-(également à d'autres sujets que celui ci-dessous)-
Merci de votre venue comme d’avoir compris
que j’ai pris beaucoup de temps pour écrire les différentes lettres que voici
récapitulées -(et que vous aurez, s’il vous plait, la
gentillesse de transmettre aux deux autres dames qui vous accompagnaient, comme
de nouveau au président et au directeur de Paris Habitat) :
A
Monsieur le Président de Paris-Habitat, Monsieur Roger Madec,
8 Novembre 2020
A
Monsieur le Directeur Général, Monsieur Stéphane Dauphin, 8 Novembre 2020
A
Madame la Maire du Cinquième Arrondissement, Madame Florence Berthout du 4 au 12 Juillet 2019
A
Madame la Maire du Cinquième Arrondissement, Madame Florence Berthout du 22 Février 2021
07 Mars 2021 à mon voisin Monsieur Fabrice Didier
09
Avril 2021 courrierIne adressée à Paris-Habitat au
directeur général Stéphane Dauphin et au président de Paris-Habitat Monsieur Eric Pliez par l'entremise de Mesdames Marion Bauché, Florence Moreau et Madame Sabine Lemire.
26
Avril 2021 courrierIne
adressée à Paris-Habitat au
Directeur Général Stéphane Dauphin et au Président de Paris-Habitat Monsieur Eric Pliez en réponse à la lettre de Monsieur Antoine-Marie
Préaut, Conservateur Régional des Monuments
Historiques d'Île-de-France, Direction Régionale des Affaires Culturelles d'Île
de France, par l'entremise de Madame Sabine Lemire
Merci de les lire car elles sont celles
d’un éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit du bouddha qui s’est réincarné de
siècle en siècle et qui n’a fait qu’oeuvrer dans les
différentes catégories dont celles artistiques -(comme celles de
l’[a]Architecture)- car il a passé ses existences à s’ingénier -[et]- à trouver
-(avec d’autres semblables)- toutes les solutions alternatives
élégantes existantes dans tous les domaines -[de l’esprit]- en raison, à
chacune de ses réincarnations, de la découverte de la sécurité qui existe belle
et bien dans l’être humain pour avoir finalement -(une fois végétarien de
nombreuses années)- accès à cette conscience, par conséquent à la Vérité au cas
par cas.
Ce que j’ai écrit au sujet de la
rénovation des parties communes, voire de l’un ou l’autre des appartements
vétustes, je vous le confirme est préférable et amplement suffisant à la
réhabilitation -[sacrilège]- de laipis -(acronyme de -[strictement]- laïcs, uniquement athées, ignorant, profanes, inconscients
et sacrilèges au sens négatif et positif -[dans d’autres cas]- de
ces six mots)- qui a été proposée.
C’est donc la Vérité objective multicatégorielle et multi-dimensionnelle
sans un électron d’erreur dans tous les temps et tous les univers, soit ce
qu’il faut / convient de suivre comme direction. Aussi c’est ce qui est
préférable pour tous de faire, ce qui évitera la réhabilitation qui dans le cas
de l’empilement où se trouve mon appartement serait sacrilège envers les
sacro-saintes règles les plus justes / exactes de la plus véritable
[a]Architecture.
Merci de transmettre -(de nouveau)-
aux intéressés ce rappel récapitulatif de nos dernières lettres qui normalement
devraient avoir pour effet d’officiellement renoncer à cette
réhabilitation au profit de rénovations au cas par cas -(comme cela a
été le SPOK -(acronyme de situation précise, occasion, cas particulier
-[car ici c de cas et p de particulier = k de SPOK])
pour mon appartement avant mon installation en 2013 -[admirablement bien faite
-(cette rénovation), au point que je conseille de s’adresser
à l’entreprise qui a fait ces travaux pour leur donner à rénover les
autres appartements comme elle le voudra et/ou pourra quand cela sera possible
pour les locataires -[le nécessitant]- qui pourraient s’installer durant les
travaux de rénovation dans l’un ou l’autre des appartements encore vides]),
c’est pourquoi mon appartement me convient ainsi comme il est au point d’être
pour/sur un grand nombre de point le modèle à suivre pour les rénovations des
appartements du même genre qui seraient dans mon empilement: au-dessous et
au-dessus de chez moi -[appartement 49]).
Merci de transmettre ces laurYens -(se
dit pour "liens hypertexte")- à Mathieu Trébosc
-(comme vous l’avez proposé)- de la permanence technique -(tout est clair dans
ces courriers. On ne peut pas en parler à l’oral mais seulement par écrit -(ce
qu’il peut faire en m’écrivant un courriel auquel bien sûr j’aurais le plaisir
de répondre si je n’ai pas déjà répondu dans l’une ou l’autre des lettres ci-dessus)-
car j’ai pu vérifier que la Vérité est souvent d’une complexité inouïe à
formuler -(par conséquent ne peut s’approcher que par écrit -[en prenant, comme
ici, tout le temps qu’il faut pour cela, ce qui évite un bon nombre de conflits
stériles, voire à cause de cela se créer des inimitiés - ce qui n’est jamais
une bonne affaire]).
