Vous êtes ici sur la page consacrée aux améliorations possibles du Contrôle Techniques dont je n'ai pas connaissance qu'elles aient trouvées une solution pour le moment :
Paris, Lorimage, samedi 25 juin 2005, 13 heures 48
De même qu'il s'agit d'une première Constitution européenne évidemment perfectible en une seconde qui verra le jour ultérieurement sur la base de l'expérience acquise tout au long de l'application généralisée de cette Première Constitution Européenne, le Contrôle Technique imposé à tous les véhicules depuis un certain nombre d'année, (malgré la difficulté qui a consisté à le faire admettre comme une nécessité vitale), nous montre aussi qu'il est perfectible sur un certain nombre de points car des injustices réelles demeurent dans ce système qui a été mis en place pour garantir heureusement plus de sécurité sur les routes.
En effet, même s'il ne s'agit pas ici de Constitution Européenne, ni de réglementation européenne, il s'agit malgré tout d'une mesure (celle du Contrôle Technique), d'un point de détail qui aurait pu figurer aussi dans cette première Constitution Européenne au chapitre des Transports et être généralisée en Europe comme un devoir qui incombera à l'automobiliste-citoyen européen puisque ce contrôle technique commence à faire ses preuves et que nous avons remarqué qu'il a contribué à une meilleure sécurité sur nos routes rendant plus sûr les véhicules que l'on croise.
Or je suis convaincu qu'il est nécessaire d'assouplir sur certains points de détails l'obligation de ce contrôle technique, notamment dans le cas du second ou d'un troisième véhicules ou d'un ixième véhicule dont on aurait la propriété ou la responsabilité. L'obligation principale qui consiste à présenter le véhicule au contrôle technique tous les deux ans n'est pas une mesure qui tient compte de la réalité et des différences importantes qui existent entre les véhicules. Il est nécessaire de reconsidérer cette mesure et de ne l'appliquer qu'en prenant en considération un minimum de kilométrage effectués par les véhicules qui doivent passer ce contrôle en fonction de différents critères que nous verrons en détail plus loin (bonus ou boni malus ou mali éventuel(s) vis à vis des assurances, métiers des utilisateurs des véhicules, et en fonction de ceux-ci routes à parcourir (damées ou sentiers), etc...
Permettez-moi de m'expliquer : s'il s'agit du véhicule que l'on utilise quotidiennement et de façon régulière et pour des distances importantes la question ne se posera qu'en détail (nombre de boni ou de malus-mali), le contrôle technique doit absolument être fait au bout de deux ans, soit de 25 000 à 30 000 kilomètres sensés avoir été parcourus, à la fois dans les rues des cités, sur les routes, ou sur les autoroutes, ce qui implique des vitesses différentes et des usures possibles d'éléments primordiaux évidemment à vérifier (freins, etc...). Par contre, pour les véhicules qui séjournent à l'abri et qui roulent moyennement, voire peu ou même rarement au cours dans le lapse de temps entre ces deux années au cours desquelles le contrôle technique a été jugé nécessaire, l'obligation d'un contrôle technique me paraît être une mesure injuste et même de nature à freiner l'économie car certaines personnes renonceront à disposer d'un second véhicule ! (ces personnes ne voudront pas garder leur véhicule comme troisième ou quatrième véhicule, voire "véhicule de collection" car chaque contrôle technique à effectuer implique de disposer de temps pour cela et constitue donc l'un des impedimenta, les autres étant l'incompréhension à devoir effectuer un contrôle technique alors que l'on ne se sert que peu ou rarement du véhicule).
Il faut aussi avoir l'honnêteté de penser que le premier véhicule ou le seul véhicule dont dispose l'usager peut ne pas avoir atteint en deux années le kilométrage nécessaire ou obligatoire qui a soutendu à la nécessité de créer un contrôle technique en fonction du métier de l'utilisateur principal du véhicule ou même de ses corollaires. Il est certain qu'entre une personne qui fera en tant que "commercial" de très nombreux kilomètres par an, un taxi, ou un véhicule de livraison et des voitures de particulier, il y a des différences telles en nombre de kilomètres parcourus que l'on ne parvient pas à comprendre qu'il puisse y avoir un quelconque bien fondé à avoir créer l'obligation du contrôle technique. En effet quel est le bien fondé de cette mesure d'autant que certaines marques de véhicules ou plus exactement certains modèles peuvent ne pas être aussi sûres ou aussi bien fait que d'autres modèles plus coûteux, mieux finis, utilisant des matériaux plus solides sur certains points précis envisagés parmi ceux contrôlés au C. T.
Rendre obligatoire le Contrôle Technique oui, mais après un nombre de kilomètres "x" que les professionnels de l'automobile jugeront être nécessaires, en leur âme et conscience, en fonction des véhicules qu'ils ont construits. En d’autres termes et d'une façon légèrement différentes rendre les visites habituelles que faisaient chez les garagistes nos parents ou nos grands-parents avec les véhicules de leur temps plus ou moins sûrs car on savait qu’il était préférable, avant de partir rouler ou de faire de grande distances, de passer à la station essence et faire vérifier une série de points précis auxquels on se devait de veiller très régulièrement. Aujourd'hui les véhicules étant infiniment plus sûrs qu'autrefois il est donc normal de n'avoir à passer effectuer des contrôles sur les points envisagés par les professionnels qu'une fois tous les deux ans après ce nombre icxe ("x") de kilomètre. Certes, dans le cas du Contrôle Technique il s'agit d'un contrôle sur de très nombreux autres points qu'à l'époque de nos enfances par conséquent il est nécessaire d'y passer par exemple tous les 20 000 ou 30 000 kilomètres en fonction des modèles de véhicule mais aussi en fonction des bonus-(i) ou malus-(i) ou en fonction de la profession ou des routes à parcourir par rapport au lieu où le véhicule est entreposé - ferme loin des routes, sentiers forestiers (j'ai néanmoins conscience que ce chiffre soit approximatif et qu'il ne tienne nullement compte des différences de conception qui existent entre les marques et des points faibles des différents modèles. Le mieux pour cela serait de demander aux responsables de chaque modèle de véhicule tous les combien(s) de kilomètres ils pensent utile d'effectuer le bilan du C. T.).
