
Ces
mises-à-jour sont vitales dans toutes les disciplines, donc dans
tous les domaines qui servent alors de virtuels / possibles médicaments,
cependant que la guérison de la plupart les maladies psychiques ne s’obtient,
(je l’ai démontré et vérifié sur moi-même, autrefois un grand mangeur de steaks
tartare, de saumon et de beefsteak à la florentine, mais aussi
de truites, de soles et d’espadon, mais aussi de jambon cru et à l’os comme de
charcuteries et pâtés de foie-gras mais aussi de saucissons hongrois comme de
gigots et de côtelettes d’agneau, etc. –[ayant fini par croire de bonne foi
très jeune qu’il s’agissait de véritables bonnes choses, y compris les autres
saucissons comme le chorizo, les saucisses et brochettes ou les
grillades, mais aussi les huîtres et palourdes, crustacés, crevettes et
langoustines, escargots, etc., homard)]- qu’en
devenant végétarien longtemps et en menant de front un travail psychanalytique
et, si possible, artistique. Je l’ai démontré à partir de 1990 – mais cet état
de végétarien ne doit jamais être imposé brutalement, méchemment,
dictatorialement par les autres –(qui
ne peuvent, si ils sont végétariens, que conseiller à travers leur exemple
cette façon différente de se nourrir à partir de leur propre expérience et/ou
chemin spirituel). Cet état de végétarien
doit cependant s’imposer comme une nécessité intérieure individuelle /
particulière pour entrer à son tour dans la perspective ayant, à partir d’un
certain moment, pour objectif de retrouver la cohérence et la vérité de
parole avec sa plus véritable identité / âme -(celle qu’on avait enfant
avant d’avoir été -[(pour des
raisons historiques liée à l’histoire de l’aventure humaine –[H. A. H.]-, soit
celle du développement et de l’évolution locale, donc régionales)- contraints
et forcés –[car menacés ou/et battus ou/et grondés pour
adopter ces coutumes contre notre volonté, soit en ayant ici à s’aliéner pour
ressembler localement à monsieur-tout-le-monde]- à manger
de la viande, du poisson et les corolaires autres chairs d’animaux plus
ou moins pacifiques et inoffensifs –[A. P. I.]-).
Mais, cette métamorphose, je l’ai vérifiée, cela peut
prendre, selon les individus, plus ou moins beaucoup de temps -(jusqu’à de très
nombreuses années, donc très longtemps)- sans à première-vue aucun succès avant
qu’on accède, grâce à cette condition de végétarien -(mais
aussi grâce à l’amour d’une personne complémentaire qu’on aime en
retour)- soudainement à la
conscience -(soit à la vérité), en soi et/mais pour cela il est nécessaire de
rassembler autour de soi et en soi d’autres conditions -(comme au préalable
celle impérative d’arrêter de fumer – ce à quoi, évidemment on se doit pour ses
enfants de manière à leur garantir des parents en bonne santé durant toute
l’époque où ils seront élevés pour devenir à leur tour des adultes responsables
– ce qui, nous l’avons dit, peut se produire dès la naissance, voire enfant au point
de ne pas avoir à vivre l’adolescence). [Aussi]- c[C]ela est aussi possible
parce qu’on boira –(de l’alcool)- sobrement / modérément, voire pas / plus du
tout -[du moins]- durant la grossesse, mais aussi parce qu’on sera / demeurera
/ restera fidèle de corps et d’esprit -(durant les fiançailles à sa parèdre –
ce qui devrait conduire dans un premier temps au concubinage, soit à l’union
libre et enfin une fois la conscience retrouvée, aux plus véritables
fiançailles dans la perspective du mariage pour créer les conditions
officielles de sécurité minimum pour être en mesure d’élever les enfants qui
naîtront de cette union ayant enfin accès, l’un par l’autre, aux dimensions
sacrées de l’existence.
En général, en raison des études en Médecine, le
personnel de Santé applique pour soigner des méthodes dont il n’est pas
l’auteur. Ces méthodes, nous le soulignons, ne sont pas -(en général)- le fruit
de leurs analyses personnelles, au sens d’expériences vérifiées et/ou
résultants de leur[s] propre[s] recherche[s], cependant qu’il y a
àpremièrevue[s] –(à-premières-vues ou/et entendus)- la nécessité d’établir de
bons diagnostics pour comprendre et/ou rechercher les causes qui seraient à
l’origine de la différence / des différences psychique[s] qui existe[nt] entre
ces considérés médecins et la personne -(dont
ils croient devoir prendre soin : leur patient – ces derniers, (les
patients)- pour le devenir, ayant quelques fois fait l’objet d’un abus de
confiance de ces médecins qui, au lieu de leur dire qu’ils n’ont qu’à devenir
végétarien[s] pour se soigner à plus ou moins long terme de la grande majorité
de leurs maux, les ont considéré des malades pour avoir à être chargé de les
soigner –[donc par intérêt financier égoïste et de ce
fait aucunement guérisseur car sacrilège vis-à-vis de la plus véritable
Médecine qui considère / postule / présuppose la grande majorité des êtres
humains comme guérissable[s] ou/et se portant bien sur un grand nombre de
points importants / fondamentaux]- et
auxquels ils ont prescrit des médicaments et cela avec ces
« patients » trop confiants, quand il ne s’agit pas de véritable
malades)- à première vue originale
ou/et différente, (de manière à
comprendre pourquoi il y a cette différence à cause de la situation précise
originale qui a concerné ce patient, soit nous le soulignons, la
nécessité de rechercher la/es cause[s]). Ces
« médecins » pensent, parce que la personne est devant eux, que
celle-ci serait atteinte de complications psychologiques voire psychiques et/ou
malade -(mais ils oublient souvent de se dire que la situation de crise de
cet être –[soit au bas mot un univers qu’être un être une fois acquise la/sa
conscience]- devenu « patient » en raison du SPOK -[situation précise,
etc.]- dans lequel ils sont, remonte déjà à très loin dans le temps même si
elle ne s’est produite que cinq minutes auparavant, cela parce que cinq minutes
à l’échelle universelle, c’est, en réalité, immensément de temps -(ce qui est
déjà le cas d’une seconde à l’autre)- car c’est déjà le SPOK si cette
« crise » -(à première vue de démence -[alors qu’en
en connaissant les causes cette » crise « n’en serait peut-être ou/et
plus sûrement plus une])- s’est produite une minute
avant -(et on le sait le temps arrange bien les choses au point qu’il est donc
probable que cette crise ne se reproduira -[jamais plus], d’autant qu’on aura
parlé avec ce patient -(voire, ce qui
est préférable avec les personnes scolarisées, leur proposer d’écrire pour
expliquer ce qui s’est produit –[de quoi ce
patient aurait été l’objet pour se mettre dans cet état à première vue
différent de son état normal – par conséquent remonte par des efforts
d’écritures aux causes de ce qui lui a modifié momentanément son comportement,
au point que certains aient cru devoir le faire comparaître en face d’un
psychiatre]- de manière
chronologique, voire retrouver les causes de cette crise)- pour
essayer de comprendre ce qui a mené cette personne à avoir le comportement
différent de celui qui lui était plus habituel –(quand
ce patient allait bien : normalement, ce qui est, bien entendu, un état
qu’il peut donc retrouver dans les cinq minutes suivant sa/cette situation
ayant été jugée de crise ou le point de départ, l’origine, de la transformation
de cette personne –(soit, j’ai à le
souligner, au bas mot un ou plusieurs univers s’il s’agit d’une de celle ayant
acquis sa conscience)– en » malade « par
des personnes ayant cru avoir intérêt à rendre cette personne » anormale « -(quand,
paradoxalement, la majeure partie des plus véritables créations artistiques ne
peuvent se produire qu’en refusant la/es norme[s] -(sauf toutes celles
indispensables à/pour permettre l’éclosion de l’Art, soit la maîtrise de
techniques à ces fins de les utiliser pour créer du nouveau, par conséquent du
différent, de l’anormalité), inhabituelle,
ce qui rend toutes les personnes accusant un tiers d’anormalité coupables de
rechercher à monter en épingle des comportements bourgeois, au sens négatif de
ce mot qui en a heureusement du positif dans d’autres SPOK/cas particuliers, ce
qui est aussi le cas du mot » normal « qui en a donc du
positif)- avec la complicité du
médecin –(c’est alors – de son point-de-vue, une bonne affaire en cours)-, ce
qui devrait toujours signifier une personne ayant la possibilité de guérir – ce
qui, en fait, s’est probablement avéré durant ces cinq dernières minutes avant
l’intervention du médecin ne se fondant que sur des faits de plus en plus
lointains dans le temps / passé, donc déjà anciens sauf exception -(quand, par
exemple, le patient va mal, souffre)- par conséquent un médecin -(s’il a choisi
de faire partie des honnêtes hommes)- qui aurait dû en toute vérité considérer
ce « patient » comme déjà guéri, à moins que cette personne, (soit
des univers, une fois acquise la conscience), ne se plaigne de maux dont elle
souffre devant le médecin, ce qu’il conviendra effectivement d’essayer de
soulager).
Les études de/en Médecine sont à l’origine de
conditionnements et/ou méthodes -(plus ou moins
justes)- pour soigner en s’appuyant sur des siècles de tentatives en la matière
et cela fait de chacun des étudiants accomplissant le cursus universitaire plus
ou moins un vrai médecin, ce qu’en réalité il ne peut plus véritablement
devenir que par acquis de conscience. En fait, quand le médecin n’est pas
un éveillé par acquis de conscience (É. A.
C.), il est souvent, sans même s’en rendre compte, sur certains points un laipis -(laïc, athée, ignorant, profane, inconscient, sacrilège
– ces six mots de l’acronyme laipis, au sens négatif et positif qu’ils ont
selon les SPOK : situations précises, occasions, cas particuliers
car ici c de cas et p de particulier = k de SPOK)- soit
un sacrilège envers la conscience et la vérité, donc envers la lumière. Et nous
remarquons qu’il oublie que le moment où son patient fut considéré comme différent,
voire » dérangé « n’est plus depuis très longtemps à l’échelle
universelle médicale –(ces temps étant les plus longs
existants car il y a, pour les juger tels, de virtuelles ou réelles très
véritables souffrances. On le sait, par exemple, chez les dentistes : dans
certains SPOK une seconde de souffrance à une dent non anesthésiée est
infiniment longue à passer / supporter /endurer -(et
c’est hélas semblable pour la majeure partie des effets indésirables des
neuroleptiques. Aussi le patient est donc martyrisé, du moins l’objet de
tortures -(ce qui rend le temps extrêmement long à
passer, car dans ces conditions de souffrance, insupportable), ce
qui est invivable, insupportab[i]lissimis…simissime et change pour ce patient
la réalité en cauchemar d’autant plus que ces médecins veulent s’acharner pour
le soigner avec l’aide de ces neuroleptiques trop fortement -(excessivement)-
dosés par rapport à la plus juste / réelle dose minimale –(au point que ces
« médicaments » en deviennent de très méchants dosages :
inhumains / criminels, d’autant plus que ceux qui les prescrivent ne les ont
pas eux-mêmes testés sur eux-mêmes, donc les délivrent sur la foi d’articles
lus à leur sujet, en à peu près inconscients de ce que représente comme
souffrances les effets indésirables que les auteurs de ces médicaments ont noté
/ listé / annoncé -(comme avertissements dans les notices accompagnatrices)-
après les nombreux tests effectués avant la phase de commercialisation de
ces « médicaments », puisqu’ils sont effectivement à l’origine
de ces effets indésirab[i]lissimis…simissimes les plus insupportables, ce qui
devrait conduire les médecins les plus intelligents à renoncer à prescrire
cette « médication » avec ces chimies autant
empoisonnantes et cela – s’interdire d’y avoir recours - parce que le moment en
cause -(ce qui s’est produit qui n’avait pas encore
d’explications cohérentes, cartésiennes, objectives, satisfaisantes, logiques,
etc.)- n’est déjà plus -(et
cela depuis si longtemps ! – Même si ce n’est que dans la seconde suivante
que la normalité – dans son acceptation positive - a été retrouvée par celui
qu’on a - malheureusement pour lui -(et
c’est ici parfois l’erreur des médecins n’ayant pas en eux accès à la plus
véritable conscience)- fait devenir -(par abus de
confiance)- « patient » parce qu’on a voulu le considérer à tort ou à
raison comme malade en oubliant que s’il ne s’agit pas d’un éveillé par acquis
de conscience, une fois la conscience de ce « patient » revenue, il
sera un ou plusieurs univers dans tout ce qu’il entreprendra et/ou vivra, soit
quantité incalculable de choses et/ou virtualités positives dans l’Intérêt et
pour le Bien Général), voire ne se reproduira
jamais plus si le patient le promet. (Permettez-moi de vous rappeler ici que
chacun d’entre nous emploie –[parfois
au cours de ses relations avec les autres, voire autrui]- pour
demander un temps bref dont on a à ce moment-là besoin,
l’expression » une seconde ! «, voire » deux
secondes ! «. Tous savent alors que cela peut signifier très réellement une
seconde ou deux, mais aussi bien plus qu’une seconde -(cela peut aller au-delà
d’une minute, voire dans certains SPOK beaucoup plus, alors qu’au départ on
avait demandé » une seconde «, voire » deux secondes «, on
mesurera le temps que cette parenthèse demandée d’une seconde ou de deux
secondes va être en réalité et cela pour une quantité d’actions parfois
annoncée[s] étant de brève[s] durée[s], mais devant être impérativement – soit
en rapport avec la situation, soit concernant un tout autre sujet dont on n’est
pas forcément au courant. Celui envers lequel on a annoncé cette seconde ou ces
deux secondes de parenthèse – et la personne (qui
a eu recours à l’annonce de cette seconde ou des deux secondes, voire d’une
minute ou deux à faire attendre), reviendra
au sujet en cours en ayant accompli une tâche, voire en apportant de nouveaux
paramètres, par exemple pour mieux soigner la situation lui ayant rappelé, à un
moment donné, qu’il convenait d’interrompre le SPOK pour résoudre une autre
situation qui exigeait ce temps. On comprend alors que la situation dans
laquelle on joue un rôle est ouverte sur d’autres sujets, parfois
complémentaires, parfois tout autres et que de brefs moments où on est
contraint de s’abstraire, donc de quitter une situation donnée, sont possibles
au point de démontrer qu’une marge de liberté existe, ne serait-ce que pour
aller chercher un document, une preuve. On comprend alors que cette notion de
seconde -[de temps]- peut être féconde, se rapporte à un autre sujet, voire
quelque chose de complémentaire – et c’est en quelque sorte la même chose pour
une personne qu’on a cru folle, voire psychiquement dérangée : dans la
seconde qui suit ce qu’on lui reproche, elle n’est déjà plus ce qu’on a cru
pouvoir légitimement lui reprocher et ceux qui continuent à lui reprocher un
comportement inexpliqué en lui prescrivant des neuroleptiques aux effets
indésirables aussi graves, importants, à l’origine de souffrances parfois
insupportab[i]lissimis…simissimes n’avaient sûrement pas à prescrire ces substances
chimiques aussi/autant torturantes / martyrisantes,
insupportab[i]lissimis…simissimes. Il est donc juste qu’en raison de
prescriptions à ce point à l’origine de souffrances
insupportabilissimis…simissimes comme par exemple celles des acouphènes -(bruits
de bourdonnements dans la tête et les oreilles plus ou moins forts au point
qu’il y a ceux qui, si forts, sont autant insupportabilissimis…simissimes,
paroxismiquissimis…simissimes d’effets de douleurs qu’il n’y a plus du point de
vue du patient que l’issue par le suicide et, bien sûr, si on souhaite -(c’est
un devoir)- l’éviter au patient, il faut aussitôt cesser de leur prescrire
Risperdal 50 mg ou Xeplion 50 mg à l’origine de ces acouphènes et d’autres maux
insupportab[i]lissimis…simissimes que vous saurez dans cette lettre en leur
proposant dès qu’ils sont dans cette situation de douleurs dare-dare une cure
de sommeil -(tout du long du temps où il y aura encore les effets de la
dernière prise de l’un de ces deux médicaments)- pour que ce patient en se
réveillant au moins deux mois après -(dans le cas du Xeplion qu’on aura cessé
de prescrire)- cesse de souffrir autant)- ceux qui se sont acharnés à prescrire
ces médicaments neuroleptiques à l’origine de telles douleurs obtiendront –
c’est bien normal et logique, en un mot naturel - après leur mort, pour leur
âme, les plus tragiquissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes,
malheureusissimis…simissimes, tristissimis…simissimes réincarnations –(soit
celles qui concernent tous les usurpateurs / imposteurs / etc. en Médecine)-
car ils se sont comportés en sacrilèges vis-à-vis d’une personne -[trop]-
confiante qu’on n’avait évidemment pas le droit de torturer ainsi puisque
l’usage de la torture -(comme martyriser)- mais aussi la peine de mort ont enfin,
en toute cohérence avec ce qui en conscience est légitime, été interdites).
Aussi cela signifie ici que chacun d’entre nous avons un système pour compter /
vivre le temps qui passe, très personnel, original, propre à nous-mêmes,
cependant la seconde, voire les deux secondes durant lesquelles la roulette va
toucher la racine de la dent à extraire représente[nt] alors -(sans
anesthésie), à l’échelle universelle, un temps extrêmement long selon si on
appartient aux êtres sensibles ou pas -(aussi quand un médecin dit une seconde
à son patient, pour obtenir de lui sa confiance avant d’opérer -(par exemple
parce qu’il va chercher le produit anesthésique ou parce qu’il souhaite que son
patient se taise de manière à pouvoir opérer), cela signifie – on le comprend
au son/ton du médecin - entre une seconde de temps et un peu plus ou beaucoup
plus de temps). Cependant que même si on appartient aux insensibles, voire à
tous ceux qui veulent le faire croire, la seconde en question risque de faire
très très mal. Et c’est ici qu’il est inacceptable de ne pas arrêter une
médication qui fait autant souffrir des effets indésirables une personne -(un
patient), car ces effets indésirables durent des journées et des nuits entières
– soit ce qui n’est pas une seconde ou deux secondes -(ce qu’effectivement on
arrive, le plus souvent, à supporter)- mais bien soixante secondes multipliées
par soixante multipliées par vingt-quatre -[heures]- multipliées par une
trentaine de journées pour un mois et dans mon cas multiplié par deux ans, soit
vingt-quatre mois sans le correcteur Artane 5 mg qui, une fois trouvé par mes
soins, a rendu un peu plus vivables les impatiences qui étaient telles qu’il
n’y avait plus qu’une issue : le suicide et cela pareillement pour les
acouphènes en position couché pendant la nuit, au point de me contraindre
depuis 2017 quotidiennement au somnifère, avant que ces acouphènes de cette
intensité insupportab[i]lissimis…simissimes n’aient miraculeusement disparu).
Si le médecin doute de la parole du patient, il se
conduit déjà à ce stade en très véritable bourreau
-(on n’a pas le droit de
ne pas croire un patient qui vous dit qu’il souffre. Si on ne le croit pas, on
se comporte en sacrilège et on obtiendra l’une ou l’autre des réincarnations
les plus malheureuses, les plus tristes, les plus cauchemardesques, les plus
tragiques, et les plus etc. si on continue dans cette voie comme c’est la cas
pour tous les menteurs et/ou usurpateurs et/ou tricheurs et/ou imposteurs, etc.
après leur mort, cependant que le médecin pour pouvoir guérir une personne qui
souffre doit croire que le médicament qu’il propose va réduire la souffrance,
voire va faire disparaître la souffrance en cause. Aussi dans certains SPOK, on
peut croire que le médecin fasse bien de ne pas croire à la souffrance d’un
patient causée par des effets indésirables, en raison qu’il croit connaître un
autre remède pour soulager de cette souffrance. C’est donc ici une position
assez inconfortable du médecin vis-à-vis d’une personne souffrante car elle ne
sera pas juste tant que le remède auquel il pensait n’a pas eu les fruits
escomptés. Quand le patient a déterminé que les souffrances sont dues à l’un ou
l’autre des médicaments prescrits, le médecin doit comprendre qu’il n’a plus le
droit de continuer à le[s] lui prescrire ni le[s] remplacer par un médicament
de la même famille des neuroleptiques : il y a, en raison des symptômes,
allergie et ce sont bien eux qui sont la cause de la souffrance du patient.
Aussi il appartient au médecin de cesser sur le champ de prescrire la cause de
tant de maux / souffrances et cela d’autant plus que le patient appartient à
tous ceux qui sont de très véritables médecins parce que végétariens comme Ses
Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas
les Lordissimes Princes Léonard de Vinci : des éveillés par acquis de
conscience : des bouddhas! En effet, la métamorphose en éveillé par acquis
de conscience est/sera à l’origine d’un changement radical de l’être au point
de faire de lui un pur esprit, ce qui est, entre autres, une personne enfin
guérie de toutes les incohérences passées par le retour en lui d’une condition
cervicale d’immaculé, soit avec un vrai regard, une vraie pensée, etc.. Enfin, grâce à cette sécurité découverte en soi-même
comme un passage secret, on peut accéder au monde de la Vérité et de la
connaissance. Aussi tout ce que l’on va dire ou écrire ou réaliser n’a pas
d’autres fonctions que de permettre à tous ceux qui ne sont pas encore des
éveillés par acquis de conscience de le devenir à leur tour. Aussi prendre de
tels êtres pour des malades ou/et des fous -(et les
contraindre à prendre des médicaments)- est criminel contre l’humanité puisque
tout ce qu’ils accomplissent depuis le moment où ils ont eu enfin accès à leur
conscience est médical / sacré).
en
insistant pour la poursuite d’une médication chimique, à cause des effets
indésirables insupportabilissimis…simissimes que, bien entendu, ce
« médecin » devait s’interdire de créer chez le patient et cela
d’autant plus qu’à cause de ces effets indésirables le patient réclamerait
l’euthanasie -(en raison de la souffrance des effets indésirables de ces
neuroleptiques), voire recherche à se suicider. Ce sont bien ces neuroleptiques
qui sont la cause de ce changement chez le patient de son état normal à celui
d’un patient souffrant excessivement -(aussi il est normal / logique que le
médecin à l’origine de ces souffrances, parce qu’il ne baisse pas le dosage
comme le patient le conseille / demande, obtienne après sa mort en raison des
sacrilèges dont il a été l’auteur, l’une ou l’autre des plus
tragiquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes,
tristissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes et etc.
réincarnations : il n’a pas voulu croire son patient qui disait vrai
et ne l’a pas soulagé des maux que ce patient a enduré à cause des effets
indésirables des neuroleptiques : cela exigeait de mettre tout de suite un
terme au traitement, mais le « médecin » a continué de
prescrire la même sorte de médication en devenant ainsi à chacune des secondes
de celui qui en a souffert sacrilège -(s’il ne change pas de position à temps
en demandant sincèrement pardon à ce patient -(ou au Christ, voire à Dieu, donc
en se repentant). S’il ne se repent pas véritablement, il obtiendra donc une
des réincarnations qui concerne les sacrilèges et les bourreaux comme les gens
insensibles à la souffrance des autres, soit à cause de cette insensibilité
devenus -[comme]- inhumains, puisque le propre de l’être humain éveillé, soit
devenu bouddha par acquis de conscience, (par conséquent entre autres très
véritable médecin), est de pouvoir se mettre à la place d’autrui aux prises
avec une situation donnée -(plus ou moins difficile), par conséquent d’aisément
pouvoir compatir en s’interdisant, bien sûr, de jeter de l’huile sur le feu,
soit de prescrire la plupart des médicaments aux effets indésirables touchant
un pourcentage aussi important de SPOK ou alors dès qu’on a connaissance des
effets indésirables qui ont affecté le patient).
En fait le médecin, en continuant à prescrire un
médicament aux effets aussi douloureux s’est conduit en faux médecins, comme il
peut y avoir des faussaires dans d’autres spécialités / métiers / activités. Il
s’agit donc d’une erreur médicale : il a oublié que cette personne, le
patient, est différent[e] de tous les autres, donc qu’il s’agit toujours d’un
cas exceptionnel et cela par exemple s’il s’agit, comme pour moi, d’une de
celles, (de personnes)- qui ont eu finalement accès à la conscience -(soit à
l’éveil), soit ce qui confirme, sur un autre plan effectivement que normalement
chacun de nous devrait savoir se conduire, parce qu’il connaîtrait la raison
d’être de ces lois au point que la présomption -(au sens de présumer / »
donner comme probable «)- de la connaissance de la loi n’est pas, comme on
le pense, en réalité, une fiction, une fois qu’on appartient à tous ceux qui
ont accès à la conscience, ce qui devrait être une obligation -[morale], soit
d’Intérêt et pour le Bien Général avant de s’autoriser à se marier ou/et avoir
des enfants -(de manière à pouvoir prévenir / élever ces enfants s’ils étaient
momentanément devenus inconscients, par conséquent les conseiller le mieux –
ce qui est le devoir des parents -(responsables de leurs enfants jusqu’à leur
majorité)- de nos jours facilité avec/par
Internet où on peut trouver les raisons plus ou moins valables de l’existence
de chacune de ces lois). C’est cet acquis de conscience qui permet de
comprendre la plus ou moins justesse de toutes les lois les meilleures
concernant chacun des SPOK / cas particulier car théoriquement ces dernières -(les lois)- ne pourraient pas être conçues sans avoir été
considérées justes à un moment donné pour tous ceux qui ont accès à la
conscience, soit tout bien pesé, par conséquent en liaison avec chacun des
SPOK, cas particuliers -(soit ce qui est/sera à l’origine des amendements).
