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CARE 13 envoyé le 07
Mars 2021 à 19 heures 51
Bonjour madame la maire,
madame Florence Berthout -(permettez-moi
de vous envoyer pour informations la copie de mon mail à mon voisin Fabrice
Didier. Merci d’en prendre s’il vous plait connaissance. C’est à porter /
mettre au dossier Paris-Habitat. Très Bonne journée à vous)
07
Mars 2021
Cher voisin Fabrice Didier,
Comme promis à la porte d'entrée de
l'immeuble, voici la copie des messages concernant la réhabilitation de notre
immeuble -(que je vous prie de transmettre, si vous
les jugez utiles, en toute transparence à la présidente de notre association
des locataires de la résidence Carmes-Polytechnique)- et dont je vous ai un peu
parlé en les résumant.
A Monsieur le Président de Paris-Habitat, Monsieur Roger Madec, 8 Novembre 2020
A Monsieur le Directeur Général, Monsieur Stéphane Dauphin,
8 Novembre 2020 -(probablement la même lettre qu’au
président car envoyée le même jour)
A Madame la Maire du Cinquième Arrondissement, Madame
Florence Berthout du 4 au 12 Juillet
2019
A Madame la Maire du Cinquième Arrondissement, Madame
Florence Berthout du 22 Février 2021
En fait dans l’appartement témoin, les
responsables du projet de réhabilitation nous ont présenté une idée de la
« réhabilitation » d’un appartement de l’immeuble, en ayant fait
comme s’ils avaient changé la colonne d’évacuation de l’eau et le tuyau d’arrivée
de l’eau de l’emplacement d’origine -(qu’on pouvait comparer avec l’appartement
au-dessus non rénové, donc dans un état qu’on ne pouvait pas réellement
comparer avec l’appartement « réhabilité », car cet appartement
au-dessus de celui témoin, plus ou moins à l’abandon, un de ceux dont les
locataires sont partis, donc de ceux avant des travaux de rénovation[s]
-[réalisés à/pour chaque nouveau locataires], qui, s’ils avaient été entrepris
honnêtement avec cette perspective de la comparaison, ne nous auraient pas
autant déçu[s] que cela a probablement été, [cette déception], pour tous les
visiteurs de l’appartement à l’origine de celui appelé » témoin «).
Dans l’appartement témoin les plans
originaux de l’architecte de départ ont été beaucoup modifiés -(même si à
première[s] vue[s] une belle réalisation)- et/mais en réalité de façon
sacrilège -(c’est comme si, irrespectueux de ses conclusions ayant abouties, en
conscience, à la configuration actuelle, on lui avait retiré la paternité de
l’œuvre : sa signature, alors que c’est évident et juste que cet
architecte d’origine doit demeurer le seul auteur de cet/son immeuble dont nous
sommes -(avec le propriétaire Paris-Habitat les héritiers et)- les locataires
-(cet immeuble original du 20 rue de l’Ecole
Polytechnique et du 21 rue des Carmes dans le Cinquième arrondissement de Paris
est à son crédit: nous le lui devons avec toutes les solutions ingénieuses
qu’il a trouvées à son époque pour nous offrir cette configuration d’immeuble à
appartements bâtie/bâtis dans le biseau d’un coin de rues à partir de l’idée
centrale des arches couvrant le début du passage de la voie sans issue -[en
diagonale]- de l’Impasse des Bœufs)!
La très grande majorité des modifications
proposées peuvent être effectuées dans le cadre d’une très largement
suffisante » rénovation « –(comme elle a eu lieu chez moi avant que je m’installe en
2013)- au cas par cas qui ne
nécessite aucunement de déménagements lointains des locataires de l’immeuble
pendant autant de temps
N.
