Bonjour,
Faisons comme si les travaux avaient lieu en dépit des
incommensurables peines j’ai prises[1] pour démontrer que ces travaux[2] ne doivent / peuvent avoir lieu que dans/sous la forme de
rénovations programmées[3]
au cas par cas, ce que
j’ai démontré dans la plupart des écrits ci-dessou[4] en espérant que la Direction de
Paris-Habitat annule ces travaux de réhabilitation au profit de beaucoup plus
simples : ces rénovations qui ne nécessitent pas/plus le déménagement des
locataires d’appartements que je rappelle différents de tous les autres lieux
que vnôtre[5] entreprise de gestion de
logements-sociaux, Paris-Habitat, s’est mis en tête de réhabiliter depuis
quelques temps. Nous sommes ici dans une autre réalité, un cas particulier
d’immeuble qui concerne des habitations sociales des Années Trente dans le
Cinquième Arrondissement de Paris, bâtiment construit avec une très grande
intelligence autour de l’arche menant à l’Impasse des Bœufs, on ne peut pas
mieux à partir des paramètres / conditions de l’époque où il fut élevé par
l’architecte qui a été longtemps responsable de la/cette » résidence
Carmes-Polytechnique «. Aussi permettez-moi de vous écrire, suite à votre
lettre du 31 Mars 2021, pour vous en remercier et convenir ensemble du
"rendez-vous individualisé" que vous y proposez.
En effet, si ces travaux sont entrepris, se poseront pour moi de
grandes difficultés pour déménager[6], notemment d/mes[7]
œuvres picturales extrêmement fragiles[8], mais
aussi l’ensemble de mes
étagères et leur contenu comme de l’informatique, et, si j’ai bien compris, la
cave, et tous les éléments de la cuisine et la machine à laver.
Mais aussi les démarches relatives aux contrats de ligne
téléphonique Internet de Télévision et assurance habitation -(il
faudra, pour cela vous mettre en rapport avec mon curateur Monsieur Xavier de
Montgolfier et Madame Bécu -(sa collaboratrice), quand vous aurez trouvé pour
moi l’habitation-relais à me proposer).
Comme vous faites bien de le prévoir, je vais aussi avoir besoin
de quelqu’un pour trier mes affaires et mettre dans les cartons mes objets
personnels -(tous ceux que nous ne mettrons pas au garde-meuble)- comme vous le
proposez, si Paris-Habitat, à la suite de mes lettres continue à
vouloir s’entêter[9] à
effectuer les travaux de
réhabilitation malgré mes analyses de la situation architecturalement parlée[10] et alors que dans mon cas
-(et les personnes âgées habitant dans mon empilement[11]), nous serions
condamnées chacune -(de ces personnes âgés), locataire, à subir ces plans futurs
par alors, une fois réalisés, devoir marcher autant de pas en plus -(qu’annoncés [et] calculés dans ces missives), pour rejoindre les W. C., le lavabo et la douche -(sur les nouveaux
plans), ce que j’ai décrit dans le détail et les chiffres que cela représente,
donc ce qui fait à la longue de très nombreux pas en plus pour les rejoindre
plusieurs fois par jour y compris pour revenir depuis le nouveau lieu dans
lequel ce W. C., ce lavabo et cette douche seraient situés dans l’appartement[12] jusqu’à dans la chambre
où nous menons nos activités quotidiennes dans l’état actuel où ce nombre
de pas -(pour rejoindre les W. C. le lavabo et la douche)- est encore
raisonnable[13],
chaque fois où nous en avons besoin[14].
Pour mieux comprendre le sacrilège qui/que serait commis en
changeant l’arrivée de l’eau et la colonne d’évacuation de l’eau de lieu dans
l’appartement, ce qui a, sur les plans, entraîné le changement de place du W.