Si je me suis permis de faire cette petite remarque et suggestion au Ministre des Transports du gouvernement de la région France de l'Europe c'est sur la base de mon expérience personnelle :
Exposition des éléments de la réflexion :
J'ai en ce moment à ma disposition avec ma fiancée trois véhicules assez anciens : la fiat 500 de 1978 de ma mère (62 000 km), mise à mon nom, en parfait état de conservation garée dans le garage de mon immeuble depuis toujours et n'ayant pas encore fait le tour du compteur (cela augure de sa plus longue conservation puisque ces voitures on le sait ont la vie longue). Permettez-moi d'ajouter le calcul suivant : cela a donc fait une moyenne de 2293,29 km/an. Néanmoins je me dois de signaler que ce n'est que depuis une dizaine d'années que de dispose de ce véhicule à mon nom et que je n'ai roulé en réalité que 12 000 kilomètres en tout en 10 ans soit 1200 km/an!). Il a néanmoins fallu que je dépense environ 60 à 65 euros 5 années de suite pour à chaque fois ne rien constater du tout ! Total de la dépense : 300 euros.
- une Alfa Romeo de 1989 acheté de seconde main en 1997, remise à neuf complètement, en parfait état de conservation, 52 000 kilomètres environ (le compteur n'ayant ici non plus jamais fait le tour). Ce véhicule nous a été garanti et a été remis à neuf avant d'être vendu par un ami mécanicien et un carrossier qui se sont l'un et l'autre occupés de suivre et "soigner", si j'ose dire, cette voiture depuis le jour de son achat neuf par le premier propriétaire. Ce nous fait donc une moyenne de 3250 km/ an. Ici aussi il est à remarquer que je n'ai roulé depuis l'achat de ce véhicule que 6 000 kilomètres en tout en 7 ans, soit un peu moins de 1000 kilomètre par an. Dépense 4 contrôles techniques 240 euros environ pour ne rien constater du tout évidemment comme anomalie.
- une Renault 5 de 1989 offerte il y environ 6 ans par un ami, le moteur en parfait état, (la carrosserie un peu moins), lui aussi n'ayant seulement que 50 000 kilomètres (ici aussi le compteur n'ayant jamais fait le tour). Ce qui fait une moyenne de 3125 km/an. Ici aussi il est à souligner comme dans les cas ci-dessus que je n'ai roulé depuis qu'on m'a offert ce véhicule que 6 000 kilomètres. (moyenne de 1000 kilomètres par an). Coût des 3 C. T. néanmoins obligatoires pour ne rien constater du tout : 180 euros.
- Si j'ai si peu roulé avec ma fiancée c'est évidemment par ce que je préfère rouler en mobylette Peugeot 103 Vogue (moins de 50 centimètre cube)car je suis ainsi sûr en ville d'une part de trouver facilement à me garer et d'autre part de ne pas perdre de temps coincé dans les embouteillage de la circulation ! D'autre part ma fiancée préfère les transports en commun.
C'est évidemment cela qui explique le faible kilométrage des trois véhicules qui tous compte fait ont roulé tous ensemble 3000 à 3200 km/an ce qui ferait si je n'avais qu'un seul véhicule 6000 à 6200 kilomètres parcourus en deux ans (nous voyons ici que nous sommes bien loin des 20 000 à 30 000 km honnêtement envisagés avant de devoir effectuer un C. T. et compte tenu du fait que j'ai dû payer 3 C. T. pour ces 6000 à 6200 km j'aurais donc eu 60 000 à 90 000 km à parcourir avant d'être obligé à faire un C. T. !, par conséquent nous voyons à quel point sous la forme actuelle le C. T. est une mesure discriminatoire pour tous ceux qui roulent moyennement, peu ou rarement) .
Nous ne voyons donc pas pourquoi il faut obliger les gens à faire des contrôles techniques obligatoires alors que nous démontrons à travers cette expérience exposée à partir de ces trois véhicules que le C. T. est absolument injuste sous cette forme sans parler du temps de travail perdu que j'ai pris à chaque fois pour prendre rendez-vous avec les centres de contrôles techniques, m'y rendre, attendre que cela soit fait, revenir chez moi, garer le véhicule et/ou repartir au travail!
Si je me suis permis de vous emmener dans ces menus détails en faisant état du "parc automobile" (évidemment un bien grand mot pour si peu de véhicules de plus, vous l'aurez remarqué tous surannés) plus facilement à ma disposition que les taxis ou des voitures de location, c'est qu'il s'agit des éléments de ma réflexion pour cette mienne proposition d'envisager sérieusement la nécessité d'une amélioration de la réglementation du C. T. . Il s'agit là des véhicules auxquels je peux avoir accès à toute heure, en cas d'urgence, ou pour tout autre motif que je juge utile (car ils sont tous assurés et les clés sont à ma disposition, à ce propos de l'assurance permettez-moi, monsieur le Ministre de vous re,voyer à une autre mesure que j'ai jugé utile et plus juste - veuillez, SVP, cliquer sur ce lien aussi complétant le précédent). J'ai effectivement pensé compte tenu de cette expérience que je ne suis pas le seul qui, avec une fiancée, a la chance de disposer de ce nombre de véhicules et de ne les utiliser que d'une façon sporadique. Compte tenu de notre époque il ne s'agit pas d'un luxe, mais d'une nécessité que d'avoir à sa disposition un véhicule chacun, voire plus.
Donc, à la réflexion, nous ne sommes certainement pas les seuls et secondo il nous faut ici reconnaître honnêtement que c'est grâce à l'entretien de ces véhicules, donc à cet investissement privé que cela nous donne enfin la possibilité de proposer à travers vous aux responsables de l'État chargés de cette réglementation des modifications et des améliorations qui s'imposent aux textes actuels sur certains détails qui feront faire des économies substantielles auxquelles certains automobilistes ont naturellement droit.
Permettez-moi d'ajouter que les véhicules en questions sont garés de façon continuelle dans le garage de l'immeuble (je l'ai dit et si je le répète c'est qu'il peut ici aussi s'agir d'un critère à prendre en considération de nature entre parenthèse à inciter aussi les gens à louer des place de parking car si les véhicules si un automobiliste fait cet effort financier pour protéger un véhicule il est évident que l'usure de ce véhicule sera moindre et que du coup le véhicule en question devrait alors bénéficier justement de quelques milliers de km supplémentaires avant de devoir passer au C. T. ou d'une réduction du C. T. .