L’accès à cette sécurité -(qui existe dans chacun des
êtres humains)- intérieure de la conscience, une fois débarrassé de la partie
aliénée, ouvre sur la connaissance des mots et/ou des compétences -(ce
qui, comme je l’ai démontré de 1963 à 1967, de 1967 à 1977, et de 1977 à 2005
comme de 2005 à nos jours, est à l’origine de cet état d’éveillé, soit ce qui
est synonyme de bouddha, par conséquent pour les meilleurs raisonnements
d’Intérêt Général)- ce qui est/sera à
l’origine d’enrichissements collectifs -(de toute nature)- inestimables /
infinis.
La cause c’est en général une origine logique -(qu’on
peut approcher et comprendre de manière raisonnable, c’est-à-dire rationnelle,
cartésienne, objective, logique, donc vraie –[car cohérent, sans mensonge ni
irrationnel et subjectivité, ce qui comporte le défaut de se laisser aller à
l’arbitraire -(ce qu’il faut donc exclure car c’est, pour de
nombreux SPOK/cas particuliers, se comporter injustement), ces
trois derniers mots -(mensonge, irrationnel, subjectivité)- concernent hélas,
infiniment hélas, la plupart des laipis, soit tous ceux qui n’ont plus que trop
peu de conscience, voire pas assez en se conduisant en inconscients -(donc au
sens négatif de ce mot comme des trois précédents qui en ont du positif dans
d’autres SPOK/cas), par conséquent qui sont proches de leur future
réincarnation en l’un ou l’autre des animaux, (au sens négatif de ce mot qui en
a, on le sait, du positif dans d’autres SPOK/occasions, situations précises,
etc.)]).
Car ces 25 mg de Risperdal seront / ont été / sont,
sans le médicament correcteur adéquat,
hélas infiniment hélas pour le patient, (à cause des effets
indésirables), des souffrances
inadmissibles car épouvantables / atroces :
insupportabilissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes,
martyrisantissimis…simissimes et etc., comme elles -[le]- furent pour moi -
car, en réalité ce 25 mg de Risperdal c’est, pour l’être humain devenu un
éveillé-par-acquis-de-conscience -(donc quelqu’un
de -[devenu]- extrêmement sensible, puisqu’il a pu, par les peines qu’il s’est
données, se débarrasser des effets de l’inconscient -[en lui]- et parce que
nous avons, depuis 1977, enfin une idée précise / juste de la taille d’un être
humain dans le ciel -(ce que j’ai [dé]montré) – en effet, quand l’être
humain est debout, sa tête est dans le ciel parce que seuls le dessous de ses
pieds sont sur le sol – il y a donc une distance entre le dessous de nos pieds,
soit le plancher, et notre cerveau dans notre tête qui est effectivement dans
le ciel et nous avons vu que j’avais au moins trois kilomètres de hauteur
-(quand je suis apparu dans le ciel de Rome en 1977), voire, autrement-vu, ces
trois kilomètres sont en réalité dix kilomètres -(ayant minimisé en disant
trois kilomètres). C’est ici selon selon -(j’ai voulu cette répétition de
selon, elle est donc à lire et à comprendre), mais ce qui est tout à fait
certain ce sont ces au moins trois kilomètres où ma tête se trouvait dans le
ciel] !), une dose
immensissimis…simissime –(et cela je l’ai démontré en faisant comprendre à tous,
[en – je me répète pour le souligner - apparaissant dans le ciel de Rome –(en
mesurant alors au moins de trois à dix kilomètres de hauteur /
d’altitude)])- combien, en réalité,
certains êtres humains ayant eu accès à la conscience sont -[d’avance]-
immenses dans le Ciel –(aussi, pour ceux-ci, la réalité est différente, car
elle existe en proportion de leur taille et de l’étendue de leur conscience –[donc
toutes proportions gardées]- dans
leur cerveau -(dont la tête qui le contient mesure dans le ciel –[au-dessus
d’une époque antérieure]- entre trois cents à cinq cents mètres de
diamètre -[dans le ciel]!). Cette échelle concerne alors tous les objets
qui entourent ces personnes plus conscientes, par conséquent cela est valable
pour la seringue -(N.
B. : suite après le paragraphe suivant).
-(qui, si, à première-vue, [elle]- mesure une dizaine
de centimètres, pour ces personnes plus conscientes que les autres –(peut-être
parce qu’elles ont plus étudié que les autres ou/et se sont mises à réfléchir),
[elle]– mesure en fait -(dans le ciel
situé au-dessus d’une époque antérieure comme ce fut le cas pour moi)- grosso
modo, quinze mètres de long et le Risperdal 25 mg à
l’intérieur de cette seringue au moins une dizaine de mètres -[que vous vouliez
le croire ou pas c’est la vérité] – car les distances comme les mesures des /
et les formes, (donc la taille des objets)- sont relatives à l’état de
conscience de chacun –(c’est pourquoi on parle de degré[s] de vérité et on
comprend donc plus facilement l’idée / la nécessité de maquette[s] à partir de
plans d’architecture -(les distances, le placement des murs / cloisons, des
meubles, des radiateurs, du matériel de salle de bain ou des waters, etc. sont
ainsi réduits en deux dimensions sur les plans qui servent à réaliser une
maquette pour permettre la vision en trois dimensions -(3D), donc de mieux
comprendre. C’est alors que tous ceux qui ne parvenaient pas à comprendre les
plans les comprennent mieux grâce à la maquette qui toutes proportions gardées
donne une idée précise de ce qui sera construit en nous contraignant à faire
l’effort de changer d’échelle en nous réduisant au point de croire que nous
sommes déjà au moment où cette maquette est devenue réalité –(aussi un
architecte, mais aussi un géographe ou quelqu’un qui a appris à lire des
cartes, comprend bien cette notion de relatif lié à la notion de mesure[s]. Ce
qu’elles représentent à travers ces plans ou/et cette maquette ou/et cette
carte est liée à une échelle qui est la plupart du temps inscrite / annoncée /
chiffrée pour qu’on se fasse une idée de ce relatif auquel on assiste et/ou
qu’on nous annonce. Ce sera donc à cette échelle que travaille un architecte –(soit, en général, une personne consciente)- pour
représenter une réalité qui est parfois des centaines de fois plus
grande ! Aussi la taille -(la mesure)- des objets dans la réalité – ceux
qui nous entourent - c’est belle et bien une vérité relative en rapport à la
notion d’échelle -(selon qu’on accède ou pas à la conscience, les mesures de
ces objets changent – soit selon l’échelle qu’on choisit qu’ils aient)- et cela
sera le SPOK / cas pour tous les êtres ayant eu accès à la conscience et
l’inverse, soit de plus en plus petits, pour tous ceux qui ont perdu leur
conscience au point que ces réflexions sur les distances et/ou mesures n’aient
aucun intérêt pour eux ne s’intéressant pas au relatif –(qui permet de
relativiser). Autrement dit tous ceux qui appartiennent au gens les plus
conscients –(ce qui peut advenir quand on a souffert ou
parce qu’on a étudié les sciences exactes)- savent
qu’un tracé de quelques centimètres peut signifier un mur ou une cloison de
plusieurs dizaines de mètres, voire plus ou moins si on change d’échelle –(c’est
donc le choix de l’échelle qui est fondamental), tandis
que tous ceux qui ont perdu leur conscience, par conséquent qui agissent en
inconscients, voire en laipis, n’en ont rien à faire puisqu’ils croient que
cela ne les concerne pas ou alors rarement -(ils
savent que s’ils sont confrontés à un problème de mesure[s], ils trouveront
bien une personne qui a étudié pour les rassurer ou/et leur expliquer ce qu’il
convient de comprendre, voire qu’ils ne comprennent pas), cependant
qu’ils savent que celui qui a dessiné les plans mais aussi le chef du chantier
sait reporter dans la réalité ces distances représentées en petit sur le plan,
la maquette ou/et la carte géologique ou/et géographique, pour donner les
consignes. Effectivement un lavabo qui sur le plan mesure de deux à trois
centimètres fait au moins cinquante à soixante-quinze centimètres de diamètre.
Il en va de même pour les êtres humains représentés dans la maquette ou/et sur
les plans : ils mesurent, par exemple cinq à six centimètres de haut alors
que dans la réalité ils mesurent un mètre soixante-quinze -(aussi
cela signifie qu’ils regardent la maquette en étant eux-mêmes des personnes
mesurant ces cinq à six centimètres. C’est alors qu’ils comprennent un peu
mieux la notion de relatif comme quand on scanne des lieux et que cela devient
des séquences vidéo au point d’avoir l’impression en regardant la télévision
qu’on est bien entrain de découvrir un lieu de[puis] l’intérieur – par exemple
des passages secrets construits autrefois par les napolitains dans leur ville
ou alors des reconstitutions de temples anciens en Égypte réalisées en 3D).
D’où le relatif lié à notre système de mesure, sauf qu’on ne savait pas,
jusqu’à 1977 qu’une personne d’environ un mètre-soixante-quinze centimètres
comme moi, une fois qu’elle est devenue un éveillé par acquis de conscience en
2005, mesure d’avance dans la réalité du ciel où elle est apparue, au moins
trois kilomètres de haut, alors que celle-ci –
toujours moi - dans cette autre époque où elle est apparue dans le ciel, soit
celle de l’époque précédente située vingt-sept années auparavant, mesure
toujours un mètre soixante-quinze. Aussi ce un mètre-soixante-quinze est,
dans le ciel de l’époque antérieure, égal
à au moins trois kilomètres de haut, ce qui signifie que la personne qui vit -
comme ce fut mon cas – dans le studio au cinquième étage au 12 bis dans la rue
du Val de Grâce à Paris -(Cinquième arrondissement,) sachant qu’elle est vue
dans le ciel de Rome situé dans cette époque de vingt-sept ans auparavant, en
1977 synchrone avec Paris 2005, comprend que tout ce qui l’entoure est en
réalité démesuré, soit beaucoup plus grand qu’elle ne le pensait / -(que
je ne le pensais): les deux mètres vingt centimètres -(2 m. 20)- ou quarante
centimètres -(2 m. 40 cm.)- du plafond de ce studio sont,
toutes proportions gardées avec la découverte que je fis, à environ
cinq kilomètres -(dans le ciel de
l’époque de 1977 et des années suivantes), si
ce n’est pas à treize kilomètres dans le ciel de Rome de l’époque antérieure
des années 1977 et années suivantes synchrones avec celles de 2005 et années
suivantes. Ce qui signifie que chacun des objets et/ ou meubles, mais aussi
parois ou cloisons sont beaucoup plus loin qu’on s’est habitué à le penser à
cause du système métrique qu’on a l’habitude d’utiliser. En réalité ces points
sont distants comme ils l’étaient quand nous étions petits quand nous ne
savions pas encore marcher, les nounours ou/et les points à atteindre nous
paraissaient très lointains. C’est en prenant l’habitude de marcher que nous
avons pu rapprocher les choses qui nous entouraient -(et qui étaient sinon
impossibles à atteindre)- et cela de plus en plus proches plus nous allions
vite en nous déplaçant à pied dans le lieu que nous habitions petits et si nous
utilisions la trottinette, encore plus proches à tel point que nous avons
considéré que le système métrique était juste, voire facile à comprendre :
un mètre c’était -(pour nombreux à le penser)- une petite distance -(aussi les
distances dépendent plus ou moins de l’état de conscience de celui qui les
apprécie). Nous ne pouvions pas encore savoir qu’il pourrait être égal à deux
kilomètres, sauf pour tous ceux qui ont fait des mathématiques ou qui sont
devenus géographes, ou/et architectes ou/et géologues, etc. qui ont pris
l’habitude de changer facilement d’échelle -(soit
autrement vu de base, [au sens de la base 2 qui est égale à un et zéro, la base
trois, idem, la base quatre idem : toujours un et zéro pour le chiffre 4
en base 4 et idem pour les bases suivantes])- ce
qui concerne parfois les physiciens, les mécaniciens et les chimistes, mais
aussi les très véritables Artistes qui réduisent des paysages plus ou moins
immenses ou/et des corps toutes proportions gardées dans des toiles de plus ou
moins grandes dimensions, voire sont capables à partir d’un décor en maquette
de le reporter dans la réalité, par exemple sur une scène de théâtre ou/et en
studio dans des dimensions beaucoup plus importantes. Ceux-ci comprennent bien
qu’une petite distance comme par exemple de vingt-cinq à trente centimètres
peut être égale à trois cents à cinq cents mètres, parce qu’ils ont compris la
notion de » comme «, comme les marionnettistes siciliens qui en
bougeant des marionnettes hautes d’à peu près un mètre, en réalité représentent
des personnes ayant de un mètre soixante-quinze à deux mètres, voire moins ou
plus que cela si ces marionnettes étaient dans la réalité des êtres humains)-
et le contenu de la seringue de Risperdal 25 mg –
(pour mieux comprendre cette réalité / idée -[dans
laquelle je vis et dans laquelle probablement de nombreuses autres personnes
vivent], donc pour un peu
l’illustrer, il convient d’avoir en tête un des Laurel & Hardy qui,
dans une des séquences du film en question, se déroule dans une salle-de-bain
ou/et une douche dont tous les éléments qui la composent, (lavabo, baignoire,
bidet, douche, petits meubles spéciaux pour salle-de-bain, etc. verre-à-dent,
brosse-à-dents, …)- sont soudainement devenus immenses, ce qui a pour effet de
rapetisser nos deux Artistes / Acteurs en beaucoup moins grands que des nains,
à cause de ce soudain et inexplicable changement des dimensions du décor devenu
si disproportionné, au point de créer à nos deux protagonistes de nombreux
nouveaux problèmes dans cette situation dangereuse où, effectivement, la
réalité est autant que cela devenue à géométrie variable / changeante. C’est
avec ce film –[dont nous aurons à retrouver le titre]-
une illustration de la notion de relatif en mesure au point qu’on puisse
comprendre les films dans lesquels on met une sorte de sous-marin habité par
une équipe de chirurgiens dans le corps d’une personne qu’il faut sauver d’une
maladie précise. Pour obtenir cela on réduit ce sous-marin et ses occupants et
on injecte cette machine dans une veine et cela permet avec cette
science-fiction de voyager dans le corps d’une personne à l’échelle
microscopique, par conséquent de prendre connaissance des principaux organes).
Aussi le contenu d’une seringue de 25 mg de Risperdal,
c’est, pour tous ceux qui sont ainsi conscients d’exister
de manière céleste, par conséquent qui ont accès à la conscience et aux
raisonnements les plus cohérents et/ou logiques, immensément
plus que ce qui, à première[s]-vue[s], paraît. Ces milligrammes sont en réalité -(et en vérité pour ces personnes qu’on sait très sensibles
comme peuvent l’être certains princes et princesses de conte[s] de fées)- comme
de véritables kilogrammes -[de poisons chimiques]- (N.
B. suite après le paragraphe / la parenthèse suivant[e])
(car le poids de la personne devenue consciente est,
[même s’il parait être à première vue celui de monsieur-tout-le-monde], un
poids beaucoup plus important qu’il ne parait, car ce poids est à –[comprendre
à]- l’aune -[en proportion]- des trois à dix kilomètres qu’il/elle -(c’est-à-dire
moi en l’occurrence aux moments de mes apparitions dans le ciel, à partir de
1977 sur Rome [alors que dans les faits cela s’est produit à Paris à partir de
2005], constitué de nuages)- mesure -(dans
le ciel, bien qu’à première-vue en 2005 mesurant un mètre soixante-quinze.
Aussi on comprend pourquoi ces neuroleptiques sont
insupportabilissimis…simissimes, car le dosage de 25 mg qui, paraît-il, serait
un des plus faible, est en réalité –[à l’aune de ces
dimensions que j’ai –(qui transforment dans la réalité les distances, les poids
et les mesures vécues dans un monde macroscopique, par conséquent à l’origine
d’une différente façon de voir / vivre la réalité)]- immensissimis…simissime,
par conséquent évidemment insupportab[i]lissimis…simissime,
douloureusissimis…simissime, etc.), soit cette difficulté à endurer de manière
continuelle / permanente)-
dans
cette réalité céleste, ce qui alors explique pourquoi il y a autant d’effets
indésirables à ce point insupportabilissimis…simissimes, martyrisant[s],
cauchemardesquissimis…simissimes, ce qui peut avoir des conséquences
tragiquissimis…simissimes.
Les effets
indésirables que -[le]- Risperdal 25 mg donne, produisent
des cascades de micros accidents vasculaires cérébraux
-(M. A. V. C.). Or, en réalité, ces micros accidents
vasculaires cérébraux ne sont qu’à première-vues inexistants car, pour
l’instant, à ce qu’il parait, si infimes qu’ils sont indétectables par I. R. M. , parce qu’on n’a pas encore tenu compte des nouvelles
mesures conformes à ma découverte –
(N. B. : suite
après la parenthèse suivante)
-(prouvée à partir de 1977 -[d’avance synchrone en ce
qui me concerne avec 2005 et 1967]- aux yeux de tout Rome –[de mes camarades
les élèves du Lycée Châteaubriand de Rome, mes parents et Monsieur François
Mitterrand -(ayant fait le déplacement tout spécialement
pour me voir dans le ciel de Rome, car en 1977 j’avais annoncé dans le ciel –
donc à partir de 2005 synchrone avec cette époque de 1977 qu’il serait élu
président à partir de 1981) comme
aux yeux des touristes à Rome comme à ceux des habitants du Vatican] –
des
plus réelles dimensions des êtres humains devenus conscients -(cela aurait
impliqué de chercher ces MAVC –[micro accidents vasculaires cérébraux]-
sur des agrandissements des images obtenues par résonance magnétique ou/et par
d’autres biais. Ces micro accidents vasculaires cérébraux
-(bien qu’à premières-vues infimes, voire inexistants car indétectables)- ont
cependant une taille -(en faisant la
mise-à-jour à partir de ce qu’on a découvert en raison de mes apparitions dans
le ciel de Rome à partir de 1977), soit
des dimensions, beaucoup plus importantes qu’on ne pouvait le croire –[avant
mon apparition visuelle et sonore dans le ciel de Rome 1977 à la taille / mesure
que j’avais alors -(au bas mot trois mille mètres de haut, voire dix mille
autrement vu), ce qui a modifié la donne], abusés
que nous sommes plus ou moins tous par notre système de mesure traditionnel
déjà ancien -(auquel, dans certains SPOK, nous avons raison d’être fidèles car
il s’agit de la vérité relative d’une échelle facilement compréhensible car
élémentaire -(le système décimal)- qui, en tant que variable relative, est
juste / cohérente à utiliser comme on en a depuis longtemps l’habitude, cependant
qu’en omettant de penser qu’il s’agit d’une vérité relative au système métrique
et en omettant de proposer un système qui serait mis-à-jour à partir de ce
qu’on a appris avec / sur moi -(dont la dimension / la taille dans le ciel
était au moins de trois kilomètres, [alors que je mesure dans la réalité
environ un mètre soixante-quinze]- nous ne disposons pas encore, que je sache à
cette heure-ci du huit Janvier 2021, d’un système de mesure qui tienne compte
de la dimension chirurgicale, soit macroscopique de la réalité et encore moins
qui tienne compte de ce que un mètre soixante-quinze = au moins trois kilomètres,
si ce n’est dix kilomètres, ce qui est peut-être -(voire sûrement)- le cas –
aussi pour couper la poire en deux disons 6,5 kilomètres !), donc
en tenant compte de ce qui s’est passé dans le ciel de Rome à partir du début
de l’année 1977 quand j’y suis apparu dans le ciel immensissime dans ce que
j’appelle donc les dimensions célestes. Nous ne sommes, avec le système
métrique, que dans un exact relatif qui est en réalité à géométrie variable
-(en raison de la notion d’échelle), voire avec ce système métrique loin du
plus hyperissimis…simissime exact à l’échelle des dimensions du neutrino -(qui
serait ce qu’il y a de plus petit), ou alors du photon -(ou
de la particule la plus petite sur Terre qui est peut-être à trouver dans la
fumée, voire plus facilement dans l’air)- qui
ont donc une dimension très précise dans cette nouvelle échelle s’appuyant sur
ma découverte qu’un mètre soixante-quinze égal -(dans le ciel)- de cinq à 6, 5
kilomètres, voire seulement trois kilomètre ou alors dix, soit loin de la
vérité de ce qu’endurent comme existence les gens les plus consciencieux. Car
tant qu’on restera dans cette approche de la vérité relative de notre système
métrique décimal ou/et » système international d’unité « nous
sommes tous, en réalité, dans une sorte de compromis concernant les mesures,
soit une approche de la réalité qui peut constituer une forme d’approximation
pour approcher la Vérité de la réalité des gens les plus conscients, ce qui est
en général le cas de tous ceux qui pratiquent la micro-chirurgie, voire les
Arts et les Sciences de l’Art du point de vue des miniaturistes et/ou
enlumineurs des textes sacrés anciens qui déjà avaient conscience de la notion
-(à géométrie variable)- de point / (punctum) au point qu’une étoile
lointaine dont nous avons une petite idée grâce à notre
système solaire, est probablement aussi un
autre système solaire et pas seulement un point, soit, en réalité, probablement
beaucoup de choses à découvrir quand nous parviendrons à rejoindre l’un de ces
points qui en s’approchant d’un de nos vaisseaux nous réserve probablement des
surprises comme quand les astronautes ont rejoint la Lune -(bien
que celle-ci ne soit pas ce qu’on appelle un point, vue de la Terre comme la
Terre l’est depuis Mars), voire sont rentrés sur
Terre. De nos jours grâce à la télévision et aux images scientifiques, on a
tous compris que l’infiniment petit peut être mis en relation avec l’infiniment
grand. Ces nuances dépendent donc de la distance : ce n’est qu’à partir
d’une certaine distance que l’un des soleils qui composent notre galaxie, voire
l’une des galaxies ne sont que des points lumineux dans un ciel sans Lune et
sans la réverbération des lumières de nos villes -(donc
un ciel nocturne à la campagne, à la mer ou à la montagne).