C., du lavabo et de la douche où ils sont, voici un récapitulatif des peines
manuscrites que j’ai prises pour faire comprendre sans violence mais de façon
logique, cartésienne, lumineuse et claire, donc très justement et de façon
véritablement objective[15] et pour le Bien et
l’Intérêt Général, qu’on n’a pas le droit de commettre pareil sacrilège envers
la plus véritable [a]Architecture ©. C’est donc une question d’éthique et de
bon sens de renoncer alors à effectuer les travaux proposés[16] par l’équipe des
architectes dans l’appartement n°49[17]:
A Monsieur le Président de Paris-Habitat, Monsieur Roger Madec, 8 Novembre 2020
A Monsieur le Directeur Général, Monsieur Stéphane Dauphin,
8 Novembre 2020
A Madame la Maire du Cinquième Arrondissement, Madame
Florence Berthout du 4 au 12 Juillet
2019
A Madame la Maire du Cinquième Arrondissement, Madame
Florence Berthout du 22 Février 2021
07 Mars 2021 à mon voisin Monsieur Fabrice
Didier
Pour le congélateur il sera nécessaire
effectivement de le débrancher et de le nettoyer comme déposer les stores et
envelopper avec beaucoup de précautions certaines de mes
œuvres extrêmement fragiles et précieuses -(pour
tous)- pour les mener dans le logement relais en amont du déménagement. Je cite
ici vos propositions dans votre lettre qui ne parle pas de vider la cave en
mettant son contenu durant les travaux dans un garde meuble accessible à tout
moment par le locataire -(donc pas trop loin du
domicile de l’appartement relais)- et cela si vous estimez[18]
qu’il y
aurait aussi des travaux à faire dans les caves.
Aussi comme la mienne -(de cave)- est entièrement
pleine, cela va signifier que vous aurez à louer durant les travaux un lieu
-(pour déménager tout ce
qu’il y a dans cette cave)- accessible facilement pour y mettre les effets personnels
que je suis censé retrouver une fois les travaux finis à la place où ils
étaient dans cette cave[19] donc
que Paris-Habitat
s’occupe de faire revenir tout ce qui y était -(dans cette cave), de même
qu’assurer le déménagement de mon appartement n°49 au 20 rue de l’Ecole Polytechnique à/vers l’appartement-relais pour
finalement, après les travaux, tout retrouver à sa place[20].
Il faudra aussi penser[21] avant les travaux, s’ils
devaient advenir[22],
à photographier[23] à la chambre photographique mais aussi avec
un Hasselblad ou/et un Rolleiflex
par un photographe professionnel mes décorations / pastels représentant[s] des
oiseaux et autres animaux et femme-oiseau nue sur les murs de l’appartement.
Normalement il conviendrait - ce serait normal - de protéger
les originaux de ma main rarissimis…simissimes[24] et [25]. En effet, il faudra le
faire à la chambre photographique et en 6 x 6 cm, voire au 4 x 6 et autres
formats car ces représentations sont de celles au paroxysme du
paroxysme du sacré et uniques dans l’Histoire de l’Art[26]. Si je demande que cela
soit fait à la chambre photographique c’est pour le jour venu[27] offrir la possibilité
d'être capable de les reconstituer[28], cependant que les
responsables de Paris-Habitat et les architectes concernés auront été
sacrilège[s] au paroxysme du paroxysme[29] en ayant cru possible de
tels sacrilèges en les effaçant pour modifier les plans de l’architecte de
départ qui n’a pas fait semblant de trouver en conscience le point le meilleur
pour l’arrivée de l’eau et l’évacuation de l’eau dans l’empilement lié à
l’appartement 49 où je loge.
En vous remerciant de comprendre, salutations respectueuses aux
dames,
Vos dévoués serviteurs les
eanmeailleurs d’Ôz
Laurent-Marie Granier
… d’Ôz
Appartement 49,
20 rue de l’Ecole
Polytechnique, 75 005 Paris.