B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous à lire :
-(d’autant qu’on se servirait chacun à
tour de rôle de l’un des appartements demeuré[s] par précaution vide[s] pour
les quelques jours nécessaires à ces rénovations –[si
on devait les regrouper sur chacun des plans qui les concerne –(travaux qui,
sinon, peuvent donc être étalés dans le temps), même si, par exemple, elles
–(ces rénovations)- nécessitent qu’on déplace les meubles d’une chambre à
l’autre -(voire sinon vers cet appartement vide)- pour changer périodiquement
le linoléum qui s’use à force de marcher sur lui ou/et de cuisiner et si
nécessaire de [re]blanchir les murs et le plafond,
voire améliorer l’imperméabilité et l’étanchéité autour des fenêtres], donc
en libérant les appartements des étagères et des meubles pour qu’on puisse
repeindre périodiquement ces murs là où ce serait nécessaire, au besoin changer
périodiquement le linoléum –[peut-être même avec celui de la même sorte, soit
le même, mais neuf]- et si on le croit nécessaire remplacer la chaudière pour
une autre d’un modèle plus récent –[si celle dont on dispose devait poser à la
longue des problèmes, ce qui n’exige pas plus d’une journée à un bon plombier
chauffagiste, les tuyaux allant vers les radiateurs-bien-placés étant déjà
là]).
De même si nécessaire, on
pourra changer les radiateurs -(sans que cela prenne
plus d’une journée de travail)- quand ceux-ci, plus neufs, seront prêts à être
posés -(à titre personnel, sachez que je préfère grandement ceux qu’on m’a
posés au cours de la rénovation et qui sont plus fins. Ils prennent moins de
place - que ceux qui sont, dans mon souvenir, proposés dans le cadre de la
réhabilitation à éviter -[avec un variateur d’intensité trop visible bien que
l’aspect hi-tech ne soit pas pour nous déplaire]), et
c’est pareil pour les fenêtres qui préparées en atelier pourront être beaucoup
plus hermétiques que les actuelles si on allonge/augmente les joints de
caoutchouc en épaisseur -(comme aussi l’un
des cadres de la fenêtre qui les touche)- en
préparant cela à l'atelier comme pour la porte d’entrée coupe-feu, ces éléments
à changer ou à parfaire dans les ateliers des spécialistes de chacune de ces
questions pour n’avoir besoin, en définitive que de quelques heures des
appartements pour poser ces éléments sans modifier les plans originaux, donc en
s’interdisant de changer les cloisons ni, bien sûr, l’arrivée de l’eau et la
colonne d’évacuation excellemment placées là où elles sont pour que chacun des
espaces des appartements ait trouvé sa destination en nombre de chambre[s]
ou/et séjour, cuisine, toilettes et cagibi/placard disposés en fonction de
ces points d’eau centraux).
De même il est possible -(puisque chez moi il n’existe plus la demie cloison entre
le lavabo et les W. C. on pourrait ajouter le
système d'aération dans les W. C. en un système électrique d’absorption des
odeurs qui serait mis en marche en même temps -(ou à part)- grâce à
l’interrupteur de la lumière quand on l’allume pour éclairer ces toilettes wc. Cela peut aussi être installé rapidement dans l’espace
cuisine au-dessus de la cuisinière à gaz ou/et électrique -(et ici encore cela n’exige pas de déménager)- en
hotte aspirante.