Depuis mon apparition dans le ciel de Rome en 1977
mesurant -(alors que je mesure en réalité un mètre soixante-quinze)- au moins
trois kilomètres de haut, une de nos réalités concernant le système des mesures
est donc à comprendre / percevoir en tenant compte de cette découverte
fondamentale / très importante -(pour la
suite)- concernant les êtres humains les plus conscients – ce
qui explique[rait] la raison d’être des gigantesques statues du bouddha, au
point que la tête d’un bouddha, soit la mienne d’éveillé par acquis de
conscience, mesure dans le ciel –(soit là où elle
est, en fait, continuellement -[sauf quand je suis allongé pour dormir ou me
reposer]- vue effectivement dans le ciel depuis des époques antérieures)- autant
que nous l’avons dit -(environ deux cent cinquante mètres de diamètre -[largeur
dans le ciel]- sur le double en hauteur – soit la/en longueur), ce qui est
diamétralement à l’opposé des lilliputiens, soit des hommes et des femmes
dessinés dans la bande-dessinée des Petits-Hommes par
l’admirab[i]lissimis…simissime S. A. I. S. S. S. L. P. Pierre Seron. Tout cela
nous ayant permis de mieux comprendre qu’il y a des niveaux de conscience
différents, par conséquent une variété de point-de-vue[s] qui vont de celui
des Petits-hommes à ceux des grand.e.s-hommes/femmes et que,
forcément, la vérité objective, voire multi-dimensionnelle existe sur tous les
points, au point de pouvoir penser que l’Univers dans lequel nous sommes est
pluriel, cependant qu’il se pourrait qu’il[s] -(ces univers)- ne représente[nt]
qu’un point depuis un autre univers, voire -[depuis]- d’autres univers -(ce que
sont aussi, vus autrement, chacun des êtres humains comme potentialité avant de
choisir l’une ou l’autre catégorie à laquelle s’affilier de temps en temps, ce
qui signifie qu’ils sont continuellement à changer, se modifier, voire en
métamorphose, comme les plus véritables acteurs capables d’explorer d’une façon
plus professionnelle ces univers très distincts / différents). Aussi ce qui
nous intéressera, c’est de rechercher les moyens pour rejoindre des points
précis sur ces points -(ces univers constitués de
galaxies)- car il nous est permis de croire,
grâce à des séries aussi exceptionnelles que celles de Star Trek, que
nous pourrons coloniser d’autres systèmes solaires comme dans les meilleurs
films de science-fiction. Mais comment y parvenir sans comprendre que pour
certains d’entre nous, 25 mg de Risperdal, c’est, en exagérant un peu, aussi
grand que Notre-Dame qu’on injecte dans une personne qui sait de façon
continuelle -(il a cela précisément à l’esprit)- qu’un atome, à l’aune de ce
rapport entre 1 m 75 et trois kilomètres, possède une taille égale à x mètres
-(ici il conviendra de calculer la valeur de ce[t] x à partir des
correspondances entre 1 mètre 75 et trois kilomètres –[pour cela j’ai divisé 3
000 mètres par 1 mètre 75 et j’ai obtenu pour x environ la valeur de 1 714 fois
plus], voire avec 6,5 km de hauteur et non plus trois kilomètres –[ici le
rapport est d’environ 3714 fois plus, la valeur de x]- ou alors si dix
kilomètres de hauteur –[environ 5 714 fois plus, (la valeur de cet x est donc
différente en fonction de chacune de ces distances / hauteurs que j’ai démontrées
avoir dans le ciel, soit le futur depuis les années 1977 et suivantes alors que
sur terre, en 1977 j’approchai, à quatorze ans, de ma taille d’adulte de 1 m
75, ce qui serait quelques années plus tard)]. Aussi on comprend qu’on n’a pas
le droit d’administrer des neuroleptiques à des dosages, en réalité, aussi
exorbitantissimis…simissimes et on comprend aussi pourquoi,
(ayant découvert que certains psychiatres s’autorisent à donner des dosages
plus importants encore), ces derniers obtiendront,
en raison des atrocissimis…simissimes souffrances ainsi causées à leurs
patients, (en raison des effets indésirables de ces neuroleptiques), des
réincarnations dans l’un ou l’autre des animaux les moins intelligents qui
soient parce qu’ils se seront autorisés, en très véritables bourreaux -(alors
que la torture et la peine de mort ont été abolies au moins pour commencer dans
l’Espace Européen en même temps que chacun d’entre nous considéré comme à
première vue innocent, comme depuis longtemps dans le Droit Britannique), à « soigner »
en torturant de façon insupportab[i]lissimis…simissime, sans comprendre qu’ils
n’avaient pas le droit d’administrer à cause de ces
douloureusissimis…simissimes souffrances, plus qu’un milligramme de Risperdal
ou de Xeplion -(voire, au pire, cinq mg -[au grand maximum]- tous les quinze
jours pour le Risperdal et 5 mg tous les mois pour le Xeplion), ce qui, hélas,
infiniment hélas, fait déjà -(avec un mg)- de grands effets dans une personne /
un patient ayant accédé à la conscience, soit à la Vérité dans l’Intérêt
Général et pour le Bien Général -(n’oublions pas qu’à l’aune des plus
véritables mesures qui concernent l’être humain dans le ciel, soit celle que
j’ai démontrée avoir, un milligramme d’une substance chimique de neuroleptique
est beaucoup plus important qu’elle ne paraît -(mais on comprend mieux en
raison des mini-clés USB et du nombre considérable de Giga-octet elles
enregistrent. Ces capacités de pixels, soit d’octets est si importante qu’on
comprend aisément tout ce qui pourrait contenir les dimensions des produits
neuroleptiques comme quantité énorme d’électrons. Aussi cela permet de
comprendre le monde macroscopique des quantités et de savoir qu’une goutte
d’eau c’est, dans le monde de ceux qui sont au ciel, vraiment très très grand à
tel point qu’on comprend pourquoi en archiver les formes qu’elles se mettent à
représenter autour et sur l’évier de la cuisine. Inoculer ces produits des
neuroleptiques en sachant qu’ils sont, sans Artane 5 mg, à l’origine de
souffrances incommensurab[i]lissimis…simissimes, douloureusissimis…simissimes,
cauchemardesquissimis…simissimes, insupportab[i]lissimis…simissimes et etc.,
c’est comprendre pourquoi ceux qui se seront autorisés à cela, les psychiatres
qui ont cru en inconscients cela possible, obtiendront pour leur respectives
âmes des réincarnations les plus laides et méchantes, cauchemardesques, celles
des animaux les moins intelligents alors qu’ils ont eu, en s’incarnant en être
humain, la chance de s’en être affranchi en ayant obtenu avant la réincarnation
en être humain, toutes celles en animaux pacifique
et inoffensifs (les A. P. I.), souvent celles des herbivores quadrupède
-(les A.P.I.H.Q.)- les étapes obligatoires avant, une fois mort, d’obtenir le
feu vert pour la réincarnation en être humain, ce qu’ils étaient censé demeurer
-(pacifiques, inoffensifs et végétariens)- au lieu de devenir des carnivores
bourreaux en croyant pouvoir autant faire souffrir leurs congénères / patients -(en
abusant de leur confiance, fondé qu’on a cru être à prescrire ces médicaments
par des renseignements au sujet de ces médecines qu’on n’a pas eu l’honnêteté
de vérifier soi-même avant de les prescrire. Donc soi-même plus ou moins abusé
par ceux qui ont conçu le produit), voire
en n’ayant jamais compris que quand on prescrit un milligramme de Risperdal ou
de Xeplion on a le devoir d’aussitôt proposer dans les délais si possible les
plus rapides un sevrage dégressif de manière à envisager dès que possible que
le patient ne devienne jamais un addict, soit ne soit contraint
pour toujours à ces doses qui, en réalité, sont déjà très importantes -(beaucoup
plus qu’on ne pourrait à première vue le croire)- à ce
milligramme -(tous les plus véritables peintres
miniaturistes vous le confirmeront eux qui, par acquis de conscience, savent ce
que font des atomes de couleur[s] dilués dans une goutte d’eau. il faut
comprendre que le Risperdal et/ou le Xeplion, mais aussi l’Aldol sont de
véritables poisons qui peu à peu se répandent dans le corps et provoquent sans
Artane 5 mg des effets indésirables insupportab[i]lissimis…simisisimes dès la
dose de 25 mg : des douleurs atroces et permanentes dans les pieds, des
quintes de toux horribles à supporter qui débouchent sur des vomissements, des
impatiences qui sont de constantes tortures, les acouphènes qui font
horriblement souffrir à chacune des fractions de secondes quand ils ne sont pas
des plus faibles déjà insupportables ou qu’ils disparaissent miraculeusement
une fois en position debout cependant qu’ils font cauchemardesquement mal une
fois couché au point qu’il soit nécessaire de prendre un somnifère toutes les
nuits, et puis les autres maux que vous découvrirez en détail à la fin de cette
missive non pas dans les notes de bas de page comme ici, mais à la fin de cette
lettre où je reproduis la notice d’accompagnement du Xeplion en surlignant en
jaune phosphorescent tous les effets secondaires dont je suis, depuis 2017,
victime ou j’ai été victime à cause de certains d’entre eux qui ont disparu
ou/et se sont estompés).
Aussi chacun de ces psychiatres courent un très
important danger tant qu’ils n’intègreront pas qu’un mètre soixante-quinze -(en
réalité pour être plus précis entre un mètre soixante-quinze et un mètre et
demi -[à quatorze ans]), voire deux mètres
-(approximativement la taille du Général de Gaulle)-, donc la hauteur d’un être
humain est égale à au moins trois kilomètres dans le ciel -(voire
autrement vu 6 500 mètres, voire autrement vu 10 000 mètres). Je
n’ai pas réussi à savoir si, en 1977, dans le ciel je mesurais 3000 ou
10 000 mètres et c’est pourquoi j’ai décidé de faire comme si j’avais –
quand cela s’est produit dans le ciel de Rome à partir de 1977 - mesuré
6 500 mètres : j’ai finalement coupé la poire en deux. Par conséquent
qu’on peut déterminer les dimensions d’une seringue de 25 mg de Risperdal ou de
25 mg de Xeplion dans le ciel et qu’elle est, en réalité, égale à … -(en
admettant que la dose de Risperdal ou de Xeplion 50 mg se trouve dans une
préparation-seringue -(ce qui est le cas)- de 5,5 cm de long, soit 0,055 mètres
sur un centimètre de large, soit 0,01 mètre, nous pouvons trouver
mathématiquement les dimensions de cette seringue dans le ciel avec sa
« préparation » de Risperdal ou de Xeplion. Le produit mesure dans le
ciel où nous mesurons 3 000 mètres, voire 6 500 mètres, voire autrement vu
10 000 mètres de haut, 94,27 mètres si trois mille mètres de haut, 204, 27
mètres si 6500 mètres de haut et 314,27 mètres si dix mille mètres de haut, et
17,14 mètres de large si trois mille mètres de hauteur, 37,14 mètres de large
si six mille cinq cent mètres de hauteur et 57,14 mètres de large si dix mille
mètres de hauteur, en toute logique -(d’où sans exagérer l’idée que cette
injection est grande comme le contenu d’un temple ou le contenu d’une
église !).
C’est pareil pour le poids d’une personne
consciente : il n’est pas seulement de quatre-vingt-cinq kilogrammes -(quand
il a au moins dix kg de trop à perdre comme moi ces temps-ci des années 2010 à
2020 où je vais m’ingénier à les perdre, voire en perdre plus encore à partir
de 2021 pour pouvoir recommencer à jouer au Tennis)- mais,
à l’aune de ce un mètre soixante-quinze qui est égal à, nous l’avons dit –
en coupant la poire en deux, six kilomètres cinq cents mètres de
hauteur, en nous donnant alors un ordre d’idée de ce poids dans le ciel en
quintaux, voire en tonnes, ils se conduiront -(ces psychiatres) – comme tous
ceux qui ont mis au point ces poisons » pharmacologiques « en
véritables imposteurs, usurpateurs dans la plus véritable des Médecines, car
ils n’ont pas pris en compte ce paramètre très important qui nous a tous
concernés à partir de 1977 quand je suis apparu avec cette taille-là d’au moins
trois kilomètres à 10 km de hauteur -(donc 6,5 km)- dans le ciel de Rome 1977,
alors que nous avons pu vérifier, à partir de 2005, j’avais en réalité à
première-vue(s) mon mètre soixante-quinze cm dans le studio du 12 bis de la rue
du Val de Grâce à Paris, en découvrant alors plus exactement cette notion du
relatif concernant les poids et les mesures multidimensionnelles des êtres
humains ayant eu accès à la conscience -(soit à la bouddhéité), ce qui nous fut
confirmé en 2015 quand je me suis vu -(et filmé par mes soins en vidéo – il
existe donc les preuves)- une fois encore d’avance dans le ciel de Paris à une
trentaine d’années-lumière de nous en 2015, donc dans le futur en 2045, encore
une fois immense dans le ciel, mesurant probablement une dizaine de kilomètres
de haut, soit nous avons dit que nous dirons seulement 6,5 kilomètres -(comme
nous avons arrêté cette mesure plus haut en faisant un compromis entre trois
kilomètres et dix kilomètres), ce qui avait été le SPOK/cas en 1977 à Rome
alors que j’intervenais d’avance depuis les années 2005 et suivantes. Par
soucis de clarté nous avons donné les mesures de cette seringue en partant du
principe que la mesure de ce que je représente dans le ciel est 6 500
mètres -(et non pas seulement, comme plus haut, 3 000 mètres ou dix mille
mètres, soit dix kilomètres). Aussi 0, 055 mètre -(la
dimension en longueur de la seringue -[sans
l’aiguille ni ce qui permet de pousser à l’intérieur de la seringue la mixture
pharmacologique – donc sans ce poussoir]- de
Xeplion 50 mg en 2020)- multiplié par 3 714 -(la
valeur du rapport qu’un mètre soixante-quinze cm a quand ce mètre soixante-quinze
correspond à 6 500 mètres dans le ciel, soit 3714 fois la hauteur de ce
mètre soixante-quinze)- est égal à 204,27 mètres
sur 37,14 mètres de large, soit l’épaisseur à première-vue à notre époque de un
centimètre vu depuis les années 1977 et suivantes dans le ciel !).
Ces M. A.V. C. -(micro accidents vasculaires cérébraux)-
sont aussi à l’origine des acouphènes -(même
si un IRM ne les détecte pas et cela se produit dans la zone du cerveau liée
aux fonctions de l’ouïe). En effet, de même qu’il y
a des lancements de pointes piquantes douloureuses à l’intérieur des pieds,
(avec ceux-ci qui font à partir des premiers lancements continuellement
souffrir), il y en a parfois
ailleurs : dans les jambes, dans le genou, dans l’estomac ou le tronc, au
niveau des bronches -(ce qui produit les quintes de
toux), mais aussi dans l’estomac ces lancements -(heureusement
assez rares. Mais quand ils se produisent cela est martyrisant,
douloureusissimis…simissime, au point d’être
insupportab[i]lissimis…simissime)- et
cela on en comprendra aisément la cause en raison de l’appareil circulatoire
sanguin qui, bien sûr, irrigue aussi ce produit du Risperdal ou du Xeplion dans
le cerveau -(en comprenant que la taille de celui-ci est en
réalité beaucoup plus importante qu’on ne le croyait, les neurones et les
synapses étant aussi beaucoup plus grands qu’on ne le croit), et
dans lequel se produisent ces M.A.V.C. qui, peut-être, se réparent d’eux-mêmes,
cependant qu’il y a aussi tous les autres effets indésirables que j’ai, comme
sus-dit, surlignés vers la fin de cette missive, dans la copie de la notice du
Xeplion que j’ai collée à la fin de ce texte pour vous faire comprendre que
nous devons arrêter dès que possible ce traitement infiniment martyrisant, à
cause de ces maux aux pieds, mais aussi, sans parler en détails des allergies
dermatologiques, des continuelles impatiences et des quintes de toux -(dont
le Xeplion est à l’origine comme c’était le SPOK/cas avec Risperdal 25 mg
jusqu’à la demi-dose de Risperdal toutes les cinq semaines où
ces effets indésirables se calmèrent un peu : se firent moins
sentir) - comme des problèmes
dermatologiques concernant mon cuir chevelu mais aussi ma figure : aux
coins de ma bouche, sur le nez et sur ma paupière gauche comme au-dessus des
sourcils gauche, soit cette espèce de dermite séborrhéique -(dont je suis
victime)- diagnostiquée par la dermato. Et ces effets indésirables sont donc en
réalité à ce -(à-premièrevue[s])- -(selon
vous, voire quelques-uns de vos collègues n’étant pas suffisemment dans la
conscience et la connaissance du Temps autant que le sont tous les éveillés /
bouddhas par acquis de conscience)- « faible »
dosage, en très grands nombre douloureusissimis…simissimes,
martyrisantissimis…simissimes donc insupportabilissimis…simissimes et etc. sans
le médicament correcteur Artane 5 mg trois fois par jour. Avec cet Artane, pour
ces 50 mg, quand ils se manifestent, ils sont douloureusissimissimissimes,
martyrisantissimissimissimes donc torturantissimissimissimes -(alors que la
torture a été interdite en France y compris dans l’Union Européenne et que je
vous ai entendu dire récemment quand je me suis plaint à vous des effets
invivables du Xeplion 50 mg que la Médecine et vous-mêmes n’étiez pas là pour
faire souffrir – ce qui a malheureusement été le cas pour moi depuis 2017),
donc un léger mieux quoiqu’insupportabilissimissimissimes).
Bien sûr ce que je viens de décrire concerne le
sevrage le moins long qui soit possible imposer à un être humain aux prises
avec un des antipsychotiques / neuroleptiques de ce genre -(mais je me dois en
conscience d’avertir celui ou/et celle -[des médecins]- qui prescrira le
sevrage le plus long, voire, en sacrilège, plus long qu’en une seule année -(ce
qui est en réalité le maximum du maximum de temps à ne jamais dépasser pour un
sevrage, à moins que les troubles dont le patient serait victime ne l’aient
conduit à quelques monstrueuses bévues – soit toutes celles où le cœur –
au sens spirituel, compatissant, de ce terme - est
absent)- en l’avertissant ici
qu’il obtiendra pour lui-même
N. B. : la suite
après le paragraphe suivant ci-dessous à lire
-(tout médecin qu’il soit, comme pour tous ceux qui
lui ont fait confiance et qui sont ainsi devenus ses complices, pharmaciens y
compris)- [en raison des souffrances dont les prescriptions de ce
« médecin » est à l’origine, voire (parce) qu’il ne voudra pas
admettre être -(ces prescriptions du Xeplion 50 mg comme du Risperdal 50 mg)- à
l’origine de l’un ou l’autre des effets indésirables -(parce que ce « médecin »
a cru pouvoir s’autoriser à oublier l’existence de l’échelle la plus exacte
concernant les mesures de l’être humain dans le ciel, soit celle que nous avons
comprise plus haut, mais aussi de l’un ou l’autre des effets indésirables
pourtant signalés dans la notice – ce qui a été, hélas le cas pour moi pendant
deux ans à partir de 2017, le docteur Jean-Luc Marcel affirmant que ce n’était
pas le Xeplion à l’origine des acouphènes, alors que sur la notice du Xeplion
50 mg comme sur celle du Risperdal 25 mg et 50 mg, il est inscrit que ces
produits peuvent, dans certains SPOK/cas -(donc sur certains sujets /
patients), générer des bourdonnements dans les oreilles, ce qui est une partie
de la définition du mot acouphènes. Le docteur Marcel qui ne voulait le croire
à travers son assistante, madame A., demanda contre mes avis –(soit
la vérité en la matière, puisque grand-inspecteur, éveillé par acquis de
conscience, soit le bouddha avec mes semblables dans l’histoire de l’aventure humaine
-[H. A. H.]- à l’origine de tous les progrès en Médecine, alors que je lui
donnais la cause certaine de ces acouphènes, impatiences et maux de pieds comme
de ma dermite séborrhéique - effets indésirables apparus lors de mon
hospitalisation de 2017- en lui demandant de cesser au plus vite de me
prescrire le Xeplion 50 mg puisqu’avant 2017 j’étais en réalité pratiquement
sevré du Risperdal 25 mg à la demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les sept semaines –[depuis presque deux années]- et donc que
l’hospitalisation qu’il avait décidé pour moi était abusive, impossible)- que
je consulte un otorhinolaryngologiste, mais aussi que je fasse un I. R. M.
comme aille chez un podologue, ce qui a fait que durant tous ces temps je
continuai le matin à mon réveil à souffrir de ces acouphènes et, durant la journée
et la nuit, des autres effets indésirables, ce qui était atrocissimis…simissime
et insupportablissimis…simissime -(en l’absence du
bon médicament correcteur de l’Artane – ce que j’ai trouvé seulement au bout de
deux ans)- à vivre au point que cela me faisait
continuellement réclamer y compris par écrit -(je
ne me serai pas donné ce mal à écrire le plus clairement possible si ce n’était
pas réellement tout à fait insupportabilissimis…simissime et vital pour
moi)- qu’on cesse de me prescrire le Xeplion, voire qu’on
continue mon sevrage en le baissant à Xeplion 25 mg pour faire baisser en
proportion ces acouphènes, ces impatiences, ces maux de pieds et le corolaire
dont vous prendrez connaissance plus en détail[s] vers la fin de cette missive
dont c’est ici une des notes de bas de page],
après sa
mort, la plus tragiquissimis…simissime, affreusissimis…simissimissime,
horrib[i]lissimissimis…simissime, tristissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissime, malheureusissimis…simissime et etc.
réincarnation, car il s’agit là, avec les sevrages sur une année, en
réalité du plus long et pénible sevrage qu’on puisse imposer /
imaginer avec ces neuroleptiques -[à un autre être humain]-
N. B. : la suite
après le paragraphe suivant ci-dessous à lire
(car déjà un sevrage en/sur un seul mois, c’est, à ces
degrés de souffrance[s] de quelques-uns des effets indésirables, infiniment
immensément long, à l’aune de ce que peut être une journée comme temps à vivre
à l’échelle universelle pour un être / un patient ayant eu accès à la
conscience, ce qui est évidemment aussi le cas pour une heure de temps, voire
pour une minute ou même quelques secondes de souffrances de ce genre – donc je
vous prie d’imaginer ce qu’elles ont pu être quand on me donna, en croyant bien
faire, les correcteurs du Lepticure et de l’Akinathon qui augmentèrent mes
souffrances : cela -(d’imaginer)- vous ne le pourrez pas car c’est
inimaginable comme souffrances / martyrs / tortures physique et psychique)-
dont on
a[urait] hélas oublié que sa vie / son existence s’inscrit dans le Temps
N. B. : la suite
après le paragraphe suivant ci-dessous à lire
-(qui normalement fait
bien les choses, voire qui peut être la cause d’un rétablissement du patient
dès la seconde suivante -[de]- l’origine du problème ayant été, pour
ces médecins à l’origine de l’hospitalisation)-
soit
celui -([de temps]- parce qu’on souffre alors)- infiniment long à chacune des
secondes où l’on souffre, à cause de l’un ou/et l’autre des effets
indésirables.
Aussi il existe le sevrage moyen qui se déroule sur
six mois, ce qui est encore très long -(il
faut diviser par deux tout ce que je viens d’écrire là où nous avons parlé du
plus ou moins long terme avec le sevrage sur un an, donc comprendre que ce que
j’ai proposé sur un an se déroulera alors sur six mois et faire en toute
logique les calculs pour cela)- et avec
le sevrage sur trois mois -(ce qui est,
quand on souffre y compris des effets indésirables déjà/encore à ce stade, un
sevrage trop long car :)- il y
a le sevrage sur un mois -(qui doit être celui qu’on préférera proposer –(le
moins long des sevrages à moins de rechercher pour son âme de médecin une
de ces tragiquissimis…simissimes et etc. réincarnation[s] qui attendent tous
ceux qui font en laipis -(acronyme
d’[uniquement]-laïcs, [strictement]- athées,
[souvent]- ignorants, profanes, [souvent]- inconscients,
et -[sans même le savoir/vouloir]- sacrilèges)- souffrir
autrui d’une chose ou d’une autre. (Permettez-moi de vous rappeler que vous
m’avez dit vendredi 8 janvier 2021 que la Médecine n’avait pas pour objectif de
faire souffrir -(ces propos m’ont alors rassuré à votre sujet -[cependant
j’ai pensé que depuis 2017 je ne fais que souffrir et que je vous ai dit ce
qu’il convient de faire pour me l’éviter d’autant plus que j’ai prouvé quand
j’étais à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines – soit presque deux ans - que j’allais bien depuis demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit depuis 2014 - puisque j’ai pu me
consacrer aux explications que vous savez de ce qui s’était produit exactement
d’exceptionnel -(en 1967 et 1977 et à partir de 2005)- aux papes et aux présidents de la République française -(vous
pouvez à cette adresse lire ce que j’ai résumé au Président Macron)-
à l’occasion de mes communications à travers Temps et Espace], et j’ai
à cette occasion aussi pensé que les Médecines tiraient leurs raisons d’être
que pour le contraire, soit de faire cesser la souffrance alors que je vous
faisais part des souvenirs concernant les souffrances infligées aux patients
lors des premiers jours d’une hospitalisation quand vous m’avez dit que le
protocole mis au point habituellement pour ce début d’hospitalisation d’un
patient est, en général, de lui imposer une dose de 150 mg de Risperdal et je
vous ai alors dit -(rassuré de
parler à une personne qui a la même conception que moi de la Médecine
guérisseuse, ne trouvant sa raison d’être que pour soulager des souffrances,
soit les faire disparaître quand elles sont là)- traumatisé
par mes diverses hospitalisations précédentes à partir de 2007, qu’hélas,
infiniment hélas, à cette dose de Risperdal 150 mg -(voire de Xeplion 150 mg)-
cela, sans exagérer aucunement -(grosso modo toutes proportions
gardées), provoque des souffrances tant physiques que psychiques
atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimis…simissimes,
N. B. : suite après
le paragraphe suivant à lire
(avec Xeplion
atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimes [soit un « …
simissimissimis … » de moins qu’avec Risperdal, ce qu’il convient de
faire, ce … simissimissimis … de moins pour chacun des mots suivants
(cauchemardesque, martyrisant, torturant, douloureux, insupportable, inhumain,
tragique), si Risperdal 150 mg est donné avec le correcteur Artane 5 mg trois
fois par jour car nous verrons plus bas ce que cela fait comme souffrances avec
les « correcteurs » Lepticure et/ou Akinéton)])-
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissimes,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
et je vous prie de me
croire, je n’exagère pas tant la situation de cette entrée en hospitalisation
est à ce point au paroxysm simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime du
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime…,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissimes,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
avec Risperdal 150
mg !!!
(En vérité, je crois, qu’on se croit alors
psychiquement aussi incompris et humilié et persécuté comme ont dû l’éprouver /
le souffrir infiniment
injustemenissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime
ceux qui ont connu les camps de concentration, tellement on souffre
horriblement – voir ci-dessus la liste des mots en superlatifs absolus et c’est
cela à chaque fraction de seconde – soit
invivab[i]lissimis…simissimissimis…simissimis…simissimissimis…simissimissimi… …. ). A tel point qu’il serait souhaitable que vous
retrouviez de façon certaine les identités de ceux qui ont mis au point un tel
« protocole » d’entrée en hospitalisation pour que tous puissent
connaître les noms de ce[s] criminel[s] contre l’humanité et les plus
véritables médications ou la plus véritable Médecine -(celle à laquelle nous
croyons vous et moi, celle qui ne cherche pas à créer artificiellement des
malades, ce qui est bien évidemment le cas avec des souffrances de cet ordre,
car effectivement après une dose de Risperdal de cette importance -(150 mg -[ou
100 mg, mais déjà de 50 mg])- on est réduit à encore moins au/du néant
cérébrale : la souffrance est telle qu’on croit qu’il n’y a pas une
personne du personnel hospitalier qui ne soit qu’uniquement au paroxisme du
sadisme complètement nazi, soit en raison de ce qu’on subit comme tortures et
martyrs) chaque fraction de seconde, la méchanceté incarnée. Le monde de Dieu,
soit celui de la bonté, du soulagement de la souffrance, de la beauté, de la
bienfaisance, de la fécondité, du bonheur n’existe plus du tout – et on croit
alors que c’est à jamais, soit pour toujours car on ne fait que souffrir –(à
tel point qu’on n’arrive même plus à en parler, le dire en étant sûr que si on
se plaint personne ne va le croire car c’est – ces souffrances psychiques et
physiques au
paroxysmissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime du
possible et de l’inimaginable en temps normal (au point qu’on croit que ces
temps normaux n’ont jamais existé : on ne peut parvenir à parler, chaque
membre du personnel hospitalier n’apparait plus que comme un complice des
médecins ayant prescrit cet
hyperissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…sime poison qui a
transformé la réalité comme un cauchemardesquissimis…simissimis …simissimis…simissimis…simissimis …simissime,
soit la torture au paroxysmissimis…simis
simissimis…simissimis…simissimis …simissime -(et croyez-moi je minimise
encore tant c’est invivab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimissimissimis…simississimissimi… du
possible inimaginable -(en temps normaux), ce qui est évidemment absolument
interdit de faire à autrui et on se jure alors de ne jamais plus attendre des
enfants de soi-même dans un monde où on a autorisé à faire autant de mal
-(physique et psychique en cherchant aussi hypocritement et fallacieusement à
faire croire qu’on soigne)- car il pourrait y avoir une probabilité de souffrir
autant- (et si cela ne serait pas un.e fils/fille, un.e petit-fils/fille, voire
plus loin un arrière-petit-fils/fille, voire plus loin encore. En effet les
souffrances sont tellement douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes
que la vie en est
devenue insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimes:
et bien sûr on ne peut pas trouver un mot pour en parler tellement chacun des
médecins et du personnel hospitalier apparaissent comme les plus sadiques
individus).