[1]
-(lisibles ci-dessous en cliquant sur l’un
ou/et l’autre des liens Internet)-
[2]
-(ceux dans les appartements et non ceux
dans les parties communes qui eux peuvent / doivent avoir lieu)-
[3]
-(et non » réhabilitation «, même
si parfois » rénovation « et » réhabilitation « c’est
synonyme)-
[4]
–(de cette façon on ne touchera pas à mon
appartement qui a été rénové en 2012-2013 avant mon arrivée et qui, dans
l’état, est/était presque parfait),
[5]
-(vôtre + nôtre = vnôtre,
voire vnôtre dans d’autres cas)-
[6]
-(en
raison de l’état médical dans lequel je suis, en permanence handicapé, mais
aussi par des souffrances insuportab[i]lissimis...simes que ma
doctoresse Hortense Boulanger doit faire disparaître et vous confirmera si vous
le souhaitez: il s’agit des effets secondaires indésirables d’un médicament
qu’on doit dès que possible -[me]- supprimer -[en fait cela devait être le cas
dès 2017, mais cela a traîné en raison d’erreurs
d’appréciation médicale due à un autre médecin]-
donc
du moins dans un premier temps me sevrer progressivement
N. B. : suite après le paragraphe suivant
ci-dessous :
-[si l’on devait craindre quelque-chose
pour moi, alors qu’il n’y a plus rien à craindre depuis 2014, quand j’étais
pratiquement complétement sevré -(en effet, j’avais alors à prendre
toutes les cinq semaines une demi-dose
de R. 25)-
de ce
médicament qu’on m’a malheureusement -(et contre toute attente)- imposé de
nouveau après ma dernière
hospitalisation en
2017-(qui,
je l’ai démontré très exactement, très objectivement, très logiquement, très
scientifiquement, n’aurait jamais dû être car j’étais alors à
demi-dose de R. 25 toutes les sept
semaines dans le cadre de mon sevrage qui avait grandement avancé quand cette
hospitalisation me fut aussi injustement et aussi arbitrairement imposée. Donc sans
logique intellectuellement acceptable / admissible)],
en
même temps que se posent à
moi des problèmes cardiaques depuis 2007, ce qui signifie que je ne
peux rien porter)-
[7] d/mes = des ou/et mes.
[8]
-(les originaux sont peints sur les côtés
de petits meubles et/ou étagères, [pour chacune de ces représentations, comme
toutes celles peintes / décorées sur les murs de mon appartement, il a fallu au
moins cinquante années d’expériences artistiques diverses -(en réalité tout mon
curriculum
vitae complet)- pour les réaliser. Ce qui fait que ces représentations sont
hyper-précieuses
-(donc à préserver / conserver / protéger d’un déménagement pouvant être – [ce
qui est à craindre et à anticiper par toutes les précautions à prendre] - à
l’origine de malheurs pour ces originaux de représentations diverses à porter
au Patrimoine de l’Humanité)-
d’autant les démonstrations que j’eus à
faire de l’existence d’une sécurité dans l’être humain qui permet d’accéder à
la conscience, soit la finalité elle-même de la Création pour les êtres
humains, cet » acquis de conscience «, ce qui ensuite permet d’être
compétent dans tous les domaines y compris, bien sûr, en -[a]Architecture © et
dans les autres disciplines artistiques et/ou scientifiques et etc.)