Aussi les travaux d’étanchéité autour des
fenêtres pour faire des économies de chauffage en raison de l’air froid qui
réussit un petit peu à passer en hiver -(cependant
qu’il est vite chauffé -[cet air]- grâce aux radiateurs au-dessous de là où il
s’infiltre / pénètre en faisant, à la longue, un peu augmenter notre
consommation de gaz, cependant qu’il apporte un peu d’air du dehors, ce qui
n’est pas si mal que ça pour respirer de cette façon un air continuellement
renouvelé)- nous contraindra à
modifier les fenêtres en faisant fabriquer aux spécialistes des joints en
matière caoutchouteuse plus importants sur le cadre et tout autour du cadre. En
effet, il faudra augmenter l’épaisseur de cette espèce de caoutchouc, voire sa
hauteur pour que l’air froid cesse de profiter de ce qui est un petit peu
disjoint pour entrer par les coins en bas de ces fenêtres, voire un tout petit
peu sur toute la hauteur. Donc il convient de rendre ces fenêtres simplement
plus hermétiques. Ce qui peut se réaliser à l’atelier avec ces fenêtres de
départ -(ce qui contraindra à dormir dans l’appartement vide [ou dans l’autre
chambre si on pose ces nouvelles fenêtre non pas toutes en même temps mais
posées l’une après l’autre dans chacun des espaces]- à partir du jour où seront
déposées ces fenêtres ou alors, si c’est de cette façon aussi compliquée, pour
l’éviter, (si on ne peut pas sur place les rendre plus étanche)- il faut
changer de modèle de fenêtre pour des fenêtres qui ferment vraiment en
totalement-hermétiquement-closes -(ce qu’il est possible qu’elles existent déjà
similaires/semblables au modèle dont nous bénéfiçons
/ bénéficions en raison de ce que ce modèle de fenêtre aurait progressé depuis
l’époque où ces fenêtres -(dont nous disposons)- ont vu le jour en raison d’admirablissimis…simissimes
ingénieurs ayant trouvé à les réaliser aussi géniales et aussi hi-tech, même avec ce peu d’air qu’ils ont réussi à faire
passer ainsi qu’il apparaît parfois froid en hiver au-dessus des radiateurs
chauds -(qui le chauffent alors)- tandis qu’en été la fenêtre close permet
ainsi à ce tout-petit-peu-d’air de rentrer pour
renouveler à l’insu de tous l’air -(fenêtres fermées)- et en évitant l’asphyxie
caniculaire éviter d’être continuellement –[à stagner]- dans le même air !
Ici il y a deux écoles : ceux qui sont pour et ceux qui sont contre et
cela pour de plus ou moins bonnes raisons chacun, cependant on comprend
aisément qu’on peut avoir le droit de choisir un modèle de fenêtre[s]
totalement hermétiquement close[s] pour avoir en fin de courses -(ce qui n’est
pas si sûr que ça car cela dépend, bien sûr de … )- un peu moins à payer de gaz
de chauffage et choisir soi-même d’aérer la chambre ou/et le séjour et/ou la
cuisine, et/ou les toilettes douche lavabo par la lucarne, à l’heure qu’on
souhaite[ra] !
Aussi nous avons compris
que c’est parce que ces « architectes »
souhaitent changer ces points d’eau de place que nous serions tous contraints à
déménager si les locataires votent pour la réalisation de cette « réhabilitation »
sacrilège envers l’architecte d’origine -(si génial et envers lequel nous
n’avons pas le droit de nous comporter en ingrats en croyant pouvoir faire
table-rase de ses intérieurs aussi savamment conçus : Dans le mot
de » réhabilitation « il est question de rendre semblable à l’esprit
d’origine, de départ, il y a le mot d’» habiliter « : rendre
fonctionnel de nouveau –(»ré«)- (autant qu’au départ, à
l’origine : »« remettre en bon état pour
l’habitation »« (Google) et j’ajoute (car s’est sous-entendu, voire
entre les lignes, à mi-mots »« si possible aussi bien qu’au
commencement : quand ça marchait »«). Or ici c’est presque tout
changer et garder le moins possible qu’on propose et quasiment rien de respectueux
de l’origine quand c’était neuf et que ça marchait : c’est pécher et crime
de lèse-majesté, soit de lèse-auteur) ! Or ces points d’eau ont été
excellemment et admirablement placés là où ils le sont actuellement. Ces
projets de ces nouveaux plans -(de réhabilitation)-
ont été évidemment prévus dans les possibilités qu’offraient comme architecture
possible les espaces des appartements quand ils étaient vides. Donc ils furent
conçus dans la série/quantité des brouillons -(ou/et
calques)- avant d’obtenir en fin de compte[s] les plans -[initiaux/terminaux]-
de l’architecte responsable de la construction de l’immeuble dans les années
Trente.
Il avait très probablement songé à ce qui
a été proposé récemment et cela au cours des ajustements établis progressivement
pour donner finalement tout bien pe[n]sé -(cela a
été une des virtualités possibles étudiée à partir de ces superficies vides)- les
appartements que les locataires habitent actuellement.