Donc permettez-moi d'ajouter, monsieur le Ministre que nous avons pris la
décision de n'utiliser l'Alfa Roméo 75, le véhicule le plus spacieux et le plus
puissant qu'une fois par an, au moment des vacances quand nous avons à rouler
plus loin que dans Paris (c'est ici surtout que ce justifie la
proposition
liée qui consiste à permettre au gens de deisposer
d'assurance modulables à payer seulement pendant les périodes
où les véhicules roulent réellement, comme vous
l'avez lu
ici , la suite étant
ici),
hors de la région parisienne, par exemple vers cette autre région française d'où
provient ma fiancée, Strasbourg où j'ai la chance de la retrouver à moins de
choisir de nous y rendre en vacances dans une autre région européenne. De toute
évidence, il s'agit d'un véhicule conçu pour cela, pour des grandes distances et
ce serait à mon avis stupide d'utiliser ce véhicule qui consomme un peu plus
(à cause de sa cylindrée) simplement pour
Paris (à moins que cela ne soit absolument nécessaire).
En effet, pour la ville, vous l'aurez déduit nous préférons nous servir de la R5, par exemple si nous avons des courses à faire : elle comporte plus d'intérêt que l'Alfa puisqu'en retournant les sièges elle devient une petite fourgonnette, le coffre bénéficiant des deux places arrières. S'il faut se déplacer à deux ou à plusieurs dans Paris c'est cette R5 et non l'Alfa que nous utiliserons car elle est aussi de dimension plus réduite (ce qui me permet de me garer plus facilement) et nous avons compris, ma fiancée et moi, à la longue, compte tenu du quartier que nous habitons (heureusement très bien desservi par les transports en commun), que si je dois me déplacer seul, par beau temps, ou quand il ne pleut pas, il est préférable alors que j'utilise la mobylette Vogue même si je dois revenir mouillé sous la pluie (car cela me fait de toute manière gagner du temps, tout compte fait, séchage compris !)
Évidemment il s'agit ici d'un « cas particulier », mais comme vous le savez, monsieur le ministre des Transports, c'est souvent et quasiment toujours à partir de « cas particuliers » que les meilleures lois et les meilleurs règlements ont vues le jour, ont été amendées, ont été améliorées, ont permis aussi l'avènement du juste, du plus juste (les assurances elles-mêmes ayant vu, hélas, ou heureusement le jour à partir de « cas - malheureux - particuliers » d’accidents, etc…). La fonction même de la Loi étant de protéger le Juste contre une possible injustice et non de permettre, d'offrir la possibilité de détourner la Loi ou de contourner celle-ci qui est fondé sur des siècles d'expérience acquise, car alors, si on le fait, on entre et on devient justement ce "cas particulier" qui permettra, à cause de l'injustice provoquée par un tiers (ou que nous avons subie en victime en la dénonçant) d'améliorer en détail la Loi sur ce point particulier (en faisant alors Jurisprudence) - ce qui implique malgré tout, si on cherche a être honnête jusqu'au bout de reconnaître, vous me le permettrez, que celui qui commet la "forfaiture" ou "la faute", ou "l'erreur " ("l'accident" ou même au pire" le crime") est paradoxalement alors aussi à considérer comme étant involontairement à l'origine des améliorations juridiques effectuées et peut-être involontairement malgré lui co-auteur (ceci évidemment d'un point d'un possible questionnement philosophico-philosophal et par conséquent devant être mis un petit peu au crédit du malheureux dans une vision à très long terme de l'Histoire de l'Humanité, en étant à cause de cela un argument de plus contre la peine de mort puisque c'est hélas au triste et malheureux auteur malgré lui de l'"erreur" que nous devons, pour les serviteur de l'État ayant choisi le camp du Bien en résistant d'avoir matière à réfléchir et à améliorer le Droit, ce qui implique aussi éventuellement de sévir. Ceci vous en conviendrez constitue un paradoxe instructif de l'Existence qui nous permet ainsi d'haïr un peu moins nos ennemis, les malhonnêtes ou les bandits car il semble que ce soit à eux que de nombreuses personnes doivent hélas leur existence matérielle).
Quand je dis "le cas particulier" vous aurez évidemment compris, Monsieur le Ministre des Transports, virtuellement "nous tous", ayant en réalité servi malgré lui-même (ce cas même particulier) comme une sorte de cobaye pour permettre à la Loi de dire enfin le juste, de proclamer et de défendre la Justice - et cela aussi d'un point de vue spirituel puisque vous n'êtes pas sans savoir que c'est à partir "du cas très particulier"d'un Jésus Christ, entre autres martyrs de l'Histoire Universelle que de nombreuses choses ont heureusement changées sur Terre dans le bon sens et dans/pour tous les temps - ce qui est évidemment "enfoncer une porte ouverte" et de notoriété publique car les uns et les autres, nous autres les privilégiés, ayant eu la chance d'étudier des dizaines d’années après le bac et de nous honorer au passage de quelques doctorats, nous savons cela aussi depuis nos enfances respectives. Sinon comment s'expliquer ces efforts spontanés accomplis au cours des siècles de par tant et tant de volontaires pour construire, siècles après siècles, tous ces lieux de recueillements aux architectures si admirables, ces innombrables peintures ou sculptures ornant ces innombrables hôpitaux ou hospices de vieillards (ici même la preuve que le Coeur, en l'occurrence la Charité sont l'une/des nécessités sine qua non de l'Avancée et des Progrès de l'Humanité), etc...etc... découlant de ce concept de Justice existant évidemment pour contre carrer l'injuste et il serait malhonnête, même si l'on est athée, de ne pas reconnaître que c'est évidemment l'un de ces petits "cas particulier" d'injustice, comme celui de Jésus Christ, advenu il y a 2000 ans, qui a permis les nombreuses améliorations sur de très nombreux points y compris sociaux, allant même jusqu'à faire que les athées eux-mêmes et/ou les laïcs rivalisent dans des mesures advenues grâce à leur combat ou grâce aux souhaits légitimes de plus de Justice qu'ils ont su exprimer. Ce qui était au départ l'apanage de peu d'individus et surtout d'un seul, enfin de ses serviteurs à travers les siècles et les états monarchiques de droits divins est devenu enfin le communément admis dans nos Républiques Démocratiques laïques ouvertes intelligemment sur l'évidente nécessité de l'oecuménisme, c'est à dire sur l'acceptation de toutes les différences religieuses vivants en bonne entente et enfin heureusement capables de comprendre qu'elles sont complémentaires et non antagonistes (peut-être