Aussi c’est en grand inspecteur, vos dévoués
serviteurs les eanmeailleurs -(soit l’empereur devenu bouddhahs à partir de
2005)- que j’ai pu vérifier à plusieurs reprises ces souffrances infligées aux
entrants en hospitalisation psychiatriques à Sainte-Anne et parce que cela fait
autant souffrir que cela -(des personnes, qui plus est, éveillées par acquis de
conscience – donc guéries de tout - comme je l’étais dans l’exercice de mes
fonctions eanmeailleuriales – soit de pharaon-bouddhahs), nous avons ici, vous
et moi, un combat à mener pour faire cesser à
jamais de telles pratiques « médicales »,
soit une telle ignominie et maltraitance et etc. chez
nous dans l’eanmeailleurs -(soit le nom d’un empire qui est dirigé par un
empereur qui est, à force d’avoir eu à souffrir de l’incompréhension des autres,
devenu bouddhahs, moi, depuis février-mars 2005, et qui, bien entendu ne peut
pas admettre / supporter qu’on traite aussi cruellement / mal des gens qui
auraient été considérés avoir momentanément besoin de soins avec pour commencer
ces doses exorbitantissimis…simissimis…simissimes de
Risperdal ou de Xeplion - ce que je n’ai pas pu vérifier qu’à ces dosages -(150
mg)- fait autant mal que le Risperdal – peut-être un tout petit peu moins mal
donc avec un …simissimis… de
moins -(cependant que comme Xeplion c’est proposé avec Akinéton ou Lepticure,
cela grosso modo multiplie par un virgule cinq -(1,5), voire
deux -(avec l’Akinéton)- les douleurs – car ces correcteurs n’agissent
nullement mais font souffrir de 1,5 à deux fois plus, ce qui signifie
atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimis…simissimement,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissimement,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimemement
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimement
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimeMENT,
Horribil[i]ssimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimeMENT).
Interruption. Cela reprend après la parenthèse
ci-dessous car ce qui précède (en ayant eu à me remémorer combien j’ai, à
chacune des fois que j’ai été hospitalisé eu à souffrir, m’a donné l’idée de
vous proposer une sorte de méthode pour évaluer la souffrance de tous ceux qui
sont en difficulté -(nous espérons passagère)- qui en
éprouvent. Cette sorte de méthode en vingt-trois points pourrait être plus
précise dans son extension logique en environ cent points, voire dans un
premier temps en une cinquantaine de points qui découleront logiquement à
partir de cette proposition -(de départ):
Méthode d’évaluation de la souffrance -(pour tenter médicalement de La Diminuer en fonction des
réponses) :
Proposition d’une sorte de méthode pour évaluer la
souffrance individuelle d’un patient à l’occasion, par exemple, de [la] prise
de médicaments neuroleptiques, voire après avoir subi un accident, un
traumatisme, etc. : à faire remplir -(avec un
double à conserver par le patient qui aura donc à évaluer à partir des phrases
ci-dessous deux fois, [une fois pour les médecins et le personnel des infirmiers,
une fois pour lui-même]- pour s’y référer si besoin):
Stade un -(à présenter
au patient si la personne peut encore parler, voire lire et écrire car il aura
à cocher, voire encercler les phrases se rapprochant le plus de son état de
souffrance):
Cela ne fait pas mal. Cela n’est pas du tout
cauchemardesque, ni martyrisant, pas de tortures, non douloureux, non
insupportable ni inhumain ou tragique, n’est pas horrible à souffrir / endurer.
Stade deux : cela fait peu mal, peu
cauchemardesque, peu martyrisant, peu torturant, peu douloureux, peu
insupportable, peu inhumain, peu tragique, peu horrible à endurer / souffrir.
Stade trois : cela fait cauchemardesquement mal,
c’est martyrisant, c’est une torture, c’est douloureux, c’est insupportable,
c’est inhumain, c’est tragique, horrible, etc..
Stade quatre : cela fait cauchemardesquissimement
mal, c’est martyrisantissime, c’est torturantissime, douloureusissime,
insupportab[i]lissime, inhumainissime, c’est tragiquissime, horriblissime,
invivabilissime, etc.
(Veuillez barrez les mots en trop, voire entourer les
mots désignant le type de vos souffrances en désignant celles-ci avec une
autre couleur, par exemple rouge : f pour physiques, p pour psychiques)
Stade cinq : cela fait
cauchemardesquissimissimement mal, c’est martyrisantissimissime, c’est
torturantissimissime, c’est douloureusissimissime, c’est
insupportab[i]lissimissime, c’est inhumainissimissime, c’est
tragiquissimissime, horriblissimissime, invivabilissimissime, etc.
Stade six :
cela fait cauchemardesquissimissimissimement mal, c’est
martyrisantissimissimissime, c’est torturantissimissimissime, c’est
douloureusissimissimissime, c’est insupportab[i]lissimissimissime, c’est
inhumainissimissimissime, c’est tragiquissimissimissime, horriblissimissimissime,
invivabilissimissimissime, etc.
Stade sept : cela fait
cauchemardesquissimis…simissimement mal, c’est martyrisantissimis…simissime,
c’est torturantissimis …simissime, c’est douloureusissimis…simissime,
c’est insupportab[i]lissimis…simissime, c’est inhumainissimis…simissime, c’est
tragiquissimis…simissime, horriblissimis…simissime,
invivabilissimissimis…simissime, etc.
Stade huit : cela fait
cauchemardesquissimis…simis…simement mal, c’est martyrisantissimis…simis…sime,
c’est torturantissimis …simis…sime, c’est douloureusissimis…simis…sime,
c’est insupportab[i]lissimis…simis…sime, c’est inhumainissimis…simis…sime,
c’est tragiquissimis…simis…sime, horriblissimis…simis…sime,
invivabilissimissimis…simis…simissime, etc.
Stade neuf : cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simement mal, c’est
martyrisantis…simis…simis…sime, c’est torturantis…simis …simis…sime, c’est
douloureusis…simis…simis…sime, c’est insupportab[i]lis…simis…simis…sime, c’est
inhumainis…simis…simis…sime, c’est tragiquis…simis…simis…sime,
horriblissimis…simis…simis…sime, invivabilissimissimis…simis…simis…simissime,
etc.
Stade dix : cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simis…simement mal, c’est
martyrisantis…simis…simis…simis…sime, c’est
torturantis…simis …simis…simis…sime, c’est
douloureusis…simis…simis…simis…sime, c’est
insupportab[i]lis…simis…simis…simis…sime, c’est
inhumainis…simis…simis…simis…sime, c’est tragiquis…simis…simis…simis…sime,
horrib[i]lissimis…simis…simis…simis…sime,
invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.
Stade onze : cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal, c’est
martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
torturantis…simis …simis…simis…simis…sime,
c’est
douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
horrib[i]lissimis…simis…simis…simis… simis…sime,
invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.
Stade 12 : cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal,
c’est
martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
torturantis…simis …simis…simis…simis…sime,
c’est
douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est
horrib[i]lissimis…simis…simis…simis…simis…sime,
invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.
Stade 13 : cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement
mal,
c’est
martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
torturantis…simis …simis…simis…simis…sime,
c’est
douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
horrib[i]lissimis…simis…simis…simis… simis…sime,
invivabilissimissimis…simis…simis…simis…simis… sime, etc. .
Stade 14: cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simement mal,
c’est martyrisantis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est
torturantis…simis …simis…simis…simis…sime, c’est
douloureusis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est inhumainis…simis…simis…simis…simis…sime, c’est
tragiquis…simis…simis…simis…simis…sime,
horrib[i]lissimis…simis…simis…simis…simis…sime,
invivab[i]lissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.
Stade 15 : cela fait
cauchemardesquis…simis…simis…simis…simis…simis…simement
mal,
c’est
martyrisantis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
torturantis…simis …simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
douloureusis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
insupportab[i]lis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
inhumainis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
tragiquis…simis…simis…simis…simis…simis…sime,
c’est
horrib[i]lissimis…simis…simis…simis… simis…simis…sime,
invivab[i]lissimissimis…simis…simis…simis…simis…sime, etc.
Stade 16 :
C’est
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
etc. .
Stade 17 :
C’est
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime, invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
etc. .
Stade 18
C’est
atrocissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimemE
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimeme
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
et etc. .
Stade 19 :
C’est
atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
et etc. .
Stade 20 :
C’est atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
et etc. .
Stade 21
C’est atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimeme,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
et etc. .
Stade 22 :
c’est
atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
et etc. .
enfin
stade 23 -(même si on pourrait logiquement continuer, voire parfaire ce qui
précède), c’est :
atrocissimis…simissimis…simissimis…simis…simissimis…simissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissimis…simissimis…simis…simis…simissime,
martyrisantissimis…simissimis…simissimis……simissimis…simissimis…simissime,
torturantissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
douloureusissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
insupportab[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime
inhumainissimissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissime,
tragiquissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
horrib[i]lissimis…simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
invivabilissimis……simissimis…simissimis…simissimis…simissimissimis…simissime,
et etc. .
Pour le sevrage sur trois mois, il conviendra de
diviser par quatre tous mes dires concernant le plus ou moins très long terme -(le sevrage sur un an)- et pour le sevrage sur un mois très
logiquement -[diviser]-par douze celui sur une année
Aussi, à premièresidées / premièridée
-(N.
B. : suite après le paragraphe suivant)
–[pour première-idée / premières-idées, dans le
registre de à premières-vue[s] ou/et à première-entendu / à-premièrentendu /
àpremièrentendu / àpremiéressenti pour » à premier ressenti «, donc
àpremiégoût = à première saveur – et cela j’aurai pu l’écrire dans une note de
bas de page aux notes de bas de page, car je n’oublie pas que cette partie de
ce texte est une note de bas de page, ce qui fonde une fois de plus -(comme
chacune de ces parenthèses et/ou entre-crochets, voire entr’accolades), la
nécessité de proposer dans Word, selon ma déjà vieille idée de la
fin des années 1990, des notes de bas de page gigognes -(qui de cette manière
pourraient parfois même aller à/vers l’infini de notes de bas de page aux notes
de bas de page, d’autant plus que reliées entre elles par l’élaboration de
signets ou/et de décalage, voire de couleurs), pour éviter, comme ici, soudain,
d’avoir à ouvrir notre propos sur un autre plan qu’on découvre par/après
l’ouverture d’une parenthèse qui pourrait amener à changer de sujet comme ici,
dans cette note de bas de page, car soudain cela concerne un autre aspect de la
pensée, une autre catégorie d’informations, voire d’eanmeailleurations -(pour
plaire à S. E. A. I. S. S. S. L. P. Jean-Jacques Rousseau comme synonyme
d’améliorations : eanmaeilleurations), celui de notre soucis de faire
avancer, à mesure que nous pensons / pansons par écrit sur d’autres sujets, par
conséquent aussi, comme ici, dans le domaine de l’écriture -(sur le plan
technique), soit notre intérêt d’améliorer la présentation de la langue que
nous utilisons avec ces notes de bas de page qui seraient finalement
gigognes])-
cela fera des jours comme -(si c’était)- des mois -(du
sevrage le plus long sur une année)- et
il conviendra de comprendre que la dose de Risperdal 25 mg ou/et celle de
Xeplion 25 mg correspondra, en réalité, à ce qui est, à l’heure où j’écris ces
lignes, commercialisé encore à 150 mg, soit avec ce 25 mg la -[nouvelle]- dose
maximum qu’on a cru à tort pouvoir être proposée dans
des dosages plus importants / forts -(bien
qu’effectivement heureusement les souffrances causées par les effets
indésirables à 25 mg sont évidemment moindres qu’à 50, 75, 100, … 150 -(ce qui
ne veut pas dire qu’à 25 mg elles ne sont pas, sans correcteur Artane, insupportablissimis…simissimes,
douloureusissimis…simissimes, et etc.) – soit
ce qui deviendrait avec ce dosage de 25 mg le maximum possible commercialisable
–(avec interdiction de proposer des dosages plus forts / importants, en sachant
que les effets sont déjà à ce dosage de 25 mg, sans le correcteur Artane 5 mg
trois fois par jour, infiniment douloureux
-(N.
B. : suite après les quatre paragraphes suivants)
-([et si on comprend cela à cause des effets
indésirables de Risperdal 25 mg et/ou probablement de/du Xeplion 25 mg -(que j’attends depuis plus de trois ans qu’on me prescrive
pour vérifier
N. B. :
suite après le paragraphe suivant :
–(ce qui en toute logique élémentaire n’est pas
indispensable en raison qu’en 2013 j’ai été, avant mon sevrage, un ou deux mois
au dosage de Risperdal 25 mg et donc que je sais de quoi je parle en sachant
qu’il est probable que Xeplion 25 mg soit un petit peu moins douloureux que
Risperdal 25 mg, [car c’est le SPOK / cas avec Xeplion 50 mg par rapport à
Risperdal 50 mg], ce qui est toujours bon à prendre, donc, en attendant, à
prescrire -(ce Xeplion 50 mg)- à la place de Risperdal 50 mg, pour soulager un
peu ces patients à qui on a cru possible prescrire ces neuroleptiques,
cependant que cela doit être eanmeailleuralement -(impérativement -[d’un empire
dont le pharaon est bouddhahs])- accompagné du médicament correcteur
nommé Artane 5 mg de deux à trois fois par jour, voire un et
demi le matin et douze heures après une moitié, voire un Artane 5 mg entier),
à moins d’avoir enfin l’intelligence de comprendre –(cela
s’adresse ici aux plus véritables médecins, soit tous ceux qui le sont par
acquis de conscience, donc devenus bouddhas : éveillés])- qu’il
faut cesser immédiatement -(dès que possible)- le traitement du Xeplion
car j’en souffre continuellement infiniment sur
tous les points décrits à la fin de cette courrierIne -(variante féminine pour
-[un]- » courriel «), à cause des effets indésirables que l’on sait et
parce que nous sommes aujourd’hui fin janvier 2021 à beaucoup plus de trois ans
de ma dernière hospitalisation en 2017 et qu’en lisant cette lettre on comprendra
avoir été -(cette hospitalisation)- totalement abusive -(car arbitraire, le
fruit de la subjectivité d’un « médecin » croyant à tort pouvoir se
fonder sur à première vue le « retard » que j’avais eu de
quelques heures pour l’injection de la demi-dose -(et
non pas la dose entière – tant depuis longtemps je n’avais, en réalité,
toujours moins besoin de cette médication parce que j’étais considéré sur la
voie de la guérison par la docteure N. Koechlin)- de
Risperdal 25 toutes les sept semaines, pour exiger sans même prévenir
courtoisement et manu militari se donner le droit de
m’hospitaliser de nouveau plus de quatre années après la précédente
hospitalisation à l’origine de la mise en place dès la seconde dose de
Risperdal 25 mg en 2013 du sevrage ayant abouti en 2017 depuis près de deux ans
à la demi-dose -(et
non la dose – c’est vous redire – ici bien évidemment ironique : - combien
j’avais besoin de ce « médicament » ou alors sans ironie, (simplement
en vérité :), vous dire combien je n’avais nul besoin de
ce médicament)- de Risperdal 25 mg à ce
moment-là de l’avancée du sevrage, toutes les sept semaines –(par conséquent
croyant possible -(le docteur Marcel)- détruire d’un seul coup tous nos efforts
pour retrouver la condition normale d’être humain affranchi de la nécessité
d’être accompagné par des »« béquilles médicamenteuses »«. En
réalité on comprendra -(cette ultime hospitalisation)- qu’elle aurait été
préférable -[de]- n’avoir jamais été -(sauf
à première-vue[s] sur le plan sentimental puisqu’à l’issue de cette
hospitalisation de 2017, j’ai, tant je souffrais, mais aussi pour d’autres
raisons, renoué avec mon ex-fiancée –[de
laquelle je m’étais séparée depuis 2005 au moment où j’ai eu à découvrir qu’on
me voyait et entendait dans le ciel de Rome en 1977 et que je devais aider du
mieux que je pourrais mon père alors, (comme la plupart d’entre nous tous
-[l’entendant]- et/avec moi-même dans le passé en 1977), confirmé en
Saint-Esprit empereur, en ayant quant-à-moi en conscience et en légitime
défense et avec l’aide de l’esprit-saint à transmettre la Très Grande Dictée de
la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale
et à prévenir / avertir des diverses catastrophes dont toutes celles naturelles
qui allaient se produire de 1977 aux années 2010], ce qui
aurait pu ne jamais advenir sinon), par conséquent
cela en raison de ce qui s’est passé avant cette dernière hospitalisation -(ce
qu’on apprendra dans cette lettre)- d’inadmissible :
en 2017, je devrais être depuis longtemps totalement sevré et non à demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines comme c’était le SPOK/ cas depuis près
de deux ans ! Ce qui aurait pu être au bout de trois fois sept semaines
-(cette demi-dose de Risperdal 25mg toutes les sept semaines),
si madame la doctoresse N. Koechlin avait compris la logique du sevrage que
j’avais simplement mis au point -(en grand inspecteur et
futur patron –[entre autres]- de la Médecine et de la Chirurgie car vos dévoués
serviteurs les bouddhahs)- pour
me permettre à terme de retrouver une vie normale -(sans avoir à subir les
effets de médicaments d’autant plus que bouddhahs, c’est-à-dire » éveillé
par acquis de conscience « depuis début 2005, soit en intervenant à
travers Espace et Temps dans l’exercice de mes fonctions, soit en accomplissant
mes devoirs en conscience / car conscient, par conséquence n’ayant nul besoin
de médication[s] d’aucune sorte. Car en raison de la situation exceptionnelle
découverte à partir de 2005 -(cette ouverture
céleste de l’Espace et des Temps coïncidant[s] : 1967 = 1977 =
2005)- je me devais,
en conscience, dans l’exercice de mes fonctions pour nous aider tous dans le
passé à éviter que la Seconde Guerre Mondiale ne reprenne, d’intervenir
à travers Espace et Temps pour sauver la situation de cette planète en
proposant avec de très nombreuses autres choses la Construction de l’Union
Européenne – en fait ce qui avait eu lieu dans ce cas de figure –
ce »« ou bien »« -(au sens d’Alain Resnais dans ses films Smoking ; No
smoking)- - de la Création). En effet à la troisième fois où je
vins prendre la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines, j’attendais fort logiquement que la doctoresse K. me prescrive pour
la fois suivante cette demi-dose toutes les huit semaines
trois fois de suite pour passer ensuite à cette demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les neuf semaines, ce qui advenu trois fois aurait été
la fin raisonnée / logique de mon sevrage. Or au bout de plus d’une année et
demie à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines,
j’avais découvert que la doctoresse K. n’avait probablement de sa vie proposé
un sevrage à l’un de ses patients -(malgré
ce qui est fondamental de s’imposer d’accomplir avec les patients pour de très
nombreux médicaments, dont les neuroleptiques), puisque
toutes les sept semaines, elle proposait / reconduisait la poursuite des
injections toutes les sept semaines -(dans
le carnet d’injection -[dont je vous ai
remis récemment les photocopies / impressions couleurs], à l’occasion
d’une des premières fois -(la demi dose)- toutes les sept semaines,
il y a eu retour -(cela c’est
reproduit une autre fois la fois d’après), à toutes
les six semaines -(en raison d’un
problème de voisinage : sans m’en rendre compte j’avais mis la radio trop
forte après dix heures du soir et comme il y avait eu plainte, on a cru que de
nouveau je n’allais pas bien – ce qui est bien évidemment faux, ce n’était pas
moi qui parlais/t : cela peut arriver à n’importe qui d’oublier que le
volume est un peu trop fort et il n’y a là aucune raison d’hospitaliser ni
d’augmenter le dosage du Risperdal 25 mg, ce qui pourtant avait été fait à ma
demande.
Une autre fois j’ai eu la nuit après avoir écouté la
radio à réaliser en même temps que je tournai une séquence vidéo un commentaire
à faire –[alors que c’était la nuit : un tournage
improvisé, à la dernière minute en raison d’une opportunité / découverte, soit
une chance à ne pas laisser passer en raison de la matière première du talc. En
fait j’avais été inspiré et je décidai d’en faire part en vidéo avant d’avoir à
publier cette séquence sur Internet -(ici, comme
précédemment des voisins se sont plaints – évidemment j’étais prêt à
m’excuser : mais l’Art n’attend pas : il fallait battre le fer tant
qu’il était chaud, cela ne se serait pas présenté mieux le lendemain : je
réalisai donc le prototype de cette séquence vidéo avec mon commentaire
improvisé tout du long à partir de l’idée que j’avais eu avec cette découverte.
Et comme je n’ai plus fait de bruit durant six semaines on est revenu au dosage
toutes les sept semaines puisque les plaintes ont cessé, ce qui signifiait
sinon que madame la doctoresse K. trouvait que cela était le bon dosage toutes
les sept semaines)- et que le docteur
Marcel venait de découvrir la réalité de ce sevrage en cours, ce qui le fit
s’opposer à sa poursuite et cela en dépit de la logique scientifique des plus
véritables sevrages sans un atome d’erreur possible dans tous les temps -(bref
qui fonctionnent très bien d’autant plus qu’établis en toute logique avec la
finalité de la Médecine qui est de parvenir à ce que les patients aient à se
débarrasser à jamais des substances chimiques des médicaments pour retrouver,
comme quand ils étaient enfant, une vie normale sans plus avoir besoin de
médicaments – soit ce qui fonde la notion de sevrage, voire de l’inverse : la prise raisonnée progressive d’un
médicament comme cela sera le SPOK/cas pour que nous puissions tous retrouver
la Vision du Très Saint Paradis d’avant la très grande catastrophe -(vous
lirez que l’usage du variateur de plus en plus sur vingt-quatre ans est comme
si nous augmentions progressivement la dose d’une chose plus
qu’essentielle : la Beauté de la Création -(ce qui, par ailleurs, confirme
l’existence de Dieu en chacun de nous)– ce rétablissement de la vision d’Ôz,
soit celle du très saint paradis -(T.S.P.),
n’est possible que de façon très logique et de manière cohérente dans/avec ce
programme). Visiblement le docteur Marcel n’avait pas les compétences en
Mathématique ou/et Logique élémentaire et alors qu’à cette demi-dose de
Risperdal 25 mg je pouvais travailler sans éprouver que très peu de souffrance,
voire pas du tout, le voilà tout d’un coup, après avoir appris que nous en
étions là du sevrage -(soit quasiment à la fin de celui-ci), à décider, de
manière en réalité irrationnelle -(car son motif n’était pas recevable /
acceptable)- et contrairement à ce que nous attendions s’il avait été un
véritable médecin -(soit un de ceux
ayant eu accès à la conscience, soit un de ceux très véritablement Éveillés,
donc soignant de façon juste parce que rationnels, logiques et sachant que la
vérité existe en Médecine comme dans chacune des autres disciplines
scientifiques en raison qu’il convient de déterminer la cause des maux dont on
souffre pour trouver les remèdes), d’une
façon méchante et indigne de sa condition, de cette hospitalisation de 2017
sous prétexte que j’avais eu, sans faire exprès, une demi-journée de retard
-(sur sept semaines, soit quarante-neuf jours !)- pour le renouvellement
périodique de l’injection de cette demi-dose de Risperdal 25
mg -(il n’avait rien de mieux à faire que venir me déranger chez moi –
[où, si j’avais eu en effet ce retard, on aurait pu/dû me joindre par téléphone
pour que je vienne au CMP - centre médico-psychologique
- dès le lendemain de ce « jour de retard », voire dès le
matin suivant ce retard -(puisqu’on
l’avait constaté au CMP pour alerter ce chef de service)- comme
cela avait été le cas avec l’irruption de ce « médecin » avec son
équipe à mon réveil chez moi, le lendemain du « jour de retard » sur
quarante-neuf jours -(la périodicité de l’injection)! Tout véritable
médecin Suisse –[pourtant ayant la réputation d’être archi précis]- vous dira
que j’avais, dans ces conditions – soit dans ce / en pareil SPOK,
évidemment depuis longtemps le droit à ce jour de retard, à ce dosage, en fait
depuis plus d’un an et demi]- sans
me prévenir téléphoniquement, sans me donner la chance -[courtoise / polie]-
d’expliquer pourquoi / la cause -[de]- ce retard -(en
fait j’avais été pris par mes activités en m’étant abstrait de tout pour
avancer dans mes divers travaux en cours et j’avais laissé passer cette journée
de la fin de la septième semaine sans me rendre compte ce jour-là que j’avais à
me rendre au CMP. Aussi je tombai des nues quand ce « médecin » se
présenta devant ma porte alors que cela n’était pas rangé -[chez moi]- assez
pour recevoir quelqu’un)- et de m’en excuser, croyant
être dans son bon droit en pénétrant chez moi manu militari alors
que j’étais en train de poursuivre, entre autres, une de mes diverses
recherches d’Intérêt Général et pour le bien Général en empereur-bouddhahs
grand inspecteur, soit en tant que vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs
avec toutes mes autres compétences et facultés alors la plupart du temps
-(depuis 2013)- consacrées au service de mes lettres d’explications aux Papes et aux présidents de la République de
ce qui s’était passé d’exceptionnel pour nous tous à partir de 2005 -(mes
apparitions quotidiennes dans le ciel du passé depuis mon adresse rue du Val de
Grâce), mais aussi de la réalisation d’images exceptionnelles dont je vous ai
parlées en vous en confiant le secret -(je vous en ai montrées), c’est-à-dire
comment j’avais à les réaliser – mon hospitalisation de 2017 ayant repoussé de
plusieurs mois la réalisation de celles-ci comme cela a été à l’origine de ce
que ma sœur a cru en se rendant chez moi pour ranger l’appartement durant mon
absence que je n’allais effectivement pas bien en découvrant -(alors que
j’avais été conduit à Sainte Anne)- que je m’étais servi d’un seau à la place
de la cuvette des W. C., ce que j’avais compris je devais m’imposer de faire
pour obtenir les images que j’ai depuis obtenues -(en vous prévenant d’avance
pour lever toute ambiguïté au cas où on viendrait chez moi durant une de mes
absence)- au fond de la cuvette des waters, en raison que je suis un buveur de
thé et que vous avez pu constater, comme moi, que si on laisse plusieurs jours
sans tirer la chasse d’eau les urines de quelqu’un ayant bu du thé, on obtient
de réelles merveilles merveilleusissimis…simissimes dans ce peu d’eau
stagnante ! Pour cette découverte aussi, il avait fallu que je devienne un
bouddhahs étant donné qu’elle allait contre les préjugés qui consistent à tirer
la chasse d’eau après avoir été aux toilettes -(W.