Plans auxquels il avait dû sagement
renoncer parce que faisant du social, il devait rester cohérent avec cette
notion, ce qui ne serait pas si avec cette façon de voir on contraindrait les
personnes âgées à devoir faire trente pas de plus -(aller et retour compris)-
si on plaçait les wc le lavabo et la douche dans l’entrée -(comme
le souhaitent, hélas, infiniment hélas pour tous, les « architectes »
ayant proposé les plans de réhabilitation qui font perdre la superficie de
rangement du cagibi/placard en le faisant en sacrilège[s] disparaître ainsi que
son absolue nécessité)- aux trente pas -(à
l’aller et au retour)- actuels pour atteindre
les toilettes wc où ils sont au centre de
l’appartement -(wc qu'on veut - dans les derniers
plans - placer -(avec le lavabo et la douche)- à l’entrée à la place du cagibi
-(/placard ainsi sacrilègement sacrifié alors que si
utile / si nécessaire, si vital, si indispensable, etc.). On veut – sans
-[véritable]- cœur - donc en égoïstes -(qui plus est en croyant ainsi faire de
l’Architecture et se montrer généreux envers des nécessiteux – l’habitat
social, cependant qu’on veut contraindre les locataires à participer
financièrement au paiement des travaux alors que censés être dans la gêne
financière – nouvelle incohérence avec le caractère social de l’immeuble)-
ajouter trente autres pas de personnes âgés -(avec un déambulateur, peut-être encore
plus !), soit ajouter des difficultés aux difficultés -(nous
disons non !)- inhérentes à vivre
décemment / dignement / justement / voire saintement / etc. .
L’architecte auteur de cet immeuble -(donc
de chacun des appartements)- a[vait] renoncé aux
solutions proposées par les architectes actuels -(il
les avait bien sûr entrevues / prévues dans sa tête au[x] moment[s] des choix
cruciaux qu’il fit également en gentilhomme -[et pas seulement en architecte
(diplômé ?)])- qui veulent, au mépris du
droit d’auteur, détruire son œuvre de très véritable Architecture Sociale des
Années Trente -(voir ci-dessus ma
demande pour faire inscrire au Patrimoine National et aux Immeubles Historiques
cet immeuble du 20 de la rue de l’Ecole Polytechnique
et du 21 rue des Carmes autour de cet arc roman, central :
passage de l’impasse des Bœufs).
Quand on est obligé de faire de
l'architecture sociale, on est contraint de penser à l’avance à tout ce qui
peut composer la société -(en difficulté[s] financière[s])- dans son ensemble
comme catégories de gens différents aux activités différentes, et bien sûr
-(penser)- aux enfants, aux parents de ces enfants -(qui ont aussi besoin d’un
cagibi/placard spacieux pour y conserver parmi de nombreuses choses nécessaires
à la vie quotidienne les jeux des enfants : tricycle[s], patins, skate,
ballons, raquettes, etc. chaussures de sport et et de
nos jours -(avec le TGV)- les ski, luges, sac de montagne,
tente, sac de couchage, matelas gonflables, etc.), donc
de familles dont les membres sont en âge de travailler, voire au chômage, mais
aussi de personnes âgées par conséquent parfois, voire plus souvent qu’on ne
l'imagine, de plus en plus handicapés par le nombre des années, ce qui
interdit, bien sûr, ne serait-ce qu’en raison de cœur -(mais
c’est du bon sens car viendra le jour venu au cours duquel nous en serons les
premiers à -[en]- bénéficier)- de les
contraindre au moins cinq fois en moyenne quotidiennement à quinze pas à
l’aller comme quinze au retour de plus des quinze pas effectués au grand
maximum pour rejoindre les toilettes telles qu’en toute conscience et
responsabilité l’architecte-auteur de cet immeuble a placé là où nous en bénéfiçons / bénéficions -(oui,
cher voisin nous créons ici – c’est historique - le verbe bénéficer
comme possible synonyme de/à » bénéficier « - un » i « en moins
à taper/chercher : Youp[i] ! Non, le revoilà ! Ah ! Hi-hi !)- et
pour éviter ces cauchemars à vivre à ces personnes âgées, grosso modo au
centre de l’appartement, de manière à ce qu’il n’y ait pas plus de quinze pas à
faire du plus loin de ce W. C., soit de n’importe où -(dans l’appartement)- de
plus éloigné de ces wc pour rejoindre ces wc.