grâce à la laïcité intelligente car il y a une laïcité stupide - permettez-moi de vous signaler en suivant le lien just'avant une mienne réponse à un député "laïc" dans le mauvais sens de ce mot), ce qui est précisément ici un sentiments noble résultant du passage et du combat du Christ & compagnie, car la République a justement repris à son compte pour la servir cette notion toujours extrêmement profitable (et souvent malgré elle) qu'est toujours la Charité (elle commence en réalité au sein même de la majorité des familles constituées car nous pouvons dire sans mentir que les parents pour élever leurs enfants font preuve de charité, sont charitables envers leurs enfants - de nombreuses peintures évoquent ce thème essentiel surtout lorsque cette Charité consubstantielle et instinctive des "parents " ouvrent à autrui handicapé orphelin ou en difficulté font ce choix charitable suivi d'effets) car chez les chrétiens cela pouvait et a pu hélas comporter quelques fois un danger d'exclusion partisane (c'est ce qui arrive hélas encore aujourd'hui quand à l'intérieur d'un État des hommes de partis différents se détestent au point qu'ils chercheront à se mettre des bâtons dans les roues au lieu de s'entraider et de comprendre que même de partis ou d'amitiés différentes ils sont par essence complémentaires et virtuellement évidemment l'inverse qu'ennemis, tous sur le même bateau même si parfois on peut croire qu'il puisse s'agir, quand cela va mal du radeau de la méduse: de possibles amis, puisque les uns et les autres doivent avoir à coeur de servir de façon transparente l'objectif primordial : la bonne marche de l'État en servant la Chose Publique qui elle, vous le savez bien est constituée avec de nombreuses autres choses encore en plus de tous les individus vivants et morts, à la fois d'un patrimoine important à conserver et à valoriser mais aussi de très nombreuses catégories sociales de personnes à protéger à qui l'on doit essayer de procurer de quoi vivre dignement). Souvent toutes ces personnes n'ont pas eu la même chance que ces individus s’étant formés pour assurer un jour la gouvernance de l’État (en ayant eu la chance pour certains de s'approcher de la Vérité ou du moins de connaître très précisément des devoirs liés à l' « incombance » d'une responsabilité aussi grave que celle de l'État) et risquent alors d'être hélas les victimes, désorientées par tant de coups bas entre des frères ennemis qui n'ont éprouvé en réalité de l'inimitié les uns pour l'autre que dans la mesure où ils ont convoité la place de l'autre au lieu de tracer leur chemin personnel en complémentrité de celui qui est à la place qu'il devrait avoir mérité à moins d'être un imposteur. Évidemment dans le cas où l'on découvrirait qu'il s'agit d'un imposteur en place, c'est différent et il est du devoir de l'éjecter d'une façon ou d'une autre comme l'un ou l'autre des personnages peu sympathiques et quelque fois même persécuteurs (méchants) dont nous trouvons des exemples de représentations dans les aventures de Tintin : je pense notemment au personnage du méchant dans Objectif Lune dessiné par l'immenssissime Hergé). Cette soif de Justice et de Vérité a abouti naturellement à considérer très justement qu'il n'y avait pas que le religieux qui avait le droit et le devoir d'avoir bon coeur, d'être charitable, de militer pour les causes humanitaires, d'être de tous les combats justes ou sociaux au point que grâce à cet esprit laïc très ouvert et ayant eu l'intelligence de prendre ce qu'il y avait de meilleur dans la monarchie de droit divin comme dans la religion, la République s'est honorée d'un nombre considérable de réformes et de lois de plus en plus justes - mais nous nous éloignons ici un peu du problème en dissertant sur des choses évidentes et bien sûr connues de vous, monsieur le Ministre des Transports, nous éloignant de notre bienheureuse initiative). Permettez-moi encore de rappeler un cliché important : "le cas particulier", s'il est étudié judicieusement , logiquement, éthiquement et avec coeur choisi deviendra toujours l'exemple ou le centre à partir duquel "le général" pourra s'énoncer (du particulier au général) et la solution finira par se trouver ou se révéler à partir de laquelle évidemment tous les autres "cas particuliers" ou du moins les plus importants d'entre eux pour commencer devront être vérifiés par rapport à l'esquisse de ce premier projet de Loi ou même la réalisation du texte d'une loi pour qu'elle puisse avoir une chance un jour dans sa version suivante, définitive et/mais perfectible atteindre cette Valeur Universelle par des versions améliorées par approximations successives qui tiendront compte progressivement de tous les cas de figure - évidemment c'est cela qui explique, vous le savez bien sûr, Monsieur le Minsitre et je vous prie de m'excuser de le rappeler ici - qu'au cours des siècles le nombres de remaniements, d'amélioration, la Vérité étant heureusement quelque fois perfectible sur certains points où elle laissait apparemment à désirer et cela parce qu'elle avait pris une certaine forme en fonction de l'intelligence de l'époque liée que cette dernière est au progrès technique ou technologique et à la capacité d'analyse des individus de celle-ci. Époques donc en métamorphose constante à chaque instant comme notre décor: de l'âge de pierre des cavernes à Internet ! Je dis cela sans aucun mérite car sur l'écran d'ordinateur que j'ai la chance d’utiliser, je peux admirer une reproduction photographique de cercle de pierre de Stonehenge tous les jours comme fond d'écran au démarrage de Windows XP et cela me rappelle donc de quelle époque nous venons tous (pour ce faire, si vous souhaitez faire pareil et disposer de cette image, veuillez faire un clic droit sur l'écran lui-même + "propriétés"+ onglet "bureau" + arrière plan "Stonehenge" - avec Windows XP). Donc bien que l'objectif soit ou ait été toujours le même, unique, et cela constamment depuis toujours, cet anneau de Stonehenge bâti bien avant ce Colisée de Rome ou d’autres bâtiments ultérieurs ont tenté de l'exprimer déjà, à mesure de l'Avancée et de la Marche de l'Humanité, cette très Immense pyramide de tous les Univers constituée des myriades de pyramidions particuliers, ces restes encore bien vivants aujourd'hui des symboliques obélisques familiaux respectifs : ce que la simple Pyramide du Louvre construite par le très grand l'architecte cino-américain Pei tente d'exprimer, de nous rappeler également en hommage clin d'oeil à celles plus massives et moins transparentes de l'instructif passé !)