C.). Non, ayant été constipé, je n’étais pas allé pendant deux jours à la selle
où je ne m’étais rendu que pour uriner et comme je n’avais pas tiré la chasse
d’eau selon mes habitudes, le troisième jour, j’avais vu apparaître dans l’eau
des formes que j’ai voulu regarder de plus près en utilisant mon caméscope pour
les photographier si je les trouvais intéressantes, ce qui a été la SPOK/cas …
au-dessus de mes espérances : incroyables mais vraies : des
merveilles : l’homme avait donc été conçu pour être végétarien et buveur
de thé pour avoir le droit de découvrir les merveilles dont il était capable
simplement en urinant dans le peu d’eau qui stagne au fond de la cuvette des W.
C. ! J’avais avec ces photos la preuve qu’un être humain végétarien devenu
Éveillé par acquis de conscience (bouddha)- pouvait réaliser chez lui, dans ses
waters petit à petit de merveilleuses représentations dont certaines d’entre
elles les plus fantastiques. Aussi quelques jours avant l’irruption du docteur
Marcel chez moi, j’avais décidé de réaliser une série de nouvelles images et
c’est pourquoi j’avais utilisé mon seau pour les matières fécales, donc pour
mes selles – seau que je dus laisser dans l’appartement dans lequel ma sœur
ferait du rangement persuadée en voyant ces selles dans ce seau que je n’allais
pas bien alors que c’était en raison de recherches scientifiques et éminemment
artistiques que je m’étais privé des W. C. pour y créer de nouvelles images
grâce à mon nouveau procédé)-
Donc le docteur Marcel était venu chez moi pour me
conduire à l’hôpital malgré le fait que cela faisait plus d’un an et demi que
cette demi-dose -(et non dose entière)- de Risperdal 25 mg
c’était mon traitement toutes les sept semaines et cela alors que nous devions
-(cela avait été convenu avec la doctoresse K.)- depuis au moins un an et demi
passer à cette demi-dose toutes les huit semaines, donc comme
si tous nos patients efforts pour réussir mon sevrage et le retour à la vie
normale étaient à détruire, à ne pas prendre en considération[s], soit en
croyant possible m’injecter de nouveau -(a-t-il dit à cause de ce/mon retard –
quelques heures sur quarante-neuf jours !!!!)- 150 mg de Risperdal pour me
torturer en nous faisant perdre tous les bénéfices du sevrage suffisemment
accompli depuis quasiment deux ans puisque vous avez reconnu, doctoresse
Hortense Boulanger qu’à partir de la demi-dose -(et non la
dose complète)- de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit à partir de
2014 -(donc trois ans et non deux)- j’étais -[comme]- sevré – ce qui s’était
donc très bien passé et ce que j’avais mis à profit dans mes lettres fleuves aux Papes et au Présidents de la République)-
et cela alors qu’à ce dosage de cette demi-dose de Risperdal
25 mg d’une part je pouvais arrêter de prendre ce médicament, mais aussi,
d’autre part, je devais passer à cette demi-dose toutes les
huit semaines, voire à cause de cela nous offrir la possibilité d’avoir un
retard d’une semaine -(or je ne l’ai eu que de quelques heures ce
retard !!!)- ne serait-ce que pour faciliter l’étape suivante avec la
décision du sevrage à cette demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les huit semaines, ce qui signifie en réalité qu’avec ce à première-vue
« retard » il n’y avait en réalité nul retard de ma part car j’avais
l’embarras du choix en nombre de jours de à premières-vue[s]
« retard » étant donné que cela faisait plus d’un an et demi que nous
devions être à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit
semaines -(et non toutes les sept semaines)! Au lieu de comprendre en quoi
consiste la logique d’un sevrage -(ce qui lui aurait fait du bien – ne
serait-ce que pour apprendre à en réaliser – ce qui est une des raisons d’être
médecin (les sevrages) - le docteur Marcel s’est acharné à me rendre malade
artificiellement alors que je ne l’étais plus depuis 2014 quand nous étions
passé à demi-dose de Risperdal 25 toutes les cinq
semaines ! C’est donc à cause de lui que je n’ai pas pu reprendre mes
communications à travers Espace et Temps pour aider mon père confirmé à son
poste d’empereur depuis 1977 en synchrone avec les années 2005. Aussi à cause
de ces hospitalisations nous avons tous perdu collectivement mais aussi chacun
de nous des sommes de crédits financiers propres
et mérités de droit -(C.F.P.M.D.)- astronomiques et
plus encore, comme un très grand nombre de solutions élégantes que j’aurais pu
-(eu le temps de)- trouver sur Internet et que j’aurai pu continuer à dicter à
travers Espace et Temps -(notemment pour
mieux aider que je ne l’ai fait tous ceux qui avaient le SIDA dans le passé
mais aussi dicter une liste de près de trois mille puits de pétrole, des
gisements moins importants que ceux -(dont j’ai eu à dicter les points de
géolocalisation), représentants au moins cinquante et un pour cent des réserves
dès les années 1985, et etc. mais aussi j’aurais pu dicter comment rétablir la vision d’Ôz)- si
le docteur Marcel s’était seulement donné la peine de comprendre ce que
représentaient d’exceptionnel comme virtualités / possibilités pour nous tous
mes interventions dans le passé – celles-ci ayant été ainsi vérifiées avoir eu
lieu d’avance et en même temps à partir de 1967 et 1977 tandis qu’elles eurent
lieu dans la réalité à partir de 2005]-
Fichier audio XVIII
et ce qui va être
dès qu’on aura interdit à la vente les dosages de 50, 75, 100, 125 et 150 mg et
etc. parce qu’ils sont absolument criminels contre
l’humanité, car ils sont les dosages qui poussent au suicide à cause de la
souffrance causée par certains des effets indésirables qui sont à mesure qu’on
augmente le dosage de plus en plus -(à
mesure que l’on prescrit l’un ou l’autre de ces dosages, en les
augmentant)- intolérab[i]lissimis…simissimes,
au sens d’insupportabilissimis…simissimes –(je sais de quoi
je parle, je n’exagère pas / aucunement, ces souffrances causées à partir du
Risperdal 25 mg ou/et du Xeplion 25 mg sont aussi horribles
/ affreuses / martyrisantes / torturantes / insupportables / douloureuses / etc. /
… que ça, (sauf probablement un tout petit peu moins pour Xeplion 25 mg), ce
qui contraint eanmeailleural[l]ement, au sens d’impérativement, à/de sevrer).
Aussi ce 25 mg de Risperdal, à cause de ses effets
indésirables, ce sera comme -[autrefois – ce
qui est hélas toujours le cas au moment où je corrige / CARÉ -(corrige, augmente, abrège, relis,
[ré]élabore)- cette note de bas de page]- 150
mg -(soit le plus haut dosage possible, donc un nouveau
maximum mais un maximum soucieux du patient : de le faire le moins
possible souffrir)- sauf que c’est
heureusement 25 mg, soit -(ce qui
sera)- le maximum du maximum -(aussi
on pourra comprendre que 150 mg = 25 mg, l’échelle ayant changé car la barre
ayant été mise enfin plus raisonnablement à ce dosage de 25 mg comme maximum on
est alors soucieux de faire souffrir le moins possible le patient -(bien
que n’ayez crainte il souffrira – j’ai vérifié avec le Risperdal 25 mg, c’est
encore horriblissimis…simissime à
vivre à 25 mg, cependant que s’il s’agit du Xeplion 25 mg il est probable que
cela le soit un peu moins), mais
en sachant qu’on doit, dès que possible, sevrer à partir de ce dosage de 25 mg,
soit sur un an, soit sur six mois, soit sur trois mois, soit le plus vite
possible sur un mois -(donc passer de
cette dose de 25 mg à plus rien du tout au bout d’un mois, ce qui, n’ayez
crainte aura été douloureux)- avec
les nouveaux dosages qu’on trouvera un peu plus bas pour une médecine enfin
plus humaine / juste et respectueuse de l’univers, voire des univers qu’est /
que sont, de façon générale, » un « patient, soit » un
« être humain ayant eu, nous l’espérons pour lui, accès à sa conscience).
25 mg de Risperdal ou de Xeplion, c’est le maximum
qu’un être humain normal puisse supporter / encaisser psychiquement et
physiquement -(N. B. : suite après le paragraphe suivant
– ce paragraphe aurait normalement figuré dans une note de bas de page gigogne
si on avait suivi mon conseil de les créer à ce sujet dans le logiciel de
traitement de texte Word depuis la fin des années 90 quand
j’en ai eu l’idée et cette note de bas de page aurait été probablement plus
aisée à lire)
-(tous ceux qui vous diront qu’on peut prescrire
au-delà –[donc plus]- de 25 mg –[évidemment avec
le corollaire du médicament correcteur –(comme l’Artane 5 mg), car sans correcteur
c’est, à 25 mg de Risperdal ou de Xeplion, douloureusissimis…simissime
et insupportab[i]lissimis…simissime et etc. et …, donc à la
limite de l’impossible à vivre / supporter tant cela fait mal – d’où la
nécessité de commencer le sevrage aux doses –(tenant compte de mon expérience
d’homme de Sciences exactes)- ci-dessous dès le mois suivant, voire au très
grand maximum trois mois après]- mentent
et obtiendront mathématiquement l’une ou l’autre des réincarnations les plus
malheureusissimis…simissimes et etc. qui attendent les charlatans, faussaires,
menteurs, tricheurs, comme tous ceux qui font souffrir, etc.)-
et, bien sûr, en prenant avec, trois comprimés par jour
d’Artane 5 mg -[en tant que correcteur]- et un demi Lexomil réparti en deux
prises d’un quart distantes de douze heures –(cependant que si le patient
demeure encore angoissé on peut prescrire un peu plus d’un quart de Lexomil –
bien que cela ait des effets indésirables qu’on pourrait éviter en se tenant à
deux fois un quart par jour, ce qui n’est pas non plus obligatoire car cela ne
concerne que ceux qui seraient angoissés avec Xeplion 25 mg, voire Xeplion 12,5
mg, voire Xeplion 6,25 mg ou Xeplion 3,125 – à ce dosage comme aux
suivants : Xeplion 1,5625, soit 1,5 mg et Xeplion 0,75 mg il est probable
qu’on n’ait plus besoin de Lexomil. Aussi à mesure qu’on atteindra ces dosages
les plus petits, on aura à parallèlement sevrer du Lexomil le patient, sauf
qu’on ne pourra pas sevrer de l’Artane 5 mg étant donné qu’il est très probable
que ces dosages à première vues faibles sont toujours à générer des effets
indésirables des impatiences et des maux dans les pieds comme aussi des toux et
etc. -(les problèmes dermatologiques)- mais surtout, hélas infiniment hélas,
dans certains cas / SPOK le pire du pire avec les bourdonnements dans les
oreilles -(soit les acouphènes qui, peut-être, à ces doses plus faibles ne se
manifesteraient pas / plus), voire tous les autres effets indésirables,
cependant qu’ils seront logiquement beaucoup moins importants / forts -(donc
un peu plus supportables par le patient ainsi en plus réelle voie de
guérison)- qu’aux dosages au-dessus
de 25 mg). Il y a, ne l’oublions pas, aussi un somnifère à prescrire -(si le
patient rencontre des difficultés à/pour dormir)-
comme le Zopiclone 7,5 mg comme/ou/et -(alors en plus)- un cachet de Doliprane
1000 mg.
Je le répète ce dosage de 150 mg, comme celui de 100
mg, 75 mg et 50 mg doivent être à jamais interdits par tout car, je les ai
vérifiés sur moi-même en vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz, soit vos pharaons et vos bouddhahs,
donc aussi à titre de Grand Inspecteur quand, le jour de mon hospitalisation,
on m’a, parait-il, (aux dires de l’infirmier François Martineau et à vous
croire récemment), administré au moins 150 mg de Risperdal, voire une autre
substance qui serait l’équivalente de Risperdal 150 mg -(soit si ce n’est pas
du Risperdal une substance dont je vous prie d’avoir la gentillesse de me
retrouver le nom ainsi que le dosage dont je fus victime, tant les souffrances
qu’elle génère, tant physiques que psychiques, sont inadmissibillis…simissimes
car insupportab[i]lissimis…simissimes et extrêmement
douloureusissimis…simissimes et etc, , au paroxysme de ces
mots mis au cube -(à la puissance 3), voire plus encore – soit si affreux
/ atroce à vivre que nous sommes contraints de mettre
/ lire ces mots ci-dessus en gras et en majuscules à bien plus qu’au carré
d’eux-mêmes ou/et au cube, soit ce qui est infiniment
insupportabilissimis…simissime, donc le mot érigé à la
puissance infinie, soit ce qui a duré à chacune des secondes durant toute
l’hospitalisation avant, (en 2013, à la sortie
de cette hospitalisation et à mon retour chez moi), de
me prescrire le Risperdal 25 mg – dont, vous savez, j’eus -(en
raison des archi-douleurs qu’il me procurait certes inférieures de celles de
150 mg, cela est évident, mais tout de même à cette dose de 25 mg douloureusissimis…simissimes
et insupportabilissimis…simissimes et etc.)- à me
sevrer de trois mois en trois mois jusqu’à 2014. Puis, hélas, infiniment hélas,
de façon moins rapide jusqu’à 2017. Substance qui m’a été de nouveau -(à
moins qu’il ne se soit agi d’une autre -[substance])-
administrée au début de mon ultime hospitalisation d’/en avril 2017, alors que
la torture a été interdite depuis longtemps dans l’Union Européenne -(par
conséquent dans la rRégion France aussi). Ce qu’on me fit souffrir au cours de
cette hospitalisation de 2017 -(et à la sortie de
celle-ci), qu’on se le dise, est la torture au paroxysme
de l’insupportabilissimis…simissime. Aussi il convient de
faire le nécessaire pour que cela n’advienne plus jamais à/pour quiconque,
d’autant que ces tortures ne sont pas seulement physiques mais psychiques comme
à l’origine des acouphènes -(N.
B. : Suite à la fin du paragraphe suivant).
-(un des effets indésirable du Risperdal et/ou du
Xeplion –[inscrit[s] sur la notice d’accompagnement de ces produits
pharmaceutiques en tant que » bourdonnements dans les oreilles «, ce
qui est effectivement l’une des explications de ce mot d’acouphène[s] dont on
n’a pas inscrit le mot pour des raisons qu’il serait réservé aux gens les plus
savants, soit normalement les médecins qui sont censés -[une
fois ces acouphènes présentés en tant que » bourdonnements dans les
oreilles «]- rétablir dans leur tête,
voire/donc faire le lien quand on leur parlera d’acouphène(s) les sachant,
[parce qu’ils doivent savoir la définition de ce mot]- entre autres,
l’équivalent]),
-[(ce qui est le malheur des
malheurs, soit malheureusissimis…simissime et parfaitement synonyme du
paroxysme de l’insupportabilissimis…simissime car au plus haut degré du
douloureusissimis…simissime, bien qu’il y en ait -[de]- plusieurs sortes des
acouphènes avec ceux qui sont moins
insupportabilissimis…simissimes que les insupportabilissimis…simissimes,
soit ceux que j’eus la chance d’avoir quand heureusement une fois en position
debout quelques temps, les plus forts -(soit -[les]- absolument invivabilissimis…simissimes,
disparaissaient au profit des tout juste supportables mais
qui sont à la longue, eux aussi, insupportabilissimis…simsissimes
et invivabilissimis…simssimes cependant qu’un
peu moins que les plus atroces au
point, heureusement, après un certain temps de disparaître en donnant la place
au merveilleux silence.
Ce sont donc les molécules du Xeplion 50 mg
–(attention leurs tailles ne sont pas aussi petites qu’on [ne] le croit)- mais
aussi de la substance qu’on m’a inoculée à mon arrivée à Sainte-Anne qui, une
fois dans le sang, va naturellement irriguer le cerveau, au point, en position
couché, donc quand on dort ou qu’on se repose un certain temps, de déclencher
ces acouphènes les plus atroces et/ou au paroxysme de
l’invivabilissimis…simissime car
il s’agit de souffrances absolues -(au
sens négatif de ce dernier mot et non positif, ce qu’il a dans d’autres SPOK),
cependant que la position debout modifiant la qualité de l’irrigation cervicale
modifie la nature de ces acouphènes ou/et bourdonnements au point de les rendre
-(dans mon SPOK/cas particulier)- un peu plus supportables que les
pires des pires et enfin après quelques temps de
ces tortures ou/et martyrs de
laisser enfin place au silence alors autant réparateur qu’il me donnait espoir
qu’en comprenant combien je souffrais, on allait cesser de m’administrer
-(évidemment)- contre mon gré la cause de ces souffrances, soit ce Xeplion 50
mg ou ce Risperdal 50 et cela aussi en toute logique avec l’Abolition de la
torture et si on ne le croyait pas possible -(comme
je le savais à contrario possible et à appliquer / faire en
pareil cas)- de supprimer tout
simplement cette dose de Xeplion 50 mg d’une seule fois pour, comme je le
demandais / proposais / suppliais / conseillais / etc. , ne plus me donner
aucune espèces de médication ou alors
-(N.
B. : Suite à la fin du paragraphe suivant ci-dessous).
–(étant donné que, depuis 2013, soit plus de sept ans,
je ne communique plus à travers Espace et Temps de la manière qui fut la mienne
à partir de 2005 jusqu’à 2013 depuis le studio de la rue du Val de Grâce sur
les années 1967 et 1977 -(et/car je ne dérange plus mon voisinage, soit depuis
que je me suis installé, en 2013, à ma nouvelle adresse rue de l’École
Polytechnique pour écrire mes lettres explicatives des Sacrifices -(auxquels
tous les responsables de 1967 et de 1977 me contraignirent alors que je n’étais
âgé que de quatre ans et de quatorze ans)- aux très-saints-pères les Papes Benoît XVI et François,
mais aussi aux présidents de la République française comme
à d’autres personnalités)-
me sevrer par le palier de Xeplion 25 mg et enfin
par étapes, comme je le fis avec l’accord de Madame la doctoresse Nicole Koechlin
au point qu’en 2014 je devais prendre une demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines ce qui signifie en 2017 que j’étais
-[comme]- sevré depuis trois ans quand le docteur Marcel a décidé -(comme un
malade mental, à contrario de toutes les logiques les plus exactes et vraies en
Médecine[s])- de m’hospitaliser alors qu’on m’injectait une demi-dose de
Risperdal toutes les sept semaines, soit que nous étions entrain de nous
approcher de la fin du sevrage après la demi-dose de Risperdal
25 mg toutes les neuf semaines vers laquelle nous allions, ce qui
malheureusement n’a pas pu se produire à cause du sacrilège de cette dernière
hospitalisation décidée totalement arbitrairement, donc de façon abusive et
sacrilège et en ayant pour motif des excuses totalement irrecevables que vous
savez je vous ai dites dans mes derniers messages – car si je devais avoir posé
un problème par mes rires -(en relisant les lettres que j’écrivais)- ou en
continuant une ou deux fois ma psychanalyse à haute voix chez moi après dix
heures du soir ou pour d’autres raisons, vous m’avez bien rassuré en me disant
qu’on n’a pas le droit de mettre quelqu’un à l’asile psychiatrique autant de
temps où je le fus -(et empoisonné
par les doses exorbitantes / torturantes / martyrisantes / invivables /
insupportables / etc. du produit dont je ne sais pas encore le
nom)- parce qu’il rit une ou deux fois après dix heures du
soir, ni pour avoir eu dix heures de retard pour une injection d’une demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, soit hélas la cause qui a été avancée
/ donnée -(sur laquelle s’est appuyé)-
pour rendre à première-vue « légitime » -(juste)- cette
hospitalisation forcée par le docteur
Marcel ce matin-là d’Avril 2017 à mon domicile quand il vint me chercher
pour m’hospitaliser alors que j’avais oublié que la veille j’avais au moins
jusqu’à cinq heures de l’après-midi pour renouveler mon injection de la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, soit ce qui devait décider ma
psychiatre madame A. à me prescrire cette demi-dose de
Risperdal 25 mg -(en toute logique
avec la poursuite et la fin du sevrage initié début 2013)- toutes
les huit semaines, puisque vous pouvez le vérifier, j’étais depuis plus d’une
année à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines ! Aussi, je le redis ici aussi -(au risque de me devoir répéter),
donc je le maintiens tout-à-fait : mon retard de quelques heures, soit la
raison invoquée par le docteur Marcel, ne sera jamais acceptable par tous les
plus véritables médecins étant donné qu’à ce dosage de la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines depuis plus d’une année et demi -(je
vous ai fait et remis une copie couleur de mon carnet d’injections qui
l’atteste), je pouvais, sans
problème[s], avoir une à deux semaines de retard, voire -(ce
que j’avais espéré depuis 2014 que Madame la doctoresse Nicole Koechlin
comprendrait, quand nous étions arrivé à la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines)- cesser
à jamais les injections de ces demi-doses de Risperdal 25 mg
-(et me déclarer guéri – ce pourquoi j’avais été autant patient avec elle
depuis 2013), car tout médecin véritablement intelligent voyait bien qu’on
pouvait décider, dès ce moment-là, que c’était en réalité la fin du sevrage,
sans avoir à attendre l’étape de la demi-dose de Risperdal 25
mg toutes les sept semaines voire toutes les huit semaines ni l’injection qui
suivrait toutes les neuf semaines ! Aussi j’espérais que le docteur
Jean-Luc Marcel comprendrait que s’il avait quelque chose d’autre à me
reprocher que cet infime retard d’une demi-journée –
(ce qui n’était apparemment pas le cas puisqu’il insistait en me répétant que
c’était le fait que j’avais oublié de venir la veille au Centre Médical
Psychologique pour l’injection de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines)
– il pouvait me contraindre de repasser à la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les six semaines, voire toutes les cinq semaines pour
nous éviter cette hospitalisation qui n’avait aucun sens puisqu’elle ne
s’appuyait sur aucune cause[s] recevable[s], étant donné qu’à ce dosage de
Risperdal 25 mg, soit cette demi-dose toutes les sept
semaines, mon « retard » pour l’injection toutes les sept semaines
n’était, sur le plan médical comme logique ou mathématique -(ce
sur quoi s’appuient tous les sevrages les plus exactes et cohérents donc justes
comme celui qui était en cours avec moi depuis 2013)- pas
encore un retard suffisant pour être acceptable en tant que tel avec ce genre
de conséquences disproportionnées / démesurées à l’origine d’une nouvelle
hospitalisation et hélas des souffrances en
définitives incommensurables qui furent les
miennes jusqu’à aujourd’hui)]-
Soit une substance en réalité -(au
sens d’en conscience)- impossible à prescrire -(celle
qu’on m’administra au début de cette dernière « hospitalisation ».