Aussi j’ai l’honneur, cher voisin Fabrice
Didier, de vous demander de faire avec moi le nécessaire pour au lieu de ce
projet de réhabilitation nous ayons droit à de périodiques rénovations -(tous
les dix à quinze ans selon l’état de dégradation de nos respectifs chez
nous / royaumes loués, ces rénovations prises en charge par les
propriétaires qui éviteront ainsi une très coûteuse
« réhabilitation » défigurante de
l’architecture de départ, originale)- au
lieu de cette extrêmement coûteuse réhabilitation tout à fait inutile et autant
que cela sacrilège qu’elle est envers les plans d’origine admirables /
exemplaires car fonctionnels, cohérents et originaux, en un mot sacrés
puisqu’ils évitent autant de peines -(les trente pas au moins en moins à chaque
aller-retour aux trente initiaux depuis le lit matrimonial dessiné sur l’un des
plans de la chambre de l’appartement n°49).
Salutations distinguées et d’avance
reconnaissantes si à la lumière des documents que je vous transmets ci-dessus
vous acceptez de faire comprendre avec moi aux autres locataires le meilleur
des intérêts que nous ayons tous à nous contenter, enthousiastes à cette
perspective, de ces rénovations périodiques -(un
entretien de raison qui selon le locataire peut être limité au linoléum par
exemple si celui-ci a peint lui-même ses murs – voire les a décoré comme c’est
mon cas d’esquisses d’oiseaux ou d’animaux dans un Lascaux-des-temps-modernes
-(au 20 rue de l’Ecole Polytechnique à Paris),
contemporain, chez moi)- qui n’exigent aucun
déménagement[s] -(voire au pire
quelques jours dans l’un des appartements vides gardés par sécurité à cette
fin, voire comme lieu où se réunir entre voisins, voire à prêter à celui des
voisins qui souhaiterait y trouver un lieu pour peindre, pas seulement les murs
mais des toiles ou à des enfants d’y aller jouer de la musique, voire y
patiner, etc. ), donc respectueux des
personnes âgées pour que nous renoncions à cette réhabilitation tout/s comptes
faits réellement sacrilège, voire criminelle
N.
B. : suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-(car plus vite qu’on ne le pense cela
fatiguera nos aînés d’avoir ainsi trente pas de plus à faire à chaque fois –[une
moyenne de cinq fois au moins par jour]- qu’on
doit aller au petit-coin ou/et se brosser les dents ou/et se doucher, ou/et se
laver les mains, etc. et ne manquera pas de lasser au point d’avoir à quitter
prématurément pour un asile de vieillards, alors que sinon il y a tout au plus
quinze pas à l’aller et quinze pas au retour -(à
cet âge-là une expédition !)- mais
pas plus en sachant qu’on a heureusement évité, grâce à la rénovation -(et non
la réhabilitation)- le double d’efforts ce qui n’est pas une mince consolation –[ce
qui signifie que de l’espace séjour beaucoup moins -(à
tel point que j’ai fait chez moi la chambre dans le séjour et mon bureau dans
la chambre)- donc trente en moins ce
qui n’est pas négligeable -(à négliger), comme fonde légitimement notre refus
à/pour cette « réhabilitation »]-
dont
nous nous repentirions très certainement aussi en raison du volume d’espace de
rangements perdu –[en moins]- à cause de la plus ou moins grande disparition
des cagibis –[ou/et du placard], vous le savez, si utiles / nécessaires :
une très véritable avancée dans l’histoire de l’architecture sociale ! –[H. A. S.]).
Vos dévoués serviteurs
voisin[s]
Laurent-Marie Granier
Salutation aux membres de votre famille,
votre femme et vos enfants.
Salutations respectueuses et
reconnaissantes à madame la maire Florence Berthout
----
Merci à François de transmettre à H. B.
Bonne journée