N. B. : la Fiat 500 dont je parle ci-dessus appartenait à ma mère qui me l'a offerte, c'est le seul véhicule dont je disposais en tant que conducteur quand j'étais étudiant. Ce n'est que beaucoup plus tard qu'un ami m'a offert sa R5 car il devait quitter Paris pour aller travailler à l'étranger (et il m'a demandé de mettre cette R5 à mon nom sur la carte grise car il ne voulait plus avoir la responsabilité de ce véhicule de là où il serait, (cela se comprend évidemment). Je l'ai donc fait assurer - et je lui avais dit, cela va de soi, qu'à son retour de l'étranger ce véhicule qu'il m'offrait l'attendrait s'il était encore en bon état et qu'il pourrait naturellement le récupérer et le mettre de nouveau à son nom s'il le souhaitait).
Néanmoins ce véhicule coûte en assurance et en parking tous les mois. Même si je ne l'utilise pas (grâce au vélomoteur) il reste à ma disposition. Grâce à l'arrivée dans ma vie de cette R5 et à cause du contrôle technique, j'ai été contraint de choisir, compte tenu de mes possibilités financières pour l'instant, hélas encore assez réduites sur ce point, de rendre cette Fiat 500 (mise à mon nom) "voiture de collection" car d'une part j'ai découvert que ce véhicule y avait droit (+ de 25 ans) et d'autre part le fait de le rendre ainsi, si j'ose dire, sous l'appellation contrôlée "voiture de collection" avait le mérite de réduire sensiblement la cotisation versée à l'assurance pour cette Fiat 500 contenu du fait que le véhicule est limité à une zone de circulation plus réduite en raison de cette appellation. Par conséquent cette somme ainsi économisée a pu dorénavant être consacrée au paiement de la cotisation de ce nouveau véhicule R5 plus spacieux (l'inconvénient de cette appellation contrôlée "voiture de collection" est donc de limiter considérablement dans des déplacements éventuels les véhicules soumis à celle-ci et cela hélas de façon infiniment plus importante qu'ailleurs en France, à Paris, en banlieue ou en région parisienne à cause de l'exiguïté de surface de ces départements n'ayant rien à voir sur ce point avec les autres car je sais maintenant qu'à cause de cette "appellation contrôlée" de "véhicule de collection" si je devais sortir de Paris intra-muros avec cette Fiat 500 il faudra, hélas, à chaque fois, que je signale à la police du quartier mon futur trajet - à ce sujet, permettez-moi de vous suggérer une autre amélioration utile et nécessaire : il faudrait faciliter les choses sur ce point car cela prend du temps et à l'heure d'Internet on peut facilement envisager une simplification de procédure pour faire part plus rapidement de chez soi de ce désir d'utiliser un "véhicule de collection" ou de cette obligation à le faire rouler - d'autant plus qu'on aura le devoir de se faire connaître lors de la première sortie du véhicule au service concerné soit à la préfecture de police soit au bureau de police (pour ma part n'ayant pas eu l'occasion encore de sortir cette 500 sous cette nouvelle "appellation contrôlée" de "véhicule de collection" j'ai oublié pour l'instant où il me faudra aller précisément - pour cela il faudra que je retrouve les papiers où c'est indiqué) que l'on est le possesseur d'une voiture dite "de collection" - car en envoyant pour cela un "courriel" et en attendant quelques minutes une réponse automatique du genre de celles que l'on reçoit après paiement, (un accusé de réception, voire un feu vert ou en tout cas une notification selon laquelle cela a été bien pris en compte), il me semble que cela faciliterait grandement les choses sur ce point et d'autant plus, évidemment, si le chauffeur, le passager ou le propriétaire de ce "véhicule de collection" est un handicapé ! Si je me suis permis de proposer cette amélioration c'est car j'ai pris bonne note de l'intention heureuse du gouvernement actuel et du Président de la République de faciliter les choses à cette catégorie de personne particulièrement en difficulté, ce qui devrait entraîner automatiquement dans ce cas une facilitation aussi pour les autres personnes ayant heureusement plus de chance dans la vie que ces dernières - permettez-moi de vous signaler ici une autre amélioration possible qui concerne notre vie quotidienne urbaine: il faut cliquer ici).
Croyez, Monsieur le Ministre des Transports, que je ne conteste nullement la Loi qui est justifiée et compréhensible puisque ces véhicules sont censés ne plus être de toute prime fraîcheur et que du coup, compte tenu de ce risque, en cas de "pépins", l'assurance couvrira d'autant plus qu'elle a été prévenue comme la police et que, vous le savez, cette mesure à été mise en oeuvre pour inciter à rouler hors du département d'immatriculation du véhicule de préférence avec des véhicules neufs ou du moins plus récents que ces véhicules dits "de collections" (25 ans minimum pour cette appellation) en incitant ainsi à y renoncer. Le fait de prévenir les autorités de police du trajet à venir du "véhicule de collection" constitue pour l'usager comme pour l'assurance une forme de prévention salutaire ou du moins une sécurité supplémentaire surtout utile dans certains cas où il s'agit d'inconscients roulant avec de vieux véhicules non entretenus. Cette mesure se comprend contenu du risque que comporte certains détails mécaniques des véhicules anciens sur lesquels je ne vais pas m'appesantir car il s'agit de réflexions de mécaniciens, ce que je ne suis pas complètement de façon amateur et surtout pas du tout d'une façon professionnelle.