Est-ce qu’on peut appeler » hospitalisation
« une situation qui vous fait souffrir des
milliards de milliards de milliards de milliards et plus encore de fois plus de
ce qu’en raison du sevrage réussi du Risperdal 25 mg vous ne souffriez presque
plus à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines ? Moi je dis non, car ici c’est rendre artificiellement malade une
personne qui allait très bien au point qu’on ne peut que penser qu’on fait
l’objet des maux les pires, bien qu’on se rassure un peu en comprenant qu’on
n’est pas en camp de concentration en raison de plusieurs points de différences
indéniables, cependant les douleurs sont telles qu’on est certain qu’on va
mourir d’un instant à l’autre et c’est alors qu’on espère en mourir le plus
vite possible –(cependant que comme on s’est vu d’avance -[en 2015] – et
vidéographié dans le ciel trente ans plus loin, soit en 2045, on sait que cela
ne va être le SPOK/cas)- d’où qu’on souffre très injustement de ne pas pouvoir
mourir car ce qu’on éprouve comme douleurs tant physiques que psychiques est
impensable à imaginer : l’horreurissimis….simissime
et etc. -(tous les autres mots qu’on a déjà lus plus haut
avec les superlatifs vraiment absolus que j’ai créés pour l’occasion)- et
c’est encore peu dire car jamais aucun mot ne pourra réussir à traduire ces
douleurs / maux, mais seulement donner une idée, ce qui est déjà bon à savoir /
comprendre -(grâce à la transcription de la réalité par la
médiation des mots, soit l’écriture)- par
tous ceux qui chercheront à soulager d’autant de maux, soit normalement les
médecins et les infirmiers. Or ce sont eux qui prescrivent des doses
aussi douloureusissimis…simissimes et
insupportabilissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes et à l’origine
de ces tortures infinies / extrêmes tant psychiques que physiques -(acouphènes, impatiences, maux dans les pieds, toux,
etc.)- alors que torturer quelqu’un est interdit en Europe
-(par conséquent en France et bien sûr à Paris). La personne en cause -(soit moi-même)- ne souffrait nullement ni s’était de
quelque façon conduite en dérangée / absurde -(soit de manière non logique ni
incohérente) / inconscientes / voire folle / dépravée / etc. .
C’est à ne plus rien y comprendre, soit le monde à l’envers
et totalement incohérent avec les objectifs les plus véritables de la / en
Médecine qui elle – je l’ai démontré sur moi-même – soigne véritablement /
vraiment puisque une personne ne souffrira plus psychiquement ni physiquement,
une fois devenue végétarienne depuis longtemps -(ce
qui est à la portée de chacun et qui peut se réaliser comme un progressif
sevrage des charcuteries, des pâtés, des viandes et des poissons, etc. sur plus
ou moins longtemps, donc grâce à un sevrage raisonné à géométrie variable)- étant
donné que nous avons pu vérifier de 1967 à 1977 mais aussi de 1977 à 2005 que
la cause de la plupart des maladies psychiques proviennent d’une situation
alimentaire qui est, dans cette époque qui est la nôtre, encore -(localement)-
fausse / injuste / inappropriée et incohérente -(à
l’origine des souffrances animales des animaux pacifiques et inoffensifs – ce
qui n’est pas acceptable)- avec les aspirations et les objectifs
les plus nobles de chacun et de chacune des religions mises-à-jour -(ayant
fait leur mise-à-jour en tenant compte des avancées / progrès, mais aussi des
avancées des corolaires des autres religions)- soit
en raison de cette situation alimentaire occidentale à l’origine -(la cause)-
de tous les types d’incohérences vis-à-vis de ces objectifs désirables /
attrayants / séduisants, les plus nobles des uns et des autres, en raison de ce
qu’on veut coller / correspondre / incarner le mot d’Amour -(du moins pour se
comporter en amour[s])- y compris vis-à-vis des représentants des religions les
plus belles / admirables / souhaitables / meilleures / idéales / merveilleuses
/ plus justes / etc. permettant, qui plus est – si devenu[s] végétarien[s]
depuis de nombreuses années -(comme j’eus à le
démontrer en m’utilisant moi-même comme cobaye public / officiel) - de
retrouver cette conscience, soit avec elle la Vérité, voire pour cela de
l’approcher -(au sens de comprendre pourquoi)- par
toutes celles plus relatives -(dont celles
proposées par les religions)- permettant
de se faire une idée très /plus réelle du Saint-Esprit).
Cette substance qu’on m’a donc injectée à mon arrivée
à Sainte-Anne est totalement criminelle contre l’humanité à ce dosage auquel il
me fut, contre mon gré, administré, avant qu’à ma sortie trois ou quatre
semaines après de Sainte-Anne, on me prescrive une dose de 100 mg de Xeplion
jusqu’en juillet 2017 où je suis passé -(dans
le cadre du sevrage décidé et promis par Madame la doctoresse A.)- à cette
dose de Xeplion 50 mg -(et cela d’autant
plus de l’énormissimis…simissime contraste ou/et différence de
traitement : car cela faisait depuis 2014 que j’étais quasiment sevré en
ayant une injection d’une demi-dose de Risperdal 25 mg toutes
les cinq semaines), ce qui est toujours insupportablissimis…simissime
et inadmissibilissimis…simissime car toujours douloureusissimis…simissime et
invivablissimis…simissime bien que, bien sûr, deux fois moins
qu’à Xeplion 100 mg -(qui est au paroxysme du
paroxysme du paroxysme infiniment douloureusissimis…simissime et
insupportabilissimis…simissime et etc. , mais évidemment
un tiers de moins qu’à 150 mg, ce qui est une évidence élémentaire qui en dit
un peu plus long que pour 100 mg à l’aune de ce que c’est -[que]- le Xeplion à
50 mg sans le bon correcteur -(j’ai mis deux ans à trouver le bon correcteur
qui est l’Artane 5 mg -(trois comprimés
par jour -[ou deux et demi – ce qu’il vaut mieux)]- en deux prises à peu près
toutes les douze heures – en fait la seconde prise neuf heures après la
première avant le petit-déjeuner ou après)- car
le correcteur qu’on m’a donné durant l’hospitalisation n’était pas le bon
puisqu’il augmentait la douleur au lieu de la diminuer -(je
l’ai ensuite vérifié après une période atrocissimis…simissime,
insupportablissimis…simissime et invivablissimis…simissime sans
correcteur): il s’agissait du
Lepticure qui était prescrit d’office, mais on avait le choix avec l’Akinéton
qui lui, je l’ai aussi vérifié ensuite, quand j’étais à 50 mg de Xeplion, fait
encore plus mal. Aussi rend
presqu’aussi douloureux 50 mg de Xeplion que 100 mg !).
Aussi ce que vous comprendrez -(dans
cette lettre à toutes fins utiles )- est aussi que :
Ces dosages de Xeplion -(comme de Risperdal)-
50 mg, 75 mg, 100 mg, etc. sont,
N. B.:
Suite après les seize paragraphes suivants ci-dessous :
[1]-(comme pour ces autres neuroleptiques de l’aldol qu’on
a cru, dans les années 90, pouvoir me les prescrire quelques semaines à des
dosages martyrisantissimis…simissimes donc
insupportab[i]lissimis…simissimes et etc. -(qui
auraient pu m’être évités parce que tous -[les
responsables / les dirigeants -(dont ma mère impératrice et mon père
empereur)]- étaient au courant,
depuis 1977, de l’origine de ce que je ne serai pas au mieux de ma
forme durant cette période 1977-2005 à cause d’amnésie exigée pour réaliser de
façon canonique en pareil SPOK mes sacrifices de séparation -(d’avec
mes promises S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang et S. A. I. S. S. S. S.
P. Michèle Finck)- à partir de 1963,
1967 et 1977. En effet, tous savaient
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous
[2]-(à l’exception de ma
personne amnésique des périodes de mes apparitions dans le ciel, trente-sept et
vingt-sept ans avant d’avoir rejoint en chair et en os l’emplacement d’où ces
apparitions / émissions s’étaient produites. Aussi ces apparitions avaient été -(trente-sept
et vingt-sept ans avant que je n’ai à les [re]vivre en chair et en os)- des ante-prima –[des
avanpremières / avant-premières]- en
virtuel et non du réel, ce qui n’adviendrait dans la réalité qu’à partir de
2005 – soit du futur -[vu]- depuis -(à partir des)- les points de 1967 et 1977
où ces apparitions / elles étaient advenues)-
[3] Suite de la
fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :
que je
n’allais pas bien -(à partir de 1977)- en raison de l’amnésie canonique que
j’avais dû m’imposer de ma fiancée Christine comme aussi de mes apparitions en
1967 et 1977 en ante-prima dans le ciel, [moi]- immense, sous
la forme de nuages. Une amnésie que j’avais dû m’ingénier à obtenir de moi pour
pouvoir, le jour venu, rencontrer ma seconde promise –(qui avait été ma
première promise à ma naissance en 1963, avant la naissance de ma seconde
promise Christine et dont nous avions su par mes apparitions tant audio que
visibles/visuelles dans le ciel à partir de 1977 qu’elle existait très
réellement dans le cas de figure de la Création dans lequel on nous
contraindrait, Christine et moi, à partir de 1967 et de nouveau à partir de
1977 à nous séparer sacrificiellement et à perdre les enfants que nous attendions -(potentiellement
/ très probablement en raison de ce que j’avais vu apparaître à mon doigt
annulaire des hommes mariés un anneau immatériel immaculé, soit le centre de
l’aîné de mes enfants, voire la confirmation que d’avance il/elle se savait
marié.e à son tour attendant ses enfants -(mes petits-enfants)- qui dans le
futur avaient probablement donné leur feu vert se sachant mariés eux-aussi
avant la naissance et ainsi de suite infiniment pour constituer la pyramide de
mes descendants ayant trouvé chacun leur parèdre adamantine des origines et
tout cela durant Le Rétablissement de la Vision d’Ôz que
Christine et moi proposions avec l’accord de ma seconde épouse Michèle Finck de
laquelle on nous confirmait depuis les années 2005 et suivantes que j’avais
également une pyramide de descendants puisque l’anneau immatériel immaculé
était réapparu vers 2005 à mon doigt annulaire des êtres humains les plus véritablement
mariés)- l’un de l’autre, [donc
avant même nos respectives naissances, ce qui avait probablement décidé de nos
respectives réincarnations]). Ainsi, amnésique de ces exceptionnelles
apparitions tant visuelles qu’audio de ma personne à partir de 1977 -(et
uniquement sonores à partir de 1967)- et de mes
sacrifices avec Christine, j’avais pu rejoindre S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle
Finck sans lui vouloir aucun mal d’autant plus du par moment inconscient, soit
laipis que j’avais ainsi, à cause de cette amnésie, pu devenir. Aussi cette
amnésie que je dus contracter était, à cause de cela, dans ce SPOK/ cas … , absolument indispensable : l’unique possibilité /
solution
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous
[4]-(c’est-à-dire en évitant de me venger, voire de
lui reprocher avec Christine notre sacrifice de séparation et à cause de cela
la perte de mes/nos enfants d’avec Christine, voire d’autres choses, étant
donné que nous avions appris d’avance du ciel -(où
j’étais, (à partir de 1967 et de nouveau à parti de 1977), apparu –
donc à ces dates-là d’un de mes moi-mêmes d’avance dans le futur, le ciel
s’étant révélé ainsi être depuis 1967 trente-sept ans plus loin dans le futur
et depuis 1977 vingt-sept années plus loin dans le futur, soit 2005), à partir
de 1967 et années suivantes, mais une fois encore à partir de 1977 et années
suivantes, [en ce qui me concerne ces deux années synchrones avec l’année
2005], que Michèle était réellement une de mes promises
officielles puisque j’avais eu pour elle l’apparition de l’anneau immatériel
immaculé à partir de 2005, ce qui confirmait que nous attendions nos enfants).
[5] Suite de la
fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :
Aussi je devais rejoindre Michèle canoniquement par
rapport à la situation dont nous avions été Christine et moi les victimes,
puisque S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck n’avait pas voulu, en 1977, par
téléphone
N. B. : Suite avec
la proposition après le paragraphe suivant ci-dessous
[6]-(alors que nous faisions
ainsi connaissance, moi depuis Rome et elle à Strasbourg – moi-même -[aux yeux
de tous]- dans le ciel ayant transmis à l’âge de quarante-deux ans le numéro de
téléphone de Michèle à Strasbourg à ma personne vingt-sept ans plus jeune en
chair et en os dans le passé, à partir de 1977 âgé[e] de quatorze ans)-
N. B. : Suite de la
fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus
[7]de ma proposition
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous
[8]-(des deux femmes
légitimes –[Christine et elle Michèle] que j’aurais à épouser puisqu’en raison
de l’anneau apparu pour l’une comme pour l’autre -(en 1977 et à partir de
2005), j’attendais donc -(depuis avant-même nos naissances respectives)- de
l’une et de l’autre, des enfants)-
Suite de la fin de la
proposition avant le paragraphe précédent ci-dessus
[9]en tant que vos dévoués
serviteurs empereur et bouddha[hs],
(soit ce que j’ai fini par appeler un eanmeailleurs et qui est
synonyme d’» éveillé par acquis de conscience «), ce
qui allait me contraindre à m’ingénier à devoir devenir un strictement laïc,
un uniquement athée, souvent un ignorant, à me profaner
en devenu souvent un inconscient et sur certains points, sans même
le savoir, un sacrilège, soit un des laipis -(avec
ce mot, il s’agit d’un acronyme des initiales en noir plus foncé des mots
précédents dont la première lettre a été imprimée plus foncée)- pour,
le jour venu, aborder Michèle canoniquement -(au
sens de conformément -[c’est-à-dire en conséquence de]- à ce
qui s’était passé à partir de 1977 pour nous tous -(et en 1967)- avec mon
apparition audio-visuelle à Rome dans le ciel moi, à l’âge de quarante-deux ans
en 2005, devenu dans le ciel de 1977 immense
N. B. : Suite après
les six paragraphes suivants ci-dessous,
[10]/[1]–[(canoniquement, c’est-à-dire en droit[s] et
devoir[s], conformément à la situation aussi exceptionnelle –[que la mienne
avec Christine]- soit le,a -(le/la)- SPOK analysé.e en conscience -(que
je retrouvais en moi progressivement à partir de 2005 par ce » travail
« au sens psychanalytique), ce
qui avait décidé dans les années 2005 et suivantes de cette amnésie à partir de
1977 suivant mes fiançailles cosmiques universelles si » incroyables mais
vraies « avec Christine -(en réalité une sorte de mariage céleste -[avec
mes interventions et apparitions depuis le ciel, ma personne mesurant – c’est
une moyenne - six mille cinq-cents mètres constituée de nuages]- que nous avons
eu à découvrir et à vérifier être placé vingt-sept ans après 1977, soit en
2005 ! Cette année 2005 et les années suivantes marchant / fonctionnant
synchrones avec les années 1967 et suivantes et les années 1977 et suivantes).
[11]/[2]En fait il s’était agi d’une sorte de mariage
hyperissimis…simissime sacré que je célébrais grâce à ma mémoire revenue -(dans
le cadre auto-psychanalytique dans lequel j’étais)- du ciel en 2005 où, à
mesure que les jours s’égrainaient, j’en avais le souvenir qu’il avait été sur
Terre à partir 1977 -(mais déjà la fois précédente à partir de 1967 et années
suivantes)- où j’avais été / j’étais avec Christine tandis que mon double
-[dans le ciel (du futur)] – devenu immense - mais alors, du point de vu de
1977, virtuel : une virtualité -(ce
n’est qu’à partir de 2005 que cet autrefois considéré comme -[du]- »
virtuel « est devenu réalité ! D’où qu’il existe un décalage entre ce
qui est virtuel – (c’est-à-dire, si on veut, possible) – et la réalité. Et
c’est ainsi qu’on peut faire les meilleurs choix -(grâce
à ce décalage au service des meilleures prévisions)- pour
éviter ce qu’on sait être -(grâce au virtuel
– [par exemple la conception en images 3D, mais aussi les idées, dont celles
qui se révèlent :])- néfaste[s]). Tandis
qu’en 2005 cela se reproduisait
N. B. suite après le
paragraphe suivant ci-dessous
[12]/[3]-(parce que j’avais
découvert entre autre[s] que Michèle m’avait caché des éléments de mon passé
qu’elle connaissait, dont ce qu’avait représenté Christine pour moi en 1977 et
dont je n’avais, en très grande majorité, plus rien su)-
Suite de la fin du
paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :
[13]/[4]en
tant que souvenir qui me redonnait peu à peu la mémoire de ce qui s’était
produit en 1977 et en 1967 et cela dans/depuis mon studio et au Jardin du
Luxembourg, au cours de mon auto-psychanalyse et de la reproduction de façon
multidimensionnelle
N. B. suite après le
paragraphe suivant ci-dessous
[14]/[5]-(donc, entre autre,
à la fois sous une forme privée, au sens de confidentielle entre moi-même ayant
quarante-deux ans avec moi-même ayant quatorze ans, mais aussi publique car
dans mon souvenir j’avais assisté à ces apparitions sonores avec les élèves de
mon lycée français de Rome, le lycée Châteaubriand, mais aussi les romains, les
touristes à Rome, mes parents, François Mitterrand et les habitants du Vatican
en/depuis 1977),
N. B. : Suite de la
fin du paragraphe avant le paragraphe précédent ci-dessus :
[15]/[6]vingt-sept
ans après, des Avertissements, soit de la Dictée Pharaonique de la Nouvelle
Nouvelle Donne InterRégionale -(au sens d’Internationale)- Mondiale dans le
cadre de cette psychanalyse à haute voix dans ce studio à raison d’une moyenne
de huit heures par jour de 2005 à 2013, contribuant, grâce à mes consultations
d’Internet, voire du Quid et autres sources, à très
progressivement me redonner la mémoire dans l’exercice de mes nouvelles
fonctions d’eanmeailleurs -(mot de mon cru auquel j’ai donné le sens
d’ »empereur-bouddhahs « :)- liées à ma condition d’empereur -(depuis
1995)- devenu, à la suite de mes divers travaux artistiques, à partir de 2005
-(à la suite d’une subite métamorphose)- bouddhahs. Soit un éveillé par acquis
de conscience)]-
[16] Suite de la fin du paragraphe avant les
six paragraphes précédents ci-dessus :
en raison de ce que cela signifiait d’avoir
Christine et moi à nous séparer sacrificiellement pour Michèle et pour tous, en
perdant les enfants que -[potentiellement]- nous attendions Christine et moi
l’un de l’autre, en raison de l’accord / l’incitation de l’Univers pour/à notre
mariage, à cause de l’apparition -(quelques secondes)- de l’anneau immatériel
immaculé -(quand j’étais ce jour-là de 2005 –[alors que
je déménageai pour le studio de la rue du Val-de-Grâce]- dans la pénombre de
l’entrée du studio que j’habitai 32 rue Pierre Nicole à Paris Vème)- à mon
doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés après avoir pris soin
chacun de devenir l’un des bouddhas, soit un des éveillés / responsables par
acquis de conscience),
(Suite de la fin du
paragraphe avant les seize paragraphes précédents ci-dessus :)
beaucoup trop fortement dosés et je l’affirme
en toute vérité, à ces dosages -(voire celui de 25 mg sans les médicaments
corolaires du correcteur Artane 5 mg dont nous avons parlés)- responsables des
suicides et/ou tentatives car leurs effets indésirables sont des plus atrocissimis…simissimes,
pénibilissimis…simissimes, martyrisantissimis…simissimes,
douloureusis…simissimes, insupportabilissimis…simissimes,
et etc., ce qui est hélas, infiniment hélas, encore le cas/SPOK à 25 mg, mais
heureusement un peu moins, voire beaucoup moins qu’à 100 mg -(quatre fois
moins)- et infiniment moins qu’à 150 -(six fois moins) !
Logique -(dans celle -[de logique]- des plus
simples -[au sens d’élémentaires], voire des innocents -[cependant qu’ayant été
scolarisés]- qui est à-premières-réflexions faites la bonne -(de logique),
celle de la logique que vous avez utilisée pour dire que 50 mg de Xeplion c’est
« un peu » plus que 25 mg -(deux fois plus)- à l’aune des 150 mg
existants, sans tenir compte du fait que 25 mg est, en réalité, le maximum du
maximum qu’on puisse -(après mes vérifications à ce sujet de bouddhahs grand
inspecteur)- en conscience administrer à un patient -(avec le médicament
correcteur sus-mentionné)- et sans avoir, à cause de cela, le jour du Jugement
Dernier, soit le jour de votre mort à le regretter en obtenant alors, en raison
du mal et/ou de la souffrance dont vous aurez été l’auteure, l’une ou l’autre
des réincarnations les plus malheureuses et etc. , car en ayant cru pouvoir
prescrire plus que 25 mg de Xeplion -(ou de Risperdal 25 mg tous les quinze
jours)- toutes les quatre semaines, vous avez torturé -(alors
que la torture est interdite, [pas seulement en France et dans l’Espace
Européen car il s’agit d’une loi juste et cohérente -(celle
de l’interdiction de la torture en raison du respect qu’on doit aux êtres
humains vivants). Cette loi qu’on doit absolument appliquer concerne évidemment
partout toutes les autres rRégions -(au sens de nations)-
du monde])- car vous vous êtes
conduite -(sans le savoir / sans en être consciente)- en inconsciente et en
très véritable bourreau / sacrilège envers ma personne, étant donné que 25 mg
de Risperdal -(j’ai pu le vérifier sur moi-même dès 2013)- comme
je suppose de Xeplion
N. B. : suite après le paragraphe
suivant ci-dessous
-(bien qu’à ce sujet je me base sur mon expérience de
50 mg -[y compris de Risperdal – le Xeplion, avec le correcteur Artane 5 mg, je
l’ai vérifié, faisant à 50 mg un tout petit peu moins souffrir -(que le
Risperdal 50 mg), ce qui est toujours ça de bon à prendre]- ce qui signifie qu’on
est en droit de penser qu’on pourrait avoir pour Xeplion 25 mg un tout petit
peu moins de souffrance que le Risperdal 25 mg – ce qui est, une fois encore,
bon à gagner)-
Suite du paragraphe
précédent le paragraphe ci-dessus :
font
constemment horriblement souffrir et
etc.- voir plus haut la liste des superlatifs enfin véritablement absolus à
répéter / relire / redire ici !).
Aussi imaginez un peu six fois plus -(comme douleurs
qu’à 25 mg à 150 mg, voire quatre fois plus à 100 mg, trois fois plus à 75 mg,
et deux fois plus à 50 mg de ce qui est déjà à 25 mg des plus pénib[i]lissimis…simissimes,
martyrisantissimis…simissimes, douloureusis…simissimes,
insupportabilissimis…simissimes et etcétéraïssimis…simissimes -(dans
le registre des maux à souffrir en victime[s] sans les deux à trois comprimés
du correcteur Artane 5 mg deux fois par jour et etc.
–[les autres médicaments, soit les corolaires plus ou moins facultatifs /
nécessaires selon le patient comme le quart ou la moitié d’un comprimé de
Lexomil deux fois par jour et le somnifère], ce
qui a été le cas pour moi pendant deux ans), si vous pouviez encore vous
exprimer oralement ou/et par écrit, ce qui vous sera alors -(en raison de la
quantité de souffrance dont vous êtes la victime)- plus ou moins impossible,
vous auriez pu le dire et l’écrire -(y compris en cochant les expressions
proposées plus haut pour déterminer le degré de souffrances infligé[es] par les
effets indésirables de ces neuroleptiques)-, si vous n’étiez pas comme paralysé
de souffrance[s] insupportabilissimis…simissimes et
etc., qu’en ajoutant logiquement en souffrant ainsi autant
de » …simis… « de plus
N. B. : Suite dans
le paragraphe suivant mais aussi la seconde suite après le paragraphe suivant
ci-dessous :
-(et en proportion de combien vous souffrez ou avez souffert)- là
où il y a les trois petits points à l’intérieur et plus ou moins au centre,
mais légèrement décalée[s] de chacune de ces terminaisons de superlatifs
absolus qu’en toute logique j’ai créé[e]s parce que j’ai souffert cela -(et
souffre cela bien qu’un peu moins grâce à l’Artane 5 mg, correcteur que j’ai
trouvé moi-même, qui me permet d’écrire comme d’être à mes autres activités.
Cependant -(au sens de malheureusement)- que cela
advient avec beaucoup trop de difficultés à surmonter
et de constantes souffrances)-
N. B. : Suite du
paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :
pour
essayer de faire part / rendre compte de l’infinité de maux / souffrances
-(que/dont vous souffrirez en prenant ces « médicaments » à ces
dosages de 25 mg qui restent / sont encore :)- les plus douloureusissimis…simissimes -(ce
qui explique les réincarnations de prédateurs qui attendent chacun des pseudo
et soi-disant[s] « psychiatres » les ayant prescrit
N. B. : Voir ici la
suite après le paragraphe suivant ci-dessous mais aussi après les huit
prochains petits paragraphes, donc au neuvième paragraphe
[1] -(vous voyez comme je
vous aime : je vous avertis d’avance au lieu de me venger des souffrances
injustes dont je suis la victime. Demandez-vous ici si vous tenez tant que cela
à obtenir pour votre âme après votre mort, en raison de la souffrance dont vous
avez été l’auteure, (à cause de ces médicaments beaucoup trop fortement dosés),
avec les auteurs de ces médicaments et leurs complices à tous les niveaux,
l’une ou l’autre de ces tragiquissimis…simissimes,
tristissimissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes,
malheureusissimis…simissimes et etc.
réincarnations de prédateurs au lieu d’obtenir toutes celles les plus utiles à
l’être humain, voire si vous suivez les meilleurs conseils la condition de pur
esprit).