[9]
–(contre tous nos arguments les plus justes
/ censés / réfléchis / pesés / lumineux / rationnels / exactes / bien vus /
vrais / honnêtes / scientifiques / logiques / en prévision du pire / etc. et
cela aux grades de responsabilités où nous sommes en tant que vos
dévoués-serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz, soit un très véritable empereur devenu bouddhahs par
acquis de conscience, par conséquent Éveillé-par-acquis-de-conscience, donc
Grand Inspecteur, Architecte de l’Univers, et etc. … )-
[10]
-(qui m’ont fait aboutir à la conclusion que
dans ce SPOK -(acronyme de situation
précise,
occasion, cas
particulier -[car ici c de
cas et p de
particulier = K de SPOK])-
/ cas particulier précis il n’y a que rénovation
possible)-
[11]
-(des appartements ayant la même
configuration que le mien, donc construits sur le même modèle que le mien)-
[12]
-(en ayant fait disparaître l’indispensable
et si essentiel cagibi / placard – j’en parle en détail dans ces
courrierIne, [variante féminine du mot courriel])
[13]
-(au/du plus loin quinze pas d’une personne
de mon âge et de ma taille – je vais vers la soixantaine)
[14]
-(voir mes lettres ci-dessous à Monsieur le
Directeur Général Stéphane Dauphin et à Monsieur le Président Pliez)
[15]
-(ce qui est hors de prix, incommensurable à
évaluer financièrement comme avis – car ils sont ceux d’un expert et d’un
inspecteur - tenant compte de la multi-dimensionnalité et multi-catégorialité
de l’existence)-
[16]
-(même s’ils sont à première vue aussi
tentant[s] qu’ils l’ont été proposés / présentés)-
[17]
-(comme pour tous ceux - des appartements -
au-dessous et au-dessus du même modèle, car dans le même empilement, soit au
moins cinq de ces appartements : tous ceux de l’empilement à l’exception
de celui au premier étage qui est, parait-il, un studio et non un deux pièces
comme le mien)
[18]
-(si vous n’annulez-pas le vote pour les travaux et que celui-ci confirme que
ces travaux ont lieu en dépit de mes plus que précieux conseils qui interdisent
cette réhabilitation
-(au profit de
rénovations au cas par cas)-
dans les plans qui nous ont été remis. Ou alors en s’interdisant de changer
les choses dans mon empilement, soit dans les appartements du même modèle que
le n°49 qui ne doivent aucunement changer de ce qu’ils sont actuellement, voire
rétablir l’aération qui existait dans les W. C. avant qu’on ne dresse une
petite cloison au-dessus du lavabo entre celui-ci et les W. C. , ce qui
pourrait se faire autrement dans ces W. C. bien que la solution ingénieuse de
l’architecte de départ, sans cette petite / mince cloison, soit effectivement
la bonne / meilleure, en raison de la lucarne établie dans la façade de l’immeuble
tout spécialement à cette fin d’aération de la douche, du lavabo et des W. C. à
une époque où les hottes aspirantes et trucs similaires pouvant faire l’affaire
pour aérer n’existaient pas encore autant généralisées qu’elles le devinrent
à/vers la fin du XXème siècle)-
[19]
-(comme dans l’appartement dont je suis
locataire. Celui auquel je tiens absolument et dans lequel je veux revenir
après les travaux s’ils devaient avoir lieu contre mes plus précieux et
véritables avis, car c’est dans celui-ci -[d’appartement]- dans lequel j’ai pu
donner par écrit des explications les plus claires à des faits extraordinaires
et vrais, mais aussi dans lequel j’ai fondé les Observatoires Internationaux
des Nuages de [R]Ôz[eau/…/
i/s] qui vont bénéficier le jour venu d’un site Internet et d’une Télé Nuages
dont je suis le fondateur et Président. De plus en me forçant à déménager nous
allons perdre collectivement les prises de vues que j’aurai pu prendre durant
ce temps si je n’avais pas été -(je vous rappelle que nous faisons comme
si nous aurions à déménager)-
contraint à déménager
-(contre mes avis éclairés, alors que l’emplacement des nouveaux W. C., du
lavabo et de la douche est, je l’ai démontré, une très mauvaise affaire pour
tous)- ce
qui me permet d’archiver,