Mais ce qui est sûr c'est que cette mesure consistant à avoir à signaler à chaque fois l'itinéraire que l'on va devoir emprunter au cours de son périple hors du département d'immatriculation (dans lequel le véhicule dit "de collection» est autorisé à circuler librement) dissuade d'une part complètement ou presque de l'usage de ceux-ci et du coup au lieu d'avoir le plaisir en tant que citadin ou automobilistes à croiser quelques uns de ces véhicules encore en état de circuler parce qu'ils ont été bien entretenus, comme s'il s'agissait d'un signe de ce merveilleux clin d'oeil du passé au présent qu'ils représentent toujours, et d'autre part au lieu d'inciter quelques usagers à garder éventuellement l'un ou l'autre de leurs anciens véhicules (comme il nous arrive d'être attaché sentimentalement à un vieux pull over ou une paire de pantalon encore mettable à quelques occasions très particulières) cela incitera malheureusement à y renoncer et du coup cela va entraîner tout bonnement la disparition progressive de ceux-ci (ce qui constitue un manque à gagner pour les assurances y compris les constructeurs de garages pour les préserver) en nous privant tous du plaisir de les apercevoir un instant dans le décor urbain ou départemental et par là de cette joie qu'ils procurent chaque fois ! Vous savez aussi qu'ils nous offrent la possibilité de nous dire alors que le temps passe et cette conscience du temps qui passe en les apercevant nous offre aussi la conscience des "progrès" techniques accomplis par l'humanité ! C'est ainsi, que grâce à leur soudaine apparition au détour d'une rue, on se dit qu'on a bien de la chance de disposer de ceux qui existent aujourd'hui, beaucoup plus modernes et fiables, quelques fois moins bruyant, disposant même à bord des instruments électroniques actuels, et de tous les conforts possibles provoquant cette bienheureuse envie ou désir, à notre tour, de disposer de ce genre de gadgets, par comparaison aussi avec ces temps plus anciens où ils n'existaient pas dans ces véhicules maintenant dits "de collection" (personnellement j'aime beaucoup tous les gadgets, surtout s'ils sont utiles et s'ils sont esthétiquement réussis - à ce propos je sais heureusement, comme vous certainement, Monsieur le Ministre, faire la différence avec les gadgets inutiles, ces attrapes nigauds ayant à la fois fait perdre du temps à ceux qui les ont construits qui se détériorent avec une telle rapidité qu'il proclament ainsi avec évidence leur intrinsèque inutilité). C'est par comparaison avec ces vieux modèles toujours en circulation que l'on se dit toujours qu'on a bien de la chance de vivre à notre époque plus confortable bien que l'on reste évidemment sensible sentimentalement à l'évolution de l'Histoire de l'automobile en croisant ces véhicules. Même si on bénéficie d'une assurance moins chère pour ceux-ci, le fait d'être limité à circuler dans le département d'immatriculation et non dans la région constitue un très sérieux impedimenta pour leur conservation comme 3ème ou 4ème véhicule (et cela prend des proportions plus importantes encore lorsqu'on a immatriculé le "véhicule de collection" dans un des départements qui constituent la Région parisienne ou même simplement comme dans mon cas dans Paris intra-muros ( 75 ) car chacun des départements dits "parisiens" (au sens large francilien) est beaucoup plus réduits en terme de surface que le moindre des départements français auquel la Loi s'applique et c'est ici aussi l'une des raisons pour lesquels je me suis permis de vous écrire, Monsieur le Minisitre, car cela constitue de facto une nouvelle injustice. Permettez-moi de vous développer cette raison dans la suite de cette lettre).
Pour ma part, vous l'avez certainement compris, monsieur le Ministre cela ne me gêne pas car j'ai la chance de disposer d'une alternative et je sais que j'utiliserai naturellement la R5 au lien de la Fiat 500 que j'aurai pu utiliser pour aller ne serait-ce qu'à Ivry, c’est-à-dire à 2 km de chez moi, logeant dans le 5ème arrondissement (il s'agit de ce véhicule dont je parle plus haut aujourd'hui considérée "de collection" à la suite du dernier contrôle technique m'ayant offert cette possibilité) pour sortir de Paris et par exemple aller faire une course toute proche en banlieue (surtout s'il pleut ou s'il va pleuvoir). Permettez-moi cependant de faire remarquer une fois encore à Votre Excellence que si le département (dans ce cas précis celui de Paris) avait une taille comparable à celle des autres départements constitutifs des autres régions de France (à l'exception de celles qui comme Paris ont été découpées pour des raisons évidentes de plus importante densité de population qu'en ces dernières, donc comme par exemple la région lyonnaise ou marseillaise où hélas les possesseurs de "véhicules de collection" subissent là-bas aussi cette limitation injuste (ressentie comme emprisonnante), pour leurs déplacements par rapport à tous ceux qui bénéficient de la possibilité de sortir des centres urbains avec ces véhicules en ayant le loisir de disposer d'une marge de manoeuvre supplémentaire en se promenant dans les paysages variés de leur département quand ils sont beaucoup plus amples en terme de surface à cause de la faible densité de population au kilomètre carré de ceux-ci. Cela permet donc pour tous les départements autres que ceux incriminés de Paris, Marseilles, Lyon, etc...) de véritables "sorties" hors de la cité elle-même et de profiter de ces véhicules en plus par exemple le week end, si l'on ne sortira pas du département). Par conséquent nous devrions avoir au moins la possibilité de circuler dans ce que l'on appelle aujourd'hui l'Ile de France en entier, ou du moins, sur ce chapitre précis de la surface de circulation autorisée des "véhicules de collection" nous devrions pouvoir circuler sans avoir la nécessité de signaler leur trajet hors du tout petit département d'immatriculation, dans tous ces départements limitrophes de Paris intra-muros (concernant la proche et lointaine banlieue y comprise) et cela si, en conscience, on devait considérer la région d'Ile de France trop vaste pour faire courir le risque de laisser rouler librement ces véhicules de collections sans au préalable obliger les propriétaires à ses signalements d'usage impératifs.
Il est aussi à remarquer que je suis victime d'une mesure, dans le cas de cette Fiat 500, qui a été appliquée de façon systématique sans comprendre que sur ce point de détail qui était essentiel pour Paris ou les grandes ville, l'État s'est rendu hélas coupable d'une importante négligence : en effet si Paris (le grand Paris: Paris intra-muros et sa banlieue proche et lointaine) est partagé aujourd'hui justement en ce nombre de départements que l'on sait, cela a vu nécessairement le jour, d'un point de vue légal et administratif, à cause du chiffre plus important qu'ailleurs de densité de population au kilomètre carré. Il s'agit de ceux qui résident dans ces tailles d'agglomérations exceptionnelles au regard de la région France d'Europe, rendant de ce fait logique et obligatoire ce découpage administratif à partir de "x" millions d'habitants. Et lorsqu'on est l'heureux propriétaire d'un "véhicule de collection" est que dans chaque département français autre que ceux que forment Paris et sa banlieue on remarque que le droit de circuler de ces "véhicules de collection" donne le droit, malgré l'impedimenta de cette "appellation contrôlée" ("voiture de collection") à ce rayon d'action, cette surface de manoeuvres beaucoup plus importante et de fait à la fois plus sympathiquement acceptable (mais aussi encourageant à mettre de côté un véhicule que l'on aimera plus que les autres pour en faire un "véhicule d'occasion") on ne comprend pas alors pourquoi on est injustement pénalisé à devoir se cantonner avec notre véhicule dit "de collection" à l'un de ces départements tout "riquiqui" (au point de vue surface de manoeuvre) de ces villes coupées en plusieurs départements tout petits où la Loi nous a obligé à immatriculer ce véhicule à cause de notre lieu de résidence et parce que ce véhicule ne se trouve pas entreposé dans le garage d'une maison de campagne ou dans celui d'une maison à la mer ou à la montagne et que nous souhaitons pouvoir l'utiliser à l'une ou l'autre des occasions.