N. B. : Suite du
paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :
[2] -(ayant perdu
-(ces psychiatres)- les raisonnements les plus logiques / rationnels les plus
vrais tenant compte aussi, avant de prescrire de nombreux autres paramètres
comme ceux de » à qui profite le crime « de ces
prescriptions rendant ainsi, (avec ces dosages
exorbitants de souffrances diverses plus qu’insupportabilissimis…simissimes
et douloureusissimis…simissimes et etc. causées
par les effets indésirables), artificiellement
malade
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous :
[3] -(en s’appuyant arbitrairement sur des
présomptions irréalistes / fausses de noms de maladies pour s’autoriser la prescription
de dosages -[tout à fait excessifs]- de « médicaments » déclarés
pouvant soigner précisément ce que pourrait représenter comme état l’un de ces
mots désignant des maladies comme ils pourraient servir tout aussi
« bien » contre n’importe quoi d’autre, voire n’importe quelle
maladie, ce qui conforte alors celui qui les prescrit dans la croyance qu’il se
serait alors comporté en Médecin -(en ayant été abusé par/dans sa crédulité,
voire -[dans]- son innocence). Oui ! Bien sûr : une caricature de Médecin !
Donc ici de façon imbue -(alors que pour soigner une personne, comme un Etat,
d’un mal quelconque, il faut/convient/est conseillé de remonter à la cause
-[sûre et certaine / à 100%]- pour en trouver ensuite le remède en
s’interdisant jusqu’à là de prescrire les remèdes inadéquats car alors on a
cherché à se faire passer pour un médecin en inventant mensongèrement /
faussement le mal dont souffrirait cette patient.e en ayant eu alors l’embarras
du choix pour désigner à sa fantaisie ce mal parmi, hélas infiniment hélas,
tous les autres mots désignant les autres maux existants / possibles. C’est
alors qu’en n’ayant pas trouvé la véritable cause dont souffrirait ce.tte patient.e, soit la très véritable origine d’un problème ou
du mal d’un.e patient.e,, on ne se conduit que comme une caricature de médecin,
soit en un.e imposteur.e / -(impostrice)- et un.e usurpateur/trice -(en
très/plus véritable Médecine), soit en l’un ou l’autre des charlatans que S. A.
I. S. S. S. L.nP. [Jean-Baptiste]- Molière -(en très véritable Auteur/Créateur
et etc., [soit avec cet etc. des bibliothèques à son sujet de véritables
compétences et d’états géniaux différents])- déjà dénonçait dans l’Intérêt et
pour le Bien Général en nous ayant tous averti de l’existence de ces innombrables
faussaires en, (pourtant parfois - heureusement devenue dans bien
des cas)- sacro-sainte Médecine –
car l’une des plus véritables -(Médecines -[avec
celle des autres religions et les Arts et Sciences de l’Art, celles du
bouddhahs que je suis])- existe)-
N. B. : Suite du
paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :
[4] -quelqu’un qui ne l’est pas
spécialement, voire qui ne l’est pas du tout dans mon cas
N. B. : Suite après
le paragraphe suivant ci-dessous à lire :
[5] -(vous le voyez bien, en devenant végétarien dans
les années 90, je suis finalement, en 2005, redevenu hyper-cohérent et vrai
comme dans mon enfance à l’âge de raison car bouddhahs, soit soudain un »
éveillé « par acquis de conscience -(ce qu’à la vérité on ne peut
reprocher à personne car cela a signifié de s’infliger des peines
incommensurablissimis…simissimes, soit les efforts qu’il faut pour le devenir,
hyper-cohérent et vrai)- en dehors de ce que la
prescription du Risperdal 25 mg -(mais aussi du Xeplion 50 mg)- m’a
effectivement rendu malade, oui, mais de souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes
car douloureusissimis…simissimes. Aussi ces souffrances
disparaîtraient toutes sans exception si vous acceptez de cesser de me
prescrire le Xeplion 50 mg -(car si j’insiste autant
pour cela c’est, bon Dieu, parce qu’il le faut parce que c’est vrai que durant
ces écritures comme durant mes autres activités que vous savez -(comme toutes
celles dont vous ne savez encore rien)- je souffre affreusement
/ horriblement, infiniment et injustement trop.
Comprenez-moi je voudrais que ça cesse et vous avez le pouvoir de le faire en
me supprimant, comme je ne cesse de vous le demander, Xeplion 50 mg d’autant
que vous parviendrez à comprendre pourquoi en lisant toute cette lettre. Je
vous prie d’arrêter le traitement comme je vous l’ai plusieurs fois demandé en
Grand Inspecteur, en empereur, en bouddhas, donc en eanmeailleurs dans
l’exercice de mes fonctions, mais aussi en tant que le maître dans toutes les
autres compétences nécessaires à mes diverses activités cinématographiques,
vidéographiques, photographiques, de peintre et d’écrivain, tant passées
qu’actuelles),
N. B. : Suite du
paragraphe 4 précédent le paragraphe ci-dessus :
[6] si
ce n’est d’handicapé au paroxysme du paroxysme sur un autre plan
N. B. : Suite avec
le paragraphe suivant mais aussi après le paragraphe suivant ci-dessous -(décidemment les notes de bas de pages gigognes nous
manquent. Avec cette mienne invention de ces notes gigognes cela serait plus
simple / aisé d’écrire) :
[7] -(celui d’être le premier empereur de l’histoire
de l’aventure humaine -[H. A. H.]- à être dès sa conception
un pharaon immaculé en raison que soudain en 2005 je devins bouddhahs -(comme
le jour de ma naissance, mais aussi en 1967 et 1977), soit ce qui se traduit
par éveillé par acquis de conscience, ce qui a changé la destinée
de toute l’humanité en raison, à partir de cette soudaine prise de conscience
en/de 2005, de mes communications / transmissions à effets rétroactifs à partir
de la fin de la Seconde Guerre Mondiale, mais plus spécialement, en ma présence
pour m’en assurer, à partir de 1967 et 1977),
[8] mais
qui croit devoir faire confiance à des personnes les plus scolarisées /
soi-disant spécialistes et/ou reconnues par des pairs ou alors éprouve de
réelles difficultés à communiquer tant son cas est complexe – ce qui m’a
contraint à devoir faire de colossaux efforts d’auto-psychanalyse et
d’écritures -[saintes]- pour déterminer ces causes ou/et l’origine de ce que
j’ai dû me contraindre à faire -(les communications
salvatrices)- à partir de 2005,
une fois [re]devenu un éveillé par acquis de conscience)-
[9] -(et leurs
complices les infirmiers, mais aussi les directeurs d’hôpitaux psychiatriques,
et ou secrétaires de telles institutions, comme les ministres de la Santé et/ou
leurs responsables chefs d’Etat)- qui auront cru possible[s] prescrire
N. B. : Suite après
le petit paragraphe suivant ci-dessous :
-[en couvrant ce personnel
de leur autorité] -(ou/et participer de près ou de loin en tant que famille
du/de la patient.e à ces prescriptions martyrisantissimis…simissimes)-
N. B. : Suite du
paragraphe précédent le paragraphe ci-dessus :
ce poison
du Risperdal ou/et du Xeplion -(qui, qui plus est, n’ont, bien sûr,
qu’immensément / infiniment très peu à voir avec la
schizophrénie
Suite après le petit
paragraphe suivant ci-dessous à lire :
-(ce pour quoi, à
première-vue[s], ces médicaments seraient prescrits car à ce stade de
« réussite[s] ». Evidemment lire ce mot de » réussite
« avec toute l’ironie possible qu’il est d’usage d’utiliser dans les
SPOK/cas … comparables, avec les mots mis entre-guillemets dans ce sens 4 -[et non 7])-
et son origine, ce
qui en en sachant la cause comme je la sais -(en
Vérité car vos dévoués serviteurs les bouddhahs eanmeailleurs, soit très
véritable médecin depuis ma prime enfance – un enfant véritable –
soit comme tous ceux devenus éveillés par acquis de conscience -[un
enfant]- cela ne cesse de soigner
ses prochains)- permet enfin -(en
raison de mon expérience dans le domaine)- d’en
trouver le plus véritable remède
Suite au premier
caractère rouge du paragraphe suivant ci-dessous, voire autrement cette
suite : après le paragraphe ci-dessous :
-(car cette schizophrénie provient, en occident, de la
paradoxale incohérence de notre alimentation -(occidentale)- avec les meilleurs
conseils prodigués -[résultant des]- par les religions intellectuellement
admissibles -(ayant été fondées sur la notion de cœur, d’amour et de
compassion, et leurs corolaires vertus pour donner des règles de vie à des
personnes qui pourraient sinon se perdre dans l’existence au point, au lieu
d’évoluer, d’involuer et par conséquent n’avoir comme perspective d’avenir que
l’une ou l’autre des réincarnations animales plus ou moins intelligentes et en
raison de cela grandement éloignées de la plus véritable condition humaine
enfin débarrassée de cette animalité au sens négatif de ce mot qui heureusement
dans certains autres SPOK en aurait du meilleur, soit du bon, du plus
positif). Cette dichotomie -(cette
division / coupure, ce paradoxe)- entre les naturelles aspirations des uns
et/ou des autres au bien et de l’autre côté tout ce qui porte au mal
transparait aussi dans les Arts et sciences de l’Art comme dans la plupart des
programmes de télévision des enfants, donc en toute logique,
(et saute aux yeux quand ces enfants sont / demeurent cohérents)- quand
ils sont vrais ou/et raisonnent justement -(soit logiquement)- ils sont
naturellement justes et par conséquent des défenseurs des animaux pacifiques
et inoffensifs -(les API) -(cet amour, par exemple qu’ils ont des
personnages de Walt Disney étant le reflet des meilleurs enseignements
religieux non-violents). Donc cette alimentation occidentale est en
contradiction avec toutes les aspirations / objectifs cohérents les plus sains,
justes et spirituels. Mais on le sait il s’agit d’un héritage local,
civilisationnel, régional -(circonscrit sur notre globe)- d’une des étapes du
développement humain, donc d’une des étapes de l’Évolution grâce aux progrès de
la civilisation en marche -(se construisant)- telle qu’elle poursuit -(avec ces
coutumes de viandes –[et de charcuteries], ou pêcheries de ces API ayant fait,
malgré eux-mêmes, de la plupart d’entre
nous -(en croyant avoir le droit de les ingérer)- des prédateurs au lieu, au contraire,
de[s] bouddhas -(la finalité de la condition humaine), soit de véritables éveillés
par acquis de conscience -(É. A. C.)- ayant ainsi le
feu sacré de la spiritualité la plus pure, donc alors naturellement au service
de la recherche de ce qui est le plus vrai ou/et véritablement le meilleur en
valeur absolu pour l’alimentation de nos organismes véhiculant/portant nos
respectives âmes, celles-ci, c’est normal
N. B. : Suite après
le petit paragraphe suivant (à lire) :
-(pour
éviter la folie -[au sens négatif de ce mot qui peut dans d’autres SPOK en
avoir du positif], ce à quoi on se doit naturellement)-
recherchant à
être cohérentes ou/et vraies. Aussi, les uns et les autres, en occident nous
sommes arrivés à une époque où il n’y avait pas encore, du point de vue des
plus gâtés, toutes les solutions alternatives élégantes
-(S. A. É.)- pour se nourrir en végétariens -(comme
c’est, grâce à la succession ininterrompue des bouddhas –[soit des éveillés
par acquis de conscience –(ÉAC)], depuis longtemps le SPOK/cas
en Orient)- et l’un ou l’autre
occidental nous avons reproduit -(sans nous
méfier)- en l’intégrant en nous -(comme
si c’était la Vérité comme possible[s])- les
manières ancestrales de nos familles d’accueil, sûres de devoir nous croire
omnivores -(alors que pour la majorité des indiens -(d’Inde), soit plus d’un
milliard de personnes, elles sont sûres et certaines -[en Vérité]-
(en ayant renoué en cela avec les plus lointaines époques où les armes
n’existaient pas)- que l’être humain,
(malgré l’existence des canines dans la mâchoire -[des êtres humains]-
attestant de précédentes réincarnations dans lesquelles ces dents, plus
développées, ont joué un rôle probablement de carnivore – donc avec ces canines
comme le rappel que chacun d’entre nous est passé par la réincarnation de chien
ou de chat ou de singe carnivore, par conséquent qu’il nous faudra éviter avec
toutes les formes de régressions involutives)- soit/est
végétarien et évidemment descende de nos ancêtres les plus éloignés qui ne
connaissant pas encore les armes pour chasser et se nourrissaient des fruits
des arbres tant qu’il -(l’être humain)- demeurât nu et innocent dans la zone
Équatoriale, (berceau de l’humanité dans laquelle zone il n’y
avait nul besoin de vêtements en raison de la météo toujours des plus agréable
/ excellente, d’autant plus de la vision du Très Saint Paradis -(d’Ôz)-
(avant la très grande catastrophe –[tgc –
(s’écrit toujours en minuscule)])- qui
était alors partout autour de chacun et sur chacun)- avant
la très grande catastrophe de la scission /
division / coupure qui fut à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine
-[H. A. H.]- car après cette tgc, à cause de la chasse et du processus de
désertification lié à celle-ci comme à l’élevage intensif, il fallut
recommencer à migrer vers d’autres régions -(plus
au nord ou plus au sud de cet équateur africain d’origine, mais aussi plus à
l’Est)- qui, en raison de la météo différente de celle
équatoriale ont contraint à se vêtir l’hiver comme peu à peu à sortir des
cavernes, (l’habitat naturel), en trouvant la SAÉ – solution alternative élégante
- des premières architectures -(en bois ou en pierre)- qui se sont développées
plus loin grâce à l’invention de la scie mais aussi, pour commencer, des haches
-(de/en pierre - autre étape de l’H. A. H. – l’histoire de l’aventure humaine
– au point de devenir une arme)- dans ces régions alors explorées hors des
zones d’origine équatoriales au point d’amener certains de ces ancêtres les
plus éloignés à se sédentariser en créant ainsi la notion de hameau, puis de
village dans la forêt, puis à la campagne une fois défrichée -(cette forêt)- en
raison de la découverte – une étape fondamentale de l’Évolution - de
l’Agriculture qui a concerné ceux qui faisaient la découverte des SAÉ végétales
et/ou végétariennes,
Suite après le petit
paragraphe suivant ci-dessous -(qu’on peut néanmoins
se donner la peine ou/et le plaisir de lire) :
-(donc à premièrevue[s] aussi la SAÉ – solution alternative élégante
de l’élevage qui grâce au commerce -(une
autre étape importante de l’Évolution fondée tout d’abord sur les échanges, le
troc)- a permis de développer les premières villes grâce
à la notion/création de l’argent, au sens de monnaie, soit ce que nous avons
appelé crédits financiers propres et mérités
de droit – C.F.P.M.D. et ses variantes : revenus …
-[R.F.P.M.D.], moyens … -[M.F.P.M.D.], etc.)- et si omnivores, c’est parce que
nos ancêtres ont aimé -(au sens d’attachés spirituellement, les ayant comme des
exemples locaux à suivre)- leurs ancêtres plus éloignés s’étant pliés à ces
habitudes / façons de faire / vivre datant d’époques encore plus lointaines,
quand avant la solution alternative élégante
de l’élevage, il n’y avait que la chasse comme moyen de subsistance –(ce qui
alors prenait beaucoup de temps – [pour illustrer ici voir, par exemple, les
albums de bandes-dessinées de Rahan] – et n’en laissait que peu à
la culture des champs à cause de ce que les territoires étaient majoritairement
constitués de forêts dont on s’est d’abord servi, (comme encore de nos jours en
Amazonie)- pour édifier des maisons en bois avant, ailleurs -(dans d’autres
régions plus techniquement avancées)- de les construire en pierre, puis, pour
varier, en briques, une des SAÉ avant, au XIXème siècle, d’essayer de
généraliser la SAÉ des structures et des poutres en métal, et etc.)-
Suite du paragraphe
précédent le paragraphe ci-dessus :
pour se
sustenter et varier -(offrir du nouveau)- de l’alimentation due à la chasse
et/ou à l’élevage et ces ancêtres, s’ils ont fait une mise-à-jour en raison de
l’élevage, la SAÉ -(ce qui fit cesser les pratiques d’anthropophages de tous
ceux dont on s’est alors heureusement défendu, en légitime défense, par/avec la
création d’armes),
Aussi se sustenter en omnivore et non en exclusivement
végétarien cela a donc été mathématiquement à l’origine d’une sorte
d’écartèlement psychique qu’on fait bien de nommer schizophrénie -(donc
en fait une maladie très occidentale liée à l’état d’omnivore, soit à la
paradoxale non adéquation -(des aspirations de chacun à la bonté encouragés à
cela par les différentes religions de l’ [a]Amour), avec la réalité qui nous
offre / propose des produits à l’origine -(en
raison de la quantité des meilleures solutions alternatives élégantes végétariennes), de
la méchanceté -(aussi des personnes bonnes sont devenues à leur insu, à cause
de leur alimentation à l’origine de comportements traditionnels non remis en
question ou/et mis à jour car des besoins devenus / vus aussi -(pas
seulement ceux de réalistes en conséquence et à première-vue cohérence avec l’histoire
de l’aventure humaine -[H. A. H.]- dans nos régions
occidentales)- comme des preuves de
méchanceté. D’où l’écartèlement entre le bien et le mal et, en remède, le
besoin d’être plus véritablement cohérent[s] en renonçant à la méchanceté en
soi et en s’imposant, à partir de l’exemple de très véritables saints comme S.
E. A. I. S. S. S. L. P. Dieu Léonard de Vinci -(qu’on ferait bien au moins de
canoniser en saint –[si on ne veut pas croire qu’il était Dieu]- et mettre au
Panthéon à Paris à l’aune de ce qu’on lui doit de génial partout), de devenir
végétarien car sinon -(il y a les probabilités du danger de :)-
schizophrène, donc ce clivage, cette dichotomie sera pour les omnivores -(ce
que, ne le nions pas, nous sommes, en l’ayant du moins toujours à l’esprit
grâce à Dieu, tous. Ne serait-ce que par sécurité et en raison de
réincarnations précédentes à toutes celles, les dernières, avant la
réincarnation en être humain, en API – animaux pacifiques
et inoffensifs - herbivores quadrupèdes =
APIQH ; celle de chien et/ou de chat par lesquelles nous sommes
probablement tous plus ou moins passés avant d’obtenir en raison de très bonnes
conduites une des réincarnations en APIQH -(étant le passage obligé avant d’obtenir le droit à la réincarnation
en être humain). Aussi on comprend que
c’est véritablement bête, au sens négatif et non positif de ce mot
de » bête « dans d’autres SPOK, que de rechercher autant
que cela d’involuer à la condition animale dépourvue d’esprit, soit celle de
laipis, au lieu du contraire : évoluer, c’est-à-dire progresser vers la
condition d’éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit en l’un des bouddhas)- en
s’imposant continuellement de périodiques mises à jour et cela d’autant plus
des temps actuels / modernes / contemporains qui nous offrent toutes les SAE de
nourritures végétariennes), l’origine
de l’incohérence avec cependant toutes les aspirations à être utiles et bons,
donc à bien faire, par conséquent -[l’origine aussi]- de la
schizophrénie : écartelés, comme dans La Nuit du Chasseur de
S. E. A. I. S. S. S. L. P. Charles Laughton entre le bien et le mal
-(voir,
par exemple ici, pour illustrer, l’excellent film du Doctor Jekyl et
Mister Hyde)–
car le Bien, heureusement, en valeur absolu existe -(nous
en avons pris connaissance avec, par exemple, le sacrifice de Jésus Christ
comme ceux – des sacrifices - de tous les saints et les martyrs, mais aussi
grâce à quelques textes sacrés plus anciens de l’Ancien Testament – comme aussi
à l’occasion de ma séparation sacrificielle et la perte de ma descendance
d’avec S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang, ce qui a permis de me rendre
la mémoire quand tout a recommencé à partir de 2005, une fois redevenu un
éveillé par acquis de conscience), par
conséquent est une perspective praticable / un très réel objectif / un choix
possible / juste / bon / bienfaisant / beau / vrai -(et évidemment en toute
logique – ce qu’il convient de reconnaître car sinon on
est un menteur, soit intellectuellement un/des malhonnête[s] - n’autorise
pas en conscience de/à nous nourrir
-(autant injustement qu’on
se l’était autorisé dans les temps où les SAÉ – solutions alternatives élégantes
– n’existaient pas encore sur nos marchés),
d’animaux
pacifiques et inoffensifs, soit des API et/ou herbivores quadrupèdes,
les APIQH)-
au point, à l’inverse, pour certains d’entre nous
de ne pas/plus en savoir la cause car cela s’est produit pour tous entre notre
naissance et l’âge de quatre ans -(en général, pour
les plus avancés des enfants, l’âge de raison, soit l’âge de la première
rentrée à l’Ecole Maternelle)- où/quand
nous avons contracté certaines des mauvaises habitudes régionales /
traditionnelles culinaires de nos ancêtres et cela par amour pour eux -(en
cherchant à leur ressembler au lieu de remettre en cause leurs traditions au
fur et à mesure de la découverte de S. A. É. A. -[alimentaires]), au lieu
préférablement de nous méfier d’eux ayant de fortes probabilités de véhiculer
des préjugés en matière alimentaire -(ayant -[très probablement]- été victimes de
ces nombreux préjugés et n’ayant pas cru pouvoir mettre en doute ces
à-premières-vues bienfaits traditionnels)- au point,
à l’âge de raison, par acquis de conscience, de repérer ce qui n’était pas/plus
cohérent chez eux, donc d’être vigilant comme le Petit Poucet –[ou/et Léonard
de Vinci]- ou/et vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz)-
Ces parents n’ayant pas poursuivi leur évolution en
toute conformité / logique avec les progrès accomplis par la civilisation. Et
cela par tous ceux qui ont continué à se nourrir d’A.P.I. au point d’être à
l’origine même du réchauffement planétaire et de la prédation ou/et du
vampirisme des don Juan -(autre maladie, le don juanisme !)- qui est /
résulte de certaines des manières d’être d’adolescent[s], causées par les choix
malheureux de départ pour s’alimenter car ils ont à l’origine de nombreux
malentendus / incompréhensions / manque de réflexion[s] les plus honnêtement
pensées, (la mise-à-jour conformément à nos principales
avancées n’ayant, dans encore de trop nombreux SPOK/cas particul… , pas été
faite)- voire des injustices qu’on a, en complice[s], eu la
lâcheté d’accepter ou parfois d’en être les auteurs comme ce fut mon cas
enfant, sous la contrainte et l’intimidation de mon père ayant été convaincu
par des pseudo et soi-disant médecins de la génération de ses parents de la
nécessité des protéïnes provenant de la viande animale des API, au lieu de
chercher / consommer les protéines SAÉ végétales -(qui font exactement le même
effet, sans avoir eu besoin que les auteurs de celles-ci ne se rendent complice
de ceux qui croient encore possible faire le mal en versant le sang d’animaux
innocents pacifiques et inoffensifs -(AIPI), soit s’attaquer lâchement à ces
SAE alors que ces SAÉ existent pour nous permettre de vivre d’une façon
cohérente avec les notions de bien, beau, bon, fécond, etc. , ce qui évite
alors de devenir schizophrène -(le choix du bien
ayant été fait car il est totalement possible depuis longtemps en Europe –[au
moins depuis la Renaissance, à l’époque de S. É. A. I. S. S. S. L. P. Léonard
de Vinci]- dans tous les cas, soit pour chacun des SPOK, soit chacune des
situations précises, donc étant en fait depuis longtemps à la portée de
quiconque / tous)- et cela parce que se
nourrir en végétarien permet tôt ou tard de devenir -(comme
j’ai eu l’honneur de le démontrer en toute logique avec le mot d’amour mais
aussi parce que j’avais en perspective de futures responsabilités paternelles à
devoir assumer, donc à la recherche d’une plus grande cohérence en moi), l’un
des éveillés-par-acquis-de-conscience puisqu’on ne pactise plus avec ceux qui
croient encore possible de nos jours -(malgré toutes les SAE existantes)- le
mal ou/et la méchanceté et qui prétendront mensongèrement être cohérent[s] avec
la civilisation ou/soit une idée erronée de l’être humain -(alors que la plus
véritable -[civilisation]- est / doit être en adéquation avec les principales
caractéristiques des coutumes de ces ancêtres les plus lointains qui ne
disposaient pas d’armes et qui ne se nourrissaient que de fruit[s] des arbres,
soit en fructivores, bien qu’en suite, plus loin dans le temps vers notre
époque, en raison des découvertes des céréales, des légumes et des variétés de
champignons, et des produits laitiers, etc. soit des SAE, nous ayons tous gagné
en possibilité de varier -[de]- notre ordinaire, car/puisqu’il existe plusieurs
milliers de recettes végétariennes -[dont déjà, pour vous donner un premier
exemple, toutes celles, (sept cents : 700), dans le livre de Walter
Pedrotti, Il Nuovo Cucchiaio Verde aux éditions DemetrA, 2001
-(deuxième édition)], ce qui est amplement suffisant pour manger de façon
variée tout au long d’une année -(en pouvant,
l’année suivante recommencer à zéro et ainsi de suite en étant assurés que
cette variété de saveurs ou/de goûts attestent / témoignent avec la recette
de l’eanmeailleurs dont j’ai eu
l’honneur d’être l’inventeur de l’existence enfin possible du dévoilement du très saint
paradis (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm)-
dans ce monde)- soit, à cause de cela, de
connaître les plus véritables plaisirs -[de manger.]- de la table – qui, pour
l’instant, en raison de cette pléthore de SAÉ n’a pas interdit la chasse ni
l’élevage pourtant à l’origine des effets de serre, donc du réchauffement
planétaire mais aussi de tous les actes violents -(soit de barbarie ou/et de
brutes)- au sens négatif de ce mot, qui peut en avoir du plus positif dans
d’autres SPOK/cas … y compris sur ce sujet sur un autre plan qui est
précisément le fait que dans certaines régions l’élevage reste àpremièrevue[s]
une bonne SAÉ à la chasse, ce qui fait perdre du temps et rapporte beaucoup
moins que l’élevage qui est, nous l’avons dit, malheureusement à l’origine de
la désertification -(Sahara et autres déserts)- et des émissions trop
importantes de CO2. Voire pour/à cause de ça le désert qui s’est développé en
Égypte pharaonique de part et d’autre du Nil, mais aussi les autres déserts -(de notre planète)- au départ causés par l’élevage -[des
API et des APIQH]- intensif aux fins de boucherie alors qu’on pourrait
amplement se contenter de l’élevage aux fins de pâtisseries : crèmerie
ou/et fromages, et/ou produits lactés / laitiers, voire aux fins de tissages de
laine. Pourquoi rechercher le beurre et l’argent du beurre quand on peut déjà
se contenter largement des bienfaits les plus élaborés, soit tous ceux apparus
historiquement peu à peu avec le[s] pProgrès et/ou mises-à-jour culinaires /
alimentaires qui nous évitent de nous mal conduire, soit en préhistoriques –
attardés mentaux – omnivores, au lieu de nous conduire bien de chez nous, en
réels produits des plus véritables bienfaits / avancées de notre
civilisation ?)-
Mais l’élevage
à des fins de bouche[rie] est en réalité, tout bien pesé, à l’origine -(la cause)- de l’incohérence qui se manifeste dans les
propos de tous ceux n’ayant pas songé à -[se]- mettre à jour
-(de faire une misàjour –
mise-à-jour)-
avec
notre époque des nombreuses solutions alternatives élégantes végétariennes :
SAÉV grâce à, (depuis la Découverte des Amériques), notre civilisation de la
mondialisation des échanges commerciaux :
-(lire ici pour
SAÉV : » çaÈve « pour faire un peu d’esprit et rendre plus
facile -(faciliter)- la compréhension de ceux qui auront déjà oublié ce que
SAÉV signifie)-,
par
conséquent à poursuivre leur évolution en fonction des nouveaux paramètres qui,
déjà anciens, induisaient naturellement -[à]- des changements des/dans les
habitudes alimentaires -(dont l’origine est parfois fondée sur des bases le
plus souvent ataviques / traditionnelles, par conséquent d’un héritage qui
explique qu’on y ait adhéré localement en en devenant conservateurs, sans
chercher à remettre ces coutumes en cause en fonction des nouveaux paramètres
et des SAÉV. C’est ainsi qu’on cesse régionalement -(au
sens de localement – en ayant conscience que ce mot de » localement
« est à géométrie[s] variable[s])- d’évoluer
ou/et de progresser au point d’être parfois même dans une sorte de cécité
intellectuelle, à cause de ces certitudes anciennes -(d’un autre temps dont on
a hérité)- dont l’origine était conforme à d’autres époques dont les vérités
relatives constitutives de ces choix alimentaires n’ont pas bénéficié de
remises en question à cause de l’apparition sur nos marchés de ces SAÉV à
l’origine de très nombreuses recettes exquisissimis…simissimes,
donc divinissimis…simissimes,
soit délicieusissimis…simissimes).