depuis mon arrivée dans cet appartement situé au cinquième étage,
la
forme des nuages -(je suis également peintre et de ce fait sensible aux formes
des nuages dont certains d’entre eux sont de véritables chefs-d’œuvre)- et cela
depuis la fenêtre de la cuisine ou/et depuis ma chambre, ce qui à la longue sur
trois ans -(la durée des travaux)- constituera une perte colossalissimis…simissime pour l’humanité à moins qu’on me donne l’autorisation
durant les travaux de revenir tous les jours dans mon appartement, y compris
d’y passer la nuit –[en laissant un matelas et une couette pour ça]– car
j’effectue aussi, depuis cet appartement, par la fenêtre, en amateur et
bénévole, continuellement des prises de vues nocturnes de ces nuages, pour le
Bien et l’Intérêt Général)-,
[20]
-(si cela est le cas, il faudrait que
Paris-Habitat trouve un appartement-relais pour moi d’au moins deux pièces qui
soit situé haut dans les étages –[car lors des récréations que je m’accorde
j’en profite pour photographier les nuages]-, de manière à ce que je puisse par
les fenêtres avoir accès à une grande étendue de ciel pour voir continuellement
défiler les nuages que j’archive en photo et/ou en vidéo selon l’intérêt qu’ils
revêtent plastiquement -(soit esthétiquement). Permettez-moi à cet effet de
vous rappeler ici que je suis également docteur en Arts et Sciences de l’Art –
[Cinéma – Télévision – Audiovisuel - …]- de l’Université de Paris I- Sorbonne
où j’ai d’ailleurs un peu enseigné avant la situation extrêmement handicapante,
[car une première dans l’histoire de l’aventure humaine – (H. A. H.), celle
d’un très véritable empereur devenu subitement un
éveillé-par-acquis-de-conscience, soit un bouddhahs dans l’Intérêt et pour le
Bien Général, ce qui est consubstantiel à cette qualité rarissimis…simissime et unique de bouddha]- dans laquelle je me suis
trouvé à partir de 2005)-
[21] (je
vous prie de me rassurer sur cela)-
[22] -(malgré mon interdiction la plus avisée et mes conseils les
plus fraternels)
[23] -(au frais de Paris-Habitat - qui voudra bien avoir
l’amabilité de me remettre les originaux des photographies)-
[24] -(de manière à conserver au Patrimoine de l’Humanité ces
admirab[i]lissimis...simssimes représentations figuratives que j’ai dessinées
sur les murs de mon appartement Lascaux des temps modernes. J’en ai le droit
d’auteur et je comptais les offrir à Paris-Habitat le jour où j’aurais eu à
quitter cet appartement-(ce que vous avez compris je
n’envisage pas dans l’immédiat)- en tant
que vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz, ce qui signifie le premier pharaon
de l’histoire de l’aventure humaine à être devenu éveillé-par-acquis-de-conscience,
soit ce qui est synonyme de bouddhahs)-
[25] -(c’est le premier des
appartements que je décore autant – la dernière fois avait été dans les années
1990 le dessin d’une sorte de taureau à l’intérieur d’une baignoire 32 rue
Pierre Nicole – il y a bien longtemps, mais c’est moi qui, ensuite, l’avait
effacé).
[26] -(et je vous prie de le croire, j’en sais quelque choses. Pas
seulement en raison de mes qualités universitairement
reconnues en Arts et Sciences de l’Art, mais en tant que connaisseur en la
matière et bien sûr en tant que leur auteur)
[27] -(après ma disparition)-
[28] -(dans un des appartements de dessous ou du dessus de chez
moi où ils sont et qui sera exactement la reconstitution du double identique de
celui où j’habite)
[29] -(et je ne vous cache pas qu’il y a des conséquences gravissimis…simissimes pour ceux qui croiront possible réaliser ce malheur cauchemardesquissimis...simissime y compris, bien sûr, leur commanditaires pour une perte, en réalité ou/et en vérité, se comptant en milliards de milliards de milliards d’euros en or pur - et, je vous prie de me croire - à l’aune du succès populaire et touristique - donc financier - des peintures dans les cavernes - je minimise - même si cette caverne et celle d’un appartement des temps actuels)-