Permettez-moi donc, Monsieur le Ministre de vous suggérer que l'État reconnaisse par conséquent sur ce chapitre que ces départements infiniment réduits (celui de Paris+les départements limitrophes (banlieue et grande banlieue comprise) et les départements "riquiquis" (au point de vue de surface) liés aux autres très grandes agglomérations françaises échappent à cette réglementation injuste beaucoup trop limitative et de nature totalement dissuasive car nous avons compris que vis à vis des propriétaires de "véhicules de collection" se trouvant dans les autres régions de France, le propriétaire du véhicule de collection "francilien" a été fait en quelque sorte "prisonnier" (ou du moins est contraint à circuler dans)/d'un espace de circulation injustement beaucoup trop réduit (ces véhicules, bien entretenus, pouvant tous au moins circuler facilement dans un périmètre au moins aussi vaste que le plus grand des département français où ils ont le droit de circuler grâce à cette loi les y autorisant !) et cela à cause du fait que lle législateur ou le responsable de cette réglementation concernant les "véhicules de collection" a oublié ici de réfléchir au mot "département" lié qu'il peut être à l'origine, vous le savez bien sûr, Monsieur le Ministre, soit à une question de surface ou de frontières géographiques, soit à une question de densité d'habitants au kilomètre carré!
Autrement dit sur ce point précis des "voitures de collection" dans le cadre sus décrit, permettez-moi, monsieur le Ministre de vous suggérer qu'il appartient aux services de l'État de rectifier cette injustice pour Paris et les départements parisiens limitrophes (banlieue et proche banlieue) ainsi que pour les cas de figure des autres villes de France comparables.
D'autre part permettez-moi d'espérer que vous accepterez de vous faire remarquer, Monsieur le Ministre, que dans des cas semblables au mien (de personne ayant acquis un ou ayant à leur disposition un ou plusieurs véhicules avec lesquels ils ne roulent pas souvent - ce qui entraîne néanmoins des dépenses substantielles et ce qui n'est pas mauvais pour la société (achat du véhicule, assurance, garages, révisions, etc.. - ce qui est donc économiquement bon pour l'ensemble des acteurs concernés par ces dépenses) nous devons honnêtement constater qu'il est totalement injuste de devoir imposer ou obliger des propriétaires de véhicules, quelqu'ils soient - commerciaux, à usage privé ou de collection) ayant, comme vous l'avez constater, à l'instar de mon exemple aussi peu rouler durant ces deux années qui séparent, à chaque fois les contrôles techniques réglementaires ! Permettez-moi de penser que cela est même inadmissible et que vous en conviendrez naturellement !
Je viens pour ma part aujourd'hui d'effectuer le C. T. qui concerne la R5 et j'ai dépensé 65 euros une nouvelle fois pour rien. Ce fut le cas à chaque contrôle technique depuis 6 ans et cela pour les trois véhicules et d'autant plus que ces véhicules sont protégés chacun dans un garage.
Permettez-moi donc de vous suggérer des idées à étudier de nature à parfaire cette première version du contrôle technique de même que Constitution après Constitution la France en est arrivé à sa 5ème République en améliorant petit à petit (je cite ici le titre d'un film mémorable de Jean Rouch) les textes des constitutions successives comme je me suis permis de le souligner (à mi-mots) en introduction à ce courrierIn (variante du mot "courriel", pour courrier Internet) en évoquant les passagères difficultés que vous savez de la Première Constitution Européenne évidemment perfectible et qui le sera d'autant plus une fois acceptée par les personnes habilités à en juger, (députés et sénateurs, c'est à dire par tous ceux qui comme les députés Allemands seront à même de juger du bien fondé de ce texte (convaincus évidemment à l’avance de la nécessité d'une Constitution Européenne car ils voyagent tous depuis longtemps en Europe à ce niveau de responsabilité et savent tous que sans l’interaction des autres région d’Europe et du monde la région France ne serait rien). Dans ce cas, il s'agit donc d'une routine pour eux à faire ratifier. Ce texte fruit qu’il est de nombreuses années de travail et d’échanges de l’ensemble de nos pères et de nos frères et de notre propre persévérance à le croire possible a été offert en pâture par le biais du référendum au peuple composé par des individus de toute natures flatté qu’il ont été dans leur ego d’ignorant(s) sur cette question assez pour ces individus de l’Europe et alors même que dans ce texte nous y trouvons enfin les garanties de paix et de stabilité économiques, tout en offrant aussi des garantis éthiques non moins importantes, sans parler d’un espace (un continent de plus de 440 milliards d’habitants) où la torture est enfin proscrite (ce qui est à la gloire de l'humanité, ce qui est enfin un véritable progrès) où la peine de mort n’existe plus, il a été livré au verdict d’un « oui » ou d’un « non » discriminatoire que vous savez issu des résultats de ce référendum soi-disant « populaire » où même les canailles et les malhonnêtes ont eu le droit de vote ! Nous avons vu que cela a abouti au rejet de ce Premier Texte Constitutionnel, de ce premier pas pour vivre ensemble en toute harmonie malgré des langues différentes et cela bien que celui-ci ait été ontologiquement (par sa nature même intrinsèque) le texte évidemment perfectible que tout le monde savait, somme de tous les textes de Lois et les réglementations (du genre de celles du contrôle technique en question ici) en un second protocole de traité constitutionnel pour aboutir à une seconde Constitution Européenne le jour où, enfin, de nouveau bien meilleur sur certains points négociés et parfaits par les responsables des administrations régionales de l'Europe une troisième Constitution ou réglementation Européenne sera en chantier et ainsi de suite ! (Pour cette réflexion permettez-moi, monsieur le Ministre des Transports de vous citer une de mes sources en ajoutant ici un lien vers un texte très intéressant, bien qu'il soit sur un tout autre registre que ce texte-ci puisqu'il s'agit d'un scénario de fiction ou de sciences fiction signé Ôm).