Car la diversité des fuseaux horaires comme des
latitudes et longitudes, (soit celles de la
Géographie), a créé
-(avant que le Commerce
InterRégional -[au sens d’International]- ne s’impose partout en raison du
fondamental intérêt qu’il revêt ne serait-ce que pour acheminer les produits de
première nécessité)-
en matière d’alimentation des vérités relatives
paradoxales -(y compris dans/pour la recherche de la vérité
en la matière de la meilleure alimentation pour l’être humain digne de cette
appellation –[dans ce qu’elle peut avoir de mieux au sujet de l’être
humain]), d’autant plus des
paramètres historiques -(chronologiques)- comme démographiques -(statistiques)-
comme des autres paramètres qu’on devrait avoir présents à l’esprit dont tous
ceux sociologiques et psychologiques mais aussi concernant le mimétisme, soit
de reproduire ce qu’une personne ou un groupe d’êtres humains fait, à partir
d’exemples de personnalités admirées -(aimées)- et cela concerne donc
l’Éducation car c’est bien durant les quatre premières années de nos existences
respectives, en tant qu’enfant dans sa prime jeunesse atteignant l’âge de
raison –(car, vers sept ans, ou avant dans certains SPOK, on ne comprend alors
que ce qui logique et bien / justement raisonné), que ces -(mauvaises)-
habitudes furent, hélas infiniment hélas, prises localement en matière alimentaire
et cela parce qu’on a été les uns et les autres contraints et forcés de/à
manger de la viande, de la charcuterie, des poissons -(sans dents, par
conséquent de ceux pacifiques et inoffensifs), mais aussi des coquillages comme
les huitres, les moules, etc. , des escargots, etc. -(et contraint à nous
en nourrir par l’intimidation -[de la part]- de nos aînés si nous nous y
refusions, car pour ce comportement irrespectueux / totalitaire / tyran /
despotique, nos aînés ont cru entendre / transmettre la vérité en matière
alimentaire -(alors qu’il s’agissait avec l’alimentation ainsi proposée d’une
vérité relative, circonstancielle – liée à une époque précise non en avance sur
son temps, par conséquent traditionnelle, au sens de conservatrice non progressiste
- et non de la vérité)- au sujet de la meilleure des alimentation[s] à
transmettre / déclarer, cependant qu’ils n’ont pas assez réfléchi à ce qui
n’était en la matière qu’une vérité relative et non pas la vérité -(alors
beaucoup trop complexe pour être connue de tous –[car objective et en accord /
en toute cohérence avec la conscience ; elle tient compte de tous les
paramètres et non de quelques-uns seulement à première[s]-vue[s] bons]- et en
raison de cela en hauts lieux respectée et servie car efficiente notemment pour
obtenir les meilleures guérisons, voire toutes celles qui seraient
miraculeuses)- mais des variétés de
vérités relatives -(et non la Vérité)- de niveaux de compréhensions de degrés
différents -(liés aux paramètres / arguments dont on tient compte –[hélas,
si on en oublie un seul dans le raisonnement, on ne trouve pas la vérité
-(nuancée)- sur chacun des sujets les plus complexes pour se déterminer dans
les meilleurs choix à prendre en raison des responsabilités]- au
sujet de ces aliments. Par exemple il y a des vérités relatives qui ont
longtemps affirmé -(persuadé d’avoir
pensé honnêtement et objectivement, donc apparemment de bonne foi)- que
c’est bon de manger tous les produits carnés de viandes des API et APIQH y
compris bon pour la santé et les gens qui l’affirment semblent en être
convaincus, le croient sincèrement par conséquent semblent ici dire la vérité,
alors que ce qu’ils disent n’est alors qu’une vérité relative -(du
genre de celle qui autrefois faisait à certains « médecins »
-(lire avec le son ironique qui s’impose ce mot de médecin entre
guillemets)- pratiquer la saignée ce
qui était à l’origine des anémies de plus en plus grandes et qui tuait, si trop
longtemps pratiquées, le patient qui perdait peu à peu toute sa force, son
énergie, au point d’en mourir. Belle façon de soigner ! lire ici ces
derniers mots avant le point d’exclamation, évidemment de façon ironique !)- relevant de ce qui est
devenu préjugé –(soit ce qui n’a pas assez été analysé à la
lumière de nombreuses catégories / disciplines / nouveautés / paramètres /
facteurs / disciplines scientifiques), d’autant
plus qu’ils s’appuient sur des paramètres d’une époque ayant évolué assez pour
proposer quotidiennement les admirables / délicieuses / divines / etc. SAÉV -(acronyme de solutions alternatives élégantes végétariennes
proposées)- par tous les plus
précieux lama. Ceux qui ont eu accès à dessiner des choses compréhensives comme
certains mandalas, soit qui ont eu accès à la possibilité de représenter du
compréhensible, donc non seulement au discernement des vérités relatives et/ou
des mensonges, voire des inexactitudes mais à la Vérité, soit à la conscience,
comme ce plus grand peintre de la Renaissance, S. E. A. I. … Léonard de Vinci).
Aussi ce qu’ils ont cru possible manger -(ces viandes animales des API, voire
des APIQH)- c’est, vu d’une certaine manière, comme si cela était fait
d’innocente façon -(à l’aune de la réalité
de notre époque ne portant pas spécialement à conséquences néfastes ou au mal
car il s’agit, avec ces mets en accord avec notre civilisation des solutions alternatives élégantes -(SAÉ
- depuis les premières chasses ou/et des premiers élevages)- de
solutions alternatives élégantes qui nous ont à tous parues bonnes pour éviter
de se conduire en ce qu’il y a de pire, d’indigne, voire d’absolument
impossible, voire de totalement tabou de la part de n’importe quel être ayant
profité d’un ou deux bienfaits de la civilisation -(voire qui serait seulement
au stade, au début de ce film, de L’Enfant sauvage de S. A. I.
S. S. S. L. P. François Truffaut). Soit ce qui ne peut advenir que grâce aux
éveillés par acquis de conscience, par conséquent en devenant un être humain au
sens le plus vrai / juste : voire parachevé)- et
évidemment de totalement inadmissible par tous et bien sûr et évidemment de
totalement interdit, soit de complètement tabou : -(défendu
- sauf, par ce qu’omnivores, en situation de force majeure à cause de la météo
comme dans la fameuse séquence de La Ruée vers l’Or de S. E.
A. I. S. S. S. L . P. Charlie Chaplin -(où ce problème
/ sujet est un peu évoqué de façon à première vue comique. Or il s’agit là
d’une situation en réalité tragiquissimis…simissime, [mais, pour rire et
détragidifier / détragiquifier–(rendre moins tragique
la situation)]- nos deux mangeurs qui étaient prêts à devenir anthropophages se
limiteront au cuir et aux clous de l’une des chaussures de Charlot – qui court
donc le danger de prendre froid par ses pieds à l’air dans ce rigoureux
hiver])- ou comme dans le film dont le sujet est, parait-il, un accident
d’avion dans les Andes -[ou ailleurs] ? Parait-il basé sur un fait
réel ; (je n’ai pas encore vu ce film mais j’en connais vaguement le sujet
et l’imagine :)- perdus, les rescapés par miracle, à mille lieux de la
civilisation, ce qui aurait pu être traité comme sujet par S. E. A. I. S. S. S.
L. P. Antoine de Saint-Exupéry quand il a rencontré en Petit Prince le
renard -(pâle. Mais c’est autre chose et il ne faut
pas confondre avec S. A. I. S. S. S. L. P. Jean Rouch)-
dans le désert) : en raison, ce tabou absolu d’autant plus que la peine de
mort est interdite, a été abolie comme il est interdit de torturer – car sous
la torture on va dire tout ce que l’autre qui vous torture cherche à entendre.
Par conséquent rien de véritablement vrai -(soit de ce qu’on peut dire en ayant à l’esprit tous les
paramètres y compris liés à la légitime défense de soi-même et des siens, ce
qu’on doit respecter étant le droit de chacun y compris de ceux qui ont fait le
mal). Il faut qu’on arrive à comprendre que chacun des êtres humains -(y
compris tout ceux qui sont encore, sur certains points, dans le mal)- va avoir
un jour ou l’autre, la possibilité d’accéder en lui-même à la conscience, soit
alors de devenir, à partir de ce moment-là, pluriel, comme les plus grands et
véritables artistes ou/et acteurs –[S. A. I. S. S. S. L. P. Orson Wells ou/et
Charles Laughton et/ou Gérard Philippe, Michel Simon, Harry Baur, Michael
Lonsdale, etc. ]- au moins un ou/et plusieurs univers différents, par
conséquent avec les personnages qu’ils incarnent à l’écran, voire dans leur
existence d’être très précieux pour tous)- l’anthropophagisme,
ce qui est, ce tabou -(nous l’avons dit :)- pierre angulaire, clé de voûte
et/ou une des avancées fondatrices de chacune des sociétés / civilisation des
êtres humains car c’est à un autre degré de la pensée, -(tenant compte de plus
nombreux paramètres y compris religieux et sacrés), en fait pécher car, en
réalité, continuer à manger en omnivore, malgré l’existence de toutes les solutions
alternatives élégantes végétariennes porte au mal dans nos régions, à notre
époque en raison des paramètres qui ont été omis dans les raisonnements de ces
personnes qui se considèrent omnivores pour s’autoriser ces pratiques à cause
de ceux qui, en occident, nous ont, alors qu’enfant[s] – donc abusant de notre
confiance - incité à manger ces viandes d’API et / ou d’APIQH pour nous en
nourrir, fiers de ne plus se comporter comme des laipis -(par
conséquent de croire avoir accès au sacré en la matière), soit
à certains moments des barbares / sauvages au sens négatif de ces mots qui en
ont du posituif -(pardon, positif)- dans d’autres SPOK)- ce que
nous avons fait, voire parce qu’on nous y a contraint -(si nous étions de ceux
n’en voulant pas)- par intimidation / force / brutalité mal polie, etc. -(donc
au sens négatif de ces expressions qui, dans d’autres situations précises,
… , donc SPOK, en auraient du meilleur, soit du positif), indigne de l’être
humain plus véritable, soit de l’honnête homme -(le fils / produit des
civilisation les plus évoluées, au sens positif de ce mot de civilisation qui
en aurait du négatif dans d’autres SPOK – donc purs produits de l’intelligence,
soit de la lumière, éclairés : illuminati)- donc au sens
ancien de cette expression de civilisation, mais d’un honnête-homme
-(H. H.)- enfin honnête homme del tutto -(entièrement)- comme
le sont la plupart des lamas -(précieux)- tibétains, soit un très
véritable gentleman n’ayant plus à porter le masque, donc qui
serait -(en étant devenu végétarien)- enfin constemment dans le vrai car
cohérent, grâce au choix qu’il a fait des SAÉV pour son élémentaire
alimentation et celle de sa famille, ses descendants en voyant loin pour eux –
leur temps, leur monde - avant leur venue au monde : le futur est
végétarien ou ne sera pas : c’est ce qu’on comprend avant un très / plus
véritable mariage car peu à peu on a découvert les qualités et la bonté de
l’autre qu’on a appris à aimer, et ce sont elles, ces qualités qui vous
changent d’adolescent parfois méchant, égoïste, injuste, laipis, à désireux de
bien faire au point d’aimer autrui de loin mais avec bonté autant que celle-ci
à/pour soi-même et aux siens pour se traiter soi-même avec le même esprit
bienfaisant / fécond – en essayant de mettre en pratique » d’aimer autrui
autant que soi-même «).
Manger en omnivore c’était donc une vérité à
premièrentendue -(à première-entendu.e.[s])- et non
del tutto -(entièrement.
Soit à plus de cinquante pour cent), soit
celle absolument vraie, c’est-à-dire tout mûrement réfléchi / pesé, au point de
comprendre alors que cette vérité à laquelle nous avions cru n’était pas
entièrement la Vérité mais seulement en partie / un degré de la vérité –(celle-ci
s’expliquant en raison de facteurs précis dans l’omission d’autres paramètres /
arguments qui auraient porté à un autre degré la vérité et par conséquent alors
des choix de vie différents, car plus en adéquation avec ce niveau de vérité
-[plus juste et/ou exacte]), voire
hélas, infiniment hélas, en réalité –(en
creusant un peu, c’est-à-dire en se donnant la peine de penser ou/et de
disserter en toute honnêteté avec thèse, antithèse synthèse et
conclusion), de nos jours un
mensonge ! qui nous aura abusé au point de croire possible défendre
ce way of life -(c’est-à-dire cette façon de vivre,
traditionnelle, conservatrice -(dont on connait
les à premières-vues bonnes raisons d’être. Hélas ici au sens négatif de ce[s] mot[s] qui dans d’autres SPOK a/ont du positif
– [ASNDCMQDDASEAODP] – ici j’ai essayé de trouver un mot acronyme pour cette
phrase / proposition qui revient assez souvent, mais c’est raté, à moins qu’on
réduise à S. N. M. A. S. P. soit SNMASP pour gagner de la place)– ce qui
peut paraître -[seulement]- à première-vue bon, d’autant qu’il n’y a pas
seulement en occident qu’on mange de la viande animale des API et APIQH, mais
dans un grand nombre d’autres contrées pas spécialement occidentales, ce qui
signifie que la maladie de la schizophrénie est une conséquence d’une ou
plusieurs incohérences –(d’un écartèlement psychologique pas encore résolu,
probablement remontant à la prime enfance, celle où on a pris l’habitude de
manger de la viande des API, durant le temps de la naissance à quatre ans,
voire dans d’autres SPOK entre la naissance et l’âge de sept ans). C’est par l’auto-psychanalyse
comme par l’étude de ces communications orales, c’est-à-dire la recherche de la
vérité, mais aussi la réflexion sur les éléments encore de notre mémoire, donc
si possible en ingénieur savant -(et par acquis de conscience, mais aussi, [pourquoi
pas une fois compris ce que ce mot peut revêtir comme sens], avec l’aide du
Saint-Esprit)- que je suis arrivé à connaître / pénétrer l’origine de la
schizophrénie –(la maladie de tous ceux qui croient être
omnivores et s’autorisent ces viandes animales des API – animaux pacifiques
et inoffensifs, voire – en croyant ici être cohérents - celles
aussi de prédateurs carnivores), soit
ses causes, son origine, ce qui m’a permis de proposer en tant que médecin
malgré moi -(bien que grand inspecteur et en tant que bouddhahs patron
des chirurgiens et des médecins)- la meilleure des SAÉ -(le meilleur des
remèdes)- avec une alimentation végétarienne qui, je l’ai vérifié sur moi-même,
permet -(mais il ne faut pas être pressé / impatient et/car cela peut prendre trente
ou quarante ans, voire plus ou moins de temps dans d’autres SPOK/cas … )- de
retrouver la conscience, ce qui permet alors de plus facilement approcher et
rechercher / servir la Vérité au cas par cas, soit SPOK par SPOK -(situation précise, occasion, cas particulier,
car ici avec cet acronyme il s’agit d’une exception qui confirme la
règle : K résulte de c de cas plus p de particulier
alors que le S est celui de situation, le P de précise
et le O d’occasion, soit ce SPOK qui veut dire situation précise, occasion, cas particulier)- par
ce qu’on est alors comme la Statue de la Liberté, à penser oréolairement © -(ou
oréolèrement © : dans toutes les directions autour d’un cercle)- en
liaison avec toutes les directions et/ou catégories, matières, disciplines,
donc, d’une certaine façon, en multidimension, à ne pas oublier que c’est aussi
grâce à cette tradition de l’alimentation carnée combattue -(mais
bien entendu comprises dans ses causes héritées collectivement, donc combattue
avec intelligence et respect de tous ceux qui sont encore prisonniers de cette
manière antique / traditionnelle -(dans certaines régions)- de se nourrir car
elle est devenue une sorte de mécanisme / d’habitude / way of life égoïste
au SNMASP : au sens négatif de ce mot qui dans d’autres SPOK en a du positif)- que
les plus grandes œuvres de l’esprit sont apparues possibles -(avec, par
exemple, Ses Éminences Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les
Lordissimis…simissimes Princes Léonard de Vinci qui nous a donné l’exemple, par
ses nombreuses œuvres -(de végétarien)- de sces -(ses + ces = sces)- possibles
SAÉV - solutions alternatives élégantes végétariennes
qui remontent donc avec Lui à longtemps car c’est alors autour du règne de
François Premier, ce qui signifie que se nourrir ainsi en végétarien c’est
depuis longtemps en occident, donc qu’on n’est plus obligé de se nourrir à la
Rabelais. Par conséquent que le changement de notre alimentation -(pour
avoir la vie éternelle en raison de l’accès à la conscience)- était
possible au moins dès 1470 -(si ce n’est bien avant)- si nos ancêtres avaient
compris, en raison de l’œuvre immensissimis…simissime et
génialissimis…simissime et etc. de Léonard de Vinci qu’il donnait là la voie à
suivre en exemplaire pour accéder au génie de l’être humain éveillé -(soit
bouddha)- par acquis de conscience, soit à la compréhension du mystère de l’Homme de Vitruve -(qu’entre-parenthèse
en raison du cercle dans lequel il s’inscrit, comme au centre d’une rosace, on
pourrait un jour présenter tournant sur lui-même)-, soit Son Ecce
Homo auquel, on le sait, j’ai récemment
rendu hommage avec la représentation qui est sur la couverture du livret
de Poésie Shéhé Resistance de Michèle Finck,
ma fiancée)].
A cause de
notre naturelle prédisposition à aimer les API(QH)É -(animaux pacifique inoffensifs
-[quadrupèdes herbivores] et etc.), ce que fort
heureusement tous nous -(naturellement)- [re]cherchons à faire à partir du
moment où nous trouvons anormale la loi de la jungle -(pour gouverner les
relations entre les membres de la société humaine), soit celle où les animaux
prédateurs -(les plus forts)- s’attaquent en lâche[s] et méchemment à ces API
ou/et APIQH, au lieu de s’attaquer, comme ils le doivent, à pire qu’eux -(ce
qui serait alors la plus véritable loi de la jungle), mais aussi si nous
défendons ces APIQH c’est parce qu’il s’agit avec chacun d’eux de la
réincarnation précédent à leur mort la réincarnation en être humain, mais aussi
de réincarnations de la plupart des animaux prédateurs s’étant bien comportés
durant leur réincarnation en chien ou en chat. A leur mort les âmes de ces
chiens et ces chats, s’ils se sont bien comportés, obtiennent une réincarnation
en l’un ou l’autre des APIQH qui n’ont pas d’autres objectifs, à cause de leur
patience, à leur mort de se réincarner en l’un ou l’autre des êtres humains,
soit la finalité au sens d’aboutissement de la Création sur cette planète, ce
qui permet une fois bébé, quand on grandira, d’obtenir l’acquis de conscience
dès l’âge de raison, soit une sécurité dans l’être humain de manière à ce qu’il
retrouve le chemin du bien, du bon et du beau, ce qu’on regagne effectivement
dans le décors qui nous entoure -(et encore plus quand le Très Grand Variateur
dans la salle des machines, révèle, comme ce fut le cas quand je devins en 1995
le nouvel empereur, le très saint paradis d’avant la très grande catastrophe,
il y a plusieurs millions d’années à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine
– H. A. H.), soit, hélas infiniment hélas, ce qui a été à l’origine de
l’apparition sur terre de la haine, soit cette figure humaine sans corps que
j’ai eu l’honneur de constater en grand inspecteur, en bouddhahs et en empereur,
par conséquent en eanemeailleurs, morte durant l’hiver 2005 dans l’épaissieur,
pardon l’épaisseur, de la glace du bassin central -(à droite du jet d’eau quand
on regarde la façade côté jardin, soit l’arrière du Palais des Médicis au
Jardin du Luxembourg à Paris), soit une entité qui probablement essayait dans
l’invisible de prendre possession de l’empereur que je suis -(ce qui n’a
visiblement pas marché). Cependant que ce jour-là comme fossilisée dans sa
haine la plus noire et la plus affreusissimis…simissime -(et
c’est peu dire – rien au monde ne fut jamais aussi laid – soit comme la
sorcière de Blanche-Neige)- comme dans la totale cécité intellectuelle, elle
est morte pour toujours, ce qui signifie que depuis lors cette haine n’existe
plus. Cela mesurait, à l’échelle universelle, en exagérant un peu pour éviter
de minimiser, deux à trois mètres carrés avec une épaisseur probablement de
cinq à dix centimètres et c’est cette chose que Dieu n’a jamais créé -(qui
s’est donc créée peut-être en réaction à Dieu incompréhensible pour
quelques-uns, voire incroyable à travers chacune de ses œuvres – voire auquel
on ne peut croire parce qu’intellectuellement on n’y parvient pas malgré le
nombre de religions)- qui avait, au cours des
siècles et des millénaires dressé les uns contre les autres en prenant dans
l’invisible -(comme un mauvais vent)- possession de personnes qui en devenaient
alors almiénées, pardon (c’est un lapsus typographique sur lequel j’entends, le
jour venu, devoir méditer) : aliénées et par conséquent qui se
conduisaient en despotes, tyrans, criminels contre l’humanité, et etc.),
Car quand le très grand variateur de la vision du très
saint paradis est actionné de manière à nous révéler partout les merveilles d’Ôz,
soit du très saint paradis d’avant la très grande catastrophe, soit autrement
vue Atlantide, l’Eden, Schtroumpf et tous les synonymes de ces
mots essayant d’approcher la notion de beau et/ou d’admirable, voire de
bienfaisance et de fécond, tout le monde sans exception croira en l’existence
de Dieu et sera guéri par cette immensissimis…simissime beauté qu’on pourra à
la fin de mon programme pour la restitution de la vision d’Ôz -(soit
–[comme vous l’avez lu]- à mettre en œuvre dès que possible sur les prochaines
vingt-quatre années), voir une heure toutes les
cinq heures !
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