C’est pourquoi le contenu de ces
courriers au président de Paris-Habitat comme à son directeur sont des
réflexions sacrées - soit très véritables dont il faut évidemment tenir compte -(je
ne les ai pas faites pour de l’argent mais dans l’Intérêt Général et pour le
plus véritable Bien Général et croyez-moi ce qui m'a été présenté comme
projet[s] m’avait à première[s]-vue[s] intéressé, cependant qu’à
la réflexion faite cela, vous en conviendrez tous, n’est plus possible)- cela
ne sert à rien de se parler au téléphone, voire de chercher à -[en]-
discuter oralement: on n’a simplement pas le droit de contraindre une personne
âgée qui doit aller aux toilettes -(W. C.)- plusieurs fois par jour -(où
il est, handicapé, à ses tables de travaux d’Intérêt Général)- à quinze
pas supplémentaires à l’aller et au retour -(sous peine d’obtenir -[les
responsables d’une telle erreur et leurs complices]- une réincarnation en moins
que rien -(un des animaux prédateurs)- d’autant qu’ils en ont été avertis par
un éveillé-par-acquis-de-conscience, soit un bouddha -(qui plus est leur
empereur - soit le patron et en raison de bouddheité,
le grand inspecteur lui-même)- et cela parce qu’on rechercherait soi-disant par
charité à faire travailler une équipe d’architectes elle-même ayant soi-disant
par charité à embaucher des personnes pour réaliser la perspective de ce
chantier -(exigeant que les locataires
partent trois ans!!!), comme toutes les autres
personnes à première[s]-vue[s] concernées -(à
qui on fait croire ainsi qu’elles seraient utiles)- en
fait pour, en définitive, transformer en cauchemar la vie de ces personnes âgées -(vivant
dans les mêmes appartements que le 49 -[de l’empilement de l'immeuble])- ayant
ces quinze à vingt pas -(avec au pire
un déambulateur, vingt-cinq petits pas)- supplémentaires
à faire plusieurs fois par jour en plus des quinze pas -(en
en minimisant le nombre)- à faire pour
atteindre de l’endroit le plus lointain de leur respectif appartement -(les
mêmes ou quasiment les mêmes dans cet empilement)- ces
W. C. où ils sont actuellement placés avec l’arrivée d’eau et la colonne
d’évacuation de l’eau qui y sont excellemment placées là où elles
ont été déterminées parfaitement par l’architecte / auteur ayant signé
l’immeuble et ayant appliqué les sacro-saintes lois en [a]Architecture pour
déterminer le meilleur emplacement qui soit pour cette arrivée et cette
évacuation de l’eau -(qui ne peuvent - tout bien pesé- être mis ailleurs que là
où ils sont / demeureront : le meilleur endroit qui soit dans ces conditions
car proche de l’évier, de la douche, du lavabo, du chauffe-eau, eux aussi
excellemment bien placés comme ils -[le]- sont, par conséquent à ne
surtout pas changer de place).
Encore une fois vous verrez dans ces
lettres que la plupart des modifications -(sauf
celle du changement de place de l’arrivée de l’eau et son évacuation -[qui
est le point qui nécessite de reloger les locataires trois ans alors que
l’emplacement de ces points d’eau est parfait / juste, par conséquent ne
nécessite[nt] – nullement de changer de place]- que
les architectes souhaitent peuvent être réalisées chacune en une après-midi de
travail -(dans le cadre d’une rénovation)- ou au pire pour une d’entre elles
-(modification)- un à deux jours. Et vous comprendrez qu’on ne peut d’aucune
façon faire perdre un cagibi / placard aussi utile qu’il l’est en hiver
comme en été pour changer arbitrairement de place une douche, un lavabo et un
W. C. -(n’ayant absolument aucun intérêt là où ils prendraient la place de ce
cagibi / placard -(irrémédiablement perdu avec l’ensemble de ses avantages)-
excellemment situé à l’entrée en raison de ses différents contenus virtuels
possibles dont celui du caddie -[pour les courses]- là, à disposition)- qui
sont en réalité tels qu’ils sont admirablement bien placés et qui plus est en
partie aérés tout spécialement naturellement par l’air, la lucarne dans la
douche, ouverte.
Sans parler des originaux de mes
décorations -(non encore coloriées - donc des structures dans lesquelles
ajouter les couleurs quand cela sera le moment - voire pour les animer des
prototypes préparatoires de cette animation merveilleuse)- sur les murs -(ce
qui devrait permettre de faire la fortune de Paris-Habitat - à ma mort et ce
qui prouve, comme à Lascaux ou ailleurs, une fois de plus que la Vérité existe sur
tous les points sans exception puisqu’elle peut être communiquée, voire mieux:
transposée grâce au Dessin et/ou à la Peinture, la Sculpture, etc. y
compris comme ici par l'écriture).
Salutations respectueuses ainsi qu’aux
deux autres dames qui vous ont accompagnées -(merci à l’une d’elle, si
possible, de me trouver - comme elle avait l’air de le penser possible - un
lieu / atelier -(de Paris-Habitat)- qui serait vide ou/et inoccupé si possible
non trop loin de mon quartier -(l’idéal serait, en attendant, un appartement
vide là où je loge)- où je pourrais aller peindre -(contre un tableau ou un
dessin de ma main de temps en temps)- quand on m’offrira des toiles et de la
peinture à cet effet - car pour l’instant en raison de ma situation d’handicapé
-(sur de multiples points hélas importants y compris financiers)- je n’ai que
tout juste de quoi me nourrir et être logé et, en me privant, (vous l’avez
vu: ), de dessiner / peindre des petits formats, 29, 7 x 42 cm).
Laurent-Marie Granier …
d’Ôz -(appartement
49).