Si je me suis permis la petite parenthèse ci-dessus, Monsieur le Ministre, c'est pour vous rendre sensible au fait que si la réglementation du contrôle technique a eu la chance d'être adoptée, alors que la première version de la Première constitution Européenne n'a pas eu cette chance récemment, il n'en demeure pas moins que compte tenu des points soulignés ici et des "lièvres levés" par cet effort que je viens de fournir (avec, vous l'aurez certainement remarqué, le plaisir d'écrire d'une sorte de conseiller bénévole mêlé à la responsabilité naturelle d'un simple citoyen soucieux du bien publique ayant la chance de pouvoir s'adresser enfin grâce à Internet si démocratiquement à un membre éminent de l'État) la réglementation du contrôle technique dans l'état actuel est, vous en conviendrez, effectivement perfectible sur l'ensemble des points signalés ici.
L'idée serait donc de modifier cette réglementation à la fois pour les "véhicules de collection" (nous l'avons vu ci-dessus) mais aussi sur le dernier point ci-dessus en mettant au point enfin une réglementation plus juste dans les détails pour obliger les citoyens à effectuer ce Contrôle Technique en prenant enfin justement en considération non pas cette durée de deux années pour effectuer ce contrôle salutaire nécessaire mais ce que nous avons signalé au début de ce courrierIn (le C. T. s'avérant, malgré son utilité, aujourd'hui totalement injustifié pour un grand nombre de personnes contraintes de dépenser des sommes importantes alors que leur véhicule a peu servi ou a moins servi qu'un grand nombre de personne au cours des deux années réglementaires avant de procéder à ce contrôle technique qui ne se justifie en réalité que compte tenu du nombre important de kilomètres parcourus).
C'est cette différence entre ceux qui roulent de façon régulière (les accrocs du volant) ou tout simplement ceux qui ont un usage vraiment quotidien de leur véhicule sur de longues distances ou même des distances importantes ou moyennement élevés (sollicitant alors beaucoup plus que les autres véhicules le moteur), ceux qui roulent aussi de façon dangereuse sans égard pour leur véhicule (comme ces cowboys participant à des rodéos ne ménageant pas leur montures ou ces jeunes inconscients qui à la façon d'un James Dean en tant qu'acteur de film utilisent leur véhicules à des fins de jeu ou de course poursuite ou même seulement différentes de celles de ceux qui les utilisent proprement), ou même pire ceux qui roulent de façon inconsciente n'importe où (par exemple dans des chemins difficiles où il vaut mieux avoir à sa disposition un véhicule tout-terrain ou un 4x4 qu'une simple voiture) ou ceux qui roulent en oubliant que leur véhicule peut constituer un danger ou un risque pour les autres car ils ont provoqué des ennuis techniques sur leurs véhicules à cause de l'un ou l'autre de ces cas ci-dessus évoqués qui ont été à l'origine de la création nécessaire du Contrôle Technique. Ce sont eux qui pénalisent tous ceux qui utilisent raisonnablement et sagement d'une façon moyenne, c’est-à-dire de façon régulière, mais sur de courtes distances, leurs véhicules, ces autres encore qui n'utilisent que peu ou d'autres encore fort peu ou encore rarement ou très rarement leurs véhicules sur un nombre de kilomètres limités qui bien sûr ne constituent pas ces éléments d'usure invoqués ou évoqué pour rendre obligatoire ce Contrôle Technique et cela d'autant plus que ces derniers conducteurs ont acquis des "boni" sur leur assurances respectives.
Il est donc aujourd'hui vital de faire enfin la différence entre ceux qui sont censés avoir rencontré au cours de leur circulation plus de possibilité d'usure de leur véhicule sur les très nombreux points testés au cours de ces contrôles techniques susceptibles, en révélant sur ces points des dysfonctionnements, de faire en sorte que le propriétaire y portera naturellement le remède, permettant ainsi plus de sécurité sur les routes avec le concours des assurances.
Donc, permettez-moi de le dire de nouveau: faire la différence sur la base du nombre de kilomètre parcourus, des métiers exercés par les propriétaires des véhicules, des boni ou des malus obtenus en matière d'assurance, des routes parcourus (si le véhicule doit régulièrement ou non parcourir des sentiers ou des chemins de terre ou de pierre comme dans le cas d'un agriculteur), etc..
Voilà, Monsieur le Ministre des Transports, j'espère vous avoir rendu sensible à la problématique qui s'est posée à moi pendant l'attente de ce matin au Contrôle Technique, dans ce "cas particulier" que j'ai analysé dans une optique plus générale, en espérant avoir su éveiller en vous votre soif naturelle de justice et un jour voir aboutir les fruits de cet efforts rédactionnel.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre des Transports l'expression de mes sentiments les plus respectueux.
votre serviteur,
Laury Granier.
P.S. : Copie à Monsieur le Premier Ministre Dominique de Villepin, à Monsieur le Président de la République Jacques Chirac, à Monsieur le Maire de Paris Bertrand Delanoé, à monsieur ou madame le Commissaire européen chargé des Transports.
N. B. ce texte va être envoyé au cours de ce week end avec "accusé de réception" Internet à chacune des personnalités susmentionnées.
P.S. 2 : Pour cette idée aussi je réclame évidemment aujourd’hui les 10 % (auquel j’ai droit en tant qu’auteur) de ce qu’elle coûtera à être mise en œuvre en tenant compte du temps que je vous aurai pris à chacun de vous sur la base de vos salaires respectifs + tous les à côtés, c'est-à-dire tous les temps y compris ceux des webmasters et des coûts corollaires (sécurité sociales, retraite, etc..). Et à chaque semaine qui passera pendant lesquelles cette amélioration ne sera pas mise en place à partir d’aujourd’hui, je préviens les responsables du gouvernement de la région France de l'Europe que l’Etat me devra 1% supplémentaire.
Évidemment j’attends un courrier officiel et/ou d'accusé de réception tenant compte de mes remarques, de ces améliorations à apporter par les responsables habilités car ces mesures seront que vous le vouliez ou pas un jour à l’ordre du jour (par conséquent j'espère et je suis persuadé que aurez à coeur de reconnaître alors honnêtement que j’ai eu l’antériorité de l’idée) et ce serait dommage pour l’État qu’il me doive alors tellement qu’il sera alors nécessaire et vital pour Lui d’avoir à réduire considérablement tous vos salaires respectifs pour me payer ce qu’il me doit en prétextant alors naturellement que si vous aviez fait le nécessaire en son temps il n’aurait pas autant à me devoir.
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